A VOS BÂTONS CITOYENS POUR CHASSER L’USURPATEUR. Par Michel ONDONGO MPANDI

MICHELPeuple congolais,

Nous ne pouvons attendre en repos que nos têtes de pont assiégés réparent seuls notre édifice éternel par leur sacrifice. L’étau ne se resserre pas contre le Général du peuple mais contre celui qui assiège et étouffe le Peuple depuis 32 ans.

La communication internationale du pouvoir illégitime de Brazzaville est désormais aphone et défaite. Son charme diabolique ne paye plus, Le démolisseur infatigable de notre économie a perdu son chèque en blanc.

Ne nous résignons pas

Que chacun de nous se saisisse d’un bout de bois et levons nous comme un seul homme derrière le Général du peuple. Serrons-nous étroitement autour de la justice et de la vérité.

Faisons front à l’ennemi

Convergeons en rangs serrés vers la DGST. Exigeons dès à présent la libération de tous les combattants de la liberté.

Ne baissons pas la garde jusqu’à ce que l’usurpateur de Mpila dégage.

La France hollandaise après avoir réhabilité par son logos venimeux l’ogre agonisant joue les ponce-pilate par un silence conspirateur. Hollande veut débrouiller la succession de SASSOU – NGUESSO par SASSOU NGUESSO

A cette heure décisive, il n’y a plus de neutralité qui vaille

Aux vaillants combattants de notre armée, dans les urnes vous avez massivement marqué votre choix en faveur du général Jean-Marie Michel MOKOKO. Le peuple congolais vous invite à retrouver le bravoure de vos illustres anciens: NGOUABI, DIAWARA, IKOKO, KIMBOUALA – NKAYA, KINGANGA lâchement assassinés avec la complicité de SASSOU NGUESSO. Le peuple congolais vous invite de vous éloigner des généraux d’opérette repus qui ont gagné leur grade par l’ardeur aux basses besognes et non sur les théâtres d’opération de défense nationale.

Chers compatriotes n’attendons point que SASSOU NGUESSO nous dicte le tempo de notre lutte de libération. Nous devons mettre le tyran en fuite.

Dératisons la Nation, débarrassons la nation de la vermine qui ose mettre en joue le général du peuple en qui s’est incarné le Congo libre.

Pierre MABIALA, dernier ministre de l’injustice et des traitements inhumains avec l’ardeur des derniers convertis de l’état honteux et non de droit sous l’emprise de son maître entend exercer une expédition punitive pour une justice expéditive contre la personne du Général du peuple. Son ardeur sauvage sera un effort inutile le glaive du peuple est veillant.

On ne nous volera pas notre victoire.

Vive le Congo libre, uni et éternel

INGETA!

Dr Michel ONDONGO MPANDI

Combattant de la Liberté

Président du Club Congo Pluriel

Ce contenu a été publié dans Les articles. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

10 réponses à A VOS BÂTONS CITOYENS POUR CHASSER L’USURPATEUR. Par Michel ONDONGO MPANDI

  1. Dieudos Eyoka dit :

    Pendant que Sassou Nguesso est parti jouer les innocents à Luanda, les gendarmes ont pénétré au domicile du Général Mokoko en fin de matinée, alors que 200 d’entre-eux étaient dehors.

    Cette opération est menée par Aimé Emmanuel YOKA (82 ans), ancien Ministre de la Justice et oncle de Sassou. Les réunions se passent chez lui, à son domicile, non loin de la Cathédrale du Sacré Cœur de Brazzaville. Sur les instructions de ce « vieux sage », oncle de Sassou, se trouve l’équipe suivante qui se réunit plusieurs fois par jour ;

    – Raymond Zéphirin MBOULOU, Ministre de l’Intérieur
    – Jean Dominique OKEMBA, Contre Amiral, Conseiller spécial de Sassou, Secrétaire National du Conseil de Sécurité
    – Pierre OBA, Général de Police, Ministre des Mines de Sassou et de la géologie
    – Le Général Paul Victor MOUANI, Commandant de la Gendarmerie Nationale
    – Le Directeur Général de la Police, NDENGUET
    – Le Procureur de la République au Tribunal de Grande Instance de Brazzaville, Monsieur Okao NGAKALA
    – Thomas MAKALA MAYINDA, Directeur des Renseignements Généraux et Responsable de la Commission mixte d’Enquête, Défense et Intérieur
    – Le Général Philippe OBARA, Directeur Général de la DGST
    – Le Colonel Elie ITOU ATIPO, sous les ordres du Général OBARA

  2. UNITE dit :

    UNITE dit ; Lorsque la justice se met au service des délinquants, le pays perd toute sa crédibilité. Où est cette armée républicaine qui faisait la fierté des congolais à l’époque des Diawara, Ikoko et autres? Le Congo se meurt. Sassou, Yoka dans leur égoïsme veulent laisser le Congo dans un chaos irréparable. A tous les patriotes, il est temps de comprendre que ces personnes qui ont pillé le Congo pour eux et leurs enfants, n’ont aujourd’hui dans la tête que la destruction du Congo, et de ses cadres valables. Alors, il est temps que tous les congolais du nord au sud, de l’est à l’ouest de se lever pour sauver le Congo. Attendre demain serait trop tard, compte tenu de l’endettement qui s’accroît de jour en jour.

