Sassou à la Mouambe, les fossoyeurs du Congo
L’heure est aux comptes après la signature le 11 juillet 2019 d’un accord de trois ans entre le FMI et le Congo-Brazzaville où les arriérés de pensions, les retards de salaires et les impayés de bourses ne se comptent plus.
Clément Mouamba, dans ses petits souliers, a eu le triomphe modeste au cours du point presse du 18 juillet 2019, une attitude qui contraste avec l’explosion de joie et les clameurs venues des quartiers Nord de Brazzaville. L’accord avec le FMI a été arraché au forceps grâce au soutien appuyé de Paris en vue de reconstituer les réserves d’échange de la CEMAC qui avaient fondu comme neige au soleil comme l’a reconnu Pierre Ngolo, le Président du Sénat au cours de l’entretien du 16 juillet 2019 avec Bertrand Cochery. « Le plus difficile reste à faire, c’est-à-dire l’application des réformes de sortie de crise retenues dans l’accord conclu entre le Congo-Brazzaville et le Fonds monétaire international (FMI) » a concédé, un tantinet lucide, Clément Mouamba.
Calculette
Le Premier Ministre, responsable de la banqueroute de la Banque commerciale congolaise (BCC) adoptant un profil bas a fait l’addition. Clément Mouamba muni de sa calculette, a fait les comptes. 780 milliards de francs CFA vont tomber dans l’escarcelle du Congo-Brazzaville à la faveur de l’appui financier des bâilleurs internationaux. Alouettes tombées du ciel toutes rôties, la Banque africaine de développement (BAD) va octroyer une aide de 262 milliards de francs CFA, la Banque mondiale environ 171 milliards de francs CFA ainsi que la France plus de 89 milliards de francs CFA, en plus du crédit de 259 milliards de francs CFA que devait verser le FMI.
Corruption
Clément Mouamba n’a soufflé aucun mot contre la corruption. Pas plus davantage qu’il n’a pipé mot contre les malversations financières, les deux véritables et principaux maux qui minent l’économie du Congo-Brazzaville. Clément Mouamba n’est pas assez offensif contre les vols, la kleptomanie, les détournements des fonds, et la dilapidation des deniers publics. Le dilettantisme de Clément Mouamba à cet égard est incompréhensible pour qui veut lutter contre la mauvaise gouvernance et contre la corruption.
Clément Mouamba n’a pas disserté sur la haute autorité de lutte contre la corruption (HALC). Pourquoi la HALC n’est toujours pas installée et ses membres pas connus ? Et la déclaration du patrimoine des personnalités publiques ? Les auteurs de la mauvaise gouvernance financière sont connus et sont toujours en place. Peut-on tirer du vin dans des vieilles outres ?
Avec une prudence de sioux, Clément Mouamba a évoqué, sans indexer les resquilleurs, l’épineuse question de gestion de la dette extérieure et intérieure qui est assimilée à un maquis. Christel Sassou, Gilbert Ondongo, Jean-Jacques Bouya, Jérôme Koko, Jean Bruno Richard Itoua, Denis Gokana, Lucien Ebata, Calixte Nganongo, Maixent Raoul Ominga, chacun de son côté, a emprunté à tout va. Qui a emprunté quoi, combien et à qui ? L’audit de la société pétrolière SNPC n’a pas été évoqué par Clément Mouamba.
Dette
La dette totale est chiffrée actuellement à 5580 milliards de francs CFA. Dans ce montant, a poursuivi Clément Mouamba, il y a la dette intérieure des opérateurs économiques estimée à 1700 milliards de Francs CFA alors que Djibril Bopaka, le patron des opérateurs du Congo-Brazzaville évalue celle-ci à 3000 milliards de francs CFA. Où se situe la vérité ? La dette à l’égard des traders, environ 965 milliards de francs CFA. Pourquoi les négociations avec les traders pétroliers Gunvor, Glencore, Trafigura, Vitol, Mercuria n’ont-elles pas été engagées jusqu’à ce jour ? Clément Mouamba n’en a dit mot se contentant d’affirmer que le gouvernement a promis initier des discussions sur le sujet avec les traders avant la fin de l’année. Que de temps perdu.
