Jean-Marie-Michel Mokoko
Le général Jean-Marie Michel Mokoko, candidat malheureux à la présidentielle du 20 mars, est assigné à résidence pour avoir consesté l’annonce de la réélection du président sortant.
Derrière les fenêtres de sa villa, située dans le centre de Brazzaville, la coquette capitale du Congo, Jean-Marie Michel Mokoko peut les apercevoir, «des hommes en tenue militaire ou en civil postés tout autour de [sa] maison et bien décidés à [l’]empêcher de sortir»,explique-t-il, joint ce week-end au téléphone par Libération. Au ton de sa voix, on dirait presque que ça l’amuse. «Disons que depuis plus de deux mois de réclusion forcée, j’ai fini par m’habituer», soupire ce général de 59 ans qui a fait Saint-Cyr et qui, après avoir été chef d’état-major des armées dans son pays, a multiplié ces dernières années les missions de pacification au nom de l’Union africaine.
Rejet.
Jusqu’à ce mois de février, où il décide de rentrer au Congo pour se présenter à l’élection présidentielle du 20 mars. La popularité de cet outsider se mesure alors autant à l’aune des foules qui remplissent ses meetings qu’à la virulence des réactions du régime. Lequel, dès son retour à Brazzaville, multiplie les harcèlements judiciaires, allant jusqu’à déterrer une vidéo censée prouver un projet de coup d’Etat fomenté par le général.
Depuis le 4 avril, il est de facto assigné à résidence, «sans aucune notification officielle», précise-t-il. Son seul tort ? Avoir contesté ce jour-là l’annonce de la réélection du président sortant, Denis Sassou-Nguesso, qui en pleine nuit et dans un pays brutalement coupé d’Internet, s’est déclaré vainqueur dès le premier tour avec 60 % des voix. Personne n’y a cru : ni les Etats-Unis, ni l’UE, ni la France n’ont voulu féliciter «le vainqueur» , surnommé «Monsieur 8 %» par l’opposition, qui a compulsé ses propres résultats, plaçant Mokoko en tête.
«Je savais dès le départ qu’il y aurait des tricheries. Sassou a modifié la Constitution pour se représenter. Ensuite, il a anticipé l’élection de plusieurs mois. Reste qu’aucun candidat ne pouvait gagner dès le premier tour, le rejet du système est trop flagrant»,dit l’opposant de Sassou-Nguesso. Lequel cumule plus de trente ans à la tête d’un pays doté de fabuleuses ressources, mais où la moitié de la population vit avec moins d’un dollar par jour (88 centimes d’euros). «Ce que je n’avais pas prévu, en revanche, c’est la coupure de toutes les communications, la capitale encerclée et quadrillée», avoue Mokoko. Il a aussi entendu parler de l’envoi d’hélicoptères pilotés par des mercenaires ukrainiens et burundais pour bombarder la région du Pool (sud-est). «Une région martyre où se déroulent des massacres à huis clos, soupire-t-il. Une chape de peur s’est imposée au pays : les gens sont indignés, mais ils n’osent plus protester publiquement.» Cette répression ne suffit plus pour imposer le retour à la normale : selon la Lettre du continent, éditée à Paris, «le bras de fer Sassou-Mokoko fait fuir les patrons et influe sur l’économie du pays».
Mission.
«S’il affirme qu’il a gagné les élections, est-ce moi qui l’empêche de gouverner le pays ?» ironise Mokoko, dont l’isolement a été interrompu la semaine dernière par deux visites inattendues : celle de Jean-Yves Ollivier, un homme d’affaires français proche de Sassou et faisant parfois office de diplomate de l’ombre. Puis celle de l’ambassadeur de France Jean-Pierre Vidon. Ces émissaires venaient-ils lui apporter le soutien de la France, ou du moins tenter une médiation ? Si ce fut le cas, elle semble très orientée. «Jean-Yves Ollivier s’est présenté chez moi en affirmant qu’il était chargé d’une mission par les autorités françaises», dit Mokoko, ce que démentent l’Elysée et l’intéressé. «Il m’a expliqué que la France allait reprendre sa collaboration avec Sassou et qu’elle ne soutiendrait plus l’opposition», ajoute le général reclus, précisant que«c’est Ollivier qui [lui] a annoncé la visite de l’ambassadeur, dont le discours est allé dans le même sens». Les deux émissaires auraient exigé, en vain, une lettre de l’opposant reconnaissant la victoire de Sassou. «Je ne vais pas dire le contraire de ce que j’ai toujours dénoncé, tranche le général. S’il m’arrive quelque chose, de toute façon, on saura d’où ça vient.»
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Convocation du général Jean-Marie Mokoko par la Direction générale de la surveillance du territoire, pour le mardi 14 juin à 11 heures
Diffusé le 14 juin 2014, par www.congo-liberty.org
Nous ne devons pas lâcher, ni abandonner le Général Mokoko
A l’intérieur et à l’extérieur du pays, nous devons dire à Sassou Nguesso « Touche pas Mon Général J3M »
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La Liberté et la démocratie passent par l’éducation…
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Le crash FINANCIER a déjà eu lieu… Il ne reste plus que l’épave de cette compagnie… #32ansSassoufit
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Tôt ou tard , la France se pliera aux exigences démocratiques exprimées par le peuple congolais
C’est un fait historicisant , dont les congolais ne peuvent se départir .
Le besoin démocratique fait désormais partie de notre ADN , car son implantation durable dans notre pays , signera par capillarité la fin des injustices sociales et la reconnaissance des efforts issus des bancs de l’école .
Ainsi nous allons réhabiliter les vertus du savoir et reconstruire le tissu social qui a été détricoté aux fins tribalo politiques .
Quoi qu’ait fait cette moribonde FRANCE , notre pays a choisi la liberté .La pression sur MOKOKO , n’aura aucun effet sur la détermination populaire à tourner la page noire de notre histoire politique .
Ce titre de l´article est revelateur de l´etat d´esprit des mafieux français de tout bord au vu de l´engouement liberateur des peuples africains francophones en general et congolais en particulier.
Vous n´allez pas arreter notre devouement pour chasser vos hommes de mains tels sassou nguesso et tous ses sbires.
Le depart de sassou n´est que question de petit temps.
Publié le 14/06/2016 par congo-liberty.com
Merci à Congo-Liberty pour ce que vous faites. Je souhaiterai que si le Webmaster reprends un article écrit par un autre journal comme celui de Libération qu’il reprenne exactement l’intitulé de Libération.
Dans le texte mis à notre disposition, je ne vois pas une phrase où il apparait qu' »Au Congo, l’opposant Mokoko se dit lâché par la France », alors que dans le même texte il est dit qu' » Au ton de sa voix, on dirait presque que ça l’amuse ».
Voici donc quelqu’un qui à la fois se plaint et s’amuse de son sort. Pourquoi je souligne cette contradiction, c’est tout simplement pour qu’on ne nous embarque pas dans le désinformation qui consiste à nous faire croire que si Mokoko s’est présenté à cette élection c’est que les français étaient derrière lui et l’ayant maintenant laché, il se plaint.
