Denis Sassou Nguesso se paye-t-il (très cher?) Sud Radio pour tenter de contrer Libération ?

Prévenu, quelques jours avant la première publication de Libération, désastreuse pour son régime despotique, Denis Sassou Nguesso avait fait appel au Figaro, comateux quotidien français. Le journal, en chute libre, qui appartient au Groupe Dassault, fournisseur des Falcon présidentiels du Congo, ne pouvait refuser, au dictateur, un article contrefeu de l’historique n°12925 du Libération du 12 janvier 2023.

Au titre, « PETROLE CONGOLAIS, LE PRESIDENT, L’INTERMEDIAIRE, ET LES MILLIONS ENVOLES » de ce dernier, la réponse du Figaro du même 12 janvier a été un flop complètement passé inaperçu. Les communicants du Congo (Havas, Stéphane Fouks ?) ont-ils proposé de faire appel à André Bercoff  avec son émission «André Bercoff dans tous ses états» dont il est l’animateur sur Sud Radio ?

Le choix est on ne peut plus curieux. Ce journaliste, ancien corédacteur en Chef de Jeune Afrique (1968 à 1974) proche de François Mitterrand et Jacques Attali (années 80), de François Hollande (1982-1992) est devenu polémiste avec le temps et adepte de la théorie du choc des civilisations. Toujours selon sa fiche Wikipedia, « il est accusé par France Info de donner la parole, sur Sud Radio, à un monde « parallèle » de désinformation, qui comprendrait notamment des « complotistes »… » En 2020, Acrimed relaie un dossier du mensuel de critique sociale CQFD, qui estime qu’André Bercoff reprend depuis 2016 les « thèses favorites de l’extrême droite », inversant la relation dominant/dominé, notamment lorsqu’il fait des insinuations sur la menace du Grand remplacement ou dénonce le racisme « anti-blanc ». CQFD désigne André Bercoff comme étant « collaborateur des sites fachosphériques Boulevard Voltaire, Riposte laïque, Figarovox et de l’hebdomadaire Valeurs actuelles »22. Bref, un indéniable ami de l’Africain ou du Nord-Africain…

On imagine aisément le malaise de cet homme de conviction, André Bercoff, devoir « servir la soupe » durant une émission entièrement consacrée au pire des dictateurs et kleptocrates africains, Denis Sassou Nguesso !

Dès le début d’interview, le ton était ânonné par Denis Sassou Nguesso, face au « matraquage » (de la colonisation), le Congo résistait avec ses valeurs culturelles et philosophiques. La prison n’existait pas ! Les sociétés anciennes reposaient sur l’éducation et le respect des règles ! »(sic)

« Le strict respect des règles ! » … « La prison n’existait pas !» (sic) insistait-il !

« La corruption… le vol ! étaient inconnus ! Nous avons grandi dans des villages qui ne connaissaient pas la clef…. Il n’y avait pas de vol, pas de clef ! Cela était notre éducation, de génération en génération ! … Il était interdit de toucher ce qui appartenait à autrui ! C’était la règle ! … Ce qui appartient à autrui, faut pas toucher ! Ces principes étaient inculqués dans des cerces d’initiés, de génération en génération surtout auprès des jeunes notables ! »(sic et resic)

André Bercoff : « Est-ce que vous pensez que cette Afrique d’initiation existe encore, ou c’est fini ?

DSN : «Oui, elle existe encore ! Les buts ne sont plus les mêmes ! Elle est confrontée à des sociétés qui poursuivent des buts différents : l’enrichissement à tout prix, quels que soient les moyens employés, rentabilité et profits ! (Les méchantsTotal, Eni, Perenco ?)

Dans les autres ordres, ce sont les règles de droiture, de morale de vie ! Même simple, mais rigoureuse ! Je ne crois pas que les buts soient les mêmes. ! » (sic, sic et resic)

Denis Sassou-Nguesso rêve-t-il d’être béatifié de son vivant, avant même le Cardinal Biayenda ? Le vieux tyran congolais sait très bien qu’avec l’argent de son pétrole, il pourrait se payer tout un conclave de Cardinaux à Rome !