Pour se faire rembourser, les traders pétroliers se servent à la source. Les traders pétroliers qui ne sont pas des philanthropes retirent une quantité suffisante du pétrole brut pour recouvrer leurs créances. Cette situation réduit considérablement les marges de manœuvre financières du Congo-Brazzaville. Quid du retour dans le giron national des gisements de pétrole arrivés à maturité cédés gracieusement à Denis Gokana(AOGC, PECCO), Yaya Moussa (continent), Lucien Ebata (Orion Oil Limited) Willy Etoka (Eco Oil)… ? C’est une recommandation du FMI parmi tant d’autres qui ne semble pas intéresser Clément Mouamba.
Denis Sassou Nguesso peut-il se tirer une balle sur le pied en livrant à la vindicte publique les membres de son clan ? Pendant que le FMI conseille le Congo-Brazzaville sur la nécessité de réduire le train de vie de l’Etat, Denis Sassou Nguesso, bon prince, multiplie les institutions politiques (Conseil national du dialogue de Martin Mbéri, Conseil national de la jeunesse de Gavey).
Tous les six mois, une mission d’évaluation du FMI effectuera le déplacement de Brazzaville. Le verdict tombera à l’issue desdites missions. Et, l’heure de vérité sonnera. Soit l’accord du Congo-Brazzaville avec le FMI suit son cours normal, soit il devra subir un coup d’arrêt. C’est quitte ou double. Ou ça passe, ou ça casse. Qui a dit que « le plus dur restait à faire ? »
Benjamin BILOMBOT BITADYS
On le sait tous: chassez le naturel, il revient au galop…DSN est une vieille carte usée qu’il faut changer.
Gavey, aussi, est devenu commissaire? C’est son premier emploi? Ah mes parents là!
Bref, passons!
Bel article. C’est possible que le Congo ne vole pas un seul kopeck des prêts internationaux. Le tout dépend de la volonté des bailleurs de fonds,qui moyennant une réforme de la gestion de la trésorerie peuvent bloquer tous ces kleptocrates. Mais ont-ils cette volonté ou veulent-ils simplement nous maintenir attachés avec cette corde de la dette au coup pour mieux nous contrôler sachant que sans contrôle strict, Sassou va piocher sans retenue dans la caisse.
Du temps de Mobutu, le FMI et la Banque Mondiale avaient placé un allemand à la banque centrale du Zaïre pour surveiller la destination de l’aide internationale. Cela avait marché au point où les mobutistes ont recouru à la violence physique pour faire faire Mr Blumenthal qui n’en pouvait plus. C’était du temps de la guerre froide et de la guerre de l’Angola dans laquelle Mobutu jouait le rôle de laquais des occidentaux.
Aujourd’hui, il n’y a plus de guerre froide. On peut bien imposer à Sassou un Blumenthal qui leur fera voir les petits oiseaux. Mais avant cela, il faut limiter le plafond des autorisations des décaissements des fonds des kleptocrates, notamment des fonds empruntés. Le gouvernement congolais ne devrait pas signer une autorisation de décaissement supérieure à 1 millions de dollars sans la permission des prêteurs. Tout décaissement supérieur à 1 milliards de cfa doit faire l’objet d’une présentation devant un conseil réunissant les bailleurs de fonds et le gouvernement congolais. Toute commande de l’état supérieur à 500 millions de francs doit faire l’objet d’une revue d’un comité réunissant les bailleurs de fonds et le gouvernement congolais. Il en va de même pour la sélection des entreprises fournisseurs des services qui doivent être choisis par un comité de sélection réunissant les bailleurs de fonds et le gouvernement congolais . Fini le temps d’adjudication des marchés publics de gré à gré avec des surfacturations.
Ce n’est pas sorcier. Ces gens peuvent être coincés dans l’utilisation des emprunts internationaux. Mobutu fut coincé un temps. Pourquoi pas ces kleptocrates. C’est une question de volonté.
