SI TU AIMES TON PAYS, AIME LE DIALOGUE.

Dieudonné Antoine GANGA

Par Dieudonné ANTOINE-GANGA

Notre beau et cher pays, le Congo, est malade ou sous perfusion, comme disent certains compatriotes. « La profondeur de la déchirure du tissu national congolais encore en construction, l’importance des destructions, tant sur le plan humain que matériel, et la gravité des traumatismes, rendent incontournable le recours au dialogue pour panser les blessures physiques et spirituelles, restaurer la sécurité, reconstruire l’unité nationale qui n’existe plus, créer un climat apaisé et surtout, permettre aux Congolais de sortir de l’emprise de nos origines ethniques et régionales avant d’arriver à la nation, de réapprendre à vivre de nouveau ensemble comme avant et après l’indépendance, dans l’acceptation de leur enrichissante diversité culturelle, politique et religieuse » comme me l’a toujours affirmé un aîné.

De son côté, l’Abbé Louis Badila, dans un éditorial « Si tu aimes ton pays, aime le dialogue » paru dans le journal ‘’ La Semaine Africaine’’ N° 624 du 16 Aout 1964 écrivit : « Dans son livre ‘’Les nations prolétaires’’, Pierre Moussa qui demande que s’instaure entre les nations un dialogue constructif, écrit cette phrase combien révélatrice de la mentalité des Bourgeois, des jouisseurs, des parvenus qui ne pensent qu’à eux, fuient tout contact : ‘’L’Olympe existe, et nous y sommes. Les dieux et les demi-dieux ont tous les vices des hommes. Seulement, ils mangent et boivent de très bonnes choses et rien ne leur est refusé de la douceur de la vie. Les hommes proprement dits, c’est-à-dire la majorité écrasante des êtres qui peuplent notre planète, attendent une grande part de leur bonheur possible du bon vouloir de ces dieux et demi-dieux qui pensent surtout aux querelles qui les opposent entre eux, et comme dans l’Illiade, entrainent les hommes dans leurs camps respectifs. Mais peut-être l’Olympe comprendra-t-il un jour que construire le bonheur de l’humanité est une tâche suffisamment exaltante pour justifier à elle seule la réconciliation des dieux ». 

Il se pose ici le problème non pas de la réconciliation des dieux, mais des hommes entre eux.

Si on veut procéder à la mise en ordre de la maison, il importe que le père, la mère et les enfants s’entendent. Qu’ils se mettent d’accord. Qu’ils cherchent à se réconcilier, s’ils sont en désaccord. Car ce n’est que d’un dialogue franc, constructif que procède le bonheur de toute la maison, le bonheur aussi bien du père que de la mère et des enfants.

Ainsi, une nation ne peut croître, grandir, si elle refuse de croire au dialogue. Car qu’est-ce qu’une nation ? En termes chiffrés nous dirons que c’est Pierre + Joseph + Madeleine + Paul + Thérèse + Anne, etc… Une nation, c’est le grand + le petit ; c’est le riche + le pauvre ; c’est également le fort + le faible ; le chef + le subordonné, le croyant + l’incroyant.

Ce sont tous les hommes qui ont pris conscience de leur sous-développement ou de leur richesse, de leurs misères, de leurs soucis. Ce sont tous les hommes qui, d’un commun accord, ont accordé avec lucidité, mais librement, une revalorisation raisonnable de leurs structures, ou admis des modifications ici, des soustractions là, des ajouts par-ci, par là.

Une nation c’est, en somme pour reprendre l’image qui nous est familière, le grand arbre à l’ombre duquel s’amorcent les palabres, où chacun va affronter ses idées à celles d’un autre, dans le but de déboucher sur ce qui peut aider à l’épanouissement même de la personnalité du peuple et de chaque membre de la société.

C’est pourquoi nous avons toujours préconisé qu’entre diverses tendances apparemment opposées et destinées à se détruire, s’établisse, dans le courage et dans la loyauté, le colloque. Et pourquoi pas ? Qu’y a-t-il de mal, de peccamineux à s’entretenir, voire à discuter avec celui qui pense autrement ?

La première lettre encyclique de Paul VI parle avec bonheur de la volonté de l’Eglise de dialoguer avec n’importe qui. Notre temps, notre monde, posent des problèmes graves et urgents. Un seul homme ne peut pas les résoudre. Mais si tous les hommes qui forment une communauté savent s’asseoir pour discuter ensemble, pour affronter d’un commun accord tous ces problèmes graves et urgents que posent notre temps et notre société, la solution espérée, la solution recherchée ne tardera pas à naître.

On n’a jamais compris pourquoi nous sommes faits corps et âme pour le dialogue. Puis-je le dire en un mot ? Le dialogue nous permet de faire l’inventaire des virtualités, des possibilités, des moyens d’efficacités que « celui qui pense autrement » est prêt à mettre à contribution pour l’édification nationale. Notre salut est dans le dialogue.  Louis Badila ».

