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Congo Brazzaville : enjeux et perspectives géostratégiques. Débat du 26/11/2015 à Paris essentiellement consacré au Congo Brazzaville et ses connexions avec la France.
Intervenants :
– Olivier Stirn (Les Républicains), homme politique français, ancien ministre sous cinq présidences et ancien député. Président du CNFD (Conseil National des Français pour la Diversité).
– Modeste Boukadia, homme politique congolais, président du CDRC (Cercle des Démocrates et Républicains su Congo).
– Débat animé par Dimitri MBAPPE NJOME (Journaliste).
Modeste Boukadia n’est pas explicite et percutant dans ses interventions, on ne perçoit pas clairement le fond de son combat, sans oublier qu’il ne fournit pas des arguments juridiques, politiques, économiques et humains solides pour mettre en évidence les l’illégalité et l’illégitimité de Sassou.
C’est un homme politique, qui a décelé les vrais maux d’un pays et son auteur qui est Sassou, mais il a du mal à faire passer le message, même auprès de son contradicteur, qui va jusqu’à souligner qu’un référendum est bien un moyen démocratique pour consulter le peuple, c’est ce que Sassou a fait, et c’est au peuple de décider, puis il y aura les élections présidentielles, où il faut que le peuple décide. Ce pauvre français n’a pas encore compris que tout est tricherie, aussi bien le référendum que la prochaine élection présidentielle…
Encore une fois, Robert Poaty ou Modeste Boukadia ont encore besoin d’un recyclage, puis d’un perfectionnement pour relever le niveau des débats qui leur seront proposés à l’avenir, sinon il faudrait qu’ils se fassent représenter par des Congolais de la trempe de Mingwa Biango.
C’était juste un conseil pour avoir été déçu par la qualité de ce débat, au cours duquel c’est même le journal qui était obligé de rappeler certains faits cruciaux pour décrédibiliser Sassou et son pouvoir, alors que c’était à Modeste Boukadia de le faire.
Figurez-vous que je ne suis pas pour la partition du Congo, mais j’apprécie les débats contradictoires, les confrontations intellectuelles, l’affrontement des idées, au bout desquels on en tire toujours des enseignements enrichissants. En revanche, je ne tiens plus à débattre au sujet de la sécession du Congo.
Bon courage à vous, les séparatistes !
Dany,
Comment tu ne veux plus discuter? Les choses ne font que commencer et tu nous annonces ton départ. Soyons sérieux!
Toi qui es partisan du Congo actuel, quel est ton argument pour son maintien? Que fais-tu du droit des peuples à l’auto-détermination? Que dis-tu du martyr des Kongo, Téké et des Ngala non mbochi? Pour vous, il faut attendre la mort de petit satan pour vivre mieux comme si la mbochisation du Congo est du fait seul du luciférien sassou?
Non, en 55 ans de mariage forcé, les mbochi n’ont apporté au Congo que la régression, le malheur, les antivaleurs, la sauvagerie, la barbarie, etc. Nous n’en voulons plus! Aussi, nous avons le droit de choisir notre propre destin. Ceux qui veulent vivre avec les mbochi, qu’ils créent leur république, car tout ce qui se ressemble, s’assemble. Nous ne ressemblons pas aux mbochi. C’est la raison pour laquelle, nous refusons de vivre avec eux. Qu’ils aillent sur leurs terres. C’est tout ce que nous Kongo demandons.
OK MAYISSA ,ta remarque vaut son pesant d’or , d’où l’importance des conseillers .Mais ils doivent bien se calibrer intellectuellement pour faire aboutir ce projet, qui salive nombre des sudistes qui n’en peuvent plus .
Ce projet est attendu par nos compatriotes du sud , nous leur devons ce devoir de vérité historique .La matérialisation de celui ci , est le début d’un bonheur collectif de se retrouver entres fils issus des entrailles communes .
Cette volonté de séparation relève des instincts naturels que peut exprimer une personne normale ,lorsque qu’elle se sent menacée .
