Par Rigobert OSSEBI
Depuis plus de quarante années maintenant, cet Empereur de la Françafrique a été celui qui, jusque-là, a su tirer toutes les ficelles pour se maintenir au pouvoir. Jacques Chirac en fut son pygmalion, son accompagnateur et protecteur tout au long des erreurs de parcours et des crimes gravissimes qu’il a pu commettre.
Mais en cette fin d’année 2018, le dictateur sait très bien que son aventure touche à son terme. Maître de l’échec et de tous les échecs, il sait maintenant que quoi qu’il fasse, il ne sortira plus vainqueur sur l’échiquier congolais. Il aurait déjà sombré si, à Erevan, Emmanuel Macron et surtout Jean-Yves Le Drian ne l’avaient pas remis en selle…
Le marché de la RCA
Le président français et son ministre des Affaires étrangères, attendaient de lui qu’il évince les Russes de République Centrafricaine ; ce qu’il ne parviendra pas à faire… D’autant plus qu’il a été l’un des principaux responsables de l’actuelle crise dans ce pays. L’annonce de l’AFD (Agence Française de Développement) des 43 milliards d’aides au Congo, il y a quelques jours, faisaient partie du deal. Un acompte sans doute avec, en cas de succès, un déblocage du plan de sauvetage par le FMI.
Avant le Sommet de la Francophonie, le moral de toute la famille mafieuse était en berne. Personne ne voyait d’issue à la crise tant le pouvoir finissant du clan était cerné de toutes parts. Il a fallu le renforcement de la présence russe en RCA, et surtout à Beringo à proximité de la frontière congolaise, pour que l’idée de son intervention jaillisse au Quai d’Orsay. Certes, le tyran d’Oyo est un grand habitué des coups tordus mais contre Vladimir Vladimirovitch Poutine, il est inutile de préciser qu’il serait vain de nourrir quelque espoir.
CHINE
Oubliez le protocole d’Etat, les tapis rouge de Pékin et les défilés militaires millimétrés en l’honneur du dictateur de Brazzaville accompagné de XI Jinping, le président chinois. Ce dernier ne lui a pas cédé un pouce sur le trésor de guerre que son clan a accumulé dans les paradis fiscaux de Hong Kong et Macao ; également intransigeant avec toutes les autres missions qui avaient été dépêchées pour le récupérer. Les comptes des uns, Bouya, Denis Christel Sassou Nguesso et des autres Ondongo et Edgar Nguesso ont été gelés par le pouvoir chinois. Ce dernier a exigé que les quelques 5 milliards de dollars, que ces comptes totalisent, réintègrent le Trésor congolais ; ce que Sassou Nguesso a refusé fermement. Cet argent, selon le kleptocrate congolais, est devenu une propriété privée et familiale et n’a pas vocation à réintégrer les comptes publics. Même l’idée de l’ancien résident de Rikers Island, Dominique Strauss Kahn, d’utiliser ces fonds pour racheter la dette congolaise avait été rejetée. Ce rachat aurait définitivement blanchi le fruit des vols et détournements, du gang familial au pouvoir, en lui permettant de devenir le premier créancier de l’Etat congolais.
La Chine n’a plus rien à gagner avec Denis Sassou Nguesso. Elle aurait même beaucoup à perdre en ne prenant pas ses distances avec lui et son gang malfaisant. C’est au Congo que l’on peut voir le pire de la coopération chinoise en Afrique en matière de corruption et d’inutilité de la plupart des réalisations, souvent de prestige ; de la surfacturation généralisée à la non-réponse aux véritables besoins des populations. Voilà pourquoi, il n’est plus beaucoup question de la Chine actuellement et que c’est vers la Turquie que les prédateurs se tournent.
