Nous connaissions Bernard Kolelas comme étant un homme intègre, simple, désintéressé par les biens de ce monde, très loin du matériel. Mais là, vous nous parlez d’héritage matériel. Ça suppose qu’il s’agit d’une histoire de gros sous. Bernard Kolelas avait-il donc deux visages ?
J’ai commencé par vous dire que j’étais extrêmement gênée par ma démarche. Mal-heureusement, je me suis retrouvée face à un mur. D’aucuns vont se dire pourquoi j’ai mis autant de temps avant de réclamer ma par t d’héritage. Le dépôt de ma plainte a pris du temps parce que je suis horriblement gênée de parler matériel. Mes frères et sœurs m’ont attaquée du côté où j’étais le plus faible. Au départ, j’ai voulu ne rien réclamer. Mais en moi, il y a une dualité : un désintéressement vis-à-vis du matériel (comme mon père) et de l’autre, ma relation quasi-mystique avec la justice et la légalité. Ce problème m’a torturée pendant longtemps. J’ai été insultée, ce fut la goutte d’eau, c’est pour cela que je veux que justice me soit rendue. Mais je m’attendais à votre question de savoir quel rapport Kolelas entretenait-il avec le matériel.
En fait, Kolelas était quelqu’un de très vrai. Il ne feignait pas d’être désintéressé par le matériel. Et je profite de cette occasion pour lui demander pardon ainsi qu’à sa famille. Je crois que si aujourd’hui ses enfants et moi, nous retrouvons dans ce problème, c’est justement parce qu’il était impossible de parler des questions d’ordre matériel avec lui. Tout ce qu’il possédait ou qu’il envisageait d’avoir, c’était d’abord pour son peuple, ses militants et, bien après, sa famille. Nous, ses enfants, venions toujours en dernière position. Mes frères le savent tous. N’ayant pas mis au clair, et à temps, les problèmes de sa succession, on se trouve, aujourd’hui, devant les tribunaux. C’est triste : un tel nom.
Pourquoi on me cache les choses ? C’est justement parce qu’il y a suffisamment de biens que certains de mes frères et sœurs veulent garder pour eux tout seuls, comme si moi, je ne faisais pas partie de la famille. Je suis dans l’incertitude la plus complète. C’est pour cela que je veux tirer cela au clair. Je refuse cette captation et ce détournement d’héritage. Et puis, il faudrait voir chronologiquement les acquisitions des différents biens. Dans tous les cas, maintenant que l’histoire est sur la place publique, il sera demandé à toute personne au courant ou ayant eu connaissance d’un bien appartenant ou ayant appartenu à Bernard Kolelas de le faire savoir. Encore une fois, je dénoncerai toute obstruction qui se mettrait en travers de cette voie. Je suis quelqu’un de prévisible car je préviens toujours avant de faire quelque chose. Mes frères le savent déjà, je m’adresse donc à tous ceux qui l’ignoraient jusque là.
Donc, Bernard Kolelas avait de l’argent. Il nous avait toujours dit qu’il n’en avait pas. Pendant tout son exil en Afrique de l’Ouest où nous l’avions rencontré à Lomé, à Abidjan et à Bamako, il était pris en charge par les chefs d’Etat de ces pays d’accueil.
C’est pour cela que je vous parle de la chronologie des acquisitions des biens. Et pour-quoi je vous parle de cela, la réponse sera dans mon livre que je viens d’annoncer par-ce qu’il y a certains faits que j’exposerai au grand jour et qui seront révélateurs de certaines choses.
Si vous voulez, Afrique Education publiera les bonnes feuilles de votre livre avant sa sortie, pour édifier vos compatriotes. Mais avant cela, il faut un peu de clarté dans vos explications. Vous me direz si c’est vrai ou faux : votre père a laissé un bien immobilier important au Luxembourg ?
