Tout le monde attendait le Gouvernement de Clément Mouamba. Avec inquiétude et même une certaine impatience. Après l’investiture d’un Denis Sassou Nguesso éternellement menteur et prometteur, les Congolais crédules, ou pas, s’étaient mis à espérer…. Espérer en une équipe efficace qui, comme l’avait affirmé l’Usurpateur dans son dernier discours, allait s’atteler à la lutte contre la corruption, la concussion, le népotisme et autres balivernes présidentielles. Hélas, cela faisait plus de trente ans que le pays était oublié du Père Noël et, en cette fin d’Avril, il n’allait décidément pas passer pour ce gouvernement et encore moins pour la population !
Les moins optimistes, notamment sur ce site, affirmaient « Quelles que soient les personnalités qu’il décidera de nommer aux Finances, au Pétrole, aux Forêts, à la Défense et à l’Intérieur, le véritable ministre en restera Denis Sassou-Nguesso. »
La réalité imprévisible, pauvres de nous, est pire ! Bien pire ! Ce gouvernement qui aurait dû être celui « d’une certaine transition » est en fait celui de « la succession ». Pour ceux qui s’attendait à une injection de sang neuf, ils en ont été pour leur compte ; de la pire des qualités, en réalité du sang contaminé ! L’héritier, Denis Christel, a finalement fait valoir ses prérogatives. Les entrants et les sortants, dans ce gouvernement Mouamba, en sont l’indiscutable reflet à quelques exceptions insignifiantes près.
La vénalité hors-norme de Kiki et son ambition ont été assouvies au-delà du raisonnable. Après avoir été le propriétaire incontestable et incontesté du pétrole congolais, le voilà aujourd’hui qui s’accapare, via un tiers, le portefeuille des Finances du Congo. Son comparse de la SNPC, Calixte Nganongo, le directeur administratif et financier de la société étatique, a pris la place du très corrompu Gilbert Ondongo. Clément Mouamba ne pouvait certainement pas s’opposer à cette nomination calamiteuse. Malgré cette horrible perspective, personne ne regrettera Gilbert Ondongo à qui le Fonds Monétaire International (FMI), l’ingrat jadis à sa botte corruptrice, à Washington lui a tout récemment claqué la porte au nez alors qu’il demandait de l’aide. Mais avec ce nouvel homme à la tête des finances publiques, les hors-la-loi se sont réjouis ; rien ne s’arrangera et ils espèrent voler plus encore. Le prix du pétrole pourrait même dépasser à nouveau les 100 dollars le baril que les Congolais n’en verront pas la couleur.
Comme les Nguesso, les Nganongo volent en famille. Ce petit clan, qui comptait déjà une Conseillère à la Présidence de la République après avoir failli dans le négoce en gros de volailles, s’est toujours plu à plumer le Trésor Public ou les sociétés nationales. Calixte Nganongo était secondé à la SNPC par son cousin Paul Ominga. A Paris, la compagnie pétrolière congolaise avait d’élégants bureaux, avenue de Friedland, à un jet de pierre de l’Arc de Triomphe. Ce cousin s’y faisait traiter de « villageois » par des collègues de travail aux tenues tirées à quatre épingles, tant les siennes, maillot de supporter du PSG et tongs, tranchaient avec les leurs. Mais il ne faut surtout pas confondre mauvais goût vestimentaire avec de la modestie ou pire avec de la probité. Ce directeur administratif-adjoint a été à l’origine des ascensions fulgurantes des Willy Etoka et des Lucien Ebata ; il en a été le découvreur, le bygmalion plutôt que le pygmalion. Ils pourront encore compter sur lui. L’hégémonie des Nganongo, comme celle des Mapapa, sur la SNPC perdurera puisque Raoul Ominga succèdera sans aucun doute à son cousin Calixte ministre, à son poste de DAF. Sa solide réputation de jouisseur ne pourra que s’en renforcer. Dans son approche de la gente féminine, il est reconnu être généreux à défaut d’être délicat. On dit de lui que pour amadouer sa proie, son premier cadeau, et le plus petit qu’il puisse être (littéralement « son plus petit billet »), c’est 30 millions de FCFA…
Au pétrole, rien ne change pour Kiki avec le très transparent Tchikaya, fils de… Comme lot de consolation pour le fiston du dictateur, Jérôme Koko a été viré de la tête de la SNPC ; Kiki en assurera la présidence en attendant que son président de père lui laisse la sienne… Les vieux compagnons de route de ce dernier, les caciques remerciés pourront soigner tranquillement rhumatismes et séquelles d’AVC ou d’excès commis durant ces presque vingt années d’un pouvoir totalitaire. Les Adada, Yoka, Tsiba et autres n’avaient d’ailleurs aucune envie de suivre l’apprenti-clerc de Notaire dans ses folles dérives. C’est bien Denis Christel qui a été à la manœuvre ces dernières semaines, distribuant des paquets d’argent à « ses petits », ses sbires, chargés des fraudes, des agitations, des intimidations encagoulées et des mitraillages dans tous les sens et dans toutes les directions. Ces derniers, fanfarons, ne manquent pas de se vanter de leurs exploits et des sommes pharamineuses que le fils du « perdant » a dû leur débourser pour inverser les scores.
Le semblant de démocratie et d’Etat républicain a définitivement été capté par la voyoucratie des Nguesso, avec ce Proconsul qui est allé au secours de son père. Ce butin des « Finances » est un prix dont la république ne se relèvera jamais. D’ailleurs, ces mêmes valets sanguinaires, enrichis, s’inquiétaient durant la campagne de l’affaiblissement physique d’un président-candidat déjà usé. Ils craignaient une issue fatale tant l’homme perdait ses forces et parfois même sa lucidité. Ce genre d’accident reste dans le domaine du possible, ce qui, dans les conditions actuelles, serait le signal de départ d’une lutte acharnée pour une prise de pouvoir par le plus fort. Ndenguet ne manquera de dégainer les armes de la Police pour son compte personnel – lui que Chirac et de Villepin avaient extrait de sa prison de la Santé à l’aube d’un premier samedi d’Avril 2004. – Ce récidiviste de crimes contre l’humanité pourra s’adonner complètement à son goût pour les crimes de masse en s’opposant au Clan des Nguesso et à l’Armée congolaise, tous armés jusqu’aux dents, dans une guerre triangulaire. Les populations civiles ne seront pas épargnées, ni les biens impayés construits à crédit par les Chinois.
Les « petits » proches de Kiki, pas si inconscients, prédisent que « ce qui se passera alors au Congo sera pire que le Rwanda… »
Voilà où tant d’irresponsabilités accumulées, de corruptions et de complicités silencieuses pourraient nous mener bientôt. La sirène d’alarme en est tirée…
Il y a presque deux décennies un compagnon de « l’avant-première heure de Denis Sassou Nguesso » révélait les secrets du pouvoir de ce dernier. Pour mieux être compris, il s’aidait de sa main. Chaque doigt en était un qu’il expliquait tour à tour de chaque côté ; d’abord le pouce, puis l’auriculaire. Il termina donc par le majeur. En le désignant, il déclara : « Ce doigt est le plus grand et le plus fort, c’est Florent Tsiba ! Il détient une grande force mystique et était dans la chambre du Mistral lors de l’assassinat de Marien N’Gouabi. Il a été de tous les gouvernements de Denis. Il sera de tous les prochains. S’il ne devait plus en être, alors pour Denis cela signifiera sa fin, irrémédiablement ! »
Le tyran n’a pu que consciemment prendre la décision d’écarter Florent Tsiba de ce dernier gouvernement. En a-t-il voulu accélérer sa propre chute ? Les dés en sont jetés pour lui-même et pour le triste sort qui attend désormais le peuple congolais !
