Le tyran Sassou Denis achète la distinction « docteur honoris causa »

Le 12 novembre dernier, le dictateur Sassou Denis a été hissé au grade de docteur honoris causa par quelques zozos et idiots utiles à sa solde de l’unversité Marien NGOUABI.

Ce titre honorifique est généralement une distinction offerte par une université à une personnalité ayant posé sa marque dans un domaine particulier. Le seul domaine dans lequel Sassou Denis excelle et bat tous les records, est celui du crime organisé.

Venant d’une coquille vide (l’université Marien Ngouabi), cela n’a rien d’étonnant.

Fondée en 1971, elle portait originellement le nom d’université de Brazzaville, à partir des différents établissements de la Fondation de l’enseignement supérieur en Afrique centrale(FESAC) présents à Brazzaville. Elle fut rebaptisée « Université Marien Ngouabi le 28 juillet 1977 en hommage au président Marien Ngouabi assassiné quelques mois plus tôt, par ses propres frères nordistes…pardon, par les Bakongos »

En déclin depuis 1986, l’université Marien Ngouabi a perdu ses lettres de noblesse. Absente du classement des cent (100) meilleures universités d’Afrique, elle n’est que l’ombre d’elle-même.

A l’heure des autoroutes de l’information, autrement dit d’Internet, l’université Marien Ngouabi n’est toujours pas connectée à la Toile. Les étudiants s’entassent dans des classes insalubres dépourvues de bancs, l’ordinateur reste une énigme dans le parcours universitaire congolais. A l’image d’un canard devant une brosse à dents ! Faute d’électricité, la fibre optique, tant promise par Sassou Denis est restée au stade de l’incantation.

Militaire et dictateur, Sassou Denis sacrifie sciemment l’Education Nationale.

Aujourd’hui, ne restent plus que des bâtiments en ruines occupés par une kyrielle d’étudiants sans avenir, un nid d’infiltrés d’agents de renseignements de Mpila et d’espions déguisés en étudiants, ethniquement motivés, prêts à séquestrer tout esprit libre susceptible de remettre en cause leur pouvoir chèrement acquis en 1997 à l’issue d’une guerre civile financée par le pétrolier Elf Aquitaine (actuel TOTAL).

Pourtant, comme le disait Nelson Mandela, « l’éducation est l’arme la plus puissante qu’on puisse utiliser pour changer le monde ». Comment allons-nous changer notre pays, alors que le dessein de Sassou Denis est de saborder les pans entiers de l’éducation nationale ?

Recrutés pour la plupart sur des bases ethniques, dépourvus de formation et de compétences, certains enseignants recrutés sur ces bases-là, ont fait de l’université Marien Ngouabi non pas un lieu de transmission des Connaissances, mais au contraire un socle d’anti-valeurs.Les Unités de Valeurs (UV) se monnaient en nature, les notes des partiels sont manipulées, les fuites des sujets sont récurrentes, les pressions et les menaces des parents des enfants issus du pouvoir illégal et illégitimes de Sassou Denis sont permanentes sur les quelques enseignants encore intègres pour favoriser leur progéniture.

Certes, nos mots sont loin de guérir dans l’immédiat tous les maux du Congo.

« Sans éducation, l’enfant est orphelin ». Nous sommes orphelins des enseignants qui firent notre fierté dans cette université Marien Ngouabi qui a été vidé de toute sa substance.

Les étudiants de ma génération, celle qui avait obtenu le baccalauréat en 1985, se souviennent de Grégoire Mavounia qui parlait comme un livre des idées politiques, de Nestor Makoundzi Wolo qui avait le droit Constitutionnel chevillé au corps, de Cheik Oumar Diarra qui enseignait avec convictions les Finances publiques, de monsieur Mounguéngué dont la rectitude était insoupçonnée, de Félix Bakounda, dont les travaux dirigés en droit administratif étaient un moment d’émulation intellectuelle saine, et dont on sortait essoré.

Dès lors, les gesticulations d’un criminel en fin de course qui a copieusement échoué sur tous les plans déshonorent à la fois cette distinction et ses pseudo initiateurs. Les congolais doivent se ressaisir et apprendre à dire NON aux caprices d’un dictateur octogénaire gâteux.

