BETO NA BETO. LE POIDS DE LA TRIBU. Par Mambou Aimée Gnali

« Livre publié le 26 février 2001 »

Une nuit, Mambou Aimée Gnali assiste, impuissante, à l’enlèvement de son oncle. Dans le même temps, Lazare Matsocota, son amant et mentor, en qui toute une génération qui aspirait au changement s’était reconnue, est assassiné.
«Tel est, écrit Henri Lopes, le fil rouge de Beto na beto, qui veut dire, dans une de nos langues, « entre nous ». Entre nous, à huis clos, sans les autres tribus.

Premier roman ?

Premier récit, plutôt. Récit dont je gage cependant que les lecteurs (hormis les Congolais) le prendront pour un roman, alors qu’il s’agit bien d’un récit réel. Il est vrai que le tremblement du cœur qui sous-tend le texte, de la première à la dernière page, et la tragédie qui le clôt engendrent une atmosphère qui ressortit plus à la fiction qu’à la chronique. Faisant fi de la narration linéaire, l’auteur nous fait part d’une émotion, sans élever la voix, sans gémir, avec un rare sens de l’emploi du mot juste.
Il fallait un écrivain pour réussir cette magie.»

Source : http://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/Continents-Noirs/Beto-na-beto.-Le-poids-de-la-tribu

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23 réponses à BETO NA BETO. LE POIDS DE LA TRIBU. Par Mambou Aimée Gnali

  1. Pambou Lucien Mkaya Mvoka dit :

    A TOUTES ET TOUS

    IL nous reste a acheter le livre de Mme aimee Gnali Mambou,que j apelle ya aimee .Il faut acheter ce livre,et le lire, le commenter car Gnali Aimee avant d etre une ecrivaine congolaise est une femme enseignante, politique qui refuse l injustice et la domination du pouvoir par un ou des clans au Congo brazza

    Son recit roman doit etre un moment de reflexions appuyees sur des faits dont
    la femme d ‘experience politique qu elle represente est la source

    Bonne lecture

  2. Samba dia Moupata dit :

    A tout péché miséricorde , notre soeur, Aimée Gnali a depuis regrettée sa participation au gouvernement Mbochi . J’achèterai son livre car c’est une repentie.

  3. Loubaki dit :

    La fiche de lecture d’Henri Lopes laisse à désirer. Ca frise le charabia. Tenter de faire la différence entre récit et roman c’est philosopher sur le sexe des anges. On peut être bon écrivain et passer pour piètre critique littéraire. Je recommande aussi « Ma vie avec Line » de Marceline Fyla, la femme légitime de Lazare Matsocota. Aimée Gnali Mambou a écrit « Beto na beto » parce qu’elle était en compétition avec Marceline Fyla dans la conquête du cœur de l’éminent Matsocota, bête noire de Pascal Lissouba et de…Lopez Henri.

  4. VAL DE NANTES : dit :

    Elle aurait pu écrire ce titre en « nvili » . Pourquoi l’avoir larisé ?
    A-t’elle voulu ACCUSER les poolistes d’être les plus tribalistes du pays , en excusant de peu l’indéfendable gouvernance des mbochis basée sur la tribu ?.
    La mélancolie amoureuse ne saurait être un point de fixation politique sur une tribu qui a beaucoup payé ,en termes des morts ,sous le tyran Sassou .
    L’AVENIR DES MBOCHIS , ÇA LUI PARLE !!!!.
    Ce titre montre l’insouciance des « nvilis « au sujet de la dérive de notre pays gouverné par SASSOU .
    Je ne mange pas de ce pain hypocrite …

  5. VAL DE NANTES : dit :

    Une bonne manière de nous distraire des effets dévastateurs qu’occasionnent la gouvernance apocalyptique de SASSOU sur les vies des congolais .
    Nous devrions flécher toute notre énergie libératrice sur ce monstre qui veut mourir au pouvoir plutôt que nous délivrer des biscuits au goût frelaté …
    Cette attitude inconséquente fait le lit du tyran dont l’unique but est de diviser les idiots du SUD pour pérenniser son plaisir à brouter l’herbe verte qui sort du trésor public congolais .
    Car cet homme a décidé de vivre , aussi longtemps que la mort ne le bipera pas ,des deniers publics « ad vitam aeternam ». .
    Des livres à connotions ethniques et stigmatisantes en soi n’est pas la manière solution au combat de libération de notre pays des mains de ce clan qui a préempté , à durée illimitée , l’avenir des milliers des vies congolaises .
    On aurait souhaité qu’elle nous pondît des choses effroyables dont elle fit l’expérience ,quand elle fût ministre de SASSOU .
    Histoire de charger davantage la barque d’accusations criminelles dont SASSOU se rend allégrement coupable .
    En ce temps de souffrances sudistes , il eût été compréhensible qu’un mbochi s’adonne à ce genre d’exercice , car solidarité ethnique oblige .
    Le colonel « peya  » n’aurait pas fait mieux .