Rigobert OSSEBI
Diffusé le 2 mai 2016, par www.congo-liberty.org
Maintenant que le pouvoir financier et les caisses personnelles de l’état de sassou sont bien verrouillés avec son (ex) nouveau gouvernement fantoche, nous n’allons pas tarder à entendre encore plus parler de kiki le pétrolier et de ses largesses de mécène en vu d’asseoir un peu plus son aura et son emprise pour sa future succession à la tête du royaume.
Ce pays n’est pas le Congo c’est la propriété personnelle du clan Nguesso.
Notre pays le Congo est tenu par une société de sorciers. C’est évident. Mais qu’est-ce que Clement la Mouambe est allé foutre dans ce bordel? Sauver Sassou ? De quoi ? De ses crimes de tout genre?
Il ne peut rien fixer même si Sassou avait reellement gagné le 20 mars 2016, pire, il a perdu mais usurpe une fonction, et comme si ça ne suffisait pas, poursuit l’OPERATION MOUEBARA avec en vu, l’appetit de dépeupler tout le pays de Mpangala, donner la mort à toute personne se trouvant dans les zones des tirs, tuer en masse dans le niari forestier en passant par la bouenza nord et la lekoumou.
La phase 1 qui suivit » l’inaugaration des crimes » visait deja à des resultats que Sassou qualifie de prévisionnels du genre:
125.000 personnes tuées, 275.000 fugitifs et 40.000 exils forcés.
Ainsi noté dans les documents en notre possession, documents signés de la main de Sassou lui-même, en sa qualité de patron du Comité Mixte d’Action Spéciales ( CMAS ), numéro 023/99 PR/CMAS, portant sur le Plan d’Activités Trimestre IV de l’Opération Mouébara ( du 01/10 au 31/12/1999).
Notons tout de même que la Phase 2 a eu lieu. Celle-ci a consisté à l’élimination silencieuse: enlevements, disparitions forcées, empoisonnements.
Nous sommes actuellement dans l’execution de la Phase 3: des centaines de milliers de morts, des depeuplements, des fugitifs forcés dans les forêts avec en perspective, la mort lente par famine et maladie.
L’apocalypse du Congo se poursuit, alors que nous passons notre temps à nous chamailler sur les fautes d’orthographe d’une langue d’empreint. L’apocalypse se poursuit alors que nos propres freres sont a la manoeuvre pour assouvir la soif d’un tueur en série.
Mouamba, Moungala, Mvouba et autres ne sont pas des notres. De nos petites, rien que cela viendra l’esperance de tout le pays. Sassou doit etre traqué jusque dans ses derniers retranchements.
Il doit passer a la barre, avec lui, ses kiki, ses coco, ses wiwi. Mouamba assumera le poids du masque qu’il a volontairement fabriqué pour Sassou.
Lire… de nos petites mains
@ Anonyme, les enfants Sassou, filles comme garçons disent que Dieu leur a donne le destin du Congo.
C’est dégoûtant .Doctrinalement SASSOU de par son esprit clanique ,il proclame la nécessité impérieuse de privatiser au bénéfice familial le vol des biens publics .Dans cette période où la population est placée dans une phase austéritaire , le succès de leurs rapines devrait inévitablement provoquer la colère et la violence du peuple .D’où la nécessité de réorganiser cette liaison organique entre le peuple et l’opposition .Ce combat pour la démocratie contre l’oppression de SASSOU va progressivement sortir de la confusion néo colonialiste doublée dune étatisation effrénée de l’enrichissement familial .
La chose publique doit être la chose du public ,ainsi par translation , nous dirons que l’argent public doit être l’argent du public .
La grande plus tâche est de comprendre à tout instant ce qui se passe chez nous .Nous ne devons plus cultiver l’exceptionnel , chercher le héros , autre forme de leader .Nous devons soulever la population , agrandir le cerveau du peuple , par des informations , le meubler, le différencier, le rendre apte à l’insurrection NATIONALE ;
Politiser , c’est ouvrir l’esprit ,c’est éveiller l’esprit , comme disait CESAIRE politiser les masses , c’est s’acharner avec rage à faire comprendre à la population endormie que tout dépend d’elle .
Car , les mains magiciennes ne sont en définitive que les mains du peuple .
beaucoup de blagueurs ici,on est jamais premier par hasard, il a été malin depuis sa jeunesse donc accepter votre forfaiture
COMMENT UN Calixte Nganongo QUI A FOUTU LE BORDEL A LA SNPC QUI EST EN FAILLITE SOIT PROMU AUX FINANCES DU CONGO????
vivement la RÉBELLION ARMÉE.
La solution est militaire et elle l’a toujours été. Soutenons ceux qui sur place sont en situation de modifier le rapport de force. Le constat, ou le diagnostic sur l’état du Congo est désormais connu de tous, même au niveau des instances internationales, and So What? Faisons bouger les choses en soutenant ceux qui sont sur place et qui font face.
Sur le cite 242 info dont l’ancêtre est congosite portait les propagandistes de Monsieur 8% ont poste un article ou ils inversent les roles de la fripouille de d’Edou dans ses crimes.
Le titre:La vérité accablante de la crise post électorale du pool au Congo brazzaville.
Ici l’assassin de Ngouabi c’est Yombi et non Sassou comme l’affirment ces maitres français.
Ici Lissouba devient la marionnette de la france pas Denis Sassou comme nous le savons et nos frères Zambabweens.Mugabe vient de dire clairement que la fripouille d’Edou est belle et bien le premier complice de la france au Congo.Resolument ils sont tous fous,ces hommes et femmes qui gravitent autour de l’homme le plus idiot de sa generation,l’homme qui réussi a transformer une frange des Congolais en personnes sans conscience.Il faut vite chasser cet idiot.
Hier dans un quartier de Bacongo, la police poursuit à pied un homme… Il y a trois jours de cela, toujours dans Bacongo, marché total, un véhicule BJ de police s’arrête en barrant la circulation et un autre vient comme au secours du premier; en fait, ils ont pris en sandwich un type qu’ils embarquent; j’ai entendu un homme en tenue militaire dire: » mais cette police, que fait-elle contre les populations? ».
le tricheur infatigable donne une prime de 50 millions à qui livrera l’endroit où se trouvent Ntoumi, son complice « le doc », ou le surnommé « ramsès »…trois personnages qui lui ont bouffé les sous qu’il leur a remis pour une mission bien particulière qu’ils n’ont pas voulu exécuter..
Cet type de sassou devient fou ou quoi!! 50 millions pour indiquer où se trouve NTOUMI. Mais son enquête se trouve à quel niveau, lui qui est le boucher des congolais ne peut savoir où se trouve Ntoumi.
S’il veut que l’on montre où se trouve Ntoumi, qu’il mette 100 milliards en jeu. Vite fait mon garde corps ira le prendre. Ntoumi coute très très cher.
Où est Ndenguet, fort uniquement pour montrer les muscles et quand sassou fait mettre le feu à la poudrière de Mpila , il sort de son sommeil en sandale et se mets à fuir en criant; Annie c’est un coup d’état, Annie c’est un coup d’état (Annie née Okomba est son épouse) et vite fait toute la famille s’est planquée pendant 5 jours à Obouya en attendant de voir.