Cet éditorial d’il y a 57 ans m’a interpelé. J’ai voulu vous le faire partager, en ce moment où beaucoup de nos compatriotes souhaiteraient qu’il se tienne entre nous un dialogue inclusif pour mettre fin à la situation délétère qui prévaut dans notre pays. Jusques à quand continuerons-nous à faire la politique de l’autruche ?

Aujourd’hui comment l’ont écrit en juillet 1968, il y a 53 ans, dans une lettre ouverte au Président Alphonse Massamba-Débat, messieurs Pascal Lissouba, Henri Lopès, Edouard Sathoud et Jean-Pierre Thystère Tchicaya «la région et la tribu constituent à l’heure actuelle au Congo, deux réalités objectives qu’il serait souhaitable de prendre en considération. Nous, citoyens de ce pays, nous sommes, malgré nous, prisonniers de nos origines ethniques et régionales. » Nous l’avons encore vécu, lors de la nomination du premier Ministre Anatole Collinet Makosso et des ministres. Le Premier Ministre et les ministres, étaient présentés avec liesse, par les fils et filles originaires de leurs départements respectifs, non pas comme le Premier Ministre et les ministres de la République, mais comme ceux de leurs départements. Pourtant, l’engagement politique est et demeure au service du bien commun.

Si tu aimes ton pays, aime le dialogue. « Aussi longtemps qu’un parti s’inscrit dans un Etat de droit, il peut manifester son désaccord, mais pas refuser de discuter. Une démocratie est faite d’opinions divergentes, mais elle a besoin de dialogue, de solutions et de compromis. Sinon, elle s’éteint. Non, on ne peut pas à la fois se poser en défenseur de l’unité, de la paix d’un pays et refuser tout dialogue ou compromis avec ceux qui ne pensent pas comme vous ou ne parlent pas votre langue. » dixit Bernard Demonty.

D’autre part, « les rencontres face à face constituent le meilleur moyen de rechercher les points de contact, de rapprocher les positions concernant des affaires concrètes. Dans ce cas, il est nécessaire non seulement de savoir parler mais aussi celui d’écouter. Et pas seulement d’écouter mais de se comprendre, de rechercher en commun des solutions aux problèmes extrêmement complexes de notre temps. » dixit Gorbatchev.

Si tu aimes ton pays, aime le dialogue. Une société plus juste et plus humaine s’impose au Congo. Tout homme politique ou tout citoyen quel qu’il soit, doit en être pleinement conscient.

Ne pensons-nous pas qu’il soit le temps de construire et de guérir ensemble notre pays qui traverse en ce moment des jours et des nuits d’angoisse ? Pour tout citoyen conscient donnant de surcroît la priorité au Congo, l’alternative est claire : il s’agit de prendre position pour ou contre le désordre et l’anarchie qui remettraient en cause les acquis de notre nation encore fragile et emporteraient encore dans la tourmente, la population qui se remet à peine de ses blessures, de ses morts et ses traumatismes et qui feraient du Congo un pays exsangue où la violence risquerait d’avoir droit de cité, où l’on « risquerait d’enjamber d’autres cadavres pour arriver à la démocratie et à la paix. » dixit le président Denis Sassou-Nguesso.

Enfin j’aime mon pays et le dialogue dont pourront sortir des solutions aux problèmes sociaux, culturels et sanitaires que connaît actuellement notre pays. Aimons-nous notre pays et aimons-nous le dialogue ? Pensons donc aux générations futures. Comme l’avait bien dit l’Abbé Badila, « notre salut est dans le dialogue. » J’ai dit.

Dieudonné ANTOINE-GANGA

Ancien Ministre des Affaires étrangères du Congo-Brazzaville (1992)

Diffusé le 08 novembre 2021, par www.congo-liberty.org

Ce contenu a été publié dans Les articles. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

29 réponses à SI TU AIMES TON PAYS, AIME LE DIALOGUE.

  1. Samba dia Moupata dit :

    Merci beaucoup ya DIAG. Aujourd’hui avec deux lignes d’écriture d’un homme ,on peut faire le procès du plus innocent ,sous la barbarie Mbochi . En 1964 c’était le président Massamba Débat nous étions dans la lumière, l’abée Badila pouvait encore exprimer . Mais depuis Juillet 1968 l’arrivée de Ngouabi avec son discipline Sassou Dénis , le pays est passé des assassinats politiques au génocide des kongos qui perdure aujourd’hui .

  2. Samuel Noko dit :

    Premierement je dois vous dire que ceux vous appelez demi-dieux, c`est un grand risque dangereux et des grand menteurs de ce monde vous ne devrez plus suivre.

    Lorsque nous parlons du dialogue de famille, que ça soit papa, maman, grand frère, grande soeur, petit frère et petite soeur, sont tous des humains et habitants de la nation qui doivent accepter la solution positive dans sa pure vérité pour atteindre le but comme solution pour le bien-vivre de chaque personne de la nation.

