Evocation des péripéties du retour à la paix au Congo, sur le modèle Pascal Lissouba.

Les cinq (5) ans de règne du Professeur Pascal Lissouba au pouvoir, qui rentrera dans l’histoire avec le mérite d’avoir été le premier président de la République du Congo élu démocratiquement au suffrage universel directe, ont été jalonnés par une multitude de crises et conflits politiques récurrents ponctués d’affrontements intercommunautaires armés et sanglants, mettant au prise d’une part : les partisans de la mouvance présidentielle regroupés autour de l’UPADS et de l’AND respectivement animé par Christophe Moukoueke, Maurice Stéphane Bongho Nouara, Ange Edouard Poungui, du RDD de Joachim Yhomby Opango, de l’UFD de David Charles Ganao, CNDD de Lambert Galibali, du MARS de Jean Itadi etc …, et d’autres part : de la coalition URD/PCT et apparentés principalement représentée par le MCDDI de Bernard Kolelas, le RDPS de Jean Pierre Thystére Tchicaya, le PCT de Denis Sassou Nguesso, l’UPRN de Mathias Ndzon, le PSDC de Clément Mierassa, l’UPDP de Augustin Gongarad Nkoua.

Parmi les voies et moyens de sortie de crise politico, sociale et institutionnelle envisagés dans le but de parvenir à la décrispation du climat politique extrêmement tendu de l’époque, il y’avait entre autre le Forum National pour la Culture de Paix au Congo, organisé du 19 au 23 décembre 1994, conjointement par le Gouvernement de la République du Congo et l’UNESCO alors représentée par son secrétaire général Frederico Mayor, en présence de plusieurs Chef d’Etats de la sous-région Afrique Centrale et des Représentants d’autres organismes internationaux, dont la pertinence des recommandations, que nous avons jugé utile et nécessaire de restituer dans le contexte actuel, pourront éventuellement servir encore aujourd’hui de source d’inspiration dans la perspective d’une redéfinition CONSENSUELLE du contenue à donner au DIALOGUE POLITIQUE actuellement souhaitable dans la perspective de la recherche des voies et moyens de sortie à la crise multidimensionnelle dont souffre encore de nos jours le Congo, et qui divise malheureusement les différents acteurs et protagonistes en présence, auxquels je m’étais permis d’adresser il y’a a peine trois (3) jours une lettre ouverte, en guise de contribution citoyenne à la commémoration du cinquantenaire de la République du Congo.

Le Forum National pour la Culture de la Paix au Congo, qui remonte à 24 ans aujourd’hui, constitue à non point douté, un repère historique majeur susceptible d’être capitalisé et mis à profit pour permettre la décrispation des tensions politiques du moment par le dialogue.

RECOMMANDATIONS DU FORUM NATIONAL POUR LA CULTURE DE PAIX AU CONGO

(Brazzaville, du 19 au 23 décembre 1994)

  • Création des structures d’intervention humanitaire et une coopération en matière de sécurité dans la sous-région

  • Elaboration des conventions nationales et sous régionales pour la promotion de la paix

  • Création d’une maison de culture de paix dans la sous-région par l’UNESCO. Celle-ci servira d’observatoire pour le respect des droits culturels, sociaux et politiques, formera des cadres médiateurs et organisera des ateliers de concertation intercommunautaire et l’enseignement du civisme dans les écoles.

  • Une éducation pour la tolérance, les droits de l’homme et la démocratie, la recherche et la réflexion sur les causes des conflits et de la violence dans l’environnement congolais et en Afrique Centrale.

  • Appui à des programmes de recherche sur des situations pré conflictuelles afin d’identifier les traditions de dialogue et les expériences historiques de solution des conflits.

  • Etablissement des mécanismes de surveillance du respect des droits culturels, sociaux et politiques, pour prévenir des tensions dans ce domaine.

  • Mobilisation des faiseurs d’opinions (intellectuels, artistes, éducateurs, journalistes, spécialistes, etc…) ;

  • Renforcement de l’action de la société civile en faveur de la paix et la participation de toutes les catégories sociales au processus de prévention des conflits.

  • Appui aux médias et utilisation de ceux-ci en faveur de la paix et de la coopération.

  • Action spécifique pour la promotion du rôle des femmes au niveau politique et pour la défense de la paix civile.

  • Réhabilitation de l’école et de l’université, en leur consacrant des ressources importantes et en intégrant la culture de la paix dans les programmes.