Depuis son retour au pouvoir en 1997, vingt-cinq années, il dirige personnellement le pillage du Congo ! Celui de son industrie pétrolière, des permis forestiers, des extractions minières, des revenus financiers et des moindres dépenses ! Il prétend dans ce numéro de mensonge savamment orchestré par un André Bercoff muet de toute contradiction, que les malheurs du Congo, les vols, les détournements colossaux qu’il a commis et ceux opérés par ses proches et sa famille («les jeunes notables ») découlent de la colonisation imposée au Congo !

« La prison n’existait pas ! » qu’il libère donc les prisonniers politiques, comme le lui demande depuis 4 ou 5 années maintenant le Président Macron ! Le Général Dabira a terminé de purger sa peine depuis quelques mois, qu’il soit libéré également sans plus tarder !

Que « tout ce qui appartenait à autrui » soit restitué à ses véritables propriétaires ! Que toutes les richesses, dont il s’est accaparé, soient rendues à la République du Congo et que cette dernière soit gouvernée dans «  les règles des sociétés anciennes et dans le respect de ses règles » comme, on ne sait par quel disfonctionnement mental, il s’est plu à le répéter !

La Rédaction

***********************************************************************************

PAROLES D’UN DESPOTE-MYTHO : SASSOU-NGUESSO CHEZ ANDRÉ BERCOFF !

Par Félix Bankounda-Mpélé

Les assoiffés, intéressés ou simples adeptes de la pensée égocentrique y trouveront évidemment leur compte. Puisque notre despote national, ressassant son enfance très précaire et les circonstances de son enrôlement dans l’armée, sans en filigrane louper d’établir un parallèle entre les lourdes pathologies politiques, psychologiques et criminelles dont il est porteur et les pratiques coloniales, parle avec réjouissance et en définitive de lui comme « général aujourd’hui ». En ne précisant bien entendu pas qu’il est général de corps d’armée autoproclamé, de la même façon qu’il s’est par ailleurs, deux fois de suite, en 1979 et en 1997, autoproclamé président de la République, avant de s’auto-valider frénétiquement quatre fois par la suite, en 2002, 2009, 2016 et dernièrement en 2021.

Sa mythomanie légendaire, jamais suffisamment assouvie, n’est pas en reste, et est même plutôt goulûment sollicitée ici. En effet, il ressasse encore qu’après avoir perdu les élections en 1992, il s’était retiré dans son village puis en France, où il avait mis à profit sa traversée de désert pour écrire son ouvrage, « Le manguier, le fleuve et la souris » (1997), authentique catalogue et bréviaire de la pensée perverse, dont il a du mal à se détacher et qu’il continue naturellement de relire, et reste partant frappé par la lucidité de son propos. Puisqu’il y annonçait qu’il retrouverait le pouvoir, et l’a évidemment reconquis. Mais en ne précisant pas, une fois de plus, qu’il y a été replacé par des forces financières et armées étrangères, non sans faucher au passage et sur le champ plus d’une dizaine de milliers de vies ! Non dépourvu d’humour, mais plus certainement dans la stratégie de brouiller les pistes, celui qui, à bientôt quatre-vingts ans, est obsédé par l’instauration d’une dynastie dans son pays et dans la sous-région, rappelle que l’ambition panafricaine du continent n’a pas disparu ! Une stratégie qu’il considère comme imparable et géniale, puisqu’il est parmi les plus grands dirigeants africains usagers de la théorie, du lexique de la démocratie et des droits de l’homme, pour ne pas être critiqué en la matière, tout en pratiquant savamment le contraire ! Il faut dire qu’il avait déjà réussi l’exploit sous le Congo dit socialiste, de 1968 à 1991, où tous les observateurs avertis savent qu’il clignotait toujours à gauche, mais virait quasi systématiquement à droite ! Au grand plaisir des Françafricains qui en ont ainsi fait leur joker….

