« Avant qu’ils me mettent sous terre, eh bien…je dois brûler cette terre », Dixit, Denis Sassou Nguesso

Nous sommes en Décembre 1997. Je suis assis dans le salon feutré d’un palais présidentiel d’Afrique centrale, en attente d’une audience avec le maître des lieux. La propreté de l’environnement s’allie à la beauté des meubles rehaussée par la brillance du marbre pour me rappeler les fastes du pouvoir, surtout dans cette partie du continent africain. Soudain un Conseiller du chef de l’État m’appelle et je le suis dans le bureau de son chef où va avoir lieu l’audience. Le Président fait signe à son conseiller lequel s’éclipse et nous laisse tous les deux, l’homme d’État face à l’homme de presse que je suis. Mon audience n’a duré en tout que 5 minutes lorsque mon hôte, contrairement à son habitude change de sujet et son ton se fait plus paternel. Puis il me dit:

«justement, je suis content que vous soyez venu me voir. J’ai une question qui me troque l’esprit depuis que je suis rentré de votre pays le week-end.  Comment appréciez-vous les changements intervenus chez vous ? De quel camp seriez-vous ? J’ai entendu des gens parler des gagnants et des perdants ; dans une guerre civile comme celle qui vient de vivre le Congo Brazzaville, y a-t-il vraiment des gagnants et des perdants ? Mon frère Denis Sassou Nguesso a marché sur le sang encore frais de ses concitoyens pour aller occuper le fauteuil présidentiel.»

Il reste un peu pensif, remue sa tête et puis il continue: «le Président Sassou a prononcé cette phrase dont j’aimerais que vous me dites le sens; parce que depuis que je suis arrivé, je pense à ce qu’il m’a dit, et je me pose mille et une questions. Il a dit: ‘les Congolais après m’avoir insultés copieusement pendant la Conférence Nationale Souveraine, m’ont encore donné le pouvoir.  Cette fois-ci, avant qu’ils me mettent sous terre, eh bien…je dois brûler cette terre’.

De quelle terre parle-t-il ? Fit mon hôte.  Évidemment ce n’est pas la terre du Gabon, du Cameroun, de la Centrafrique, de la R.D.C ou même de l’Angola qui sont les pays limitrophes à son pays qu’il va brûler. Et pourquoi menacer ainsi ses compatriotes et surtout le pays qui lui a tout donné ? Dites-moi, vous qui êtes Congolais, comment va-t-il brûler le Congo et pourquoi ? Pour l’avoir ramené au pouvoir ? Et en quoi faisant ? Comment peut-on avoir le courage de dire de telles méchancetés de ses compatriotes et de son pays ? Votre problème au Congo c’est que vous ne vous aimez pas. Vous aimez plus les étrangers que vos compatriotes. Aucun leader au monde ne tiendrait un tel discours, à l’exception évidemment de mon frère Sassou. Un leader qui aime son pays et ses compatriotes ne dirait jamais des choses pareilles. »

Vingt et un an après que j’ai été mis au parfum de ces menaces, le Congo souffle le chaud et le froid. Mon ancien hôte m’a de nouveau reçu dans son palais il y a une semaine. Le mobilier a changé de couleurs. Mais la propreté des lieux me rappelle ma première visite. Et Monsieur le Président qui, comme à son habitude, n’oublie rien m’a encore demandé : « alors, avez-vous compris le sens de ce qui se passe dans votre pays ? Peut-on libérer un peuple en le privant de jouir des fruits de son sous-sol comme le pétrole ? Cela n’équivaut – il pas à brûler la terre ? J ’ai même ouï-dire que le pétrole onshore du nord du Congo est entré en production ; que mon frère Sassou a fait bâtir un port fluvial à Oyo ; et pire encore, qu’un autre port pluvial et une raffinerie vont être construits plus en amont. Beaucoup de Congolais ne seraient même pas informés de ce pétrole de Loukoléla. Comment peut-on cacher au souverain primaire sa propre richesse que l’on a commencé à exploiter en catimini avec des Blancs ? Le Président Sassou est-il sérieux ? Est-il un homme d’État ?»

S’étant tu un instant, t il reprend son monologue : « Faire tuer ses compatriotes en faisant fermer l’Hôpital Général et en allant mettre toutes les économies du pays en Chine, n’est-ce cela pas une autre manière, parmi tant d’autres, de brûler la terre ? On nous accuse d’être un dictateur, nous disons désormais à notre opposition qu’elle blague parce qu’elle est ici chez nous. Au Congo Brazzaville, elle ne se permettrait pas un langage aussi déplacé. »

Si les murs des palais pouvaient parler, peut-être que nous entendrions pire : pour connaître l’homme, Denis Sassou Nguesso, pour mieux comprendre la tragédie congolaise.

Yvon Charles Ondongo

Diffusé le 06 décembre 2018, par www.congo-liberty.org

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69 réponses à « Avant qu’ils me mettent sous terre, eh bien…je dois brûler cette terre », Dixit, Denis Sassou Nguesso

  1. Val de Nantes dit :

    Peine perdue,le Congo lui survivra, et il en mesure les réalités chaque instant .Son visage ratatiné par le temps, et les effets de la lactation sur ce visage, en sont la preuve irréversible.
    Connard ,niama.

  2. Val de Nantes dit :

    Et,au passage il a volontairement tué l’ascenseur social au profit du descenseur social comme étape ultime de la domestication socio économique .
    Que ceux qui veulent participer au dialogue abscons pour la rédemption de ce monstre, s’approprient ce texte qui met en exergue le penchant multicriminel de leur parrain .

  3. Garcia Dekodia dit :

    En charge du budget au sein d’un Ministère régalien dont je tais le nom, en étroite collaboration avec la secrétaire générale mais également avec différents circuits de décisions et de traitement, notamment les ingénieurs civils et de corps, c’est avec beaucoup d’intérêt que nous affutons nos expériences afin d’être les bras valides du Congo de demain. Nous prestons et échangeons avec tous les pays d’Europe donc avec tous les partenaires étrangers. La secrétaire générale pourtant bardée de diplômes ne parle pas un mot d’anglais, et lorsque, au cours d’un webinaire dans le cadre d’un travail collaboratif et partenarial, nous avons affaire a des interlocuteurs anglo-saxons, elle fait appel à un interprète ou recourt à des progiciels internes de traduction linguistique. Il en est de même pour nos ingénieurs même de corps, je rappelle que jusqu’ici je ne connais aucun congolais qui soit ingénieur de corps, à moins qu’il veule bien se manifester; il n’en existe presque pas. Ne prêtons pas le flanc à tous ceux qui pensent que parler ANGLAIS est un gage d’intelligence ou d’instruction académique, loin s’en faut. Je suis moi même diplômé en Finance et gère un Fond de Roulement pour l’exercice 2018 qui fut de 4 millions d’euros en début d’année. Et là nous sommes en pleine clôture « cut off » de l’exercice budgétaire de l’année n (en cours)….

    Tout ceci pour dire qu’on a en notre sein des intellectuels à même d’inverser la courbe, dans le cadre du Congo nous parlerons de créances irrécouvrables pour tous nos créanciers. Dès lors, ils doivent adopter des mesures avant-gardistes en prenant en compte toutes les dépréciations à venir inhérentes à leurs dus. Il doivent procéder aux dotations aux provisions pour dépréciations aux créances dans leur compte et à l’inverse « provisions pour dépréciation de compte client » pour équilibrer celui-ci (compte). Ils éprouveront des difficultés à recouvrer les créances qu’ils détiennent auprès de leur client qu’est le Congo.

  4. Joe Muclet dit :

    Sassou n’est pas un chef d’Etat, il a tué l’État Congolais au moment même où il a pensé revenir au pouvoir pour la 2ème fois ! C’est un voleur de pire espèce. Un assassin au sens propre comme au figuré. Savez -vous qu’il y a des retraités qui vont passer pour la 2è ou 3ème fois les fêtes de fin d’année sans un sou en poche pendant que Sassou va sabler le champagne avec les siens ? Tout simplement parce que le Sieur Sassou a volé leurs économies de toute une vie de dur labeur ! Qu’il soit à jamais maudit ainsi que sa progéniture!

  5. Val de Nantes dit :

    Il fait semblant de diriger le pays ,alors qu’au fond il gére l’immense fortune qu’il a prélevée sur le Congo enivré.

  6. Val de Nantes dit :

    La honte , même Allassane Ouattara ,en a gerbé .Débiteur de Sassou ,hier ,aujourd’hui il le traite de dictateur sans vision .
    L’épave Sassou devient nocive .
    Niama,ngouakou.

  7. Anonyme dit :

    Il le vomissent aujourd’hui car ce qui était connu mais plus au moins caché hier devient gênant lorsque ceci apparaît au grand jour.
    Voila pourquoi il faut gagner la bataille de la communication et dénoncer encore plus haut et plus fort l’infamie de ce tyran et de son clan et surtout refuser toute compromission..

  8. Samba dia Moupata dit :

    Cher Ondongo cela ne me surprend pas car l’humanisme n’a jamais habiter sassou , regarder la cruauté de ce dernier envers son bienfaiteur Ngouabi . Cet instituteur adjoint qui est devenu officier grâce aux tripatouages de Ngouabi et Yhombi . Honte aux escrocs qui veulent négocier avec le diable et mêmes aux idiots qui sont allés écouter Asie Dominique d’Ewo .

  9. Ku Ibiti dit :

    Je suis révolté à la lecture de cet article qui nous informe du caractère diabolique de l’homme qui s’est imposé à la tête de notre « petit paradis », le Congo. Si cela est avéré, qu’il ne pense pas qu’il s’en sortira à si bon compte…Avant lui Pharaon et d’autres monarques ou hommes puissants (Nabukanetsar, Hitler, etc.) aussi présomptueux que ridicules ont sombré dans les oublis de l’histoire et terminé leurs vies de la pire des manières. Qu’il en prenne de la graine et qu’il sache qu’il n’est pas l’auteur de la vie. Il risque de bruler bien avant…

  10. David Londi dit :

    Ces propos doivent être replacés dans le théâtre des opérations de guerres que mène le dictateur. Ils sont concrétisés, pour la période de 1999 à 2000, par le déploiement du projet « Mouebara » dont le rapport a été publié par Michel Taube sur le site de l’Opinion internationale, respectivement le mercredi 29 juillet 2015 – 11H18 et le 12 nov 2018 suite à la sortie du livre de Nkounkou sur « Le génocide des laris ». Tous les documents publiés portent sur les années 1999 – 2000 que M. Denis Sassou-Nguesso, Président de la République du Congo-Brazzaville, a signé le 27 septembre 1999 pour un Plan d’activités mentionnant explicitement les « objectifs » à atteindre dans différentes villes du Pool-Nord, de la Bouenza-Nord et du Niari et le 7 janvier 2000 un courrier officiel ordonnant des crimes systématiques pour, selon ses termes, « continuer de nous appuyer sur la force comme moyen essentiel de la conservation du pouvoir »…

