Que ce soit au Congo ou à l’étranger, les congolais sont littéralement abandonnés par le pouvoir illégal et illégitime du dictatueur Sassou Denis.
Prompt à faire ouvrir les portes de la prison de la maison d’arrêt Paris La Santé pour faire libérer nuitamment Jean François Ndenguet, à la suite d’une décision de placement en détention provisoire du juge des libertés et de la détention de Meaux, Sassou Denis et ses diplomates fictifs sont aux abonnés absents et font de la figuration dans tous les pays étrangers. Sans exception !
Loin de nous opposer systématiquement à l’incompétence du régime de Sassou Denis, les faits sont têtus et alimentent ce constat.
Aujourd’hui, un de nos compatriotes, Olsen Kanga, étudiant en Tunisie, est incarcéré depuis le 14 février dans des conditions insoutenables dans les geôles de la Police d’immigration de Tunis, dans l’indifférence générale du consulat congolais.
A force de procéder à des nominations claniques et ethniques, le Consulat du Congo en Tunisie ignore son rôle qui est celui d’assurer la protection et la défense de ses ressortissants et de leurs biens, qu’ils résident ou soient seulement de passage dans les pays d’accueil.
A la différence de l’ambassadeur qui représente officiellement un Etat auprès d’un gouvernement étranger, le Consul n’a qu’une compétence limitée auprès des autorités locales du pays où il est envoyé.
Dans un cas comme dans l’autre, la représentation dite « diplomatique » des représentants nommés par Sassou Denis à l’étranger brille par leur incompétence, leur incurie et leur absence envers ses ressortissants.
Pour preuve, le personnel diplomatique de l’ambassade du Congo au Brésil attend en vain depuis deux ans des hypothétiques billets d’avion pour rentrer au pays. Et ce, devant l’impuissance, l’inaction, l’indifférence et la mollesse de son ambassadeur, Louis Sylvain Ngoma, qui, même à ce poste, fait de la figuration. Complice un jour, complice toujours.
L’ambassade du Congo à Paris n’est pas en reste. Elle n’est qu’un ramassis d’incompétents. Comme pour les passeports de Raymond Zéphirin Mboulou, y obtenir un visa ou tout document administratif relève du miracle. L’homme à l’inamovible nœud papillon, épinglé par les Panama Papers, peine à apporter sa pierre à l’édifice au sein d’une ambassade gangrenée par la corruption, la pagaille à grande échelle et l’incompétence. Comparer à d’autres ambassades africaines, celle du Congo à Paris est la plus désorganisée, où la pléthore d’agents fictifs, généralement analphabètes, brillent plus par leur inefficacité. Ce lieu qui est censé représenter notre pays fait honte quant à ces multiples dysfonctionnements.
Le régime de Sassou Denis préfère la communication à l’action. La couverture du journal Le Médiateur devant les devantures des kiosques à journaux parisiens et de quelques banlieues, un journal sans lecteur en est l’illustration. Sassou Denis préfère l’accessoire au principal, le paraître à l’Être.
Sassou Denis, « l’homme des actions concrètes » a manqué depuis belle lurette l’occasion de faire ses preuves en remplissant son office. Il n’est qu’un mauvais redoublant, un imposteur. Tout ce qu’il fait et touche se transforme en plomb.
Sassou Denis jouit et se réjouit de son cynisme. Abandonner les générations futures pour lesquelles il a dilapidé les 14.000 milliards de FCFA ne lui fait ni chaud ni froid.
Lui qui écrivait dans son chiffon, « Le manguier, le fleuve et la souris », écrit par son nègre de service, « marcher sur la piste en venant de quitter sa mère pour aller à l’école », prive depuis quarante ans nos jeunes d’étudier, même ceux appartenant à son ethnie les mbochis, où qu’ils se trouvent.
En définitive, Sassou Denis nous fait penser à Fleur de Tonnerre, un roman de Jean Teulé. Son principal personnage a tué avec détermination tous ceux qui croisèrent son chemin : les hommes, les femmes, les vieillards, les enfants et même les nourrissons.
Ce personnage s’appelait Hélène Jégado pour la Bretagne, Sassou Denis pour le Congo. Et le bourreau qui lui trancha la tête le 26 février 1852 sur la place du champ de Mars de Rennes ne sut jamais qu’il venait d’exécuter la plus terrifiante meurtrière de tous les temps.
Clairement, même si Sassou Denis a commis les pires crimes dans notre pays en organisant des exécutions sommaires au petit matin, nous n’appelons pas à une telle extrémité. Toutefois, il est temps que Sassou Denis aille siroter en enfer son vieux whisky avec son ami Philippe de Margerie.
Olivier MOUEBARA
Diffusé le 28 février 2023, par www.congo-liberty.org
LE PRESIDENT MACRON COMME LE PAPE JEAN-PAUL II, NE DORMIRA PAS A BRAZZAVIILE
Grosse validation ,Mon Cher@ Olivier M.
Concernant l’ambassade du Congo à Paris , un autre nid des mbochis en vadrouille .