Ndenguet, en dehors de ce que les waras te donnent, il y a 50 millions à prendre toi qui court toujours derrière les sous. Moi c’est 100 milliards ou rien.
Bien fait que ces trois personnanges aient bouffé ofélé cet argent, après tout est ce son argent ou le nôtre.
wele
Ndenguet a peur de finir comme Moussa Etat , le garde du corps et feticheur de Ngouabi , qui voulait arrêter Diawara par surprise , pour apparaître comme le plus puissant des militaires du Congo . Il s’est fait tuer comme un poulet par Ntala , un lari revanchard . A malin , malin et demi , c’est ça aussi le Pool .
@OYESSI TU EN SAIS DES CHOSES SUR CE NDENGUET ?. Ton témoignage post sassou sur ce personnage nous est précieux .Car tu en as à revendre sur cet usurpateur des terrains de CFCO à sans fil , lieu ludique de ma jeunesse ;IL y a construit deux bâtiments en étages .
Tu auras compris que je suis natif de ce lieu , qui m’est très cher .En 3 éme de collège , je préparais mon BEMG , assis sur la parcelle du commandant sassou à mpila sans fil .
Pour , l’instant;;;;;;;; prions .
Les MBOCHIS volent et pensent qu’ils pourront vivre avec cet argent le reste de leur vie. Ils oublient que jamais aucun voleur politique n’a fini sa vie riche. A l’exemple de BOKASSA et MOBUTU. Quand vous n’êtes plus au pouvoir, toutes les banques occidentales dans lesquelles ces CONNARDS ont planqué leur argent feront tout pour ne pas le leur redonner.
« BABYLONE SYSTEME IS A VAMPIRE » chantait depuis des lustres BOB MARLEY.
Le système monétaire MONDIAL est un vrai VAMPIRE. C’est autour du contrôle absolu de la circulation des flux fiduciaires que le FMI et la Banque Mondiale ont été créées. Nos hommes politiques dans ce jeu de dupes ne sont que des véritables pantins, des marionnettes que les Occidentaux laissent au pouvoir pour qu’ils ramènent dans leurs banques tous les bénéfices des matières premières de leur pays. Appauvrissant ainsi leur propre peuple, sans pour autant que eux même ne puissent en jouir pleinement un jour. C’est ce qui explique que l’Occident en général et la France en particulier parrainent, propulsent et soutiennent les PIRES IDIOTS comme présidents dans nos pays, notamment les SASSOUFOU, EYADEMA, BIYA, KABILA, BONGO, DEBY et compagnie.
Etant au pouvoir, ces kleptomanes ne maîtrisent déjà pas leurs propres comptes bancaires dans les multiples paradis fiscaux. Et une fois viré des strapontins qui leur ont permis de saigner les trésors publics, ont leur laissera à peine quelques miettes pour subsister quelques temps et ont leur fermera ensuite au nez, leurs propres sacs de nguiris amassés dans le sang, la tricherie, les intrigues sordides et les pires complots de détournement les plus malsains.
Tous les KIKI, CACA, COCO, BOUNYA, DONGO-DONGO, GORILLENDELLé mourront TOUS PAUVRES, et même s’ils meurent avant, leurs enfants et arrières petits enfants ne retrouveront jamais ces milliards. C’est écrit !!!!
Après avoir bradés des sacs de diamants de son pays, à ces derniers jours de vie, BOKASSA PLEURAIT DE MISERE SEUL DANS SON CHATEAU, COURANT ET EAU COUPéS. A BON ENTENDEUR….
En début d’année ou en milieu d’année 2014 je ne me rappelle plus de la date exacte, mais le souvenir est là intact. Le seigneur me revèle à travers un rêve le début d’une guerre civile à Brazzaville. Je vois dans le ciel plusieurs hélicoptères en tous cas de nombreux hélico que je ne peux dénombrer. Ils se figent à une certaine altitude et larguent non des bombes mais des sortes de bolides sous formes de fusées qui foncent en direction du sol et s’arrêtent net à environ 500 m à 1000 m du sol. De ses fusées Ils en sortent des miliciens paracommandos armés jusqu’aux dents ils quadrillent brazzaville et contrôlent l’identité et l’origine des citoyens. Panique générale les gens y compris moi, nous courons dans tous les sens. Puis comme dans un fracas d’assourdissement une dernière fusée largue au sol un trône sur lequel est assis un jeune monsieur entre 30 ou 40 ans sapé comme jamais en tout cas tiré à quatre épingles, avec une barbe fine en collier bien taillée entourant sa bouche et son menton, Il a une allure guérrière, il se lève de son trône et se pavane en regardant à gauche et à droite, il est entouré de ses miliciens paracommando. C’est sur ses entrefaits que je me réveille en sursaut.
L’analyse de mr rigobert Ossébi a réveillé en moi ce rêve enfoui dans mon subconscient; Ce n’est qu’un rêve certes, mais le risque d’une enième guerre civile est bien réèlle si on y prend garde. Sassou est entrain de s’armer et de stocker des armes pour défendre son pouvoir à tout prix, confié par Dieu selonlui. Excepté son fils Kiki, il n’y a personne à Nguélé pour le remplacer. Et surtout qu’il n’est pas encore fatigué. Il l’a dit lui même aux sages Mbochi.
L’histoire se repète toujours et il n’ya rien de nouveau sous le ciel nous pouvons revivre le drame du Rwanda. Dans la lutte pour le perchoir, Sassou Nguésso est tué par les siens puis comme de coutume les boucs émissaires sont vite trouvés. Ce sont les ninjas qui ont tiré sur l’avion présidentielle. Qui dit ninjas dit bakongo. Commence la chasse aux Bakongos et à tous les sudistes.
Plus vraisemblablement la scène tragique de la mort de Marien Ngouabi peut se repeter cette fois si à la manoeuvre Ndengué, JDO, Obara, Nianga Mbouala, Mondjo; pour écarter le rejeton Kiki sans expériences aux hautes fonctions d’état que lui prépare son funeste père.
Vous aurez compris ce sont des hypothèses. Avec des si on mettrait Paris en bouteille. L’opposition doit être vigilante et continuer la pression sur ce pouvoir vacillant. Notre problème reste le départ sans conditions de Sassou.
De quelles organisations humanitaires dans le pool que télé foufou internationnale(RFI) parle t’elle?
Caritas 5 personnes dans le Pool sans atteindre les lieux des massacres ni les forets, quoi de neuf?
LE PROBLÈME DU CONGO EST ALARMANT, MAIS MALHEUREUSEMENT COMME 1997 TOUT AU CONGO SE PASSE A 8 CLOS.
ET BIEN LA France QUI EST DEVANT LE PROBLÈME SYRIEN, CETTE France QUI DEMANDE L’ENTRÉE DES ORGANISATIONS HUMANITAIRES OU DE DROIT DE L’HOMME EN SYRIE. DANS CETTE GUERRE SYRIENNE OU TOUTES LES ARMES SOPHISTIQUÉES ONT RETENTIES, MAIS NOUS AVONS LES IMAGES ET LES ORGANISATIONS HUMANITAIRE OU DE DROIT DE L’HOMME SONT SUR LE TERRAIN.
MAIS POURQUOI LE GÉNOCIDE DU POOL MANQUE DES IMAGES, IMPOSSIBILITÉS DE FAIRE PÉNÉTRER LES ORGANISATIONS DE DROIT DE L’HOMME ET MÊME HUMANITAIRE.
MAIS POURQUOI CE 8 CLOS ?
