Depuis une bonne quarantaine d’années que le Congo est entré dans l’ère diabolique des machinations criminelles de Denis Sassou NGuesso, pour tout évènement important, il faut toujours un peu de temps pour que les subterfuges se dissipent, que les leurres s’évaporent afin que des bribes de vérité apparaissent.
L’autocrate d’Oyo ne compte pas d’égal dans la désinformation, le maquillage et la désignation de bouc-émissaires dont il veut se débarrasser ; Ntsourou devait rejoindre, sans broncher, le triste sort de la longue liste des Kikadidi. Pour la plus part d’entre eux, leur principal tort était de lui avoir été trop proches ou trop utiles. Les défunts Bouissa-Matoko alias Casis et Adoua ne risquent plus d’apporter un démenti…
Depuis des mois, le pouvoir moribond vit dans la crainte d’un coup d’Etat. Pour rien arranger les déconvenues n’ont cessé de s’accumuler ; à part celles des Disparus du Beach et des Biens Mal acquis, à l’extérieur, contre lesquelles il ne pourrait décidément plus rien, celles de Kimongo et de Ntsourou témoignaient de sa totale impuissance à l’intérieur même de son royaume.
La nécessité d’avoir rapidement raison du Colonel reclus dans le camp du 15 Août s’imposait comme une condition à la survie du régime. Il fallait frapper l’homme et surtout frapper les esprits. Le bourreau de l’Alima ne reculerait devant rien, ni l’utilisation d’hélicoptères de combat, ni l’emploi d’engins blindés, ni les tirs à l’arme lourde ; les Congolais comprendraient ainsi que le « destructeur infatigable » de leur nation était disposé à raser Brazzaville encore une fois pour garder son fauteuil ! Tous les coups seront bons à donner !
A peine Mandela mis en terre, « l’homme de la paix » fit encercler la résidence du Colonel Ntsourou. Le lendemain, 16 décembre, les hélicoptères Mi24 rappelèrent aux Congolais, de toutes origines, les heures les plus tragiques et les plus sombres de leur histoire en pilonnant le camp retranché de l’ancien n°2 du Conseil National de Sécurité.
Après le passage des Mi 24 pilotés par des ukrainiens, mercenaires authentiques ou pas, les éléments centrafricains « de la Séléka ou pas » se lancèrent les premiers à l’assaut… !
Les Tchadiens, qui ne pouvaient être que des mercenaires, compte tenu de la rancœur d’Idriss Deby à l’encontre de son homologue de l’Alima, se jetèrent alors dans le bain de sang de jeunes congolais plutôt que dans le combat…. !
Les militaires congolais du Camp du 15 Août achevèrent le carnage. Quelques–uns y auraient laissé leur vie, trois d’après le gouvernement sur les dizaines de cadavres qui jonchaient le champ de bataille au cœur de la capitale.
Beaucoup de soldats congolais, au plus fort de l’action, pendant que crépitaient les armes de tous calibres, avaient abandonné leurs tenues militaires et leurs armes sur le lieu du drame; ils avaient préféré trouver le salut dans la fuite plutôt que dans le combat fratricide.
L’armée, déjà divisée, ne trouvait pas de réelle justification à une intervention de ce genre, Cette victoire avait un réel goût amer pour tous les officiers supérieurs et les cadres de la Défense. L’armée congolaise en était sortie humiliée. Egalement, des observateurs et des journalistes, dont ceux de RFI, s’étaient étonnés de la quasi-mobilisation de toute une armée pour avoir raison, plutôt que de le ramener à la raison, d’un seul individu, fut-il un Colonel, ex-chef-adjoint des services du renseignement.
Sassou NGuesso dans sa récente interview à Paris Match disait que « l’on s’attaquait à l’Afrique parce qu’elle était faible ». En s’en prenant à Marcel Ntsourou, son ex- allié, de cette manière, il n’a fait preuve ni de force, ni de courage, ni de grandeur !
Le clan téké qui l’avait recueilli et soutenu durant sa traversée du désert, avec lequel il a noué des alliances familiales, est devenu tout à coup son pire ennemi. Sans les Ngouélendélé, avec lesquels il compte des petits enfants (Tékés ?), Célestin Nkoua, Jean Martin Mbemba, Mathias Dzon, Maxime Gandzion, Okombi Salissa, Marcel Ntsourou et surtout feu Omar Bongo Ondimba, aurait-il retrouvé la place qu’il occupe actuellement ? Jamais !