    Dans le Plan d’activités en question, les objectifs exprimés sont d’une clarté déconcertante. Les ordres de « dépeupler » les zones visées, de « maintenir les fugitifs dans les forêts par la terreur du pilonnage et les pousser à la mort lente par la famine et les maladies » et de « brûler tout jeune en âge de combattre en provenance des zones à forte résistance » ne laissent pas de doute quant aux intentions de ces opérations. Les ordres de bombardements de « lieux à forte concentration humaine » tels que « les hôpitaux » ou « les marchés », explicitent davantage la nature civile des cibles de cette opération.
    Pour parachever la dimension programmatique, planifiée, volontaire… et macabre de ces crimes annoncés, le Tableau se termine sur un bilan prévisionnel. Manifestement, il y a obligation de résultats : 125.000 personnes tuées, 275.000 fugitifs et 40.000 exils forcés sont programmés dans le but d’un « dépeuplement total de 430.000 hommes ». Ceci valide le chiffre avancé par Éric Denécé, Docteur en Science politique, Directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R), le 22 décembre 2016 sur le plateau d’Yves Calvi – LCI. C’est un Chercheur reconnu, spécialiste du renseignement, du terrorisme, des opérations spéciales : « une guerre civile qui a fait 400 000 morts sur 4 millions d’habitants, 10 % de la population, on n’en parle pas non plus. »
    Dans une lettre du 7 janvier 2000 adressée à cet obscur Comité Mixte d’Actions Spéciales, composé « des hommes du pouvoir », M. Denis Sassou-Nguesso dévoile les lignes directrices de sa politique du moment. Une citation de Mao Zedong en éclaire le propos : «Le pouvoir est au bout du fusil ». Une mention qui rappelle, à ceux qui l’auraient oublié, les références idéologiques du président congolais.
    Le courrier fait notamment référence à l’Opération « Mouébara » : M. Denis Sassou-Nguesso préconise la poursuite de l’Opération dans le but de « parachever impérativement le dépeuplement des 430.000 personnes, dont l’exécution a été perturbée ».
    M. Denis Sassou-Nguesso appelle aussi les membres du Comité à « réfléchir profondément » sur d’autres points : «recenser les membres de nos pelotons d’exécution qui menacent de révéler l’existence et l’emplacement des charniers à la presse étrangère», faire en sorte que «l’aide humanitaire soit prioritairement livrée aux populations favorables au pouvoir et maintenir celles qui nous sont hostiles dans un état de précarité qui les oblige à se soumettre », « renforcer les réseaux à l’étranger afin de mieux traquer les opposants », «organiser l’exécution des détenus politiques »…
    Le dictateur n’a jamais poursuivi en diffamation Michel Taube qui s’est permis de procéder à une deuxième publication, le 12 novembre 2018. N’est-ce pas un aveu ?

    Ne pas faire ce lien relève d’un manque de compréhension des ressorts profonds qui motivent l’action du dictateur. Elle n’est ni économique ni politique mais une revanche chevillée au corps. Ngouabi ne se trompait pas quand il l’a surnommé : le revanchard (cette fois-ci par rapport aux évènements de 1959).

  11. Garcia Dekodia dit :

    L’histoire récente du Pays, avance très masquée de sorte qu’elle occulte certaines réalités et ceux qui tentent de la falsifier en lui tordant le cou se livrent à un exercice au succès peu probable! Je remercie David Londi qui fait un travail remarquable,qui consiste grosso modo à arracher le masque de pénombre qui occulte certaines réalités sombres et macabres.Pour parvenir à une infériorité numérique d’une partie de la population, au sein d’une région donnée, (le pool), le pouvoir a recouru à des méthodes barbares, pour en faire un « no man’s land ». Réalité ou fiction? Tout le monde se tait au risque d’en subir le courroux. Le profilage ethnique, une réalité quotidienne au congo-brazzaville! Ils ont saccagé le pool en le vidant petit à petit de ses ressortissants…

  12. OYESSI dit :

    La vérité n’a pas de tombe dit on. Sassou a beau faire, les gens ont beau vilipendé M. Nkoukou sur son livre. Sassou est un génocidaire. Les documents donnant les ordres pour l ‘exécuter et signés de Sassou existent. Londi en parle un peu. Nous attendons la plainte de l’état Sassou comme promis suite à la sortie de ce livre. Le petit Mboulou le zairois a beau interdire son entrée au Congo, peine perdue, je l’ai reçu de France en passant officiellement par Maya Maya et par vol d’Air France. Qu’a dit le petit Mboulou? Que le pays est commandé?? Par qui??? par des idiots oui.

  13. Garcia Dekodia dit :

    C’est un sujet de grande controverse! Dans la période troublée que nous traversons, il y a de grands acteurs, dont vous faites partie, qui n’hésitent pas à dénoncer sans relâche la bêtise et l’intolérance. Dois-je, dores et déjà vous situer dans la hauteur stratosphériques des grands acteurs de demain? Pas si vite me dira-t-on, mais au regard du travail immense que vous faites, on pourrait se le permettre.
    Il y a des réalités avec lesquelles il faut compter, Mr Nkounkou ouvre là une brèche, et permet de revoir toutes les facettes de cette tragédie, peut-être à tord pour certains, à raison pour d’autres; que sais-je? l’avenir nous le dira! Merci cher OYESSI!

  14. VAL DE NANTES , LA DIASPORA ,DÉSORMAIS , DES GILETS JAUNES ANTI SASSOU . dit :

    Comme ,pour renforcer les propos de @DAVID LONDI que les perroquets du clan au pouvoir s’insurgent et baragouinent une fois de plus contre l’auteur de cet article incendiaire sur le caractère machiavélique de ce personnage qui incarne le tombeau des espoirs des congolais de BRAZZA .
    Et ,il se trouve encore ,des malades mentaux qui osent quémander une once d’offrande à ce criminel patenté , sous les fauches caudines d’un dialogue réunissant des esclaves et leur roi SASSOU .

    Chers compatriotes ;

    il est des compatriotes dont la trajectoire intellectuelle est un tonneau des renoncements aux valeurs structurant leur formation , leur dignité et leur intégrité .
    Comment peut on succomber à un délire politique ,lorsqu’on a passé ,plusieurs années en Europe , parfois , à contrecoeur, du fait des politiques publiques initiées au pays ,jugées discriminatoires , inhumaines et tribalistes ?.
    Si , la raison semble financière , il va falloir trouver des ressorts sur place ,pour garder le peu de dignité qui vous reste .
    A t ‘il changé d’un iota la configuration ethnique des postes de haute valeur ajoutée aussi bien civils , militaires que ministériels ??.
    Allez vous dialoguer sur quoi ?.
    De toutes les façons ,à l’image des gilets jaunes ,le temps a passé et nous demandons son départ du pouvoir sans aucune miette de dialogue .
    Nous ,gilets jaunes de la diaspora ,avons faim de remettre ce pays sur les bons rails .
    Que MACRON NOUS PRETE CE CONVOI JAUNE POUR ALLER CHASSER CE SANGSUE DU PALAIS DES PLATEAUX .
    Manger les pâtes , c’est moins cher ,et vous tiendrez face à SASSOU .

  15. LA DESCENTE AUX ENFERS COMMENCE dit :

    Yvon Charles Ondongo
    UN BON OBSERVATEUR DE LA VIE POLITIQUE DU CONGO NE PEUT PAS FAIRE SEMBLANT DE COMPRENDRE CET IDIOT.
    CET IDIOT A FAIT, DEPUIS QU’IL EST AUX AFFAIRES, LE CHOIX QU’EXIGENT SES MAÎTRES.
    SOIT TU TOURNES LE DOS À TES PROCHES, SOIT TU TOURNES LE DOS À TES MAÎTRES.
    SI TU TOURNES LE DOS À TES PROCHES, LES MAÎTRES ASSURENT TES FINANCES ET TA LONGÉVITÉ, TANT PIS POUR VOTRE DÉVELOPPEMENT, SINON C’EST UN DÉVELOPPEMENT SANS LENDEMAIN STABLE. (houphouete, biya, sassou, ngoukouni, abré, eyadema, bokassa, bongo, …..).
    SI TU TOURNES LE DOS AUX MAÎTRES, CES DERNIERS TE DÉGAGENT ET TROUVENT UN AUTRE IDIOT QUI ACCEPTE LE DEAL ( KHRUMA, LUMUMBA, SEKOU, LEON MBA, …..). S’ILS N’Y ARRIVENT PAS À TE FAIRE PARTIR, C’EST LEUR ORGANISATION onu (fmi, banque mondiale, ……) QUI S’EN CHARGE. ET CELLE-CI A UN PROCÉDÉ TRÈS SIMPLE:
    ELLE INSTALLE UN IDIOT OU ELLE INSTALLE UN ÉTAT DE NON DROIT.
    NE FAISANT PAS SEMBLANT.
    C’EST LE REPROCHE QUE JE FAIS À TOUTE LA CLASSE POLITIQUE CONGOLAISE. TOUS CEUX QUI TRAVAILLENT OU ONT TRAVAILLÉ , DE LOIN OU DE PRES, AVEC CE MALHEUREUX IDIOT, LE SAVAIENT.
    VOUS VOYEZ BIEN QUE C’EST UN MANQUE D’ÉDUCATION OU SINON UNE CARENCE DANS CE DOMAINE QUI EST LA BASE DE NOS PROBLÈMES.
    COMMENT DIRE NON À NOS IDIOTS ET À L’ETRANGER MAL ÉDUQUÉ POUR CHOISIR NOTRE MODE DE DÉVELOPPEMENT?
    CONCLUSION : NE PAS DIALOGUER AVEC SES DEUX MONSTRES ET SURTOUT :
    ÉDUCATION, ÉDUCATION, ÉDUCATION, ÉDUCATION, ÉDUCATION, ……………………………..

  16. Anonyme dit :

    Après son départ le nom sassou nguesso doit disparaître totalement de notre environnement (rues, batiments etc… ). Il doit juste subsister pour ce qu’il représente vraiment, comme étant une tare et une tâche sur le pays Congo.

  17. Olembo dit :

    Les mots me manquent car tous déja utilisés par mes predecesseurs, les insultes y compris mais,  » ALLONS SEULEMENT « . Meme Macron qui faisait la geuelle ( monoko ) s’est cassé la gueulle, à plus forte raison, celle puante de cet hoctagenaire????? Excusez moi les fautes car nous au Nord, l’école haaaaaa!!!! Ledza, lé nua, le tonga ndako!!!

  18. RENE MAVOUNGOU PAMBOU dit :

    La pensée que m’inspire cet édifiant texte, tant il apporte des revélations inédites qui font froid dans le dos, c’est que nous avons la confirmation sur le fait que notre cher et beau pays est dans les griffes d’un esprit foncièrement maléfique prônant mordicus une culture de la mort et qui s’est assigné le projet démoniaque de détruire le Congo. Et cela est désormais devenu une réalité avérée. A l’évidence, le Congo est détruit de fond en comble à commencer par la mentalité de ses citoyens. En effet, quand des valeurs ataviques et ontologiques sont littéralement battues en brèche, au point où le congolais est devenu pitoyablement un minable, un simple d’esprit il y a de quoi s’inquiéter quant à l’avenir! Mais on ne saurait occulter le fait que de l’oeuvre criminelle, qu’est cette profonde destruction, dure sera le relèvement du pays; et encore…
    Pathétique!