Mais, et comme si cela ne suffisait pas, qu’en plus, du rêve merveilleux qu’il y promettait à son pays, longtemps et en permanence gavé d’un chapelet de slogans qui, souligne t-il, qu’ « il est beau, regorge de ressources, il est peuplé d’hommes et de femmes pleins de talents, d’énergie et de sagesse…il possède tout, le soleil, une terre féconde, de l’eau à profusion, des richesses naturelles »(p17) fort curieusement après près de quarante ans cumulés au pouvoir, l’eau dont il fait état et vante, coule effectivement partout en permanence, sauf dans les robinets ! Que près de 70% de son peuple vit sous le seuil de la pauvreté et de la débrouille selon toutes les institutions habilitées, que tous les revenus à caractère social traînent plus de 20 mois de retard, que le système éducatif est des derniers du monde et que le pays, gangrené par le pillage massif et décomplexé de lui et des siens, est surendetté… se trouve désormais au fond du trou, et sous-perfusion financière internationale chronique ! Tandis que lui, pour avoir, entre autres, réussi à construire l’un des plus grands hôtels (5 étoiles) dans une brousse de moins de deux mille habitants, et qui a évidemment laissé la clé sous la porte, a impérativement et d’urgence besoin d’un psy….de grande expérience et envergure. C’est forcément, et en raison du grand décalage entre les prétentions de l’illustre dictateur-incompétent et la triste, brûlante, judiciaire et nauséabonde actualité congolaise, la leçon qu’en a implicitement retenue André Bercoff.

Par Félix Bankounda-Mpélé

Diffusé le 19 janvier 2023, par www.congo-liberty.org

Ce contenu a été publié dans Les articles. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

12 réponses à Denis Sassou Nguesso se paye-t-il (très cher?) Sud Radio pour tenter de contrer Libération ?

  1. Françafrique. L'interview complaisante par Bercoff de l'autocrate françafricain Denis Sassou Nguesso dit :

    par SLT 18 Janvier 2023, 21:05 Sasou Nguesso Bercoff Françafrique Néocolonialisme France Congo-Brazzaville Dictature Collaboration Articles de Sam La Touch

    A savourer le court passage sur la Françafrique vu par Sassou Nguesso face à un Bercoff très timoré marqué par la déférence (à 33’00 » sur la vidéo ci-dessous « Bercoff dans tous ses états : Entretien exclusif de Denis Sassou-Nguesso, président du Congo »). Une interview digne d’un publireportage. Quant au débat sur les bienfaits et les méfaits de la colonisation française au Congo-Brazzaville (au début de la vidéo de l’interview), vu par les deux acolytes, nous avons affaire à un passage d’anthologie ! A déguster aussi la publicité bercoffienne sur le dernier livre de l’autocrate congolais. Une leçon de courage journalistique digne de ce que l’on fait de mieux ailleurs sur les chaînes d’Etat.

    On n’évoquera pas l’apologie par Sassou Nguesso de son ami Jacques Chirac (55’00 » sur la vidéo). Pour qui connaît l’histoire de la guerre civile au Congo-Brazzaville où les 3 E (Elf / Elysée / Etat-major) ont joué un rôle fondamental tout semble des plus limpide quant au système françafricain mortifère qui agit derrière les néogouverneurs françafricains. Un système qui continue à s’auto-glorifier via un magistère politico-médiatico-intellectuel sans la moindre autocritique tout en se targuant faussement des droits de l’homme et d’une certaine éthique mais dont la véritable ligne directrice politique en est l’envers. Enfin le meilleur pour la fin, à savoir les louanges sassouïennes sur la « Franc-maçonnerie », « l’initiation » et « l’humanisme » face au souffleur Bercoff (1h01’00 »). C’est à vous couper le souffle !