  • Utilisation efficiente des cadres, compte tenu de leurs compétences et abstraction faite de leur sensibilité politique, pour une meilleure qualité de service par les institutions de l’Etat dans l’intérêt du citoyen.

  • Indemnisation et réinsertion des sinistrés dans la vie sociale.

  • Dissolution et désarmement des milices privées.

  • Reconnaissance de la force publique comme seule responsable de la défense et de la protection des citoyens ;

  • Utilisation dans les activités de développement des jeunes désœuvrés.

  • Elaboration par le Gouvernement des programmes de formation professionnelle réservés aux sous-officiers et hommes de troupes en vue de favoriser leur insertion dans la vie civile.

  • Réorganisation de la force publique (Forces Armées, Gendarmerie, Police), en vue de la mettre en adéquation avec la mission de force publique républicaine ;

  • Réhabilitation des services judiciaires.

  • Mise en place des comités de paix pour la prévention des conflits, le maintien ou la consolidation de la paix au niveau des régions, communes, districts et arrondissements.

  • Elaboration à plus ou moins brèves échéance des conventions nationales et sous régionales, véritable charte de la paix, prenant en compte les points soulevés dans le plan d’action de la présente déclaration.

Le document exhaustif de la synthèse des travaux du Forum National pour la Culture de Paix au Congo est disponible sur internet, à travers le lien d’accès suivant :

unesdoc.unesco.org/images/0011/001152/115219Fo.pdf

En dépit du fait indéniable que la mise en œuvre de ses pertinentes recommandations avaient été brusquement interrompue du faite de la chute du régime Lissouba, suite à la victoire militaire des Forces Démocratiques et Patriotiques (FDP) dirigées par le Général Denis Sassou Nguesso, à l’issue de l’offensif généralisé appuyée par les troupes étrangères ( Angolaise, Tchadienne, Rwandaise et Ex FAZ , etc…) qui s’inviteront dans un conflit armé congo-congolais, en s’alignant dans le camp d’un belligérant, sous le regard passif de la communauté internationale.

La marche irréversible de Pascal Lissouba sur les sentiers de la paix, la démocratie et le développement durable du Congo par le dialogue intercommunautaire (Source : Congo Magazine n°34 de Aout-Septembre 1995).

Si le succès de ce forum est imputable à l’ensemble du peuple congolais, il faut, à priori, y regarder l’action personnelle du Chef de l’Etat, Pascal Lissouba. En effet, depuis son avènement à la magistrature suprême, le Président de la République a fait de la paix et de l’unité nationale le créneau de son action politique depuis trois ans. On se souviendra qu’à l’occasion de son investiture, le Chef de l’Etat avait déploré, dans son discours inaugural, le caractère ambigu de la constitution, y voyant un danger réel pour l’exercice du pouvoir et la gestion du pays. Pour Pascal Lissouba, la Constitution n’a pas tenu compte de valeurs culturelles du peuple congolais. La notion du partage qui fonde notre société se trouvant escamotée, voire annihilée au profit d’autres considérations de nature à aliéner la conscience national.

Aussi, soucieux du fonctionnement régulier des institutions et pour éviter un déchirement inutile entre acteurs politiques, le Chef de l’Etat avait-il pris l’initiative, après la motion de censure qui emporta le gouvernement Bongho Nouarra, de constituer une équipe où toutes les forces politiques nationales devraient être représentées. En effet, après plusieurs tractations, un Gouvernement d’Union Nationale vit le jour, faisant la part belle à l’Opposition qui détenait 60%, tandis que la majorité Présidentielle y participait à hauteur de 40%. Le feuilleton tourne mal. Certes. Mais cela n’altère en rien la volonté du Chef de l’Etat résolu à trouver une plate-forme capable de réconcilier les cœurs des Congolais.

C’est dans cet esprit que Pascal Lissouba brise le prisme étroit de son bureau pour descendre dans la rue afin d’y rencontrer et écouter les populations. Le peuple congolais qui s’est massivement mobilisé dans les différents arrondissements visités, découvre en cet homme les qualités d’un grand communicateur et les vertus d’un Chef humble, modeste et animé d’un souci constant : le DIALOGUE et la PAIX.

Ces sorties inopinées qui ont mis à mal certains états-majors politiques ont, contre toute attente, baissé d’un cran le climat politique très agité dans tout le pays.

