CONGO, DU ROYAUME À LA RÉPUBLIQUE : L’histoire d’un échec permanent, ouvrage de Souka Souka – Préface de Félix Bankounda-Mpélé

 Préface

Rechercher et diagnostiquer, en Afrique et principalement au Congo-Brazzaville, son pays d’origine, les causes de « la malédiction qui enferme le continent africain à la dernière place » sur la planète d’abord, pour, par la suite, rendre possible ou construire son émancipation, son développement. Telle est l’ambition de l’essai de Monsieur Souka-Souka. Pour y parvenir, l’auteur, qui initie sa construction par une indignation et une comparaison avec les autres pays, autrefois classés dans la même catégorie des sous-développés ou des non-alignés, fixe, tout de suite, la méthode ou la voie, insuffisamment mise à contribution sinon sciemment ignorée, qui est l’histoire.

« Que de Brazza soit cette référence, par exemple, ou que la célébration du cinquantenaire des indépendances africaines se déroule sur les Champs-Élysées obligent les hommes et les femmes d’Afrique à un sursaut », s’exclame-t-il d’entrée de jeu.

En effet, ces faits, indicatifs mais peu banals au regard de l’histoire coloniale, de ce qu’aura été sa brutalité et sa démolition de « l’âme africaine », et qui justifient son « cri de cœur », apparaissent à la fois comme l’expression et la conséquence du dédain de l’histoire, et de la consécration de la domination ou de la subordination des dirigeants africains à ceux des anciennes puissances colonisatrices.

Pour Souka-Souka, plus qu’une faute, ce dédain de l’histoire, véritable « manquement au devoir de l’histoire », explique, sinon est à l’origine du marasme africain, et particulièrement des peuples du Congo-Brazzaville : « comme le nœud gordien enserre le pendu, les citoyens Congolais portent le fardeau de leurs ancêtres dès leur naissance…Le destin du nouveau-né Congolais est donc scellé par la faute de ses parents. Il portera ce handicap toute sa vie », parce que, et au contraire des autres sociétés comme celles d’Extrême-Orient par exemple, n’ayant pas tiré les leçons de leur civilisation séculaire. D’où la conclusion suivante : « … il est impérieux d’exhumer les événements historiques y compris ceux qui fâchent en y associant les protagonistes des faits…pour une émancipation continue de la communauté des Congolais dont l’esprit et le corps ont autrefois généré une vieille et éminente histoire ».

L’opinion, et la proposition de l’auteur, rejoignent ainsi celles d’autres éminents historiens qui n’ont de cesse de raviver la mémoire. Parmi ceux-ci, et non des moindres, l’éminent professeur Elikia M’Bokolo, appelé par ailleurs le justicier de la Mémoire africaine, qui ne cesse de marteler que « … L’histoire de l’Afrique a été longtemps racontée sous le couvert de la colonisation, alignant une chronologie, une géographie ou encore une ethnologie, forcément réductrices… Les terres africaines regorgent d’une diversité qui a transcendé les millénaires. On doit se rendre compte de l’énergie qui les caractérise, avec du recul certes, mais loin de la culture muséifiée ou du pessimisme attaché à la situation politique actuelle… ». C’est, en quelque sorte, cet esprit qui anime Monsieur Souka-Souka : rechercher dans l’histoire du Congo la vérité, les leçons, les clés et codes, et donc l’énergie qui lui servira d’essence à son épanouissement et à son décollage.

