Le dictateur congolais, Denis Sassou Nguesso, est attendu ce lundi 30 mars 2015 à Luanda, pour une visite officielle, a informé le directeur pour l’Afrique et Moyen Orient du Ministère des Relations Extérieures, Joaquim do Espírito Santo.
Selon l’ambassadeur Joaquim do Espirito Santo, les deux parties signeront un accord dans le domaine de la défense, qui prévoit l’échange d’expériences et d’autres actions dans le domaine de la formation.
“Nous pensons qu’il est important de le faire avec les pays voisins, d’ailleurs, la politique extérieure angolaise établit des priorités, et au premier plan figurent les pays limitrophes », a souligné le responsable.
Néanmoins, les observateurs de la scène politique congolaise scruteront avec parcimonie la visite du dictateur congolais auprès de son homologue angolais, ce dernier l’ayant aidé à revenir au pouvoir par les armes en octobre 1997 à l’issue d’une guerre civile sanglante ayant fait plusieurs milliers de morts.
Sassou Nguesso dont le mandat arrive à échéance en aout 2016 et aujourd’hui aux abois effectue-t-il se voyage à Luanda pour avoir la bienveillance et le soutien de son ancien allié, le président angolais Eduardo Dos santos avec qui les relations sont en délicatesse aujourd’hui ?
D’autres pensent qu’après l’incursion de l’armée angolaise en octobre 2013 à Kimongo (Congo) qui tenait d’avertissement à Sassou Nguesso, le président angolais aurait convoqué le dictateur congolais pour lui rappeler qu’il devra quitter le pouvoir en 2016, pour éviter une implosion de son pays qui aurait des répercussions sur le territoire angolais, en particulier dans la très riche pétrolière enclave du Cabinda.
L’Angola qui a l’ambition de devenir une puissance sous régionale est déjà intervenu dans la crise politique en République démocratique du Congo pour rappeler au président Joseph Kabila de respecter les échéances électorales dans son pays, et que plusieurs sources diplomatiques sous entendent que l’armée angolaise serait devenu le bras armée des Etats-Unis d’Amérique en Afrique centrale.
Diffusé le 30 mars 2015, par www.congo-liberty.org
Les Angolais en 1997 étaient surtout intervenus pour se débarrasser d’un pouvoir gênant pour eux, celui de Lissouba qui avait été secondé par Yhombi, en soutenant Savimbi et son UNITA dans toutes sortes de trafics notamment d’armes et de diamants .
Sassou ne manquera pas de se prévaloir auprès de Dos Santos qu’il reste un rempart à toute indépendance du Sud du pays (Sud Congo) que certains parmi nous veulent mettre en avant. Pour l’Angola un Sud-Congo équivaudrait à donner l’indépendance au Cabinda. Cette dernière signifierait une perte sèche d’un million de barils de pétrole par jour !
A ce prix là, Dos Santos malgré toute l’antipathie qu’il a pour son homologue congolais préférera raser Pointe Noire pour le compte de Sassou
Voilà deux dictateurs qui sellent une alliance de façade car depuis 1997 avec la bénédiction de la France, ces deux là on réintroduit la dictature au Congo, donc ils sont alliés depuis lors.
Le plus inacceptable est la violation de notre territoire par l’Angola à Kimongo où 3 soldats sont morts pour La Défense du territoire, mais les officiels n’en ont pas parlé.
L’armée congolaise compte un nombre pléthorique d’officiers qui ont été incapables de mener les troupes au combat… Pour cause, les combattants ont refusé d’aller se battre car mal payés alors que les officiers à la bedaine se la coulent douce et vont tous se soigner à l’étranger.
Nous avons été la base arrière du MPLA. Nous avons aidé l’Angola dans sa lutte pour la libération. Cette agression est criminel. Point.
Le plus outrageant est que les frontières du Congo ont été re découpées du côté de Kimongo… Mais, au profit de qui?
Que l’Angola s’occupe de ses problèmes. Nous ne voulons plus de ce sanguinaire putschiste.
