Un Français a été expulsé de République du Congo le 9 juillet dernier. Jérémy Filippi est un ancien employé de l’ambassade de France à Brazzaville. Il avait effectué un contrat de Volontaire international en administration (VIA). Entre juin 2011 et juin 2013, il était chargé de la communication et de la politique intérieure pour le compte de l’ambassade. Revenu au Congo mi-juin pour travailler pour une société privée, il s’est finalement fait expulser. Les autorités l’accusent de s’être immiscé dans la politique congolaise.
Durant deux ans, Jérémy Filippi rencontre un grand nombre de politiciens congolais. « C’était l’une de mes missions », dit-il. Le Français, âgé aujourd’hui de 28 ans, mène des entretiens avec quelques représentants de la majorité, mais surtout avec des opposants. « J’en voyais un à deux par semaine. Même si, parfois, j’arrêtais pendant quelques mois. Selon les relations entre Paris et Brazzaville, l’ambassadeur me demandait de lever le pied au besoin », explique l’ancien expatrié.
Avec les opposants, il parle de la situation du pays. Il leur demande leurs avis, leurs projets et leurs stratégies pour l’avenir. « Mon rôle était d’écouter ce qu’ils avaient à dire. Je rédigeais une note et la transmettais directement à l’ambassadeur », indique Jérémy Filippi. Ces rendez-vous se tiennent systématiquement dans un lieu public, le plus souvent à l’institut français, « jamais chez eux ou chez moi, justement pour ne pas être accusé à tort de conspiration », déclare le jeune homme.
Une mission somme toute classique. « Dans le travail d’une ambassade, il est parfaitement admis de rencontrer des opposants, à condition de ne pas trop en faire état », confie une source diplomatique. « L’ambassadeur ne peut pas les voir directement en tête-à-tête. Cela peut créer des tensions avec les autorités, et bloquer des dossiers. Donc il délègue », explique cette même source. Par contre, l’ambassadeur côtoie officiels et opposants de manière transparente, « dans un cadre plus large, comme des réceptions, etc. Cela permet de ne pas être utilisé par un camp ou l’autre », conclut un diplomate.
Avertissement
Le 13 juin, Jérémy Filippi revient au Congo, cette fois à titre privé. Il doit réaliser un contrat d’un mois avec la société SIP Editions, une entreprise qui se trouve éditer l’agenda de l’ambassade de France.
Un premier avertissement lui est envoyé le 25 juin par un contact à l’ambassade. Un message l’informant avec inquiétude que le secrétaire général du Conseil National de Sécurité (CNS), Jean-Dominique Okemba, exige qu’il quitte le pays, à cause de « contacts subversifs avec les membres de l’opposition ».
Le conseiller spécial du président Sassou-Nguesso aurait averti l’ambassadeur de France. Il aurait aussi chargé de l’affaire le colonel Elie Atipo-Etou, directeur des Affaires intérieures de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST).
L’expatrié est alors convoqué pour le 1er juillet à la DGST. Il se rend au rendez-vous, où il est interrogé par l’officier et un de ses adjoints. « Ils n’étaient pas menaçants, mais le ton était froid et ferme », se rappelle Jérémy Filippi. Ce dernier affirme avoir été questionné sur les raisons de son retour au Congo. La nature de son nouveau travail.
Puis on lui aurait demandé des précisions sur son ancien emploi à l’ambassade. Pourquoi il avait rencontré des opposants, s’il avait par exemple eu des entretiens avec Mathias Dzon (NDLR : président du parti ARD), et s’il avait de nouveau contacté des opposants lors de son séjour actuel. Jérémy Filippi signe un procès-verbal, et l’affaire en reste là. Pour l’instant.
Ton menaçant
Le 4 juillet, la DGST le convoque de nouveau. « Cette fois le ton était plus menaçant », indique le jeune homme. Le colonel Atipo-Etou lui indique que sa hiérarchie demande son départ. « Pour seul motif, il m’a donné le fait que j’avais rencontré des opposants. J’ai demandé en quoi était-ce un problème? Il m’a répondu que si je voulais que ça se passe bien, il fallait que je parte », se souvient l’ancien expatrié.