SELON LES INFORMATIONS, TOUTE RÉSOLUTION CONCERNANT L’AFRIQUE FRANCOPHONE DOIT PASSER PAR LA France.
LA France FAIT LE CONTRAIRE DE LA SYRIE AU CONGO, C’EST LA FRANCE QUI BLOQUE TOUT :
ELLE BLOQUE TOUTE DIPLOMATIE A L’UNION AFRICAINE
ELLE BLOQUE TOUTE RÉSOLUTION A L’UNION EUROPÉENNE
ELLE BLOQUE TOUTE RÉSOLUTION A L’ONU
A MON FRÈRE MOUNGALA QUI EST DEVENU LE PORTE PAROLE DE LA France, LE CONGO AUJOURD’HUI EST UN TERRAIN DE CHASSE OU LE GIBIER EST L’HUMAIN. LES GÉNOCIDES DE SASSOU ONT DÉJÀ FAIT PLUS DE MORTS QUE CELUI DU RWANDA EN COMMENÇANT DE CELUI 1998.
MOUNGALA COMME C’EST TOI LE RELAY DE LA France JE T’EN PRIE ACCEPTE L’ENTRÉE DANS LE POOL NE FUSSE QUE LA CROIX ROUGE CONGOLAISE POUR SAUVER LES VIES HUMAINES. TA VIE N’EST PAS PLUS IMPORTANTE QUE CELLE DES MILLIERS DE VIES CANTONNÉES DANS LES FORETS AU POOL. S’IL TE PLAÎT AI UN PEU D’HUMANISME, PENSE AUX AUTRES, DANS CETTE VIE TU PEUX TOUT AVOIR MAIS TU NE PEUX PAS PAYER LA MORT, ET TU SERAS AUTANT PLUS CONTANT EN SAUVANT CES VIES.
JE NE PARLE PAS POLITIQUE ICI, MAIS POURQUOI TANT DE MALHEUR AUX CONGOLAIS, NOUS SOMMES DES HUMAIN COMME TOUT ÊTRE DE LA TERRE ET NOUS AVONS LE DROIT DE VIVRE SUR CETTE TERRE.
Val de Nante à propos de Denguet que je connais très bien. ce fût à l’époque un jeune professeur au collège Peyre Pierre aujourd’hui Gampo Olilou. Il vivait chez ses parents rue bouzala ou linzolo avenue des chars son surnom de jeunesse fût Roddy. les jeunes du quartier l’appelait grand Roddy. Je le vois encore sur sa mobylette peugeot bébé de l’époque. Il était plutôt beau garçon cheveux au vent calme séducteur avec ses chaussures à haut talons ses pantalons en patte d’éléphant. Il va se marier avec une des élèves du collège fille d’un ancien ambassadeur.Je pense que c’est là ou bascule sa vie. il obtient une bourse de formation (Police et sécurité) pour la RDA. A son retour Il est nommé par sassou conseiller à l’ambassade du Congo au Zaïre, question de le préparer (comme JDO). vous connaissez la suite. Et pourtant il est issu des parents modestes très croyant décédés depuis. Mais il affichait déjà à l’époque un comportement distant de sa famille des ses 3 freres et de sa soeur; cultivant l’image orgeuilleuse de celui qui a réussi. On n’aurait jamais pensé un seul instant qu ‘il serait aujourd’hui le boucher des congolais. Il compte aujourd’hui des taupes hommes et femmes dans toute l’administration et les services publics et privés, Il dispose d’une milice privée. peut tuer ou neutraliser qui il veut sur ordre de son mentor sassou ou sur son bon vouloir C’est un vrai danger pour la république
Val de Nantes a écrit:
» En 3 éme de collège , je préparais mon BEMG , assis sur la parcelle du commandant sassou à mpila sans fil . »
Val que veux-tu insinuer en précisant 3ème de collège? Est-ce qu’il y a une 3ème du primaire ou bien une 3ème de lycée? Où veux-tu en venir? Attention avec le songi songi! Ici, nous sommes une famille.
$£€¥~ Songi-Songi eboma mboka mama, baninga lelo oyo namoni
Likambo yakoyoka malamu luka omona na miso, pamba te eh ékoki kobebisa
‘Liberty’ lelo oyo etondi nde na bandoki, bandeko basusu babandi kobanguisa biso
Bako zuaka bongo kaka nakoteka bato, companie bako salaka ah toko monaka te…
HU, um um-um
Um um um, um-um… ~¥€£$
‘Seigneur Ley’
La mbochisation de ‘paix’
Songo + Songo = Songi Songi
La mbochisation de ‘la paix’
@BAKALA , peut être une tautologie , j’ai voulu dire en classe de 3 éme .Et , puis LE BEMG sanctionnait les études de cette classe pré -lycéenne ;
C’était la belle époque et insouciante , avant que SASSOU ne devienne le père FOUETTARD ;
Les occidentaux ont des images satellites très précises qu’il peuvent livrer. Les américains et les français notamment ont les yeux braquées sur la terre toute entière H24. Donc, s’ils le voulaient, nous aurions les images des massacres du Pool. Mais nous n’avons plus le temps d’attendre ou de pleurnicher. La politique, la diplomatie, l’analyse intellectuelle, l’analyse politique,… Ne changeront pas la donne sur le terrain. Saroumane est totalement hermétique aux discours et à la raison. Soutenons ceux ci qui sur le terrain (dans le Pool), se battent déjà contre les ogres du Mordor (Oyo), en quête de chairs fraîches. Ceux qui combattent Saroumane sur le terrain savent que la mobilité est une vertu de la guerre. Le Mordor doit devenir une terre assiégée.
ATTENTION ,l’éléve MVOUBA N’est pas content des résultats du BAC OPTION SASSOU et le bonhomme l’a fait savoir , en bricolant un voyage sanitaire en FRANCE ;Mais mal en a pris SASSOU LE GUETTAIT à l’aéroport .
RESULTAT … REFUS D’embarquer , quand même pour un échoué au BAC , c’est culotté de la part de l’élève MVOUBA ;RETOUR DANS SA CAGE AU MARCHE DES PLATEAUX ;
UN PETIT BOUDEUR CE MVOUBA ;
LIRE………MAL LUI EN A PRIS …..
Pourquoi dracula sassou est le fils légitime de satan ou du diable?
LA RAISON, L’ESPRIT HUMAIN, LA CONSCIENCE LIBRE ET LES VALEURS MORALES (LE BIEN CONTRE LE MAL)!
D’après la bible et selon les nouveaux prédicateurs congolais, sassou Nguesso dit « dracula » est l’incarnation totale de satan, du diable et des forces du mal.
« Je ne peux pas être lié à un pays de primitifs, de bonobos, de sauvages, de gangue de barbares et de criminels à la tête de l’état. c’est à la fois inhumain, immoral et dissolu… Je ne peux pas être lié à un pays où le Président de la République, le chef de l’état s’est autoproclamé et donc illégal et illégitime aux yeux de ses concitoyens, des consciences et du monde libre. C’est insupportable (Isidore aya tonga, humanisme et conscience libre) ».
Les libres esprits humains universels ont désormais le droit et devoir cognitif, intellectuel, moral, politique, sociopolitique, socio-économique, culturel, cultuel, écologique et sociétal à devoir reformer l’individu et le citoyen reformé sur différentes échelles sociétales. explications http://congo-objectif2050.over-blog.com/2016/05/pourquoi-dracula-sassou-est-le-fils-legitime-de-satan-ou-du-diable.html
Et oui Mvouba a voulu faire le malin pour quitter le titanic qui est entrain de couler,mais le capitaine dictateur lui a dit non.
