Les relations diplomatiques entre la France et le Congo, et vice-versa, sont en panne… Faute de conducteurs pour conduire la locomotive à vapeur d’un autre siècle, bien plus que le TGV. Les Affaires étrangères des deux Etats semblent se passer fort bien d’ambassadeur ; signe que les relations sont exécrables ; ou tout le contraire…
Difficile d’en juger tant le dictateur congolais qui, jeune homme et jeune président, connut ses homologues Giscard d’Estaing, Mitterrand et Chirac ; puis vieillissant Sarkozy et maintenant Hollande dans sa dernière année à l’Elysée. Maîtrisant tous les usages de la place et ses passages secrets, il pourrait vous dire qu’il n’a plus besoin, depuis fort longtemps, de ce genre d’intermédiaire pour y faire passer un message. Parfois même vertement, comme ce fut le cas pour obtenir l’extraction en pleine nuit, et en plein weekend, de Ndenguet de la prison de la Santé en avril 2004. Chirac et de Villepin, dans le cadre de leurs fonctions, n’avaient jamais entendu pareil langage…
Néanmoins, les choses ont changé. Sassou n’a plus de rond de serviette « au Château » et la méfiance a remplacé bras ouverts et accolades ; même si en septembre-octobre dernier une embellie s’était faite sentir avec la déclaration de François Hollande favorable au référendum au Congo Brazzaville.
Le poste d’ambassadeur en France est vacant et la diplomatie, comme la nature, a horreur du vide. A la faveur de la nomination d’un nouveau gouvernement, une personnalité semblait recueillir les assentiments de Brazzaville et de Paris pour occuper la fonction. Rodolphe Adada, car il s’agit de lui, aurait terminé sa riche et longue carrière, toute proportion gardée, comme Talleyrand à la tête d’une ambassade. Mais, même ce modeste lot de consolation ne saurait convenir au gang des enfants et neveux qui ont toujours eu, le longtemps ministre du pétrole, en travers de la gorge.
Bien évidemment, ces « Bac – 10 » éloignés des chemins de la culture ont toujours nourri un sérieux complexe d’infériorité à son égard et se sont régulièrement opposés à toute nomination qui lui aurait été trop favorable. Pourtant Rodolphe Adada a été, et de loin, le principal artisan du retour de Sassou Nguesso « aux affaires » en 1997.
La traversée du désert, avenue Rapp, se faisait cruellement sentir dans les années 1995-1996. Chirac évitait tout contact avec le président déchu qui sombrait dans la dépression. Il lui arrivait d’accueillir ses visiteurs, que du menu fretin, en pyjama et robe de chambre en soie de Chine bleue, sans être coiffé au beau milieu de l’après-midi ; alors que les membres du gouvernement français de l’époque se rendaient à Brazzaville auprès de Lissouba et de sa Directrice de Cabinet, pour se retrouver sur une des lignes du fameux « carnet à spirales » retrouvé par Jean-Marie Tassoua « Giap »… [i]
Rodolphe Adada, véritable second, ratissait large en vue d’une possible alternance démocratique. Le ministre de la coopération de Chirac, Jacques Godfrain, répugnait à recevoir cette opposition congolaise à Paris. Il fallait faire le voyage de Millau, en sa mairie, pour s’entendre dire : « Monsieur Sassou Nguesso ferait mieux d’aller, au Congo, préparer sa campagne électorale ! »
C’est ce qu’il fit au début de l’année 1997. Dès l’aube du 5 juin, Adada créa les structures de Magenta et de Montaigne (du nom de l’appartement prêté par feue-Madame Edith Bongo au 33 de la célèbre avenue) aux côtés de Christian Gilbert Bembet et de Mathias Dzon. Cette dernière cellule joua un rôle déterminant durant toute cette période de guerre civile comme relais de communication, d’approvisionnement et de relations publiques et politiques. Les enfants et neveux étaient absents, voire indifférents à ce qui se jouait à Brazzaville comme à Montaigne.