    Jesus-Christ le sauveur de toute l`humanité avait aussi une famille personnelle, mais pour résoudre le problème lequel son père céleste l`avait confié comme mission dans notre planète tèrre, Jesus-Christ avait dit ceci:

    Je cite:

    Pendant que Jesus parlait encore à la foule, voici que sa mère et ses frères se tenaient dehors, cherchant à lui parler. Quelqu’un vint lui dire: Ta mère et tes frères sont là. Ils cherchent à te parler. Mais Jesus lui répondit: Qui est ma mère ? Qui sont mes frères ? Puis, dèsignant ses disciples d`un geste de la main, il ajouta: Ma mère et mes frères, les voici. Car celui qui fait la volonté de mon père céleste, celui-là est pour moi un frère, une soeur, une mère.

    Fin de citation

    La politique pour le bien de toute la nation inclus chaque voix adulte personnelle dans la société et chaque voix personnelle à des different besoins matériaux et spirituel. Notre parti politique DNK/Bantu obtient la solution pour résoudre les besoins matériaux et spirituel dans notre nation. Nous sommes la 100% solution pour faire sortir le Congo Brazzaville de cette catastrophe qui détruit toute la nation.

    Nous avons des programmes académique nous allons mettre en pratique au Congo comme la contribution sur le dialogue concernant ce qui est la solution positive pour le bien vivre de toute la nation. Parce que nous sommes le genre d`enseignant qui apporte la théorie et visualise en même temps à ses élèves la pratique nécessaire pour résoudre le problème. Nous parlons du recherche scientifique nous maitrisons déjà pour prouver à chaque individu de la nation Congolaise que les résultats de ce processus est la solution la nation à besoin, car cette même solution ce fait pratiquer dans les premiers pays developper dans le monde entier.

    Nos solutions c`est comme de l`eau potable à boire pour celui qui à soif et la lumière intellectuelle et électrique à donner à celui qui est souvent dans l`obscurité.

    Comment faut-il résoudre le problème du Congo ?
    Conduire plusieurs personnes à un endroit ils ou elles n`ont jamais été, c`est la personne qui connait l`endroit en question qui doit être le guide pour les amèner sur le chemin exact et atteindre le but, ainsi le problème de leur inconscience pour localiser le but sera résolu.

    Le dialogue.

    Combien des dialogues et concertations ont eu lieu au Congo Brazzaville sous le régime de Denis Sassou Nguesso ? C`est tellement nombreux que ça devient trop ridicule à laisser Denis Sassou Nguesso et son gouvernement à décider le programme pour le dialogue sur comment résoudre le problématique qui conduit à la crise économique après chaque concertation ou dialogue qui à été diriger par eux.

    40 ans au pouvoir.
    Si la politique d`un parti politique n`a pas encore compris comment satisfaire le besoin de bien vivre de toute la nation pendant une période de 40 ans, ce parti politique doit ceder le relais a ce parti politique qui confirme d`avoir l`accès à la solution positive pour le bien de toute la nation, indépendant de n`importe quelle ethnicitè.

  3. Biabaro Ibalico Marcel dit :

    Dialogue oui pour le bien du pays. Mais pas avec des gens qui ont vendu leurs âmes au diable. L empereur et sa suite sont convaincus que le pays leur appartient et pas à personne d’autre.

  4. VAL DE NANTES : dit :

    YA DIAG@ Comme le dit l’autre . le dialogue est un début de prise de conscience de soi .
    Dans le cas d’un récidiviste comme SASSOU ,multi – braqueur des consensus nationaux ,il est vain d’en reparler . Car il est des moments où les congolais doivent faire preuve de rigorisme dans la conduite des affaires publiques .
    « Le relavement des mains  » comme naguère ,n’a pas abouti à expulser chez les congolais les ressorts psychiques de leurs fondements moraux qui gouvernent leurs êtres .
    L’HOMME CONGOLAIS , NOTAMMENT , le politique est objet de la psychanalyse freudienne ..
    Dans l’inconscient théorisé par FREUD , on y trouve le politique congolais justifiant les trois instances du psychisme humain .
    Le « ça  » de l’homme politique congolais est le maître et du » moi »(conscience ) et du « surmoi » (tribunal ou censeur des délits ) de ça …
    Au vu de cette succincte analyse psychique ,le « moi  » de l’homme politique congolais n’est pas maître de sa propre maison  » .
    Une fois transposées sur le terrain politique congolais , les anti valeurs du ça prennent le dessus et sur le surmoi c’est à dire les interdictions institutionnelles ,sociétales ,etc et sur le » surmoi « (raison congolaise ,c’est à dire la conscience ) …
    En résumé ,la cause de tout réside dans la non maitrise de cette cohabitation de trois instances .
    Le dialogue , au regard de cette anomalie ,parait puéril .