A qui le tour?
On ne peut pas avoir le BAC A , tous les jours .MVOUBA doit refaire sans BAC OPTION SASSOU s’il veut voyager et FAIRE ses études à CUBA remplacé ,les milliers des petits qui se sont entrain d’être expulsés .
MVOUBA ON SE CALME ; boit de l’eau fraîche .MËME SI DIOMO t’a mordu aux mollets , au plaisir de SASSOU RIGOLANT .
C’est çà la vie , Oyo dé MOKILI .. BISSENGO .NA sé écoute ,consulte COSMOS MOUTOUARI
POUR LA SUITE DE CETTE CHANSON .
TRISTE! IL N’A PAS FAIT LA PASSATION DE SERVICES OU QUOI? QUELLE PETITESSE… CES PCTISTES
RISTORANTE ITALIANO
MENU DU JOUR : CLEMENT A LA MOUAMBE
La santé de Pierre Oba s’est brusquement détériorée,que le diable l’emporte pour tout le mal qu’il fait dans le POOL.
Beto nioso Zila kaka mosi, mais à la croisée de chemin, chacun devra faire face à Dieu pour tous les crimes.
A Dieu m’a Dit. Denguet/Ndenguet était prof de quoi à ce collège? C’est seulement pour comprendre comment un prof a t-il pu basculer dans la violence, lui l’éducateur?
Un prof expert pour violer les petites eleves mineures.
NDENGUET a été VOLONTAIRE DE L’ENSEIGNEMENT et IL A ETE FORME EN ROUMANIE ET NON EN RDA…
Roumanie c’est possible. Oui Denguét était volonaitre de l’enseignement comme Tsiba Florent ils avaient répondu à l’appel de Ngouabi j’ai même dit professeur au collège et non professeur de collège. Je ne connais pas la matière qu’il enseignait cela devait être le francais. Il enseignait en 6èm.
DENGUET enseignait la criminalité au collège , en tant prof volontaire ,d’ailleurs j ai enseigné les maths physique chimie à Gampo olilou ;
eh oui ; c’est ça la vie ,sauf que MVOUBA REFUSE DE VIVRE DANS LE CONGO réel .C ‘est dommage lui qui marchait sur l’eau .
BIENVENUE AU CONGO DES SANS DENTS ;
je vous rapporte cette analyse de Jean de Dieu Mossingue jugez en vous même.
La reconduction le 20 mars 2016 du Président Denis Sassou-NGUESSO pour une énième mandature à la magistrature suprême du Congo, est en notre sens très controversée, voire immorale et injuste. A l’unanimité plusieurs observateurs avisés se sont aperçus avec nous, de la présence visible d’une fraude gigantesque dans les résultats officiels. Il est logique que le gouvernement de la République du Congo soit critiqué par un grand nombre de pays dans la gestion de cette crise électorale. Il lui est reproché non seulement d’avoir trafiqué grossièrement les résultats, mais aussi d’avoir créé les conditions idéales visant à étouffer son forfait et à investir absolument son candidat.
Les résultats officiels ont été proclamés tard dans la nuit, en ayant pris le soin de fermer tous les canaux de communication extra-officiels, tels le téléphone ou l’internet et d’empêcher que les actes de vote et de gestion soient retransmis en direct ou filmés. Aussitôt pour sécuriser le forfait, une rébellion a surgi et est agitée pour attaquer les quartiers sud de Brazzaville, traditionnellement opposés au régime et en même temps, celle-ci permet de renforcer l’état d’urgence dans le pays. Une mesure qui met en branle toutes les forces militaires, sécuritaires et les milices.
En même temps, les bombardements qui ont débuté à Brazzaville, se sont étendus dans plusieurs zones du pool, soi-disant pour éliminer le Pasteur NTUMI, mais ce sont les civils qui ont été visés en masse, selon les informations issues des témoignages et dans les zones touchées.
Pour le gouvernement, il s’agissait d’attaques terroristes à Brazzaville. En réalité cela suscite des interrogations. En effet, si c’était les milices de NTUMI qui ont une certaine expérience de la guerre, elles ne s’en seraient pas prises aux quartiers qui leurs sont d’avance acquis. Elles se seraient déployées et auraient plutôt attaqué les zones acquises aux hommes du pouvoir, en particulier les quartiers nord de Brazzaville, les camps militaires, les forces de police, les milices du régime ou les dignitaires du régime.
Les positions de la police attaquées se trouvaient également dans la zone sud de Brazzaville. Car si l’on tient compte des dégâts collatéraux qu’une telle entreprise engendre, qui attaquerait les lieux où séjournent ses propres partisans pour tenter de prendre le pouvoir détenu par l’adversaire ? De plus si ces miliciens avaient des conseillers étrangers, quel était l’objectif poursuivi en procédant de cette manière ? Quand en 1997 le président Sassou visait la prise du pouvoir, il s’en était pris d’abord et avant tout aux troupes de Pascal Lissouba.
Denis Sassou NGUESSO n’avait pas attaqué les quartiers nord de Brazzaville, mais plutôt à toutes les forces militaires du gouvernement. Il pouvait se servir des quartiers nord pour un repli stratégique de ses milices cobras, sans mettre en danger la vie des populations civiles. NTUMI a déclaré lui-même que ce ne sont pas ses miliciens qui ont fait ce coup. Dans le nord du pays, Sassou avait attaqué directement les troupes gouvernementales et alliées. y’a-t-il eu en même temps des massacres de civils comme certains le prétendent ?
Actuellement, selon les informations qui circulent, une insurrection peut prendre de l’ampleur à la suite des bombardements dans le Pool. Pourrait-elle être appuyée par des forces étrangères comme le suggère les autorités ? Les hommes au pouvoir et leurs partisans soupçonnent la France, les USA avec l’OTAN d’être derrière cette rébellion. Certains analystes avancent même l’idée d’une tentative par l’OTAN de déstabiliser ce pays qui parait-il se rapprocherait de la sphère d’influence des BRICS. Il n’est pas impossible qu’une telle éventualité soit prise en compte, mais le ferment de la crise réside dans la forfaiture qui a été opérée sur les résultats issus des urnes.
C’est parce que le régime n’a pas voulu organiser des élections justes et transparentes que le Congo connait cette crise. Depuis l’arrivée en 1997 de Denis Sassou NGUESSO au pouvoir, le régime était venu avec un esprit de vengeance contre une partie de la population du pays, notamment celle du sud. En 1997, dès le départ de Pascal LISSOUBA, les miliciens avaient d’ailleurs commencé par piller les quartiers sud de Brazzaville. Le pouvoir a été géré par un clan revanchard qui a confisqué toutes les richesses et ressources du pays. Celui-ci a mis en place un système politique qui empêche à tous les coups une alternance politique et la prise d’initiatives salvatrices par la majorité des populations.
Les suffrages exprimés dans les urnes le 20 mars donnaient vraisemblablement le Président sortant battu dès le premier tour avec 8 % de votes recueillis. Cela il ne l’a pas accepté et en est passé outre contre la volonté populaire, d’où un flottement pendant quelque jours pour trouver le moyen de renverser la tendance ; d’où les 60% sortis du néant grâce à la magie de la fraude. Sachant qu’une contestation devait suivre, le régime a anticipé les actions de l’opposition en prenant des mesures visant à l’étouffer dans l’œuf. Certaines ont été pour l’instant rangées dans les tiroirs, parce qu’imparfaits et difficiles à faire gober. Nous avons regroupé toutes ces mesures dans une unique opération : « Coller les affaires ».