TURQUIE
Alors que les finances sont à sec, que les salaires, pensions et bourses comptent toujours les mêmes retards, l’urgence pour le pouvoir congolais, et surtout pour le naufrageur des grands travaux Jean-Jacques Bouya, est à la construction de la Cité gouvernementale. Un projet de 520 millions de dollars en grande partie financé par la Turc Exim Bank (et des fonds émiratis localisés à Chypre côté Turc) ; second projet d’envergure après l’inutile Centre de conférences internationales construit à Kintélé, non loin de l’Université Denis Sassou Nguesso qui glissera inéluctablement dans les eaux du fleuve Congo.
Le projet de la Cité gouvernementale serait devenu la propriété du ministère des Grands Travaux de Bouya qui était récemment encore à Ankara pour conclure, toujours sans appel d’offre, un accord avec le groupe turc de BTP, SUMMA. La charrue est encore mise avant les bœufs. Le Congo depuis une quarantaine d’années souffre d’un déficit de formation de sa jeunesse et de ses cadres. Les constructions resteront des coquilles vides de toute compétence congolaise adaptée aux exigences d’un Congo du 21ème siècle ; ou presque, mise à part aussi celle de la Diaspora.
Bouya qui a été le cheval de Troie de la présence chinoise au Congo, dans sa fuite en avant, ne veut pas rater l’arrivée des hordes turques. Il va reproduire avec ces dernières le schéma qu’il a validé avec l’Eximbank China, avec le succès que l’on connait.
L’endettement auprès de la Turquie sera lourd et déjà il est prévu de construire une école « turque » à Brazzaville ; elle sera vraisemblablement plus islamique que turque… !
Tous ces grands travaux aux conditions de financement et de négociation opaques ne plairont pas au FMI dont le pouvoir vacillant de Sassou Nguesso a pourtant le plus grand besoin.
FMI et Zone CEMAC
Le Fonds Monétaire International n’est pas parvenu à obtenir les changements radicaux à la tête de l’exécutif congolais, notamment en matière de gestion des finances et de la ressource pétrolière. Idriss Déby avait pourtant appuyé les demandes du FMI, en Octobre dernier, lors du Sommet des Chefs d’Etat de la zone CEMAC en menaçant d’exclure le Congo de cette dernière. Rien n’y a fait ! Les premières armes du dictateur congolais sont l’argent et le pétrole. Il n’entend pas que quiconque d’autre que lui ne les gère.
Malgré ses promesses à N’Djamena, les obligations internationales vis-à-vis du FMI ne seront pas respectées, les réformes ne seront pas appliquées et plus rien ne pourra empêcher une dévaluation du Franc CFA CEMAC. Sans pour autant que le FMI ne décaisse une quelconque aide pour le Congo.
Lors de son dernier séjour parisien, Denis Sassou Nguesso a reçu et financé l’opposition gabonaise. Il a ainsi rompu le « gentlemen agreement » qui a toujours prévalu entre les chefs d’Etats africains et notamment ceux de la Zone CEMAC de ne pas s’immiscer dans les affaires internes des autres Etats. Aucun de ces derniers ne saurait l’oublier ni le lui pardonner. Le Congo pourrait alors entrer dans une zone très particulière de turbulences où tous les coups seraient permis. Quant à la zone de l’Afrique de l’Ouest, le dictateur congolais n’y est plus particulièrement apprécié.
Duel Sassou – Mouamba
L’ancien ministre des finances de Pascal Lissouba n’est en fait qu’un figurant de prestige dont la nomination était exclusivement destinée à calmer les inquiétudes du FMI. Le retraité de la BDEAC n’a pas même obtenu un os à ronger. Il s’est fait constamment piétiner par les Bouya, Ganongo (à la botte de Denis Christel), Ondongo et autres sécurocrates avec lesquels il ne peut dire mot. Quant au tyran, il a toujours refusé de lâcher quoi que ce soit. Les rumeurs de démission sont insistantes.
Il se dit que c’est Sassou Nguesso qui exige la démission du vieux Clément, c’est de la foutaise. Le pseudo 1er Ministre serait remplacé par le fils adoptif Parfait Kolélas, après le Dialogue politique prévu en janvier 2019. Ce dernier, alors idéal dans le rôle de l’idiot utile, selon l’entourage de Clément Mouamba, mettrait au moins cinq années à comprendre les finances publiques. On imagine les dégâts.