Peu de temps après le 15 octobre 1997, date de la victoire des Angolais sur les forces du Président Lissouba, Rodolphe Adada et Mathias Dzon rejoignirent Brazzaville. Ce dernier devint ministre des finances mais une opposition farouche des enfants et neveux se fit alors entendre à l’encontre d’Adada : « Ce type a déjà trop bouffé ! C’est notre tour maintenant ! » Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils furent entendus. Principal artisan de la « résurrection de Sassou Nguesso » et fidèle compagnon de traversée du désert, l’homme au nœud papillon dut se contenter du poste de ministre des affaires étrangères jusqu’en 2007, avant d’aller se dessécher au Darfour de 2007 à 2009 pour y représenter l’ONU et l’U.A.. De son retour à nos jours, il fut consciencieusement, ou presque, tenu à l’écart du tiroir caisse dans les griffes des rapaces déjà cités.
Mais la lutte à laquelle nous assistons, celle des enfants et neveux contre les vieux compagnons du tyran, est déterminante dans la succession à laquelle les uns, enfants, contre les autres, neveux, prétendent chacun. Déjà, depuis cette fin d’année 1997, beaucoup de ceux qui avaient largement contribué au retour, de Denis Sassou Nguesso, ont depuis disparu dans des circonstances troubles ; ou se retrouvent opposés à lui. Ceux qui ont été écartés dans la composition du nouveau gouvernement « Edgar-Kiki-JDO » ne doivent plus jouer le moindre rôle. C’est la raison pour laquelle, pour la nomination de l’un d’eux, à l’avenue Paul Valéry, un barrage a été mis en place, dans l’indifférence de Denis Sassou Nguesso et contre une certaine attente de Paris.
Rodolphe Adada a toujours été un conseiller écouté par le Dictateur. Il est encore consulté en la période actuelle, parfois même comme confident, par un homme surmené et épuisé par les enjeux. Aussi, le cas de Florent Tsiba pose problème à l’homme de Mpila. Il le sait très mécontent et cela le met mal à l’aise. Vraiment mal à l’aise. Il aurait reçu le conseil de mettre Tsiba à la place d’Ayessa, à la tête de son Cabinet présidentiel ? Le suivra-t-il ? Et comment croire qu’il puisse nommer quelqu’un d’autre qu’Adada à Paris… ?
Ces vieux compagnons de route ont été les piliers de la reconquête du pouvoir de Sassou Nguesso. La jeune garde familiale, impatience de s’emparer de la succession, quitte à éliminer le patriarche en le jetant au bas-côté, pourrait bientôt apprendre à ses dépends la capacité de cette vieille garde à se débarrasser d’eux.
Nous n’aurions plus alors qu’à nous asseoir tranquillement sur le bord du fleuve Congo ; peut-être verrions-nous passer les corps de ces impatients insatiables ?
Cela ne saurait tarder !
Rigobert Ossebi
Diffusé le 30 mai 2016, par www.congo-liberty.org
[i] « Chirac, mon ami de trente ans » Jean François Probst
DSN n’oublie jamais ses amis. Les impatients l’apprendront a leurs dépens très bientot.
Qu’ils aillent tous au diable. Nous attendons la fin du mandat de 2009 du dictateur pour le renvoyer à Oyo pour garder ses boeufs et s’occuper de sa palmeraie ou à la CPI pour nous dire où sont les corps d’Anga et le Président Massamba Débat sans oublier les disparus du beach.
TALLEYRAND oui comme » Un tas de merde dans un bas de soie » dixit Napoléon mais sans le panache de l’ancien Maitre de la langue française qui nous a laissé la DÉCLARATION DES DROITS DE L’HOMME « » Tous les Hommes naissent…..
LES CAUSERIES distractives des NGUESSO seront bientôt un lointain cauchemar . Vu les actions de destruction massive que nous menons sur le terrain européen , l’on peut dire sans risque de se tromper que , les tarots sont presque cuits .