  19. mwangou dit :

    Enfin! on attendait une telle confession. Il y a bien longtemps que sur ce site, des esprits bien éclairés soutenaient bien la thèse d’un complot du pouvoir contre ce pays. Nous mêmes avons informé sur les attitudes paradoxales des hauts fonctionnaires à l’égard de leurs compatriotes; nous avons même rapporté les propos de certains étrangers sur ce pays: des propos qui sont des points de vue des gens qui nous observent… Si ma mémoire est encore bonne, il me semble que j’avais livré ici en 2015, un témoignage d’un taximan qui m’avait rapporté ce qu’un homme d’affaires italien venu au Congo, lui avait confié: cet homme d’affaires avait rencontré le président, et sorti de son entretien, il se demandait si ce président était vraiment président du Congo?; et dans tous les cas, il n’aimait pas son pays. Puis cet homme d’affaires avait poursuivi en posant une question au taximan : » c’est quoi les laris? le président parlait beaucoup des laris… ». Comme dit Londi, n’est-ce pas là une preuve que ce monsieur n’a sans cesse eu d’antipathie envers le Pool, allant jusqu’à exposer cette antipathie à un étranger?
    Bref!
    Que Dieu entende nos supplications. En chrétien, je suis heureux d’entendre un satanique comme Ndenguet faire référence à la bible, pour signifier qu’il est heureux d’avoir recouvrer sa santé, lui qui n’a jamais voulu que les autres jouissent de leur santé: »Pourquoi cherchez parmi les morts, celui est vivant ». Curieux. Pour un type qui donne la mort avec une facilité déconcertante.

  20. MALANDA et MAHICKA VEULENT REDONNER DES ALLUMETTES A TAKOU NGUESSO dit :

    VOILA L’HOMME AVEC QUI PASCAL MALANDA LE GRIOT DU VILLAGE VEUT DIALOGUER

    Il n’y a pas mieux qu’un Lari-Kongo pour vendre le Pool et partant le Congo tout entier à ceux qui veulent le détruire.
    Sur l’échiquier, les noms sont pléthores.
    – Tous les KOLELAS,
    – MOUNGANY, MVOUBA, NSILOU, HEULOT-MAMPOUYA, MATONDO et bien d’autres ministres ou ex ministres.
    – REVENANT FAUX PASTEUR NTUMI,
    – NZONZI et autres faux opposants de la diaspora

    – Et récemment Hervé MAHICKA et Pascal MALANDA qui sont devenus comme par miracle les plus fervents défenseurs de TAKOU YEZA NDOKI NGUESSO.

    MALANDA ET MAHICKA deux enfants du Pool, médaillés d’or de l’imbécilité des avocats du DIABLE qui a juré « BRULER CETTE TERRE » qu’est le Congo en commençant par le Pool justement.

    Sur quel sujet peut on dialoguer avec quelqu’un dont la seule raison de vivre est de BRULER SON PROPRE PAYS ?

    Peut-être sur quel carburant utiliser ou quelle marque d’allumettes flamber.

    Aaaahhh TRAHISON !

    Chez certains enfants du POOL, l’appât du menu fretin et minables billets de banque l’emporte sur l’HONNEUR qu’on appelle encore le BU MUNTU.

  21. DIALOGUER = DONNER DU FEU A SASSOU POUR MIEUX BRULER LE CONGO dit :

    VOILA L’HOMME AVEC QUI LE GRIOT PASCAL MALANDA VEUT DIALOGUER

    CELUI QUI A JURé METTRE LE FEU A SON PROPRE PAYS… ENFIN S’IL EST CONGOLAIS, CE QUI EST MOINS SUR.

    SUR QUOI PEUT-ON DIALOGUER AVEC UN TEL MONSTRE ?

    SANS DOUTE SUR QUEL CARBURANT UTILISER POUR FLAMBER LE CONGO OU SUR LA MARQUE DES ALLUMETTES A CHOISIR ?

    CERTAINS ENFANTS DU POOL COMME HERVE MAHICKA, HENRI BLAISE NZONZI ET PASCAL MALANDA PENSENT SANS DOUTE QUE TAKOU NGUESSO N’A PAS ASSEZ « BRAISé » le POOL EN PARTICULIER ET LE CONGO EN GENERAL.

  22. LA DESCENTE AUX ENFERS COMMENCE dit :

    VOUS ÊTES DE PLUS EN PLUS NOMBREUX À SUIVRE LES MATCHS DE DEMI-FINALES PASSIONNANTS QUI OPPOSENT DANS LA PREMIÈRE LES DEUX ÉQUIPES DES PANAFRICAINS ET DANS L’AUTRE LES DEUX ÉQUIPES DES PANAFRICONS (JE CITE REMY NGONO).
    NOUS NOUS SOMMES QUITTÉS LA DERNIÈRE FOIS SUR LES SÉANCES DE TIRS AU BUT.
    DANS LA PREMIÈRE DEMI-FINALE, LES PANAFRICAINS (SOUS ENTENDU, LA DIASPORA CONGOLAISE ET LA DIASPORA GABONAISE) ÉTAIENT À ÉGALITÉ. LES DEUX AYANT RATÉ LEUR PREMIER TIR AU BUT CHACUNE.
    LE SCORE SEMBLE AVOIR ÉVOLUÉ. LA DIASPORA GABONAISE PAR L’INTERMÉDIAIRE DE SES ACTIVISTES VIENT DE MARQUER LE DEUXIÈME TIR AU BUT. LA DIASPORA CONGOLAISE A RATÉ SON DEUXIÈME TIR AU BUT. LE JOUEUR CONGOLAIS S’EST AUTO DÉSIGNÉ, ET EVIDEMMENT LA CONSÉQUENCE EST TRÈS LOURDE POUR L’ÉQUIPE CONGOLAISE DES PANAFRICAINS. IL VA FALLOIR SE RESSAISIR, AMIS CONGOLAIS.
    DANS TOUS LES CAS, BRAVO À L’ÉQUIPE GABONAISE, UNE DIASPORA MIEUX ORGANISÉE, ET POURTANT QUI A LES MÊMES PROBLÈMES DE TRAHISON. ELLE DOIT RESTER VIGILANTE EN CE QUI CONCERNE LES PROCHAINS TIRS AU BUT.

    DANS LA DEUXIÈME DEMI-FINALE, CELLE QUI OPPOSE LES PANAFRICONS, LE CONSTAT EST LE MÊME DANS LA MESURE OÙ LE TIREUR GABONAIS, ALI BONGO, COMME SON PRÉDÉCESSEUR OMAR, VIENT DE MARQUER SON PENALTY. DU CÔTE CONGOLAIS, NDENGUET QUI A ÉTÉ DÉSIGNÉ, APRÈS EDITH, TERGIVERSE UN PEU. IL A PEUR DE LA RÉACTION DU PUBLIC CONGOLAIS S’IL N’ARRIVE PAS À LOGER LA BALLE AU FOND DES FILETS. TOUTEFOIS, IL IMPLORE SES FANS PANAFRICONS, VENUS EN MASSE POUR L’ENCOURAGER, DE DEMANDER À DIEU DE LUI DONNER LA FORCE DE RATER SON PENALTY. CE QUI EST SYNONYME DE TIR AU BUT MANQUÉ POUR LES PANAFRICAINS VENUS ESPIONNER LEUR FUTUR ADVERSAIRE. DANS L’ÉQUIPE CONGOLAISE DES PANAFRICONS, ON ENVISAGE MÊME DE CHANGER LE DEUXIÈME TIREUR À LA DERNIÈRE SECONDE.
    GARDER L’ÉCOUTE, ON VOUS ASSURE QUE CES DEMI-FINALES SONT PASSIONNANTES.
    « C’EST PARCE QUE NOUS N’AVONS PAS LA FORCE IMBÉCILE ET QUE NOUS SOMMES BIEN ÉDUQUÉS, QUE NOUS RELATONS CES FAITS. C’EST UNE DE NOS MANIÈRES DE RÉSISTER AUX IDIOTS DE SERVICE, AUX OCCIDENTAUX ET ORIENTAUX MAL ÉDUQUÉS ».

  23. Brice Wenceslas dit :

    DIALOGUER = DONNER DU FEU A SASSOU POUR MIEUX BRULER LE CONGO.
    C’est ça la triste réalité. Et à mon frère le LION (en papier) DE MAKANDA qui non seulement trouve les allumettes pour Sassou mais attise aussi le feu. Les masques sont enfin tombées. J’espère qu »il aura de l’humilié pour se repentir et se mettre sur le droit chemin. On ne dialogue pas avec le DIABLE déterminé à brûler le CONGO.

  24. MORPION DE MATAKOU, VRAI YEZA dit :

    Brice Wenceslas

    Moi je l’appelle LE LION DE MATAKOU ou MORPION DE MAKANDA

    Jamais vu un idiot pareil. Un Mbuta muntu ya zoba. Vrai kizoba !

    Ce vieil idiot de MAKATA, MAKASSA ou LION DE MAKOUANZA est un homme sans honneur qui s’est enfoncé son « BU MUNTU » bien profond au cul ! Déviergé par Takou Nguesso sans vaseline.

    Celui là, comme dit Robert de NIRO a Donald TRUMP,  » si je le croise un jour je lui mets mon poing dans la figure…  »

    Un Faux LION mais vrai CAFARD !

  25. Pierre Boudzoumou-Nganga dit :

    Eh oui, Mwangou, les révélations ou confessions se succèdent aussi tonitruantes les unes que les autres: on a d’abord eu Jax Ekouya, puis le caporal ou sergent Masson avec un lingala tel que je l’entendais chez les pêcheurs de Yoro à Mpila, dans la décennies 60. Et aujourdh’hui Monsieur Ondongo.
    A quand le prochain déballage qui ne fait ni froid ni chaud à monsieur Sassou. La mécanique est bien huilée.

  26. Pascal Malanda dit :

    DIALOGUER = DONNER DU FEU A SASSOU POUR MIEUX BRULER LE CONGO dit :

    « VOILA L’HOMME AVEC QUI LE GRIOT PASCAL MALANDA VEUT DIALOGUER
    CELUI QUI A JURé METTRE LE FEU A SON PROPRE PAYS… ENFIN S’IL EST CONGOLAIS, CE QUI EST MOINS SUR. »

    Très cher frère et compatriote.

    Je ne crois pas avoir une seule fois nié la part (grande ou petite, je refuse de la mesurer, car mesurer c’est juger) de Sassou dans le calvaire que traverse le Congo. Ma démarche n’est peut-être pas la meilleure, elle répond à un choix, elle est basée sur la constance et la cohérence auxquelles j’aspire. J’ai durement été traumatisé par la gratuité de la violence qui a déferlé sur le Congo du 5 juin au 15 octobre 1997 et plus tard lors des différentes guerres du Pool et dans les Pays du Niari. Parti du Congo le cœur brisé, j’ai commencé à chercher à comprendre les raisons de la violence qui ruine notre si beau pays. Ma recherche m’a conduit sur le chemin de la non-violence.

    J’ai suivi beaucoup de formations sur ce thème et suis allé sur les ruines des vieilles et grandes civilisations au Moyen-Orient et en Inde, des rives du Gange aux mystérieux contreforts de l’Himalaya, jusque dans la jungle latino-américaine sur les traces des Mayas et de Incas. Partout, des hommes puissants ont régné, parfois dans la terreur la plus folle et destructrice. Ce qui m’a ému, c’est de voir le destin des œuvres qu’ils ont bâties sur le sang de leurs sujets : des champs de ruines.