Le dictateur congolais n’a d’autre choix que de conserver Mouamba pour le moment. Le départ de ce dernier ne ferait que précipiter sa chute. Malgré cela, Sassou persiste dans la maltraitance de son 1er Ministre qu’il traite et considère comme un laquais à son service.
En dehors des réformes exigées par le FMI, point de salut. Aucune solution viable de remplacement n’est envisageable à moins que le baril de pétrole ne remonte immédiatement à 100 dollars.
Les condamnations s’accumulent
Les médias internationaux sont de plus en plus réceptifs aux dénonciations de crimes et délits commis par le petit gang maffieux. Ces réactions sur les sujets les plus divers devraient s’amplifier. Un groupe de travail sous l’égide de l’ONU a également condamné l’Etat congolais sur la détention du Général Jean Michel Mokoko que des experts ont jugée « arbitraire ». Une prochaine audience de la Cour Suprême, à Brazzaville, devrait décider du recours déposé par les avocats du général prisonnier. Le non-respect de l’immunité dont il disposait, les armes présentées au procès alors que les perquisitions à son domicile ont été infructueuses, la fuite organisée du co-accusé, la commission rogatoire menée au Gabon selon une procédure illégale fondent la requête de ses avocats et des pressions de moins en moins discrètes pour la libération du Général Jean Michel Mokoko, dont celle d’Emmanuel Macron également à Erevan.
Tout dernier atout
L’énoncé de ce bilan aussi nul et que sombre, bien qu’incomplet, rend incompréhensible que Denis Sassou Nguesso soit encore à la tête du Congo. Le problème n’est pas le mécontentement généralisé des populations, le ras le bol définitif chez ses partenaires, les échecs consommés et sans appel dans tous les secteurs, et le rejet irréversible profondément ressenti par tous à part quelques courtisans médiocres ; la raison qui lui permet de se maintenir encore dans son rôle de Chef d’Etat, c’est la posture gangrenée et mal définie de son opposition. Et surtout de ses prétendus leaders. Les exemples ne manquent pas. Le plus troublant est celui du Frocad et de l’IDC.
Il est grand temps que les Congolais deviennent adultes et cessent de se faire berner !
Rigobert OSSEBI
Diffusé le 03 novembre 2018, par www.congo-liberty.org
La chute sera brutale pour le plus grand assassin et voleur du Congo.Les menottes aux bras,et pourtant personne ne le croira,le reve deviendra une réalité pour tous les Congolais.Un peut de patience.
Le moins que l’on puisse dire , c’est que le monde civilisé à rejetter sassou , il n’y a plus que la population Mbochis et les soutiens indéfectibles comme Pafait Kolelas ses frères et sœurs , Isidore Mvouba le proxénète de sa propre fille auprès de sassou , Tsaty Mabiala qui accompagnent le fou sassou dans sa folie . Car comment comprendre, il y’a moins de cinq ans les soit disant dirigeants Mbochis parlaient des excédents financièrs et patatras c’est la banqueroute , au point où les financiers sérieux parlent d’une gestion folle . J’en suis persuadé qu’une institution financière internationale sérieuse ne prêtera l’argent à ce génocidaire ,les filles et fils du pool doivent se réjouirent car cette crise de sas sassou préserve des vies humaines dans notre pool .
RIGOBERT OSSEBI,
TU CHERCHES DES RESPONSABLES N’IMPORTE OÙ .
TU FAIS PARTIE DES RESPONSABLES AVEC DES TEXTES QUI RELATENT DES HISTOIRES DE BASSES COURS.
LES CONGOLAIS N’ONT PAS LA FORCE IMBÉCILE DE L’IDIOT ET DE SES PARRAINS OCCIDENTAUX ET ORIENTAUX MAL ÉDUQUÉS. TU VEUX QU’ON FASSE QUOI?CI
NOUS N’ALLONS PAS NOUS JETER DANS LE PIÈGE DE SES CONS.