Son contact à l’ambassade lui conseille également de plier bagage, vu « l’imprévisibilité des forces de l’ordre congolaises ».
Mais le Français n’en fait rien. « Je refusais de céder. Je voulais qu’ils aillent au bout de leur logique », explique Jérémy Filippi. Le week-end passe. Lundi 7 juillet, la DGST le convoque pour le lendemain. Le Français prévient cette fois son ambassade.
Le 8 juillet, il arrive devant le colonel Atipo-Etou à 8h30, lui dit qu’il estime n’avoir rien fait d’illégal et que s’il était expulsé, il fallait lui notifier officiellement. « Il m’a répondu -d’accord, vous ne voulez pas partir, je vous place en garde à vue et on vous expulse », raconte le jeune homme.
Il est alors placé en cellule à la DGST, avec 7 autres détenus. « Certains m’ont dit être là depuis des mois, voire des années, dans l’attente d’un procès », détaille Jérémy Filippi. Prévenue, l’ambassade lui apporte des vivres. Il passe la nuit en détention et le lendemain soir, la police l’escorte jusqu’à l’aéroport et le met dans un avion pour Paris.
Amertume
« Je suis choqué, mais pas surpris quant on connaît la nature du régime congolais. On ne me reproche pas d’avoir appuyé, encouragé et encore moins financé des opposants. On me reproche simplement d’avoir discuté avec eux, de les avoir rencontrés. Le Congo veut donner l’impression qu’il est un Etat de droit, mais sur les questions politiques, le régime est encore très tendu, et limite paranoïaque. Comme si moi, petit volontaire international j’étais capable d’exciter qui que ce soit pour renverser le régime. Je trouve ça hallucinant », réagit le Français, qui demande à Paris de prendre ses responsabilités.
Selon lui, le ministère des Affaires étrangères doit protester officiellement. « On ne peut pas demander à des agents de s’investir dans un pays sensible comme le Congo si ces mêmes agents risquent demain d’être arrêtés, intimidés ou expulsés au seul motif qu’ils font le travail demandé ».
Interrogée, l’ambassade de France à Brazzaville renvoie la balle au Quai d’Orsay, qui lui n’est pas très bavard sur cette affaire. « Son expulsion n’a aucun lien avec notre ambassade. C’est un problème d’ordre privé. Ce que les autorités du Congo lui reprochent c’est une affaire de justice et nous n’avons pas à nous en mêler », indique un officiel du ministère. Il n’en dira pas plus.
Silence radio
D’autres sources diplomatiques étrangères, au courant de l’affaire, ont aussi du mal à y voir clair. « Les autorités nous ont opposé un silence radio. Nous n’avons rien pu savoir à part que sa présence était indésirable. Brazzaville a décidé que c’était son choix souverain », indique un diplomate européen, avant d’ajouter une hypothèse : « Le pays est dans un contexte spécial, avec la perspective d’élections. Il y a une certaine crispation concernant tout ce qui va à l’encontre du pouvoir ».
Un autre contact diplomatique étranger ajoute que ce genre d’expulsion est rare : « C’est peut-être une mauvaise interprétation du nouveau travail qu’il venait faire au Congo. Peut-être un excès de zèle. Peut-être un peu de paranoïa. On peine à comprendre ».
Joint par téléphone, le colonel Atipo-Etou a refusé de répondre aux questions. Interrogé sur l’affaire, l’officier s’est aussitôt mis en colère, affirmant que les médias ne parlaient jamais des Congolais expulsés de France, avant de mettre brutalement fin à la conversation.