C’est open ambassade ,féti na féti. On y parle Mbochi.. A 70 ans passés ,ya Rodo ne cesse de jouir des largesses financières du Congo Brazzaville ,un des enfants élus du Congo Brazzaville de Sassou…C’est le Dionysos de l’État congolais à Paris.
Les documents administratifs et les visas sont des sources de corruption, empreintes de multiples tracasseries incompréhensibles . D’où une mise en garde des préfectures françaises à l’adresse de cette agence de repos Mbochi pour sa lenteur à répondre aux besoins administratifs de ses concitoyens..
Les citoyens congolais de l’étranger sont jetés en pâture à la solde des injustices et des brimades des pays où ils résident..
C’est un petit ouenze en plein Paris 16 ème..
Les ambassades congolaises sont le miroir parfait de la réalité dictatoriale congolaise ,des aires de repos des mbochis fatigués de la saoulerie Brazzavilloise.
Olsen Kanga , pourtant un fils Mbochi d’ollombo , subit la médiocrité de Sassou Dénis qui envoie ses parents anciens pêcheurs du fleuve Alima dans les ambassades à travers le monde , ces derniers n’ont jamais entendu parler du droit international . Ces ambassades ou consulats sont devenus des mouroirs , vu la situation sanitaire très critique dans le pays.
effectivemnt sur cette photo SASSOU mache sur l eau comme un dieu .le pire c est yannick noah au lieu de former rodrigue nguesso pour qu il gagne roland garros et qu avec l argent qui aurait gagne finance son tournoi d oyo un peu comme le fils de georges weah tout le monde serait content.pour terminer j aurai prefere que cette photo soit prise sur l avenue boueta m bongo sans toute l armee congolaise pour surveiller son propre peuple dont il oublit qu il doit satisfaire et devellope toutes les villes et tous les villages.et le ridicule un cours d eau une mairie et un mini building pour attirer des touristes
Le Congo Brazzaville doit suivre sa pente , mais à la seule condition que ce soit en montant, Dixit André Gide..
C’est du Sisyphe , mais en ayant la résolution définitive des problématiques ancestrales qui entravent son décollage économique.
Rester sur le quai de la Gare SNCF,en admirant les trains passés , ne fait que nous rendre dépendants de l’autre ,car l’autre est un partenaire économique et non philanthropique.
Voilà comment la lutte des classes est transposée en lutte des États dont les motivations sont purement économiques .Marx aurait parlé d’une dialectique historique dont les acteurs sont d’un côté ,un pays dominateur à visée capitaliste et de l’autre côté ,un pays dominé , subissant la dictature des effets du capitalisme .
Telle est la posture attentiste congolaise d’où vient la pauvreté endémique qui caractérise sa population , ajoutée à une gouvernance criminelle des deniers publics, une double peine..
Ce voyage fait l’apologie de l’internationalisme prolétariat africain contre l’universalisme bourgeois , symbolisé par des puissances occidentales dont la France est l’incarnation .Je ne présume pas des attendus de ce voyage , mais le réalisme économique français n’en est pas moins absent.
C’est la postérité de Karl Marx . Le Congo Brazzaville , empêtré dans cette logique coloniale , en vérifie tous les jours les effets…
Comme le dit Schopenhauer « : la réalité est toujours pire qu’on ne pense « .
Bonjour à toutes et à tous,
Au nom du réseau que certains, comme Val de Nantes, Samba, considèrent comme inepte, vous avez là un exemple des forces du réseau et de la dépendance de certains chefs d’Etat subsahariens, surtout de l’union africaine, qui refusent de dénoncer la politique raciste du président Kaieb Saeid de Tunisie. C’est honteux que les Noirs continuent de voir dans les musulmans du Maghreb des personnes fréquentables. N’oublions jamais que l’Arabe n’aime que lui-même, les Juifs le savent et ils se défendent becs et ongles au Moyen-Orient. Il n’y a que les Africains subsahariens, perdus dans l’immensité du monde, qui considèrent que certains des Arabes peuvent être fréquentables. J’en doute; Ce n’est pas du racisme de bas étage mais c’est un fait. Il n’y a qu’aux Noirs qu’on demande de rire et d’être gentils pendant que les autres peuvent être méchants. Je redis: le réseau international des chefs d’Etat africains empêchent ceux-ci de dire les choses au nom d’une fausse construction de l’Union africaine, même si un des responsables des exactions appartient à cette fausse organisation qui ne dépend que de l’Europe, de la Chine et des dons venant des pays du Golfe, donc des Arabes, ça fait mal, mais c’est ainsi. On a l’impression que le Noir, esclave hier, a du mal à gouverner pour l’autre Noir.
https://fb.watch/j37F6tzJtP/
Alors chers compatriotes contempteurs du reseau?
quel silence assourdissant de votre part pour expliquer de facon heuristique en dehors du reseau pourquoi les chefs d etats subsahariens ne disent rien et se cachent sauf doumbouya de guinee patric achi 1e m de cote d ivoire et gossimi du mali
compatriotes contempteurs et faux bavards sur l analyse du reseau j attends avec gourmandise vos reflexions
cdlt et toujours avec respect humouristisque
lpambou