En lisant attentivement le compte-rendu du Conseil des ministres du 04 mai 2016, ce dernier a demandé à son gouvernement « de tout mettre en œuvre pour libérer les populations du Pool, par ailleurs traumatisées depuis des années, de l’action néfaste de M. Frédéric Bintsamou, alias Pasteur Ntumi et de ses adeptes. »
Or, nous savons tous que des accords de paix avaient été signés entre SASSOU et le Pasteur Ntumi, et que ce dernier nommé en 2007, était jusqu’au 06 avril 2016 le délégué général auprès du Président de la République, chargé de la promotion des valeurs de paix et de la réparation des séquelles de guerre. A quel moment, « depuis des années », le Pasteur Ntumi a traumatisé les populations du Pool? Nous voyons là le double langage qu’a toujours tenu SASSOU vis à vis de ses partenaires qu’ils considèrent comme des serpillières lui le Prince d’Edou. La duplicité qui est sa marque de fabrique vient d’être mise à mal. Ce dernier comme d’habitude cherchera toujours à ruser pour garder l’initiative tant importante en temps de guerre. SASSOU est celui qui promeut la guerre au Congo depuis toujours afin de se maintenir au pouvoir, les urnes lui étant définitivement défavorables. SASSOU est un chef de gang à la tête du Congo.
Il ne nous reste plus qu’à trouver les voies et moyens pour que ce dernier parte du pouvoir car nous savons tous qu’avec lui le Congo n’a aucun avenir sérieux. C’est un homme du passé avec un lourd passif. Plus le temps passe, nous sommes comme devant cette vaste forêt qui brûle et dont nous ne savons comment éteindre l’incendie tant les pompiers nous manquent. Mais ce qui est sûr, c’est que les dégâts seront considérables à la fin quand nous y arriverons. Toute tentative de dialogue n’est que peine perdue car tel un boulanger, il voudra toujours nous rouler dans la farine. Les masques sont tombés. Le combat de ce gouvernement contre le Pasteur Ntumi est plus un problème de personne, qu’une réelle opération de police avec des armes de guerre. Dans une démocratie, l’on ne juge pas des personnes mais des actes, car les personnes peuvent changer. Mais avec le temps, nous constatons que le metteur en scène SASSOU ne change pas, fidèle à lui-même dans ses scénarii à l’identique: il corrompt les consciences, cogne jusqu’à la mort puis discute après avec les survivants tétanisés de subir un jour le sort peu enviable des autres. Avertis de cette pensée pervertie, il nous revient de trouver des voies et moyens pour sortir le peuple congolais de cette agonie qui n’a que trop durée. Le peuple a besoin d’un message clair.
Comme le Pasteur Ntumi hier, monsieur Isidore Mvouba vient à son tour de subir l’humiliation de son mentor. Car, on ne quitte pas SASSOU c’est lui qui vous quitte. Telle est la dure loi de ce qui ont pactisé avec lui au détriment du peuple congolais, en vue de régner et de piller le Congo pour une très très longue durée. Ce comportement doit interpeller chacun d’entre nous, en cela qu’en politique, la conviction à des idées est plus importante que la fidélité à un homme. Nous n’allons pas vendre nos âmes pour des strapontins.
Tout est à reconstruire dans notre beau pays, les valeurs, les idées, le projet de société, les propositions et cela prendra bien plus de temps que prévu. Ce sera la difficile tâche que nous confierons au successeur de SASSOU. Ce dernier devra toujours avoir à l’esprit que lorsque l’on dirige une nation, il est important de se rappeler que l’on n’est pas seul. Tel un chef d’orchestre, il devra coordonner toutes les compétences de ses collaborateurs pour sortir le Congo des ténèbres et en faire un chef d’oeuvre. C’est aussi ce que nous attendons de nos leaders actuels qui doivent élargir le cercle de réflexion, de décisions, en sachant qu’il y a plus de choses dans deux têtes que dans une. L’approche transversale de la concertation doit être privilégiée à l’approche verticale, le tout étant plus que la somme des parties. Le peuple que nous sommes censés représenter attend de nous une vision optimiste du futur. Nous avons fait le choix de l’espoir d’un Congo meilleur sur la peur que nous impose ce pouvoir et de l’unité de l’opposition congolaise loin des divisions intestines. En aucun cas nous ne voudrions tous que cet idéal nous échappe car alors comment nous allons l’expliquer au plus jeunes d’entre-nous. Les questions, il faut se les poser avant si nous voulons y arriver comme disait l’autre afin d’y apporter les meilleures solutions.