Qui ne sait pas que si les français étaient derrière Mokoko ou l’opposition toute entière Hollande n’aurait autorisé à M.8% le changement de la constitution ayant permis cette élection à 8 clos. Et si aujourd’hui cette france coloniale n’a pas reconnu formellement le pouvoir de M.8% c’est que l’UE a dit ne pas le reconnaitre. Ce qui plombe les manoeuvres d’Hollande. Les démarches d’Ollivier et Vidon sont personnelles. Ce n’est pas la france qui les envoie, c’est leur ami M.8% qui ne dort plus à cause de Mokoko et celui ci le sait. C’est pourquoi il conclut «Je ne vais pas dire le contraire de ce que j’ai toujours dénoncé. S’il m’arrive quelque chose, de toute façon, on saura d’où ça vient.»
Si Mokoko reconnait ceci «Ce que je n’avais pas prévu, en revanche, c’est la coupure de toutes les communications, la capitale encerclée et quadrillée » c’est qu’il est conscient qu’un pan de sa stratégie, toute l’opposition comprise leur échapée et M.8% a été plus futé qu’eux.
Au moment où je fais ce post, Mokoko doit repondre à unième convocation de la police politique de M.8%. Ira t-il? sera t-il pris de force? S’il lui arrive quelque chose, nous savons d’où çà vient.
….qui nous embarque dans la désinformation….
@ MON GD OYESSI , je ne sais pas , si nous tirons dans le même sens , mais je prends le risque d’affirmer que MOKOKO , pour l’avoir rencontré avant cette hystérie mokokienne , avait pris l’engagement de mettre la France devant un fait accompli .Et , de ce fait il ne pouvait être un candidat piloté par la France .
Ce fut plus un défi politique lancé à la France qu’un soutien tacite de la FRANCE à MOKOKO .
Il s’y est engagé au nom du peuple , et non sur le compte de la mère patrie .
D’ailleurs au cours , de cet entretien , je fus le dernier à lui poser la question de savoir , s’il se lançait dans cette bataille présidentielle , la réponse fut NON .
Ainsi , la FRANCE qui aurait lâché MOKOKO , cette phrase me trouble , car elle est cousue de fil blanc .
C´est peut etre une manière du journal Liberation de mettre la pression sur Hollande et de compromettre le gouvernement français à faire l´arbitrage.
Mais ne soyons pas naïf de toutes les façons, vu que l´ambassadeur français et bien avant lui le mercenaire jean yves olivier etaient en mission recomandées officieusement par les memes autorités officieles françaises.
Nous avons l´opportunité cet apres midi par notre vaillant écrivain et compatriote Alain Mabanckou de se munir du voeux entier du peuple congolais et des declarations IDC-FROCAD et le dire clairement à Hollande QUE LES CONGOLAIS NE VEULENT PLUS ET N´EN PEUVENT PLUS DE SASSOU NGUESSO ET SBIRES.
La haine anti-français est tel que la france doit se ressaisir et nous laisser chasser sassou tranquilement.
Au Congo, l’opposant Mokoko se dit lâché par la France,les Congolais toujours naïfs.
Pendant que Sassou Nguesso est parti jouer les innocents à Luanda, les gendarmes ont pénétré au domicile du Général Mokoko en fin de matinée, alors que 200 d’entre-eux étaient dehors.
Cette opération est menée par Aimé Emmanuel YOKA (82 ans), ancien Ministre de la Justice et oncle de Sassou. Les réunions se passent chez lui, à son domicile, non loin de la Cathédrale du Sacré Cœur de Brazzaville. Sur les instructions de ce « vieux sage », oncle de Sassou, se trouve l’équipe suivante qui se réunit plusieurs fois par jour ;
– Raymond Zéphirin MBOULOU, Ministre de l’Intérieur
– Jean Dominique OKEMBA, Contre Amiral, Conseiller spécial de Sassou, Secrétaire National du Conseil de Sécurité
– Pierre OBA, Général de Police, Ministre des Mines de Sassou et de la géologie
– Le Général Paul Victor MOUANI, Commandant de la Gendarmerie Nationale
– Le Directeur Général de la Police, NDENGUET
– Le Procureur de la République au Tribunal de Grande Instance de Brazzaville, Monsieur Okao NGAKALA
– Thomas MAKALA MAYINDA, Directeur des Renseignements Généraux et Responsable de la Commission mixte d’Enquête, Défense et Intérieur
– Le Général Philippe OBARA, Directeur Général de la DGST
– Le Colonel Elie ITOU ATIPO, sous les ordres du Général OBARA
Au Congo,l’opposant Mokoko se dit lache par la france.Les Congolais toutes generations et toutes catégories confondues doivent apprendre cette maxi.L’oppresseur ne donne jamais a l’opprime de façon consciente les instruments de sa liberation dixit le professeur John Hendrix Clarke.Les Congolais trop illusionnistes,trop naifs et toujours a l’attente que les autres fassent quelque chose pour ceux surtout en ce qui concerne leur liberation,leur survie.La france ne quittera pas de son propre gré si les Congolais ne la vont pas partir par la force brute comme les Algériens l’ont fait.Mr 8% n’obéit qu’aux ordres de son employeur qui est l’empire français.
En lisant le titre, je me suis interrogé. Et quand j’ai parcouru le contenu, je me suis aperçu qu’il y avait anguille sous roche. Le titre évocateur était aux antipodes du contenu.
De toutes les façons, les congolais ont soif de liberté. Cette attitude suicidaire de la France est entrain de laisser des traces. Nous nous en souviendrons.
La liberté ne peut être à géométrie variable. Comme le dit l’adage « quelque soit la durée de la nuit, le soleil finit toujours par se lever ». Nous nous battons pour notre liberté et nous l’obtiendrons.
A la place de MOKOKO on aurait convoqué La SDF FATIMA BEYINA MOUSSA directrice d’ECLAIR ou ECAIR ;ELLE prétend détenir des diplômes en gestion .TENEZ un mastère en gestion et un diplôme de HEC canada .POUR un résultat pâteux , calamiteux , honteux .Au point de se demander , si elle n’aurait pas obtenu un mastère en offrande financière .
Du jamais vu , elle innove dans le domaine de l’actionnariat parlementaire , où il est demandé 10000 CFA sinon plus , pour une action d’ECLAIR ou ECAIR ;
On ne pouvait pas imaginer qu’on transforme les deux chambres parlementaires en marché financier .On aurait tout vu au CONGO , avec des sésames achetés à grands frais par PAPA MOUSSA ;
On a vu , des ingénieurs en chemin de fer , avec des bacs série A. ;MVOUBA en est le prototype
celui qui proclama , en juin 2105 par excès de flatterie à l’égard de son maître SASSOU , cette phrase posée douillettement sur une pancarte de kindamba ;;;MVANDA NA EBOGA .
Effectivement le mentor est assis sur le trône , et MVOUBA éjecté du pouvoir , pour manque d’épaisseur politique .