Il est clair que si nous avions eu des preuves sur une non-manipulation des résultats par le pouvoir en place, nous aurions soutenu le régime. Car les résultats publiés par les autorités n’étaient pas accompagnés des procès-verbaux signés par les représentants de tous les candidats. En outre, comme le Général Jean-Marie Michel MOKOKO était en tête de l’élection présidentielle au premier tour, selon les premiers résultats avec procès-verbaux de la Commission technique électorale (CTE), le pouvoir a trouvé des motifs pour arrêter tous ses soutiens afin de confisquer sa victoire.
Dans de telles conditions, puisque les résultats officiels ont été contestés, si le candidat du pouvoir avait réellement remporté l’élection présidentielle, le régime aurait réuni les meilleurs experts pour prouver sa bonne foi et démontrer sa victoire, afin de faire taire les critiques. Au lieu de cela, il a au contraire mis en place un ensemble de mesures coercitives ; cela traduit un aveu de faiblesse.
On ne peut pas vraiment dire que les Etats-Unis, l’Union européenne ou la France ont soutenu avec ferveur et vigueur l’opposition. La France par exemple a longtemps hésité avant que pour des raisons tactiques, du bout des lèvres, elle ne se décide à reconnaître la forfaiture, sans convaincre.
Les États-Unis avancent à pas de félin en jaugeant le terrain, ne voulant pas se mouiller entièrement pour diverses raisons stratégiques. Car en recommandant de passer par les voies officielles, les États-Unis n’ignoraient pas qu’elles sont toutes sous la coupe et le contrôle des hommes au pouvoir et du Président sortant, qui ont pris toutes les précautions pour que rien ne leur échappe. La preuve, Parfait Kolélas qui affectionne le système en place a vu son recours rejeté avec des arguments non convaincants par le Conseil Constitutionnel.
Il a cru bon pour les bombardements du Pool de passer par l’Assemblée nationale en demandant une enquête parlementaire, on l’a envoyé baladé comme un malpropre. Cela indique que la loi est appliquée de façon sélective au Congo. Ainsi fonctionne les institutions de « l’émirat-république ». C’est la même atmosphère et la même attitude qui avait prévalu lors de la révision constitutionnelle en Octobre 2015, finalement entré en vigueur. L’Union européenne a pris une décision plus ferme depuis le début, mais rien n’est fait de concret pour pousser le pouvoir à dévoiler sa vérité des urnes de façon transparente.
Existe-t-il des actions menées dans l’ombre avec l’opposition ? Le pouvoir congolais veut absolument faire passer l’idée que des terroristes auraient attaqué pendant les nuits du 4 et du 5 avril les quartiers sud de Brazzaville. Cela est invraisemblable et paraît utopique. Certes, six commissariats de police, deux postes de contrôle douaniers et l’hôtel de ville ont été incendiés, mais pourquoi nécessairement dans les quartiers sud de Brazzaville ? Pourquoi avant cela, les miliciens du régime avaient entrepris d’envahir tout le pays, en particulier les grandes villes comme Pointe-Noire, Dolisie ou Brazzaville ? Pourquoi avoir créé des milices alors que le pouvoir a déjà l’Armée et la police à sa disposition ?
L’on sait que de nombreux « ninjas » ont fait allégeance au pouvoir. Il est donc très facile de monter avec eux de faux complots si besoin se fait sentir, en particulier pour celui-ci, on parle justement de faux ninjas avec des miliciens du pouvoir, les plus nombreux qui discutaient en lingala. On se souvient qu’au départ pour pouvoir déclencher cette opération « Coller les affaires », les hommes du pouvoir ont d’abord dénoncé un complot qui proviendrait du Gabon avec le Général MOKOKO pour occuper le sud du pays.
En réalité le pouvoir recherchait un mobile pour inventer de toute pièce un état de siège qui lui permettrait de neutraliser tous ses adversaires politiques, afin d’avoir la voie libre. C’est quand une deuxième révision des résultats a placé Parfait Kolélas en tête que le mobile NTUMI a été lancé, puisqu’il avait soutenu ce candidat à l’élection présidentielle, alors que le pouvoir s’attendait à ce qu’il prenne position pour leur candidat ou se taise, compte tenu de sa position de pacificateur. NTUMI n’était allé qu’une seule fois au meeting de Parfait Kolélas, mais c’était suffisant pour créer l’animosité et l’envi de vengeance. Les premiers « terroristes » présentés par le pouvoir sont des débiles mentaux connus de la plupart des habitants de Bacongo.
La répression contre les citoyens est sévère dans le sud du pays, surtout dans le Pool et notamment dans le fief de NTUMI. Le 5 avril, juste après l’attaque perpétrée dans les quartiers sud de Brazzaville, les militaires et miliciens du pouvoir ont foncé droit dans la région du Pool, située dans le sud du pays, en ciblant des endroits précis, en particulier les endroits où NTUMI était susceptible de s’y trouver, afin de l’abattre.
Cependant, celui-ci n’y était pas et ce sont les populations civiles qui ont été copieusement bombardées et arrosées de munitions. Les sources de l’opposition parlaient déjà de 600 morts et plus de 2000 déplacés dans les jours qui ont suivi. Les morts continuent et les tueries se déroulent à huis clos, sans espoir pour les populations de justifier qu’elles ne sont pas des ninjas, même si celles-ci n’ont pas d’armes. Le Pasteur NTUMI dans un message sur Facebook annonce que le matin du 02 mai, des vieillards auraient été enterrés vivants par les troupes gouvernementales. Serait-ce pour des raisons de cultes mystiques? Celui-ci dit ne pas connaître les raisons qui auraient motivé ce forfait.
Les organisations humanitaires indépendantes sont empêchées d’établir un couloir humanitaire. D’autres sources signalent également des tués par balles à Pointe-Noire, une ville pourtant très éloignée du champ de bataille, mais heureusement en nombre plus restreint, sans commune mesure pour l’instant avec ce qui se passe dans le Pool. Des décès multiples sont signalés ici et là, notamment dans les localités situées dans le Pool ou proches du Pool.
Dans cette lutte féroce que le pouvoir mène contre NTUMI, celui-ci a réussi à reconstituer ses anciennes milices et à former ce qu’il appelle, les « Forces Armées Républicaines pour L’alternance au Congo » (FARLC). Ces forces donnent du fil à retordre aux troupes gouvernementales qui subissent sur le terrain de nombreux échecs et pertes face à un ennemi furtif et très mobile. Le Pasteur NTUMI explique que ce n’est pas le pouvoir qui l’intéresse, mais plutôt la mise en place d’un État de droit et la reconnaissance des résultats des vrais vainqueurs à l’élection présidentielle. Il ne s’est pas présenté lui-même à cette élection. Il ne s’agirait donc pas pour lui d’évincer les MBOCHI du pouvoir, mais de dénoncer et se révolter contre la fraude électorale massive.
S’il s’agissait de la répression de vrais terroristes, le gouvernement aurait eu raison, mais en l’occurrence, la manière dont les évènements se sont déroulés et enchaînés ressemble fortement à un scénario tourné dans un studio d’Hollywood ou Nollywood. Les droits de l’homme ne sont pas respectés comme il se devrait au Congo. Il est difficile de produire toutes les preuves émanant du champ de bataille, puisque le gouvernement a instauré dès le début un black-out informationnel et a empêché que des initiatives soient menées pour instaurer un couloir humanitaire, même par les organisations humanitaires congolaises. Sont-elles toutes des agents étrangers ? Si oui pourquoi alors les avoir accepté ou toléré jusque-là et à quand les organisations nationales neutres ?