« Rien n’est plus facile que de dénoncer un être abjecte, rien n’est plus difficile que de le comprendre. » Fiodor Dostoïevski
Est-ce un pari aussi difficile à gagner (un problème aussi insoluble) pour nous, l’immense majorité des Congolais ?
Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA
Diffusé le 10 mai 2016, par www.congo-liberty.org
VOUS PARLEZ D’HUMILIATION OU DE PROMOTION?
Un grand voile noir va s’abattre bientôt sur la Diplomatie congolaise dans la grande manœuvre pour caser les déchus de la nouvelle république:
• ADADA sera catapulté à Paris
• MVOUBA pour Pékin ou Moscou
• NTSIBA sera son alter ego interchangeable pour les mêmes postes
• Yoka à Washington ou aux Nations unies ( NEW YORK)
Maintenant que même SOUDAN reconnaît que SASSOU a perdu la bataille médiatique et Diplomatique, chers Combattants de la Diaspora réservez des accueils mémorables aux Vautours de la république.
Sortez la farine, plumes et Gourdins des caves….
Les pratiques de duplicité mensongère érigées comme mode de gouvernance par SASSOU ont été éventrées .Le petit roi d’OYOBEEK est nu , il faut le cueillir tout de suite .C’est au sein de l’armée congolaise que réside la solution du départ de ce cafard .
Depuis des lustres ce corbeau , à milles facettes a induit des milliers de nos compatriotes en erreur , en drames dont les conséquences et les stigmates resteront indélébiles dans nos mémoires .
Nous portons tous, les souffrances psychologiques issues du mode d’accès au pouvoir politique , SASSOU en est le principal instigateur , et il s’en toujours sorti par des manipulations des esprits de ces compatriotes apeurés par la brutalité bestiale de cet étranger , venu d’ailleurs .Car à ce niveau il est impensable , qu’un congolais pur sang , en vienne à sacrifier la vie de ces compatriotes sans AUCUNE empathie .L’homme n’est pas des nôtres , c’est le drame congolais .
C’est comme quand Hitler accusait les Juifs d’être responsables de ce qui leur arrive, de leurs malheurs ! Notez bien le cynisme.
Les assassinats et les scandales sont la nature de sassou nguesso:
Lu sur la toile…
Récemment réélu à l’issue d’élections plus contestées qu’opaques, le Président congolais Denis Sassou Nguesso voit de nouveau son nom associé à un scandale financier de portée mondiale. Selon les dernières révélations des Panama Papers, la « dynastie » Nguesso confisque une partie de la rente pétrolière congolaise via des sociétés offshores domiciliées dans plusieurs paradis fiscaux.
Le Congo-Brazzaville est l’un des pays d’Afrique qui détient le plus de richesses dans son sous-sol. L’exploitation de son pétrole assure 75% des revenus de l’État et pourtant plus de la moitié des congolais vit toujours sous le seuil de pauvreté. Rien d’étonnant si on se fie au dernier scandale impliquant la famille dirigeante, au pouvoir depuis plus de 30 ans. En effet, selon les révélations de nos confrères du quotidien Le Monde ainsi que 108 autres rédactions de 76 pays, les Nguesso blanchissent une bonne partie des revenus issus du pétrole via des intermédiaires comme Lucien Ebata, 47 ans et proche ami de Denis-Christel Sassou Nguesso, le fils du Président congolais.
Les dirigeants de Forbes Afrique impliqués
Lucien Ebata, trader pétrolier congolais, est également le fondateur et PDG du magazine Forbes Afrique, toujours élogieux à l’égard du régime de Sassou. L’homme a fondé en 2004 la société Orion Oil, établie en Suisse et immatriculée au Seychelles depuis 2009 par la firme Mossack Fonseca. Par ailleurs, l’associé d’Ebata, Philippe Chironi, un français vivant en Suisse, est dans le viseur de la justice française dans l’enquête sur les biens mal acquis. Le cofondateur d’Orion Oil et administrateur de la société Forbes Afrique Media Holding est soupçonné « d’avoir participé à des opérations de blanchiment de détournement de fonds public au profit de la famille Sassou-Nguesso ». Orion Oil est spécialisée dans le commerce physique de pétrole brut et de produits raffinés (diesel, fuel). Elle compte parmi ses clients la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC), dont Denis Christel Sassou-Nguesso, est directeur général adjoint. La SNPC a été crée par des proches du clan Sassou lorsque ce dernier est revenu au pouvoir en 1998 à la fin de la guerre civile. Parmi eux, Bruno Jean Richard Itoua, actuel ministre de la recherche scientifique qui a été mêlé à d’importants détournements de fonds via des sociétés fictives, selon une enquête de la Cour fédérale américaine. Les documents révélés par les Panama Papers l’impliquent également dans la direction de deux sociétés, Denvest Capital Strategies et Grafin Associated SA, enregistrées par Mossack Fonseca au Panama et aux îles Vierges britanniques.