La blagologie a noyé l’intelligence congolaise , pour primer la médiocrité familiale et tribale , c’est le prix que paie notre CONGO sous le magistère hallucinant d’un SASSOU finissant .
La France s’est servie de vous pour mieux negocier avec Mr 8%. Elle ne vous a jamais soutenu réellement. C’est de l hypocrisie, du cynisme.
Monsieur OUIPOURSANG AGONISE. L’AFFAIRE DE LA K7 VIDEO EST RESSORTIE PARCEQUE TOUT SIMPLEMENT , LE POUVOIR EN PLACE N’A RIEN DE PROBANT A REPROCHER A JEAN MARIE MICHEL MOKOKO . C’EST TRISTE ET HONTEUX CAR CE POUVOIR EST AUX ABOIS . HEUREUSEMENT LE RIDICULE NE TUE PAS.
j’ai cru un instant qu’on se retrouvait dans la presse congolaise avec notamment le journal qui a disparu de la circulation, Talassa. Ce journal attirait l’attention par des titres qui étaient fumants alors que le contenu de l’article était trop frais…
je suis surpris que Mokoko reconnaisse de n’avoir pas envisager la coupure des télécoms, alors que, étant parmi ceux qui œuvraient dans l’ombre pour sa candidature, j’avais insisté auprès d’un de ses délégués, sur les télécommunications qu’il fallait préparer avec beaucoup de sérieux, cela en référence à la situation du vote fou sur le changement de constitution… J’avais fait la même remarque à un délégué de Kolélas… Là-dessus, c’est grave. Grave!
du reste, je me rends compte que ces hommes politiques ne viennent pas souvent sur le net, car, cet aspect de la stratégie avait été longuement abordé ici… Je l’ai fait me concernant…
ça se pourrait que nous ne soyons pas lu par eux, même et surtout en ce moment… Alors, ils ne pourront jamais trouver l’appui même moral tant recherché et nécessaire dans ce combat qui nous occupe tous en ce moment… Alors, en quoi sont-ils des hommes politiques? N’est-ce pas qu’ils ont abusé de la confiance du peuple en faisant croire qu’ils avaient la clé des problèmes alors que rien de tout cela n’était vrai…?
Je suis surpris.
Lu pour vous sur facebook
LE GOUVERNEMENT FRANÇAIS A DÉJÀ DIT OFFICIELLEMENT QUE «… NOUS AVONS DEMANDÉ AU GOUVERNEMENT DE BRAZZAVILLE DE NE PAS TOUCHER AU GÉNÉRAL MOKOKO» DONC, C’EST ENTENDU. ALORS CHERS AMIS, ARRÊTONS LES GESTICULATIONS ET LES PLEURNICHEMENTS. JMM MOKOKO DOIT PRENDRE SON COURAGE POUR ENTREPRENDRE DEUX ALTERNATIVES. QUE CEUX QUI SONT EN CONTACT AVEC SES ÉQUIPES LE NOTENT BIEN. 1*/ IL DOIT METTRE LUI AUSSI SA TENUE MILITAIRE COMME IL L’AVAIT BIEN DIT À POINTE NOIRE LORS DE SON DERNIER MEETING, IL DOIT S’ORGANISER EN MILITAIRE, IL A CERTAINEMENT DES PARTISANS DANS CETTE ARMÉE QU’IL A DIRIGÉE ALORS C’EST L’HEURE DE LA MOBILISATION QUE DE CHAQUE FOIS SE LAMENTER ALORS QUE SA SITUATION EST PAREILLE À CELLE D’OKOMBI SALISA, ET, ELLE N’EST PAS PIRE QUE CELLE DU PASTEUR NTUMI DANS LA FORÊT… 2*/ S’IL VEUT FAIRE DE LA POLITIQUE, ALORS, IL DOIT CRÉER UN PARTI POLITIQUE POUR CONSOLIDER, STRUCTURER , MAÎTRISER SA BASE ET D’ALLER ADHÉRER AUX PLATEFORMES POLITIQUES EXISTANTES EN TANT QUE PARTI POLITIQUE. IL DOIT MOBILISER AUTOUR DE LUI SES MILITANTS POUR S’OPPOSER À CERTAINES MANŒUVRES DANS UNE FORME DE RÉSISTANCE COMME ON L’AVAIT ENTENDU À SON MEETING DE MAKOUA CHEZ LUI. JMM MOKOKO UN MILITAIRE DE SON NIVEAU NE DEVAIT PAS ETRE DANS LA POSITION DES JEAN NGOUABI, LIBONGO, SALISA OKOMBI, PAULIN MAKAYA, MODESTE BOUKADIA, ETC…….
@ VAL DE NANTES,
Eh oui VAL DE NANTES, nous tirons bien dans la même direction et ce que vous dites est juste.Mokoko, je le connais et ce n’est pas le lieu de tout dire.
Ce que les Congolais doivent savoir, c’est que Mokoko a fait un bon pied de nez à la France Hollandaise et cela a fait très mal car Hollande et la françafrique qui auraient bien voulu que Mokoko vienne prendre les ordres de la coloniale française si et seulement il voulait être candidat à cette élection. Mokoko est passé outre.
La france n’a pas oubliée que c’est le même Mokoko alors CEMG qui a permis le déroulement de la CNS, a réfusé de mettre fin avec la complicité d’ELF donc de la france à la transition conduite par le premier Ministre Milongo jusqu’à ce qu’elle ramène par les armes au pouvoir M.8%.
Au regard de ce qui précède,cette france colonialiste, attachée à la françafrique sait que Mokoko n’est vraiment pas leur homme nonosbstant ce que peuvent penser les exprits tordus. Mokoko savait aussi qu’aller voir les tenants de la coloniale avant cette éléction c’était rentrer dans le jeu de M.8%. Mokoko connait les arcades par où M.8% passe pour avoir été son conseiller.
Pensez vous que c’est pour rien que M.8% tient à tout pris que Mokoko reconnaisse qu’il a été élu malgré le fait que Kolélas et Tsaty Mabiala le lui ont reconnu? Eh bien parce que ses maîtres les français le lui demandent car c’est le vrai vainqueur de cette éléction et ils le savent parce que la france, l’UE détiennent les vrais résultats sortis des urnes.
C’est pourquoi cette france coloniale veut nous embarquer dans une sorte des joutes d’EWO et Dolisie pour nous entuber encore comme quand il s’agit des lavements de mains où le satan M. 8%avait remis le Congo aux mains de Dieu qu’il pisse dessus tous les jours que ce même Dieu a crée alors que c’était l’occasion de l’envoyer au diable une fois pout toute.
M.8% le sait et toutes ses gesticulations ne feront pas plier Mokoko qui refuse ce que les français viennent lui demander par Olivier et Vidon interposés. Ce qui l’intéresse, c’est le Congo meurtri par les bétises d’un clan et non ce que la france dit.
Formé à la coloniale, d’abord à Général Leclerc où je suis arrivé deux après, et ensuite à Saint Cyr, Mokoko connait très bien ce qui lui a été enseigné. L’ Honneur, la Discipline, le Respect du Serment et de la Parole donnée, du Bien Public et enfin la Fidélité aux Armoiries de la République. Je ne pense pas un seul instant qu’il dérogerait à cet enseignement. Je lui fais confiance puisque nous en avions encore discuté à Owando quand les sbires de M.8% ont voulu qu’ils ne tiennent pas son meeting.