    Alors, je me suis tourné vers les « Maîtres des livres » dont l’enseignement est unique et se résume à ceci : « Cherchez le Maître en vous car il demeure en tout homme. Le Divin s’est caché au cœur de chacune de Ses créatures. Mais dans leur ignorance, les hommes se sont mis à chercher Dieu ailleurs. Et certains d’entre eux ont cru utile d’attrister et de décevoir leur Créateur, oubliant qu’Il demeurait toujours en eux malgré leur aveuglément. Retrouvez le Divin en vous et c’est Lui qui vous guidera vers vos frères égarés par la folie de ce monde. Ne désespérez jamais.»
    Notre hymne nous encourage à « Oublier ce qui nous divise et à être plus unis que jamais » Ce n’est pas parce que la paix et l’union en temporairement échoué qu’il faille baisser les bras. L’attitude de chacun d’entre nous face au sort à réserver à Sassou peut nous diviser aujourd’hui, n’oublions pas la puissance force du Congo qui nous unit. Demain, c’est à elle que nous ferons appel pour reconstruire et cela ne pourra se faire sans que tous les enfants du Congo surmontent la haine qui les divise momentanément.

  27. Pascal Malanda dit :

    A VAL DE NANTES, mon frérot de Potal

    En lisant la révélation de notre frère Odongo, j’ai pensé à ce passage d’Osho. Nous avons tous nos petites mouches dans le ventre. Celles de Sassou sont peut-être la croyance qu’il a été humilié par les Congolais lors de la Conférence Nationale Souveraine. S’il y a des gens qui pensent qu’il faut tuer Sassou pour sortir les deux mouches qu’il a dans le ventre, je suis de ceux qui pensent au contraire qu’un bon somnifère suffira largement à l’endormir et à l’aider à se débarrasser de sa souffrance. Soulagé de son mal au réveil, il pourra peut-être s’inspirer de la beauté du geste de Merkel et prendre sa retraite au même moment. J’ai des amis lobbyistes allemands. Je leur demanderai peut-être de dire à Merkel qu’elle aiderait très fortement le Congo et l’Afrique en soufflant à Sassou qu’il y a une vie après les fastes du pouvoir.

    Voici l’extrait du texte :

    « Un jour on m’amena un homme obnubilé par l’idée que deux mouches s’étaient introduites dans son estomac alors qu’il dormait la bouche ouverte. Elles n’arrêtaient pas d’y tourner en rond. Que pourraient-elles y faire d’autre ?! Il était terriblement inquiet, s’agitait sans cesse, se tâtait à gauche, à droite en disant : « Elles étaient par ici et les voilà maintenant de l’autre côté ! » Il était au bord de la folie.
    Aucun des nombreux médecins qu’il avait consultés ne l’avait soulagé. Tous lui avaient dit en riant : « Ce n’est que votre imagination. » Mais dire à quelqu’un que sa douleur est imaginaire ne lui est pas d’un grand secours, car il la ressent. Pour vous, elle est peut-être imaginaire, mais pour lui, qu’elle le soit ou non, il n’en souffre pas moins. Le qualificatif que vous donnez à son mal lui importe peu.

    Je lui palpai l’estomac et déclarai : « Oui, elles sont bien là. » Il fut ravi, me toucha les pieds et dit : « Vous êtes le seul ! J’ai consulté de nombreux médecins ayurvédiques, allopathes, homéopathes…tous des fous ! Ils n’ont cessé de répéter la même chose. Si vous n’avez aucun remède, leur ai-je dit, avouez-le simplement ! Pourquoi continuez-vous à prétendre que j’invente ? Maintenant vous voici. Voyez-vous ces bestioles ? » – « Je les vois parfaitement, elles sont là, dis-je. Je soigne ce genre d’affection. Vous êtes venu chez la personne qu’il fallait. C’est ma profession : je résous les problèmes qui n’existent pas réellement. Je suis un expert en la matière. »
    J’ajoutais : « Couchez-vous et fermez les yeux. Je vais vous débarrasser de ces mouches. Ouvrez la bouche, je vais les attirer, grâce à un mantra secret. » Très heureux, il constata : « Voilà comment il faut procéder ! » Je lui bandai les yeux et il resta étendu, la bouche ouverte, tout content, attendant la sortie des intruses. Je me précipitai pour trouver deux mouches. Ce fut malaisé, car je n’en avais jamais attrapé auparavant. J’y réussi cependant. Quand il rouvrit les yeux et vit les deux insectes dans la bouteille, il me dit : « Maintenant, donnez-moi cette bouteille. Je vais aller trouver ces idiots. » Il allait parfaitement bien. Il est vraiment très difficile d’aider des gens pareils, parce que vous savez que leur problème est totalement imaginaire. »
    Page 28

    Osho Rajneesh : « Le sutra du diamant » Edition, Le voyage Intérieur

  28. Anonyme dit :

    Pascal Malanda dit:
    « Je ne crois pas avoir une seule fois nié la part (grande ou petite, je refuse de la mesurer, car mesurer c’est juger) de Sassou dans le calvaire que traverse le Congo. »

    Vous vous foutez du monde, vous ne savez pas mesurer la part de sassou dans le malheur du Congo? mais QUI, mr Malanda détient tous les pouvoirs au pays, QUI a le droit de vie ou de mort sur la population, QUI a pillé avec toute sa famille le trésor publique., QUI corrompt à tout va autour de lui. Un seul mot de sa part et tout pourrait s’arranger.
    Citez moi les réalisations positives que sassou a fait depuis toutes ces années avec tout l’argent dont il disposait , rien ne fonctionne dans ce pays, voir ce qui existait n’est plus entretenue et est complètement délabré, Mais de quel pays imaginaire parlez vous Mr Malanda???

    Que vous a fait sassou pour que vous ayez autant de compassion envers ce tyran qui lui en a aucune pour la population qui souffre. Votre acharnement à le défendre et lui trouver des circonstances atténuantes ne vous grandit pas.

  29. CERTAINS CONS-GO-LAIDS AIMENT SE FAIRE METTRE dit :

    A mon frère ANONYME

    La seule question qu’on devrait se poser est celle de savoir si notre frère MALANDA n’a pas pété un cable.

    Ce type est-il encore normal ? J’en doute fort.

    Takou Nguesso a juré qu’il ne quittera jamais le pouvoir sans avoir cramé le Congo tout entier… ce qu’il a fait du reste durant toutes ces années et le griot ou chantre MALANDA lui trouve encore des vertus d’interlocuteur.

    C’est à se demander si Takou lui intimait l’ordre de se pencher pour abuser de son derrière sans vaseline s’il ne s’empresserait pas de baisser sa culotte pour se faire mettre.

    Le Morpion de MAKANDA, la merde MAKOME et le morveux MAHICKA et autres lui ont sans doute balisé la voie de la trahison.

    Professeur ès stratégie politico-Jésus-Christique-Pardonnalis nous explique en étalant tout son savoir : QU’ON PEUT DIALOGUER AVEC TAKOU NGUESSO QUI NE VEUT PAS, MAIS ALORS PAS DU TOUT DIALOGUER, MAIS VOUS IMPOSER SON MONOLOGUE A COUP DE BALLES DANS LE VENTRE, DE MATRAQUE SUR LE CRANE, DE POISON OU DE BILLETS DE BANQUE.

    QUESTIONS :

    – Comment peut on dialoguer avec quelqu’un qui a juré de brûler tout un pays avant de quitter le pouvoir ?
    – Comment peut on dialoguer avec Takou NGUESSO qui ne sera jamais PRESENT lors des simulacres et supercheries de dialogue ?

    Cela me rappelle la fameuse phrase imputée à tort ou à raison aux Curés catholiques d’antan qui la prononçait en latin pour que les fidèles moutons Con-golais ne comprennent pas en disant : COURBEZ VOUS POUR QUE JE VOUS COUILLONNE et les fidèles répondaient AMEN ou AMENE (ton braquemard).

    A lire toutes les conneries (je n’ai pas trouvé d’autres mots plus adaptés) qu’écrit MALANDA sur les vertus cardinales du Dictatueur comme interlocuteur, nous pouvons donc penser à juste titre que Mr le Professeur MALANDA a déjà son billet dans la poche pour le fameux DIALOGUE des vendus… dont certains risquent de finir pendus pour avoir jadis copieusement vilipendé, insulté, souillé et traîné dans la boue le brusquement vertueux Takou Nguesso.

    TOUS CEUX QUI AIMENT SE FAIRE METTRE, SE FERONT METTRE PAS LE HITLER DES MARECAGES D’OYO.

    Et dans quelques mois nous leur demanderont où ils en sont des ….. déculottées et défoncement sodo-masochistes

    QUE PERSONNE NE VIENNE PLEURNICHER DE DOULEUR APRES ENCULAGE !

  30. VIVEMENT LA FIN DU GOULAG dit :

    SELON UN ANCIEN MINISTRE FRANÇAIS « LE PÉTROLE ET L’URANIUM FRANÇAIS PROVIENNENT A 90% DE LA CONTRE-BANDE DU GROUPE PÉTROLIER TOTAL ET D’AREVA EN AFRIQUE NOIRE. ALORS POURQUOI TANT DE TAXE EN FRANCE SUR CES ENERGIES VOLÉES A L’AFRIQUE? » : https://www.youtube.com/watch?v=UIFYfMApT2U&feature=youtu.be

  31. Anonyme dit :

    Chers Résistants Congolais, méfiez vous de ce soi-disant intello, pascal malanda… Je ne sais d’où ???

  32. VAL DE NANTES dit :

    La politique d’invisibilisation de la France à l’égard du CONGO répond à une logique purement économique .
    Macron doit certainement peaufiner une redynamisation coloniale de son emprise sur ces Etâts dont les dirigeants ne sont que des sous préfets de la vieille colonie .
    Les mesures fiscales ,supprimées en France à l’occasion de l’éruption des gilets jaunes ,feront des victimes en A FRIQUE , notamment au CONGO , où SASSOU est prêt à y céder ,pour des raisons que vous aurez devinées facilement .
    Ainsi ,va la puissance de la FRANCE .
    Pour répliquer à MALANDA ;
    Je suis le produit de la déception ineffaçable du comportement politiquement irrationnel que SASSOU a imprimé au pays ,depuis son retour au pouvoir .
    Bien que je fusse l’un de ceux ,qui avait applaudi sa prise de pouvoir au détriment de YOMBI dont on accusa de gaspillage des finances finances ,je dois à la vérité de dire que cet homme a brisé l’ascenseur social ,lequel permettait de tirer vers le haut nombre des familles qui avaient misé sur leurs fils pour un mieux vivre .
    Cher ,MALANDA ,
    Connais tu , un restaurant chic à l’époque de NGOUABI au nom de la PERGOLA ?
    Si ,je ne m’abuse , ce restaurant était situé derrière la maison de MPILA DE SASSOU .Ce lieu de prestige rassemblait la fine fleur de la société congolaise .
    Nous voyions des voitures d’où descendaient des grands parfumés et bien tirés à quatre épingles et bien accompagnés des dames aux fesses (lissoko ) soigneusement rebondies .C’était ,le graal social .
    BA GRANDS BATA GA NA POTO ..
    Petits , nous préparons nos brevets de collège ,sous les lampadaires de ces lieux ,avec la promesse de les remplacer un jour .
    E H ,BIEN ;MON CHER FREROT , DIEU seul sait ,si je n’ai pas étudié .Je me retrouve bloqué en EUROPE à cause des politiques publiques inhumaines inappropriées et à l’épanouissement personnel et au développement de notre pays . .
    J’aurai voulu partager ce bonheur avec les miens au pays , plutôt que de les partager en EUROPE avec des inconnus .
    Ma proximité de lieu de vie de l’époque aurait voulu que je lui trouve des circonstances atténuantes ,mais le seuil de l’intolérance sociale a été franchi.
    D’où , en conclusion ,mon rejet , j’aurai pu faire comme vous ,

  33. ANONYME dit :

    Si l’article ci-haut pouvait servir de base à l’écriture d’un ouvrage exhaustif, à publier soit chez Flammarion ou encore aux éditions l’Harmattan, cela profiterait à tous les congolais désireux de connaître la vraie vérité de l’histoire. De plus, ça permettra l’ouverture d’un débat dépassionné, à propos de divers sujets politiques d’actualité qui défrayent la chronique. Chacun pourra ainsi apporter son opinion libre et démocratique, sans polémique crifiènne, bien évidemment. Il est important pour les cadres, les intellectuels sérieux et autres d’écrire, sur leur expérience réelle. Certes l’informatique et surtout l’Internet sont entrain de rendre le papier obsolète, mais le livre a encore de l’avenir.