    Extrait de la fin de l’interview (voir plus bas) :
    Sassou Nguesso (SN) : « Nous on a gardé un bout de traditions »
    Bercoff (B) : « Et d’initiation »
    SN. : « C’est gardé dans nos villages là-bas. Moi je suis un initié. »
    B. : « Mais c’est très intéressant parce que vous parlez (ndlr : dans votre livre) aussi de la Franc-maçonnerie qui est une initiation aussi. C’est très intéressant que vous ayez mis les deux »
    SN. : « Mais je suis même bien placé pour comparer les deux. »
    B. : « Alors dites moi cela, ça m’intéresse »
    SN . « Des valeurs d’humanisme comme ce n’est pas possible dans les deux cas »
    B. : « Et cela se compare ? »
    SN. : « Cela se compare bien y compris dans les rituels »
    B. : « Y compris dans les rituels ? »
    SN. ; « Y compris dans les rituels ! »
    B. : « Très intéressant »
    SN: : « Y compris dans les rituels, je n’en dis pas plus »
    B: « Non non »
    SN: : « Y compris dans les rituels, l’humanisme »
    B. : « Vous voulez dire que… »
    SN. : « L’humanisme »
    B.: « L’humanisme »
    SN. : « L’humanisme, y compris dans les rituels »
    B. : « C’est très intéressant ».
    SN. : « Absolument »
    B. : « Merci beaucoup »
    SN. : « Merci cher ami ! »
    B. : « Merci ! »

    On en redemande ! On espère que Bercoff obtiendra la médaille de la Françafrique et accessoirement de la Franc-maçonnerie pour service rendu. Extraordinaire ! Merveilleux ! Humaniste ! Les mots manquent !

    Faut-il sauver le soldat Sassou ?

    Et, si on n’avait pas l’esprit mal placé on dirait qu’il s’agit d’une tentative de contre-feu à l’enquête de Libération sur l’affaire Orion Oil.. Mauvais esprit mal initié que nous sommes !
    http://le-blog-sam-la-touch.over-blog.com/2023/01/l-interview-complaisante-de-bercoff-de-l-autocrate-francafricain-denis-sassou-nguesso-video.html

  2. Samba dia Moupata dit :

    La santé mentale de ce grand voleur Sassou Dénis, pose vraiment problème ! Il fait exactement le contraire de ce qu’il dit ! Ça n’est pas une découverte il fait l’apologie de la sorcellerie Mbochi .Le président Massamba Débat rentrait des voyages , rendait le reste d’argent au trésor publique, ce dernier a commencé une révolution industrielle dont tout congolais approuvent unanimement. En tout cas les récents ennuis de son lieutenant Lucien Ebata qui transportait des millions d’euros dans les aéroports parisiens avec la complicité des policiers Français.

    Comme quoi les initiés Mbochi du temple de N’Gol’odoua ont détruit notre pays.

  3. Val de Nantes. dit :

    Les dernières onomatopées Sassouistes s’adressent désespérément à la franç – maçonnerie qui semble le lâcher. C’est un clin d’œil clivant , qui signe peut-être la fin de contrat politique entre un préfet négrophobe ,crin dessous ,et la mère patrie dont il assure les services multiformes au sein d’une pseudo – république…
    Son pare-feu ,contre les diatribes de libération ,ne l’a pas dispensé du florilège des critiques sur son implication dans cette nébuleuse affaire.
    L’ humanisme Sassouiste est un mélange de cannibalisme kaniste et de la poudre blanche.

  4. Val de Nantes. dit :

    Le Congo Brazzaville sous la pression des voleurs , déguisés en hommes politiques..

  5. SASSOU, LA CHUTE: LEÇONS A TIRER DES CONTRE-FEU ALLUMÉS PAR LE FIGARO, JOURNAL LIBÉRATION ET SUD RADIO. https://www.youtube.com/watch?v=lIBnmHZ13lg

  6. Leo kikadidi dit :

    Si Mandela avait choisit la violence verbale pour se venger l Afrique du Sud serait à feu et à sang.grace a Frédérique de klerk Mandela est devenu un grand de ce monde malgré ce que pensent les nationalistes les révolutionnaires et tous les va t en guerre.

  7. Léo kikadidi dit :

    Avant la colonisation c était l esclavage et ses razzias organisées par les sultans arabes certaines villes de la région portent encore leurs noms comme benghasou en centre afrique à cette époque il fallait dormir avec son coupe coupe oui grâce à la colonisation appelée mission de civilisation la tranquillité était plus ou moins acquise mais pour les nationalistes les révolutionnaires l esclavages c est 30 blancs sur un bateau qui réussissent à capturer des centaines de millier de personnes.