  3. OYESSI dit :

    Un proverbe bien de chez moi dit que la calebasse peut se casser au seuil de la maison.Celle de M.8% est entrain de tomber pour se casser et il le sait.
    Tous ceux qui se réunissent chez ce sac à dos, le nommé Yoka qui n’est pas plus intélligent que son exécutant l’homme qui a mis 7 ans pour avoir une licence, le sieur Mabiala savent bien que l’édifice M.8% s’est écroulé depuis que cet assassin a vu l’arrivée de Mokoko dans la course à la Présidence.
    Sa stratégie de faire passer son pouvoir clanique pour le pouvoir du nord s’est écroulée kala kala et il ne dort plus depuis qu’il a été désavoué par le peuple entier.Il sait très bien que s’il touche à un cheveu de Mokoko, c’est tout le congo qui cassera Oyo, les cimétières de ses parents compris comme il le fait dans le pool.

    De Ouesso à Makoua, Owando en passant pas Mbomo, Etoumbi, Kéllé, Ewo Boundji en attendant que le sud vienne au secours, le clan M.8% sera pourchassé comme ce n’est pas permis. Tout ce beau monde sait qu’il n’est plus aimé du tout mais fait semblant de ne pas voir et de ne pas entendre ce qui se dit à leurs oreilles d’idiots.

    Ceux qui se réunissent chez l’oncle de M.8% peuvent nous dire où se trouvent actuellement leur femmes et enfants? Un accident est vite arrivé sans savoir d’où çà vient,qu’ils se le disent.

    Eh bien qu’ils continuent à jouer avec Mokoko car cette fois ci,ils vont quitter le congo et il n’ y aura plus un 5 Juin où M.8% a été semble t-il réveillé alors qu’il se trouvait tranquillement chez sa belle mère dite mama poto à Kinshasa entrain de boire sa bière pendant que ses drogués faisaient le sale boulot. Quand sa vraie histoire s’écrira, pas celle du Manguier,le fleuve et la souris, mais celle de l’assassin, je crois que nos enfants et petits fils se diront: Quel diable a enfanté un tel monstre au Congo??.

  4. Mabiala il est le plus idiot il ne connaît pas sassou il veut faire plaisir à son maître ya des gens qui ont la même que lui qui ne son plus la ou il son en prison pour prendre le cas de tsourou beaucoup d’autre nous sommes tous derrière le général mokoko du nord au sud l’ouest à l’est sassou est venu pour nous diviser

  5. ABEL BATEKOLO (Militant des Droits Humains) dit :

    Lu pour vous sur facebook
    CHERS AMIS, IL Y A «URGENCE» CHEZ NOUS. LES ASSOCIATIONS, PARTIS POLITIQUES ET REGROUPEMENT POLITIQUES N’ONT PAS LA CULTURE DE L’ECRITURE AU CONGO-BRAZZAVILLE, TOUT NE SE FAIT QUE PAR DES DÉCLARATIONS POMPEUSES, DES ANALYSES, ETC….. EN DEHORS DE CLAUDINE MOUNARI ET DE GUY BRICE PARFAIT KOLELAS QUI ONT ÉCRIT À CERTAINES INSTITUTIONS, NOUS SAVONS CE À QUOI NOUS PARLONS, LES AUTRES NE SE CRAMPONNENT QU’AUX DÉCLARATIONS GÉNÉRALEMENT IMPRODUCTIVES. OR, TOUS LES GOUVERNEMENTS DU MONDE AINSI QUE LES INSTITUTIONS ET ONG INTERNATIONALES FONCTIONNENT PAR LES CORRESPONDANCES. DE CE FAIT L’HEURE N’EST PLUS AUX ANALYSES. IL Y A URGENCE PARCE QUE CERTAINS DE NOS COMPATRIOTES SONT DANS LA RÉSISTANCE, ILS NE SONT PAS DEVANT LA BIERE ET LE FROMAGE, EUX, ILS SUBISSENT DES MASSACRES, LEURS VILLAGES SONT BRULÉS, ETC….AINSI, COMME LE FONT BIEN LES RPDH, OCDH, PUBLIEZ CE QUE VOUS PAYEZ, JUSTICE ET PAIX, ETC…. TOUS LES CONGOLAIS DOIVENT ÉCRIRE MAINTENANT CHEZ FRANCOIS HOLLANDE QUI BLOQUE LE PROJET DE «RÉSOLUTION» ATTENDU SUR LA TABLE DU CONSEIL DE SÉCURITÉ POUR LA PAIX AU CONGO-BRAZZAVILLE; ET, AUSSI IL FAUT ÉCRIRE CHEZ BAN-KI-MOOM ET LAMINI ZUMA AVEC COPIE AUX PAYS MEMBRES PERMANENTS DU CONSEIL DE SÉCURITÉ POUR DEMANDER UN DIALOGUE NATIONAL SOUS L’ÉGIDE DE NOS PARTENAIRES INTERNATIONAUX, CERTAINS L’ONT DÉJÀ FAIT, MAIS TOUT LE MONDE DOIT AUSSI LE FAIRE……