  34. Val de Nantes dit :

    Lire .Nous y voyions des voitures. J’avoue ne pas être un homme des lettres , ce dont je m’honore ,mais je damne le pion á ceux qui s’en réclament sur ce site .

  35. Val de Nantes dit :

    Lire . Dame .

  36. Olrmbo dit :

    @Garcia DEKODIA

    Tu écris Bien et analyse meme tres bien la situation socio-écq de notre pays. Je veux juste te rappeller ou dire que Sassou ne parle pas la langue de Shakespeare. Je ne connais aussi personne autout de lui qui soit diplomé d’aucune Université du monde rn Langue Anglaise. Parler l’Anglais ici ne serait ce charabia que l’on deverse lors des voyages fabriqués en terre étranger devant les cameras. Ce n’est pas cela parler l’Anglais. Les Moungala sont des « NULS » qui impressionnent Sassou et ses copains comme les Pierre Moussa, les Florents Tsiba et autres. Meme Marien Ngouabi nr pouvait etre impressionné par Ndoundou, sauf qur Oui, pour un ndoundou, Il se debrouille bien mais si Hitler en avait voulu aux Juifs, Moi je brulerai tous les ndoudou. Bref, revenons sur l’Anglais. Etre natif d’un pays francophone et etre Doctor en Anglais et pouvoir s’exprimer en cette langue et convaincre son auditoire est bien signe et grace d’intelligence, de savoir faire et donc de compétence et le Congo ne compte pas beaucoup d’érudits en la matière. Je ne parle pas de ceux qui non seulement ont un français tres approximatif mais aussi l’Anglais comme le chinois, comprenne qui pourra…
    Si nous étions colonisé par les Anglais, sûr que nous serions déjà tres loin dans notre developpement. Regarde bien autour de toi, aussi bien des Acteurs mais aussi des Etats.
    Enfin, je dire en terminant, que nous avons un problème essentiel: la libération du Congo de toute la vermine qui arpente le pays mais n’allons pas provoquer les  » Anglicistes  » qui se battent ensemble avec la Diaspora.

    Au fait, vous connaissez la femme Abia Ango Louise Toula. Cherchez et dites moi but don’t get pissed off ok?.

    Thanks and regards

    Olembo.

  37. Pascal Malanda dit :

    Cher frérot de Potal

    Oui, je connais bien le Pergola, même s’il n’a jamais été une référence pour moi. Mon enfance à l’éducation quasi-calviniste me retenait loin de ces lieux. Même si je respectais ceux qui y étaient abonnés, mes valeurs étaient aux antipodes. J’ai souvent évoqué ici-même un événement marquant de mon existence : Enfant, j’étais déjà admirateur de Massambat-Débat dont la piété était légendaire. Admiration née de cette matinée ensoleillée de 1966 où j’eus l’occasion de voir descendre le président de sa Peugeot 404 noire au temple protestant de Mayangui à Moungali. J’avais 6 ans et l’image est imprimée dans ma mémoire. 31 ans plus tard, peut avant les événements du 5 juin 1997, j’ai rencontré un des confesseurs de Massambat-Débat. Il nous raconta les séances de prières avec le président. Je retiens une des phrases de son récit : « Massambat-Débat était avide de prières. Il pouvait rester des heures d’affilée à genou, plongé dans la prière, demandant à Dieu de l’aider dans sa lourde mission. »

    Sous Massambat-Débat, le Congo avait fait un énorme bond économique en 5 ans. Le pays était sur la voie de l’industrialisation, l’économie était diversifiée, les finances étaient gérées de façon rigoureuse, le reste des frais de mission était reversé au trésor. Y a-t-il un lien entre la piété du magistrat suprême et la prospérité de la nation ? Nombreux sont les Congolais nostalgiques de cet âge d’or, même si sous le règne de Débat, les premiers signes de dérives étaient déjà apparus : les tueurs Mabouaka, Ngayo, etc., l’assassinat de Pouabou, Matsokota et Mansouémé, la terreur de la Défense Civile…

    Ce que Massambat-Débat a fait en 5 ans avec des moyens très limités, on pourrait le réaliser en 3 ans avec les moyens colossaux dont dispose le pays aujourd’hui. Sans oublier les immenses ressources humaines nationales disséminées à travers la planète et qui comme toi, VAL DE NANTES, ne demandent qu’une chose : apporter leur contribution à l’émergence du pays.

    Sassou a sa part de responsabilités dans nos malheurs. Je persiste à ne pas vouloir en évaluer la teneur, car à quoi m’avancerai cette information ? Je n’empêche personne de s’y atteler. Ma priorité est ailleurs : la reconstruction du pays. Pour y parvenir, mon souhait est qu’en jetant la pierre sur Sassou, comme dit Jésus, nous n’oublions pas de nous mirer dans notre part de responsabilité aussi infime soit-elle. C’est à ce prix peut-être que nous comprendrons à quel moment les choses ont dérapé pour déboucher sur l’impasse actuelle.

    Un dialogue peut échouer ou réussir, alors pourquoi toute cette commotion?

    Dialoguer c’est ouvrir un champ des possibles. Et dans cet immense champ, l’impossibilité est aussi une possibilité. Le succès d’un dialogue visant à sortir d’un conflit n’est pas garanti, mais si les Yéménites négocient aujourd’hui à Oslo pendant que leur pays est encore à feu et à sang, que de nombreux cadavres fumants ne sont pas encore enterrés et que des milliers de personnes vont encore mourir ; sommes-nous moins rationnels que les Yéménites ?

    Quand un conflit s’enlise, la sagesse recommande de négocier pour épargner des souffrances inutiles au peuple. Le pouvoir congolais est embourbé depuis 2014-2015 dans une grave crise politico-institutionnelle doublée d’un effondrement économique et financier. De son côté, l’opposition n’a pas encore réussi à établir un rapport de force favorable à une alternance. D’un côté on se dit: Tenons encore un peu, le gros de l’orage est déjà passé. De l’autre, le raisonnement est le suivant: Encore un peu et le régime va s’effondrer, miné par la mauvaise gouvernance et les divisions qui le fragilisent. Dieu seul sait combien de temps va durer le statuquo et surtout combien de victimes collatérales tomberont encore entre-temps ?

  38. Anonyme dit :

    « Sassou a sa part de responsabilités dans nos malheurs »
    Si sassou a sa part, comme vous le dites, les autres part sont à attribuer à QUI ???

    Mais dites nous ce qu’a fait ce tyran pour le pays et la population durant toutes ces années de règne. Ce n’est pas seulement une mauvaise gouvernance mais un pillage en règle du pays.
    Certain dictateur Africain comme Kagamé au rwanda ont eux au moins le mérite d’avoir créé des choses positives pour leur pays alors que sassou c’est contenté de piller le Congo pour son seul intérêt. A ce niveau ce n’est pas de la politique mais un braquage en règle par une bande de mafieux. On ne dialogue pas avec des truands.
    ;

  39. Passy dit :

    Le Mal est encore vivant? Merde ! Quelle poisse pour le peuple souverain !

  40. Willy Makambo dit :

    Si ça vous console de gerber ainsi sur ce monsieur et son équipe, c’est votre problème. Il paraît que ce qui est et que nous croyons se trouver à l’extérieur de nous n’est que subjectif, tout se passe dans notre tête. Sassou a créé un système qui marche pour lui et sa famille et tous les véreux moins talentueux qui auraient pu mourir pauvres. Ce qu’il nous faut, c’est de penser à un autre système pour le remplacer. Réagir à ce qu’il fait d’horripilant, c’est adhérer à son système, qu’on l’approuve ou pas, c’est valider son existence, en même temps ses actes. Il vaut mieux ignorer et proposer des idées pour un système de remplacement. C’est pourquoi, quand je vois ce genre d’article, je ne lis que le titre. Amen ou peut-être Abuuh? Pya!
    Imaginons un pays sans ce monsieur. Que ferons-nous de ce pays? Certains d’entre nous ont 30 ans, d’autres plus de 50 ans. Ce morceau de terre dans un coin du globe terrestre est un héritage laissé par nos parents. Quand à notre tour nous allons les retrouver, que leur dirions-Nous? Que nous avons passé notre temps à gerber sur un monsieur qui a happé les gens dans ses rêves?

  41. val de Nantes dit :

    Dialoguer ,c’est signer un nouveau loyer à ce criminel toutes categories.
    Il est des moments où la rigueur morale doit l’emporter Sur des postures irrationnelles .
    Voler une présidentielle n’est pas négociable.

  42. Pascal Malanda dit :

    Anonyme dit :
    09/12/2018 à 00:25

    « Si sassou a sa part, comme vous le dites, les autres part sont à attribuer à QUI ??? »
    Les autres parts sont à attribuer à tous les Congolais et étrangers qui ont soutenu le retour de Sassou en 1997. Et ils sont nombreux, même s’ils se cachent et rasent les murs aujourd’hui.

    Cher anonyme, soyez honnête, regardez-vous dans le miroir de votre âme et demandez-vous, si vous n’avez pas soutenu le retour de Sassou pour damer le pion à ces Niboleks qui vous avaient « volé » la victoire en 1992 et avaient géré le pays de façon « hasardeuse ». Je n’affirme rien, c’est une hypothèse que j’avance. Si vous me prouvez le contraire, je serai très ravi.

    Sassou ne serait jamais revenu au pouvoir en 1997 sans le soutien de nombreux Congolais du nord (la grande majorité) et du sud (les déçus de Lissouba). Sassou ne serait jamais revenu au pouvoir sans l’aide militaire et financière d’Elf-Aquitaine. Sassou ne serait jamais arrivé au pouvoir sans le soutien politique de Chirac qui fit entrer l’Angola dans la danse, soit disant pour abréger la souffrance du peuple congolais.
    Ayons parfois le courage de reconnaître que nous nous sommes trompés. Nos intransigeances, nos extrémismes, nos compromissions etc., ne sont-ils pas à la base de notre échec national ?

    Sassou est un homme fini qui a largement échoué à moderniser le Congo. Les faits sont patents, qui peut oser les nier ? La grande question aujourd’hui n’est pas « quand » mais « comment » Sassou quittera le pouvoir. Et en la matière, il y a, à mon humble avis, trois hypothèses dont une seule se réalisera :
    1. Sassou meurt de sa propre mort, laissant la porte ouverte à une succession houleuse avec possibilité de guerre civile, mais aussi de consensus national.