Le porte-parole du gouvernement a lui accepté de s’exprimer sur le sujet. Selon Bienvenu Okiemy, également ministre de la Communication, « il lui est reproché d’avoir développé une intelligence, visant à dresser les Congolais les uns contre les autres. Il lui est reproché aussi de s’être immiscé, sans aucun titre, dans la vie politique de notre pays. En somme, ce monsieur a développé des activités qui étaient tout sauf commerciales. Et il aura foulé au pied le droit congolais. »
Ce serait donc son retour à Brazzaville le mois dernier, et l’activité qu’il aurait exercé dans le pays depuis cette date, qui poserait problème. Mais le ministre ne donnera pas plus de détails. En tout cas Jérémy Filippi lui tombe des nues. « Je ne comprends pas. Je ne vois pas ce qu’on me reproche. Je n’ai même pas rencontré d’opposants depuis mon retour ».
Prison la prochaine fois
Interrogé sur ce qu’il entendait par « intelligence » et avec qui, Bienvenu Okiemy répond : « Quand nous parlons d’intelligence, il y a certainement eu collusion. Mais nous nous en sommes arrêtés à une mesure administrative d’expulsion. S’il y avait eu une instruction d’engagée, on aurait peut-être aujourd’hui les résultats, s’il sagissait d’une intelligence à titre personnel ou à titre collectif. Quoiqu’il en soit, à la lumière de nos relations avec la France, nous avons décidé de l’expulser mais de ne pas engager de procédure pénale ».
Au passage, le ministre lance un ultime avertissement : « La République du Congo n’est pas une terre d’aventure. A l’avenir, de tels comportements se solderont bien par une sanction pénale, avec la possibilité d’effectuer un séjour en prison, si le juge congolais l’estime nécessaire ».
Jérémy Filippi explique la position de Brazzaville par le fait qu’il « est difficile pour un régime d’expliquer des expulsions prises pour des raisons politiques ». Il n’est par ailleurs pas surpris que l’ambassade n’ait pas pu empêcher son expulsion. « L’ordre est venu de très haut », dit-il. Quant à l’explication du Quai d’Orsay, il se dit déçu : « Le ministère a une position de prudence extrême. Il doit avoir le courage de protester ».
Le noyau est pourri du quai d’Orsay à mpila, si le Peuple Congolais ne se révolte pas, il est mal barré jusqu’à l’éternité par ce groupe mboshidemerde.
Seul un dictateur qui usurpe la présidence après avoir massacré son peuple pour revenir au pouvoir en 1997 car ce peuple a eu le courage de lui dire BASTA en 1992, peut se méfier autant de son opposition.
Il ferait mieux de jouer le jeu démocratique chez lui plutôt que de l’imposer à la Centrafrique!!!
Ce qui l’attend risque d’être similaire au sort de saddam hussein et kadafhi.
A bon entendeur…
Ca par contre, ce n’est pas bon pour l’image de notre Pays. A un vainqueur, D.ieu lui prépare aussi son tombeur. A terme nous arriverons au changement de tous ces comportements. Mais ou iront se cacher les gens comme le camarade Okiemy? Il a des problèmes avec le Peuple meurtri, et pire avec sa famille et sa soeur, mais quel genre d’être humain est-il?
Est-ce aussi le Président SASSOU NGUESSO qui les envoie intimider un petit comme Jeremy FILIPPI ?N’y’avait-il pas moyen de le mettre seulement sous filature?
Il est aujourd’hui reconnu que l’Opposition Congolaise n’est pas armez et qu’elle veut arriver a son accession a la chose Publique par le verbe; quoi de plus normal!
Tous les Camps doit doivent convaincre le même Souverain par des méthodes saines. Tous les crimes perpétrés au Congo ne seront pas impunis. Et ceux qui comme Okiemy tiennent des propos identiques a la Radio des mille collines répondront un jour ou qu’ils aillent.
Merci
Monsieur FILIPPI a été un de mes contacts à l’ambassade pendant le procès du 4 mars.
C’était un homme courtois et à aucun moment il n’a émis d’avis sur le fonctionnement de la justice congolaise. Je n’avais des contacts essentiellement que par mail.
Je suis effondré par le comportement du Quai d’Orsay vis à vis de son ancien employé.
Le pouvoir parano ne comprend pas qu’il est possible pour un diplomate de s’enquérir de la situation d’un pays sans pour autant prendre partie.