Nous devons remettre d’équerre le Congo. Force est de se demander si Sassou Denis est réellement passer par la porte basse. Il ne laissera à notre beau pays ni une bonne éducation, ni un bon héritage.

Comme l’écrivait si bien Confucius, « Nous sommes frères par la nature, mais étranger par l’éducation ».

Olivier MOUEBARA

Diffusé le 15 novembre 2020, par www.congo-liberty.org

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13 réponses à Le tyran Sassou Denis achète la distinction « docteur honoris causa »

  1. Peut-on débattre du titre de Docteur Honoris Causa décerné au Président Congolais Denis Sassou par l’Université Marien Ngouabi ? Par Lucien Pambou dit :

    Le président Sassou vient d’être honoré de façon duale par les écrivains sénégalais et par l’université Marien Ngouabi, Quelle signification donnée à cette double distinction ? Pour les écrivains sénégalais, c’est au nom de la fraternité de plume avec les écrivains congolais que cette distinction est effective. Pour l’université Marien Ngouabi, on pense que le titre de Docteur Honoris Causa est lié aux activités du président Sassou en tant qu’acteur de référence pour le maintien de la paix en Afrique et au Congo. C’est une hypothèse de ma part qui demande à être vérifiée. On pourra toujours discuter du rôle du président Sassou sur le plan intérieur car certains estiment que Sassou a évité les guerres fratricides et ethniques entre Congolais, alors que d’autres pensent le contraire en faisant le président Sassou le pyromane de référence au Congo Brazzaville. Je laisse les uns et les autres sur les débats interminables du rôle du président Sassou au niveau national, C’est un débat infini et sur lequel on ne peut trancher de façon décisive, selon son appartenance ou non au camp du président Sassou. Actuellement certains pensent que le président Sassou et son clan sont les fossoyeurs du Congo au niveau de la dette publique qui constitue au frein au développement du Congo. Pour ma part, je me situe au niveau de la géopolitique et du rôle joué par le président Sassou en Afrique depuis son arrivée aux affaires en 1979.

    Au delà de la diatribe marxiste-léniniste structurante du parti congolais du travail sur le plan interne, il faut néanmoins reconnaître que le président Sassou a joué un rôle important en tant que négociateur ou médiateur dans les différents conflits qui ont traversé l’Afrique des années 80 à nos jours. En tant que président en exercice de l’OUA dans les années 80, le président Sassou a réaffirmé le principe de l’intangibilité des frontières. Il a accompagné les principes de transition démocratiques allant des partis uniques vers un multipartisme. Il aurait pu, comme le maréchal Moboutu au Zaïre, s’opposer au pluralisme démocratique au Congo. Sur le plan national et lors de la Conférence nationale souveraine, il a dit « J’assume tous les comportements des hommes politiques des indépendances à nos jours » ; tous les hommes politiques ne sont pas capables d’un tel courage, discutable ou non. Les contempteurs du président Sassou peuvent répondre que sa défaite à l’élection présidentielle contre le président Lissouba était mal vécue par le président Sassou. Ainsi on peut, selon les dires des contempteurs du président Sassou, expliquer les conditions négatives (guerre civile) de son retour au pouvoir. Les pro-Sassou répliquent en disant que le président Sassou a été agressé nuitamment par le président Lissouba et son gouvernement.

    La récompense reçue par le président Sassou peut être expliquée aussi par le rôle qu’il joue en Afrique centrale dans les conflits liés aux Grands Lacs et en Afrique du nord en Libye où il a été désigné par l’Union africaine comme représentant spécial de l’Afrique à la table de négociation. On peut aussi citer l’influence du président Sassou dans la résolution de la crise centrafricaine. Il avait nommé en son temps Jean-Marie Mokoko comme son conseiller spécial. On sait ce qu’il en est advenu des relations entre le Général Mokoko et le président Sassou depuis que le Général Mokoko, par une lettre, a envoyé sa démission au président Sassou de son poste de conseiller spécial afin de se présenter à l’élection présidentielle en 2016.

