C’est un passage obligé. Denis Sassou Nguesso est attendu à Paris au mois de novembre 2022 pour parler de l’éventuelle dévaluation du franc CFA de la zone CEMAC d’après Jeune Afrique. Jean-Baptiste Ondaye l’a précédé. Paris est la capitale de la France et la plaque tournante de la politique africaine.
C’est dans le fleuve Jourdain que Jésus-Christ a été baptisé par Jean-Baptiste. Et, c’est sur les bords de la Seine que Jean-Baptiste Ondaye a fait ses premiers feux d’armes en qualité de Ministre des Finances.
Au bord sinueux de la Seine se font et se défont les régimes des pays africains de la zone franc (PAZF) selon un rite immuable manié par les grands prêtres de la Françafrique. Jean-Baptiste Ondaye qui trépignait d’impatience et salivait à l’idée d’avoir le portefeuille ministériel des Finances, a vu son heure arriver. Le renard bataillait depuis plusieurs années pour parvenir à ses fins. Par son odeur alléchée, c’est l’un des postes les plus prestigieux et les plus convoités du Congo-Brazzaville.
PIED DE POULE
Henri Lopès, Justin Lékoundzou, Pierre Moussa, Mathias Dzon, Pacifique Issoïbeka, Gilbert Ondongo, Roger Rigobert Andely s’y sont coltinés à qui mieux mieux et y ont exercé leur talent avec des résultats plus ou moins mitigés. En dépit de ses milliards (thésaurisés), riche comme Crésus, le Congo-Brazzaville est resté scotché au statut des pays pauvres très endettés (PPTE). Après un passage par Washington au siège du Fonds monétaire international (FMI), Jean-Baptiste Ondaye, le nouvel argentier qui a succédé à Roger Rigobert Andely qui rêvait être soigné aux petits oignons à la faveur du lobbying, n’a pas eu l’honneur d’être reçu ni par le Ministre des Finances, ni par celui du Budget et encore moins par le Premier Ministre de la France. C’est ce que, en termes de civilités, on appelle « se faire tailler un costume en pied-de-poule. »
En guise de lot de consolation, l’ancien Secrétaire général de la présidence de Denis Sassou Nguesso a eu les faveurs le 19 octobre 2022 du directeur général du Trésor Emmanuel Moulin. Jean-Baptiste Ondaye n’a donc pas échappé à la tradition hexagonale pour son premier voyage international, en qualité de Ministre des Finances du Congo-Brazzaville, confronté à une grave crise financière. Faute de grives, on mange des merles.
PIED DE NEZ
Il y a quelques jours en Afrique du Sud, faisant un splendide pied de nez à la logique cartésienne, Bruno Itoua vantait le Congo d’être un des plus importants producteurs de pétrole d’Afrique. Curieusement, hôpital qui se moque de l’hospice, le 12 octobre dernier, le même Bruno Itoua en compagnie de trois autres ministres congolais et du Premier Ministre Collinet MaKosso étaient à Washington pour obtenir du Fonds Monétaire International la poursuite de la facilité qui avait été accordée en décembre 2021. « Dans tout cela il n’y a pas de sérieux ! » chantaient les Nzoï (Passsi Mermans, Nganga Edo, Ange Linaud, Théo Bitsikou).
Le Gouvernement congolais prépare une nouvelle restructuration de sa dette, après celle du Club de Londres (dette privée) et du Club de Paris (dette publique) avec le PPTE en 2010. La couverture du Fonds Monétaire International est essentielle pour la notation du Congo et pour que les banques (Deutsche Bank et Citigroup) puissent faire appel à des investisseurs privés dans une émission d’obligations à hauts risques…(congo-liberty.org, 25 octobre 2022).
PIED DE GRUE
La couverture du Fonds monétaire international (FMI) ne peut être accordée sans l’aval de Paris. D’où le pied de grue des autorités du Congo-Brazzaville à Paris. A la faveur de la flambée des prix du baril de pétrole, le Congo-Brazzaville engrange d’énormes ressources financières (2000 milliards hors budget sur l’exercice budgétaire 2022 en cours, ). Où passe donc cet argent ?
Les générations futures, quand elles naîtront, feront de la peine aux futurs humanistes.
Dans cinq pays, la part de la Chine dans la dette publique, ou publiquement garantie, excède 30 % : Ethiopie et Cameroun 32 %, République du Congo 45 %, Angola 49 % et Djibouti 57 % (Le Monde , 14 octobre 2022). On est passé d’un moment où l’argent partait de Pékin pour arriver dans les pays pauvres à un moment où l’argent doit quitter ces pays pour rembourser la Chine.
Jean-Baptiste Ondaye a du pain croustillant sur la planche ; une planche savonnée par la boulimie financière insatiable de nos vénérables « politiques ».
Benjamin BILOMBOT BITADYS
Diffusé le 29 octobre 2022, par www.congo-liberty.org
Cher Bilombot l’argent du pétrole est devenu propriété privée des Mbochi ! Tenez Jean Baptiste Ondaye Mbochi de Makoua à succédé à Roger Andely Mbochi de Boundji St Benoît, en passant Ondaye à été remplacé par Stevie PEA Ondongo Mbochi d’ Oyo, signalons Andely garde son poste de président à la banque chino congolaise. S’appelle une nation Mbochi . Or une vraie nation assure à l’individu et à la famille les conditions nécessaires à leurs développements ! Que devient les autres congolais dans la fausse Nation Mbochi ? Cher frère Bitadys ne légitimons pas ces voyous Mbochi qui ont pris en otage d’autres congolais !