Tenir , avant fin décembre relèverait d’un quasi miracle . Nos actions ne laissent aucune chance à ces charognards venus d’OYOBEEK .Car nos interpellations européennes , au sujet du CONGO DE SASSOU sont d’une telle pédagogie qu’elle suscite réprobation immédiate de la part de ceux , qui ont promis de relayer nos doléances , auprès des décideurs politiques de ces pays européens .
Avant de nous rendre en ESPAGNE , nos actions s’orientent vers les institutions financières , pour bloquer tout crédit en faveur du CONGO .
Objectif ; réactiver et aiguiser l’amertume mondiale à l’égard de SASSOU .
Une chose est certaine, depuis l’intrusion des identitaires de la diasporat dans l’ambassade du Congo à Paris les autorités congolaises affichent leur mépris vis à vis des complices présumés, en faisant durer le suspens sur la nomination d’un nouvel ambassadeur. Il y a toute les raisons de croire que les services locaux, connaissant les moindres faits et gestes des activistes politiques à l’étranger, n’ont rien fait pour arrêter les vandales.
D’autant plus qu’ils ont agit à plusieurs reprises dans un périmètre aussi sécurisé que le quartier des ambassades de la capitale française, c’est qu’il y a eu un laisser faire. Le but est d’intimider, menacer, humilier mais en vain. Le tort du Congo c’est que ses dirigeants ont défiés la Gauche paternaliste qui n’a aucune crédibilité, en témoignent les manif révolutionnaires contre les réformes sociales impopulaires. Le 49.3, la loi Khomry ou encore le mariage dit « pour tous ».)
Bref, la france est une puissance moyenne, elle n’a jamais été une super puissance mondiale, ce sont les pays africains qui étaient beaucoup trop enclavés dans la coopération économique et diplomatique exclusive. Tel est le message fort et clair que Brazzaville adresse diplomatiquement à Paris. En dehors de la france qui reste un acteur important, le Congo a su diversifier son partenariat avec la Russie, la Chine, l’Italie, la Belgique, la Turquie, les USA y compris.
Ossebi,
Vous faites maintenant campagne pour les fossoyeurs du Congo tel que Adada?
Mr. ADADA est avant tout un criminel tout comme Mr. Mathias NDZON. Ils ont ete les artisans du retour aux affaire de Mr. SASSOU par les armes, en chassant ainsi un President regulierement elu. Les Familles qui ont fait les frais des violences Angolaises les attendent. Des Mamans, des Papas, des enfants, tous ravages par les armes que ces deux malfrats avaient achete; c’est vraiment triste. Et quand je vois le sieur ADADA avec sa femme dans le Boeing d’ECAIR en plein vol, je me demande s’il n’y’a que eux et leurs enfants qui ont droit aux privileges de la vie. Un Mr. qui depuis toujours se trouvait entre deux avions de UTA en premiere classe entre Paris et BZV. Pour etre simple: un coup pouvait arriver contre les sales regimes du Congo, lui et sa femmes seraient dans un DC-10 d’UTA; et comme ils ont tous deux la Nationalite Francaise, ils restent dans l’avion si c’est une escale a BZV et ils repartent en France. Voila le comportement des gens qui epousent les femmes blanches.
Ah sacré Bakala assis,
Même après 5 ans de participation au forum, tu ne comprends pas toujours ce que Ossebi a voulu dire ? Tu changeras jamais mon cher assis.
Ossebi n’aime ni les uns et ni l’autre, mais ils nous relatent ce qui se passe en coulisse.
Bonne journée bakala assis,
Depuis, les iles vierges britanniques où il fait bon ce matin, ton compatriote.
Les signe du pourrissement du fruit sont déjà là endogène et … exogène. Il ne reste plus que sa chute. Aussi comme Dieu me l’a dit il y a bien longtemps déjà: Le diable est tué et sa maison brûlée. Mais avant le diable ressentira cette douleur vive d’un père qui perd sa progéniture bien aimée.