Denis-Christel Sassou Nguesso, le dénominateur commun
Selon les Panama Papers, le fils du président a mandaté Mossack Fonseca dans les années 2010 pour créer une société domiciliée aux îles Vierges britanniques, la Phoenix Best Finance Ltd. Denis-Christel Sassou Nguesso, par ailleurs député au parlement congolais, est aussi dirigeant de l’unique raffinerie du pays, la Congolaise de raffinage (Coraf), en plus de sa position à la tête de la SNPC. Il serait en relation directe avec une nouvelle génération de négociants en pétrole et consent à les laisser s’enrichir par les commissions perçues sur chaque transaction. Contacté à Brazzaville par Le Monde, il nie en bloc : « Je ne connais ni Mossack Fonseca ni Phoenix, ni ces traders [de pétrole congolais] soi-disant proches de moi. » Pourtant, son nom apparaît dans des documents de Mossack Fonseca à côté de celui du négociant de pétrole Jean-Philippe Amvame Ndong, fondateur de la société de négoce Philia SA. Selon l’ONG suisse La Déclaration de Berne, Philia SA aurait bénéficié de contrats avantageux pour acheter aux sociétés publiques congolaises des produits pétroliers à des prix inférieurs à ceux du marché.
Toutes les associations Congolaises sur Paris doivent saisir le Tribunal international du commerce, la Banque Mondiale et le FMI pour obtenir de la TURK EXIMBANK la rupture immédiate du contrat de prêt de 200 millions de dollars qu’elle s’apprête à verser au gouvernement illégal et illégitime du Congo, contre la mise en gage des droits douaniers du Congo sur une dizaine ou 20 aine d’années. Cela au motif que L’actuel gouvernement du Congo étant illégitime et illégal n’a pas le droit de contracter au non de tout le peuple Congolais. Ecrire à Eximbank par voie d’huissiers en lui signifiant qu’elle engagera ce décaissement A SES RISQUES ET PERILS ET QU’AUCUN GOUVERNEMENT FUTUR DU CONGO N’ENDOSSERA CETTE DETTE. Il faut mettre la pression à tous les partenaires économiques actuels et futurs du Congo en leur disant que le gouvernement à la MOUAMBA TOUFFi est une personne morale publique USURPATRICE et USANT DONC DE FAUX EN MATIERE D’ECRITURE. Les contrats qu’elle engage et enterrine SERONT TOUS NON ENDOSSABLES PAR LE FUTUR GOUVERNEMENT. Ces contrats n’engageront donc qu’à titre individuels TOUS ceux qui les ont emmargés et signés.
Le titre de cet article est quelque peu rigolo et le contenu d’une pauvreté certaine… Après 32 années de crimes de sang et de crimes économiques non stop, il faudrait vraiment être stupide pour ne pas savoir qui est vraiment cet ignoble personnage. Je pense qu’après tous les maux subis, les Congolais (hormis 8%) savent qui est sassou. La question qu’il faudrait plutôt se poser est « Quand est-ce que sassou partira ? » ou « Comment précipiter la chute de sassou? ».
Clément MOUAMBA ne représente ni la Lékoumou , ni le Nibolek , ni le SUD CONGO . Il représente juste sa pitoyable personne et au plus sa famille . MOUAMBA est un traitre qui collabore avec le colon nordiste afin d’assoir définitivement la domination du SUD par le NORD. Plus personne ne peut tromper les sudistes comme autres fois , même si quelques -uns pensent encore naïvement que les nordistes sont des compatriotes . Aux sudistes qui vivent encore dans l’illusion d’un Congo uni et indivisible, sachez que le nordiste a un seul objectif dans sa vie : la domination du sudiste et le pillage sans pitié des richesses du SUD . Comme Sassou , le nordiste ne veut pas de compatriote sudiste parce qu’il a grand besoin d’esclaves sudistes .
Chers compatriotes SUD CONGOLAIS ne pensez plus CONGO . Pensez plutôt SUD CONGO car , c’est grâce à lui que vous allez enfin vivre libres et prospères parce qu’il n’y a aucun avenir pour vous dans l’actuel CONGO . Ne désespérez surtout pas car le train de la liberté est en marche .