De plus, l’Ogre de l’Alima qui veut tout dévorer sur son passage, avec ses neveux et rejetons, vient d’écarter du PCT Isidore Mvouba et le déjà cité Okombi Salissa.
Coupé du Sud et du Pool, depuis bien longtemps, à part quelques irréductibles complices, il ne saurait penser aux Kouyou comme des alliés sincères qui n’ont toujours pas digéré la mort de Marien et l’emprisonnement de Joachim Yhombi.
Un autre prisonnier pose problème avec les Makoua, Germain Ickonga. Les Sages de la région s’étaient humiliés devant Sassou, sans succès, en le suppliant d’accorder sa grâce. Germain Ickonga est accusé de corruption mais à un niveau infiniment moindre de celui dont s’est rendu coupable Jean Jacques Bouya dans la même affaire du 4 mars 2012.Bouya est toujours libre et ne pourrait être inquiété !
Les Mbochis eux-mêmes ne connaissent plus l’union sacré autour de ce président arrogant et insensible. Ceux de Boundji, dans une très grande majorité, le rejettent et leur ressentiment est grand pour la disgrâce de Justin Leckoundzou, les humiliations infligées à Rodolphe Adada et le triste sort auquel sont livrés leurs parents sinistrés des explosions. A Oyo, sa popularité n’est pas plus grande. Quant aux Mbochis qui s’étaient établis dans les plateaux, ils sont très nombreux à plier bagages de peur d’avoir à subir des représailles pour ce qui vient de se passer au Camp du 15 Août à Brazzaville.
La grande inconnue des Likoualiens subsiste. Ambroise Noumazalaye et Yves Motandeau ont disparu. Henri Djombo aura du mal à assurer le soutien que cette région avait apporté par le passé. Si la Likouala d’une manière ou d’une autre basculait dans l’autre sens, Denis Sassou NGuesso serait alors nu comme un ver !
Les nantis du système, bien plus que les toujours pauvres, tremblent de peur que les combats du 16 décembre reprennent ailleurs dans la ville ou dans le pays et surtout qu’ils se généralisent sur ordre du « destructeur infatigable ». Toutefois, ce déclenchement de violences contre le Colonel Ntsourou aura eu pour effet de rapprocher les Congolais comme cela n’avait pas été le cas depuis bien longtemps. L’union sacrée, contre Sassou NGuesso et son petit clan serait de ce fait sur une très bonne voie.
A force de trop en faire pour sa Constitution, son pouvoir, sa réélection, son pétrole, son Trésor Public (privé), son clan et ses enfants, Denis Sassou NGuesso risque fort de voir son nom rejoindre bientôt la longue liste des dictateurs déchus…. Et toutes les légions étrangères qu’ils pourraient recruter pour verser du sang congolais n’y pourront plus rien !
Rigobert OSSEBI
Le 6 JANVIER 2014, par www.congo-liberty.org
Reconnaître un mauvais: Denis Sassou Nguesso fait-il parti des mauvais?
COMMENT DÉFINIR LE MAUVAIS !
Dans 97% des cas – le mauvais définit les ivrognes, les fous, les cyniques, les barbares, les sauvages, les êtres stupides, trop stupide pour être utile à la communication, à la société et à la civilisation.
Le mauvais indique d’abord une mauvaise réputation humaine, intellectuelle, politique, juridique, philosophique, sociale, économique, culturelle et sociétale sur différentes échelles: individuelle, amicale, amoureuse, professionnelle, locale, nationale, continentale et internationale.
Il ne vous respecte pas, ni même l’éthique, les principes ou valeurs morales et encore moins la société ou la civilisation. Il ne vous inspire pas confiance !
LE MAUVAIS PEUT-IL ÊTRE DÉFINISSABLE EN MOT-CLÉ? OUI, C’EST A PEU PRES CELA !