Il va sans dire que le succès de ce forum a rehaussé le crédit du pays à l’échelle internationale. Et six mois après la tenue de ce grand rassemblement, tout le monde peut en faire le bilan. Mais le fait le plus marquant et le plus décisif, c’est l’entrée sans condition de l’Opposition au Gouvernement. Acte historique qui démontre à la fois la hauteur d’esprit et la capacité de l’homme politique congolais de transcender et de faire valoir l’intérêt national au détriment des appétits mesquins. La nomination des Administrateurs-Maires d’Arrondissement, des Chefs de Districts et de PCA, ainsi que celle des Secrétaires Généraux de ces circonscriptions n’ont pas échappé à la règle fondée sur l’unité et la solidarité.

Si au plan politique, des solutions sont déjà perceptibles, il reste que toutes les décisions du forum trouvent un écho favorable par leur application. De sorte qu’à la différence d’autres forums dont les résultats sont tombés dans les oubliettes, le Forum National pour la culture de Paix demeure un moment inoubliable.

Aux hommes politiques d’en faire un livre de chevet et au Gouvernement d’en garantir l’application, le suivi et l’éducation au travers d’une action médiatique de masse. L’année 1995 qui a été déclarée « année de la tolérance » par les Nations Unies servira sans nul doute de tremplin pour la consolidation de ces acquis. Une chose est vraie, ce forum a permis de libérer les consciences de la peur, la frustration et l’intolérance. Le peuple congolais a ainsi obtenu une nouvelle victoire sur lui-même après celle de la Conférence Nationale Souveraine. Une victoire qui s’inscrit dans la marche irréversible de Pascal Lissouba vers l’instauration d’un Etat de droit au Congo.

Puisse les acteurs et protagonistes politiques actuels s’inspirés entre autres de la Conférence Nationale de 1972, de l’historique Conférence Nationale Souveraine de 1990 et des recommandations pertinentes de ce dialogue intercommunautaire pour la paix, la démocratie et le développement durable organisé à Brazzaville du 19 au 23 décembre 1994 sous l’égide de l’UNESCO, évoqué dans cet article, pour envisager dans le CONSENSUS, les voies et moyens propices de sortie à la crise multidimensionnelle qui frappe de plein fouet notre pays, par le DIALOGUE.

Wilfrid Olivier Gentil SATHOUD, activiste politique indépendant.

[email protected]

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26 réponses à Evocation des péripéties du retour à la paix au Congo, sur le modèle Pascal Lissouba.

  1. Anonyme dit :

    Cet article n’a aucune utilité à part le dernier mot écrit en Majuscule « DIALOGUE » et qui est répété à l’envie dans l’ensemble de l’article.

    ENCORE un qui vient nous amener subtilement ou maladroitement (à vous de choisir!) vers le DIALOGUE sassou-hyen(e)?. Quand je vous disais, il y a peu, que beaucoup d’opportunistes vont sortir du bois et se servir de cette perche (DIALOGUE) pour essayer de s’inviter à la mangeoire. Et ce n’est qu’un début ils vont pousser aussi vite que des champignons sur la place de Paris.

    A QUI LE TOUR !!! de celui qui aura le meilleur projet à présenter et à vendre au tyran de l’Alima pour enfumer la diaspora. Faites vos jeux. rien ne va plus, qui sera le gagnant de l’entourloupe.

    Désespérant les Congolais

  2. LA DESCENTE AUX ENFERS COMMENCE dit :

    SATHOUD,
    J’AI OUBLIÉ UNE PETITE PHRASE TE CONCERNANT.
    JE PENSE QUE TON INDÉPENDANCE A TROP DURÉ.