  5. VAL DE NANTES : dit :

    Lorsque je pose la question métaphysique qui commence par « pourquoi  » au sujet du comportement politique de SASSOU , elle me renvoie à son être ,c’est à dire l’être SASSOU ou l’étant au sens de HEIDEGGER .
    Pourquoi se comporte -t’il ainsi au point d’apparaitre comme un monstre politique ?.
    HEIDEGGER répondrait par « l’oubli de l’être « ,d’où l’être de l’Etant .
    Ainsi le CONGO , n’a jamais connu l’être de SASSOU .Autrement dit le Congo connait SASSOU et non son être c’est à dire son essence .
    EXEMPLE ;
    l’essence des yeux c’est la vue . Et si l’essence de SASSOU était de voler et tuer que ferait un dialogue devant son être ?..
    On peut en dire des congolais qui rêvent de diriger le CONGO .
    D’où cette interrogation nationale sur ce personnage dont on n’arrive pas à cerner le sens humain de ses actions politiques .
    Quittons l’explication métaphysique ,pour embrasser celle qui se veut positiviste au sens Comtiste qui commence par « comment « .
    Comment un homme politique comme SASSOU peut détruire financièrement le pays à ce point ?.
    Les scandales financiers sont quotidiens à telle enseigne qu’on en devient fou . ESPAGNE avec le juge MANUEL qui a bloqué des milliards dans les banques espagnoles au nom des Sassou et cie , DES BRAQUAGES opérés au nord du pays sur les villas de ces dignitaires emplies des milliards de cfa et subtilisés par des camerounais , le braquage de la banque postale ,le distributeur DES MILLIONS étourdi LUCIEN EBATA EN FAVEUR DU trésor français ,les paradis fiscaux , MASONO ,nouveau bébé de KIKI POUR CAPTER à vil prix le pétrole congolais ,etc .
    Chers compatriotes ,
    Ces questionnements dérivent de la pensée rationnelle ,car il nous appartient d’y apporter des solutions institutionnelles qui épargneront à notre pays ce genre des folies financières qui ont mis à mal les fondements de notre vivre -ensemble .
    La question COMTISTE (AUGUSTE ) de comment nous enjoint de nous dépasser nous – mêmes pour y répondre par la raison congolaise ou le « noûs « congolais …
    Le défi est radicalement intellectuel et ne peut se comprendre que par l’utilisation des canons scientifiques et non ceux résultant des dialogues futiles .

  6. VAL DE NANTES : Les MATHS au lieu des dialogues puérils . dit :

    Je reviens sur l’importance des maths dans un pays sous développé comme le notre .
    Que dit philippe JUVIN ,candidat LR ,au cours de leur présentation des programmes politiques  » la recherche industrielle est conditionnée par la maitrise des sciences pures depuis la maternelle « . Fermez le ban.
    Eh oui , n’ai- je pas cogné dessus sur ce site depuis près de deux mois .?
    Le retard technologique ne s’obtient pas en formant des scientifiques sans contenu .Les petits cerveaux congolais doivent se familiariser avec les maths dés la maternelle . C’est un processus scientifique qui s’empare de l’existence intellectuelle de l’enfant jusqu’au soir de son adolescence .
    L’industrie dépend des sciences et son appropriation se fait très tôt ,d’où notre souci ,post Sassou , de mettre l’accent sur la vulgarisation des êtres mathématiques pour un CONGO industriel …ATTENTION SI NOUS RATONS ce train mathématique , les Rdcéens vont racheter le CONGO …
    Je préfère dialoguer sur les mathématiques plutôt que de faire entendre raison à des assassins politiques . Voilà le bon sens cartésien .

  7. Pascal Malanda dit :

    Cher Dieudonné ANTOINE-GANGA

    Bienvenu dans le camp de l’inclusion.

    Soyons nombreux à privilégier le dialogue. Un peuple civilisé dialogue pour éviter la destruction. Un peuple barbare essaie de dialoguer après avoir tout détruit.
    Au Congo, 95% de la population croient que la solution aux problèmes sociopolitiques est militaire. C’est une tragédie.

  8. Anonyme dit :

    Triste est de savoir que au CONGO les dialogues n’ont rien donné…
    Le plus simple est de changer de gouvernance
    Heureusement qu’il n’y a pas que le nom « GANGA »pour croire à une éventuelle
    réussite !?
    #tchialî bênë à bü « LARI »

  9. Anonyme dit :

    IL n’y a qu’un »LARI » (par ses intérêts propre) qui peut vendre son frère « LARIS »

    # LARI = Divisé

  10. le fils du pays dit :

    Qui va dialoguer avec qui?
    Combien de dialogues les représents de la secte cinquantenaire diabolique( pct ) n’one-ils pas organisé.
    Tous ces dialogues trempe œil ont couché une souris.
    Vous allez dialoguer avec une bande de mercenaires et serviteurs des intérêts de puissances étrangères.Vous allez leur poser le problème concernant l’intérêt national,ils vont vous faire tourner en bourrique.Cela est expliqué par les échecs successifs de tous ces fameux dialogues.Pour dialoguer il faut que les parties soient en diapason et en phase.Vous allez discuter l’intérêt Congolais avec les laquais?.Ah Ba Mpangui ya Vincent.

