Sans l’éducation, pas d’avenir : parrainons nos écoles

MA MAIN1Dans le cadre des activités de notre charité « Ma Main », nous sollicitons tout Africain de la diaspora pour nous aider à sponsoriser les écoles primaires, collèges et lycées en Afrique. Par votre participation, nous soutiendrons les écoles que vous avez fréquentées (et vous en deviendrez de facto les sponsors).
Nous collectons, auprès de toutes les familles africaines basées hors de l’Afrique, tout petit matériel scolaire en excellent état  (sacs à dos, cartables, trousses, stylos, compas, règles, équerres, crayons, gommes, taille-crayons, etc.), ainsi que des chaussures (talons plats) de toutes tailles.
Nous recherchons également des bénévoles partout en Europe pour nous aider à bien coordonner les opérations de cette campagne.
Par ailleurs, parce qu’il ne nous est pas possible de connaître tout les africains, nous vous demandons également de nous aider à entrer en contact avec d’autres africains – vos proches – de la diaspora.
Vous remerciant par avance pour votre implication dans cette action, nous restons à votre entière disposition pour tout renseignement nécessaire.
Marie-Louise Abia
Coordonnatrice
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Une réponse à Sans l’éducation, pas d’avenir : parrainons nos écoles

  1. G. Mascad dit :

    Mme ABIA, tout ça c’est bien, sauf qu’il y a au Congo-Brazzaville des abrutis qui démolissent, détruisent toujours ce qu’on construit. Ces abrutis, vous les connaissez. Dites-leur d’arrêter leur barbarie et leur bestialité. Aujourd’hui, depuis 1997, il y a des régions où le taux d’analphabétisme a atteint 99% si ce n’est 100%, parce qu’il n’y a plus d’écoles primaires, plus de collèges, plus de lycées, plus de dispensaires, plus de centres de soins médicaux, etc. Quand on leur parle de ce « désert du Savoir », ces abrutis, puisqu’ils ont le pouvoir politique, vous rient au nez. Lisez le livre de M. Mayima-Mbemba, « La violence politique au Congo-Brazzaville » chez L’Harmattan. Lire chap. IV : « Une autre forme d’extermination d’un peuple », pp. 43-46.
    Oui Mme, nous pourrons construire et reconstruire des écoles, des collèges et des lycées, ils viendront encore les détruire. Ils ne savent faire que ça, ces abrutis, ces barbares venus de l’Alima.

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