Si j’ai un conseil à donner aux membres du clan sassou, c’est de leur dire de ne pas s’arrêter de chacun de mettre beaucoup de milliards dans leur comptes.
C’est maintenant ou jamais les gars.
Que chacun se serve copieusement avant qu’il ne soit trop tard.
Il vous reste 6 mois pour tout vider. L’occasion ne se présentera pas souvent.
Lé dza,
Lé noua,
Lé tonga ndako ya étages,
Lé piné bassi kili-kili,
Lé bina zoba-zoba !
C’EST BON COMME ça !
SERVEZ VOUS LES GARS !
C’est très triste de constater que malgré ce désastre que vit notre pays les Mbochis ne changent pas d’habitude hier autour de 19 h à la vallée village en région parisienne j’ai vu le petit instituteur devenu général Jean olessongo Ondaye dépenser près dix mille euros dans un magasin des vêtements de grand luxe ,ce dernier accompagnés des deux gardes du corps arrivés du pays . Combien à coûter le voyage du général Mbochi au trésor publique congolais ? J’en sûr que dans six mois la mission d’évaluation du FMI déclarera la caducité de cet accord . Merci beaucoup à mon petit frère Bitadys le seul docteur en économie qui se distingue contrairement à certains rigolos qui se prétendent économistes .
Ce post s adresse a samba dia moupata
Cher samba toujours prêt à noter les uns et les autres.je t ai laissé un post à la suite du papier de bankounda Félix.j attends ta réponse
Pour ce post je vais utliser la méthode rationnelle d analyse et non émotionnelle dans la théorie du réseau bien comprise par le premier ministre clément mouamba.il est un point du réseau sans pouvoir réel.il a reçu en otage le poste de premier ministre.il ne faut pas lui demander. D accuser les principaux points et boucles du réseau.il fait ce qu’ il peut.peut il démissionner de son proprechef.la réponse est non au nom de la survie du réseau sinon c est laprison.alors. samba le dire est ce excuser le pouvoir ou faire seleument son métier d analyste?
Bonne réflexion et bonne lecture
Ce serait un pléonasme que de dire que les mbochis sont ontologiquement prédateurs des deniers publics et ils ne peuvent s’en soigner .
La seule chose dont j’aie faim : c’est les voir partir,illico presto ,du pouvoir pour ramener ,tant soit peu ,le calme au pays .
Le Congo est un vaste futur chantier où des ateliers thématiques pour son redressement moral , économique et institutionnel .Le bavardage ambiant dans lequel il a toujours baigné sera de l’ordre des mauvais souvenirs .
Pendant ce temps là ,les ougandais finalisent la sortie de leurs premiers véhicules .Si ce n’est pas une malédiction pour le CONGO ,aidez moi à trouver un autre nom .
Alors , les ougandais ,futurs chinois ou pas ?
Ouganda dispose t’il du pétrole ?
Connaissance immatérielle contre matières premières , à nous de choisir .
La honte a désormais trouvé son nom : les MBOCHIS .
Et dire que l’on se bat à garantir leur avenir , une histoire loufoque .
Tous ces dignitaires ne semblent pas comprendre que leur train de vie doit être revu à la baisse par rapport à la conjoncture actuelle.
Un simple ministre congolais, avec un salaire mensuel de 10 millions de F net et non imposable, gagne plus que le Premier Ministre Japonais ou le Premier Ministre britannique. Le salaire du premier ministre congolais est supérieur à celui de son homologue français.
MON CHER BILOMBO,
NOUS AVONS DÉJÀ IDENTIFIÉ LES CAUSES DE NOS PROBLÈMES.
POUR RÉSUMER, NOUS AVONS AFFAIRE À UN COUPLE DE PERVERS (DES OCCIDENTAUX MAL ÉDUQUÉS ET LES IDIOTS DE SERVICE CONGOLAIS DONT LA Moambe CONSTITUE UNE SAUCÉE).
POURQUOI REVENIR CONSTAMMENT SUR CE QUE LES ÉLÉMENTS DE CE COUPLE VEULENT NOUS FAIRE CROIRE TOUS LES JOURS.