@ Mon frère Mwangou,
Non, mon frère, Mokoko était bien conscient de cet aspect de la chose, mais autour de lui, il y avait des infiltrés qui n’ont pas oeuvré pour que cela se fasse correctement.
Je lui avais bien dit et de vive voix dès qu’il a formé son équipe qu’il y avait deux têtes que je connaissais bien qui émargaient à Mpila dont l’un est un franc-maçon opportuniste et grand ami du Ministre de la défense et qui s’est battu pour s’occuper des relations extérieures.Il avait donc la lattitude de d’aller et venir. A l’étape d’Owando où j’attendais la délégation pour le meeting et continuer sur pour Makoua, il s’est eclipsé prétextant aller nous attendre à Brazzaville pour préparer notre retour. Il s’était fait démasqué. Aux dernières nouvelles, il se trouverait en france en sortant au vue et au sue de la police politique de M.8%. C’est dire!!!! Je me demande comment il a pu sortir pendant que ceux qui émargent officiellement sur la liste de l’équipe de campagne de Mokoko sont pourchassés. Je sais qu’il se reconnaîtra.
Ce que tu dois savoir mon frère Mwangou, c’est que Mokoko ne peut pas nous dire qu’une partie de son équipe n’a pas fait le travail comme il fallait et préfère dire qu’il n’a pas avoir envisager la coupure des télécoms sinon comment la CTE eu pu récolter les résultats pendant que nous étions dans le 8% clos total. Je connais cet homme.Il préfère encaissé et même se passer d’ignorant.
Comme tu le sais,ce n’est pas ici le lieu de tout dévoiler. La vraie lutte a commencé. Vois tu encore sur le net ceux qui venaient nous injurier ici pour chercher à nous intimider? Personne, ceux là ont touché leur perdierm après avoir fait le sale boulot. Il ne reste que ceux qui luttent réellement pour le changement. Je sais depuis que tu es des nôtres. Soit souvent là car on a besoin de tes prises de position pour enrichir le débat.
…..lire:……qu’il n’a pas pu envisager la coupure des télécoms….
Alléluia et la lutta continua !!!! sans effet M.8%. Tu partiras avec ta peau dégappée. Assassin.
Merci Bienvenu pour l’info.
@ A Bienvenu Mebilemono,
Je crois rêvé, j’ai cru comprendre selon vous que le général Mokoko était libre et qu’il rentrait chez lui avec ses avocats. Le post du combattant t’a remercié pour l’info et j’ai posté ton post en un « lu pour vous ». Non seulemnt ton message a disparu,mon lu pour vous aussi.
Où as tu eu cette information que tu as précipitemment effacé. Dans l’article du communiqué de presse de Marc Mapingou, il y a un internaute qui dit que le général est en garde à vue à la DGST pour être présenté demain à Oko Ngakala le petit juge suivant le chronomètre établit par Yoka et exécuté par son aide de camp le sieur Mabiala le juriste devenu célèbre pour avoir passé sa licence de droit en 7 ans, un reccord.C’est ce genre de cancre que M.8% aime.
Alors M.Bienvenu où as été tu prendre ton information pour nous pondre un tel gros mensonge et blaque de mauvais goût.J’attends ta réaction.
[Au Congo, l’opposant Mokoko se dit lâché par la France]. Eh bien tant mieux. M. Mokoko n’a pas à s’en offusquer, au contraire. Plus il s’éloignera de la France, plus il sera crédible aux yeux des congolais épris de liberté et de démocratie. Désormais, c’est lui, le peuple congolais face au préfet-zident.
Toutefois, il faut préciser que seul, il n’y arrivera certainement pas. Il lui faut l’appui de tous ceux qui sur place luttent tous les jours contre la dictature afin de chasser le préfet-zident. Par ailleurs, qui connaît les résultats définitifs de l’élection présidentielle du 20 mars 2016? On aimerai bien les connaître. Certains ici nous parlent de vainqueurs sans avoir les résultats définitifs. Les mêmes ne nous parlent même plus de deuxième tour pour l’élection présidentielle. Curieuse façon de défendre son candidat, on nous l’imposant de manière incidieuse. Curieuse façon de nous parler de démocratie. On pourrait même parler de propagande malsaine. Nous voulons tous la démocratie, la vraie, c’est pour cette raison que j’attire l’attention de M. Oyessi sur son engagement politique Et certaines affirmations sur les résultats de la présidentielle. C’est juste une alerte.
Le drame Congolais cause par l’empire francais et son valet n’a qu’aucune seule solution.C’est la solution militaire qui balayera le valet et son employeur(la france)
@Bulukutu , admis en classe supérieure .NON ,on ne connait pas le vainqueur exact de cette élection et par conséquent nul ne peut s’en proclamer vainqueur .
D´abort remercié et felicité notre frere Alain pour son devouement patriotique.C´est d´une noblesse remarquable se soucier de ces semblables alors qu´il aurait pu passer outre.Nous te remercions enormement.
Quand à la note de l´elysée, il y a pareil au meme.Rassembler et apaiser autour de sassou: POURQUOI SASSOU?????
Chers compatriotes, moi personnellement je vois en sassou UN TRAITRE A LA NATION.
TOUTES NOS FORCES POUR LE DEGAGER.MOKOKO noua montré le chemin, à nous de faire tomber sassou.
@Mr Val de Nantes,les Congolais ont tendance a tout confondre.La majorité des Congolais dépense qu’avoir les diplômes est synonyme d’être intelligent et aussi competent.
Alors que le diplôme n’indique que l’habilité d’un individu a faire quelque chose,l’intelligence c’est autre chose car elle est un champ très vaste.Si avoir les diplômes est equivalence d’être alors que dirons nous de nos ancêtres qui n’ont jamais été a l’école surtout coloniale.Le president n’avait pas de diplômes mais c’était un homme intelligent et competent.Le cas Ecair et Fatima Moussa,le fiasco était prévisible car le secteur du transport Aerien est toujours un secteur déficitaire a long terme,il n’a jamais nourrit son investisseur.Bref un secteur deja très complique a la base en ajoutant a cela l’amateurisme et le bricolage de Sassou,bouya,Moussa Fatima et consorts personne ne pouvait attendre quelque chose de bon.
Nb:Surtout de nos jours,le traffic des diplômes est devenu monnaie courante en france l’université de toulouse a vire son president pour ces faits,celui de bordeaux est également concernée.
Combien de Congolais détiennent de faux diplômes?.Ils sont nombreux.Au Congo je connais les amis qui ont une formation d’infirmiers qui se sont passes pour médecins.Voila l’un de nettoyage a faire post Pct et Mr 8%.Dans le nouveau Congo,celui qui voudra un diplôme doit étudier et le mérité.La meritocrite sera en centre de l’action au Congo post Sassou
@ Bulukutu,
Merci pour votre alerte. Je n’ai jamais donné aucun résultat et je n’impose insidieusement aucun candidat ni ne donne aucun resultat.