  11. Anonyme dit :

    Dialoguer ??? Mais avec qui ??? cette mafia familiale n’a aucune envie de dialoguer et d’ailleurs ils en ont aucun intérêt
    Arrêtez de rêver et de croire que cette bande de truands et d’assassins, puissent faire amende honorable de leurs malversations.

  12. Samuel Noko dit :

    Je vous presente deux lettres j avais envoyer à l`ambassadeur du Congo Brazzaville en Suède monsieur Andrè Hombessa et au premier ministre du Congo Brazzaville Clèment Mouamba.

    Une période après avoir envoyer ces deux lettres pour qu`ils les remettent à Denis Sassou Nguesso pour nous accorder l`attestation d`enregistrement de notre parti politique DNK/Bantu, les deux ont été déclarer mort du Covid-19.

    Les deux lettres destinées à Denis Sassou Nguesso c`est un dialogue de notre part, mais jusqu’à présent il nous refuse l`attestation d`enregistrement pour notre parti politique.

    Voici notre demande nous avons fait à travers Andrès Hombessa et Clement Mouamba:

    https://www.youtube.com/watch?v=MjvSoSwW2pk

    Qui dit mieux ?

  13. val de NANTES , DIALOGUONS sur les solutions scientifiques et techniques . dit :

    YIA DIAG ,comme paraphrasé l’autre ,nous propose un Congo suranné .
    Je m’explique : Sassou et son clan sont irrécupérables ,leur vision de la gouvernance du pays est basée sur les criminalités multiformes .D’ailleurs , il est vain d’en faire la liste .
    Le CONGO doit se préoccuper à entreprendre une mue industrielle à partir de la formation scientifique dont les maths servent de référence .
    Tenez ,je vais partir d’un calcul industriel ,qui va déboucher sur une solution industrielle.
    Suivez la marche ,car je vais en simplifier le principe .
    Je calcule le potentiel calorifique d’un grand magasin pour y installer des RIA (robinet d’incendie armé ) ce sont les équipements d’incendie installés dans ces magasins de couleur rouge .
    SUIVEZ .
    Ce magasin contient plusieurs combustibles ce sont tous les produits de vente à l’exception des produits alimentaires .
    Donc ,chaque produit (combustible ) a un pouvoir calorifique …
    Le pouvoir calorifique ,c’est l’énergie dégagée par ce combustible ,sous forme de chaleur pendant sa combustion exprimée en kwh .
    Je vais prendre un combustible ,par ex :le bois qui y est vendu .Son pc est de 4,08 kwh/kg . Je vais additionner tous les bois qui y sont multipliés par 4.08 kwh /kg .
    Je refais le même calcul sur tous les autres combustibles en tenant compte de leurs pouvoirs calorifiques respectifs .
    Cette opération me permet de calculer « le potentiel calorifique  » de ce grand magasin .
    Le potentiel calorifique c’est l’ensemble de chaleurs dégagées par tous les combustibles pris en compte dans le magasin ,en cas d’incendie et ramené à l’unité de surface ,il s’exprime par MJ/M2.
    Alors ,me direz vous , pourquoi l’intérêt de ce calcul ?
    Eh oui , c’est là où se situe le miracle des maths .
    En fait je suis entrain de créer une industrie des équipements de prévention incendie .
    Ce calcul me permet de déterminer le nombre des RIA que doit contenir ce grand magasin .Mais ces RIA , qui sont issus de ma pensée mathématique ,doivent être fabriquer et pour les fabriquer ,il faut de la main d’oeuvre ,et de la matière première ,c’est à dire le fer ,cuivre , zinc etc .
    Que constate t-on ?
    Ces matières premières se trouvent au CONGO et il suffit de former des ingénieurs mécaniques ,de fonderie ,d’usinage ,pour disposer d’une telle industrie .
    J’ai bien dit que « l’avenir du CONGO sera écrit en langage mathématique « , et là ,vous en avez la démonstration .Ceci est un exemple parmi tant d’autres .
    Chers compatriotes ,
    Trêve de plaisanterie ; il faut être pragmatique et lucide sur des solutions de sotie de caverne après SASSOU .Les dialogues interminables et insipides ressemblent à l’arrière mode NIETSZCHIEN ou au paradis chrétien introuvable .
    Dialoguons sur les sources de notre misère séculaire et quelles solutions structurelles nous devons y apporter ?.
    Vous n’êtes pas fatigués de dialoguer avec un perdu . YA DIA m’en bouche un coin .