Certes, le ‘devoir de mémoire’ revendiqué par l’auteur peut se révéler à double tranchant. Généralement évoqué pour des populations qui ont vécu des événements extrêmement douloureux pour travailler ou éduquer à leur éradication pour l’avenir, il peut à l’inverse apparaître comme un obstacle important au rebond ou à l’épanouissement des victimes. Ainsi, certains auteurs mettent en garde contre l’exaltation de ce devoir, quand ils ne lui opposent pas, au contraire, ‘le devoir d’oubli’. Ainsi, l’historien et philosophe français, d’origine bulgare, Tzvetan Todorov1, souligne que si la connaissance de l’histoire a un intérêt évident, le recours à celle-ci, poussé dans ses extrêmes, participe de la nostalgie et de la sacralisation et peut, sans rationalisation, détourner du présent et de l’avenir. Plus complexe, le philosophe Paul Ricœur2, tout en invoquant le « devoir de mémoire’, soutient également la nécessité du ‘devoir d’oubli’ dans l’hypothèse d’une histoire douloureuse, pour surmonter le travail de deuil et parvenir à une certaine insouciance. Plus résolu, Marc Augé3, quant à lui, exalte au contraire les vertus de l’oubli pour, dit-il, « goûter la saveur du présent, de l’instant et de l’attente ». Ce à quoi, l’auteur du célèbre programme ‘Mémoire d’un continent’ et justicier de la ‘Mémoire africaine’, Elikia M’Bokolo, rétorque que « je suis frappé par l’occultation politique et le désintéressement public de l’histoire de l’Afrique… On délaisse ou on réduit une histoire, puisqu’on l’ignore ». Dans tous les cas, l’éternel recommencement des valeurs et pratiques négatives en Afrique, essentiellement par ceux-là même qui étaient censés cultiver la vertu et donner l’exemple, et qui justifie largement le dernier rang du continent, n’impose en l’occurrence d’autre choix que cette connaissance historique, quitte à rationaliser ce devoir plus tard, puisque les acteurs du ‘sous-développement’, eux, sont toujours à l’œuvre.

Après ce préalable, cette indignation et surtout cette comparaison par ailleurs édifiante en ce qu’elle montre aujourd’hui l’écart de développement entre l’Afrique et nombreux de pays autrefois « sous-développés » et aujourd’hui « pays dits émergents » (Chine, Inde, Corée du sud notamment), il procède directement à l’autopsie de l’histoire congolaise sans toutefois se prononcer sur le concept même de ‘l’histoire’.

Il faut souligner qu’au long de l’évolution, ce concept a connu controverses et remises en cause. Entre la conception traditionnelle ou littéraire de l’histoire, aujourd’hui dépassée, comme étant « le récit des événements du passé » et celle de sa conception plutôt présomptueuse, et donc contestée comme « science de l’histoire », domine plutôt aujourd’hui l’idée de « connaissance historique » qui, ne pouvant prétendre, en raison de sa complexité, à la rigueur de la science, se conçoit davantage comme un essai de vérité et de connaissance du passé humain. Son objet (le passé), le sujet (le chercheur ou l’historien), le contexte (favorable ou pas à la vérité) et les moyens utilisés peuvent laisser place à une interprétation soit en fonction des limites des techniques utilisées et moyens disponibles, soit en raison des forces dominantes de la société.

Le travail de l’auteur, effectué dans un contexte de liberté et certainement à la suite d’une prise de conscience, mais surtout d’une volonté affichée de crever l’abcès en quelque sorte pour dénouer le nœud, intègre plutôt cette dernière approche et met en évidencecontingences et répétitivité de l’histoire congolaise.

Ainsi, dès les deux premiers chapitres de cette recherche consacrés à l’importance de l’histoire, et son dédain par les principaux acteurs, il revisite la question de l’origine du royaume du Kongo avant la pénétration coloniale, jusqu’au traitement des esclaves, en passant évidemment par les premiers contacts avec l’Europe et les sinistres transactions connues.

Sans doute plusieurs des aspects de cette période sont supposés déjà suffisamment traités et peut-on penser, a priori, que tout a déjà été dit. Souka-Souka nous livre et illustre ici, faits à l’appui bien entendu, la complexité de cette période où se mêlent la bêtise, la naïveté, la cupidité des dirigeants kongo et les responsabilités partagées avec les premiers européens (les Portugais). Autrement dit, les faits majeurs aujourd’hui déplorés, qui humilient, nuisent et entravent le développement du Congo, ne sont pas sans quelques antécédents dans l’histoire du royaume.