Il n’est donc pas crédible de la part du gouvernement de réclamer des preuves justificatives, alors que sa soldatesque et ses miliciens sont sur les lieux du crime pour les camoufler ou les faire disparaître. Certes des organisations comme Amnesty International en certaines circonstances, ont souvent été sélectives dans les condamnations des crimes commis et ont démontré qu’elles servaient les intérêts de parties puissantes et qu’elles ne pointaient pas suffisamment les crimes commis par les États-Unis et leurs amis. Dans le cas d’espèce, des témoins oculaires et des images prises furtivement par des congolais sur place montrent que les forces de sécurité qui agissent sur place, commettent des crimes à huis clos.
Il existe des vidéos où l’on voit un certain nombre de personnes civiles bien vivantes dans la zone de NTUMI avant les évènements actuels; il faudrait qu’on les retrouve toutes encore en vie au sortir de cette crise. Le gouvernement ou ses soutiens veulent simplement agiter l’épouvantail des BRICS, pour couvrir l’ensemble des méfaits commis, faire diversion et avoir un soutien international sur lequel les autorités pourraient s’appuyer pour faire taire la critique. Elles ont procédé de la même manière pour faire taire l’opposition et la forcer à reconnaître malgré elle les résultats trafiqués.
Le gouvernement agite sa propagande informationnelle et guerrière et attaque les États-Unis et leurs alliés pour les empêcher d’aller plus loin dans les investigations, afin de faire taire définitivement les critiques. Cette affaire ne peut pas être comparée à l’assassinat de Kwame Nkruma, ciblé par la CIA, à laquelle Amnesty International avait été accusée de complicité, ni à celui de Patrice Lumumba, Premier ministre de la République Démocratique du Congo.
Car si le régime avait été honnête en mettant en place les conditions assurant la transparence et la clarté des résultats pour la dernière élection présidentielle, cette crise n’aurait jamais existé. Ce sont les hommes au pouvoir qui ont allumé intentionnellement cette crise et cherchent desormais le moyen d’en sortir par le haut, en étouffant les affaires qu’ils ont créées. Si les autorités avaient été claires en disant ouvertement qu’elles souhaitent pour le Congo un régime dictatorial clanique, il n’y aurait pas eu d’élections, ce serait au peuple d’apprécier cet élément qui lui aurait été proposé. Libre à lui de l’accepter ou de le rejeter.
Or elles proclament partout que le pays aurait adopté la démocratie comme mode de choix des dirigeants et de la gestion des affaires de la cité. Mais en même temps, chaque fois qu’une élection est organisée, la triche, la corruption ou l’achat des consciences sont au rendez-vous. Tout est fait pour que les autres ne puissent jamais gagner. C’est comme si le système a été mis en place pour tout le temps dévoiler le visage des opposants les plus virulents et de leurs partisans, afin de les éliminer physiquement quand l’occasion se présente.
Cette façon de procéder n’a aucun lien avec les conditions en œuvre au Nicaragua, à l’époque de la guerre civile lorsque les États-Unis dirigés par Ronald Reagan se sont notoirement illustrés négativement contre les forces sandinistes, en armant massivement les terroristes des contras.
Il est par contre possible que ce ne soit pas un génocide dans le Pool, mais comment en être sûr, si les autorités ont choisi pendant longtemps de laisser planer le doute ? Pourquoi n’ont-elles pas été ouvertes sur le sujet en permettant à des observateurs neutres de visiter les lieux très souvent ou d’accompagner les troupes dans leurs actions, sachant que ce sujet est très sensible dans le pays, compte tenu des antécédents, notamment avec l’affaire du Beach et le nombre de morts indéterminé pendant les guerres civles précédentes ?
Denis Sassou NGUESSO et son régime ont commis de nombreux crimes dans la gestion du pouvoir, même s’il existe quelques réalisations infra-structurelles à leur actif. Ceci ne justifie pas cela.
Le chef d’État a certes restauré une paix relative dans le pays après plusieurs guerres civiles entre 1993 et 2002. Il a mis en place juste après un régime politique qui s’appuie exclusivement sur son ethnie, son clan et une cour acquise, ayant les mêmes intérêts occultes à défendre. Ceux-ci occupent tous les meilleurs postes de l’administration et les structures étatiques et ont confisqué toutes les richesses et ressources du pays, laissant l’ensemble des populations dans le dénuement, la pauvreté et le désœuvrement total, surtout ceux du sud du pays. La gestion des affaires de la cité a été très chaotique, très malsaine et privatisée. Des crimes économiques immenses sont dénoncés très souvent.
La seule croissance économique attribuée à l’actif des dirigeants, était due aux bons résultats engendrés par la hausse de la production pétrolière et des prix du pétrole, pendant une certaine période faste. Si l’on exclut le pétrole et autres ressources naturelles comme le bois ou le fer, la croissance est inexistante sinon insignifiante, d’où une impossibilité chronique à créer des emplois ou des activités nouvelles, qui auraient pu être de sources nouvelles d’entrées des revenus et de devises. Au contraire des investissements mafieux ont été réalisés en dehors du pays au profit de la caste dirigeante et leurs alliés internes et externes.
Quelques projets économiques ont été réalisés, comme le barrage d’Imboulou, la modernisation de l’aéroport de Maya-Maya réalisée par l’entreprise chinoise Weihei International, Economic and Technical Cooperative Co. Ltd. L’aéroport Augustino Neto est en cours de réhabilitation. La compagnie aérienne ECAIR est aussi une des réalisations du régime. Tous ces projets avaient pour objectif de préparer les bases de l’industrialisation du pays, afin de le porter au rang des pays émergents en 2025 selon les dirigeants. Mais les nombreux détournements de fonds, de ressources et de richesses ont rendu cette initiative caduque.
Car il faut être débile pour parler de l’émergence dans tous les domaines avec les conditions environnementales, le mode de gestion et l’instabilité politique actuelles. De plus tous les congolais n’étaient pas associés à la réalisation de ces projets. Seuls quelques individus profitaient des retombées positives. Certains projets ont été des éléphants blancs, car mal pensés et mal définis à la base. Quelles stratégies politiques pour la maîtrise nationale des connaissances, des technologies et des métiers ont été initiées derrière chaque projet ?
Le pays compte sur d’autres projets à réaliser dans les prochains mois, notamment avec l’aide de la Russie pour construire un oléoduc entre Pointe-Noire, Brazzaville et Oyo, ainsi que deux grands barrages hydroélectriques à Sounda et à Cholet, toujours avec la Russie. La zone de Sounda, est isolée au milieu de la forêt du Mayombe. Des vlocalités centres proches comme Kakamoeka sont très enclavées et difficiles d’accès. La voie fluviale d’accès rapide est peu ou pas équipée en bateaux. C’est une zone abandonnée à elle-même. Sounda est inclus dans la région du Kouilou dont le chef-lieu est Pointe-Noire, la capitale économique, située dans le sud du pays.
Le pays compte construire un nouveau port en eaux profondes à Pointe-Noire, avec comme opérateur principal la China Road and Bridge Corporation (CRBC). Bref un certain nombre de projets sont prévus. Comment ces différents projets vont-ils être financés? L’agence de notation Moody’s qui vient de baisser la note du Congo pour la deuxième fois consécutive passant de « Ba3 » à « B1 », indique que les finances du pays sont dans le rouge, suite à la forte baisse des prix du pétrole qui s’est amorcée à partir de l’été 2014.