    2. Sassou, ayant raté sa sortie par la grande porte en 2016, négocie sa sortie par la petite porte de service en refusant de se représenter en 2021 et travaillant à se trouver un successeur consensuel dans son propre camp (chose quasi impossible) ou à préparer des élections présidentielles libres et transparentes : que le meilleur gagne !

    3. Sassou persiste à bricoler des dialogues sans consistance (genre Ewo, Dolisie, Sibiti) dans l’espoir de gagner du temps. Dans ce dernier cas de figure, la probabilité d’une chute brutale et douloureuse ne fera qu’augmenter avec le temps. L’insurrection populaire ou une mutinerie de l’armée sont les variantes les plus probables au vu de la situation explosive actuelle sur le plan socio-économique. Les gilets jaunes français qui ont surpris tout le monde peuvent inspirer les Congolais à court d’imagination.

    Pour ma part, l’hypothèse n° 2 est de loin la meilleure. Elle correspond à ma vision des choses depuis le début de la crise en 2014 : Une sortie négociée en évitant les erreurs de la Conférence Nationale Souveraine. C’est sous cet angle que j’entrevois le dialogue proposé dans la diaspora. Il va sans dire que je n’hésiterai à aucun moment à me désengager du processus si dans les préalables d’un tel dialogue, un minimum de bon sens n’est pas atteint. Je n’apporterai pas ma caution à un dialogue si ce dernier sent l’escroquerie nationale à mille lieues. L’erreur étant humaine, je n’ai pas peur de me tromper, car seuls ceux qui ne font rien ne courent aucun risque de se tromper, confortablement assis sur les gradins en train de critiquer la maladresse de ceux qui mouillent le maillot sur le terrain.

    Vrai dialogue des coeurs? Oui! Faux dialogue-mascarade? Non!

  43. Anonyme dit :

    Personnellement je n’étais pas partisan de cette opération de lavement des mains car tout ce qui vient de l’église et des religions je m’en méfie comme de la peste, d’ailleurs ce qui ce passe dans le monde nous le démontre tous les jours, la plus part des atrocités le sont au nom de la religion.
    Mais ce n’est parce que la population Congolaise c’est fait avoir il y une vingtaine d’année qu’il faut reporter le pillage systématique du pays sur l’ensemble de la population. Personne n’a demandé à sassou d’être un dictateur et de détruire le pays, il a fait ce choix, donc il doit l’assumer aujourd’hui. Un dialogue quel qu’il soit aurait pour effet de lui apporter un bol d’air pour redorer son image, un simple selfie de plus à vendre à la communauté internationale.

  44. Pascal Malanda dit :

    •Anonyme dit :
    09/12/2018 à 19:34

    « Personnellement je n’étais pas partisan de cette opération de lavement des mains car tout ce qui vient de l’église et des religions je m’en méfie comme de la peste, d’ailleurs ce qui ce passe dans le monde nous le démontre tous les jours, la plus part des atrocités le sont au nom de la religion. »

    Cher Anonyme

    Je suppose que vous êtes le même anonyme qui m’avait interpellé sur les responsabilités des autres.

    La difficulté avec l’anonymat, c’est qu’on ne sait pas si c’est le même avec lequel on échange. Si c’est vous, alors je dirai que vous n’avez pas du tout répondu au fait que vous avez, oui ou non, soutenu le retour de Sassou. Il y a beaucoup de gens qui étaient contre la cérémonie de lavement de mains initiée par Monseigneur Nkombo, mais qui n’ont pas hésité à soutenir le retour de Sassou.
    Concernant les religions, vous avez partiellement raison car la religion a souvent été au cœur de nombreuses souffrances humaines. Ce n’est cependant pas une raison suffisante pour nier l’apport positif de l’église dans certains cas particuliers. Les évêques de Kinshasa ont joué un rôle important dans les accords de la Saint-Sylvestre qui vont peut-être aider la RDC à sortir de l’ère Kabila. Desmond Tutu a montré qu’on pouvait vaincre l’impunité sans tomber dans la chasse aux sorcières.

    La cérémonie de lavement des mains proposée par Monseigneur Nkombo n’est pas responsable de nos malheurs qui se trouvent ailleurs, dans notre propension à ne jamais respecter ce que nous avons signé librement. Et même quand Sassou a dit « Plus jamais ça », cela a-t-il empêché le pays de vivre une nième guerre du Pool ?

    Sassou peut mourir de sa propre mort ou assassiné au cours d’une opération violente, le problème de l’après-Sassou demeure entier : notre incapacité à respecter la parole donnée. Tant que la mauvaise foi, les changements impromptus d’alliance, la versatilité politique etc. resteront au cœur de notre démarche socio-politique, la disparition de Sassou diminuera peut-être l’intensité des maux que nous vivons aujourd’hui, mais nous devrons faire ensemble l’effort de les surmonter.

    « Mais ce n’est parce que la population Congolaise c’est fait avoir il y une vingtaine d’année qu’il faut reporter le pillage systématique du pays sur l’ensemble de la population. »

    Je vous trouve trop indulgent à l’égard du peuple congolais. La sagesse affirme que chaque peuple a les dirigeants qu’il mérite. Le Congo mérite bien Sassou. En dehors de Sassou, aucun président n’a fini son mandat : Lissouba (5ans) n’a pas passé le pouvoir à son successeur et se trouve depuis en exil, Yhombi (2 ans) a démissionné et a subi 11 ans de prison, Ngouabi (9ans) a été assassiné dans son palais en pleine journée, Massambat-Débat (5ans) a démissionné avant de se faire assassiner (à ce jour, il n’a même pas de tombe). Youlou (3ans) a été chassé aux cris de « Youlou a tout volé ». Chaque fois, le peuple était à la manœuvre, même si l’élite politique tirait les ficelles.
    Seul Sassou a battu tous les records. Un mandat de 13 ans suivi d’un deuxième qui dure déjà 21 ans. Les 34 ans de pouvoir de Sassou sont supérieurs à la somme du temps passé par les 5 autres présidents au pouvoir : 3+5+9+2+5 = 24 ans La question qui vient à l’esprit est la suivante : Qu’est-ce qui justifie cette longévité exceptionnelle dans cette lignée de règnes éphémères? Mon ébauche de réponse est simple : Le peuple congolais a une impatience insupportable à l’égard des bâtisseurs et une tolérance incompréhensible à l’égard des autres.

    « Personne n’a demandé à sassou d’être un dictateur et de détruire le pays, il a fait ce choix, donc il doit l’assumer aujourd’hui. »
    Il y a des peuples masochistes qui ont besoin de pouvoirs étouffant qui les dirigent à la baïonnette. Ayons le courage d’assumer nos agissements. Quand un peuple chasse Youlou en l’accusant d’avoir tout volé et se tait quand 20 milliards de dollars disparaissent par enchantement des caisses de l’Etat, il y a, à mon humble avis, un véritable problème anthropologique.

    « Un dialogue quel qu’il soit aurait pour effet de lui apporter un bol d’air pour redorer son image, un simple selfie de plus à vendre à la communauté internationale. »

    Sassou a-t-il eu besoin d’un dialogue pour faire des selfies avec Macron à Erevan ? Notre fixation sur la personne de Sassou nous empêche de voir l’intérêt supérieur du Congo. Nous sommes en face d’un régime dont l’échec est exposé à la face du monde. Les premiers à en constater les dégâts et à en subir les menaces d’effondrements sont les collaborateurs de Sassou qui ont exprimé au procès de Dabira, ce qui se dit en coulisse : « Quel avenir pour les Mbochis » ? Il y a des gens qui ont commis tellement de mal au Congo, qu’ils ont raison de soucier de leur avenir dans ce pays, s’ils ne sont plus aux affaires. D’où leur illusion et leur utopie de croire que seul le pouvoir les protègera. Non, ce qui les protègera, c’est la repentance, la justice et surtout la réconciliation. Quel meilleur moyen d’y parvenir sinon le vrai dialogue des cœurs ?

  45. Anonyme dit :

    Cher Malanda ,

    Vous avez raison à 99% pour ce qui est du dialogue comme option pour résoudre les maux et fléaux qui détruisent le Congo. Mais sassou dénis n’est pas le bon interlocuteur avec qui dialoguer. Ce monsieur n’a aucune volonté de dialoguer; s’il l’avait , c’est depuis longtemps qu’il aurait établi ce dialogue.

    Par ailleurs, dialoguer pourquoi et quoi?

    Le dialogue est une forme de contrat entre les interlocuteurs. À la base du contrat, il y a la volonté des parties . Sans cette volonté , le contrat ne peut être signé. Si une partie force le contrat , celui-ci peut être annulé pour vice. Or, le dialogue que dénis Sassou veut est déjà vicié vu qu’il a besoin d’oxygène pour son régime à bout de souffle et de crédibilité.

    dénis Sassou est l’incarnation de l’échec sur terre. Pourquoi s’attacher à un loser . Peut-être qu’au Congo les losers nés représentent ce que le reste du monde appele les cracks.

    Non! Nous devons arrêter de nous satisfaire de la médiocrité et de ceux qui l’incarnent.

  46. LA DESCENTE AUX ENFERS COMMENCE dit :

    Willy Makombo a tout dit.  » Quand je vois ce genre d’articles, je ne lis que le titre »

  47. Pascal Malanda dit :

    Cher Anonyme :
    Vous dites :

    « Mais sassou dénis n’est pas le bon interlocuteur avec qui dialoguer. »

    Quand un conflit éclate, les protagonistes sont loin d’être des personnes qui s’aiment. Si un dialogue s’impose, c’est souvent entre personnes qui se détestent mais qui sont contraintes au dialogue pour éviter le pire.

    « Ce monsieur n’a aucune volonté de dialoguer; s’il l’avait , c’est depuis longtemps qu’il aurait établi ce dialogue. »

    A force de l’affirmer, vous le confortez dans sa position. Un protagoniste qui ne veut pas de dialogue fait tout pour créer des conditions où ce dernier est très difficile à mener, ou s’il est mené, qu’il tourne à son avantage : Ewo, Dolisie, Sibiti. Une opposition responsable se donne les moyens de sa politique. Si c’est la guerre, elle s’y engage à fond, si c’est la négociation, elle s’y arme en défendant son calendrier. Apparemment, notre opposition semble choisir le pourrissement par lassitude ; c’est aussi une stratégie, sauf qu’elle vous prive de manettes pour agir. Vous êtes presque réduits à des spectateurs.

    « Or, le dialogue que dénis Sassou veut est déjà vicié vu qu’il a besoin d’oxygène pour son régime à bout de souffle et de crédibilité. »
    J’espère que vous constatez la contradiction. Sassou a besoin d’oxygène ? Cela veut dire que c’est lui qui étouffe. Il suffit alors de lui montrer qu’il n’y aura de négociation que contre une certaine contrepartie. Exemple, « tu as besoin de dialogue pour desserrer l’étau du fmi ? voici nos conditions…C’est ce qu’on appelle une négociation « win-win » c’est-à-dire « gagnant-gagnant ». Sassou a habitué son opposition à des négociations « gagnant-perdant ». La négociation est un art très exigeant qui s’apprend. Y aller en amateurs, c’est s’assurer d’un échec inéluctable. Refuser une négociation, c’est avouer d’avance son incapacité à la faire aboutir à un résultat « win-win »

    « dénis Sassou est l’incarnation de l’échec sur terre. Pourquoi s’attacher à un loser . Peut-être qu’au Congo les losers nés représentent ce que le reste du monde appele les cracks. »

    Croyez-vous sincèrement que ce genre de déclarations disposent la partie inverse à la négociation ?