M.8% a donné ses résultats et en a attribué à dautres candidats ce qu’il voulait. La CTE commune à l’opposition pilotée par BOWAO choisit par toute l’oppposition candidate à l’élection Présidentielle nous a donné 80% des résultats compilés. Mokoko et Kolélas qualifiés pour le 2è tours. Le rappeler est il synonyme d’imposer insidieusement mon candidat ou un candidat. Ce qui je dis est faux?
Rappeler que pour l’opposition il restait 20% des résultats à compiler changeait quoi en ce que Mokoko et Kolélas allaient s’affronter au 2ème. Enfin, qui a vraiment peur que l’on sache exactement ce que chaque candidat a engrangé comme voix au 1è tours, à moins qu’on vienne me dire ici que les résultats d’une éléction se jouent à 70 ou 80% des voix uniquement.
Moi aussi je suis curieux de connaître les résultats définitifs de cette élection et si vous ne voulez pas qu’on parle du 2ème, cela veut dire que ni Mokoko, ni Kolélas n’ont pas été qualifiés pour ce 2ème et que c’est bien M.8% qui a gagné cette élection. Alors de quoi parlons nous.
Cher frère Bulukutu, ne me faites pas un mauvais procès qui n’a pas de raison d’être au moment où Mokoko, Okombi, Kolélas Munari, Makaya et bien d’autres sont privés de liberté par M.8%. Je suis pour Mokoko mais ne suis pour autant malheureux si c’est Kolélas ou un autre qui devient Président élu du Congo sauf bien sur M.8%.
@ Bulukutu,
Au fait, pourriez vous s’il vous plait me reproduire ici la phrase par laquelle Mokoko se dit être lâché par la france? Je lis sur plusieurs commentaires ici la même chose tout simplement parce qu’ils n’ont repris que grossièrement le titre de l’article alors que dans son contenu point de phrase de Mokoko qui corresponde au titre.
Ces sont justement ces coupés collés qui insinuent cette « curieuse façon de défendre son candidat, on nous l’imposant de manière incidieuse »
Et c’est en disant ce que Mokoko n’a réellement pas dit qu « On pourrait même parler de propagande malsaine » en oubliant expressement de souligner des positions aussi fortes qu’à prises Mokoko comme dans les phrases suivantes:
« S’il affirme qu’il a gagné les élections, est-ce moi qui l’empêche de gouverner le pays ?» ironise Mokoko.
«Je ne vais pas dire le contraire de ce que j’ai toujours dénoncé, tranche le général.
hier, vers 14h passées, j’ai vu l’hélico qui mitraille faire son tour de la proprio du côté de la savane de Goma tsé-tsé…
[Pensez vous que c’est pour rien que M.8% tient à tout pris que Mokoko reconnaisse qu’il a été élu malgré le fait que Kolélas et Tsaty Mabiala le lui ont reconnu? Eh bien parce que ses maîtres les français le lui demandent car c’est le vrai vainqueur de cette éléction et ils le savent parce que la france, l’UE détiennent les vrais résultats sortis des urnes].
Tout d’abord, execusez moi pour toutes coquilles dans mes phrases, j’écris trop vite parfois, et pas le temps de relire.
Mon propos se base sur la dernière phrase de votre commentaire. Vous parlez de vrai vainqueur dans une élection dont les résultats définitifs sont encore un mystère pour les simples citoyens que nous sommes, n’appartenant à aucunes écuries politiques. Que je sache, les élections présidentielles au Congo se passent en deux tours, si au premier tour, aucun candidat n’a recueilli la majorité des voies. D’après la CTE, c’est le cas actuellement au Congo.
Pour la phrase de Mokoko, avec le fameux [l’opposant Mokoko se dit lâché par la France]. Je n’ai aucun doute sur la probité morale du General Mokoko. Dans mon commentaire, je ne le juge pas pour cette phrase, au contraire, je l’encourage à s’éloigner d’avantage de cette nébuleuse France- africaine qui a voulu le discréditer aux yeux des congolais, surtout ceux de la diaspora pour les démobiliser. C’est donc à son porte parole officiel de clarifier cette phrase que Mokoko n’aurait pas prononcée, car elle jette le doute sur sa personne et le sens de son engagement politique. Les amis de Mokoko doivent apporter un démenti formel quant à cette phrase qui met un grand point d’interrogation sur la tête de Mokoko.
Pour le reste, je m’associe à la douleur des familles dont les membres sont actuellement incarcérés de façon totalement injuste dans les geôles Brazzavilloises.
Le 10 mai dernier, l’auteur de “Lumières de Pointe-Noire” adressait sur BibliObs une lettre ouverte à François Hollande. Il nous dit aujourd’hui comment il a été reçu, hier à l’Elysée, pour évoquer la situation préoccupante du Congo-Brazzaville.
Dans ma lettre ouverte adressée au président François Hollande sur ce site il y a plus d’un mois, et qui avait agacé le gouvernement congolais, je m’inquiétais de la situation politique du Congo-Brazzaville depuis cette élection présidentielle contestée du 20 mars qui a fragilisé le tissu social et instauré irrémédiablement un climat de peur, marqué par des violences et des intimidations à l’égard des populations par un régime qui leur a été imposé à l’instar d’une pluie diluvienne que la météo n’avait pas prévue.
J’ai donc rencontré le président français ce 14 juin à l’Elysée. Décontracté, très chaleureux, il a commencé par déplorer le fait de m’avoir «raté» au Salon du livre de Paris. Nous avons par la suite entamé une longue discussion pendant presque trois quart d’heures.
François Hollande m’a rappelé la position de la France: le contexte préoccupant de cette élection présidentielle congolaise (notamment la coupure des réseaux de communication) qui avait demandé à la France une vigilance dans la mesure où elle ne pouvait pas en apprécier les résultats. De même a-t-il évoqué ses propos lors de sa visite à Bangui le 13 mai dernier, où il avait salué la réussite d’un scrutin pluraliste réussi par les Centrafricains alors que ce n’est pas le cas partout. Le Bénin avait également donné un exemple : le candidat battu, Lionel Zinsou, avait reconnu la victoire de celui qui allait être élu, Patrice Talon, avant même l’annonce des résultats…
Il ne s’agissait pas pour moi d’implorer une quelconque intervention auprès de l’ancienne puissance coloniale – encore que les politiques que certains dirigeants africains francophones ont menées jusqu’à présent sont toujours allées dans ce sens puisque bon nombre d’entre eux sont arrivés ou se maintiennent au pouvoir en empruntant une béquille et une cravache à la France. Pourquoi laisserions-nous le destin de l’Afrique aux mains de ces quelques «diplomates» européens officieux qui prétendent agir au nom de la France alors même qu’ils n’ont aucun mandat, servent plutôt les intérêts des monarques à vie, et rêvent que l’Afrique demeure dans les ténèbres afin que ce fonds de commerce lucratif perdure?