  6. Arland Faed dit :

    S il y avait des mesures pratiques d accompagnement, c est a dire le soulèvement des populations de talangai, ouenze, mikalou, moungali, bacongo, makelekele, du nord et du sud; ce pouvoir allait cesser de malmener nos leaders d espoir. Mais comme on s arrête juste aux déclarations verbales et ecrites, le chien aboie et la caravane passe car je viens d apprendre la garde a vue ou l arrestation du général Mokoko.

  7. INDEPENDANCE TOTAL dit :

    D´abort remercié et felicité notre frere Alain pour son devouement patriotique.C´est d´une noblesse remarquable se soucier de ces semblables alors qu´il aurait pu passer outre.Nous te remercions enormement.

    Quand à la note de l´elysée, il y a pareil au meme.Rassembler et apaiser autour de sassou: POURQUOI SASSOU?????

    Chers compatriotes, moi personnellement je vois en sassou UN TRAITRE A LA NATION.
    TOUTES NOS FORCES POUR LE DEGAGER.MOKOKO noua montré le chemin, à nous de faire tomber sassou.

  8. Confucius Chinois dit :

    A tous les mokokolistes éphémères:

    Continuez bien de ramener TOUTE chose sur cet individu, votre sauveur providentiel, et pourtant visiblement aussi bien démuni de sa liberté aujourd’hui, un simple droit élémentaire. En tant que  »gRANDS » penseurs, vous résumez pratiquement le reste, de façon très lamentable, sur Mokoko:  »si Mokoko ceci; si Mokoko cela; tous derrière Mokoko comme ci; tous pour Mokoko comme ça; en avant tous pour Mokoko, par là-bas; si 1 Cheveu de Mokoko ici; si 2 cheveux de Mokoko par là…et nanani, et nanana.
    Navré les gars, mais comment se retenir et ne pas RIGOLER, sans le vouloir?

    Evaluez-vous, vous-mêmes!

    Souffrez que l’on vous traite de ( ), vide.

    Avec ce même genre de mentalités décriées à cause du culte de la personnalité, quelle qu’elle soit, faisant ainsi transpirer une passion malsaine avec une vue d’esprit très étriquée et quasiment anti-démocratique, vos analyses de merde, à répétition et, à fortiori, laissent à désirer…

    Votre approche, sans pour autant compter » toutes ses facettes camouflées, semble bien dérisoire depuis, non!

    N’aviez-vous jamais imaginé une seule fois, de procéder différemment? Et si on essayait autre chose, après tout!!! N’est-ce pas ce qu’il faut faire, logiquement, qui plus est à la suite de tout déboire???

    S’il vous plait, épargnez-moi une opinion nauséabonde supplémentare et, indubitablement ridicule, du genre,  »mais que proposez-vous? »…et pourquoi pas,  »peux-tu nous ramener à l’école? »

    Pauvres congolais!

  9. En finir avec la politique “françafricaine”, par Alain Mabanckou dit :

    Le 10 mai dernier, l’auteur de “Lumières de Pointe-Noire” adressait sur BibliObs une lettre ouverte à François Hollande. Il nous dit aujourd’hui comment il a été reçu, hier à l’Elysée, pour évoquer la situation préoccupante du Congo-Brazzaville.
    Dans ma lettre ouverte adressée au président François Hollande sur ce site il y a plus d’un mois, et qui avait agacé le gouvernement congolais, je m’inquiétais de la situation politique du Congo-Brazzaville depuis cette élection présidentielle contestée du 20 mars qui a fragilisé le tissu social et instauré irrémédiablement un climat de peur, marqué par des violences et des intimidations à l’égard des populations par un régime qui leur a été imposé à l’instar d’une pluie diluvienne que la météo n’avait pas prévue.