Ce qui a motivé cette notation négative, c’est la chute des revenus qui ont baissé de 48 % en 2015, alors que les besoins de financement se sont accrus de 23 %, en dépit d’une réduction drastique des dépenses d’investissement de -52 %. Malgré ses précautions de sagesse, le déficit public devrait s’envoler pour atteindre le niveau de 16 % du PIB en 2016. La dette du pays qui était de 21 % du PIB en 2013, devrait atteindre 54 % en 2016 et l’endettement public, net des reserves fiscales devrait se situer à 41 % du PIB la même année, alors qu’en 2013, cette position était excédentaire de +17 %. C’est dire que les autorités vont devoir batailler durs pour trouver des financements.
Jusque-là, les initiatives prises n’ont pas permis de diffuser les fruits de la croissance au sein de la population de façon équitable, ni de réduire le taux de pauvreté élevé ou encore de créer massivement des emplois pour sortir la majorité de la population du désœuvrement, en les mettant au travail. Pointe-Noire la capitale économique qui produit l’essentiel des hydrocarbures du pays n’a pas d’Université et la ville est insalubre, alors qu’OYO, l’ancien village du président a été embelli, bien bâti et est bien entretenu, surtout aux abords de la résidence présidentielle. Il existe même des hôtels au bord de l’Alima inoccupés ou insuffisamment rempli pour être rentables.
Denis Sassou NGUESSO revenu au pouvoir à la faveur d’un coup d’État, a géré le pays de 1997 à 2016 avec son clan, et a mis en place une république clanique que nous appelons l’émirat-république, en centrant tout sur le clan, même les recrutements dans la fonction publique. Le système a implanté les bases anti-démocratiques d’une reproduction clanique du pouvoir. Il s’autoproclame démocratique aux yeux de l’opinion publique, alors qu’en réalité il a instauré une dictature déguisée, où les membres sont corrompus à outrance et ne sont pas rappelés à l’ordre ni punis s’ils ont commis des fautes graves. Au contraire celui qui vole le mieux est gratifié, sinon promu à des postes de responsabilité plus prestigieux..
Sans les actes de corruption, de vol, de détournements de fonds, de gabegie ou autres anti-valeurs, le pays aurait pu réaliser plus de projets avec la manne pétrolière, pour le sortir petit-à-petit de l’état de sous-développement dans lequel il est plongé depuis des lustres, enrayer la dépendance absolue envers des acteurs véreux et avoir le contrôle total sur les ressources naturelles.
Le pays a réellement besoin de multiplier et diversifier ses partenaires stratégiques, économiques ou commerciaux, selon la nature des besoins du pays et les compétences de chacun et leur volonté réelle de jouer le jeu de gagnant-gagnant et non pas de gagnant-perdant et perdant-gagnant. Il a aussi besoin de relever le niveau scolaire qui est tombé très bas, par manque d’investissements et de personnel adéquat à plusieurs niveaux.
Il est certes possible que des forces étrangères en Afrique fomentent de nombreux conflits dans l’ombre pour assouvir et sauvegarder leurs intérêts propres et imposer leur domination. Cela est décrit dans de nombreux rapports dont celui d’avril 2012 du Ministère de la Défense français qui vise à empêcher les panafricanistes à se développer et se répandre sur le continent africain. Sachant cela, qu’est-ce que le président Denis Sassou NGUESSO a entrepris de positif pour rassembler autour de lui l’ensemble des populations à l’intérieur et à l’extérieur du pays ?
Rien, malgré les nombreuses alertes et critiques de ses compatriotes. Il s’est placé au contraire sur une position de défi et de personnification clanique du pouvoir. Certes, certains opposants avaient pris des positions radicales, mais en tant que chef d’État, il aurait pu essayer de les convaincre et les rassurer, dans le but de cimenter de l’unité nationale. En se plaçant sur une position de défi contre une partie de la population, le président et le clan ont joué le jeu des prédateurs. Ils ont poussé par égoïsme ceux qui sont opprimés à se jeter dans leurs bras, et pour ces derniers c’est une aubaine inespérée.
N’importe qui à leur place ferait la même chose. A qui finalement la faute ? On a beau crier au lion, mais celui-ci est désormais dans l’étable, surtout si le clan au pouvoir a utilisé les mêmes méthodes et les mêmes armes pour asseoir son pouvoir et le conserver en s’appuyant sur les mêmes prédateurs. Cette situation d’arbitre amuse d’ailleurs ces prédateurs qui se tordent les côtes de rire, dans leurs antichambres.
Si le gouvernement ne voulait pas que les pays étrangers hostiles interviennent dans les affaires politiques, pourquoi par exemple avant de mener les opérations militaires dans le Pool, n’a-t-il pas mis en place un dispositif fiable pour protéger les populations civiles et pourquoi n’a-t-il pas accepté des reporters indépendants pour témoigner et montrer les images reflétant la propreté de leur opération ?
On peut comprendre la réticence par rapport aux initiatives étrangères, mais il est impossible de justifier qu’aucune mesure préventive n’ait été prise pour se protéger soi-même face aux critiques prévisibles.
Si le Président veut un système politique qu’il contrôle absolument en tout temps, alors qu’il le dise ouvertement, pour que chaque congolais sache à qui il a affaire et à quoi il doit s’attendre à chaque instant. Car pour l’élection présidentielle qui s’est déroulée le 20 mars, Denis Sassou NGUESSO n’a pas gagné quoi que soutiennent ses partisans les plus fidèles, nous avons démontré sur ce site l’imposture lors de la publication des premiers résultats officiels pendant la nuit par Jeune Afrique.
Jean de Dieu MOSSINGUE
MIRASTNEWS
» Annie c’est un coup d’état, Annie c’est un coup d’état (Annie née Okomba est son épouse) et vite fait toute la famille s’est planquée pendant 5 jours à Obouya en attendant de voir ».
Alors là, notre Ndenguet n’est qu’un faux dur. Moi qui croyais qu’il était fait d’un autre bois. Les apparences trompent.
Merci pour ce moment de rire, cher Oyessi. En te lisant, j’ai pu visualiser la scène avec ndenguet ne prenant que le nécessaire sans oublier, bien sûr, les passports établis sous des faux noms.
Oh ndenguet, as-tu aussi peur du bruit?
les terroristes doivent etre poursuivi
@ Dieu m’a dit,
« Il va se marier avec une des élèves du collège fille d’un ancien ambassadeur » parlant de Ndenguet.
Je ne sais pas si Ndenguet s’est remarié, mais votre information Ndenguet l’idiot a pour épouse Okomba Annie fille d’ Okomba Faustin,d’éthnie Mbéré, ancien Ministre du travail de Youlou et de mère d’origine étrangère dont le père était venu travailler au CFCO.
C’est pour que vous ayez l’information juste.
Pardon Okomba Faustin était plutôt ngaré mais paralant couramment Mbéré.
Pour l’anecdote, Sassou en a voulu à Okomba pour ne lui avoir pas trouvé une bourse pour aller pousuivre ses études en Europe après son brévet alors qu’Okomba n était que Ministre du travail pendant que Prosper Ngandzion occupait celui de l’enseignement.
Au lieu d’en vouloir à Ngandzion, sassou en a voulu à Okomba dont l’animosité de sassou envers les Mbérés jusqu’à ce jour.
Les jeunes Mbérés doivent le savoir.