A très exactement 16h, le 3 octobre 2023, la vente forcée du Falcon 7X de la République du Congo, attribué à la Présidence, a été démarrée par Me Pestel-Debord, le Commissaire priseur retenu par Moshen Hojeij et ses avocats du Cabinet Archipel.
C’était dans un très beau salon, au 1er étage du Grand Hôtel de Bordeaux, qui surplombe la Place de la Comédie. Un car de police y avait été positionné au cas où des « opposants » auraient voulu manifester un mécontentement quelconque. Dans la salle avaient pris place une vingtaine de personnes dont quelques membres de la famille Hodjeij, l’avocat du Congo, Me Emmanuel Caulier, et le Conseiller Antonin Mokoko. Il y avait également un créancier de la République, Serge Berrebi, et 4 journalistes de la presse locale (caméra de FR3 Aquitaine et les micros de France Bleu à écouter). Tous avaient dû s’enregistrer auparavant et décliner leur identité à cette vente dite publique.
Durant une quinzaine de minutes, le Commissaire priseur a fait la lecture de son Cahier des Charges, avec le fameux passage autorisant le « Créancier Poursuivant » Commisimpex à participer à la vente et à payer son enchère par déduction du montant « qui lui est dû » par la République du Congo. La vente fut alors lancée à 7 millions. Aussitôt, un membre de la famille Hodjeij fit un petit signe de la main, traduit alors par un « 7 millions 100 000 euros » par Me Pestel Debord. Dans un silence de cathédrale, les secondes s’égrainaient : « 7 millions 100 000 mille une fois, deux fois.. » et à la troisième, son marteau marqua la fin de la vente !
En moins d’une minute, l’avion présidentiel a été vendu sans qu’aucun autre acheteur que Commisimpex ne se soit manifesté. A part les personnes appartenant au petit clan de cette dernière, toutes celles présentes dans la salle étaient sonnées par le tour qui s’était joué devant eux : un avion qui était estimé à une vingtaine de millions d’euros disparaissait au tiers de son prix !
Chacun y allait de son explication, le Commissaire Priseur donna la sienne, peu convaincante, au micro de France Bleu et de RFI, sur une opposition de la République du Congo à l’immatriculation de l’appareil. D’autres, devant les journalistes présents, dénonçaient la présentation déplorable de l’appareil, comme un gourbi volant, commise par l’Etude Pestel Debord, sans une présentation soignée appropriée comme cela est dû pour un objet de cette valeur. De l’incompétence crasse ou une volonté trouble ?
Dans les prochaines heures, quel recours sera exercé ?
Cette affaire du Falcon 7X présidentiel est loin d’être terminée…
La Rédaction
Diffusé le 04 octobre 2023, par www.congo-liberty.org
Après l’avion , ce sera le pays qui sera vendu aux enchères.Si n’est déjà fait… Voilà comment,on organise un suicide collectif à la David wacko..
L’après Sassou , c’est le déluge.. Le Congo Brazzaville,selon lui , il ne lui survivra point. D’où cette activité à la Prévert, où tout ce qui contient la moindre valeur marchande,est bradé..
Mes amis de Lille,ont dû apercevoir les politiciens congolais à la braderie de cette ville, située au nord de la France.en attendant celle de Cologne sous peu..
L’insoucieux Sassou Denis, sans cesse déshonore notre pays avec ses choix hasardeux ! Jusqu’ici Sassou-Denis incapable de justifier aux congolais la nature des travaux qu’aurait fournit ce sulfureux Libanais ! Nos biens immobiliers sur Paris, hérités par le président Youlou confisqué .
Le Congo Brazzaville aurait fait sien l’énoncé moral et politique de Platon,selon lequel « : les meilleurs au pouvoir ». En ayant transgressé cette maxime posthume, le Congo Brazzaville en fait l’amère expérience…
La cité idéale ou la République idéale ,dont elle est la conception, se transforme en un enfer exotique où les voleurs de la sassoufolie s’en donnent à cœur joie…
L’insouciance du souci congolais érigé en mode de gouvernance publique, avec en prime une chicotte pour ceux qui osent en dénoncer les excentricités mentales, facteurs du mal être congolais…
Une performance dûe à la tricherie industrielle de la volonté générale au travers des multiples consultations populaires. Une rigolade ,un pied de nez à la paupérisation chronique des congolais.
7 millions d’euros. Vous dites : ofelééeee. Aaaah Ssssou.
Laissez le pouvoir, cela n’est plus tenable, avant que les terribles événements adviennent…
Oui, vous nous debitez à longueur de journée : la paix ,la paix ; mais mettez- vous en conformité avec votre pensée.. Les congolais ne voient aucune correspondance de vérité dans cette relation tant magnifiée par vous.
La paix ne peut être une condition préalable de vous voir au pouvoir ; bien au contraire,mais faire un examen de conscience politique des conséquences sur le pays, qui s’étouffe de la sassoufolie….
7 millions d’euros, une vente sous évaluée, qui n’épargne nullement le Congo Brazzaville d’autres saisies judiciaires ,car le bénéficiaire de l’opération ( commisinpex) détient sur le Congo Brazzaville une créance dont la somme reste toujours élevée. Cette braderie en appelle d’autres. Vous avez dit « : malédiction ».
Voilà comment le monde entier juge à priori un comportement politique irresponsable et calamiteux pour l’image du Congo Brazzaville.
Quelle idée les investisseurs sérieux, soumis à l’orthodoxie, peuvent en avoir ??.
Même le FMI,ce machin folklorique, devrait s’en méfier. Car comment faire confiance à quelqu’un qui vend les bijoux de la famille à la Prévert ??.
Incroyable !!. La honte internationale , symbole de la médiocrité !!.
Et maintenant, posez -vous la question, comment sont gérées les finances publiques ??
Déjà y penser me donne des boutons.!!. Soni !!!. À un standard de la braderie de Cologne,on y a vu le Congo Brazzaville, l’objet de vente adjucataire .. . Mawwaaa.
AVION DE SASSOU OU DE L’ÉTAT CONGOLAIS VENDU AUX ENCHÈRESAFFAIRE PRIVÉE OU AFFAIRE D’ÉTAT? https://www.youtube.com/watch?v=pTAPis-D1gQ
La France,par la voix moqueuse de son ambassadrice, éventre le boa , pardon le mensonge du clan Sassou. Cet avion n’appartient pas au Congo Brazzaville,mais à un particulier dont le nom reste une énigme.
Voilà la mafia mbochi exportée sur le sol français.Mais la règle de droit français n’a que faire de la sassoufolie congolaise, le billard s’applique à l’objet de litiges.
Et elle signale, pour ceux qui douteraient de la souveraineté française, et de la séparation des pouvoirs, issus de l’esprit des lois, conçu par Montesquieu, la justice est indépendante du pouvoir politique..
Ce qui balaie toute intervention politique et place le Congo Brazzaville devant son mésusage de la gouvernance des affaires publiques…