Très cordialement votre compatriote
Il ne faut cesser d’informer, de dire voire même de redire les vérités connues de tous, notre conscience et notre éveil est à ce prix. On ne doit pas se fatiguer de rappeler à nos contemporains les crimes éthiques, économiques et de sang dont sont coupables un certain nombre de nos compatriotes pervers. L’histoire en sera témoin. Ne serait ce que pour la postérité. On ne doit cesser de le rappeler.
Le devoir de mémoire et de synthèses historiques et économiques nouvelles, no comment !
CE MUSÉE N’EST PAS CELUI DE LA HONTE DE L’HOMME NOIR ET DES PEUPLES COLONISÉS PAR LA FRANCE. IL EST PLUTÔT CELUI DE L’HUMANITÉ ET DE L’HISTOIRE HUMAINE A L’ECHELLE FRANÇAISE…
Le devoir de mémoire: le peuple qui n’a pas de lieux, de monuments, des mémoriaux symboliques à caractère historique plus ou moins partagé vivra toujours dans la récurrence des mêmes erreurs, des mêmes horreurs, des même effets dé-civilisés et des mêmes crises sociopolitiques et humanitaires sur différentes échelles nationales. Si le Congo Brazzaville sort de la dictature des Nguesso et maintenant, ce serait 10% d’augmentation constante annuelle de transaction financière et de valeurs ajoutées nouvelles (services) et évolutives mutuelles entre le Congo Brazzaville et la France métropolitaine (Isidore AYA TONGA, le congolais qui repense hors cadre politique diplomatique et économique, le marché francafrique et ses enjeux de sociétés nouvelles sur cette échelle)… https://www.youtube.com/watch?v=d8EqTU-EOfM
j’apprend ce soir, 19h passé, qu’il y a eu coups de feu nourris de 8h environ du matin à 13h, du côté de Ouenzé – Mpila; des coups de feu entre deux corps de l’armée, vraisemblablement la GR et la police militaire… Bien sûr un black out total est mis sur cette affaire…Je demanderais que ça soit vérifié notamment par des internautes ayant des parents résidant dans cette zone…
envoyez des western union aux sinistrés, des produits de première nécéssité au lieu de manger la sémoule et parler a longueur de journée
@Mwangou
Je viens d’appeler ma tante qui habite à Ouénzé ,il y a eu belle et bien une fusillade non loin du carrefour Koulounda et l’hopital de Talangai qui a juste durer 5 minutes de feu nourris.C’était vraiment la panique à Ouénzé et Talangai.Pas de 8h à 13h.
Le 10 mai est la journée des mémoires et de réflexion sur la traite, l’esclavage et leurs abolitions. Où en sont les congolais?
ecrire a la banque turc et autres emprunteurs voila une bonne idee et de plus efficace.
À ceux et celles qui se bercent encore d’illusions.
Extrait des Paroles de Souchlaty Poaty:
« Rêvet une importance particulière à mes yeux l’engagement pris par le Capitaine Marien Ngouabi en accédant au Pouvoir politique le 31 juillet 1968. En ce temps-là, lorsque le président Massamba- Débat perdit la tête du pays et que celle-ci échut entre les mains du jeune capitaine, ce denier déploya un trésor d’habileté, dont le point d’orgue fut la réunion tenue à Owando pour rassurer les autres localités du grand Nord ( Makoua-Boundji-Ouesso-Impfondo-Oyo).
C’était pour que les esprits et les aspérités soient aplanis, notamment, entre Makoua et Kouyou en vue du partage du pouvoir. En somme, le pouvoir Nord, comme on le qualifiait, alors, détenu par Marien Ngouabi, devait être exercé alternativement et durablement entre fils de ces contrés réputées abandonnées depuis la colonisation.
Mais la succession de Marien est intervenue de façon plus chaotique que réfléchie à la suite de sa tragique disparition le 18 mars 1977. Et l’apparition inopinée du Colonel Yhombi Opango au devant de la scène n’a pas correspondu aux prévisions stratégiques de l’alternance tribalo-régionaliste des Tenants du Pouvoir Nord.
Sans doute, Yhombi Opango pouvait-il se prévaloir par son père du district de Makoua pour s’installer au pouvoir dans le cadre de l’alternance géopolitique intra-régionaliste, mais il se distinguait davantage en parent de Marien, en fils d’Owando par sa mère et en Kouyou dans l’âme.
De sorte que la stratégie d’occupation et d’alternance du pouvoir n’a véritablement commencé à produire ses effets qu’avec Sassou-Nguesso qui, en évinçant Yhombi, le 5 février 1979, n’a pas été condamné comme il se devait par les cadres du Nord.