Ainsi, si l’auteur, contrairement à certains écrits qui tendent à lier l’apparition de l’organisation de l’Etat au fait colonial, démontre plutôt sa préexistence, il n’en souligne pas moins les pratiques prédatrices dès cette période : « … À la veille de la rencontre avec les Portugais, le royaume Kongo était bien un Etat avec un territoire bien identifié, un souverain qui gouvernait et des forces économiques et sociales qui agissaient en symbiose avec l’environnement du pays », note-t-il. Les raisons diverses et propres à l’Europe, notamment économiques, techniques, psychologiques et religieuses, vont pousser les ressortissants de ce continent à immigrer vers l’Afrique et inaugurer le déclin de celle-ci. L’auteur réitère ainsi la responsabilité de l’Europe car, « les récits contenus dans les documents très anciens, … apportent la preuve des dégâts causés par les Européens en quête d’une satisfaction de leurs besoins toujours renouvelée… ».L’établissement de ces faits, selon l’auteur, met à mal les positions du refus de repentance dans certaines capitales européennes mais aussi la rigidité à l’égard de l’immigration contemporaine des africains dont les motivations ne sont pas sans similitude avec celles des européens autrefois.

Cela dit, les Africains, les premiers dirigeants kongos en l’occurrence, sont loin d’être irréprochables dans le retard et la dérive aujourd’hui déplorés. L’esclavage notamment, dont on sait qu’il est l’un des plus grands drames que le Congo et l’Afrique aient subi, a, de manière naïve, des origines endogènes : « L’esclavage existait dans la tradition kongo sous la forme la plus naïve de la servilité. C’était un phénomène sociologique plus qu’économique… . Tout en étant considéré comme un être humain à part entière, il [l’esclave] était l’objet d’échange nullement mercantile» rappelle l’auteur. C’est aussi le dirigeant du royaume qui initiera auprès des portugais le commerce des esclaves qui, dans la version économique des visiteurs, s’enflera et entrainera des dégâts inimaginables sur le moment, la fameuse ‘traite négrière’ qui, « dans le golfe de Guinée a été un désastre en termes de dépeuplement », au plus grand profit des européens bien entendu.

La suite du travail est une illustration, à travers les différentes étapes de l’histoire du Congo, de l’éternel recommencement, des rendez-vous manqués et des pratiques négatives convergentes des dirigeants qui consacrent en quelque sorte une longue nuit noire, rançon du mépris de l’histoire et de l’inconséquence. Les résistances historiques, dont celle de Tchimpa Vita suite à l’acceptation du christianisme par le roi Alfonso 1er, au XVIème siècle, insuffisamment exaltées pour servir de repère et d’exemple, n’empêcheront pas le déclin du royaume, et plus tard la recolonisation consécutive à la conférence de Berlin. Nombreux sont les exemples développés par l’auteur pour démontrer l’absence d’ « introspection curative » et donc la répétition de l’histoire.

Ainsi, fait-il notamment un rapprochement entre les bénéficiaires de la traite négrière et de la rente pétrolière aujourd’hui, toutes deux sources des malheurs des peuples kongos et du Congo. Dans l’un comme dans l’autre cas, les dirigeants ont participé, sans état d’âme, à la sinistre transaction mais la part du lion est tout naturellement revenue à l’étranger : « la substance majeure (hier l’homme, aujourd’hui le pétrole) quitte le pays pour enrichir d’autres contrées », note-t-il. Un autre exemple, peu banal une fois de plus, confirme la répétition des faits historiques : la guerre entre kongos au moment de l’accession au pouvoir par Alfonso 1er, au XVIème siècle, fâcheux précédent qui suscita par la suite des tensions à l’occasion de l’avènement de chaque nouveau roi, serait en quelque sorte l’ancêtre des guerres civiles de 1959 et 1997 dont les conséquences dans la destruction du tissu national ne sont plus à démontrer. Du long règne d’Alfonso 1er, jonché de ‘bêtises’, le résultat fut l’ancrage des antivaleurs et, pour la postérité, la condamnation par l’histoire sous forme d’oubli par la mémoire collective.