  3. David Londi dit :

    Cela commence vraiment à me courir et à me les brouter menus. Combien de temps allez-vous vous asseoir, celles et ceux qui prônent un pseudo-dialogue alors qu’il est démontré à travers l’Histoire que l’on ne dialogue pas avec un dictateur, sur les cadavres de nos chers parents en les passant pour pertes et profits ? Combien de temps allez-vous fermer les yeux sur les terres dévastées du Pool pour vous asseoir avec le plus grand criminel que l’Afrique ait jamais porté en foulant aux pieds la douleur de celles et ceux qui sont les survivants ? Combien de temps allez-vous faire preuve de manque d’empathie pour les victimes quand vous ne voulez même pas accepter que justice leur soit rendue ? Quel dialogue ? Le dictateur, n’a-t-il pas toutes les clefs pour arrêter cette crise ? Où est le problème ? Sachez-le, les filles et les garçons du Pool le jugeront et ne permettront jamais une deuxième séance de lavement des mains que vous préparez frénétiquement. Les crimes qu’il a commis sont imprescriptibles, nous ne lâcherons pas. Allez au diable avec vos dialogues. Gangrenés par la médiocrité politique dans ce pays, les pro-dialogues oublient que tous les partis politiques éthnocentrés portent tous sur leurs armoiries le sang du peuple. Les uns et les autres devraient avoir honte de les replacer au centre du débat politique. Ce pays marche sur la tête. Comment voulez-vous négocier, dialoguer ou faire la paix quand l’espace politique est occupé par des groupements éthniques que sont les partis qui se sont tous faits la guerre. Il a fallu que Lissouba arrive au pouvoir pour des éthnies qui ont toujours vécu en paix et partageant l’essentiel de leur culture se fassent une guerre fratricide. Tout le monde sait que la contradiction principale dans ce pays est l’instrumentalisation du tribalisme provoquée par l’élection du président, un monarque, au suffrage universel direct. Dialogue après dialogue, élection après élection, ce pays sombrera dans la violence à chaque respiration démocratique. Nous le savons. Arrêtez de nous divertir et laissez nous nous concentrer sur les vraies solutions, démocratiques et durables.
    J’accuse les pro-dialogues de manque d’empathie pour les victimes du Pool.
    J’accuse les pro-dialogues de complicité de crimes contre l’humanité.
    J’accuse les pro-dialogues de divertir le peuple pour poursuivre leurs intérêts égoïstes …
    J’accuse !

  4. LA DESCENTE AUX ENFERS COMMENCE dit :

    SATHOUD,
    VRAI SATOU KE NA NGUE.
    TU ES TOUJOURS GENTIL?
    SI OUI, BON COURAGE

  5. Anonyme 5 dit :

    PAS DE DIALOGUE AVEC CEUX QUI

    -assassinent le peuple en tout impunité

    -ont commis un génocide

    -affament le peuple

    -privent volontairement les Congolais d’eau potable,d’électricité
    et de soins même les plus élémentaires

    -ont bombardé le territoire national et détruit le tissu social de notre pays

    -ont appauvri et pillé le Congo et l’ont ruiné

    – ont contraint à l’exil l’intelligentsia en rendant leur conditions de son retour
    dans le pays impossibles

    ces crimes ont été commis volontairement sciemment leurs auteurs étaient
    en pleine possession de leurs facultés mentales.

    Les conditions du dialogues ne sont de ce fait plus réunies par ce que tout simplement
    on ne discute pas avec un forcené on le met hors d’état de nuire.

    Ces criminels doivent tout simplement quitté ce pouvoir qu’ils ont usurpé pas de dialogue
    et par conséquent pas d’aide du fmi sans ce fameux dialogue.

    C’est ainsi que nous parviendrons à mettre un terme à ce de régime inique, barbare, primitif moyen-âgeux un régime d’un autre temps d’un autre siècle.

    Nous leur renvoyons au visage ces slogans dont ils nous ont abreuvé tout au long de notre jeunesse et qu’ils n’ont eu de cesse de marteler

    IMPERIALISME COLONIALISME ET NEO COLONIALISME A BAS !
    A BAS LA BOURGEOISIE COMPRADOR !
    A BAS LES ASSOIFFES DU POUVOIR !
    LES CHIENS ABOIENT LA CARAVANE PASSE !

    Si tu crains pour l’avenir des mbochis allons seulement à la conférence internationale sur le Congo Brazzaville … lavons les mains !

  6. Anonyme dit :

    Sassou a réussit au moins une chose, celle d’avoir détruit les consciences de bon nombre de nos compatriotes en les rendant cupides, idiots et sans compassion devant l’appel des nguiris.

  7. Val de Nantes dit :

    Les dialoguistes connectés á la manœuvre .Chacun y va de sa petite mélodie ignifugée de parfum des Nguesso.
    Oui,certains abrutis, á force de crever la dalle ,ont choisi de prolonger l’itinérance criminelle de Sassou sous couvert d’un virtuel dialogue dont Les dés semblent pipés.