Adada,l’éternel accroche aux noeuds butterfly,l’un des traîtres,l’un des criminels qui ont approfondi l’emprise de la france sur le Congo a travers leur entreprise criminelle.Je serais ravi de le voir comme ses compagnons de la route criminelle defiler devant un juge de la vraie justice Congolaise post Denis Sassou et sa secte (Pct)
Ces pseudos intellectuels ,qui n’ont rien inventé , en dehors de leurs ronflants diplômes , seront discrédités à vie AU CONGO ;
Demain , un intellectuel c’est celui qui sera capable , d’innover dans son domaine , et dont les bénéfices sont empochés par la population .
Ceux qui vivent des largesses du pouvoir , ne peuvent prétendre à ce titre .Pour l’heure , nous accordons notre crédit intellectuel à notre PATRICK TSENGUE TSENGUE ET OUALOUBOUKOU TOUS deux ingénieurs prolixes , en création d’emplois .
VOS RODO , BAKABADIO ,OSSEBI DOUNIAM , okiemy , MOUNGALLA . AKOULA etc ne valent pas un clou .C’est zéro pointé ;Car pour eux il a fallu lécher le cul de SASSOU pour mieux vivre .
Demain , est intellectuel celui qui , de par ces compétences académiques aura crée des emplois au bénéfice de nos compatriotes .
LE DEFI EST Lancé , on attend le départ de ce connard , pour l’émulation intellectuelle dans notre pays .
Des docteurs en économie , en droit , en sociologie sont légion au Congo ; pour des résultats sanguinaires .
L’homme a eu toutes les occasions de marquer positivement l’histoire du Congo, mais force est de constater que c’est vraiment le MAL de la conscience cramée qui en est résulté…Tous les grands Départements ministériels atteignent l’apogée de l’ANTI-PATRIOTISME à son passage.
C’est le PIC DE LA MIRANDOLE DE L’ÉSOTÉRISME DU BRADAGE PÉTROLIER CONGOLAIS!!!
Au Ministère des transports, il laisse un DÉSERT SAHARA DE CADRES car il ne travaillait qu’avec les MBOCHIS de son village sur les miettes que voulaient bien lui laisser le tandem de vicieux que sont OSSO & BOUYA.
Oui en réussissant à l’Agrégation de Maths dans les années 70, cet homme fut pris comme modèle par la génération de jeunes matheux 79/80 que nous étions en FRANCE et il était difficile de ne pas voir en lui un îlot d’intelligence académique dans l’entourage de l’Exubérant et Intransigeant patriote MARIEN NGOUABI et plus tard de l’inculte SASSOU.
Comme BAKABADIO, L’homme n’est qu’un PROSTITUÉ SUR LE TROTTOIR DE LA DICTATURE.
@ VAL DE NANTES TOUJOURS ACTIF,
Je valide. Les actions de la diaspora commencent à produire les effets excomptés. L’oyacratie est bloqué à Brazzaville et personne en bouge, plus de visas pour les voleurs et les perpétuels faiseurs des coups d’état. Le steward en chef ne bouge plus de Brazzaville car personne ne veut plus le recevoir et de peur de ne plus revenir.
M. 8% est réduit maintenant à demander à ses amis voleurs de Brazzaville de rapporter au trésor public l’argent gardé chez eux dans les nguiris pour faire face aux salaires à venir.
Ondongo et Bouya n’ont plus le droit de s’envoler par jet privé pour aller prendre l’argent caché à l’étranger. Celui gardé dans les cimétières à oyo non plus ne viendra pas à Brazzaville.La Chine traite le congo d’état voyou qui ne paie pas ses dettes. Il semble que Tsiba « morabissi » qui a été sollicité pour donner sa côte part aurait repondu par un gros niet à la soviétique et le torchon commence à brûler entre les voleurs.