Ces faits pour le moins marquants de l’histoire du royaume kongo auraient pu, selon l’auteur, servir de leçon et, comme tout mal profond dont on survit en définitive, susciter, par introspection et ‘blindage’, une certaine résilience4. Tel n’est pas le cas, constate-t-il, et déplore, de nos jours, la reproduction des mêmes pratiques négatives dans l’exercice du pouvoir. De façon claire, il en fait le procès, et en tire un principe politique : « Les dirigeants pensent faire le bonheur du peuple en s’agrippant à leur fauteuil contre vents et marées. En réalité, ils mettent tout en œuvre pour pérenniser des situations de rente aux dépens de la communauté… ». Par conséquent, « puisqu’en vérité nul n’est irremplaçable, il est bon que tout dirigeant se pare d’humilité pour coller à la réalité de ses résultats. Les longs règnes ne sont jamais heureux dans cette contrée, aussi bien dans le passé que présentement ».

Les étapes suivantes de l’histoire du Congo, dont Monsieur Souka Souka, conformément au principe qu’il s’est posé dès le départ d’en faire le plus objectivement l’éclairage et d’en tirer les leçons, aboutissent à la révélation de quelques ‘lois’ sociopolitiques et économiques de succession ou de reproduction des faits. Que ce soit la fameuse ‘Conférence de Berlin’ avec ses corollaires que constituent le ‘traité de Makoko-De Brazza’ et la ‘naissance du Congo français’, ou l’affirmation de la colonisation avec ses installations, ce sera, une fois de plus, une nouvelle page douloureuse de l’histoire dont les recettes, toujours les mêmes, fondées sur la supercherie, l’irresponsabilité voire le mercantilisme des dirigeants, n’auront de cesse de détruire et de ruiner le Congo.

En définitive, Congo du Royaume à la République, en n’esquivant pas les controverses traditionnelles comme celle de la responsabilité européenne dans la situation actuelle du continent, du Congo-Brazzaville en l’occurrence, et en relevant également la responsabilité particulière des dirigeants locaux, sur la base des pratiques négatives longuement décrites ici, apparaît, indiscutablement, comme une œuvre majeure, responsable et équilibrée pour tous ceux qui veulent comprendre le mal africain ; mais aussi pour ceux qui veulent agir. C’est un essai de calibre pour une connaissance historique de l’Afrique, du Congo, mais aussi pour l’engagement à la solution des problèmes qui s’y posent. Le ‘devoir de mémoire’ ici sollicité, loin de ressembler à un appel à la haine de l’autre ou à une quelconque revanche, prône plutôt compréhension, collaboration, résilience et reconstruction. C’est, en dernière instance, à un devoir de mémoire rationalisé qu’invite Monsieur Souka-Souka, et que confirme très nettement le meilleur de ce travail, le dernier chapitre.

Le gratin de la recherche de Monsieur Souka Souka c’est, en effet, le dernier chapitre où, tirant les leçons de son voyage dans l’histoire, il en arrive, après un constat accablant, à des propositions globales, d’essence politique, mais pas exclusivement, que l’on peut considérer comme des lignes directrices de la reconstruction de son cher Congo.

« L’examen historique des occasions ratées révèle bien que le Congo est malade de ses rois, ses présidents et tous ceux qui ont eu la prétention de le diriger à quelque niveau que ce soit » affirme t-il, tout compte fait. Cette conclusion, résultat d’une autopsie de l’histoire du Congo, n’est pas démentie par l’analyse constitutionnelle et institutionnelle d’aujourd’hui. Celle-ci démontre, ici comme dans la quasi-totalité des pays africains, ‘un président fort’ apparemment mais en réalité faible et largement dépendant des forces et intérêts étrangers, mais aussi des forces sociologiques et rétrogrades internes grâce auxquelles il survit. Cela au détriment des intérêts nationaux et de la construction nationale5. Le coût humain, financier et matériel de cette institution est énorme et, son maintien sous la même forme, avec d’énormes prérogatives, est l’aveu autant de l’addiction au pouvoir de ceux qui l’exercent que du manque d’imagination et de l’insuffisance du poids des idées.