    Beaucoup seront surpris que le président Sassou reçoive le titre de Docteur Honoris Causa. Comme pour l’Académie française, il n’y a pas de lien entre la récompense obtenue et la contribution littéraire du nominé. A l’Académie française, pour faire un parallèle de forme et non de fond, des personnalités comme Valéry Giscard d’Estaing ou des hommes d’Eglise (Jean-Marie Lustiger, d’origine juive, évêque catholique et académicien), ont été académiciens sans avoir une œuvre littéraire mais au nom de leurs actions politiques et ecclésialo-sociales. Le président Sassou pourra être contesté car il n’a pas d’oeuvre littéraire mais ses actions en tant qu’homme politique au plan international africain lui donnent cette possibilité de recevoir le titre de Docteur Honoris Causa.

    Dans le monde, le titre de Docteur Honoris Causa est décerné par l’université du pays. C’est l’Université qui décide, c’est l’Université Marien Ngouabi qui a décidé. Quelles ont les motivations de cette décision? Pour ma part j’ai souligné les aspects internationaux qui sont incontestables alors la contribution nationale du président Sassou est discutable selon le débat entre contempteurs et pro-Sassou. Quelle est la signification de la haute distinction d’honneur de la fraternité de plume des écrivains sénégalais ?

    Au nom du débat intellectuel, argumenté, voilà quelques éléments de réflexion concernant le titre de Docteur Honoris Causa reçu par le président Sassou, J’ai présenté les faits qui sont sûrement insuffisants et qui seront complétés par les partisans du président Sassou et qui seront forcément contestés par ses adversaires qui diront que le président Sassou ne mérite pas cette récompense.

    Chers compatriotes, comme vous pouvez le noter, je continue à rester dans mon approche axiologique au sens du sociologue allemand Weber, à savoir décrire les faits, les présenter, les discuter sans prendre parti. C’est une attitude incompréhensible parmi les lettrés congolais, mâtinés de culture française qui prennent position par stratégie politique en attendant de voir comment le vent tourne. Je reste moi-même, un grain de sable, qui ne détient pas la vérité, mais qui présente des faits discutables. Certains estimeront que « le titre de Docteur Honoris Causa c’est n’importe quoi », et d’autres penseront qu’au nom du réseau politique le président Sassou mérite cette récompense. Pour ma part, je ne tranche pas et je reste dans cette position axiologique du savant, que je ne suis pas, et qui reste sur la neutralité analytique.

    Par Lucien Pambou

  2. Samba dia Moupata dit :

    Sassou Dénis le fossoyeur de cette même université Marien Ngouabi , s’est autoproclamé docteur Honoris Causa , avec la complicité de ses frères Mbochis Bruno Itoua et Jean Rosaire Ibara . Ce type qui regrettait dans son chiffon de livre. Le manguier, le fleuve et la souris n’avoir pas d’études ,aujourd’hui tient sa revange contre Lissouba pascal . Honte à tous ces médiocres Kongos qui accompagnent Sassou Dénis dans sa folie .

  3. Jean de Dieu Etoumbakoundou dit :

    Sans jamais avoir décroché le petit Baccalauréat, Mr Sassou se targue avec la complaisance du recteur de l’Université Marien Ngouabi le titre de docteur Honoris Causa alors qu’il est lui même incapable d’écrire ses discours.

  4. GUY-FERNAND LOULENDO dit :

    On est en train d’épiloguer d’un grade sans grande importance, que des centaines de personnes obtiennent de par le monde sans grand mérite, sinon les honorer pour des raisons souvent diplomatiques.
    C’est comme les décorations que les chefs d’états se décernent mutuellement, lors de leurs rencontres, sans aucun mérite particulier, sinon celui de s’être déplacé au frais du contribuable de son pays. D’ailleurs sassou nguesso possède plusieurs déco honoris causa d’autres universités, merci de faire aussi la liste des raisons ou des contributions dans ces différentes universités qui a permis ces décoration. Je pense que vous aurez du mal à trouver une logique dans tout ça.
    Sassou Nguesso c’était autoproclamé général d’armée après avoir été colonel, pensez-vous vraiment que Dr Honoris Causa de l’UMNG était difficile pour lui?
    Bref arrêtons de parler de ce qui est sans aucune espèce d’importance.