  14. DJESS dit :

    Soyons réalistes si on veut gagner du temps.
    « Ce n’est pas avec ceux qui ont créé les problèmes qu’il faut espérer les résoudre » A.Einstein
    Un dialogue pour quoi faire ? Dans quel contexte un dialogue serait viable ?
    Il va falloir d’emblée vous rappeler qu’un dialogue sincère devrait voir la participation de Sassou, le grand responsable de la dysharmonie sociale dans notre pays et des autres entités politiques . Or, au Congo, Sassou a toujours annoncé des faux dialogues auxquels il n’y participe pas oubliant qu’il est le responsable des malheurs du Congo .
    Demander à hue et à dia un dialogue inclusif aux contours à géométrie variable à Sassou, relève d’une procrastination, à plusieurs égards. Habitué des rencontres dont il a la maîtrise, parce qu’elles sont organisées par lui, Sassou n’acceptera jamais de participer à une CNS bis qui le dépouillerait de ses pouvoirs, conquis en massacrant les Congolais. Le seul dialogue viable se tiendrait sans Sassou en convoquant toutes les couches de la société congolaise.

    En plus, tous les révolutionnaires du monde entier savent tirer les conséquences de la lumineuse citation de Albert Einstein « La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent ».

    On ne le dira jamais assez : normalement, toute négociation, tout dialogue, aujourd’hui et plus encore demain, se gagnera d’abord par la connaissance, en l’occurrence, par la compréhension de l’environnement dans toutes ses dimensions. Au sein de l’opposition congolaise, tout au moins celle qui semble la plus crédible et déterminée à porter l’estocade à Sassou, nous assistons à un véritable salmigondis où le flou se mêle à l’irrationnel. C’est à se demander s’ils sont véritablement conscients de la capacité de nuisance du clan d’en face. Nous n’avons pas affaire à des enfants de chœur, ni à des férus de la démocratie ; mais à un clan qui a toujours fait preuve de sa cruauté, prêt à tout pour enfoncer le pays dans les abysses de la barbarie, y compris en marchant sur des milliers de cadavres de nos compatriotes pour assouvir leurs fantasmes. Il convient de se le rappeler.

    Il sied de signaler, à toutes fins utiles que, dans les sociétés humaines, les arguments de droit n’ont de poids que dans la mesure où les adversaires en présence disposent des moyens de contrainte équivalents. Par conséquent, si tel n’est pas le cas, les plus forts tirent tout le parti possible de leur puissance tandis que les plus faibles n’ont qu’à s’incliner. Quand on connaît le mépris de Sassou à l’égard de tout ce qui caractérise une démocratie, toute tentative renversement de rapport de forces en sa défaveur tournera toujours à l’épreuve de force.
    Pour terminer, le seul dialogue viable avec le dictateur, concerne son départ. Le reste c’est de la littérature.

  15. LA CONGOLAISE dit :

    @DJESS
    Dommage que tu n’aies pas salué l’effort de l’auteur D.A . Ganga, qui a su mettre sur la table ce beau parallèle avec le dialogue demandé par l’abbé Badila et les catholiques pro-Youlou en 1964.

    Dommage que tu n’aies pas remarqué l’intérêt du parallèle en 2021 et 1964, au moins à travers la magistrale évocation des demi-dieux et de Dieu par l’économiste français Pierre Moussa (  »Les Nations prolétaires ») que reprend à bon escient l’édito de l’abbé Badila.

    Dire qu’aujourd’hui le fameux JDO est appelé  »Demi-dieu », voilà qui ne devrait laisser personne indifférent à la lecture de la métaphore de Pierre Moussa ( le Français) dans l’argumentaire de l’abbé Badila.

    Tu aurais bien pu, si tu avais relevé pareils points, aboutir à ta conclusion politique: l’aporie que constitue toute volonté de  »dialogue  » avec Sassou si seulement si l’on conçoit le  »dialogue » comme un nouveau départ, en partant du chaos.

    Dans le contexte du début des années 1990, l’ esprit du  »dialogue » de la CNS était celui-là.
    Tout indique que dans le contexte du début des années 2020, le sens du  »dialogue » ne pourra être ni celui voulu et réalisé au début des années 1990 post-perestroïka, ni celui voulu mais non réalisé au lendemain d’août 1963.
    Quoi qu’en pensent les défenseurs des hautes valeurs morales. Car quoi qu’écrive et que dise l’épiscopat au moins depuis la crise de 2015, les catholiques d’aujourd’hui ne sont ni ceux de l’époque de l’abbé Badila, ni ceux de l’époque de Monseigneur Nkombo.

    Et pour ce qui est des autres porteurs de hautes valeurs morales que se doivent d’être les FM, le peuple congolais attend toujours que ces derniers tirent les conséquences pratiques de ce qu’avait déclaré en 2015 un autre BADILA, ouvertement FM celui-là: « On ne peut pas être dictateur et FM ».