  8. BANA BA NKA dit :

    Il Y A UN TEMPS POUR CHAQUE CHOSE : On a assez parler de toutes ces choses qu’on ne fait que répéter.., moi ça m’énerve maintenant mieux vaut qu’on parle d’autres choses qui pourraient améliorées notre LIVITY. Le nécessaire est d’agir pour un plan d’equilibre et de survie. ceux qui se sont réveillés tant mieux, ceux qui dorment encore on s’en tape, peut-être qui se réveilleront tôt ou tard.

  9. Val de Nantes dit :

    Congo ,le déluge. Quand l’intelligence est dévoyée au nom de la sexualisation du pétrole , nous avons le spectacle ignoble que nous offre Sassou..et cie.
    Si dans une classe ,il y a des bons et mauvais élèves , c’est le résultat des niveaux de compréhension des savoirs acquis par chacun d’eux..
    C’est exactement ce qui se passe au Congo Brazzaville où le dernier de la classe prétend mieux connaître que le premier… Résultats : Un chaos généralisé du fait du manque d’opérabilité de l’intelligence ou du savoir.dans le fonctionnement normal d’un pays…
    La mauvaise foi , c’est se nier soi même..
    Voler l’argent ,en tant qu’intellectuel ,suppose une mauvaise interprétation de la philosophie du savoir ; ce n’est pas de l’intelligence..
    L’ acte de voler contredit les vertus de l’intelligence et renvoie à la bestialité humaine.
    L’essence du savoir ou de l’intelligence , c’est l’évidence ,donc une action qui se veut universelle..
    D’où le paradoxe Mbochi sur ses supposés diplômés , plantés au pouvoir..
    L’ être Mbochi n’arrive pas à transcrire son intelligence dans la gouvernance de la res publica ou chose publique…
    L’ intelligence ne vote pas son contraire ; elle est impériale .
    Conclusion : L’être Mbochi, de ce qu’il nous montre , n’est pas doué d’intelligence..
    Sinon comment expliquer cet écart entre la gestion chaotique du Congo et les exigences de l’éthique intellectuelle ??….
    Soit l’intellectuel Mbochi , c’est ce savant qui ne sait rien ; contrairement à Socrate qui prétendait ne rien savoir , maïs ,au fond ,il en savait plus que son interlocuteur.. C’est l’ironie socratique au moyen de cette maïeutique…
    L’être intellectuel Mbochi est -il ironiste ou simplement voleur ?.
    L’ être intellectuel Mbochi est étonnant !!.
    Kant ,au secours !!.

  10. Val de Nantes dit :

    Lire,, nous offrent.sassou et cie.

  11. Val de Nantes dit :

    Congo , quand le nombrilisme triomphe de la solidarité nationale…
    Si les politiciens mbochis ont une morale infectée de moralisme empreint de la mal gouvernance ,l’on pourrait dire à Dieu ,la possibilité de reconstruire le Congo Brazzaville sur la base des valeurs universelles..
    Car le vol n’est pas une valeur universelle ;mais un acte de violence à l’égard d’autrui ..
    Si l’on distribue la méchanceté on récolte la méchanceté. C’est l’instauration de la loi de talion. »: Oeil pour oeil dent pour dent « . comme disait Lénine « : pour un œil les deux yeux pour une dent ,toute la gueule. C’est la loi décadente de l’être humain.
    Si la résignation épuise plus encore l’être congolais épuisé ,la remobilisation congolaise déploiera , au moment opportun ,sa puissance revancharde.. En allant à rebours de ce vivre ensemble ,les politiciens mbochis feront face à cette source d’énergie vitale..
    Vivre c’est faire ; faire c’est vivre. Le Congo Brazzaville vivra.

  12. Le dernier kongo bantou dit :

    Pour les congolais qui avaient applaudi son retour par le coup d’Etat du 5 juin 1997, doivent aujourd’hui se mordre les doigts, et comme il est difficile de se renier par manque d’humilité,il faudra en assumer encore un long moment malheureusement !

Laisser un commentaire