Naguère , nos arrières arrières grands parents ,créaient des villages, au gré des humeurs qui y prévalaient, au point que certains en devinrent des chefs de terre .
les séparatistes du sud, ce sont des chercheurs du bonheur des gens du sud .
le comportement politique de SASSOU participe de ce sentiment , au profit des gens du nord , que tous ces nordistes n’en profitent point, il n’en demeure pas moins que leur silence est une bénédiction à la politique tribalo-géographique qu’incarne SASSOU .
Que le PCT parti nordiste par excellence , commence par dénoncer les dérives tribalistes institutionnalisées au sein de l’appareil de l’Etat .
Ne demandez pas aux victimes sudistes de corriger des erreurs dont elles ne sont pas responsables , car il y a des séparations qui ne disent pas leur nom .
Cette vision politique sectaire de SASSOU SYMBOLISE clairement la division du pays . .MODESTE BOUKADIA ET ROBERT POATY ne sont que les clones du monstre SASSOU et nul ne pourrait leur en faire porter la responsabilité , l’histoire est avec eux .
Le PCT est une création idéologique avec des fondateurs venus du nord, comme du sud, vous le savez tous. Le fait d’instrumentaliser les divisions tribales depuis plus de 30 ans, a fait du préfet zident, un homme incontournable sur la scène politique congolaise. En s’en prenant systématiquement aux ressortissants de la partie sud du Congo, il nous pousse vers la division. Il nous pousse dans nos retranchements et fait ressortir le reflex tribal qu’il y a chez certains africains. Ce reflex tribal, il le retourne après contre les ressortissants du nord. Il répète ainsi, sans cesse, et ce depuis son accession au pouvoir, l’instrumentalisation de la division entre le nord et le sud. C’est le reflet de son état psychologique. Un complexe d’infériorité qui s’est mué en haine du sudiste très tôt. En bon rancunier, il ne manque pas une occasion de se venger des ressortissants du sud. Tout ceci dans un seul but. Se maintenir au pouvoir. Accepter la division, c’est se placer au même niveau de médiocrité que le préfet zident. Répondre au tribalisme par le tribalisme. La Médiocrité par la médiocrité. C’est le résultat de notre incapacité à produire des idées suffisamment forte et puissante pour favoriser le vivre ensemble. Je comprend la colère et l’exaspération des ressortissants du sud Congo. Mais nous devons nous battre ensemble pour faire partir le serviteur infatigable de l’impérialisme français. Les ressortissants du nord doivent donner des gages de confiances en s’impliquant d’avantage, et ce de manière plus démonstratif, dans la lutte de libération qui est en cours. Plus de solidarité des ressortissants du nord vis à vis des martyrs du sud du Congo. C’est sans doute à cette condition, que l’union dans la lutte de libération, deviendra une union nationale. Sinon, vous donnerez raison aux arguments des séparatistes à qui les évènements récents donnent un éco particulier.
Attention les gars! Les Kongo ne sont pas des séparatistes. Les séparatistes sont les mbochi qui ont instauré l’apartheid au Congo avec leurs pratiques ethnocides et ethnicistes qui consistent à tuer le Mukongo pour s’accaparer de ses richesses. Aussi, si vous êtes courageux, vous devez commencer par reconnaître cette évidence qui dure depuis juillet 1968.
C’est drôle votre façon de raisonner. Quand on met à nu vos pratiques, vous criez au tribalisme alors que les ethnicistes sont vous les mbochi qui ont tout mbochisé au Congo.
Referendum de changement constitutionnel egal referendum d’auto-determination , ok? Allez basta
Bonjour, voici un autre éclairage…
https://sudcongo.files.wordpress.com/2015/12/grande_nterview_modeste_boukadia_diaspora_n005.pdf
Chers compatriotes, bonjour!
J’ai pris de mon temps pour écouter et visionner le débat contradictoire entre Mr Boukadia et l’autre vieux roublard Gaulliste. Que dire donc de ce débat ou plutôt de cet échange insipide?
Autant Modeste Boukadia attribuent les vrais mots aux maux qui minent notre pays, autant il pèche dans son argumentation pour convaincre les observateurs politiques.