Je tenais à rappeler l’urgence d’une ligne claire dans la résolution des conflits en Afrique de façon à dissiper l’image trop répandue d’une France friande de la politique de l’inimitié, d’une France qui avancerait masquée et prêterait continuellement des subsides aux régimes les plus sanguinaires du continent noir.
Les propositions que j’ai détaillées dans le document remis à François Hollande ont pour dénominateur commun la nécessité d’un dialogue: initier une rencontre sous l’égide de la communauté internationale. En somme, un dialogue sans exclusif, regroupant aussi bien la société civile que les différentes tendances politiques congolaises pour hâter l’avènement d’une culture démocratique, institutionnelle et administrative.
Ce dialogue ne pourrait cependant s’ouvrir qu’après la libération des prisonniers politiques et l’arrêt des bombardements dans la région du pool, au sud du pays, imputés au régime actuel. Pendant que je m’entretenais avec François Hollande à Paris, l’un des principaux opposants congolais – Jean-Marie Michel Mokoko – était interrogé à Brazzaville par la sécurité d’Etat avant d’être mis en garde à vue. Une situation qui est évidemment loin de hâter le climat de paix et qui contribue plutôt à aggraver les causes du divorce entre les dirigeants actuels du Congo et ce peuple qui n’a plus pour seule arme que le soutien que nous lui apportons.
Or le Congo ne peut faire l’économie d’une période de recomposition, avec un gouvernement de transition qui gèrerait le pays jusqu’à l’organisation de nouvelles élections claires et transparentes. Mais combien seraient capables d’un tel courage politique, qui impliquerait pour beaucoup de laisser tomber leurs privilèges et, pour d’autres, de reconnaître que le pouvoir appartient au peuple qui, même martyrisé, finira par exprimer l’ampleur de son exaspération?
Au fond, s’il n’y avait qu’une chose à retenir de ce que j’ai dit à François Hollande, cela se résumerait en quatre mots: il est encore temps. Oui, il est encore temps de prendre des initiatives courageuses, celles qui trancheraient avec l’éternelle culture politique «françafricaine» même si elles remettraient en cause les enjeux économiques. Parce qu’il ne s’agit plus désormais de sauver des biens, mais des personnes !
Alain Mabanckou
@ Bulukutu,
Merci de votre reponse et votre honnêteté intellectuelle malgré votre retropédalage. Vous ne m’aviez surement pas compris quand je parlais du vrai vianqueur de cette élection.
Aujourd’dui, M.8% se dit vrai vainqueur de celle ci après que le PCT ait complilé les 100% des voix et a donné M.8% vainqueur avec 8%.
L’opposition avec sa CTE a compilé 80% des voix et nous a dit que Kolélas et Mokoko devaient s’affronter au 2ème tours mais il restait 20% des voix à compiler puisqu’elle n’avait pas pu avoir encore accès à tous les résultats. Je ne sais pas si à ce niveau les choses sont claires pour tout le monde et pour vous car si nous ne comprenons dejà pas à ce niveau, on se perds en conjoncture et aux soupçons de vouloir supporter tel ou tel candidat.
Moi je supporte Mokoko et je ne m’en cache pas. Si nous contestons que M.8% n’est pas vianqueur de cette élection, dites moi qui en est exatement le vainqueur. Déjà nous ne savons pas entre Kolélas et Mokoko celui qui est en tête tant que nous n’avions pas le résultat réel des 20% des voix à compiler. Qui a donc peur que ces résultats ne seraient que pour les et les statistiques et les archives soient connus. En quoi ils changeront le fait que Kolélas et Mokoko soient au 2ème tours?
Chercher à le savoir pour qu’on arrête les discussions inutiles serait il un lèse majesté? Eh bien, moi j’aime les choses précises car le flou entretient le flou et dans cet flou se cachent toujours des gens pas honnêtes qui après ne veulent pas assumer leur turpitude. La majorité des Congolais n’aiment jamais ce qui est clairement dit et fait, se perdent toujours dans des combines à ne pas en finir pour défendre l’indéfendable. M.8% utilise cette défaillance pour nous entuber sur tous les plans et nous ne le comprenons toujours pas.
J’ai toujours soutenu ici que ce soit Mokoko ou Kolélas en tête de ce premier tours de cette élection Présidentielle, je ne peux que me rejouir du moment où M.8% est éliminé et je ne cesse de regretter que Kolélas ait baissé vite sa culotte par peur ou par calcul politique pour reconnaître la victoire volée de M.8% comme s’il était parti à cette élection comme un faire valoir. Kolélas Président ne me pose pas problème. L’essentiel est qu’il soit capable de réunir les congolais non seulement autour de son projet, mais aussi qu’il réussisse à réunifier les congoalis comme sous Youlou et Massambat Débat avant que les yaka noki noki et l’oyocratie ne nous envahissent et avilissent le Congo à cet point. Je ne suis pas un sectaire qui pense qu’il ya que Mokoko que je soutiens soit le meilleur des meilleur et qu’il ya que lui pour sauver le Congo. Je pense que Mokoko ne le soit pas aussi.
A un doigt d’être peut être Président et le refuser pour reconnaître la victoire du perdant me paraît anormal et me pousse à me poser beaucoup de questions.C’est pourquoi, n’en déplaise à mes contradicteurs, j’ai toujours souhaité que la CTE proclamât ces fameux résulats définitifs pour que l’on sache le poids réel de chaque candidat à cette élection afin que cessent les bagarres d’arrière garde de ceux qui n’ont pas le courage de dire qu’ils soutiennent tel ou tel candidat et nous pompent l’air parce que ne voulant pas assumer leur choix.
.Lire:… le pct ait compilé 100% des voix et a donné M.8% vianqueur avec 60% des voix……Moi je soutiens et non supporte Mokoko…….vainqueur….ne serait ce que pour les statistiques……Je pense que Mokoko ne le pense pas aussi…..
[Merci de votre réponse et votre honnêteté intellectuelle malgré votre rétropédalage]. Rétropédalage????? Drôle de façon de me lire ou comment retourner un argumentaire qui ne vous est pas favorable??? En insultant au passage??? M. Oyessi vous vous êtes fourvoyé en insinuant que Mokoko avait gagné l’élection du 20 mars 2016 et je me suis permis de vous mettre en garde contre des affirmations gratuites qui ne reposent sur rien, en reprenant vos propre phrases. Ne pas le reconnaître ne vous servira à rien. Vous avez été tenté par la propagande et maintenant vous vous perdez dans des explications connues de tous. Mais vous savez quoi? On s’en fou. Ce qui compte, c’est le départ du préfet-zident. Dans tous les cas, je sais maintenant que vous n’êtes pas neutre, ce qui peut avoir des conséquences sur vos analyses et jugements politiques. Pour ma part, je souhaite vivement que la société civile s’implique d’avantage pour ne pas laisser le champ libre à la politique politicienne qui est le fait des écuries politiques et qui nous apportera rien.