Merci de continuer à les traquer, nous attendons que son mandat de 2009 se termine pour qu’il foute le camp afin que nous organisons les éléctions. Il n’y a rien à négocier avec un bandit comme sassou qui ne voit que la force des armes partout. Le fruit est mûr. L’opposition doit tenir bon. On ne peut négocier avec lui que pour canaliser son départ du pouvoir car il n’a pas gagné l’éléction qu’il a organisé à huis clos.
Je profite pour remercier la brave Munari qui a pris la bonne initiative d’écrire aux Présidents etdes USA, de la France, à l’UE au Sécrétaire de l’ ONU pour qu’ils s’intéressent de près ce qui se passe au Congo pour qu’ils ne disent pas qu’ils ne savaient pas.
Nombreux ne connaissent pas la face cachée D’ADADA , ce monsieur est l’un des artisans le plus actif du coup d’état très sanglant de 97 ! Méfiez vous du nez papillon c’est un grand sorcier Mbochi de MBOUDJI , qui n’a pas fini ses études à Nantes , mais il a bénéficié des faveurs du pouvoir nordistes de ngouabi qui à fait de lui un cadres supérieur et à gravi tout les échelons dans l’appareil de l’état sans avoir la compétence il est multi milliardaires avec l’argent du pétrole congolais !!!
@MON GRD OYESSI , dialogue et négociation , connais pas ,,,,,,,.On est parti pour les alpaguer tous les jours , car leur comportement politique a beaucoup préjudicié au décollage socio économique de notre pays .
D’où notre engagement quasi mystique , de chasser sans conditions cette bande de racailles gérant un pouvoir militaro- tribalo sanguinaire .
Notre pays se veut un agrégat des intelligences , au service de son développement multidimensionnel , nous ne plus nous contenter des mesurettes ,du consensus mou , car en face , il n’ y a point de volonté patriotique de construire un Congo respectant les droits humains .
L’inacceptable est le moteur de notre motivation , et partant de ce noble sentiment nous avons juré la perte du pouvoir de SASSOU et son cortège des malheurs .
Notre devise est limpide , et lapidaire elle se décline en une phrase ;;
Ceux qui avaient installé SASSOU au pouvoir , doivent l’en faire partir . Les italiens , via ENI , les français via TOTAL etc ,,en sont pour quelque chose .
Nos souffrances deviennent leur torture quotidienne .NOUS allons sillonner toute l’EUROPE , au cri , de la misère congolaise .
Pffffffff……!!!!!!
Du pareil au même
Les bagares entre enfants – neveux et compagnons de SASSOU sont a applaudir. Il se bagarent de quoi en fait? Du Congo? De ce que le Cingo a de « public »?
Ce sont tous des rapaces et des voyous ayant conduit le Congo a une cruel tragedie. 1997, etait une annee d’election, ce n’etait pas une annee de coup d’etat. Ils ont travaillé dans le but de tuer les citoyens congolais et l’histoire le retuendra comme tel.
Aujourd’hui ils se bagarent dans leur ciel, c’est une bonne chose.
Lorsque nous etions enfants, nous aimions voir les ouseaux se bagarer dans le ciel. Ils etaient tellement determiné a se neutraliser qu’ils perdaient l’altitude. Et nous, munis de nos lance pierres attendions jusqu’à ce qu’ils tombent par terre et nous les attrapions.
Adada n’est pas un homme propre. Il est aussi sale que les autres. Il a ete le munistre des affaires etrangeres en charge de couvrir les assassinats d’Owando d’avant le 5 juin 1997, les assassinats pour la prise de pouvoir; les assassinats MOUEBARA Phase 1 dont fait partie, les disparus du beach; une bonne partie des assassinats MOUEBARA Phase 2 qui consistait a l’elimination par empoisonnement, enlevements, disparition forcées, tortures…..
Il s’est eclipsé en 2007 mais il est resté un penseur oculte du tyran. C’est pour dire que ce Mr est aussi un acteur de MOUEBARA Phase 3, déclenchee en octobre 2015, phase encore active dans le pays avec des variations diverses: massacres dans le pool, enlevements, tortures, disparitions forcees dans le kouilou, les pays du niari, a Congo City (ex brazzaville) et dans toute la zone nord du pays où la peur est totale.