Aussi, suis-je bluffé par les entrées de Modeste Boukadia: je le vois aux cotés de Valls, Harlem Désir, Bernard Cazeneuve, Jean-Louis Debré…enfin le gotha de la droite et la gauche françaises réunies. C’est très bien. Oui, il faut se constituer de puissants réseaux de pression. Le contraire serait suicidaire, car du coté de Mpila on regarde avec une attention soutenue la problématique de la scission du petit Congo.
Mais revenons au plus essentiel. Un débat politique est fait de forme et de fond. Que ce soit dans la forme ou dans le fond, Mr Boukadia a été l’ombre de lui-même en face de ce vieux croûton Gaulliste, qui a pratiqué la langue de bois à tout va. Mr Boukadia a laissé dire à son débatteur, que Sa-Sou-Gay-SOT avait le droit d’organiser son référendum »bidon » et »bancal ». En effet, la constitution de 2002 ne prévoit aucun mécanisme juridique de cette nature. En revanche, cette même constitution prévoit et autorise au chef de l’Etat( ce terme péjoratif ne s’applique pas au Congo) de faire évoluer certaines institutions par le biais de lois organiques. Point à la ligne. Et ça Mr Boukadia ne le »flanque » au visage de son contradicteur!!! Cela peut, à nos dépens, induire tous ceux des étrangers qui s’intéresseraient au débat politique congolais. Là, j’ai eu un gout plus qu’amer de »bouffer » cette contre-vérité distillée par Mr Olivier Stirn( je le nomme quand même).
Non, mon cher Modeste, beaucoup vous suivent et vous regardent tout en scrutant votre démarche politique, qui du reste est louable. Mais attention! Mettez de la forme et du fond dans votre démarche politique. Car depuis tout le temps que je vous suis, je n’ai vu de vous aucune démarche structurée et structurante pour nous faire »accepter » la scission du Congo. Vous dites tout haut ce que nombreux pensent tout bas. Mais s’il vous plait, veuillez nous »pondre » un cadre juridique, politique, militaire…et social pour viabiliser votre projet, notre projet de scission. Dans le cas contraire c’est encore du pain bénit pour l’ogre et le bourreau d’Oyo. Oui, j’ai dit »cadre militaire »! Car tous ces généraux nommés à la sauvette par le gourou de Mpila verront leur fromage tombé du bec. Qu’allez-vous faire pour protéger militairement le Sud-Congo? La force militaire, ce me semble, est le talon d’Achille de la partie méridionale du Congo. Alors cher Modeste, c’est quoi votre cadre politique, juridique, social…et surtout militaire? Car votre initiative aussi louable soit-elle peut, si nous ne prenons tous garde, envoyer nos parents à la boucherie du boucher d’Oyo. C’est bien lorsque nous sommes assis en bord de Seine, fromage au bec et verre de vin à la main. Et pour nos parents au pays sans défense aucune, qu’allons-nous faire, qu’allez-vous faire pour les protéger des bourreaux? Ndenguet Jean-François, Peter( Pierre) Oba, Oboa, Obara Philippe, Charles-Richard Mondjo, Guy-Blanchard Okoï, Engobo Bonaventure, Assa, Zulu Band, Odzocki, Ayessa Firmin, Ondaye, Olessengo Ondaye, Gilbert Ondongo( qui finance l’effort de guerre), Ngondo et Mme Mboulou( qui décaissent l’argent du trésor)… Cher Modeste, qu’allez-vous faire pour nous protéger de tous ces requins aux dents bien acérées? Je piaille d’impatience de vous lire aux fins de décliner votre stratégie et votre tactique. Il ne faut jamais me dire que vous ne le ferez pas sur ce site!!!!!
Lire »Autant Modeste Boukadia attribue… »
L’argumentation juridique ne sera plus que nécessaire pour soutenir la séparation du Congo auprès de l’organisation des Nations à savoir:
La présentation d’une requête motivée à l’ONU sur la délimitation territoriale, géographique, historique, sociologique, linguistique, l’aspect économique, argumenter pourquoi le vivre ensemble n’est pas adéquat! Expliquer dans cette requête ce qu’est l’Etat Sud sera différent de « l’actuel ». Pourquoi un autre Etat Congo? une explication historique sera nécessaire! La requête ne sera intéressante lorsque des jurisprudences seront citées. Regarder le cas du Polisario mais aussi du Cabinda!