« Pensez vous que c’est pour rien que M.8% tient à tout pris que Mokoko reconnaisse qu’il a été élu malgré le fait que Kolélas et Tsaty Mabiala le lui ont reconnu? Eh bien parce que ses maîtres les français le lui demandent car c’est le vrai vainqueur de cette éléction et ils le savent parce que la france, l’UE détiennent les vrais résultats sortis des urnes »
Voici ma phrase qui nous oppose. Je vous demande tout simplement de bien lire et de bien comprendre. Je n’insinue rien, j’analyse. D’abord pourquoi les français et M.8% insistent tellemment que Mokoko accepte et signe que c’est sassou qui a gagné. Commencez par me dire pourquoi. Moi qui insinue. J’attends ta reponse.
Quand je dis que ce sont ses maîtres qui le lui demandent parce que le vrai gagnant de cette élection est Mokoko c’est parce qu’ils insistent. Mokoko a t-il été le seul candidat à cette éléction pour que tout soit focalisé sur lui et qu’il faille qu’il signe pour donner quitus à M.8% comme un commissaire aux comptes qui valident les comptes d’une société ?
Je souhaiterai que vous me dites pourquoi tant d’émissaires chez Mokoko si ce n’est parce qu’il ya un os et c’est lui qui apparemment le tiens. Sois honnête et dis moi si l’UE et la france ne sont pas mieux renseignées que vous et moi sur ce qui se passe au Congo. C’est dommage que vous n’aviez pas compris quand je disais que c’est le vrai vainqueur.
Ce n’est pas que les urnes l’ont dit puisque jusqu’à ce jour personne ne sait les vrais résultats sauf les initiés mais tout simplement parce que aujourd’hui le point focal de cette éléction tourne autour de Mokoko qui, il faut le reconnaître s’est jetté dans la bataille sans appareil politique et qui a été mis en mal dès son arrivée et ne continue à porter la croix.
Pourtant dans mon post par vous attaqué vous aviez oublié sciemment de noter que j’ai parlé en long et en large au sujet de ces résultats proclamés à 100% par les sbires de M.8% et à 80% par la CTE organe commune aux candidats de l’opposition.
Vous aviez ignoré ces paragraphes de mon post pour me chercher la chamaille inutile. Lis ce qui suit et dis moi si je ne suis assez pas clair.
L’opposition avec sa CTE a compilé 80% des voix et nous a dit que Kolélas et Mokoko devaient s’affronter au 2ème tours mais il restait 20% des voix à compiler puisqu’elle n’avait pas pu avoir encore accès à tous les résultats.J’ai toujours soutenu ici que ce soit Mokoko ou Kolélas en tête de ce premier tours de cette élection Présidentielle, je ne peux que me rejouir du moment où M.8% est éliminé et je ne cesse de regretter que Kolélas ait baissé vite sa culotte par peur ou par calcul politique pour reconnaître la victoire volée de M.8% comme s’il était parti à cette élection comme un faire valoir. Kolélas Président ne me pose pas problème. L’essentiel est qu’il soit capable de réunir les congolais non seulement autour de son projet, mais aussi qu’il réussisse à réunifier les congolais comme sous Youlou et Massambat Débat avant que les yaka noki noki et l’oyocratie ne nous envahissent et avilissent le Congo à cet point. Je ne suis pas un sectaire qui pense qu’il ya que Mokoko que je soutiens soit le meilleur des meilleur et qu’il ya que lui pour sauver le Congo. Si j’étais un fanatique idiot je n’écrirai pas cela. Ce n’est clair ceci.
Où aviez vous vu que mes analyses aient des conséquences sur mes jugements politiques ce qui n’enlèveront en moi mon libre arbitrage et ma neutralité de pensée. Je critique librement et Mokoko que je soutiens connaît très bien que je suis un homme libre dans mes propos que j’assume. C’est vous qui vous cachez sous de fausse neutralité et n’assumez pas vos positions pour verser dans la critique stérile.
Vous aviez préféré revenir sur une phrase qui vous arrangeait le mieux pour chercher la contradiction inutile. Vous me connaissez très mal, je n’ai été tenté par aucune propagande. Mokoko et moi sommes une vieille affaire qui dure depuis Général Leclerc où le nord et le sud n’existaient au Congo si vous voulez savoir.
Je le connais direct et pas fumiste. Il est entier et j’apprécie. Les congolais du nord au sud qui ont porté leur voix sur lui ne se sont pas trompés.
Ce n’est pas un idéologue pour que je tombe sur le charme de sa propagande. Voyez vous, je n’ai jamais émargé ni à la défense civile ni à la JMNR, ni à l’UJSC,ni au pct encore moins dans un parti politique. Dans ma vie, je n’ai été que scout et milité un peu en france à l’AEC que j’ai tout de suite abandonné parce que c’était un nid d’espions à la solde des pouvoirs qu’ils injuraient pendant les congrès et qui une fois rentrés au pays étaient devenus les meilleurs défenseurs desdits pouvoirs.Nous en avions encore une bonne fourchette dans l’écurie de M.8%;
J’ai vu naitre et disparaitre tous ces mouvements à forte propagande.
Je soutiens les idées et la forte personnalité de Mokoko comme beaucoup d’autres Congolais par sa façon d’être et son entêtement à être fidèle à ses idées.
Franchement, je vous plains quand vous pensez qu’au Congo nous avions une société civile qui puisse « s’impliquer d’avantage pour ne pas laisser le champ libre à la politique politicienne qui est le fait des écuries politiques et qui nous apportera rien. »
Vous ne savez donc pas qu’au Congo la société civile et les syndicats sont plus qu’inféodés au pouvoir de M.8% ? Que pensez vous de BOPAKA et autres Ewangui. Dites moi dans quel pays où un syndicat est dirrigé par un retraité?
Mais au fait où habitez vous mon frère Bulukutu.Si c’est au Congo comme moi, vous êtes un bon militant d’un parti sous lequel vous vous cachez. Si c’est à l’étranger eh bien vous avez encore un long chemin pour vous imprègner de la réalité du pays. Le débat continue si vous estimez que je n’ai pas repondu à vos attentes. Je pourrai changer de méthodes d’explication, pas pour retourner un argumentaire qui ne m’est pas favorable mais pour qu’on se mette d’accord si nous avions le même combat à memer.
Fraternellement
@ Bulukutu,
Pensez vous que c’est pour rien que M.8% tient à tout pris que Mokoko reconnaisse qu’il a été élu malgré le fait que Kolélas et Tsaty Mabiala le lui ont reconnu? Eh bien parce que ses maîtres les français le lui demandent car c’est le vrai vainqueur de cette éléction et ils le savent parce que la france, l’UE détiennent les vrais résultats sortis des urnes »
Voici ma phrase qui nous oppose. Je vous demande tout simplement de bien lire et de bien comprendre. Je n’insinue rien, j’analyse. D’abord pourquoi les français et M.8% insistent tellemment que Mokoko accepte et signe que c’est sassou qui a gagné. Commencez par me dire pourquoi. Moi qui insinue. J’attends ta reponse.
