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Conférence-Débat – Orléans
« Regards et vécu de la femme congolaise de la diaspora . Citoyenneté et communautarisme »
Organisée par l’Association AFRIK’LIBOKE
Avec la participation de Mme VALERIE CORRE
Député du Loiret
Samedi 23 janvier 2016 De 14h00 à 18h00
Maison des associations Place Sainte Beuve
Orléans la source
Présentation
Les questions de la citoyenneté et du communautarisme sont aujourd’hui, au cœur du débat sur le vivre ensemble dans la société française à tous les niveaux et mobilisent toutes les structures sociales : école, quartier, acteurs sociaux. Ceci est surtout valable pour les populations issues de l’immigration.
Cependant, ce débat rend t-il suffisamment compte des implications du rôle et de la place de la femme migrante, mère ou simplement épouse dans son vécu quotidien et dans le contexte particulier de découverte et de réappropriation d’une réalité culturelle « autre », celle du pays d’accueil ?
Pour illustration, ces femmes sont majoritairement tributaires d’un modèle de société structuré sur un ordre familial de subordination de la femme à l’homme. La femme est reconnue pour assumer les devoirs de survie quotidienne, d’éducation des enfants etc.., mais n’en tire pas les droits y afférant. Bien qu’ayant accès à l’éducation, les congolaises sont peu représentées dans le domaine politique, syndical, administratif, économique. Privée donc d’ascenseur social véritable, la femme est sacrifiée sur l’autel des oligarchies claniques et sociopolitiques.
Pour ainsi dire, la place de la femme dans la hiérarchie sociale congolaise est inversement proportionnelle à son rôle dans sa communauté. Cette « infériorisation sociale » se traduira plus tard dans la vie en France comme une difficulté d’ « affirmation de soi » tant dans sa vie de couple que dans son rapport avec les institutions sociales (école, municipalité…) et souvent même d’un repli sur soi vis-à-vis de son environnement immédiat (voisinage…). Comment peut-elle dans ces conditions vivre une citoyenneté épanouissante ?
Par ailleurs, l’arrivée en France est souvent l’aboutissement d’un projet d’émancipation soit par le biais d’un rapprochement familial soit encore, pour les plus avisées, par la volonté de réussir professionnellement. Dans les deux cas et, notamment en tant que parent, des situations déstabilisantes vont empiéter dans sa vie et son parcours en société française : adaptation en termes d’habitudes de vie en société, dans le quartier et en appartement, de rupture de loisirs, d’éducation des enfants, de contact avec les administrations, d’engagement politique etc…A défaut d’accompagnement adapté, c’est le début de la marche vers le communautarisme.
Pour l’essentiel, les voies de la réalisation et du vécu de la citoyenneté comme facteur d’intégration et du vivre ensemble méritent d’être mieux explorées.
- Cette congolaise a-t-elle ou se donne telle les moyens de vivre son nouveau projet ?
- Connait¨- elle, et utilise- t – elle les droits et les devoirs de la citoyenneté française pour le vivre ensemble et l’amélioration de son quotidien ici en France?
Telle se résume la problématique qu’entend partager l’association AFRIK’LIBOKE à travers la mise en lumière de quelques expériences et témoignages des femmes de la diaspora congolaise.
PROGRAMME
- ouverture
Présentation de l’association par Mme Beatrice TOUNGAMANI, Présidente de l’Association Afrik’Liboke
Mot de Mme Valérie Corre Député du Loiret
- Interventions thématiques
- La citoyenneté de la femme congolaise et la difficulté d’intégration dans la société française.
Par Dominique MAYALA, psychologue.
- Les aléas de la femme congolaise de la diaspora en rapport avec ses origines. (Double foyer, polygamie, femmes seules, éducation des enfants etc…).
Par Jeanne MABOUNDA, aide soignante.
- Citoyenneté ou communautarisme, il faut choisir.
Par Jeannette VERLEURE, psychologue.
- Vie associative, élément d’intégration dans la citoyenneté française.
Par Alexis MIAYOUKOU consultant « Initiatives Expertise Equitable ».
- Femme congolaise et vie politique.
Par Gertrude DIBANGOU MALALOU Biologiste, enseignante et militante.
- Intermède musical
- TEMoIGNaGES ET Débat
- COLLATION (spécialités congolaises) ET FIN.
Avec la participation active des membres de l’association AFRIK’LIBOKE
CONTACTS 0664003679 Béatrice TOUNGAMANI
0661571819 Jeanne MABOUNDA
Ces femmes franco congolaises ne sont pas à plaindre , au regard des souffrances illimitées de leurs sœurs restées au pays .En plus , en France , les taches ménagères sont conjugalisées avec le conjoint , cela va de soi ,mais en France , ces taches sont empreintes d’un caractère semi obligatoire ce qui n’est pas le cas , au pays , où l’œil familial réprobateur les en dissuade .Elles doivent s’estimer heureuses d’être en France .Et , surtout d’avoir échappé à la sassouinite , cette souffrance psycho – stressante .Pour bonne conférence , que cela, ne leur donne pas, le visa de l’impolitesse conjugale .On connaît les effets du visa de YOLANDE , accordé à SASSOU ,les congolais en ont vu, la couleur du cachet le 20 octobre .
Je pense que le problème de la femme congolaise n’est pas indissociable de celui de l’homme congolais. Échapper à l’enfer congolais n’est pas la seule solution. Encore vaudrait il qu’une fois en France, elle éduque nos enfants en vue du retour au pays. Ce n’est pas le cas, les petits moundélo-ndombi qui sortent des familles congolaises ne repartiront plus au pays. c’est donc une perte sèche pour le Congo. Il n’est pas mauvais de nous poser la question de l’éducation de nos enfants ici en France. Que devenons nous après le départ des monstres avec des enfants sans prjets ?
FIN DE L’IMPOSTURE DE L’EXISTENCE DE L’ÉTAT DU CONGO!
http://bantura.blogspot.fr/2016/1/paroles-libres-des-bassa-kama-16.html
(On comprend dès lors pourquoi Sassou Nguesso Denis et sa clique de Nordistes ont toujours agi tels qu’ils font: Ils ont toujours été conscients de la réalité illégale qu’est le Congo. Alors, ils tuent et emprisonnent les Sudistes et pillent le Sud! Aux Sudistes de sortir de leur naïveté et de réaffirmer leur autonomie par L’ÉTAT DU SUD CONGO (ESC)! VOTEZ POUR L’ESC!)
Je me demande si ceux qui passent leur temps de critique l’opposition, veulent-ils la pérennisation du régime terroriste de sassou installé par la France?
Actuellement nous n’avons que deux alternatives :
– Une force militaire avec l’aide de Putin
– Ou la voix diplomatique qui est très très difficile
La deuxième l’option c’est l’opposition. Ne pas aller aux élections c’est laisse passer le terroriste sassou a 100%.
Aller aux élections avec comme toutes les conditions des élections démocratiques en passant par le recensement de la population, la non attachement au gouvernement des terroristes de la commission d’organisation des élections y compris la proclamation des résultats. Dans le cas contraire l’opposition ne sera pas présente aux élections et sassou restera illégal, suite a cela le peuple va demander la démission de sassou le terroriste.
SASSOU SERA CANDIDAT AUX ÉLECTIONS PRÉSIDENTIELLES EN France APRÈS QUE LE PRÉSIDENT FRANÇAIS AI FAIT UN REFERENDUM POUR POUVOIR VALIDER SA CANDIDATURE COMME LA DÉMOCRATIE AL France LE VEUT