Qui edt Adada? Une victime? Non. Un boureau de pure nature, et les enfant-neuveu doivent continuer et multiplier les bagares. Comme les oiseaux dans le ciel, ils tomberont. Ainsi nous les attraperons.
@ VAL DE NANTES,
Il y a rien à négocier. Le tyran a organisé dans le huis clos avec la complicité de ses maîtres une mascarade d’éléction qu’il a perdu. Ses maîtres doivent comprendre une fois pour toute que c’est à ceux de négocier avec leur valet pour qu’il dégage le plancher sinon ils risqueront de tout perdre.
A la CNS, Mgr Nkombo avait sauvé la vie au tyran en mettant sous silence la première décision prise par la CNS qui rendait sassou le seul responsable de la mort de NGOUABI et toutes de l’après Ngouabi. Par la suite l’ingrat l’a fait empoisonné à Owando.
On ne négocie pas avec un échoué M. 8%. La pression restera constante. M.8% et son pct sont dans la nasse, il ne reste plus qu’à les étouffer une fois pour toute, le ciel ne tombera pas et le Congo repartira de bons pieds débarrassé des rouges qui nous empoissonnent la vie.
L’une des erreurs de la CNS c’est de ne pas avoir dissout le pct qui était parti état pour ne prendre en compte que les partis nés sous l’ère démocratique. Ce parti qui est le véritable mal congolais a continué à bénéficier des acquis de l’ancien ordre et à distiller à travers le Congo son mensonge et ses méthodes d’un autre siècle. Pendant que d’autres partis se cherchaient , le pct bénéficiait de tout le patrimoine de l’état sans que personne ne dise mot.
De quel droit le pct et ses militants ont hérité après la CNS les biens qui appartiennent à l’état Congolais. La Congolaise et tous les sièges à travers le Congo,les bâtiments appartenant à l’UJSC comme l’actuel hôtel de Oba Apounou, la villa qu’occupe Isidore Mvouba eT d’autres bien de l’état comme M.8% a occupé tout une zonz appartenant à l’ ATC ex CFCO.
J’ose croire qu’un jour,quand le Congo redeviendra Congo, la république se souviendra qu’elle a été spoliée par les yaka noki noki et qu’elle récupérera tous ses biens.
La lutta continua!!!!
….tout une zone…. dite sans fil.
Il faut être un véritable voyou pour occuper tout un pan de la ville avec ses parents pour en faire votre quartier privée et personnel. Heureusement que la traçabilité des titres fonciers originaux de la colonial existent et l’état sera en droit de remettre dans son patrimoine ce qui lui a été pris malhonnêtement.
Sacré OYESSI!
Comme si tu lisais dans mes pensees. Pourquoi laisser a cette bande le moindre privilege. Adada doit retourner à l’Etat, toutes les terres volees.
Permettez que je pose une note sur un terme qui franchement me gene en ce qu’il est reccurent dans les textes de brillants compagnions du mouvement ANTISASSOUSYSTEME.
C’est des especes de types Adada que l’on qualifie ou nomme INTELLECTUELS. Ce terme qui a perdu de sa luxure au Congo, notre terre de toutes les confusions. Là-bas, quand vous avez le parcours universitaire, vous êtes titrés intellectuel.
La langue du maitre dit intellectuel= QUI A UN GOUT PRONONCE (ou excessif) pour les choses de l’esprit —-> Cerveau. Ou qui se consacre aux activités de l’esprit.
Adada occupé à acheter des quartiers, à s’enrichir, est confondu a un intellectuel. Non chers amis.
On peut être intellectuel aujourd’hui et ne plus l’être demain quoique vous gardez votre carton signé d’une université.
Le passage dans une université ou l’acquisition d’un doctorat ne fait pas de l’acquereur un INTELLECTUEL.
