De la majorité des congolais, Denis Sassou Nguesso et les siens doivent s’éloigner à jamais du spectre de la division, la haine, de l’apologie des tribus du Sud qui anéantiraient celles du Nord quelques minutes après sa mort et, le chef du clan affirmer solennellement à la population qu’il souscrit par avance à leur voeu de ne pas le voir candidat à un N ème mandat à vie ou de se faire protéger avec la candidature de son fils chéri après son septennat, en 2016 : une façon de favoriser la réconciliation de toutes les filles et tous les fils du Congo. Malheureusement, tel n’est pas le cas.
En effet, depuis l’âge et la maladie ont eu raison sur Pascal Lissouba et, avec la disparition de Bernard Kolélas, Nguila Moungounga Nkombo, André Milongo, Thyster Tchikaya ou de Noumazalay, ces charismatiques chefs ethniques, Sassou et les siens croient ne plus avoir face à eux des opposants qui les ébranleraient : alors qu’ils continuent à avoir peur malgré la présence à leur coté des franges du MCDDI et de l’UPADS, les autres partis comme RDD, RDPS et CNDD ayant fait allégeance.
Mais qu’est qui ferait encore peur au président Sassou, me demanderont surement les jeunes supporters et fanatiques du pharaon national! A ces compatriotes, surtout ceux âgés aujourd’hui de 40 ans et moins, je leur dirai tout simplement que ce sont des élections libre et transparentes à l’instar de celles présidé par Mgr Nkombo ou celles présidé par M° Jean Martin Mbemba qui avait avec lui André Nganfina de l’UPRN parti de Mathias Ndzon, avec Henri Ndjombo comme vice président à la commission technique. Pour vous en convaincre, il suffit que vous analysez de vous même ce rare document de preuve ci-dessous que certains congolais ne voudraient plus revoir.
Aucun dictateur-pustchiste ne cède démocratiquement le pouvoir dont il sait incapable d’y accéder à l’issu d’une élection.
Sassou aura donc toute sa vie souffert ce terrible complexe qui fait de lui un éternel président au pouvoir illicite, usurpé et honteux.
Désormais dans notre pays, comme partout ailleurs, le pouvoir vient du peuple souverain et non des coups bas. La platitude politique est terminée au Congo, tout au moins dans l’esprit des modernes!
La génération PCT est un passé révolu et à classer parmi les archives au titre : Echecs politiques.
Aussi, je pense que les gesticulations du despote de Mpila ne distrairont jamais le peuple congolais.
Les Congolais ont définitivement opté pour la DEMOCRATIE et un Etat de droit.