  48. mwangou dit :

    @ P. Malanda: « Seul Sassou a battu tous les records. Un mandat de 13 ans suivi d’un deuxième qui dure déjà 21 ans. Les 34 ans de pouvoir de Sassou sont supérieurs à la somme du temps passé par les 5 autres présidents au pouvoir : 3+5+9+2+5 = 24 ans La question qui vient à l’esprit est la suivante : Qu’est-ce qui justifie cette longévité exceptionnelle dans cette lignée de règnes éphémères? Mon ébauche de réponse est simple : Le peuple congolais a une impatience insupportable à l’égard des bâtisseurs et une tolérance incompréhensible à l’égard des autres. ».
    Vous avez crevé l’abcès. Dans le passé j’ai souvent souligné cet aspect. Quand on habite Brazzaville par exemple, si on ne fait pas ce constat, c’est qu’on ne veut pas que les choses changent. j’ai toujours affirmé ici que le peuple congolais avait sa part de responsabilité. On ne va pas chercher dans l’analyse sociologique pour en faire une meilleure démonstration. Ceci étant, ceux qui ont la possibilité de scruter d’autres horizons, ont la charge d’aider le peuple à modifier son comportement. Encore qu’il faille circonscrire dans ce cas bien précis du Congo, les limites de ce peuple; il m’est déjà venu à l’esprit de renier ce concept, suggérant qu’il fallait se rapprocher de la réalité qui se trouve dans « les peuples ». Du reste, nous sommes nombreux à admettre l’usage du mot le plus descriptif du pouvoir de sassou nguesso: ‘ethnisation, ethnisme, ethnie’.

  49. Pascal Malanda dit :

    mwangou dit :

    « Dans le passé j’ai souvent souligné cet aspect. Quand on habite Brazzaville par exemple, si on ne fait pas ce constat, c’est qu’on ne veut pas que les choses changent. j’ai toujours affirmé ici que le peuple congolais avait sa part de responsabilité. »

    Oui, cher Mwangou, soyons plus nombreux à souligner et dénoncer l’incohérence du peuple congolais face à son destin afin de mieux préparer l’après-Sassou, sinon le réveil sera très difficile. L’incohérence du peuple congolais réside dans le fait que le vote étant tribal et qu’aucune ethnie ne pouvant réussir à obtenir 50% de voix à elle-seule, la tentation est très forte de privilégier des régimes brutaux. A la démocratie qui fait la sélection par le haut, donc par la compétence, la majorité des Congolais préfèrent la brutalité qui impose la médiocrité et le nivellement par le bas.

    Si nous sommes incapables de respecter les contraintes démocratiques qui imposent des négociations constantes, acceptons celles de l’autocratie en évitant au peuple des souffrances inutiles.

  50. CD JUMEAU dit :

    Bonjour cher peuple qui se bat pour la liberté!

    Quand on voit l’abominable SASSOU NGUESSO Denis et toutes les casseroles puantes qu’il traîne derrière-lui, on se demande comment certains de nos intellectuels peuvent penser appeler à un dialoguer avec un tel barbare?

    Il est triste de constater que tous les efforts de certaines personnes ici, j’ai cité par exemple MALANDA et SATHOUD, constituent, non seulement à faire la promotion de SASSOU NGUESSO Denis (chef terroriste 77 ans et demi) mais aussi, à le légitimer comme si, il serait le grand gagnant de la dernière élection presidentielle au Congo. Messieurs, comment osez-vous proposer un dialogue sous la supervision d’un USURPATEUR, un GRAND CRIMINEL? C’est lui l’assassin au centre de tous les massacres dans le Pool et partout ailleurs dans le pays (utilisant des moyens de l’état), c’est lui l’auteur de la tuerie du Beach de Brazzaville, c’est lui le barbare qui avait orchestré les assassinats d’un chef d’état en exercice, d’un ancien président de la république et l’enterrement d’un cardinal vivant, c’est lui qui à mit notre pays par terre… et, alors qu’ il est aujourd’hui au bord du précipice en attendant qu’il chute de très haut, vous, vous voulez le sortir du gouffre et le ré-blanchir en reproduisant, bien-sûr, l’erreur MONUMENTALE de NKOMBO?
    Vous voulez nous vendre SASSOU NGUESSO Denis comme un progressiste tolérant, un homme de paix et de dialogue, mais en réalité, c’est vous même qui vous vendez à cet abominable personnage. J’ai lu vos publications, cher Messieurs, mais c’était à VOMIR. Vraiment, tiari tia tingui!

    Le peuple « non-guirisé » vaincra!

  51. LA DESCENTE AUX ENFERS COMMENCE dit :

    J’ai lu vos publications, cher Messieurs SATHOUD, NZONZA, MALANDA, OEIL de L’AIGLE, ETC…, mais c’était à VOMIR. Vraiment, tiari tia tingui!

  52. Val de Nantes dit :

    @CD jumeau .
    Salut ,frangin . On se bat contre la dialoguite arrosée de nguiri.Certains de nos résistants et des moindres, comme le lion de Bristol en sont atteints.
    C’est dur ,mais la bataille fait rage .
    Pas question de dialogue des cons . La diaspora a décidé de réechanter notre pays .
    Nous allons manger les pâtes ,pour tenir face à Sassou . On cogne sur ce malade .
    Ah,oui .
    La soutane du prélat , Sassou en connait le contenu .
    Que tata , Lagarde garde son blé .

  53. Val de Nantes dit :

    Lire . et non des moindres .
    Tou fatikiri,il doit quitter le pouvoir .Tolebi.
    Ma mère m’attend.

  54. Anonyme dit :

    Cette course effrénée au « dialogue de dupe » aura eu un effet positif, celui de faire sortir du bois et de démasquer tous ceux qui éprouvaient à couvert une certaine appétence pour le tyran de l’Alima.
    On y voit un peu plus clair sur les vrais intentions de chacun et ça permet de dissocier les vrais compatriotes, des collabos.

  55. Anonyme dit :

    @ MR MALANDA
    Je vous comprends et vous connais mieux maintenant, admirateur de Débat Massamba, le premier à s’en prendre aux LARIS , avec sa milice privée la jmnr .Vous êtes donc Bakongo, les 1ers à montrer l’exemple sur le génocide LARI , je ne suis plus surpris de vos posts, vous êtes un anti LARI primaire comme vos élèves les mbochis qui ont dépassé leur maître. Continuez votre travail, mais vous êtes démasqué

  56. La Cloche dit :

    G O N G !

  57. Dia Mbala Bokoniane Ku Na Hâta dit :

    ~ Eh-eh beto tu kina ngoma wiri katukuenda ku zulu kue yaya, bo badiaka bantu é kia ntsendo batambula kue nzambi é;
    Eh yaye, eh luwiri wo é, bo badiaka bantu é kia ntsendo batambula kue Jésus é… ~

  58. Je ne hais Personne dit :

    Le saviez-vous QUI depuis sur différents sites écrivait à tord ou à raison, soigneusement l’épithète [MESSIANISTE] même sous couvert de pseudos à tous les virages argumentaires contre certains compatriotes ou autrement propres parents caricaturalement détestables?

    « Ne cherchez pas ailleurs celui qui est parmi vous. »

    Blasphème?

  59. Futurama dit :

    Rassurez-vous il n’est pas tout seul, NOUS le savons, aussi.

  60. Revelino dit :

    J’ai beaucoup de respect pour la constance de mon ainé Pascal Malanda. Cependant, j’ai beaucoup de mal avec Sassou. Un personnage qui tue ces concitoyens avec autant de facilité, qui désacralise la vie, qui apporte la mort et la destruction avec autant d’aisance ne mérite rien d’autres que tu mépris. Je ne comprends pas que l’on puisse échanger avec ce monsieur.

    Ce témoignage en dit long sur le personnage et l’absence de patriotisme de ce monsieur.

  61. Revelino dit :

    Lire « du mépris au lieu « tu mépris « 

  62. Pascal Malanda dit :

    Anonyme dit :
    11/12/2018 à 00:15

    @ MR MALANDA
    « Vous êtes donc Bakongo, les 1ers à montrer l’exemple sur le génocide LARI »

    Non cher ami, je suis Kongo de la lignée Sundi, mais pas Bakongo. On a pas besoin d’être Bakongo pour admirer Massambat-Débat. Son œuvre parle à sa place. La jmnr n’est pas l’œuvre de Débat. Soit dit en passant, Débat est le seul président congolais à avoir démissionné pour éviter le calvaire à son pays. Avec la jmnr à sa solde, il aurait pu facilement se transformer en tyran. Il ne l’a pas fait. Respectons au moins cela. Youlou et Lissouba ont dû fuir le pays, Ngouabi a été assassiné, Yhombi, emprisonné. Nous sommes un peuple violent. Suivez mon regard.

    « vous êtes un anti LARI primaire comme vos élèves les mbochis qui ont dépassé leur maître. Continuez votre travail, mais vous êtes démasqué. »

    Ne faites pas dans la contrevérité délibérée. Vous êtes en train d’ouvrir un dangereux chapitre conflictuel entre Bakongos et Laris. Est-ce votre ébauche des conflits à relancer après la disparition de Sassou? Honte à vous. Avez-vous un besoin atavique d’antagonisme pour respirer?

    Je ne suis pas anti-lari pour avoir critiqué le messianisme qui prolifère dans le groupe ethnique Lari. Je ne suis pas anti-Nzébi pour avoir critiqué la faiblesse de Lissouba face à la dérive de la bande des 4. Je ne suis pas anti-Mbochi en critiquant l’échec patent de Sassou. L’échec comme le succès ont des géniteurs. J’analyse leurs actes, je ne critique pas les personnes et encore moins les ethnies dont elles ressortent et qu’elles ne représentent pas forcément. Sassou n’est pas le représentant des Mbochis, sinon il n’y aurait pas de pauvres dans cette ethnie. Allez à Ta Nkombo et Mikalu pour voir le calvaire que vivent nos compatriotes dans cette partie de Brazza.

    Arrêtez de considérer que les Laris sont le nombril du Congo et du monde. Vous rendrez un immense service à cette ethnie qui paie au prix fort l’irresponsabilité de son élite. Cessez d’envoyer les paisibles populations lari au casse-pipe au prétexte de vouloir sauver le Congo. Aucune ethnie n’a reçu la mission de libérer le Congo, ne pas le comprendre est une faute politique gravissime. Le Congo sera libéré le jour où tous les Congolais, au-delà des différences ethniques, se lèveront pour dire non à l’injustice et à l’esclavage instaurés par un petit groupe de compatriotes.