    J’ai donc rencontré le président français ce 14 juin à l’Elysée. Décontracté, très chaleureux, il a commencé par déplorer le fait de m’avoir «raté» au Salon du livre de Paris. Nous avons par la suite entamé une longue discussion pendant presque trois quart d’heures.
    François Hollande m’a rappelé la position de la France: le contexte préoccupant de cette élection présidentielle congolaise (notamment la coupure des réseaux de communication) qui avait demandé à la France une vigilance dans la mesure où elle ne pouvait pas en apprécier les résultats. De même a-t-il évoqué ses propos lors de sa visite à Bangui le 13 mai dernier, où il avait salué la réussite d’un scrutin pluraliste réussi par les Centrafricains alors que ce n’est pas le cas partout. Le Bénin avait également donné un exemple : le candidat battu, Lionel Zinsou, avait reconnu la victoire de celui qui allait être élu, Patrice Talon, avant même l’annonce des résultats…
    Il ne s’agissait pas pour moi d’implorer une quelconque intervention auprès de l’ancienne puissance coloniale – encore que les politiques que certains dirigeants africains francophones ont menées jusqu’à présent sont toujours allées dans ce sens puisque bon nombre d’entre eux sont arrivés ou se maintiennent au pouvoir en empruntant une béquille et une cravache à la France. Pourquoi laisserions-nous le destin de l’Afrique aux mains de ces quelques «diplomates» européens officieux qui prétendent agir au nom de la France alors même qu’ils n’ont aucun mandat, servent plutôt les intérêts des monarques à vie, et rêvent que l’Afrique demeure dans les ténèbres afin que ce fonds de commerce lucratif perdure?
    Je tenais à rappeler l’urgence d’une ligne claire dans la résolution des conflits en Afrique de façon à dissiper l’image trop répandue d’une France friande de la politique de l’inimitié, d’une France qui avancerait masquée et prêterait continuellement des subsides aux régimes les plus sanguinaires du continent noir.

    Les propositions que j’ai détaillées dans le document remis à François Hollande ont pour dénominateur commun la nécessité d’un dialogue: initier une rencontre sous l’égide de la communauté internationale. En somme, un dialogue sans exclusif, regroupant aussi bien la société civile que les différentes tendances politiques congolaises pour hâter l’avènement d’une culture démocratique, institutionnelle et administrative.
    Ce dialogue ne pourrait cependant s’ouvrir qu’après la libération des prisonniers politiques et l’arrêt des bombardements dans la région du pool, au sud du pays, imputés au régime actuel. Pendant que je m’entretenais avec François Hollande à Paris, l’un des principaux opposants congolais – Jean-Marie Michel Mokoko – était interrogé à Brazzaville par la sécurité d’Etat avant d’être mis en garde à vue. Une situation qui est évidemment loin de hâter le climat de paix et qui contribue plutôt à aggraver les causes du divorce entre les dirigeants actuels du Congo et ce peuple qui n’a plus pour seule arme que le soutien que nous lui apportons.
    Or le Congo ne peut faire l’économie d’une période de recomposition, avec un gouvernement de transition qui gèrerait le pays jusqu’à l’organisation de nouvelles élections claires et transparentes. Mais combien seraient capables d’un tel courage politique, qui impliquerait pour beaucoup de laisser tomber leurs privilèges et, pour d’autres, de reconnaître que le pouvoir appartient au peuple qui, même martyrisé, finira par exprimer l’ampleur de son exaspération?
    Au fond, s’il n’y avait qu’une chose à retenir de ce que j’ai dit à François Hollande, cela se résumerait en quatre mots: il est encore temps. Oui, il est encore temps de prendre des initiatives courageuses, celles qui trancheraient avec l’éternelle culture politique «françafricaine» même si elles remettraient en cause les enjeux économiques. Parce qu’il ne s’agit plus désormais de sauver des biens, mais des personnes !

    Alain Mabanckou

  10. Bientôt dit :

    Il faut que les congolais comprennent que la diaspora avant tout doit être une puissance économique et non un groupe de militants démuni et bavard. On a vu certains de ces soit disant citoyens congolais de la diaspora passer à la télé en compagnie du couple Denis et Antoinette espérant avoir un nguiri…. La crise que traverse le Congo ne se réglera pas politiquement. Les intellectuels congolais ont aujourd’hui matière a réflexion il faut trouver d’autres voies et moyens pour sortir le Congo de l’impasse.

    A vos cerveaux!

Laisser un commentaire