« Stevie Pea Ondongo assurera dorénavant les fonctions de secrétaire général du gouvernement ».(https://lesechos-congobrazza.com) – Un frère de sang, Ondongo, remplace un autre frère de sang, Jean-Baptiste Ondaye. Dans le système linguistique phonétique, on dira : » une voyelle chasse une autre voyelle ». Un Ondongo est comme un train : il peut cacher un autre Ondaye (à quelques voyelles près). Ce népotisme au grand jour amusait jadis la galerie. Mais ça n’amuse plus personne. Désormais ça fait pleurer-rire (dirait Henri Lopes). – Une vidéo devenue virale depuis hier 28 oct., montre une nana mbochi (au bord des larmes) qui se plaint de l’impérialisme linguistique de la langue Lari au marché Total de Bacongo. La lanceuse d’alerte déplore l’usage abusif du kongo-lari dans la totalité des transactions économiques qui ont lieu au grand marché TOTAL de Bacongo ( Brazzaville Sud). Quelle mauvaise foi de la part de la petite révoltée ! Elle ne s’est même pas rendu compte que la seule langue nationale que parle le régime du chemin d’avenir c’est la Mbochi (« langue du pouvoir », selon le chanteur Doudou Copa). La pauvre dame n’a pas vu que depuis l’avènement de Sassou (en 1997) le TOTAL POUVOIR est monopole Mbochi, qu’il il faut montrer patte blanche mbochi pour avoir un poste au gouvernement, dans la haute administration, dans le haut commandement militaire et à tous les postes fondamentaux où on peut se livrer impunément à la kleptomanie et au vol qualifié des deniers publics et privés ! Ce totalitarisme mbochi ne semble pas gêner notre lanceuse d’alerte, visiblement, native d’Oyo-ville.
En principe ces gens ne seraient pas a la recherche perpectuelle d’argent vus plusieurs booms petroliers.vous pouvez leur donner le budget de la France ils ne feront rien avec cet argent sauf le voler.
@ TOUR DE BABEL.
Que cette lanceuse d’alerte mbochi qui se plaint de l’usage abusif de la langue Kongo-lari au marché de total aille se faire voir à oyo. Nous Kongo sommes pas obligé de parler mbochi ou lingala qui n’est pas notre lange maternelle. Allez voir chez eux dans le nord s’ils parlent le Kigongo. Déjà depuis les quartiers nord de
Brazzaville tu n’entendras que lingala ou mbochis. Même Sassou président de la république et en plus est marié avec une Kongo n’arrive pas a parler le Kikongo par haine. Il fallait le voir pendant sa campagne électorale essayer d’aligner quelques mots. Nous ne sommes pas leur sujet pour nous obliger a parler lingala. Nous sommes des Kongos et avons aussi une langue comme eux et n’avons pas de leçons a recevoir de leur part que ça leur plaise ou pas. personnellement je ne parle ni lingala ni mbochi et je me porte bien.
FINANCES PUBLIQUES: SASSOU, COLLINET MAKOSSO, JEAN-BAPTISTE ONDAYE ET LUDOVIC NGATSÉ A LA BARRE.
Comme ,je l’avais dit : » c’est un pouvoir contre -nature en ce qu’il dénature et distend le lien social qui caractérisait la nation congolaise dans le cadre de l’idéal d’un pouvoir politique connu sous YOULOU ou MASSAMBA .
Le tribalisme devenant la citadelle intérieure imprenable de SASSOU ; le CONGO vit une espèce d’apartheid imposée dont l’unique télos est faire perdurer le supplice du BOURREAU AIGRI sassou à l’endroit de ceux qui portent un patronyme contraire à l’idéologie absconse et mortifère véhiculée au sein de ce pouvoir inique ….
D’ailleurs ,c’est l’une des explications empiriques de l’état misérabiliste dans lequel se trouve le pays …
Les questions de la misére congolaise , si ces mbochis ne s’en posent pas ,c’est qu’ils habitent un CONGO transcendant au CONGO immanent où vivent des congolais épris du minimum du bien être ..
Cadeauter de manière indéfinie les membres de sa tribu sans poser son regard sur la difficulté sociale et intellectuelle que pourrait contenir cet acte en soi , rélève d’un exercice pathologique …La vraie nation congolaise se réduit à la contemplation passive des mbochis dans leurs oeuvres futiles . Un habitus construit par l’esprit d’oyo .
Les mbochis se perçoivent en gardiens de la vertu collective de la gestion optimale de la gouvernance publique , peu leur chaut , l’exigence de l’intelligence que requiérent certaines responsabilités administratives ..
Une pratique ethno -gnostique et sectaire qui suppose la secte c’est à dire la communauté élective tribale choisie par cooptation ..HORS de cette secte ,point de salut .Je doute fort que les fameux réseaux PAMBOUIENS s’en fassent ouvrir la porte .
Mais le CONGO , éternel et immuable , aura raison des rudiments de cette foi tribale ..Ce mésusage de la praxis politique est une honte qui avilit l’espèce mbochi SASSOU est un fervent défenseur de la catalepsie pour avoir fait du CONGO l’âne de BURIDAN , par manque de l’intelligence et de patriotisme . Sa sénilité en renforce le cas .