    Revelino dit :

    « Cependant, j’ai beaucoup de mal avec Sassou. »

    Très cher Revelino. Je crois te reconnaître dans un compatriote croisé dans les coulisses du parlement européen lors d’une session sur le Congo organisée par Louis Aliot du FN. Je peux me tromper, mais j’ai encore devant mes yeux ce patriote d’ORICE qui m’interpellait sur l’engagement citoyen. Je ne sais pas, mais cette impression est tellement persistante…

    Tu n’es pas le seul à avoir ce mal. Il faut être sans cœur pour nier la souffrance que vit le Congo aujourd’hui. Après profonde analyse sur tous les plans, physique et métaphysique, ma lecture de la situation est simple : Nous payons les 40 ans de malédiction du Congo par Youlou. Je répète ici mon respect pour le président de notre pays à qui je reproche une seule chose : avoir cédé le premier à la facilité ethnique et l’achat des consciences. En cela, par manque de rigueur nationale et patriotique, il avait ouvert la voie à nos malheurs actuels. Cette malédiction s’achève spirituellement le 5 février 2019. A nous d’écrire une nouvelle page de notre histoire en pardonnant à ceux qui n’ont été que des exécuteurs testamentaires d’une malédiction bien justifiée pour un peuple qui chasse un voleur d’œuf et encense un voleur de bœufs.

    « Un personnage qui tue ces concitoyens avec autant de facilité, qui désacralise la vie, qui apporte la mort et la destruction avec autant d’aisance ne mérite rien d’autres que tu mépris. »

    Mettez ces actes dans la perspective d’une malédiction et vous comprendrez pas mal de choses. Tout n’est pas forcément physique dans le microcosme congolais.

    « Je ne comprends pas que l’on puisse échanger avec ce monsieur. »

    Très difficile en effet, mais la force des nations réside dans la recherche des solutions au-delà des individus. Vu ainsi, le dialogue change de perspective.

    « Ce témoignage en dit long sur le personnage et l’absence de patriotisme de ce monsieur. »

    Après avoir fait ce constat, il faut passer aux propositions, sinon on continue ce qu’on nous faisons depuis 40 ans.

  63. Anonyme dit :

    @ Mr Malanda,
    Vous avez omis de dire que Massamba debat n’avait pas fait un seul LARI, la jmnr n’était pas sa création, mais les grands assassins Mabouaka et Castro étaient Bakongos, alors vous croyez que Massamba débat n’avait aucune accointance avec ces assassins ?

  64. Anonyme dit :

    pas fait assassiner un seul LARI

  65. Anonyme 5 dit :

    Lu sur Brazza News

    [ Les Congolais s’expriment ]

    LE CONGO BRAZZAVILLE, UN PAYS AUX NORMES INVERSÉES

    Le Congo est l’un des rares pays au monde ou tout est normal.
    – Un opérateur Télécom augmente sa tarification, sans donner d’explication, c’est normal.
    – Le contrôleur d’un transport en commun décide de faire un demi-terrain en pleine course, c’est normal.
    – Les délestages répétés du courant électrique avec tous les dommages occasionnés, c’est normal
    – La commercialisation des produits avariés dans les marchés, c’est normal.
    – Les arrestations arbitraires par les agents de forces de l’ordre, c’est normal.
    – Des faux diagnostiques, et les traitements médicaux inadaptés aux patients dans les hôpitaux et cliniques, c’est normal.
    -Les cabinets médicaux et des médecins non assermentés, prescrivent des traitements non conventionnés, c’est normal.

    – L’eau potable ne coulant jamais aux robinets des ménages, il faut recourir a l’eau minérale, c’est normal.
    – Un étranger débarque au Congo avec pour bagage une serviette en main, un ans plus tard il devient milliardaire en FCFA, cela n’interpelle personne, c’est normal.
    – Pour obtenir la Carte d’Identité Nationale, il faut passer des heures à attendre son tour et au finalement après des mois voire des années, la carte n’est jamais établie, c’est normal.
    – Les sociétés embauchent sans aucune déclaration des salariés à la CNSS ou avantages sociaux, c’est normal.
    – On nomme des guerriers, criminels, voleurs député ou ministre, sans les avoir mis en examen ou jugé, c’est normal.
    -Des sapeurs pompiers qui arrivent toujours et toujours tard aux lieux des incendies, c’est normal.- La consommation de l’alcool et des liqueurs fortes par les adolescents c’est normal.- Recrudescence du nombre d’Accidents vasculaires cérébraux chez les populations de moins de trente-cinq (35 ans), c’est normal.

    Plus de la moitié de la population vivant avec moins de 500 fcfa par jour, pour un pays producteur de pétrole ayant à peine 4 millions d’habitants, c’est normal.- S’entasser devant les guichets de la SNE et durant des heures pour régler sa facture d’électricité, c’est normal.
    – Vendre, manger, ou boire dans l’insalubrité, c’est normal.
    – Après huit (8) heures la sage femme décide de faire un accouchement par césarienne, le bébé meurt ; on dresse une ordonnance, et le papa achète des produits pharmaceutiques mais la femme meurt, rien n’est dit à l’homme, on bloque l’accès au bloc d’accouchement,on sécurise la maternité et la Police annonce au Monsieur la mort de sa femme et de son bébé, on trouve ça normal.
    – un policier interpelle un chauffeur de taxi et prend en otage les documents du véhicule et le permis de conduire sans convocation pour s’attendre a un billet de 2000 en échange, c’est normal.

    On licencie abusivement les citoyens congolais sans droits sous la complaisance de l’administra du travail alors que les expatriés eux démissionnent et changent de sociétés à leur gré, c’est normal.
    -A l’école les élèves sont 200 à 300 dans une salle de classe et s’asseyent à même le sol alors que le pays est exportateur du bois,c’est normal.
    – A l’hôpital le médecin te demande de l’argent pour une césarienne ou un paludisme pour un enfant de 5 ans alors que ceux-ci avaient été déclarés gratuits,c’est normal.
    – un pays où on fait l’apologie de ceux qui pillent l’économie et les finances , on les appelle les hommes forts  » a pesa a tala té « – Ceux qui détournement les fonds publics, sont hissés à d’autres fonctions et ceux qui dénoncent le vol et la corruption sont virés ou jetés en prison pardon qu’est ce qui est normal dans tout ça ?

    ALLONS SEULEMENT YAKA TO SOLOLA !!! comme le dit si bien LA DESCENTE AUX ENFERS

  66. Anonyme5 dit :

    Au début il y’a eu le Yaka noki noki qui a conduit le pays dans l’état où il se trouve aujourd’hui avec le résultat qu’on connait tous génocide dans le Pool et gestion mboka mboka de notre pays c’est à dire le grand n’importe quoi maintenant on passe à l’étape suivante c’est le fameux Yaka to solola ou le kendé bango na dialogue ou encore le  » grand foutage de gueule »

    A nouveau un marché de dupes un dialogue de sourds puisque nous ne parlons pas le même langage donc pas de dialogue inclusif exclusif ou répulsif des mots sortis de nulle part dont seuls ces gens ont décidément le secret
    Nous préconisons une rencontre internationale avec des médiateurs et témoins internationaux pour la résolution de la crise que connait notre pays

  67. LA DESCENTE AUX ENFERS COMMENCE dit :

    VOICI LE DÉBUT DU MUR DES VILIS ESCLAVES DE sassou nguesso, LUI-MÊME ESCLAVE DES BLANCS MAL ÉDUQUÉS. CONCLUSION : CES VILIS SONT « DOUBLEMENT » ESCLAVES
    A- …………………………………….
    B- Bouiti-Viaudo Roland, Batchi Gabriel, Bissouta Mabonda Alois Devic, Beli Victor, Bongo Emilon Patrick, Bayendissa Brice Dimitri

    Ongoly Née Loumingou Geneviève …
    C- Coussoud-Mavoungou Martin Parfait Aimé

    D- ……………………………………
    E- …………………………………….
    F- Follo Isaac Raymond
    .
    G- GOMEZ VINCENT
    H-
    K- Kaba Vele Née Mpan Suzanne, Kando Jean François
    L- Louemebet Landry Autria Fabrice, Louvounou Alphonse

    M- MAKOSSO COLLINET, MAVOUNGOU COUSSOU, Mabiala Alexandre, Makosso Fils Basile, Mavoungou Gustave, Mavoungou Maurice, , Mboungou Goolfred Florent, Mamona Ferdinand, Mioko Germain, Makosso Christian Ernest

    N- Nguimby De Moussyth Kinga Patrick E, Nkodia Kynd Gaétan
    O- Ongoly Née Loumingou Geneviève, Okandza Fernand

    P- PAKA HONORE, Paka Banthoud Genest Wilfrid, Pambou Dadet Daniast
    S- Sounda Jean Aimé

    T- TCHIBOTA ANTOINETTE, TCHICAYA JEAN MARC, Tchibinda Alain, Tchignoumba Mboumba Gilbert Paul
    V- VIAUDO
    Veuillez compléter la liste S.V.P.
    On demande à chaque région de présenter sa liste.
    CECI EST UN ACTE CIVIQUE
    QUE CEUX QUI PORTENT LE MÊME NOM METTENT UN PRÉNOM À CÔTE DES NOMS DES INDIVIDUS INCRIMINÉS POUR ÉVITER LA CONFUSION.
    NB : LE DIABLE MBOCHI PASSE PAR SES HOMMES POUR NOUS ATTEINDRE.
    VOUS POUVEZ NOUS SIGNALER SI VOUS N’ÊTES PLUS MEMBRE DE LA MAFIA QUI DÉTRUIT LE CONGO, CAR IL N’Y A QUE LES IMBÉCILES QUI NE CHANGENT PAS.

  68. LA DESCENTE AUX ENFERS COMMENCE dit :

    SI sassou nguesso AVAIT ÉPOUSÉ DES FEMMES BIEN ÉDUQUÉES, PEUT-ÊTRE QU’IL AURAIT EU DES ENFANTS BIEN ÉDUQUÉS.
    SES FEMMES BIEN ÉDUQUÉES LUI AURAIENT CONSEEILLÉ DE NE PAS ÊTRE L’IDIOT DES BLANCS.
    LES ENFANTS AURAIENT PU RATTRAPER L’IDIOTIE DE PAPA.
    HELAS POUR LE PEUPLE CONGOLAIS, CET IDIOT A TROUVÉ DANS LA POPULATION CONGOLAISE DES INDIVIDUS QUI ONT LE MÊME PROFIL QUE LUI. C’EST-A-DIRE, MAL ÉDUQUÉ ET AYANT DES FEMMES ET DES ENFANTS MAL ÉDUQUÉS.
    À NOS SŒURS QUI ÉPOUSENT SES MONSTRES, DE GRACE RÉFLÉCHISSEZ UN PEU AVANT DE NOUS RAMENER SES IDIOTS DANS LA FAMILLE. NE REGARDEZ PAS SON POINTU ET SON ARGENT VOLÉ.
    VOUS ÊTES L’AVENIR DE NOTRE SOCIÉTÉ. VOUS POUVEZ ENCORE ÉDUQUER SES MONSTRES ET VOS ENFANTS AUTREMENT. C’EST CHEZ VOUS QUE SES MONSTRES TROUVENT UN RECONFORT.
    NE SUIVEZ PAS L’EXEMPLE D’ANTOINETTE TCHIBOTA.
    TCHIBOTA « ABALI MISÈRE », MÊME SI ELLE DISTRIBUE LES PETITES COUPURES DE MONNAIE AUX IGNORANTS.
    NE SUIVEZ PAS L’EXEMPLE DE RACHIDA DATI, DE CHRISTINE LAGARDE, DE SEGOLENE ROYALE, DE FLORENCE PARLY, DE …….
    LA FEMME DONNE LA VIE, ELLE NE PEUT PAS ET NE DOIT PAS LA REPRENDRE OU ENCORE LA COMPLIQUER.

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