CELA FAIT DES ANNÉES QU’ILS ONT L’AVANTAGE SUR LE TERRAIN. TU VEUX COMPTER LE NOMBRE DE MORTS POUR APPELER QUI, APRÈS ? LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE DE SES CONS?
NON, LA PATIENCE AUSSI EST UNE ARME, LORSQUE NOUS OBSERVONS, ANALYSONS BIEN NOS BOURREAUX.
SI TU VEUX TÉ SUICIDER, BON COURAGE.
LE SUICIDE FINIRA PAR ARRIVER DANS LE CAMP DE SES IDIOTS. L’HISTOIRE EST UN ÉTERNEL RECOMMENCEMENT.
ACTUELLEMENT, ILS ESSAIENT DE NOUS ASSOCIER À LEUR SUICIDE. QUELQUES COMPATRIOTES SONT DANS CETTE VAGUE.
VOICI UNE AUTRE MANIÈRE DE PARLER DU PAYS AU LIEU D’ACCOMPAGNER LES FAITS ET GESTES DE NOTRE IDIOT ET DE LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE.
Merci M. Ossebi de cette analyse profonde.qu’importe les réactions des détracteurs. Ces analyses sont vraiment édifiantes et je pense que vous meriterez-de rentrer dans l’histoire du congo. Un homme averti en vaut deux. Bon vent aux « dialoguistes » ou « dialogogues ».
Comme l’Anonyme ci-dessus je tenais à remercier Mr Rigobert OSSEBI pour son excellent travail et son engagement dans la lutte contre la dictature en place. Que ces articles puissent être archivé car ils constituent une trace écrite de l’histoire de notre pays.
‘LA DESCENTE AUX ENFERS COMMENCE »
Ne te trompe pas de cible ce que fait Le grand Rigobert OSSEBI est un travail journalistique d’investigation remarquable et très fouillé que très peu de nos compatriotes sont capable de nous proposer aujourd’hui. Il faut plutôt lui rendre hommage et l’en féliciter pour cela au lieu de l’accabler. La vérité de la situation faut la voir en face et l’accepter telle qu’elle est et se présente à nous, en cela Mr OSSEBI c’est parfaitement le faire même si cela peu quelque fois déplaire à certain.
Merci Mr Rigobert OSSEBI que votre nom soit honoré comme étant un combattant de la liberté et puisse figurer en bonne place dans les (futurs) livres d’histoire de notre pays.
Cet homme mérite un convoi des gilets jaunes français pour le déloger du pouvoir .
Val de Nantes
Peut être le jour ou vous porterez à la connaissance de cette frange de la population Française la réalité du pays Congo qui pour l’instant, cette réalité, est totalement occultée et méconnue par cette population du fait de l’omerta médiatique et politique qui pèse sur le Congo.
Quel pourcentage de Français connait l’existence même du Congo Brazza, étant bien souvent assimilé à la RDC.
Un président demonétisé, qui ne tient que grâce à la conspiration internationale et nationale.
Voilà ,quelqu’un qui patauge dans une époque où il ne maîtrise rien ,á laquelle il ne comprend rien ,si ce n’est la brutalité bestiale pour imposer une dictature , synonyme de domestication des richesses nationales .
Parler une seule langue est un ciment démocratique .Les français ,á travers les gilets jaunes nous en donnent la preuve .
La diversification ethnique est un frein culturel á la démocratie .
Le Congo a réussi à conclure un accord avec la Chine sur la restructuration de sa dette envers ce pays. Cette dette représente 35% de la dette extérieure congolaise, suivie par celle contractée auprès des traders (30%).
Avec la conclusion de cet accord, il apparait que le pays vient de faire un grand pas vers la conclusion d’un programme avec le FMI. Reste maintenant à négocier avec les traders.