  5. Val de Nantes dit :

    Pourquoi pas un  » Doctor es crimes « . Il aurait ,par ce biais, validé la maîtrise du domaine pour lequel il a montré des qualités indéniables …
    Et dire qu’il va réembrayer sur le processus de déconstruction continue du Congo en s’octroyant un énième forfait présidentiel en 2021 ,cet homme , dont l’hubris déborde la norme légale , est fait du même bois que Staline .
    L’homme pâtit d’un  » pathos  » dont le Congo paie un lourd tribut .Le pouvoir présidentiel a ceci de particulier qu’il déshumanise l’homme car la gestion du pouvoir de manière solitaire vous transcende ..
    La faute en revient à notre absence d’intellection ,qui créé des monstres dont on ne mesure les conséquences que tardivement ….

  6. Val de Nantes dit :

    Le ridicule ne tue pas .Il s’y voit en réel doctor des causes honorables ,pardon des causes delirantes qui le déshonorent .
    Un camouflet intelligible des universitaires à Sassou ,lequel ne comprend rien à cette farce parfumée de moqueries assassines .

  7. Isidore AYA TONGA 100% Intérêt général dit :

    LE QUOTIENT INTELLECTUEL OU D’INTELLIGENCE D’UN GROUPE ET VOIRE D’UN PEUPLE EST EGAL A CELUI DU PLUS IDIOT DE SES MEMBRES QUI EST A LA TETE DE CE GROUPE OU DE CE PEUPLE… LA MOBILISATION, LA SENSIBILSATION ET LA CONSCIENTISATION NE DOIVENT PAS FAIBLIR SI NOUS VOULONS LAISSER UN HÉRITAGE MEILLEUR À NOS GÉNÉRATIONS FUTURES. C’EST NOTRE DIGNITÉ QUI DOIT ÊTRE LE MOTEUR DE CET HÉRITAGE…. https://www.youtube.com/watch?v=QSdJl8A2HMU

  8. Anonyme dit :

    cela n’etonne personne que les senegalais venerent le tribalo-sanguinaire et genocidaire sassou gueux sot deni. les senegalais qui sont au Congo, traitent les congolais de betes, ils violent nos enfants, soeurs et femmes, ils pillent nos richesses et controlent notre commerce avec les boins soins de sassou gueux sot deni et son clan.
    Le jour viendra ou tous seront deportes.
    Faire de sassou gueux sot deni docteur honoris causa est une aberration.
    Est-ce que l’universite marien ngouabi peut encore etre appelee universite lorsqu’elle fait du genocidaire sassou deni un docteur honoris causa ! Pour quelle oeuvre si ce n’est celle de ruiner le Congo ?
    Combien d’universites, de polytechniques y a-t-il au Congo ? Est-ce que cela interesse sassou deni ?
    sassou a detruit l’education au Congo, le tissu social, l’economie…c’est un anti-valeur.
    il decime les populations du Congo par la division, le tribalisme, le genocide, les crimes de guerre et economiques, le manque d’infrastructures economiques et adequates, manque d’infrastructures medicales et sanitaires, manque d’autosuffisance alimentaire…
    N’appelle-t-on pas le CHU, CH TUE ?
    sassou deni fait tout cela a dessein. Son seul but est de ruiner le Congo qu’il vendu aux chinois, libanais, senegalais, rwandais, beninois et a la francafrique…

  9. Val de Nantes dit :

    Un doctorat en crimes ,voilà le sésame qui devrait tomber dans la besace de Sassou dont la scolarité est aussi mince qu’une feuille de papiers à cigarettes …
    La clownerie ,qui cisaille ce personnage anxiogène , impacté l’image du pays au niveau international .
    Le Congo brille plus par des stalineries que par l’éclosion des modèles économiques qui favoriseraient la prospérité de notre pays ..
    Nous sommes dans une situation ubuesque et inextricable où l’essentiel est accordé au culte de la personnalité incarnant la fonction présidentielle .
    Cette fonction ressemble à certaine égards à une religion monopresidentielle et les croyants lui doivent tout .

  10. jb dit :

    Sassou, Docteur es crimes comme le dit Val de Nantes mais avec la mention très honorable et félicitations du jury à l’unanimité.
    Sa thèse disponible dans toutes les Universités d’Afrique noire a été analysée minutieusement et méthodiquement par d’autres doctorants tel Alassane Ouattara.

