Comme pour les contrats publics-privés, Denis Christel Sassou, le fils du dictateur-empereur a tout faux. A chaque fois qu’il essaie de faire de l’esprit, il se noie dans les eaux troubles de l’Alima.
Dans une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux, un journaliste local, Brice Aristide Benza, tente maladroitement de faire croire aux Congolais d’avoir mal compris les accords de cession de nos terres aux Rwandais pour une période de vingt-cinq ans. C’est à partir de cet instant que le sinistre de la pseudo Coopération internationale se perd en conjectures et se contredit. En parlant de baux emphytéotiques, Denis Christel Sassou dont le quotient intellectuel est égal à celui de son dictateur de père, a cru impressionner les Congolais. Raté !
Deux contradictions majeures sont à relever de cette séquence qui dure trois minutes et quarante-quatre secondes.
La première est la suivante : Denis Christel affirme avec ses airs d’héritiers du trône que « l’Etat ne donne pas ses terres et ne vend pas ses terres. L’Etat met à disposition par le mécanisme de baux emphytéotiques les espaces de terre à des sociétés et ce n’est pas une première au Congo ».
Malheureusement, il se contredit dans la même phrase en affirmant que « nous avons donné des hectares et des hectares à des sociétés malaisiennes pour faire l’exploitation forestière dans la région de la Sangha. Nous avons antérieurement dans ce même pays mis à disposition à des sociétés sud-africaines dans le département de la Bouenza des hectares et des hectares pour faire l’exploitation de maïs ».
Des deux choses, l’une. Soit l’Etat congolais ne donne pas ses terres, soit il les donne à des sociétés étrangères. Le sinistre de la coopération internationale, Denis Christel Sassou, devrait lever cette ambiguïté et se mettre en accord avec lui-même.
La seconde contradiction porte sur les baux emphytéotiques qui ne sied pas à l’interprétation qu’en fait le fils du dictateur Sassou Denis.
En droit, le bail emphytéotique confère au preneur (le Rwanda), un droit réel sur la chose donnée à bail, en général un terrain ou un bien immobilier. En clair, l’emphytéote (le Rwanda) est quasi-propriétaire du bien (nos terres) pour lequel il paie un loyer modique en raison de la durée du contrat (25 ans). C’est donc également l’un des rares types de contrat de location pour lesquels la réalisation d’un état des lieux n’est pas nécessaire. Lorsque le bail emphytéotique arrive à son terme, l’ensemble des améliorations réalisées par le locataire (le Rwanda) deviennent sa propriété exclusive sans indemnité. Fermez le ban !
Denis Christel Sassou a beau pratiquer la langue de bois, faire des contorsions, force est de constater, à travers l’utilisation du concept de baux emphytéotiques, que nos terres ont bel et bien été cédées au Rwanda. La définition de ce concept juridique ne laisse planer aucun doute.
De Doukanga en passant par Inès Ingani, Denis Christel Sassou, dit Angwalima, complète la liste des incompétents du gouvernement du pauvre Collinet Makosso. Ce n’est pas parce que son père, Sassou Denis a réduit l’éducation nationale à la portion congrue, que son fils devrait se permettre de prendre les Congolais pour des lapins de six semaines.
Nous porterons, s’il le faut, et à chaque fois que l’occasion se présentera, la contradiction à ces imposteurs. Si Denis Christel Sassou ne se gêne pas de son incurie et de son inculture, cette interview prouve une fois de plus, qu’il n’est pas au niveau et qu’il n’a pas le niveau.
Est-il nécessaire de rappeler à Christel Sassou qui pense succéder à son dictateur de père que « pour être l’homme de son pays, il faut être l’homme de son temps »?
Denis Christel Sassou, comme son empereur de père ne coche aucune case par son mépris, son manque de formation et son cynisme envers les Congolais.
« En ces temps troublés, soyons les serviteurs du droit et les esclaves du devoir« , écrivait si bien, Victor Hugo.
Le droit, c’est d’abord respecter l’Etat de droit qui n’existe pas au Congo. Ce patrimoine précieux de principes essentiels, y compris si la Constitution devrait être révisée. C’est en effet la condition première de la préservation de nos libertés. Le chemin est encore long au regard de l’accaparement du pouvoir par un seul clan, celui d’Oyo et de sa kyrielle de kleptocrates, de criminels et d’incompétents.
Le devoir, c’est de contribuer, chacun à sa mesure (ce que nous faisons), à relever les nombreux défis de notre pays. Le premier et le seul, est de le libérer du joug des Sassou et des Nguesso.
Olivier MOUEBARA
Diffusé le 09 juin 2022, par www.congo-liberty.org
Un très grand Mouebara !
Bravo Congo Liberty
C’est Kant qui terminait son voyage sur terre en disant » c’est bien « . Ce fut son dernier souffle.
Donc , c’est bien, mon très luxueux frangin @Olivier Mouebara…
On est chez les fous ! Pourquoi nous sommes arrivés à ce degré de médiocrité ? Le petit zaïrois croit être convaincant avec des idées fausses ! Nos terres sont vendus et nous restons inertes, préférons payer l’inconséquence d’un fou Mbochi Sassou Dénis. J’en appelle aux peuples Kongo notre révolte n’est pas une option mais un impératif. Sinon c’est notre pays qui va disparaître.
Une remarque à l’endroit de ceux qui verraient bien NOTRE OLIVIER MOUEBARRA ôter son masque patronymique pour prendre celui de sa naissance : je leur dis ,tout de suite ,que olivier MOUEBARRA n’est pas un pseudo ,puisque c’est une ( chose ) qui existe .
Le pseudo n’est pas dans la chose elle même , mais dans l’interprétation qu’on en fait .Ne peut être faux ou pseudo , qu’un énoncé , jugement , prémisses etc.
Exemple :
Si je dis : 2 PLUS 2 =3 ,ALORS mon jugement est faux ,au regard du raisonnement hypothético -déductif .ou logique …
En gros ,notre OLIVIER MOUEBARRA existe en tant qu’étant .C’est une réalité physique .
Ne cherchez pas qu’il se dénude pour vous faire plaisir .OLIVIER MOUEBARRA est .
Tout est dans l ‘esquisse de projet de loi cadre (non signé) entre le Rwanda et la République du congo
Pouvez nous ressortir ce dossier svp ? Ça permettra à tout un chacun de le relire ligne par ligne et le commenter. M
Nous sommes , ce qu’on appelle en droit foncier , un bail emphytéotique sur terrain agricole . l’emphytéote ,c’est à dire le rwandais se doit s’adresser aux propriétaires terriens pour conclure ce bail .L’Etat , ne peut se substituer aux terriens ,car il n ‘en possède pas la faculté juridique .Ce contrat ,en soi , peut être contesté dans les tribunaux .
C’est aux rwandais de se rapprocher des terriens pour finaliser et valider le contenu de ce bail .
Un peu de droit foncier nous éloigne de la raison , beaucoup nous y ramène …
LIRE ,,se doit de s’adresser .
Nous avons ;; ce qu’on appelle .en droit foncier .