Quand je dis que ce sont ses maîtres qui le lui demandent parce que le vrai gagnant de cette élection est Mokoko c’est parce qu’ils insistent. Mokoko a t-il été le seul candidat à cette éléction pour que tout soit focalisé sur lui et qu’il faille qu’il signe pour donner quitus à M.8% comme un commissaire aux comptes qui valident les comptes d’une société ?
Je souhaiterai que vous me dites pourquoi tant d’émissaires chez Mokoko si ce n’est parce qu’il ya un os et c’est lui qui apparemment le tiens. Sois honnête et dis moi si l’UE et la france ne sont pas mieux renseignées que vous et moi sur ce qui se passe au Congo. C’est dommage que vous n’aviez pas compris quand je disais que c’est le vrai vainqueur.
Ce n’est pas que les urnes l’ont dit puisque jusqu’à ce jour personne ne sait les vrais résultats sauf les initiés mais tout simplement parce que aujourd’hui le point focal de cette éléction tourne autour de Mokoko qui, il faut le reconnaître s’est jetté dans la bataille sans appareil politique et qui a été mis en mal dès son arrivée et ne continue à porter la croix.
Pourtant dans mon post par vous attaqué vous aviez oublié sciemment de noter que j’ai parlé en long et en large au sujet de ces résultats proclamés à 100% par les sbires de M.8% et à 80% par la CTE organe commune aux candidats de l’opposition.
Vous aviez ignoré ces paragraphes de mon post pour me chercher la chamaille inutile. Lis ce qui suit et dis moi si je ne suis assez pas clair.
L’opposition avec sa CTE a compilé 80% des voix et nous a dit que Kolélas et Mokoko devaient s’affronter au 2ème tours mais il restait 20% des voix à compiler puisqu’elle n’avait pas pu avoir encore accès à tous les résultats.J’ai toujours soutenu ici que ce soit Mokoko ou Kolélas en tête de ce premier tours de cette élection Présidentielle, je ne peux que me rejouir du moment où M.8% est éliminé et je ne cesse de regretter que Kolélas ait baissé vite sa culotte par peur ou par calcul politique pour reconnaître la victoire volée de M.8% comme s’il était parti à cette élection comme un faire valoir. Kolélas Président ne me pose pas problème. L’essentiel est qu’il soit capable de réunir les congolais non seulement autour de son projet, mais aussi qu’il réussisse à réunifier les congolais comme sous Youlou et Massambat Débat avant que les yaka noki noki et l’oyocratie ne nous envahissent et avilissent le Congo à cet point. Je ne suis pas un sectaire qui pense qu’il ya que Mokoko que je soutiens soit le meilleur des meilleur et qu’il ya que lui pour sauver le Congo. Si j’étais un fanatique idiot je n’écrirai pas cela. Ce n’est clair ceci.
Où aviez vous vu que mes analyses aient des conséquences sur mes jugements politiques ce qui n’enlèveront en moi mon libre arbitrage et ma neutralité de pensée. Je critique librement et Mokoko que je soutiens connaît très bien que je suis un homme libre dans mes propos que j’assume. C’est vous qui vous cachez sous de fausse neutralité et n’assumez pas vos positions pour verser dans la critique stérile.
Vous aviez préféré revenir sur une phrase qui vous arrangeait le mieux pour chercher la contradiction inutile. Vous me connaissez très mal, je n’ai été tenté par aucune propagande. Mokoko et moi sommes une vieille affaire qui dure depuis Général Leclerc où le nord et le sud n’existaient au Congo si vous voulez savoir.
Je le connais direct et pas fumiste. Il est entier et j’apprécie. Les congolais du nord au sud qui ont porté leur voix sur lui ne se sont pas trompés.
Ce n’est pas un idéologue pour que je tombe sur le charme de sa propagande. Voyez vous, je n’ai jamais émargé ni à la défense civile ni à la JMNR, ni à l’UJSC,ni au pct encore moins dans un parti politique. Dans ma vie, je n’ai été que scout et milité un peu en france à l’AEC que j’ai tout de suite abandonné parce que c’était un nid d’espions à la solde des pouvoirs qu’ils injuraient pendant les congrès et qui une fois rentrés au pays étaient devenus les meilleurs défenseurs desdits pouvoirs.Nous en avions encore une bonne fourchette dans l’écurie de M.8%;
J’ai vu naitre et disparaitre tous ces mouvements à forte propagande.
Je soutiens les idées et la forte personnalité de Mokoko comme beaucoup d’autres Congolais par sa façon d’être et son entêtement à être fidèle à ses idées.
Franchement, je vous plains quand vous pensez qu’au Congo nous avions une société civile qui puisse « s’impliquer d’avantage pour ne pas laisser le champ libre à la politique politicienne qui est le fait des écuries politiques et qui nous apportera rien. »
Vous ne savez donc pas qu’au Congo la société civile et les syndicats sont plus qu’inféodés au pouvoir de M.8% ? Que pensez vous de BOPAKA et autres Ewangui. Dites moi dans quel pays où un syndicat est dirrigé par un retraité?
Mais au fait où habitez vous mon frère Bulukutu.Si c’est au Congo comme moi, vous êtes un bon militant d’un parti sous lequel vous vous cachez. Si c’est à l’étranger eh bien vous avez encore un long chemin pour vous imprègner de la réalité du pays. Le débat continue si vous estimez que je n’ai pas repondu à vos attentes. Je pourrai changer de méthodes d’explication, pas pour retourner un argumentaire qui ne m’est pas favorable mais pour qu’on se mette d’accord si nous avions le même combat à memer.
Fraternellement
M. Oyessi. Je salue votre parcours. Oui, il y a un os au fait que la France ait cherchée à forcer la main à Mokoko. Le fait que Mokoko ait été le seul vainqueur POTENTIEL à la présidentielle du 20 mars 2016, à fait de lui une cible de choix. Le fait que Mokoko (désolé d’employer ce terme), soit du nord comme le préfet-zident qui s’est autoproclamé Roi du nord, a fait de lui une cible de choix. Ce n’est donc pas en tant que vainqueur de la présidentielle que Mokoko a été harcelé, séquestré, mais en tant que résistant farouche au dictat de la France, donc au colonialisme. Je salue donc ainsi le résistant qu’il est devenu en donnant de sa personne. Le peuple lui en sera reconnaissant tôt ou tard.
Oui, M. Oyessi, je ne vous connais pas, c’est le principe même de ce forum que d’échanger avec de parfaits inconnus. Toutefois, en tant que simple citoyen épris de liberté, je persiste à croire, qu’il nous faut une conférence nationale 2.0. De manière à impliquer l’ensemble des représentations de la société. Cette conférence doit nous permettre de faire une purge intégrale de la classe politique actuelle. En effet, 90% de la classe politique congolaise a collaborée avec le préfet-zident, créant ainsi un fort climat de défiance de la part de la population, dont je fais parti, à son égard. Mais pour l’heure, ce qui compte par dessus tout, c’est le départ sans conditions du préfet-zident.
Lire. -[Le fait que Mokoko ait été le seul vainqueur POTENTIEL à la présidentielle du 20 mars 2016 à ne pas reconnaître la victoire du préfet-zident , a fait de lui une cible de choix].