Lors de la dernière revue du FMI, au terme d’une semaine de travail avec la partie congolaise, le Chef de délégation du Fonds monétaire international, Alex Segura-Ubiergo, avait déclaré que la situation de la dette congolaise s’améliore. L’économie, de façon globale, commence à reprendre, grâce au secteur pétrolier. D’où, une évolution plus positive que prévue de la dette. Cependant restait la « soutenabilité » de cette dette. « Il faut donc poursuivre les discussions avec les créanciers extérieurs pour trouver des solutions », avait recommandé le Chef de Mission du FMI.
Les Échos du Congo-Brazzaville (04/12/2018)
OSSEBI A ÉCRIT:
« Les condamnations s’accumulent
Les médias internationaux sont de plus en plus réceptifs aux dénonciations de crimes et délits commis par le petit gang maffieux. Ces réactions sur les sujets les plus divers devraient s’amplifier. Un groupe de travail sous l’égide de l’ONU a également condamné l’Etat congolais sur la détention du Général Jean Michel Mokoko que des experts ont jugée « arbitraire ». Une prochaine audience de la Cour Suprême, à Brazzaville, devrait décider du recours déposé par les avocats du général prisonnier. Le non-respect de l’immunité dont il disposait, les armes présentées au procès alors que les perquisitions à son domicile ont été infructueuses, la fuite organisée du co-accusé, la commission rogatoire menée au Gabon selon une procédure illégale fondent la requête de ses avocats et des pressions de moins en moins discrètes pour la libération du Général Jean Michel Mokoko, dont celle d’Emmanuel Macron également à Erevan ».
C’est quoi les médias internationaux, c’est quoi l’onu?
Mokoko dont il parle, a travaillé pour l’onu avant que l’idiot le mette en prison. Cela fait combien de jours qu’il est en prison? l’onu a fait quoi?
Une analyse bien faite ne peut pas aboutir à une telle conclusion :
» la raison qui lui permet de se maintenir encore dans son rôle de Chef d’Etat, c’est la posture gangrenée et mal définie de son opposition. Et surtout de ses prétendus leaders. Les exemples ne manquent pas. Le plus troublant est celui du Frocad et de l’IDC. »
Si cet idiot est un criminel, la faute est à trouver dans notre opposition. Comme si Monsieur Ossebi ignore les forces en présence.
L’opposition doit faire quoi? Entrer dans les mãchoires de cet idiot, ou commettre l’irréparable, pour se retrouver à la CPI, même si elle ne commet pas de crime comme Ngbagbo?
Évitons de chercher des leaders inutiles. Nous sommes tous des leaders à notre niveau.
Si les textes qui nous redisent les mêmes choses semblent vous satisfaire. je vous dis, bon courage.
Sassou et la communauté internationale, ne mettons pas de côté. Ayant un autre regard sur eux.
C’est le dedain, le mépris, tout ce qu’il faut si vous voulez. Le combat, c’est le parent le plus proche qu’il faut convaincre par l’éducation, par des actions économiques, des actions sociales, qui vont l’aider à prendre conscience du monde dans lequel il vit. C’est ainsi que sa revolte, vis-à-vis de ce que sassou incarne d’une part et vis-à-vis de la communauté des mal éduqués, d’autre part, sera spontanée et raisonnable.
Cela ne sert á rien de se tirer les balles dans les pieds. Ses écrits sont les bienvenus. Pas besoin de ressasser les mêmes critiques qui donnent du temps à nos bourreaux.
Tel est, mon propos.
@ku ibiti
Vous trouvez ça réjouissant ou vous nous informez du processus de la sortie de crise financière voulue par ces prédateurs criminels .??.
Je ne me réjouis d’aucune des deux .
Ku Ibiti
C’EST UNE BONNE CHOSE POUR LA CHINE.
CELA PEUT-ÊTRE UNE BONNE CHOSE POUR LE fmi.
EST-CE QUE CELA EST UNE BONNE CHOSE POUR TON PAYS?
NON, NON, NON, NON, NON
C’est comme si il étais le seul coupable, qui n’a jamais voler?