Non, en fait c’est ma sœur aînée qui vit entre la France et le Congo qui a des comptes au Luxembourg, en Allemagne. J’en passe ! Elle ne justifie pas que les fonds dans ces comptes ne proviennent pas de la succession de notre Père. Lire la suite de l’interview…
Propos recueillis par Jean Paul Tédga
Numéro 363- Afrique-education
Pauvre Congo ! Les dirigeants pillent leur pays de leur vivant et leurs enfants se déchirent après leur disparition pour leur part d’héritage. Ce butin qui est l’objet de leurs disputent ne sont que des « Biens Mal Acquis ». De Sassou, Kolelas, Lissouba et autres ce ne sont et ne seront jamais rien d’autre que des « Biens Mal Acquis » qui devront retourner un jour ou l’autre à l’Etat Congolais !
Aujourd’hui les enfants Kolelas, demain les rejetons et neveux de Sassou NGuesso. Devrons-nous alors juger qui a eu sa part ou non de l’héritage ?
Tout devra retourner au Trésor Public tout comme leur immense fortune actuelle !
Sans oublier leur part de prison pour complicité dans les détournements !!!
completement confus la kolela elle reclame sa part d’heritage et d’un poste chez nguesso?pourquoi les autres pas moi ? dit t’elle a sassou ne suis- je pas une kolela. c’est un feuilleton DYNASTIE ds le clan des kolelas. bah bekol comme les autres il etait aussi cupide et abrutis. pas un exemple madame il appartenait au peuple mais lequel?. pfiuuuuut!
Eh oui, tous ces hommes politiques ne sont que des voleurs, sassou nguesso, pascal lissouba, kolelas dont la fille n’a pas honte de venir revendiquer l’argent du congo. Mathias dzon n’est pas non plus un enfant de coeur. Mais est ce que les congolais le comprendront ? Pendant ce temps, nous souffrons.
Même en exil, kolelas se taper des zaïroises, nos hommes politiques reflechissent avec leur bite.
Reconnaissons que Hellot Mampouya et Maitre Nkounkou ont fait un joli coût sous les ordres de sassou pour discréditer une fois de plus parfait kolelas et famille. Nous ne plaindrons pas.
Très instructive interview. On se doutait, voire on en avait l’information parcellaire. Cette interview vient valider et compléter. Entre le désir de protection du père par la fille et la réalité il y a un gros abîme : Kolélas n’a jamais été ni un enfant de coeur ni un homme matériellement désintéressé. L’image du pauvre c’était pour les naïfs, comme il en pullule dans notre cher pays. Il savait utiliser cette dimension pour son populisme, de la même façon qu’il était doué pour la mythomanie. L’histoire nous révèlera bien d’autres facettes de la personne qui nous convaincront qu’il a été certes un homme courageux, mais n’aura été, tout compte fait, qu’un mercantile comme la majorité de ses collègues dont le verbe et l’idéal affirmés n’étaient qu’un masque pour mieux assouvir son désir de pouvoir. C’est-à-dire, un petit jouisseur politique comme l’actuel « homme fort » du Congo. La seule différence est que le défunt jouissait d’un charisme incontestable dont ne disposera jamais l’actuel tyran essentiellement doué pour de sales tours…
Je m’endoutais que Kolelas avait un trésor caché , son beatch privé gênerait beaucoup d’argent , ainsi que les marches total, commution, Bourreau, Bifouiti, Madibou, bref toute la zone sud , et puis le bureau du trésor du quartier général ( résidence du vieux escro) ainsi l’âme du peuple a roulé tout le pool dans la farine! Personnellement je trouvais suspect le train de vie des enfants en occident voilà la vérité qui surgit, cette famille a aussi pillées le pays , le père Kolelas n’a jamais fait don d’ une boite de nivaquine dans le pool , A vous de jugez le voyourisme de ce type .
Bof! bof!
Se diputer des Biens mal acquis! Quelle classe!
La conscience morale n’est point blessée. Aucune petite pensée au peuple souverain spolié et paupérisé. Travaillez et gagnez votre respect grâce à cet effort. Voilà la classe!!!