Sur ce point, se révèle un autre apport d’envergure de cet essai, clairement exprimé : « L’imagination et la force de l’esprit doivent être à la base de toute démarche politique. La primauté de la réflexion est fondamentale en politique ». On ne peut mieux dire. On ne le dira jamais assez, rien de grand ne peut se faire et se réaliser sans une grande capacité de réflexion et de conception qui permet tant de systématiser que d’anticiper les obstacles, par l’attitude à adopter et les solutions à y apporter. L’histoire comparée, notamment la Révolution française de 1789 ou la Révolution américaine de 1776, nous en fournit des exemples par le mouvement des idées qui ont précédé ou accompagné ces événements. Comment au regard de la situation du Congo, ne pas souligner l’immense carence en la matière et donc les mésaventures vécues. On ne peut que constater là un vestige du monopartisme et de l’autocratie prolongés qui, exaltant la pensée unique, étaient résolument allergiques à la contradiction et à la critique que ne peuvent permettre qu’un contexte démocratique, que réaffirme l’auteur qui, une fois de plus, ne loupe pas le coche.

« Seule l’instauration d’une démocratie véritable mènera l’Afrique vers l’émancipation et l’indépendance authentique ». C’est un truisme, serait-on tenté de dire. Sauf que le Congo d’aujourd’hui, avec des autorités issues d’un coup d’Etat aux conséquences humaines monstrueuses, et qui maintiennent cet esprit, ne cultivent que la ‘démocratie du verbe’, comme hier d’ailleurs avec ‘le socialisme du verbe’, véritable supercherie entretenue dans l’intérêt principal du clan dirigeant et de ses soutiens.

En tout état de cause, les propositions sont foisonnantes, courageuses, solidement étayées et vont notamment du « transfert de la capitale du Congo à un tout autre endroit au centre du pays… », à des mesures économiques et administratives diverses, pourtant élémentaires et allant de soi parce que rationnelles, et pour cela depuis mises en œuvre ailleurs, mais escamotées et ignorées au Congo en raison des éternelles ‘bêtise’ , ‘inconséquence’ et ‘incompétence’. Autant de maux qui ne connaîtront jamais un début de solution qu’avec la reconnaissance de l’Etre au cœur de l’action publique, l’esprit de dévotion, les valeurs nouvelles, « la concorde et par conséquent la paix… » véritable dont on ne pourra faire l’économie. Mais, pour cela, conclue-t-il, « Il faut donc aider à faire de la politique autrement… », parce que « la noblesse d’un homme politique se situe dans le rôle qui lui incombe de servir de catalyseur aux idées de fond qui vont changer la société ».

Félix BANKOUNDA-MPELE

Juriste, Diplômé de science politique

Membre, Expert à l’Institut International

De Droit d’Expression et d’Inspiration Françaises

 

1 Tzvetan Todorov, Les abus de la mémoire, Paris, Arléa, 2004 

2 Paul Ricœur, La mémoire, l’histoire, l’oubli, Paris, Seuil, 2000 

3 Marc Augé, Les formes de l’oubli, Paris, Payot & Rivages, 2001 

4 En ce sens, principalement, les travaux de Boris Cyrulnick, notamment, De chair et d’âme, Paris, Odile Jacob, 2006 

5 Cf. Félix Bankounda-Mpélé, Repenser le Président africain, in Revue Politique et parlementaire, 2011, 113ème année, n° 1058, pp. 139-155. L’auteur souligne, par ailleurs et en substance, ce qui suit : « Que de temps, d’argent, de compétences, de valeurs, de rendez-vous, de vies sacrifiés à cause des … présidents de la République », in L’incroyable naïveté électorale, en ligne, Mwinda, avril 2009

L’HARMATTAN NOTRE PARTENAIRE

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