@ LA DESCENTE AUX ENFERS COMMENCE dit :
04/12/2018 à 15:07
Une analyse bien faite ne peut pas aboutir à une telle conclusion :
» la raison qui lui permet de se maintenir encore dans son rôle de Chef d’Etat, c’est la posture gangrenée et mal définie de son opposition. Et surtout de ses prétendus leaders. Les exemples ne manquent pas. Le plus troublant est celui du Frocad et de l’IDC. »
Si cet idiot est un criminel, la faute est à trouver dans notre opposition. Comme si Monsieur Ossebi ignore les forces en présence.
L’opposition doit faire quoi? Entrer dans les mãchoires de cet idiot, ou commettre l’irréparable, pour se retrouver à la CPI, même si elle ne commet pas de crime comme Ngbagbo?
Évitons de chercher des leaders inutiles. Nous sommes tous des leaders à notre niveau ».
JE SUIS D’ AVIS AVEC VOUS. J’ai toujours dit ici que le Congo n’appartient à personne et s’il y a des Congolais à l’étoffe d’Ossébi qui peuvent faire partir Sassou par un coup de baguette magique, il vaut mieux que ceux là rentrent au Congo que de penser que l’opposition interne qui lutte sur place ne fait rien pour faire partir Sassou.
Paul Makaya un brave compatriote a tout laissé tomber en Europe pour venir affronter Sassou. Le résultat est connu. Pourquoi les autres ne le font pas au lieu de vilipender toujours l’opposition sise au Congo comme si on lui avait donné le monopole de déguerpir Sassou du pouvoir.
Qu’est ce que cette opposition n’a pas tenté de faire? Qui est Jésus pour porter la croix pour se retrouver à chaque sortie face à un lot de mercenaires payés pour tuer froidement? Soyons sérieux. Quand un pouvoir illégitime refuse à une opposition de s’exprimer parce que nous vivons sous une dictature armée, que voulez vous qu’elle fasse.
En disant que « Cet homme mérite un convoi des gilets jaunes français pour le déloger du pouvoir »
@ Val de Nantes a trouvé la formule juste. Comme l’opposition interne a échoué, nous attendons le plus indiqué qui sortira de l’opposition de la diaspora. Nous serons prêts à endosser nos gilets jaunes pour le suivre.
Alors Monsieur OSSEBI SI VOUS AVEZ UNE SOLUTION, DITES NOUS CE QU’IL YA LIEU DE FAIRE OU VENEZ NOUS REJOINDRE POUR PRENDRE LA TÊTE DU CONVOI AFIN D’ALLER AU PALAIS PRÉSIDENTIEL POUR QU’ON EN TERMINE.
Si ce n’est pas le cas, continuez à faire ce que vous faites déjà si bien et évitez d’injurier l’opposition interne qui est en prison à ciel ouvert.
Je parlais de Paulin Makaya
ENTENDU, MON FRÈRE OYESSI
@la descente aux enfers.
C’est comme si vous ne savez pas ce que vous dites. Si Sassou peut tout se permettre c’est parce qu’il ne rencontre aucune opposition quelle qu’elle soit. C’est une réalité. Mais personne ne pousse personne à se faire hara-kiri. Mais au moins la dignité de ne pas manger de cette sauce là. De toutes les façons personne ne sera épargné mm pas ceux ou celles qui boivent le champagne à Paris ou KiKintelé. Le drame du congo va durer des générations entières. Il ne sert donc pas de courir. Ce qui est voué aux gémonies le sera.
Comment les cons golais n’arrivent pas á dénuder des habits du pouvoir cet homme au visage déjà cramé.?.
Au vu ,de ce visage éploré n’est il pas prenable ?.
Val de Nantes
Notre idiot de service est prenable, mon cher Val de Nantes.
Vous pensez comme moi, mais ne confondons pas vitesse et précipitation. C’est ce que nous essayons de dire aux compatriotes. Nous avons fait le bon diagnostic.
Nous avons identifié nos bourreaux.
Observons, continuons d’analyser, une fenêtre de tir finira par se présenter.
Nous ne voulons plus du dialogue avec nos bourreaux. Ce sont eux qui cherchent à nous forcer la main.