Alliance ou pas avec l’autre grand dictateur Dos Santos…. Il doit dégager en août 2016.
Ils peuvent sceller leurs accords comme ils veulent mais cependant le temps du changement est arrivé. SASSOU doit dégager parce que » AVANT L’HEURE CE N’EST PAS L’HEURE ET APRES L’HEURE CE N’EST PLUS L’HEURE ». CE QUI VEUT DIRE QUE LE CONTEXTE D’OCTOBRE 1997 N’EST PLUS LE MÊME QUE CELUI D’AUJOURD’HUI. CE PRESIDENT MAUDIT QUI N’A D’AUTRE ALTERNATIVE QUE LA VIOLENCE, LA GUERRE ET LES ARMES DOIT DORENAVANT COMPRENDRE QUE CHAQUE JOUR N’EST PAS DIMANCHE ET QU’EN POLITIQUE L’USURE DU POUVOIR ET L’AFFAIBLISSEMENT DU CORPS DU FAIT DE LA VIEILLESSE OU DE LA MALADIE SONT DES ASPECTS NON NEGLIGEABLES DANS LA GESTION D’UN POUVOIR.
MOBUTU ET BONGO SONT DEUX EXEMPLES DE DICTATURE AUX ABOIS DU FAIT DE LA VIEILLESS3E ET DE LA MALADIE DE CEUX-CI.
SEULS LES KAKA NGE CROIENT EN L’IMMORTALITE DE CE PRESIDENT QUI APPRAÎT COMME LE PRESIDENT LE PLUS MEDIOCRE ET LE PLUS SADIQUE QUE LE CONGO AIT CONNU.
Quel est l’intérêt pour le Congo de se lancer dans une guerre perdue d’avance?
Quant aux deux présidents sachez qu’ils collaborent dans plusieurs domaines au profit d’entreprises congolaises (ex. AOGC) …. Sassou arrive même à favoriser TOTAL en Angola. C’est dire qu’il a un peu de poids chez Dos Santos.
Les relations d’Etat sont compliquées et seuls les novices en parlent le plus.
Kabila, Sassou et Dos Santos sont naturellement alliés car faisant l’objet de mêmes critiques. Savez vous que Sassou à expulsé les zaïrois avec l’accord de Kabila? Cherchez l’erreur.
Sassou va chasser les musulmans wahabites du Congo…. il est allé chercher un soutien chez Dos Santos qui déteste beaucoup cette religion.
Merci beaucoup NDZO-BADILA,
Ton intervention m’encourage. J’oubliais que le temps a aussi son mot et que les jours ne se ressemblent pas toujours. Et puis je crois qu’il n’est pas un gamin pour ne pas savoir que le vaillant Peuple Congolais dans sa majorité le hait.
Regarde sa photo dans l’interview de REUTERS: un rictus facial d’homme méchant et arrogant..
Prière: dans le Psaume 91 tu as dit Seigneur » de tes yeux seulement tu verras la rétribution des méchants ». Que ta volonté se fasse.
Même si l’ogre de Mpila-Oyo va en Angola pour renouveler les accords de défense, croyez-vous que M. Dos Santos va encore accepter d’endosser les crimes contre l’humanité et les génocides de Sassou Nguesso? Croyez-vous que le président angolais n’a pas été échaudé par la barbarie d’un homme qu’il croyait, à tort, démocrate?
C’est ici que je reprends ce que vient de dire notre ami NZO-BADILA : « (…) LE CONTEXTE D’OCTOBRE 1997 N’EST PLUS LE MÊME QUE CELUI D’AUJOURD’HUI. CE PRESIDENT MAUDIT QUI N’A D’AUTRE ALTERNATIVE QUE LA VIOLENCE, LA GUERRE ET LES ARMES DOIT DORENAVANT COMPRENDRE QUE CHAQUE JOUR N’EST PAS DIMANCHE… » (Merci l’ami Nzo!)