  8. PAIX AU CONGO dit :

    « On attend le secours de Dieu dans le silence ». Le silence c’est dans un sens la paix, et c’est le dialogue qui nous conduit à cette paix.

    Alors que nous recherchons la paix et la poursuivons, Dieu lui même commencera à guérir le pays.

    La suite de cet article devait certainement nous dire qu’à l’issue de ces démarches en vue de la paix, le dossier du FMI à la banque mondiale avait connu un succès.

    Je pense que si on veut du bien pour le pays, le dialogue en constitue un tremplin.

    Quitte aux différends acteurs de le préparer.

    Si non à un moment donné, on pourra se poser la question  » veut on de la délivrance du Congo réellement »

  9. Anonyme dit :

    PAIX AU CONGO
    Qu’a fait dieu depuis 35 ans ??? A quoi ont servi les dialogues à répétitions depuis toutes ces années ainsi que toutes ces élections truquées, quelles sont les réalisations concretes que le tyran à réalisé pour le Pays ?.
    Demandez à Dieu, il vous répondra peut-être si vous n’êtes même pas capable de voir la réalité.
    Continuez à mendier et lâchez nous avec Dieu et le dialogue.

  10. Val de Nantes dit :

    Le dialogue , c’est le départ immédiat de ce connard du pouvoir.Le reste relève de la symphonie de Mozart ,pardon de Makome .
    Pour qui se prend il pour qu’ on dialoguât indéfiniment et inutilement sur un sujet qui l’a toujours redouté.?
    La vassalisation du Congo sassoufit.
    C’est qui lui .?.
    Celles et ceux qui ont atteint 62 ans ,adressez vous á cnav.Minimum vieillesse,pour se désaliener financierement de Sassou .
    Arrêtez cette littérature ventriloque .C’est indigne .

  11. PAIX AU CONGO dit :

    ANONYME

    « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son fils unique… » Ce même Dieu continue à aimer le Congo, il a créé par le passé des occasions pour que nous avancions dans tous les plans,

    Certainement qu’on était pas encore préparé comme les autres peuples. Nous avons manifesté la pauvreté intellectuelle et surtout spirituelle.

    Mais Dieu ne se fatigue pas dans son oeuvre, il nous présente encore des occasions pour saisir sa volonté .

    On doit s’élever intellectuellement et spirituellement pour saisir cette bénédiction.

    Que Dieu nous aide.

  12. Anonyme dit :

    Au lieu d’attendre que Dieu nous aide, (nous aide sur quoi d’ailleurs?). Allez plutôt quémander auprès du tyran de l’Alima de mettre de fin à cette situation car lui seul a le pouvoir de la résoudre rapidement étant donné qu’il détient tous les pouvoirs même celui de vie et de mort sur la population, cela ira plus vite que d’implorer Dieu.

    .

  13. PAIX AU CONGO dit :

    Mr ANONYME sais tu?

    Dieu travaille lentement et surement. Il n’est jamais pressé ni en retard, mais il fait toutes choses bonnes en son temps lorsqu’on se confit en lui.

    Jusque là les critiques, injures et autres vous ont apportées quoi? Rien du tout sinon la déception, la timide opposition et avc.

    Si une porte du dialogue s’ouvre, il faut la saisir, travailler dans l’unité afin que quelque de nouveau commence.

    Question: Pouvais tu imaginer une telle fin de la conférence nationale de 1991 avant son début?

    Laisse Dieu travailler, confie toi en lui.

  14. VAL DE NANTES dit :

    Que DIEU ,rappelle illico presto ,SASSOU dans son royaume .Soit ,qu’il le bongonise ,afin de le diminuer physiquement et mentalement , et ,tout le monde s’en porterait à merveille .

  15. VAL DE NANTES dit :

    A ,défaut de la semoule ,mangez les pâtes ,pour tenir financièrement ,afin de ne pas succomber aux sirènes du corbeau de l’ALIMA .
    SASSOUFIT , nous devons acter son départ du pouvoir sans aucune forme d’entourloupe .KIBANGOU SIMON , DIEU , LE PAPE , ETC , C’EST LA POUDRE DE MACRON ,,,PINRLIMPIMPIM .