Mots-clés: sectarisme, tyrannie, absurdité cognitive, anomalie émotionnelle, contresens humain, démence, dérèglement civique, écart de valeurs, égarement, erreur de jugement, contre-valeur, contre-exemple, des-humanisme, de-civilisation, névroses, complexe d’infériorité, folie, schizophrénie, idiotie, illusion, non-sens, sophisme, stupidité, terreur, cynisme, barbarie, chaos…
Kiekiekiekiekiekiekiekiekie
Pourquoi hurles – tu comme un singe Lusolo ? Parce que c’est encore l’un des surnoms dont tu t’apprêtes à affubler ton conducator ou parce que tu es incapable d’émettre une réflexion à la lecture de l’article de Rigobert Ossebi ? Vous ne vous rendez même pas compte que DSN est entrain de plus en plus, d’emprunter la trajectoire du Maréchal Mobutu Sesse Seko. Tous les ingrédients sont rassemblés : la dérive excessivement clanique du pouvoir, la lente déliquescence de l’état, le délabrement sociaux économique, la démoralisation de la population, la dépravation des moeurs où le vol et la rapine sont érigés en vertus, la mise en lambeau du patriotisme….j’en passe et des meilleurs. Vous ne l’aidez vraiment pas. Et je pense que Rigobert Ossebi aura raison dans son analyse prospective.
LIBERTE A RÉAGIT DANS UN ARTICLE DANS http://WWW.ZENGA MAMBU.COM
liberté a écrit le 06/01/2014 à 17h25
Sassou croit dure comme fer que la puissance de son pouvoir tient aux sacrifices d’êtres humains et à la soif de sang dont il est le maitre incontesté.
Le mode opératoire est et reste le même.
Une équipe de sujet sataniste opère sur toute l’étendue du territoire nationale.
Elle est chargée de satisfaire en temps et en heure, toutes les demandes sanguinaires du tyran despote et sanguinaire.
Par exemple, entre 2012 et 2013, on dénombre près de 34 victimes sacrifiées: rituels nocturnes, assassinats, baignades dans le sang, ossements humains, trafics d’organes…
Mais la plupart des victimes restent et demeurent les étrangers et notamment des zaïrois, Rwandais, Tchadiens, etc qui n’ont aucune attache ni familiale et encore moins des liens humains avec les congolais.
Ibrahima Bouba, c’est une fois de plus cet article qui me fait marrer . Sans blague Ibrahima Bouba j’ignorais que le 16/12/13 l’aventure de l’ex Colonel était si grave. L’intervention des tchadiens (image a l’appui, dite moi l’autre rive sur votre photo c’est kin ?), qui se jetèrent alors dans le bain de sang de jeunes congolais plutôt que dans le combat…. ! Kiekiekiekiekiekie. Soyons sérieux Messieurs de la presse mensongère, il y avait quel combat à Brazzaville ??? C’était juste une petite opération de la police nationale, l’hélico était juste chargé de faire un travail de reconnaissance. Plus d’une centaine de nindja et autres qui ont été entraîné par l’ex colonel sont aussi aux arrêts. Donc, aucun jeune Congolais innocent n’a été arrêté ou tué.kiekiekiekiekiekiekiekiekiekiekiekiekiekiekiekiekiekiekiekiekiekiekiekiekiekie
Cher Rigobert (alias M. M. de château rouge) tu racontes des conneries sur les divisions des Mbochis, des mbochis qui fuiraient les plateaux (quel plateau? Ils sont aussi des plateaux), Kouyous, … Non, les nordistes ont peur de vomir complètement Sassou parce qu’ils savent que les sudistes ne tiennent pas un discours rassurant. Par conséquent, ils préfèrent voir Sassou rempiler pour le moment que de voir un extrémiste sudiste prendre le pouvoir. Et comme le nordiste n’aime pas se voir piétiner les burnes, il risque d’y avoir encore de la baston. 2016 c’est trop loin.
Arrêtons d’appeler Sassou le président de la république ! Car ce voyou à opté d’être le chef de la grande famille Mbochis et non le chef de la nation congolaise ! A l’image de l’actuel bureau politique du PCT qui ne compte plus que des camarades mbochis comme kiki sassou, Wamba sassou, Claudia sassou , cendrine sassou, jean jacques Bouya, michel ngakala , gabriel OBA Apounou, serges odzoki, pierre gollo , hyacinthe Ingani ect … et désormais sassou tiens les conseils du bureau politique en dialecte mbochi au bord de l’Alima à GOLLONKOUA ! Tandis que les camarades Isidore mvouba , honoré mpaka , placide MOUDOUDOU, ect .. ont étés chassés du PCT, parce qu’ ils sont sudistes! comme aussi le haut commandement militaire à 100% mbochis ou encore le gouvernement qui compte en réalité que trois hommes fort et une femme, tous de la famille sassou !