Sassou ce rigolo qui voyage beaucoup pour signer des accords sans effets , dans l’amélioration de la vie quotidienne des congolais ! Cet illuminé ne cesse de signer des accords de défense , alors qu’il ferait mieux de signer des accords avec la lyonnaise des eaux ou EDF en France ! Sassou à vraiment d’une psychiatrie lourde!!!
Il n’y a même pas à spéculer sur ce voyage. Cela démontre seulement que Sassou est aux abois. Nous avons vu sur les images de Télé Congo qu’il a été accueilli par le ministre des affaires extérieures, pour une visite que le PCT présente comme « officielle » c’est tout de même humiliant. Et c’est la troisième fois que Sassou force la porte de Dos Santos. Souvenez vous qu’une visite qu’il avait demandé avait été annulé et reporté siné dié par le même Dos Santos. Alors il a beau faire le président aux relations nombreuses, ce n’est que de la poudre aux yeux. L’Angola tient à la stabilité régionnale et pour eux changer la constitution comprte des risques d’instabilité. Alors, même pas peur, il suffit seulement que le peuple tout entier se mobilise et il le se mobilisera, pour chasser ce tribaliste et son clan de voleurs du pouvoir.
Merci IBRAHIMA BOUBA,
Comme nous ne pouvons pas tous suivre Télé Congo, je n’ai pu voir par qui il a été accueilli. C’est la preuve que le President DOS SANTOS ne porte pas cet homme, et cette manière de le recevoir peut nous donner la teneur de cette rencontre sans intérêt.
C’est vraiment un homme aux aboies. Je crois qu’avant le 15 Aout les carottes seront bien cuites car tout semble s’accélérer.
Que voulez-vous que se disent de raisonnable un maître et son valet anti démocrates? Sassou doit le pouvoir à son maître qui le surveille et lui tire les oreilles afin qu’il ne s’agite pas.
Dos Santos travaille pour son pays mais demeure un despote répugnant. Sassou est incapable de faire autant, il est sot et incompétent.
S’accrocher au pouvoir pour y rester? Dos Santos ne l’aidera pas. L’idée d’un Sud Congo effraie l’Angolais!
Ne pas être en bas de la passerelle de l’avion pour accueillir son hôte veut tout simplement dire JE NE ME DEPLACE PAS POUR ACCUEILLIR CET IMBECILE. Si SASSOU ne l’a pas compris, c’est qu’il est vraiment un IMBECILE.
Quant aux accords sur la défense, je me demande contre quel ennemi ces deux dictateurs veulent s’allier.
Si SASSOU avait un peu de jugeote, il visiterait les villes nouvelles que son dictateur d’ami est en train de bâtir pour son peuple. Il se rendrait alors compte qu’il est un PETIT pour l’angolais.
AUX COMPATRIOTES
A QUOI SERT LA POLITIQUE/OU LE POLITIQUE SI C’EST POUR S »ENRICHIR PERSONNELLEMENT
Longtemps les hommes politiques étaient ces personnes là qui avaient de la vision , des hommes qui incarnaient un idéal, ces personnes en fin qui se donnaient corps et âmes pour l’intérêt national. KWAME KRUMA, LUMUBA, I.GANDI et bien d’autres comme le CHE GUEVARA.
Depuis l’accession de nombreux pays Africains aux indépendances, cette ferveur qui animait nos pères de l’indépendance a fini par s’estomper pour laisser libre cour aux politiciens véreux motivés par une seule envie: devenir riche et faire profiter les leurs en détournant l’argent public , bien évidemment au détriment des projets collectifs et de l’élévation de la nation. Le bilan des périodes postes indépendances de certains pays sinon dans la plus part, est désastreux au point qu’il est criard de voir que rien n’est fait pour réduire la fracture du sous développement dans lequel se trouvent ces pays. Ici l’on ne va pas reprendre les théories économiques pour dire que nos cadres et intellectuelles de la place Africaines ne comprennent rien au contraire la faute revient directement aux politiques choisis par ceux des enfants de l’Afrique en charge de la gouvernance des états.