  16. VAL DE NANTES : dit :

    LIRE ,;pour paraphraser l’autre .
    Mais enfin pendant combien de temps , allons nous tendre nos deux joues à SASSOU pour qu’il en fasse ce qu’il veut ?.
    Le désir de DIALOGUE émis par YA DIAG est un véritable « flatus vocis « qui aura du mal à percer les oreilles analytiques et indomptables des congolais éclairés …
    Des dialogues , SASSOU en a usé des milliers . D’ailleurs MARTIN BERI en est le principal animateur au pays et on se demande s’il a progressé d’un iota sur les problématiques majeures qui divisent les congolais .
    Mais enfin ,Stop à la dialoguite . Le détenteur des titres de la nation congolaise doit en rigoler sous tapis .
    Notre préoccupation actuelle serait de bâtir l’architecture du savoir congolais afin de résoudre cette problématique séculaire qu’est le sous – développement avec sa cohorte des iniquités sociales …
    La danse du ventre intempestive à l’égard de ce type est une expression de notre incapacité à lui imposer des alternatives institutionnelles capables de changer l’image complète de notre pays …
    L’enjeu diasporique ne se borne pas à jouer de la mandoline sur le balcon de SASSOU dont on sait qu’il est réfractaire à toute remise en question de son pouvoir tyrannique .
    C’est SPINOZA qui disait que : » le droit naturel de chacun lutte contre le droit naturel de tous « .Au CONGO ,nous en avons sa traduction politique .
    Cette assertion spinoziste met en évidence la raison . En voici l’explication : Si les hommes se gouvernent tous selon la raison ,ils n’auraient besoin ni des lois ,ni de gouvernements ;mais les passions qui les agitent les détournent de la raison « . FERMEZ LE BAN .
    Au vu de cette explication d’approche HOBBESIENNE ,on ne voit pas commet SASSOU va lâcher sa proie par une simple feinte dialoguiste .
    Le pouvoir ,selon SASSOU ,est un désir (cupiditas )et qui relève de l’ordre de l’esprit .En revanche , celui qui correspond au corps est l’appétit ( appetitus ).
    Autrement dit l’âme de SASSOU a conscience que ce désir de pouvoir est satisfait ,elle ressent de la joie .Le contraire serait de la brutalité animale dont il est coutumier .
    Donc l’approche dialoguiste au sujet du pouvoir de SASSOU est une hérésie condamnable au tribunal de la mort dans le monde sassouiste .

  17. Samuel Noko dit :

    Vous voulez le dialogue ou bien vous croyez une personne comme moi qui maitrise le succès pour une nation moderne va vous dire dans un débat chaque étape de la solution du début jusqu’à la fin ? Dètrompez-vous.

    Il y`a plusieurs années je demande à ce régime dictatorial des Nguessos de nous accorder l`attestation d`enregistrement qui est un permis pour mettre en pratique notre politique moderne au Congo, mais jusqu’à nos jours les réactions de Denis Sassou Nguesso c`est tué les Congolais qui lui demande de nous accorder le permis pour le parti politique DNK/Bantu.

    Il y`a une vaste différence entre comment moi personnellement peux aider un Congolais ou une Congolaise de ma propre poche pour faire sortir la personne en question de la pauvreté économique et comment je peux aider un Congolais ou une Congolaise à travers un parti politique. La différence est, ma poche personnelle qui est pour la vie privée à des limites et c`est privée, tandisque l`efficacité du parti politique pour aider toute la nation Congolaise est sans limite économiquement. Vous ne obtenez pas la connaissance de cette différence parce que jusqu’à présent au Congo les politiciens continuent a mélanger les affaires privées et les affaires de la nation.
    Si vous croyez vraiment que la solution est tout juste la maitrise en mathématique, là je vous demande la question suivante:

    Croyez-vous vraiment y`a pas des Congolais qui maitrise la mathématique ou bien il n`existe pas des Congolais et Congolaises qui obtient des diplômes en comptabilité ?

    Y a même des gens qui croient il suffit de faire des cotisations de la diaspora pour faire évoluer la nation Congolaise. Là vraiment je m`éclate à rire et je vous regarde. Allez-y.
    Mais rira bien qui rira le dernier.

    La positive connaissance j`obtiens est une 100% pure vérité choquante pour le monde entier. C`est un réveil pour toute l`humanité qui s`est fait ridiculiser par le CO2 et ils continuent à croire que le problème du changement climatique c`est le CO2.

    Je le dis et je vais le redire à plusieurs reprises.

    Nous avons la solution materielle et spirituelle pour résoudre le problème du Congo Brazzaville. Même si vous le voulez ou pas, un jour nous allons mettre à l`écart votre gouvernance qui est basé d`aller quémander l`argent dans les autres pays pour la gestion nationale du Congo Brazzaville qui est aussi un pays.

    Ce que nous allons établir au Congo, s`agit d`un tournant de l`histoire de toute l`humanité. Le changement positif.