  6. VAL DE NANTES : dit :

    lire occasionne .

  7. Mutu N'kombo dit :

    @ Mme Gnali

    On prend la même chanson et l’on recommence…
    Pourquoi avoir  »larisé » le titre de ce roman? Qu’est-ce à dire? Le  »Poolailler » renferme d’indécrottables tribaliste? Non, chère grande sœur, c’est ce discours puant qui maintient le Congo sous le couvert de la médiocrité. Quoi donc? Il n’y a pas des tribalistes au Kouilou? Chère grande sœur, avez des œillères? Ne voyez-vous pas comment  »votre » Sassou a divisé le pays par la fétide théorie de l’Oyocratie? Je vous prenais pour une femme de raison et de bon sens, mais là je puis dire que je me suis trompé sur vous. La forme étant toujours liée au fond, je parie que le contenu de votre torchon doit laisser à désirer…
    Est-ce votre jalousie amoureuse qui est le  »carburant » de ce roman, si tenté que l’on peut l’appeler ainsi? Si le cœur de Lazare avait basculé définitivement pour vous, qui êtes vili, aurait-on accusé aujourd’hui le même Lazare de  »lariphobe »? Non, chère grande sœur, votre raisonnement est léger, pardon, très léger. Réfléchissez un peu avant de  »pondre » la haine de l’autre. Le Pool, toujour le Pool, mutu nkombo wa yuku ma kofi.

  8. VAL DE NANTES : 60 ans ,pour rien . dit :

    En ces temps très difficiles que traverse le CONGO , il n’y a guère de place pour une récréation intellectuelle , tant la gravité de la maladie qui frappe le CONGO est faite d’un entrelacs des causes diverses .
    Les causes politiques , institutionnelles d’un coté et de l’autre les causes qui relèvent de l’utilisation efficiente du capital humain ,sans label ethnique et sans oublier le manque d’un véritable sentiment de patriotisme comme garant de la stabilité mentale dans la gestion de la « res publica  » congolaise …
    Notre salut ultime viendra de la résolution définitive de ces travers ataviques et irrationnels qui gouvernent l’esprit congolais .
    Le CONGO a besoin de ce « tabula rasa  » spirituel pour enfin trouver la porte de sortie de la caverne où ces politicards criminels l’ont enfermé …
    Depuis 60 ans ,nous sommes passifs devant la misère existentielle qui perdure dans le corpus congolais ,telle une malédiction divine dont nous n’arrivons pas à trouver de réponses .
    Essayant de nous mettre dans la peau de DESCARTES à travers son « cogito » pour douter de notre condition existentielle , en sachant que si nous doutons ,c’est que nous sommes des « substances pensantes  » ; ce qui revient à dire que nous n’avons pas encore pensé .
    Donc , au bout de ce doute , nous devons absolument y apporter des solutions pérennes et structurelles qui nous mettraient à l’abri de cet exodus misérabiliste .
    Chercher un chef ,c’est une chose , encore faudrait -il serve à quelque chose , et sonder la raison congolaise , c’en est une autre .

  9. VAL DE NANTES : dit :

    lire ; essayons .

  10. VAL DE NANTES : dit :

    lire ;; faudrait – il qu’il serve à quelque chose .

  11. VAL DE NANTES : nvili , ce cousin métaphysique !!. dit :

    @MUTU N’KOMBO .
    Grosse validation !!.
    « le NVILI M’A TUER « .
    Eh , OUI , LA COMPLAISANCE sentimentale et conspirationniste entre les nvilis et SASSOU est manifeste , le titre de ce papier en témoigne .
    Voilà comment on détourne les congolais des vrais enjeux politiques ,sociaux et économiques pour des promenades amoureuses inabouties .
    Mais enfin , au même moment , les blancs nous parlent des voitures électriques « sans pétrole  » d’ici 2035.
    Quel avenir du CONGO à cet horizon 2035 , sachant que ce pays est foncièrement tributaire des recettes noires de l’or noir .
    « Recettes noires « , car nous n’en voyons point la couleur . Ce sont là des choses qui devraient occuper nos esprits au lieu de nous prendre des salades au parfum « tribaliste « . Ces nvilis , décidément ,sont amoureux éperdus de SASSOU dont ils apprécient goulûment la gouvernance chaotique .
    D’ailleurs ,je ne me faisais pas trop d’illusion sur nos cousins nvilis .Ce titre contribue à la construction solide de ma « doxa « sur eux .

