Infréquentable aux yeux de la nouvelle génération de gouvernants Européens et de l’Amérique du nord, la quête de reconnaissance internationale de Sassou Nguesso est un échec, malgré des cabinets de lobbyistes chevronnés et grassement payés. Elle s’apparente à un bateau ivre qui ne demande qu’à échouer dans n’importe quel port.
Après le camouflet infligé à Sassou Nguesso par le Président français François Hollande qui l’a reçu pendant 15 minutes dans un box en contre-plaqué en marge du sommet de la Francophonie à Kinshasa le 13 octobre 2012, le dictateur congolais s’est rendu à Moscou en Russie, pour se consoler et chercher un peu de réconfort auprès du Tsar Russe Vladimir Poutine.
La rencontre entre les deux hommes a eu lieu le 13 novembre 2012, et les deux hommes ont parlé de pétrole, mais surtout d’achat d’armes de guerre russes, le stock d’armes lourdes du pouvoir de Brazzaville s’étant volatilisé le 4 mars 2012 dans l’explosion des dépôts d’armes de Mpila.
C’est un secret de polichinelle, la principale échéance politique de Sassou Nguesso est de modifier sa propre constitution qu’il s’est taillé sur mesure en 2002, après être revenu au pouvoir par les armes et l’aide de l’armée angolaise en octobre 1997. En effet, celle-ci, interdit de briguer trois mandats présidentiels consécutifs, et le second mandat du dictateur s’achève en 2016. Et pour cause ?
Avant de procéder à la modification de sa constitution par l’Assemblée Nationale Populaire acquit à sa cause, et qui pourrait mettre le feu à la poudrière qu’est le Congo-Brazzaville, Sassou Nguesso veut s’assurer avant tout du soutien d’un poids lourd de la scène internationale comme la Russie qui a le droit de veto au Conseil de Sécurité des Nations Unis.
Le pouvoir de Brazzaville a intégré le fait que seule une révolte populaire du Peuple congolais pourrait le faire reculer, et le seul moyen de l’écraser sera la force des armes. Ainsi, le soutien d’un pays comme la Russie serait très important et primordial dans la bataille médiatique et diplomatique qui s’en suivrait.
Il est vrai qu’en la matière, la position de la Russie dans le conflit syrien et son soutien indéfectible à Bachar El Assad, malgré les milliers de morts donnent des frissons et conforte le pouvoir de Brazzaville dans le choix de cet allié potentiel. Dans tous les cas, à propos de massacre de populations, Sassou Nguesso n’a rien à envier au dictateur syrien.
Par Bari ma Mbinda
Diffusé le 14 novembre 2012 par www.congo-liberty.org
Oui, Poutine soutiendra Sassou Nguesso. Ce sont deux trafiquants et truands. Qui se ressemble s’assemble.
visiblement sassou prépare un dexième génocide au congo, la russie dexième puissance militaire mondiale , sassou veut absolument imposer sa monargie aux congolais , il a donc recours aux armes de guerre , d’où la raison d’être du dépot des bombes de mpila qui doit être reconstitué , mais peuples vous aviez la chance qu’oboma et hollande sont encore là pour longtemps ils ne laiserons pas sassou comettre un déxième génocide au congo B/VILLE .
Que Dieu bénisse sassou pour cette relation avec la russie.nous ne voulons pas etre victime des oxydentaux comme la libye,la cote d’ivoir,l’egypte,la tunisie et la syrie.on doit deja se protegé derrière la russe.
IL YA DANS LE COEUR DE L’HOMME MILLES PROJETS MAIS C’EST LE DESIN DE DIEU QUI S’ACCOMPLIT.Mr sassou devrait comprendre que DIEU DETIENT LE DERNIER MOT;je lui conseillerai de laisser le pouvoir en 2016,qu’il cherche un poste dans la résolution des comflits en afrique.ITOUA MBOULOU
Mes chers frères,pourquoi le changement d’une constitution disons d’un article doit faire l’objet d’une révolte populaire, on peut accepter d’aller voter par référendum un oui on non pour un changement d’article. nous le savons tous que toute modification doit être approuvée par le référendum, mais modifier ou pas, nous cherchons, nous les jeunes congolais le bien être et non voir la population souffrir encore au profit toujours de l’homme politique.
Qui a dit qu’on ne peut pas changer une constitution: un exemple en ÉGYPTE,la Constitution du 11 septembre 1971 révisée le 20 mai 1980
Article 75 , Cote d’Ivoire l’article 35, sans ajouter le GABON sur la Constitution du 26 mars1991 modifié par la loi 1895 du 29 septembre 1995 adoptée par referendum le 23 juillet 1995
Article 10
La démission de YOULOU, qui avait pris le pouvoir? je pense que c’est MASSAMBA DÉBAT, là aussi la constitution n’était pas respectée.
Cherchons d’autres moyens pour changer notre pays, même moi,qui commente je sais que c’est très dur, peu importe qui sera au pouvoir, c’est que nous voulons c’est de bien vivre, OBAMA est les autres ne changerons pas le Congo, les Africains doivent regarder en face le retard qu’ils ont, vous ne vous posez même pas la question, pourquoi l’ONU n’intervient pas en sanctionnant les pays où la ploutocratie domine et attendent pour intervenir lorsqu’il y a bain de sang? nous avons tous que les choses ne marchent pas à même 60% , l’emploi, l’éducation, l’hospitalisation, l’accès à l’eau potable, l’électricité et la reforme des institutions publiques doivent être le champ de bataille d’un pays qui veut progresser. Ce matin 25 avril, je suivi à la radio RFI à 07h45, que: les sociétés téléphoniques : MTN et AIRTEL doivent payées une amande au moins d’un milliard, soi-disant par le manque de réseau au niveau du client. Mais qui a déjà donné la SNE une amande pour certains dommages causés ou le manque d’électricité dans nos villes?
Donc pour comprendre tous ces aspects, je ne saurai comment m’empêcher de réfléchir en ayant le même dirigeant ou un autre et de nos jours, c’est sont les mêmes que j’ai connu depuis ma jeunesse,donc pour moi ce que je chercherai, que ca marche. C’est ne pas OBAMA qui viendra voir si la cnss enlevée dans ton salaire a été versée. Bref.
je veut que notre Président puisse change la constitution
SASOU NE DOIT PAS CHANGER LA CONSTITION IL DOIT LAISSER LE POUVOIR COMME BALISE COMPAORE.