  18. VAL DE NANTES : dit :

    Au cas où le doyen « ma Ganga  » aurait oublié ,je vais me permettre de l’inviter à lire cette phrase de SPINOZA dont malheureusement est d’actualité au CONGO « les pires tyrans sont ceux qui souhaitent à se faire aimer « . Dont acte …

  19. VAL DE NANTES : dit :

    Un pays ne se bâtit pas sur des éternels recommencements d’erreurs gravissimes . Nous devons muer notre vision consensuelle en une logique punitive envers les coupables .
    Nous n’aurions rien à gagner en caressant , à l’infini , la barbichette de SASSOU …

  20. VAL DE NANTES : dit :

    LIRE ,,qui ,malheureusement , est d’actualité au CONGO .

  21. le fils du pays dit :

    Les Congolais peuvent râler comme ils veulent mais moi je finirais mes jours au pouvoir dixit Mr Sassou Denis,selon la presse.
    Ceux qui ont là volonté d’assister aux dialogues trompe-œil et pré-rédigés de Mr Sassou Denis peuvent continuer à le faire.Mes réalistes,avisés et pragmatiques disent qu’il faut aller le cueillir comme son ami Mr Alpha Conde.

  22. le fils du pays dit :

    Lire:Ceux qui ont la volonté
    Lire:Mais les réalistes

  23. Samuel Noko dit :

    Aller quèmander l`argent dans les autres pays pour mettre la gestion nationale du Congo en pratique, n`est pas une politique pour le dialogue. C`est plutôt une mal gouvernance qui n`arrive pas à satisfaire les besoins pour le bien-vivre de chaque Congolais et Congolaise. C`est une politique à bannir de la nation.

    Le trésor public n`est pas aussi une poche privée.

  24. Zoba n’a zoba dit :

    Au lieu de bavasser à perdre la voix
    Il faut reflechir militairement et organiser les conditions financières de ce mouvement
    Le reste n est que du vent et encore du vent
    Arrêtez de vous amuser sassou est au courant et il vous attends militairement
    Plus de bavardages sur les dialogues et autres imbécilités c est le rapport de force qui l emporte

  25. Samuel Noko dit :

    Comme démocrate, notre politique est basé sur le bon-sens, les évidences et des conclusions scientifique. Nous avons aussi la connaissance des armes.

    Je vous présente la composition des armes nous avons choisi pour défendre nos droits humanitaire pour le bien-vivre et nous allons défendre toute l`étendue du territoire national.

    https://dnkbantu.wixsite.com/minside/la-force-armee-nationale

  26. Zoba n’a zoba dit :

    Et si malgré nos dénégations les negres que nous sommes sont des incapables et que le blanc français revienne occuper la place qu il n aurait dû jamais quitter continuer à nos dominer
    Alors j qui peut s opposer à cela pour le Congo et en Afrique centrale

  27. Samuel Noko dit :

    Si toi tu avoues que tu ne vaut rien, ne faut pas inclure la majorité de la nation dans tes stupidités.

    De nos jours même les enfants de 14 ans arrivent à produire leur propre technologie du haut niveau en Afrique, cela prouve très bien que nous obtenons aussi la connaissance de la technologie moderne.

    Et de nos jours l`intelligence de la communauté internationale à été anéanties à zéro par le CO2 problématique qui prouve aussi l`imperfection des Caucasiens.

    La clé pour faire survivre les humains pour vivre le future de la vie se trouve au Congo l`endroit lequel le tout premier humain sur la planète terre fût créé par Dieu le tout puissant de l`univers.

    L`histoire des humains est sur le point tournant. Le petit garçon que tu frappais n`importe comment dans la rue à bien grandi et est maintenant tres capable pour se défendre. Nous sommes au courant de la cause des catastrophes qui font inondé plusieurs pays, c`est pas le CO2 ou le manque de la protection des forêts.

    Je peux vous révélez qu`il reste encore 3 coupes qui sera versé contre la tèrre. Pas pour faire pèrir toute l`humanité. Cette guèrre est aussi spirituelle et l`esprit saint est de notre côté.

  28. VAL DE NANTES : dit :

    « DIALOGUEZ ,DIALOGUEZ ,DIALOGUEZ ,il en restera toujours quelque chose « .
    Une façon d’imiter FRANCIS BACON .
    La vérité du dialogue sera inatteignable ,tant les suspicions ,qui en découlent ,forment ce seuil qui annihile l’essence de ce dialogue …
    Encore faudrait – il que SASSOU ,le maître de l’horloge ,en sente l’envie ?
    Cireurs des chaussures ; peut être .

  29. Samuel Noko dit :

    Exclure les autres de la politique est déjà un grand dèfaut qui prouve le manque de la sincérité du dialogue. Y`a plusieurs années nous demandons l`attestation d`enregistrement du parti politique DNK/Bantu ainsi nous pouvons exercer notre politique au Congo. Jusqu’à présent la réponse de votre part c`est accomplir des actions mort d`hommes pour nous intimidé.

Laisser un commentaire