Nous n’avons pas le même pouvoir que dieu. Ce dernier, soit disant, pardonne tout.
Ce n’est pas notre cas à propos des récidivistes.
VOUS ÊTES DE PLUS EN PLUS NOMBREUX À SUIVRE LES MATCHS DE DEMI-FINALES PASSIONNANTS QUI OPPOSENT DANS LA PREMIÈRE LES DEUX ÉQUIPES DES PANAFRICAINS ET DANS L’AUTRE LES DEUX ÉQUIPES DES PANAFRICONS (JE CITE REMY NGONO).
NOUS NOUS SOMMES QUITTÉS LA DERNIÈRE FOIS SUR LES SÉANCES DE TIRS AU BUT.
DANS LA PREMIÈRE DEMI-FINALE, LES PANAFRICAINS (SOUS ENTENDU, LA DIASPORA CONGOLAISE ET LA DIASPORA GABONAISE) ÉTAIENT À ÉGALITÉ. LES DEUX AYANT RATÉ LEUR PREMIER TIR AU BUT CHACUNE.
LE SCORE SEMBLE AVOIR ÉVOLUÉ. LA DIASPORA GABONAISE PAR L’INTERMÉDIAIRE DE SES ACTIVISTES VIENT DE MARQUER LE DEUXIÈME TIR AU BUT. LA DIASPORA CONGOLAISE A RATÉ SON DEUXIÈME TIR AU BUT. LE JOUEUR CONGOLAIS S’EST AUTO DÉSIGNÉ, ET EVIDEMMENT LA CONSÉQUENCE EST TRÈS LOURDE POUR L’ÉQUIPE CONGOLAISE DES PANAFRICAINS. IL VA FALLOIR SE RESSAISIR, AMIS CONGOLAIS.
DANS TOUS LES CAS, BRAVO À L’ÉQUIPE GABONAISE, UNE DIASPORA MIEUX ORGANISÉE, ET POURTANT QUI A LES MÊMES PROBLÈMES DE TRAHISON. ELLE DOIT RESTER VIGILANTE EN CE QUI CONCERNE LES PROCHAINS TIRS AU BUT.
DANS LA DEUXIÈME DEMI-FINALE, CELLE QUI OPPOSE LES PANAFRICONS, LE CONSTAT EST LE MÊME DANS LA MESURE OÙ LE TIREUR GABONAIS, ALI BONGO, COMME SON PRÉDÉCESSEUR OMAR, VIENT DE MARQUER SON PENALTY. DU CÔTE CONGOLAIS, NDENGUET QUI A ÉTÉ DÉSIGNÉ, APRÈS EDITH, TERGIVERSE UN PEU. IL A PEUR DE LA RÉACTION DU PUBLIC CONGOLAIS S’IL N’ARRIVE PAS À LOGER LA BALLE AU FOND DES FILETS. TOUTEFOIS, IL IMPLORE SES FANS PANAFRICONS, VENUS EN MASSE POUR L’ENCOURAGER, DE DEMANDER À DIEU DE LUI DONNER LA FORCE DE RATER SON PENALTY. CE QUI EST SYNONYME DE TIR AU BUT MANQUÉ POUR LES PANAFRICAINS VENUS ESPIONNER LEUR FUTUR ADVERSAIRE. DANS L’ÉQUIPE CONGOLAISE DES PANAFRICONS, ON ENVISAGE MÊME DE CHANGER LE DEUXIÈME TIREUR À LA DERNIÈRE SECONDE.
GARDER L’ÉCOUTE, ON VOUS ASSURE QUE CES DEMI-FINALES SONT PASSIONNANTES.
« C’EST PARCE QUE NOUS N’AVONS PAS LA FORCE IMBÉCILE ET QUE NOUS SOMMES BIEN ÉDUQUÉS, QUE NOUS RELATONS CES FAITS. C’EST UNE DE NOS MANIÈRES DE RÉSISTER AUX IDIOTS DE SERVICE, AUX OCCIDENTAUX ET ORIENTAUX MAL ÉDUQUÉS ».