Ce billant et vibrant plaidoyer en faveur de la restitution aux négro-africains de leurs oeuvres d’art, de leur imaginaire structurant- patrimonial-, me fait penser à d’autres, ceux qui ont été tenus du haut du perchoir de l’Assemblée Nationale Française par M. Jean-Félix Tchicaya. Comme celui du 23 mars 1946.
Je précise à toutes fins utiles qu’il aura été, avec M. Houphouët Boigny, à l’origine de la loi n° 46-645 du 11 avril 1946 proclamant la suppression du travail forcé colonial en Afrique et dans toutes les autres colonies françaises.
Entre autre propos, il disait, ce jour-là, ceci:
« Rendez-nous d’abord nos terres, et nous croirons par la suite à tout le reste de vos déclarations. »
Oui. Il en est ainsi de nos oeuvres d’art, de notre littérature, de notre musique,…. comme de nos terres. Même les terres (sol et sous-sols), les lacs et les rivières, non exploitées et/ou en jachère. Elles parlent d’elles-mêmes, de chacun de nous et de nos échanges permanents avec elles.
Elles sont et restent la substance de notre âme. Invendable. Incessible. Jamais.
Et à tous ceux qui pensent que le Congo est né avec eux, je recommande vivement la lecture des ouvrages suivants:
1- Jean- Félix TCHICAYA, Rapport Moral et d’Orientation du Parti Progressiste Congolais, Editions Paari, Broché. (20 euros)
2- Jean-Félix TCHICAYA, La parole est à Monsieur le Député. Interventions à l’Assemblée Nationale Française, 1945-1959. Editions Paari. Broché (10 euros).
Merci.
Pendant qu`on y est. Il faut aussi restituer le corps de Ne Vunda qui se trouve encore au Vatican.
Ce billant et vibrant plaidoyer en faveur de la restitution aux négro-africains de leurs oeuvres d’art, de leur imaginaire structurant- patrimonial-, me fait penser à d’autres, ceux qui ont été tenus du haut du perchoir de l’Assemblée Nationale Française par M. Jean-Félix Tchicaya. Comme celui du 23 mars 1946.
Je précise à toutes fins utiles qu’il aura été, avec M. Houphouët Boigny, à l’origine de la loi n° 46-645 du 11 avril 1946 proclamant la suppression du travail forcé colonial en Afrique et dans toutes les autres colonies françaises.
Entre autre propos, il disait, ce jour-là, ceci:
« Rendez-nous d’abord nos terres, et nous croirons par la suite à tout le reste de vos déclarations. »
Oui. Il en est ainsi de nos oeuvres d’art, de notre littérature, de notre musique,…. comme de nos terres. Même les terres (sol et sous-sols), les lacs et les rivières, non exploitées et/ou en jachère. Elles parlent d’elles-mêmes, de chacun de nous et de nos échanges permanents avec elles.
Elles sont et restent la substance de notre âme. Invendable. Incessible. Jamais.
Et à tous ceux qui pensent que le Congo est né avec eux, je recommande vivement la lecture des ouvrages suivants:
1- Jean- Félix TCHICAYA, Rapport Moral et d’Orientation du Parti Progressiste Congolais, Editions Paari, Broché. (20 euros)
2- Jean-Félix TCHICAYA, La parole est à Monsieur le Député. Interventions à l’Assemblée Nationale Française, 1945-1959. Editions Paari. Broché (10 euros).
Merci.