Pour un avocat étranger c’est plus difficile car il doit affronter le système judiciaire dont nous connaissons tous l’état …
Je constate qu’un citoyen français ne peut plus compter sur son ambassade au Congo alors que dans un état policier cela est indispensable.
J’adresse dans les jours qui suivent une lettre de protestations au ministre des affaires étrangères.
Enfin Monsieur FILIPPI vous pouvez toujours me contacter si vous le désirez.
Bâtonnier Patrick Delbar
Monsieur Filippi, vous en dites trop et pas assez. Ce n’est pas ainsi que vous allez rendre service aux populations dont les souffrances vécues ne vous ont pas échappées dans votre mission d’espionnage. A votre place (étant donné que vous n’êtes plus tenu par le devoir de réserve) à votre place j’écrirai un livre genre « Affaires africaines » de Pierre Péan où » Noir silence » de François Verschave. C’est le meilleur service que vous pouvez vous rendre.
Denis Sassou Nguesso prépare et avance pas à pas vers la fin de son régime à la Kaddafi…,
A force de jouer avec les différents feux, cette ordure de sassou finira sa vie par une mort violente…
Depuis quand l’ambassade du Congo en France envoie t-elle des émissaires pour discuter avec des opposants français ?
Afrique dominique de mossaka a écrit sur zenga mambu le 23/07/2014 à 10h22
En visite officielle à kinshasa, sassou nguesso ne s’est pas ofusqué de recevoir les opposants de kabila.
D’ailleurs, qui ne sait pas que c’est lui qui entretient l’opposition de la RDC?
Qui ne sait pas qu’il a financé l’opposition gabonaise contre ali ondimba?
Qui ne sait pas que c’est lui qui a déstabilisé et chassé ange patassé du pouvoir à bangui?
Qui ne sait pas que c’est celui qui a conspiré contre françois bozizé en centrafrique?
Qui ignore ses relations avec jonas savimbi en Angola, pendant qu’il prétexte être l’ami de dos santos?
Cet homme est dangereux, il doit partir en 2016.
Sassou Nguesso croit à tord d’être maitre de tout, de maitriser la France qui l’a pourtant installé au pouvoir tyrannique après un coup d’état sanglant du 5 juin à octobre 1997.
Oui, la France a encore une influence au Congo et/ou dans ses ex-colonies.
Oui, le temps presse vers 2016, la France est désormais lancé dans un jeu d’équilibriste entre « éjecter Sassou Nguesso » et « réinstaurer la démocratie au Congo ».
La France sait tout de Sassou Nguesso et voit tout du Congo – oui, ce n’est plus l’affaire de comment chasser sassou du pouvoir, mais de quand? en fin 2014, courant 2015 ou juste en 2016?
Aux yeux de la France, tous ceux et toutes celles qui, des congolais manifestent le désir du changement, la France le sait que le temps de survie du régime est désormais compté.
C’est les raisons pour lesquelles le régime manifeste ses derniers temps un climat de paranoïa tyrannique envers tous ceux qui bougent contre le régime.
Oui, le temps presse vers 2016, la France est désormais lancé dans un jeu d’équilibriste entre « éjecter Sassou Nguesso » et « réinstaurer la démocratie au Congo ».
La France ne peut accepter la scission du Congo avec cause de la tyrannie politique d’un homme, denis sassou Nguesso.
La France ne compromettre ses intérêts vitaux actuels et à venir au Congo et dans la sous- région en misant sur le statuquo ou sur la survie d’un tyran à bout de souffle. Pas question !!!
Les services y travaillent….
Sassou Nguesso est fichu est 2016 ou avant…
Alors peuple congolais, résistants, nous allons maitres bientôt cet homme hors d’état de nuire à tout le monde qu’il soit citoyen, organisation, entreprise, état et puis… la délivrance…
A suivre…
J’adore cette photo en illustration de l’article.