NOUS DEVONS TROUVER LES MOYENS D’INITIER OU DE SOLLICITER LES JURIDICTIONS QUI PEUVENT EMPÊCHER SES PERVERS DE CONTINUER LEUR FUITE EN AVANT.
CE QUE FAIT CET INDIVIDU (mouamba) N’A PAS DE SENS, SAUF CHEZ LES FRANC-MAÇONS.
DOUCHE FROIDE POUR FIRMIN AYESSA A LA CÉRÉMONIE INAUGURALE DU CENTRE CULTUREL DE MAKOUA.
La mobilisation des populations a été faible. Et Firmin AYESSA a tout verrouillé la cérémonie qui a été une honte ! Il a été humilié. On n’a malheureusement pas d’images.
De sources sûres, la résistance extérieure contre la dictature de Denis Sassou Nguesso vient d’apprendre que la cérémonie inaugurale des œuvres sociales de la société ENI-Congo à Makoua par Firmin AYESSA, envoyé spécial de D. Sassou Nguesso, a été un échec.
Qui est Firmin AYESSA ?
Cumulant les fonctions familiales de gendre et politiques de ministre de D. SASSOU NGUESSO depuis de nombreuses années, F. AYESSA est son homme de main, exécutant à la lettre tous ses ordres. Il est même devenu expert pour ses sales besognes.
Que s’est-il réellement passé à Makoua du 17 au 19 juillet 2019?
Pendant que les retraités congolais accumulent plusieurs mois sans pension de retraite, femmes et enfants meurent de faim et de maladies par manque de soins adéquats, F. AYESSA prétextant vouloir aller inauguré la direction de la caisse nationale de sécurité sociale (en sigle CNSS), est entré en collusion avec Monsieur ONDONGO, directeur de ladite caisse, et a fait mains basses sur celle-ci en détournant plus de 564 millions de F CFA.
En réalité, la cérémonie concernait l’inauguration du centre culturel, construit par la société ENI-Congo et non la CNSS. Une autre partie de cet argent détourné, a été reversée à la présidence de D. Sassou Nguesso. Malheureusement, ces tentatives de corruption à grande échelle n’ont pas eu l’effet escompté.
En effet, à son arrivée à Makoua le 17 juillet 2019, F. AYESSA, s’est heurté à une ville morte: les populations ne s’étaient pas déplacées pour l’accueillir. Il n’y avait pas un seul chat dans les rues de Makoua : une véritable douche froide ! Humilié et pris de colère, le ministre F. AYESSA a convoqué le Maire de la ville de Makoua, et lui a ordonné de convoquer tous les chefs de villages, chefs de quartiers, chefs des groupes folkloriques, chefs des confessions religieuses, etc… pour venir participer à la cérémonie inaugurale du centre culturel, menaçant de punir ceux ou celles qui ne s’y présenteront pas.
En dépit de ces injonctions et menaces, les populations ne se sont pas déplacées massivement pour autant ! De même, les autorités ministérielles de fait et préfectorales chargées par le pouvoir de prendre part à cet événement, ont fait volte-face.
Quel était l’objectif principal de cette cérémonie ?
En voulant montrer à la communauté nationale et internationale que le président de fait D. Sassou Nguesso était encore populaire dans cette agglomération de la partie septentrionale du pays, F. AYESSA avait sous-estimé le degré de la prise de conscience des congolais vis-à-vis de ce régime d’un autre âge.
Par ce refus, ces populations viennent de désavouer sans ambiguïté ce régime politique. De ce qui précède, la résistance extérieure à la dictature du Congo, conclut que les conditionnalités exigées par le Fonds Monétaire Internationale (FMI) de l’accord d’aide financière pour le Congo, à savoir, la bonne gouvernance, la démocratie et la paix ne seront pas au rendez-vous.
Honte à ce mode de gouvernance par la corruption, la violence et les intimidations !
Fait à Paris le 20 juillet 2019
Les réseaux périphériques de la résistance Extérieure contre la dictature du Congo-Brazzaville. https://www.youtube.com/watch?v=MW9cOPTTnxY
.