  11. Le panafricaniste dit :

    Comme l’a bien dit @guy fernand loulendo, c’est sans intérêt aucun, de l’agitation stérile, de l’amusement infantile, de la « congratulation » inter-éthnique ou inter-zozo. Vous avez dit Ibara jean rosaire? Itoua bruno? et peut être Moyen et acolytes à l’image de Ondzoto et autres? Par trafic d’influence et clientélisme à outrance influencés par l’instinct de tribalisme primitif, ils ont transformé cette case universitaire en poulailler ou en porcherie, par la transmissibilité de l’énergie de viol sexuel récurent de pauvres étudiantes issues de parents à revenu modeste en note de passage, et d’achat en espèce d’argent de places de concours à la faculté de médecine et autres, pour ceux et celles n’ayant rien à offrir en nature sexuelle car dépourvus peut être en beauté par mère Nature ou ayant de conviction morale et éthique fortes puisqu’ils existent toujours au Congo les gens de bonne moralité et aux meurs de grande valeur. Ces totos de cette classe politique comme l’a su bien souligné Olivier Mouebara, ils d’auto-soutiennent, mutuellement pour se consoler le mental très fragile car étant conscients qu’ils sont vomis par tous les congolais du nord au sud, et surtout à l’international; d’où ces titres sans enjeux de docteur causa honoris, agrégés d’université champions de plagia et sans rendement pratique de leurs études de recherche…

  12. Isidore AYA TONGA 100% Intérêt général dit :

    DERNIÈRES NOUVELLES DU SASSOULAND: ASSASSINATS DE MARS 1977 /TEMOIGNAGE/JUSTIN LEKOUNDZOU.
    Il en sait des choses. Justin Lékoundzou, un des derniers témoins encore en vie des assassinats de Mars 1977. Il faut qu’il parle s’il a encore tous ses moyens.
    Ce silence est insupportable et nous ne pouvons attendre qu’il ne soit plus de ce monde pour avoir droit aux confessions, son testament politique qu’il a fait et consigné auprès des gens qui lui sont proches, car je le sais, il a parlé auprès de ses proches pour ne pas emporter avec lui une page sombre de notre pays.
    Joachim Yomby Opango est mort sans parler, parce que la vérité aurait brulé le pays. Soit. N’empêche, certains qui sont encore au pouvoir ont tué des innocents alors qu’on sait bien comment tout cela s’est passé. Imploser le pays ou pas de toute façon, cette implosion est inéluctable, le pays est déja en lambeaux malgré son unité de façade. La cocotte boue. https://www.youtube.com/watch?v=Q6KUssd2CRs

  13. Val de Nantes dit :

    L’odeur de conspiration autour de la mort de Marien plane toujours sur le pays ,comme le dit bien @ aya .
    Les supputations sur les supposés comploteurs sont aussi sûres que la réalité universelle et mathématique qui donne 2 +2 = 4.
    Le Congo attend le moment propice au dévoilement de cette ignoble vérité cachée aux congolais sous le sceau de la fausse unité nationale sur fond de guerre de pouvoir entre le nord et le sud .
    Oui ,mon frérot @Aya , nous sommes nombreux à avoir compris l’escroquerie nationale qui se cache derrière la religion presidentialiste .
    Nous avons la mission compatriotique de déconstruire cette espèce de mensonges
    politiques et institutionnels utilisés à des fins purement mercantiles …
    Oui ,la politique au Congo a été détournée de sa mission idéale pour satisfaire des ambitions financières de certains de nos compatriotes . Ça ,il faut le dire .
    Nous avons tué au nom de l’enrichissement personnel pour paupériser davantage le peuple congolais ….
    Oui ,mon frérot ,nous n’avons pas été honnêtes vis à vis du pays ,car nous avons manié la rhétorique sophistique pour distraire la population congolaise au détriment de la création réelle de richesses locales …
    Dites moi ,frangin ,où va le produit de l’exploitation des mines d’or de Kelle ?
    Des exemples de ce type ,on peut en multiplier des milliers …
    Doit – on regarder mourrir notre pays ,parceque certains ont décidé ,par la religion presidentialiste ,de le déplumer ?…
    Notre combat s’inscrit dans l’instauration d’une nation marchant sur deux pieds …
    Une fois de plus , frangin ,la solution se trouve dans la quête d’un modèle économique qui satisfasse les attentes légitimes des congolais ..

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