Les pays comme CUBA et VENEZUELA ont aussi souffert de la présence américaine et souvent essayent de se développer du moins dans quelques secteurs grâce au fait que les dirigeants sont profondément imprégné d’un souci national, aussi l’indice patriotique ne faisant point défaut chez eux voilà pourquoi ces pays s’en sortent. L’enrichissement personnel qui est décrié même par ces politiques dans le cas du CONGO devient un problème que souvent à la base eux mêmes gouvernants causent, ils gèrent les états d’une main de fer et pendant très longtemps avec les leurs (clan, tribu, ethnie) pour profiter des richesses qui en temps normal devraient servir à toute la population. Le tissu social africain est mis en lambeau, les structures de formations laissées en ruine, la culture étouffée et la jeunesse négligée ce pendant qu’eux avancent socialement.
Ces politiques à la fin se demandent pourquoi les peuples qui les ont porté haut ne puissent plus les aimer au plus fort les idolâtrer? Il y a un moment où le peuple fini par prendre conscience et si tout le temps s’il remarque que les discours de ces hommes politiques frisent le mensonge, et qu’il ne remarque pas de changement social à leur niveau. La conscience qu’ont nos hommes politiques n’est pas à la hauteur de ce que les peuples attendent d’eux et voilà pourquoi ces hommes pratiquent du terrorisme d’état et de la dictature pour se maintenir au pouvoir. Mais autrement l’on constate par ailleurs un éveil chez certains qui malgré qu’ils soient dictateurs essayent d’arranger chez eux au sens où les investissements profitent au peuple et donc le partage des richesses s’effectue.
L’ouverture politique peut ainsi être bloquée comme chez KHADAFI, à l’époque mais le pays était construit avant la guerre, chez SADDAM également tous nous avons tous vu comment était construit son pays avant la guerre, malheureusement chez l’homme Africain il se passe que les dictatures s’érigent en royaume pour éterniser le vole: cas de MOBUTU et de BOKASSA et s’en suivent les nouveaux tyrans. L’Afrique montre un visage désagréable souvent et le moment est venu pour changer cela et s’aligner dans la voie des pays qui émergent (Singapour, Malaisie) où la conscience est celle de l’effort et du travail.
La politique sert à travailler pour faire avancer le pays, et le politique est là pour conduire les projets vers leurs éclosions et pour le pays.
Aux dernières nouvelles, Dos Santos n’a reçu sassou nguesso que pendant 45 minutes. Pire, il ne l’a même pas convié à manger avec lui. Pourtant, la coutume veut que lors des visites d’état, un banquet sout offert aux visiteurs. sassou n’a même pas eu droit aux rafraîchissements pendant les 45 minutes que Dos Santos lui a accordé. La Honte Nationale.
Tout au long du séjour de la délégation congolaise à Luanda, c’est le directeur de la région Afrique centrale, Espirito Santo, qui était l’interlocuteur des ministres congolais. Voilà à quel point sassou a rabaissé notre pays. Un président qui est reçu en moins de 45 minutes alors que le premier ministre de Sao Tomé a eu droit à plus d’une heure et Théodorin Obiang Nguema plus de 90 minutes quand il fut reçu par le président Dos Santos.
S’agissant du soutien ou de la neutralité de l’Angola pour son projet fou de mourir au pouvoir, Dos Santos l’a répondu en disant qu’il ne voulait de l’instabilité dans la région . Ce faisant, il est de son intérêt d’écouter son peuple et surtout les grands de ce monde, Obama et Hollande. Bref, Dos Santos lui a dit fait ce que tu veux, mais je ne tolerai pas de l’insécurité dans la région , surtout aux frontières du Cabinda avec l’afflux des réfugiés .
sassou etait sonné d’entendre ce qu’il avait entendu. Il est reparti tout confus, le cœur pas net. À son départ, il n’y avait que les congolais. Aucun officiel angolais n’est venu lui dire au revoir si ce n’est le maire et le gouverneur de lobito et benguela. Un autre échec pour sassou quand on sait l’hospitalité africaine.