  12. val de NANTES dit :

    Au vu de cette tragédie littéraire , l’argent a détruit même les esprits supposés malins .
    C’est tout le drame congolais qui se dévoile au grand jour aux congolais ,déjà , en pleine perdition .
    Même l’explication de l’explication ne suffira pas à atténuer le soupçon tribaliste sous -jacent que l’on veut faire porter à une tribu lourdement brisée par un tyran dont le seul programme national est réduire à quia la puissance ancestrale du pool …

  13. Pambou Lucien Mkaya Mvoka dit :

    A Val de Nantes et à tous les autres qui s’énervent pour rien et qui traitent Gnali Mambou Aimée de tous les noms,

    Vous devriez avoir honte et surtout vous, Val de Nantes, qui passez votre temps à nous présenter les philosophes grecs que tout le monde connait et qui sont beaucoup plus critiques et distanciels que vous l’êtes.

    Je ne parle pas au nom de Madame Gnali Mambou. Je n’ai reçu aucun mandat en ce sens, néanmoins le Vili que je suis (et nous y sommes) ne peut rester tranquille. Les faits et vos paroles me donnent raison. Le Congo est une espèce de poulailler tribal. La tribu est utilisée pour servir ses intérêts réseautaux et je l’ai largement démontré sur ce site. L’analyse réseautale et tribale tient la route.

    La réponse que je fais à Val de Nantes et aux autres n’est pas polémiste. J’installe les faits historiques et politiques et je les commente. Certains Lari, pour des raisons qui leur sont personnelles, pensent que les Vilis ne sont pas des Kongos et que la Kongolité serait le fait uniquement de Laris, de Kongos et d’autres ethnies. Je signale que le peuple de Loango, dont les Vilis, est partie importante des Kongos. Nous autres Vilis du Loango avons essimé jusqu’à Mayoumba, Tchibanga dans la province de la Nianga au Gabon, nous sommes des Kongos nord-occidentaux. Je suis fier d’être Kongo, même si vos velléités de falsification de l’histoire du Kongo vous mettent à côté de la plaque.

    Le Vili Kongo que je suis n’a pas la même pratique de la vie sociale que le Lari Kongo. On a toujours qualifié les Vilis de poltrons, de non-décisionnaires. La raison est simple: le Vili n’est pas violent et il a été protégé de cette violence politico-congolaise depuis l’indépendance entre Laris, Kongos de Boko, Mbochis au sens large et Bembés. On a dit souvent « Le Vili c’est le blanc », d’ailleurs la plupart des présidents congolais depuis l’indépendance se sont précipités d’avoir comme femmes ou maîtresses une femme Vili, espérant ainsi gagner quelques galanteries en matière vestimentaire, de tenue de la maison et de voisinage sociale.

    Je rappelle à dessein et de façon négative ces faits pour répondre à Val de Nantes qui estime que les Mbochis pompent le pétrole au Kouilou et que, derrière son ordinateur et avec ses philosophes, il ne donne pas de solution pour que cette situation cesse.

    « Le Vili m’a tué » est une proposition impropre, on ne peut pas dire ça de Ya Aimée Gnali dont les parents ont joué un rôle très important en 58 à Pointe Noire en protégeant certains Laris poursuivis par les Mbochis. Moi-même Lucien Pambou qui vous parle (et je m’en fous si je le fais à la troisième personne), mes pauvres parents analphabètes ont protégé des Laris.