  16. Anonyme dit :

    « Question: Pouvais tu imaginer une telle fin de la conférence nationale de 1991 avant son début? »

    Ce qui est sur, c’est qu’on ne s’imaginait pas se retrouver dans une situation aussi catastrophique et déplorable en 2018 suite à une conférence qui a débouchée sur un lavement des mains organisé par un homme d’église Ernest Kombo. Donc à cette époque on c’était bien confié à dieu, par l’intermédiaire de Monsigneur Kombo mais peut être aurions nous du faire appel au Pape lui même..

    Alléluia … Allons seulement, prions et tout va s’arranger. Amen….

  17. Anonyme dit :

    Depuis ce lavement des mains qui fait que nous soyons encore plus dans la merde aujourd’hui crois-tu que la population dans son ensemble n’a pas priée, en silence, pour quel résultat ? Et dans le même temps fleurissait à chaque coin de parcelle ces églises de réveil ou plutôt d’abrutissement.
    A qui a profité ces prières si ce n’est pas à la mafia familiale en place.

    Allons seulement !!!

  18. Anonymat dit :

    ET DIEU CRÉA LA MERDE!

  19. PAIX AU CONGO dit :

    Il faut croire on arrivera à une autre cérémonie de lavement des mains.

    Le problème ce n’est pas la dénomination de l’Eglise, mais c’est plutôt nos cœurs, notre fois.

  20. Anonyme dit :

    « PAIX AU CONGO
    Il faut croire on arrivera à une autre cérémonie de lavement des mains. »

    Et bien voila au moins c’est dit !! encore un qui veut sauver le soldat sassou par le subterfuge du dialogue. Il est même nostalgique du lavement des mains, c’est peu dire.
    A ce niveau ce n’est pas les mains qui ont été lavées mais la tête.

    Vraiment désespérant.

  21. Lilou dit :

    Non mais maintenant ça suffit avec votre dialogue ! Dialoguer avec qui ? Un génocidaire (je refuse de citer son nom c’est lui donner de la force spirituellement) ? La communauté internationale ? Et pour quoi faire qu’est ce qu’elle a fait pour le peuple congolais ? Rien !!! La communauté internationale est complice !!!
    Ceux qui attendent le dialogue sont malheureusement dans un positionnement intellectuel fataliste, ce sont des perdants !! Croire que dialoguer va permettre au Congo de se relever est une erreur. Le Congo a été meurtri si bien que le Congo n’est plus une nation, le peuple étant l’ombre de lui-même. Le génocidaire et ceux qui l’accompagnent doivent être chassés de cette terre et quand je parle de ses complices je mets même les maîtresses de ce génocidaire et leurs enfants, tout ce qui ont été complices à quelque degré que ce soit doivent déguerpir de cette terre.
    Le dialogue n’est plus envisageable. Ce génocidaire a pour but de tuer tous les congolais étant en admiration des étrangers les laissant maltraiter les congolais et ça devient insupportable de voir ça !
    Ce génocidaire n’est pas Dieu ni le roi du Congo ! Pour le contrer il faut que les congolais soient honnêtes avec eux mêmes c’est a dire que le Congo n’est pas une nation pour l’instant et il faut la créer et ça passe par l’amour du Congo et de son prochain ! PAS DE DIALOGUE !

  22. LA DESCENTE AUX ENFERS COMMENCE dit :

    VOUS ÊTES DE PLUS EN PLUS NOMBREUX À SUIVRE LES MATCHS DE DEMI-FINALES PASSIONNANTS QUI OPPOSENT DANS LA PREMIÈRE LES DEUX ÉQUIPES DES PANAFRICAINS ET DANS L’AUTRE LES DEUX ÉQUIPES DES PANAFRICONS (JE CITE REMY NGONO).
    NOUS NOUS SOMMES QUITTÉS LA DERNIÈRE FOIS SUR LES SÉANCES DE TIRS AU BUT.
    DANS LA PREMIÈRE DEMI-FINALE, LES PANAFRICAINS (SOUS ENTENDU, LA DIASPORA CONGOLAISE ET LA DIASPORA GABONAISE) ÉTAIENT À ÉGALITÉ. LES DEUX AYANT RATÉ LEUR PREMIER TIR AU BUT CHACUNE.
    LE SCORE SEMBLE AVOIR ÉVOLUÉ. LA DIASPORA GABONAISE PAR L’INTERMÉDIAIRE DE SES ACTIVISTES VIENT DE MARQUER LE DEUXIÈME TIR AU BUT. LA DIASPORA CONGOLAISE A RATÉ SON DEUXIÈME TIR AU BUT. LE JOUEUR CONGOLAIS S’EST AUTO DÉSIGNÉ, ET EVIDEMMENT LA CONSÉQUENCE EST TRÈS LOURDE POUR L’ÉQUIPE CONGOLAISE DES PANAFRICAINS. IL VA FALLOIR SE RESSAISIR, AMIS CONGOLAIS.
    DANS TOUS LES CAS, BRAVO À L’ÉQUIPE GABONAISE, UNE DIASPORA MIEUX ORGANISÉE, ET POURTANT QUI A LES MÊMES PROBLÈMES DE TRAHISON. ELLE DOIT RESTER VIGILANTE EN CE QUI CONCERNE LES PROCHAINS TIRS AU BUT.