Sassou NGuesso est à l’honneur, il rayonne de bonheur. Fabius fait la gueule ! Serrer la main d’un dictateur laisse des traces. De plus, il sait bien que le bonhomme poignarde dans le dos. Sa crainte ne sera pas trahie ; peu de temps après Sassou le traître s’en prendra au fiston Thomas.
Mais qu’est-ce qu’ils attendent tous pour se débarrasser de ce parasite ?
Ne vous inquiétez pas monsieur Okiemy finira comme monsieur Botseke dans la poubelle de l’histoire.on envoie ces gens tous les 35ans .monsieur (nba yambi ma sassi) il ou en ce moment li les a rejoint maintenant.merci a bientôt Bissi kongo
Tout un article pour un Français qui se fait expulser du Congo ? Le Congo est-il un paradis pour que l’on pût se plaindre de s’en faire expulser ? Pour les Français expatriés peut-être, mais pas pour les Congolais…
Il vous faut savoir que lorsque l’on occupe un poste tel que celui que cet homme occupait au sein de l’Ambassade de France, il y a de fortes chances d’être un agent au service de la DGSE (Direction générale de la Sécurité extérieure).
Travailler pour les intérêts de leur pays selon les directives données par leur hiérarchie est la mission des employé(e)s d’une ambassade.
Lier des liens avec des personnalités de «l’opposition» est une mission assez classique pour des services de renseignement. Cela permet d’identifier parmi ces personnes celles et ceux qui se sentent «proche» ou non de la France afin de «favoriser» les uns et de «neutraliser» les autres si un changement au sein du pouvoir actuel devait survenir; ou de préparer et de précipiter ce changement et de «placer» des pions qui préserveront les intérêts de l’oligarchie occidentale qui contrôle l’exploitation des richesses du pays à travers le relais de la France.
Dans tout cela il n’y a rien de nouveau. On le sait ou on ne le sait pas.
Le silence des autorités françaises est simple à expliquer. On ne fait pas de bruit quand un agent en mission de la DGSE se fait attraper. Et puis, le frère Sassou Nguesso a toujours été un serviteur et un laquais fidèle des intérêts de l’oligarchie occidentale dominante. On ne va pas l’embarrasser avec cela. Pas pour le moment en tout cas… Si Sassou Nguesso avait été un nationaliste et un patriote congolais servant strictement les intérêts du pays et du peuple, sachez que cette «affaire» aurait été relayée dans les médias français d’une autre manière…
LEONIDAS
Hier en Ukraine , ce sont des militaires formés à la soviétique qui ont abattu un avion civil avec les conséquences dramatiques due l’on sait.
aujourd’hui, c’est la police et l’armée formée dans les écuries soviétiques , Ils sont brutaux , et font règner la terreur au congo.
Ces formations soviétiques sont dépassées.
Nous vivons une époque formidable!!!!….Mais le président SASSOU NGUESSO devrait commencer…normalement… à mal dormir…
Monsieur le ministre Laurent FABIUS….combien ? dans votre valise….
La constitution du 20 janvier 2002 du Congo n’a jamais été ni appliquée et encore moins respectée dans ses principes et les libertés fondamentales du citoyen.
Mais vouloir modifier ou changer quelque chose qui n’a pas été appliqué – c’est un non sens ou un contre sens des fondamentaux de règles du droit et des institutions.
Dans ce cas le régime politique de Denis Sassou Nguesso et ses perroquets du droit de la tyrannie sont donc illégitime.
La constitution du 20 janvier 2002 va être pour la première fois appliqué et respecté en 2016. Aux perroquets du droit de la dictature, arrêtez de divertir le peuple avec les principes de droit à la con et avec des institutions fictives.
La liste des perroquets du droit travaillant pour le compte exclusif du tyran Denis Sassou Nguesso du Congo Brazzaville est très longue. On peut citer un certain Bienvenue Okiemy, juriste de formation discutable et perroquet au métier de coup d’état constitutionnel – Thierry Moungalla, juriste de formation juteuse et perroquet au métier de coup d’état institutionnel – Pierre Mabiala, juriste de formation de merde et perroquet au métier de coup d’état à travers des institutions fictives.
La liste est longue…..