    Alors cher Val de Nantes, il faut arrêter vos réflexions lampestres, revenez sur terre et regardez l’histoire de ce pays. Les Vilis ne sont pas guerriers comme les Laris, les Mbochis ou les Bembés. C’est une pratique traditionnelle où tous les problèmes sont résolus par la négociation, même si certains rois Loango ont vendu des Congolais à la Baie de Loango au moment de l’esclavage. Tu vois, je suis honnête MOI, et puis ces esclaves vendus étaient achetés au roi Makoko et à d’autres roitelets de la Bouenza et du Pool. Pourquoi insulter Gnali Aimée, une femme éprise d’un Lari. C’est une façon pour elle de dire que nous sommes ensemble. Avec votre esprit tordu et incapable, on comprend pourquoi Sassou reste encore aux affaires. Beto na beto, cela veut dire entre nous et ensemble. C’est triste et après vous vous étonnez de manière vagale que Sassou veule mourir au pouvoir. Honte à vous. On peut reprocher à Gnali Aimée d’avoir été dans le premier gouvernement de Sassou, mais on ne peut pas lui reprocher, à la Vili qu’elle est, son amour pour un Lari, Lazare Matsocato.

  14. Samba dia Moupata dit :

    Pour une fois , je suis d’accord avec mon jeune frère Lucien Pambou , j’ai trouvé ces remarques envers notre soeur Aimée Mambou, d’une imbécilité rare , d’ailleurs les Laris n’existent pas ! Très souvent c’est des Tékés en pertes d’identité qui se font appelés Laris , ça été le cas de l’escroc Bernard Kolelas , Isidore Mvouba, complices de Sassou pour détruire le Pool . Lazare Matsocota tout comme Mambou Aimée sont d’origine Kongo , leurs noms l’indique bien, c’est du factuel .

  15. Pambou Lucien Mkaya Mvoka dit :

    Merci cher Samba dia Moupata,

    Merci de rétablir les faits, rien que les faits. Au moins avec vous, même si nous ne sommes pas toujours d’accord, vous êtes pour moi un des dépositaires de l’histoire factuelle et politique du Congo. Moi et d’autres on peut raconter n’importe quoi, mais vous, par votre clairvoyance et votre connaissance de la vie politique congolaise, vous nous ramenez à notre juste valeur qui est celle de l’apprentissage et moi, Lucien Pambou, je n’ai pas honte de dire que grâce à votre analyse factuelle j’ai appris beaucoup de choses sur le Congo.

    Merci encore et continuez à nous alimenter intellectuellement.

  16. Val de NANTES . dit :

    Aaaaaaah , une alliance de circonstance entre deux potes contre – nature , qui s’entre – choquent par temps tempêtueux …
    Mais cette alliance me parait légère , au vu du volume résilient qui me caractérise ..
    Oui , si nous pensions de la même façon que vous l’auriez souhaité , nous n’aurions pas pensé .Point de dialectique pour trouver la vérité démocratique …
    Sassou a crée des clones de l’intolérance discursive ,vos propos en sont la cynique illustration …
    Comme disait NIETZCHE : » de la méchanceté rachitique » . Mais , je puis vous rassurer d’une chose ,je vais continuer à piquer . La sagesse congolaise a longtemps montré les limites de sa raison . Ces deux interventions ORAGEUSES illustrent malheureusement le désert des anciens sur la place de « mbongui « . On y trouve plus des gens épidermiques et irascibles que ceux atteints par la sérénité ancestrale …

  17. Samba dia Moupata dit :

    Cher val de Nantes , moi je suis comme l’économiste et Mathématicien KEYNE qui disait devant les évidences , je change d’opinions . Beto na Beto c’est le kongo ,comme notre soeur Aimée Mambou qui est kongo peux s’exprimée en cette langue . Oui je persiste et signe les Laris n’existent pas , moi je me faisait appeler Lari depuis ma naissance ! Or mes arrières grand parents Bokotois ont immigrés les villages Nganga Kombo et Louyakou , par contre du coté de ma mère , j’ai un grand père téké de Moutampa près de Mbanza- Dounga . Je suis le premier à dénoncer la versatilité de notre bien aimé frère kongo Lucien Pambou .

  18. Lucien Pambou dit :

    A val de Nantes

    A t écouter on comprend mieux pourquoi sassou n a rien à foutre de vos painted
    Quant à moi je reste fidèle au poste de ma critique et du débat
    Résilient j ai réussi à installer dans le débat le concept de réseau tribalau Congo même si certains d entre vous ont toujours refusé le concept
    Jeune Afrique en parlant de le driant à consacré dans les faits la notion internationale du réseau avec la francafrique
    Quant à ma versalite roen de tel cher Samba
    Si j avais voulu je serai dans les affaires politiques de sassou voire au gouvernement
    Mais je laisse aber’atd Lolelas et à mvouba qui ne sont pas laris mais tekes selon vous rejoindre le réseau politique congolais car eh oui sassou
    Ne gouverne pas seul