En plus il y a une nuance entre l’intellectuel et l’universitaire. De meme qu’il y a une nuance entre le Cadre et l’intellectuel.
Pour le Congo d’après les predateurs, il faudrait que ces termes soient bien compris afin que ces differents profil nous soient vraiment utile. Le Congo aura besoin des intellectuels, des universitaires, des chercheurs, des cadres, des specialistes, des professionnels.
Et ce titre d’intellectuel n’est pas aussi grand que la majorité des congolais le pensent.
Rendez-vous a CONGO CITY.
La question du PCT est au coeur de tous les malheurs du Congo. Mon frère OYESSI ne depouille pas tout le cocotier s’il te plait. Sassou et sa bande n’imaginent pas comment la nouvelles structuration du Congo mettra tous ces gens en » yoye ».
@ David
« Le passage dans une université ou l’acquisition d’un doctorat ne fait pas de l’acquereur un INTELLECTUEL. »
« En plus il y a une nuance entre l’intellectuel et l’universitaire. De meme qu’il y a une nuance entre le Cadre et l’intellectuel »
Cher frère, je valide. Beaucoup de nos compatriotes qui sont détenteurs d’un diplôme universitaire se croient toujours être intellectuel. Eh bien non si et seulement si être intellectuel c’est être intelligent. Nous confondons très souvent celui dont l’activité est lié à l’exprit donc à la reflexion et à l’analyse à celui qui est intelligent.
Tous les enseignants ne sont pas intelligents pourtant détenteurs pour la plupart des diplômes univsersitaires Licence, Maitrise DEA,, doctorat, Ingénieur, que sais encore.Le métier d’enseignant demandant la reflexion et faisant appel constamment à l’exprit seraient nos premiers intellectuels, mais regardez les nôtres, sont ils tous intelligents? J’en doute.
Chez moi, on dit très souvent que le lièvre est malin mais pas intelligent. Malin parce qu’il trompe facilement la meute des chiens à sa poursuite en se cachant sur les hauteurs d’une termitière. Pas intelligent parce qu’au lieu d’attendre il sort de sa cachette pour aller se faire attraper dans le filet tendu par les chasseurs.
Nos fameux intellectuels sont pareils, ils croient détenir la finesse de l’exprit et la science infuse parce que bardés de diplômes mais en fait ce ne sont que des imbéciles qui pensent que s’achèter plusieures parcelles de terrain ou plusieures voitures est une réussite dans sa vie.
En tout cas, moi,je me considère comme intellectuel pour avoir été à l’école de mon villageois oncle qui m’a tout enseigné de nos traditions où le vol, éviter la honte, le mensonge, l’adultère sont stritement interdits et à éviter. Par contre la fraternité, la disponibiIité vis à vis des autres, le sens du partage et du devoir, le travail bien fait étaient au centre de la personne. Avoir été à l’école des blancs n’a jamais fait de moi un intellectuel que je suis depuis kala kala.
« Le métier d’enseignant demandant la reflexion et faisant appel constamment à l’exprit seraient nos premiers intellectuels, mais regardez les nôtres, sont ils tous intelligents? J’en doute ».
Lire: Le métier d’enseignant demandant la reflexion et faisant constamment appel à l’exprit ferait de nos enseignants les premiers intellectuels mais…..
PS: Si vous voyez mon frère Mwangou quelque part, dites lui qu’il nous manque.
Dans cette histoire, vous avez oublié Omar Denis Bongo qui monte en puissance et est pressenti pour remplacer son satanique de grand-père. Ce n’est pas un hasard qu’il est surnommé » pur sang » à l’opposé de kiki le zairois. Son satanique de grand père le consulte de plus en plus, en plus de l’emmener dans ses voyages. À oyo, il est déjá adoubé contrairement à kiki le zairois. Même chose chez les Téké avec le patronage du morabissi national. Aussi, dans les 3 prochaines années, satan sassou entend imposer aux congolais son successeur pur sang à l’opposé de kiki le zairois. Ce sera la revanche des Dira contre les zairois.