Ces derniers ont vu dans cette prise de pouvoir, un acte certes inélégant et heurté, mais, conforme à l’Accord d’Owando dans la mesure où les Kouyou avaient, déjà, commandé par le truchement de Marien Ngouabi.
Mais, jusqu’ici la conservation du Pouvoir dans les seules mains de Sassou-Nguesso a en même temps ouvert toutes les dérives. Celles de la chute, puis, de l’emprisonnement à 10 ans sans jugement de Yhombi constituent les plus frappantes.
Sassou ne manque d’ailleurs pas de mettre la main à la poche, plutôt, au Trésor public, en fait de compensation pour s’assurer le soutien du « Parent de Marien » qui le lui rend bien, quitte à mettre les fortes récriminations des Kouyou entre parenthèses.
Ce n’est pas tout, après l’intermède Yhombi, Sassou a monopolisé le Pouvoir Nord pour le transformer en oyocratie exclusive, jusqu’à considérer les Makoua, Mbochi de Boundji et autres prétendants Likouala et Bakouélé-Ndjem comme étrangers à la gestion au Sommet des leviers de commande du pays.
Plusieurs cadres de la Likouala, par exemple, en sont restés les uns pour leurs frais, les autres sur leur faim, qui ont vu disparaître tour à tour les meilleurs des leurs après avoir reniflé l’odeur du pouvoir.
Le pouvoir, en vérité a été échu au Nord du Congo en vertu d’un décret de la Providence et non par les suffrages du peuple congolais.
Et ce ne fut que justice et de bon aloi que Marien ait songé à le partager équitablement et alternativement, sans exclusive.
Toutefois, un décret même divin, contient sa date limite de validité, à la différence près que, prescrite par l’Insondable, nul ne la connait.
Cette situation ne manquera pas de répercussions surtout lorsque Sassou-Nguesso aura disparu de la scène politique.
En attendant, on a vu le général Jean Marie Michel Mokoko, un Makoua bon teint, quoique né à Mossaka, se présenter contre toute attente aux élections présidentielles du 20 mars 2016. Il l’a fait certes en Fils du Congo, répondant à l’appel de la démocratie, mais aussi, en n’ignorant pas que le pouvoir du Nord monopolisé par Sassou-Nguesso, Mbochi minoritaire d’Oyo, aurait dû faire l’objet d’une rotation consensuelle intra-regionale.
Mokoko était parti pour gagner, même sans appareil politique, mais, avec l’onction populaire, dépassant toutes sortes de clivages. Ce qui a bouleversé littéralement le tenant actuel du Pouvoir Nord, tribalo-régionaliste à l’excès, qui pendant longtemps, faisait valoir à qui voulait l’entendre qu’il n’y aurait pas d’autre coq dans la basse- cour. Alors que moi, je prêchais le contraire, urbi et orbi.
En effet, il était prévisible que Sassou ferait tout pour empêcher une victoire du Général Mokoko qui risquerait de le jeter définitivement dans la poubelle de l’histoire plus tristement que ne l’eût fait un civil ressortissant du Sud du Pays.
C e ne fut donc pas de ma part faire œuvre de prophétie que de suggérer au peuple congolais de porter ses suffrages sur un candidat gagnant du Nord du Pays pour les élections présidentielles du 20 mars 2016 (voir ces Diables qui prennent la tête à Denis Sassou-Nguesso, page 12 paragraphe 11 du 9 mars 2016 sur le Site zenga mambu).
… C’est dans la prétendue division Nord-Sud que Sassou-Nguesso, le plus grand commun diviseur du pays, tire la substance vivifiante de son régime satanique, et ce, depuis l’assassinat de Marien.
Voilà pourquoi l’élection inéluctable de Jean Marie Mokoko a été étouffée dans l’œuf, qui risquerait d’enlever toute justification à l’existence du « pouvoir au bout du fusil » et du PCT refuge d’assassins, de voleurs et d’incompétents, à l’accaparement des postes de responsabilité ministériels, administratifs et militaires. Bref, à une politique tribalo-régionaliste initiée pour empêcher le Sud, et singulièrement les « têtus » Laris-Bacongo de revenir au pouvoir. »
Sassou a transformé le Congo a un terrain de chasse dont le gibier c’est l’humain.
Le problème du congo c’est n’est pas Ntoumi ! Mais sassou et Parfait Kolelas un garçon très ambigu et manipulateur , qui en réalité est un pro sassou et prend le pool en otage ! Tsaty Mabiala encore un escro qui joue dans l’équipe Sassou ! Mais la fin est très proche et demain les enfants Kolelas ne pourront plus vivres au congo car leurs pacte avec sassou est connu de tous !