A mon frère MOUNK,
Vous savez bien autant que moi, le cas du Front Polisario est un cas d’école. L’auto-détermination de cette partie du Maroc n’existe que sur le papier. En effet, le royaume chérifien( Mohamed VI régente politiquement, socialement… ce bout de territoire.
Le Congo est un cas très atypique, et tant que tel acteurs politiques( Mr Boukadia et autres…) société civile devraient prendre et saisir à bras le corps la complexité de la chose.
Plus proche de nous dans le temps, en l’an 2011, le Sud Soudan s’est vu écrire son acte de naissance. Ce processus de longue haleine, commencé par John Garang, assassiné par Omar El-Béchir dans un accident d’hélicoptère,, éprouve toujours de notoires difficultés. Salva Kiir, actuel président du Sud Soudan, éprouve mille et une difficulté pour protéger le nouvel Etat. Pas plus tard que 2 jours, 4.000 personnes ont fui villages, plantations, et maisons à cause d’une guérilla entre l’armée Sud Soudanaise et des groupe de bandits et miliciens. Il sied tout de même de rappeler ces hordes de miliciens sont entretenus par Omar El-Béchir, sinistre président du Nord Soudan.
Voyez-vous donc…le Cabinda et le Front Polisario sont…des cas d’écoles, mais non des exemples à citer.
La problématique militaire finira par nous rattraper à court, moyen, ou long termes. Tous ces généraux affairistes et ventrus et ventripotents n’attendent que ça pour mettre le feu aux poudres.
@MUTU NKOMBO
Cher ami, merci d’avoir expliciter ses deux exemples; ce qui prouve, dans ses jurisprudences qui seront étalées à l’ONU sur la requête de la séparation du « Congo » ou « Kongo », il y a ses paramètres à illustrés! Ce cas d’espèce suscite un bon débat! Il est intéressant à la fois théorique que pratique!
@ alerte info
Pour tous ceux du cercle restreint de l’ogre de Mpila, qui étaient présents à Ouesso lors des dernières festivités de l’indépendance, ils ont dû entendre de la bouche du sinistre Sassou:Gilbert[Ndlr, Ondongo, ministre des finances] que penses-tu de faire de Ouesso la capitale du Nord Congo? Pris de court(???) et gêné par cette question à la fois hors-taxe et du commun, Gilbert n’a eu pour réponse que l’esquisse d’un sourire honteux et gêné. D’autant plus que gêné par la présence de l’ancien premier ministre de Sa-Sou-Gay-SOT, un certain Mvouba Isidore. Ouf! les cons-golais sont si incompatibles que ça!?
Il me semble que MBOUKADIA ne sait pas franc. Il suffit de l’ecouter très attentivement pour déceler ses contradictions. Tant tôt il revendique sa part en parlant de son Coq. Tant tôt il parle d’unité nationales. Bref il est sans conviction. Il ferait mieux de s’occuper des pauvres jeunes qui sont en prison au lieu de débattre sur des sujets vagues.
@Mutu Nkombo, je suis d’accord avec toi et suis sincèrement stupéfait de noter que les leaders de la diaspora au lieu de nous aider à nous débarrasser de ce régime, se lancent dans des initiatives improductives qui d’ailleurs tendent à affaiblir la lutte que mène le peuple sur le terrain.
Je suis autant d’accord avec certains analystes qui dénoncent l’indifférence totale de nos frères du nord quant aux derniers massacres des jeunes issus des quartiers sud, perpétrés par ce régime.
Autant aussi que je trouve contre productive l’initiative menant à la scission du pays, juste pour cet aspect d’indifférence notifié.
C’est en s’unissant me semble -t-il qu’on parviendra à gagner cette lutte, la division fait partie du plan stratège que ne cesse de présenter ce régime depuis toujours, c’est d’ailleurs dans cette optique que ce régime travaille depuis leur retour aux affaires soulignons-le par un coup d’état. J’ai apprécié dans les articles antérieurs, l’analyse de Mr Mwangou qui disait je cite : » sassou n’ a qu’un seul discours qu’il véhicule aux ressortissants du nord qui l’écoute, les Kongo ne nous aiment pas ». D’ailleurs une matérialisation de ce discours a été donnée par Yombi selon ce que j’ai lu dans une alerte du site Zenga-mambu.