    DANS LA DEUXIÈME DEMI-FINALE, CELLE QUI OPPOSE LES PANAFRICONS, LE CONSTAT EST LE MÊME DANS LA MESURE OÙ LE TIREUR GABONAIS, ALI BONGO, COMME SON PRÉDÉCESSEUR OMAR, VIENT DE MARQUER SON PENALTY. DU CÔTE CONGOLAIS, NDENGUET QUI A ÉTÉ DÉSIGNÉ, APRÈS EDITH, TERGIVERSE UN PEU. IL A PEUR DE LA RÉACTION DU PUBLIC CONGOLAIS S’IL N’ARRIVE PAS À LOGER LA BALLE AU FOND DES FILETS. TOUTEFOIS, IL IMPLORE SES FANS PANAFRICONS, VENUS EN MASSE POUR L’ENCOURAGER, DE DEMANDER À DIEU DE LUI DONNER LA FORCE DE RATER SON PENALTY. CE QUI EST SYNONYME DE TIR AU BUT MANQUÉ POUR LES PANAFRICAINS VENUS ESPIONNER LEUR FUTUR ADVERSAIRE. DANS L’ÉQUIPE CONGOLAISE DES PANAFRICONS, ON ENVISAGE MÊME DE CHANGER LE DEUXIÈME TIREUR À LA DERNIÈRE SECONDE.
    GARDER L’ÉCOUTE, ON VOUS ASSURE QUE CES DEMI-FINALES SONT PASSIONNANTES.
    « C’EST PARCE QUE NOUS N’AVONS PAS LA FORCE IMBÉCILE ET QUE NOUS SOMMES BIEN ÉDUQUÉS, QUE NOUS RELATONS CES FAITS. C’EST UNE DE NOS MANIÈRES DE RÉSISTER AUX IDIOTS DE SERVICE, AUX OCCIDENTAUX ET ORIENTAUX MAL ÉDUQUÉS ».

  23. ANONYME dit :

    Ce document d’archive est un « modèle » du genre. En ce sens qu’il permet de voir comment le pays était dirigé deux décennies en arrière, au sortir de l’histotique CNS, de 1992 à 1997. À l’époque il était déjà question d’un dialogue national. Comme quoi, les congolais sont un grand peuple, étant entendu que la palabre africaine ou la tradition du M’Bôngui fait partie intégrante de nos us et coutumes bantous. Ils sont habitués à se réunir, à discuter, à débattre de façon libre et démocratique.

  24. Passy dit :

    Pas de dialogue avec le Mal. Le Mal doit finir au bûcher et non autour d’une table avec des gens normaux . Une vipère ne peut dialoguer avec des humains.

    Si Sassou ne sait comment se suicider, il y a des crocodiles au Nord, qu’il se fasse dévorer par eux.

    Pas de dialogue avec un putschiste récidiviste assassin, fraudeur et kleptomane. D’ailleurs le peuple ne le considère plus comme un compatriote, ni comme un être humain.

    Seuls peuvent dialoguer : de vrais patriotes aimant le pays!

  25. LA DESCENTE AUX ENFERS COMMENCE dit :

    J’ai lu votre publication, cher Monsieur SATHOUD, mais c’est à VOMIR. Vraiment, tiari tia tingui!

  26. Wilfrid SATHOUD dit :

    Tel est votre appréciation sur ma publication qui est hélas bien appréciée et digérée par plusieurs autres compatriotes. Cependant, de par mon éducation, je respecte votre point de vue différent du mien, même lorsqu’il vous manque visiblement le courage de vous exprimé à visage découvert, en vous cachant derrière des pseudo ubuesque du genre « La descente aux enfers commence ».

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