Vous croyez vraiment que Mouamba est un premier ministre chef de gouvernement? Il a quelle politique et quelle force? C’est franchement pour le malheur du congo. Pitié
Anonyme a raison.
Mouamba n’est qu’une marionnette, un porteur de calendrier qui sert à enfumer les naïfs. Sassou l’a mis là espérant donner une consistance au Sud. Peine perdue, Mouamba est un valet sans fonction véritable. C’est un corrompu.
Sinon, comment travailler avec un putschiste champion de la kleptomanie et des coup d’Etat?
Laissez les MBOCHIEURS dans l’eau continuer leur : –
Lé dza,
Lé noua
Lé tonga ndako ya étages,
Lé piné bassi kili-kili,
Lé bina zoba-zoba,
et dans 6 mois le FMI bloquera définitivement tous les robinets et suspendra ce minuscule et ridicule prêt.
Les Mbochieurs dans l’eau… fêtent des nuits entières et appellent ça : « Soirées FMI »
Allez plus vite : Lé yiba mbongo ya l’état.
Dans 6 mois quand tout sera bloqué, ils finiront par détaler d’eux même du pouvoir.
Rira bien qui rira le dernier.
Au sein des administrations’ publiques, plus précisément dans les ministère, chaque poste de depense, obéit à des critères de gestion publique bien specifiques. C’est au sein de la division finance composéé des pôles recettes et dépenses qu’on traite toutes les sorties d’argent. La moindre commande publique ou demande d’achat (appelé engagement judique et sigglé EJ) qui émane des differents services ou départements génère tout un circuit de traitements et de décisions qui part de la base au sommet ou inversement. Si cette commande fait partie des charges de gestion courante elle est dite dépense de fonctionnement et obeit a un traitement specifique, et lorsqu’elle excède un certain montant, elle est considérée comme une depense d’investissement, évidemment toute depense somptuaire est exclue. Chaque service ou département a travers son responsable financier doit établir ses besoins en fonds de roulement en fonction de son budget annuel.
Un visa approuvé par un gestionnaire ou responsable, est necessaire pour chaque bon de commande . Une constatation du service fait est à notifier lorsque le bien est reçu ou la prestation de service exécutée par l’entreprise fournisseur.
La constatation du service fait en sigle SF donne lieu à un mandatement ou un ordonnancement de paiement après s’être assuré des liquidations en cours. Le paiement s’effectue par une agence comptable publique agréée d’état (au trésor ou à la cca lorsqu’il s’agit du pays).
L’ordonnancement s’effectue par un responsable de service ou un ordonateur principal de l’État a savoir le ministre lui même ou ses délégués. le code procédural des marchés public nous aide à comprendre la nomenclature, l’organisation et les lois de finance publique qui changent quasiment tous les ans. un comparatif detaillé doit être fait pour améliorer notre système de gestion publique au congo.
Oops! Lire ci-haut: …lorsue le bien est reçu ou la prestation de service -est- excutee par lentreprise fournisseur.
(Clavier qwerty sous Windows 7, pas évident)
La chefferie mbochi le pays où on applaudit les assassins et les voleurs et où on célèbre les dettes
pays uni !
La chefferie mbochi fonctionne selon le système de ponzi « oyo ekoya eya ! »
CONGO ,open bar pour les mbochis prédateurs inguérissables .
Le mbochi un bonobo, il ne changera jamais, trop paresseux, mountou woua mpamba mpamba
d’ailleurs mbossi veut dire chèvre, c’est vraiment des chèvres
le kani laisse ton enfant sans moyens d’existence pendant 24 mois ! tout seul à l’étranger sans aide sans secours il appelle à l’aide que reçoit il ? des brimades la bastonnade des menaces
et que fait le parent il va s’agenouiller faire une génuflexion devant le kani en guise de remerciement ou ! oui ! on remercie le kani pour les mauvais traitements reçus par son enfant ! au nom de l’avenir des mbochis !
Les autres ethnies sont maintenant spectatrices de l’avenir des mbochis on va finir par changer l’hymne ça sera l’hymne de l’avenir des mbochis
pays uni !