Je pense personnellement que sassou ce n’est plus le pouvoir ni la richesse qui le préoccupe, c’est d’ailleurs idem à tout son clan dirigeant, ils ont assez accumulé des richesses, leur préoccupation majeure de l’heure » comment en jouir ? » La scission telle que présentée par la diaspora, est une bien meilleure situation pour le régime et ses sbires. Ils s’en foutent de ce que serait le nord du vrai nordiste non Mbochi du clan après la scission, ils vont planer dans le monde entier en fortifiant leur butin. Non, c’est trop facile de les laisser s’en aller sans qu’ils rendent compte de ces 4 décennies de pillage et d’assassinats. Alors chers scissionnistes, que diriez-vous aux parents qui ont perdu leurs enfants ? ce pas grave, on est divisé l’état du sud va vous indemniser et il faut oublier ça. La bonne manière d’oublier tout le désastre que ce clan a perpétré à ce peuple, serait un jour de les voir clouer dans une prison commune, je répète ce que un certain Ibovi membre de ce régime disait: La violence survient là où il y a l’injustice, un jour arrivera où, nous pouvons nous retrouver dans une prison commune.
Chers compatriotes, la scission c’est une solution de sortie qu’attendent ces voyous, ils savent qu’ils sont devenus très impopulaires, évitons de leur faciliter la sortie. Et cet Etat du sud, comment compte -t-il financé ses premières heures de gouvernance, quand il est dit que tout absolument tout a été hypothéqué (Réf Article: Oyessi )?.
Ne déformons pas le sens donné à cette lutte, au risque de ne plus susciter l’attention du monde entier qui nous écoute. Les Boukinabés sont restés constant dans le sens donné à leur lutte , les Tunisiens l’on fait également, pour quoi pas nous les congolais?. Ca va payer, un peu de patience et de douleur. Merci à vous tous combattant de lutte de libération du congo, mais pas une partie du congo. Vive le Congo libéré !
Rectification : lire réf article antérieur de Rigobert Ossebi et non Oyessi. Merci.
Vouloir diviser le territoire national est une fuite en avant pour personne désespérée. Le désespoir n’a jamais élu domicile dans le cœur d’un congolais vivant au pays. La diaspora congolaise se doit de donner au peuple congolais une image positive; celle de la lutte pour le développement socio économique du pays. En effet, contrairement à ce qui se passe dans les pays d’Afrique de l’ouest où la diaspora représente un véritable facteur de développement de la société (apports des idées, des contacts, des fonds pour la conduite de nombreux projets), la diaspora congolaise passe son temps à faire des meetings politiques, à organiser des défilés pour « sapeurs » (pompiers?), bref à mener une vie de véritables parasites irresponsables, rêvant de devenir un jour ministre dans une république hypothétique du sud Congo. Regardez ce que valent réellement BOUKADIA et PANGOU: rien. Rentrez au pays svp, vous stresserez moins.
@zola. La diaspora congolaise est pleine de talent. C’est le pouvoir de Brazzaville qui a marginalisé la diaspora. Ailleurs, elle est force de proposition parce qu’elle est mise à contribution par les pourvoirs locaux. Ce qui n’est sûrement pas le cas au moyen Congo.
la politique au congo brazzaville c l’individu lui mème et son esprit ce n’est ni la tribu ou la région.Les voleurs, les assassins, les tous défauts sont dans toutes les familles, les intelctes sans être intelligents sont de partout que cherchons nous??<>Mon enfance, ma jeunesse n’a jamais été confondue avec qui que ce soit, oui! j’avoue sauf aux matchs de foot entre quartier ou je me battait meme avec mon aîné.Dans ma famille,les soeurs m’ont remplient toutes les ethnies du congo comment alors s’en sortir des propositions de division??? réfléchissons.Agissons à nous débarrasser de ceux qui nous divisent qui ne voient vraiment pas l’avenir du futur de nos arrières que de se diviser alors que dans nos familles, les contradictions et jalousies sont toujours.