Vous avez dit « un homme intègre »? Non tendu vers les préoccupations matérielles? Pourtant,de nombreux biens sont disputés par la progéniture kolela.
Bof!bof!
Tous ces politiciens congolais des générations dépassées furent les ruineurs de la République. Des Tartuffes sans programme politique au service du proprès collectif.
Les Congolais connaissent très bien ceux qui sont réellement intègres.
Donc, Bernard Kolelas avait de l’argent. Il nous avait toujours dit qu’il n’en avait pas. Pendant tout son exil en Afrique de l’Ouest où nous l’avions rencontré à Lomé, à Abidjan et à Bamako, il était pris en charge par les chefs d’Etat de ces pays d’accueil.
C’est pour cela que je vous parle de la chronologie des acquisitions des biens. Et pour-quoi je vous parle de cela, la réponse sera dans mon livre que je viens d’annoncer par-ce qu’il y a certains faits que j’exposerai au grand jour et qui seront révélateurs de certaines choses.
Thysthère6Tchicaya aussi disait qu’il n’avait pas d’argent….cherchez l’erreur.
Je comprends maintenant pourquoi les jeunes de Bakongo sont morts pour rien. En même temps je me méfie de ce genre d’affaire qui éclate alors qu’on parle maintenant d’une éventuelle modification de la constitution. Moi TONA, neveu d’un pêcheur, pense que sassou est entrain dans le vif du sujet pour désormais écarter les enfants Kolélas du pouvoir. Kolélas mort, sassou n’a plus rien à perdre du coup, la famille Kolélas doit disparaître de la scène politique. Pauvres Ninjas morts pour rien. Mais où les enfants Kolélas ont-ils eu tout cet argent? Sassou peut dire maintenant au MCDDI mais alors, suis-je seul à voler l’argent du pays? Mais les enfants Kolélas aussi volent alors laissez-moi tranquille ; et la boucle est bouclée. Je comprends maintenant pourquoi les Kolélas ont rejoint sassou. Alors faut-il faire confiance à ces enfants gâtés qui ont trahi son propre peuple ? Où ont-ils trouvé l’argent ?
Pauvre Congo, pauvre peuple trahi. On apprends par la bouche des enfants Kolela que ce dernier avait lui aussi pris dans la caisse, avait reçu des milliards de Lissouba. Il a fait croire à tout le monde qu’il était sans argent, qu’il ne voulait que le bien du peuple, qu’il était différent des autres, des milliers de jeunes sont mort pour ses idées, beaucoup de familles ont perdu soit un fils, un époux ou un cousin. Et patatras qu’apprend t-on? Ce type était plein aux as, qu’il a des biens un peu partout dans le monde. Merci à cette fille, grâce à elle le peuple Kongo voit clair.On comprend mieux pourquoi les enfants Kolela avaient prêté allégeance à Sassou. Mme Lydie, ne vous battez pas avec vos frères, faite comme eux allez voir Sassou et vous aurez plus, de toutes les façons, vous faite dé jas la danse du ventre devant lui, il a compris, un peu de patience et vous serez servi. Les familles qui ont perdu leurs enfants ne l’oublieront jamais. Peuple Congolais je pense que vous allez comprendre que ces politicards ne pensent qu’à eux et nous prennent pour des imbéciles.
franchement on va tout entendre avec ses enfants qui ont grandis dans la misère vous nous parler d’héritage,mais qu’es ce qu’il avait fait pour avoir un heritage si important mais pour vous les petits sorciers ce n’est que le debut dieu seul sait ce qui va vous arriver enfants sorciers
Kolelas un vraie traite,je craches dans la bouche des ces enfants qui me donne le mal de mer,pour venirs reclamer le biens mal acquis?
ah les Laris nous somment très bete,les qu’elles qui avais evincer Youlou ?ces mes meme laris et les Bernard Kolelas et les Diata Mpiaka camille et mouzakani