  19. Mangou dit :

    Aussi curieuses que sont les réactions des uns ou des autres,je me demande bien si une personne au moins a déjà lu le livre.
    Le titre  » beto na beto « et non  » bawou na bawou  » n’a à priori aucune connotation ni tribale , ni politique. Être regrouper au nom d’une idée sous-entend un entre – soi autour de l’idée. C’est vrai pour une association,un miziki ,un parti politique etc.lors de leur réunion, ils diront en munukutuba,en kikongo « beto na beto « .d’ailleurs quand les frères Soki chantent « papindoni » , le choeur répond :beto na beto. Il n’y pas de velléité pouvant traduire une rivalité entre des rivales.il n’y a pas provocation contre une tribu quelconque. Cette expression ne s’evoque pas qu’en lari. Elle est courante dans tout le sud du pays,
    particulièrement chez les kongos. In fine le titre du livre à paraître n’a rien à avoir avec une quelconque jalousie, ni avec une stigmatisation tribale.
    Attendons la sortie du livre. Ainsi nous saurons ce qu’il a dans ses lignes.

  20. Le livre "Beto na Beto" de madame Mambu Aimé Gnali a été publié le 26 février 2001, c'est à dire, il y a déjà 20 ans. dit :

    Cher internautes,

    Le livre « Beto na Beto » de madame Mambu Aimé Gnali a été publié le 26 février 2001, c’est à dire, il y a déjà 20 ans.

    Le Webmaster

  21. Pambou Lucien Mkaya Mvoka dit :

    Pas faux webmaster/ apropos de la date de parution BETO NA BETO DE MAMBOU AIMEE GNALI
    Verification faite sur google le livre est paru le 13/03/2001 aux edtions gallimard continents noirs
    en revanche le titre en kongo traduit en vrai francais » entre nous » souleve des passions et montre la veritable face cachee de ceux qui sur ce site se considerent comme probes, non tribalistes accusant les autres de l etre alors qu en realite ce sont eux qui sont les tribalistes caches et qui n attendent qu une chose acceder aux affaires au nom de la tribu et du clan/Sassou le sait en tant q u acteur de la vie politique congolaise depuis les independances.il connait la capillarite intellectuelle des congolais et leurs absences de convictionspolitiques reelles autres que celles du ventre donc de la mangeoire/Reseau politique congolais quand tu nous tiens et nous y sommes

    C est jouissif de taper sur les mbochis en tant que clan tribu sauf que tous les mbochis ne sont aux affaires politiques/je ne les defend pas ils sont grands pour le faire tout seuls/en revanche je refuse l hypocrisie de ces autres tribus surtout de leurs soit disants representants qui finalement ne representent qu eux memes et comme d habitude j assume ce que je dis

    AVant d agonir les autres de comportement tribal et clanique commencez au dela de vos bavardages qui finissent par devenir insignifiants sur le clan au congo, regardez la grosse poutre tribalo clanique calee au fond de votre oeil et qui ne demande qu asortir a la moindre occasion

    Bravo les faux batisseurs du congo de demain

  22. Val de NANTES . dit :

    Il est des défenses acariâtres qui prennent le vernis tribaliste . C’est le miroir qui rétablit les faits ,car la nature anthropologique de l’être humain a toujours ce coté empathique pour des proximités de toutes sortes .Bon bref !….
    L’intention originelle de notre posture est contraire aux divers contenus de cette doxa impulsive imprimée sur ces différents commentaires .
    En mot , la pensée première est obscurcie , car caricaturée pour ne pas y sonder davantage .

  23. LaridePère VilideMère dit :

    VOUS DEVRIEZ AVOIR HONTE QD MEME MES AMIS… VOUS PARLEZ D’UN LIVRE QUI DATE DE 2001 ET QUE VOUS N’AVEZ PAS LU…. ET ON REVE DE CHASSER SASSOU SI MEME LIRE ET S’INFORMER AVANT DE CRITIQUER ET DE DIRE DES INEPTIES RESTE UN EFFORT SURHUMAIN POUR VOUS. KIE KIE KIE TIADI MINGI … BON C’EST « BENO NA BENO ».

    Le livre « Beto na Beto » de madame Mambu Aimé Gnali a été publié le 26 février 2001, c’est à dire, il y a déjà 20 ans. dit :
    18/07/2021 à 00:21
    Cher internautes,

    Le livre « Beto na Beto » de madame Mambu Aimé Gnali a été publié le 26 février 2001, c’est à dire, il y a déjà 20 ans.

    Le Webmaster

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