Robert Poaty-Pangou (RPP) dénonce l’ingratitude des gens reçues dans nos villages qui devient parfois déconcertante. Après avoir accueilli avec chaleur et générosité, il est triste de constater que certains ne reconnaissent pas nos efforts ni notre hospitalité.
La construction du Barrage du Kouilou, depuis 1960, est restée problématique jusqu’à nos jours pourquoi ? C’est la question que RPP se pose. Nos forêts auraient dû être préservées ! Précieux patrimoine naturel à préserver. Il montre aux yeux de tous le « Bois Energie » département par département et constate même sans le dire que les deux départements Brazzaville et Pointe-Noire n’ont pas de forêt et aucune politique ni de préservation, ni de reboisement.
La consommation du bois de chauffe est à plus de 84% et il existe des départements qui sont à 90% de consommation. Quelle CATASTROPHE étatique! Quelle MASCARADE de parler préservation de l’environnement !
Des coups d’Etat au Niger et au Gabon s’exclame t-il ! Ce ne sont pas des coups d’Etat mais … une liesse de la population. Au Royaume Loango, le premier ministre nommé est une nomination FAUSSE car la première opération est tronquée. Il parle d’Algèbre.
Cher Rigobert Poaty , il faut conscientiser nos compatriotes kongo , que nous vivons une colonisation Mbochi.Sassou Denis et ses enfants ont confisqués tout l’argent du pétrole et les recettes fiscales du pays pour mieux manipulé les cadres kongo comme faux roi Louango ou TSaty Mabiala, Collinet Makosso , le Père et fils kolelas qui ont perdus leurs par leurs naïvetés de retour au pays.Aujourd’hui c’est un sujet Malien Niangadou appuyé par les miliciens Mbochi de sassou Denis s’approprie des quartiers à pointe noire .
Lettre ouverte au Président de la République Dénis Sassou Nguesso et au Ministre Pierre Mabiala
Objet : Appel à la justice et à la préservation des droits des citoyens congolais
Monsieur le Président Sassou Nguesso,
Monsieur le Ministre Mabiala,
Permettez-moi de porter à votre attention une question cruciale qui concerne les 30 hectares de Mengo, à la suite du déguerpissement des paisibles populations ayant légalement acquis des parcelles et construit des maisons sur ce terrain disputé.
Je me permets de rappeler les dispositions de la loi foncière en vigueur, qui spécifient qu’il est interdit de vendre certains types de terres à des étrangers. De plus, il est important de souligner que les terrains destinés à la construction sont vendus par parcelles, et non par hectares, conformément aux principes établis par notre législation foncière.
L’usage des terres vendues par hectares au Congo est traditionnellement destiné à des activités agricoles, conformément à notre héritage agraire. Cela soulève une interrogation légitime concernant l’usage que le sujet malien, M. Niangadou, prétend avoir fait de ces 30 hectares, s’ils étaient destinés à l’agriculture ou à la construction de maisons.
Il est impératif de souligner qu’il est inconcevable de vendre à un individu des terrains à bâtir d’une telle envergure, faisant de lui l’acquéreur de la plus vaste étendue de terrain au Congo depuis notre indépendance. En effet, il est notoire que les individus possédant de telles étendues de terres les consacrent généralement à des activités agricoles, et non à la construction de résidences.
Les citoyens congolais propriétaires de ces parcelles ont acquis leurs biens de manière intègre, bénéficiant de titres de propriété délivrés par les services gouvernementaux. Leur dépossession engendre un trouble à l’ordre public et constitue une injustice flagrante.
Il est de votre devoir, Monsieur le Président, de garantir l’ordre public en trouvant une solution équitable pour ces citoyens congolais spoliés de leurs propriétés. Il est inacceptable que des compatriotes soient privés de leurs droits au profit d’étrangers.
Je vous exhorte à revenir aux dispositions de la loi foncière antérieures à la Conférence Nationale de 1991. Je vous invite à inscrire dans la loi que la terre appartient à l’État, tel que c’était le cas avant 1991, et tel que cela demeure dans notre voisin Angola.
Il est essentiel de rappeler que les propriétaires terriens ont été la source de troubles à l’ordre public depuis la Conférence Nationale, et il est impératif de rectifier cette situation. Votre devoir en tant que serviteur des citoyens congolais est de préserver leurs intérêts et droits légitimes.
Je vous prie de méditer sur la sagesse de Victor Hugo, qui nous mettait en garde contre la vente de la terre léguée par nos ancêtres, surtout pas à des étrangers.
Je vous remercie de l’attention que vous porterez à cette requête urgente et vous exhorte à agir dans l’intérêt supérieur de notre nation et de ses citoyens.
Respectueusement,
Bakala Téléma,
Citoyen congolais, de père et de mère.
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P.S : Appel à la Raison et à la Prudence, Monsieur Niangadou
Je me permets de m’adresser à vous concernant votre prétention à vouloir vous approprier les 30 hectares de Mengo. Les explications avancées par votre avocat, Maître Tchiba Mendes, ne parviennent pas à convaincre quant à la légitimité de votre démarche.
Il est impératif de faire preuve de sagesse et de considérer attentivement les conséquences à long terme de cette tentative d’appropriation. En effet, il ne faut pas perdre de vue que, tôt ou tard, d’autres citoyens congolais pourraient revendiquer légitimement ces terres spoliées. Le risque de se retrouver soi-même dans une situation similaire doit être sérieusement pris en considération.
Il est dans l’intérêt de tous les parties impliquées de chercher une résolution équitable et légale à ce différend foncier. Une telle approche favorisera la stabilité sociale et le respect des droits de chacun.
Je vous exhorte donc à réfléchir à l’avenir et à agir de manière responsable dans cette affaire. Le respect des lois et des droits de propriété est essentiel pour le bien-être de notre société dans son ensemble.
Grosse validation, mon @ frangin Bakala , espérant qu’ils aient entendu ta diatribe dont le sens procède du respect des terres, appartenant à priori aux citoyens congolais… La folie , foncière dont est atteinte cette classe politique moribonde et déboussolée ,doit être soignée au moyen d’un coup d’État.
Lire , espérons que.
Ce Congo Brazzaville de Sassou est un condensé de folie et des crimes de toutes natures au point de se demander si ces dirigeants, autoproclamés ne seraient rien d’autres que des étrangers..
Quand la malédiction produit ses effets,il est pratiquement vain d’en contenir le rythme…
Après le pillage du pétrole , une nouvelle trouvaille Nguessoiste consiste en la braderie des sols congolais. L’on s’interroge sur le contenu du prochain contrat avec les étrangers,qui pourrait se conclure sur la vente totale du Congo Brazzaville..
Quand la folie nous tient !!.