Arrêtons d’appeler Sassou le président de la république ! Car ce voyou à opté d’être le chef de la grande famille Mbochis et non le chef de la nation congolaise !
L’ utilisation déporpotionnée de l’arme lourde contre la résidence de Tsourou pour une soit disant opération de police ; dans une localité » où les souvenirs et les traumatismes psychologiques des guerres successives antérieures sont encore vivaces au sein de la population civile est à condamner vivement. Les atroces tueries par les forces gouvernementales au cours d’une soit disant opération de police, curieusement dirigées par Sassou Nguesso. président autoproclamé de la républe est un aussi un crime contre l’humanité qui s’ajoute à ceux déjà connus au Congo sous le régime Sassou Nguesso. La politique de terreur et d’ intimidation pratiquée par le dictateur génocidaire Sassou Nguesso et sa clique au Congo sont à condamner. La politique de terreur et d’ intimidation,la paix des cimetières qui sont le caractère inique et cruel du pouvoir satanique, criminel, maçonnique de Sassou Nguesso depuis de la fin des années 60 n’est plus à tolérer. Il ne faut plus nullement donner l’ occasion à Sassou Nguesso de continuer à nous repeter le scénario de l’année 1977 qui occasionné les assassinats de » deux présidents de la république et d’ un cardinal: Marien Ngouabi et Massamba Débat, Emile Biayenda en 1977, suivis d’exécutions sommaires au petit matin, de procès de farce liés à ces assassinats’’. Les Congolais, les citoyens du monde doivent se mobiliser pour la libération du colonel ntsourou, de sa famille et de tous ces gens incarcerés ainsi que de tous les prisonniers politique du Congo. Le monde exige que la lumière sot faite sur l’affaire des disparus du beach, de l’explosion de Mpila.Ntsourou doit ensuite se livrer à faire s apart de vérité devant le tribunal internal dans le problème des disparus du beach et de la guerre du Pool. Congolais! Réveillons-vous, relevez le challenge en mettant sans attendre, le dictateur et sa clique, sa famille impliqée comme lui dans les biens mal acquis et tout son système hors état de nuire.Ne continuez pas à voir dans la peur, dans le regret et dans la misère galoppante.
ooooohhhh Ibrahima Bouba, j’ai pas lu le nom du secrétaire général adjoint du PCT, c’est aussi un Mbochi? n’oublie pas qu’il y a plus de sudiste dans le gouvernement que les mbochies.
Galni, on ne s’improvise pas en politique, toutes vos affirmations sont gratuites. DSN notre président est un homme de paix qui tient à ses promesses, il a toujours promis une bonne leçon à tout fouteur de trouble.
Lusolo, vient ici à Brazzaville demander aux congolais s’ils connaissent monsieur André Massamba, je suis sûr que même toi tu ne le respectes pas. Il n’a aucun pouvoir, il ne sait même pas quoi faire. Et tu l’as bien dit toi même Secrétaire général Adjoint. Celà réponds à votre polique d’affichage prétenduement national de prendre des sous fifres sans charisme ni prétentions. Même chose pour le gouvernement. Je t’invite à la lecture de la Lettre du Continent, la bas tu verras ceux qui ont vraiment le pouvoir et tu comprendras pourquoi le peuple en a ras le bol.
La fripouille d’Edou ,son clan et ses amis ont transforme le Congo en terre de tous genres de mercenariat de la plume ou excellent francois soudan et jean paul pigasse en passant par celui de la mort ou les legions etrangeres composees par les ukraniens,les genocidaires Rwandais,les Tchadiens et les centrafricains pour ne citer que ceux la jusqu’a celui de l’economie ou les libanais et les ouest africains se disputent la premiere place.J’espere que les vrais fils du Congo ne tarderont plus a mettre hors d’etat de nuire cette gangrene appelee Mr Sassou,son clan et ses amis
Je vous comprend très bien les amis, mais patience, il n’est pas éternel. Oeuvrez surtout à préparer son après.