44,3% d’enfants congolais ont déclaré avoir subi des pratiques sociales et culturelles néfastes, selon les résultats d’une enquête rélalisée à Brazzaville auprès de 474 enfants âgés de 15 à 17 ans.
Les résultats de cette enquête rendus publics mardi au cours d’ un atelier de restitution sur ces pratiques sociales et culturelles néfastes affectant les enfants dans le pays, font ressortir également que 12,66% des enfants sont accusés de sorcellerie, 3,38% exposés aux mariages forcés.
En outre, 9% enfants sont victimes des mutilations génitales féminines, avec une connaissance des pratiques néfastes de 91,14% parmi les enquêtés, a fait savoir à cette occasion le consultant Chettel Kouanga.
De son côté, le directeur de la protection légale de l’enfance au ministère de la justice et des droits humains, Joseph Bivihou, a répertorié quelques pratiques néfastes à sanctionner, comme le travail des enfants, la traite, la vente et le trafic des enfants, les exploitations sexuelles des mineurs.
Les mutilations génitales, les châtiments corporels, le crime d’ honneur sur les enfants, le mariage entre enfants, le mariage forcé d’enfants, le sacrifice d’enfants pour des organes et membres à utiliser dans les rituels occultes, l’accusation des enfants de sorcellerie, font également partie de ces pratiques néfastes punies par le code pénal et la loi sur la protection de l’ enfant.
Intervenant au cours de cet atelier, le directeur général des affaires sociales, Jean ClotaireTomby, a interpellé, les médias pour leur implication dans la protection de l’enfance, suite aux mauvaises pratiques sur les enfants au Congo.
BRAZZAVILLE, 12 juin (Xinhua)
Je suis heureux que le Congo, prenne à bras le corps, toutes les questions liées à l’enfance. Seulement, cette enquête me parait très partielle au regard du faible échantillon utilisé d’une part; et d’autre part, eu égard a la zone d’intervention (Brazzaville), ce qui ne donne pas une idée assez précise de la situation au plan national.
Avec la loi relative à la protection de l’enfant adoptée et promulguée, le Congo ne traine pas les pieds en ce qui est d’arrimer sa législation intérieure aux textes internationaux pertinents en la matière.
Un effort que je salue.
Delapatria si tous sur cet espace pourrait aborder des sujets comme vous, on avancerais certainement. Merci pour l’analyse.
La solution reste un état de droit pour palier a cette pagaille orchestré par sassou Denis ! Tenez les églises de réveilles qui accusent les enfants de sorcellerie ont pour présidente d’honneur madame sassou , la mafia d’Oyo tient ces églises pour reculer la révolte du peuple congolais , bref le pays est un panne sur tout les plans après plus de 30ans de règne de la mafia d’Oyo.
je m’inscrit en faut, la république du congo est l’un des pays d’Afrique où la question de l’enfant est traité avec beaucoup d’acuité, ces résultats me paraissent grotesque, car les mutilations génitales, les châtiments corporels, le crime d’ honneur sur les enfants, le mariage entre enfants, le mariage forcé d’enfants, le sacrifice d’enfants pour des organes et membres à utiliser dans les rituels occultes, l’accusation des enfants de sorcellerie, sont heuresement des pratiques casiment inconnue des congolais.
Et loubaki lua Malanda, il faut savoir se taire lors qu’on a rien à dire au lieu de raconté des conneries ou le rapport entre ce que tu avance et le sujet?
je m’inscrit en faut, la république du Congo est l’un des pays d’Afrique où la question de l’enfant est traité avec beaucoup d’acuité, ces résultats me paraissent grotesque, car les mutilations génitales, les châtiments corporels, le crime d’ honneur sur les enfants, le mariage entre enfants, le mariage forcé d’enfants, le sacrifice d’enfants pour des organes et membres à utiliser dans les rituels occultes, l’accusation des enfants de sorcellerie, sont heureusement des pratiques quasiment inconnue des congolais.
Et loubaki lua Malanda, il faut savoir se taire lors qu’on n’a rien à dire au lieu de raconter des conneries ou le rapport entre ce que tu avances et le sujet?