Procès de Ghys Fortune BEMBA DOMBE : partant du repérage à la tentative d’homicide et autres.

Quelques jours après avoir permis l’audition de 19 personnes, l’enquête qui avait conduit à une comparution immédiate à la dixième chambre correctionnelle du tribunal judiciaire d’Evry le 18 septembre 2024, avait finalement été renvoyée à ce 23 octobre 2024. La prévention visait initialement la qualification de tentative de meurtre.
Maître Cloé du cabinet Montbrial et Associés, ainsi que Philippe Missamou affirment que les faits de cette qualification se caractérisent par trois éléments :
a) la nature de l’arme létale, le couteau d’une lame de 8 cm, utilisé pouvait occasionner des blessures profondes donc la mort.
b) la nature de la blessure infligée sur une zone vitale du corps particulièrement exposée.
c) l’attitude révélatrice du prévenu.

Le visionnage des images de vidéosurveillance démontre qu’à 13h32mn et 43s avant que le train s’estompe, le mise en cause se rassure de sa cible en passant devant elle, feignant d’aller descendre de l’autre côté. Il s’arrête au milieu de la rame, palpe sa veste et son jean’s, pour en sortir son couteau. 13H32mn et 55s, il revient rapidement vers sa victime, toujours assise dos à lui. Il l’assène deux premiers coups qui vont le rater grâce à un geste inopiné ayant conduit la victime à se pencher afin de ranger des documents dans son sac. Le troisième coup qui dévia la trajectoire l’atteignit ( capture d’écran 5). 13h33mn01s, la victime se tient le crâne, se retourne, se lève et prend la fuite en direction du bas de la rame ( capture d’écran 6). Selon Maître Cloé et Philippe Missamou, l’attitude du prévenu démontre bien son intention de tuer BEMBA DOMBE qui se trouvait alors de dos, et sans aucun moyen de défense ou un autre lui permettant d’éviter les coups dans une rame où il était seul. Il a donc été pris délibérément pour cible. Les témoignages de monsieur Sofiane OTMAN, des médecins font état d’un saignement abondant. Les articles 121-3, 121-5, 221-1 du code de procédure pénale, la jurisprudence prouvent à suffisance le crime et devraient entraîner l’incompétence de cette juridiction où étonnamment, la prévention sous laquelle a été renvoyée monsieur Thiiruchchelvan VASATATHAN vise le délit de violences. De là il n’y a qu’un pas à penser à une main noire.
Répondant sur la question d’une certaine main noire et des menaces qui ont été mises en exécution contre lui, Ghys Fortune BEMBA DOMBE explique au Tribunal : ‘’certaines situations me font réfléchir mais sans preuves matérielles, c’est compliqué d’affirmer quoi que ce soit. N’étant pas psychiatre je ne peux non plus affirmer si ce monsieur est un fou. Ce qui est vrai, c’est que, les dictatures et les « démocratures » utilisent des délinquants et des malades mentaux pour nuire à leurs opposants. Admettant qu’il soit fou, il m’est difficile de dire s’il a été envoyé ou pas pour me tuer’’.
Par ailleurs, les nombreuses femmes dont on affuble la victime, n’ont plus été écoutées parce qu’elles ont pris la clé des champs au pire elles se sont simplement volatilisées. l’arène a fondu comme neige au soleil car, depuis le début de cette affaire jusqu’à la barre, BEMBA DOMBE déclinant son identité, dit être lié à une seule femme : Tatiana Murella Laverne Mahoungou, cela suivant la coutume congolaise. Cette dernière a quitté la France depuis le 14/09/2024 pour des obligations familiales et non pour éviter les auditions comme nombreux le prétendent.
L’agresseur, nonobstant l’insistance de la présidente du Tribunal, n’a livré aucune explication sur son geste comme le relate le journaliste Florian Garcia dans Les parutions du Parisien (24 et 25 octobre 2024). Son silence n’a pas empêché qu’il soit condamné à 3 ans d’emprisonnement ferme et qu’il paye la provision de 5000/10.000 euros demandée par la victime. D’autre part, DOMBE BEMBA a rejeté l’indemnisation d’une centaine de milliers d’euros qu’il trouve insignifiants, ainsi une autre audience est prévue le 13 mars 2024 pour scruter l’expertise des spécialistes et certainement le témoignage clef de sa compagne.
Tous les quolibets dont se nourrissent les réseaux sociaux n’ébranlent pas Ghys Fortune BEMBA DOMBE qui a foi en Dieu et demeure serein quant à la suite de son avenir multidimensionnel.

Jean Claude Nikita

Diffusé le 26 octobre 2024, par www.congo-liberty.org

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2 réponses à Procès de Ghys Fortune BEMBA DOMBE : partant du repérage à la tentative d’homicide et autres.

  1. Samba dia Moupata dit :

    Mes pensées fraternelles au frère Dombe Bemba, qui souvent accusé de duplicité, car son amitié indéfectible à Jean François Ndenguet le tortionnaire et l’assassin des 500 kongo au Beach . Je pense que Ghys aurait arrêté la folie de ces geôliers Mbochi des son arrivée en France , chose qu’il ne voulait délibérément pas faire. Cela devrait éduquer tous ces voyous qui font double jeu avec les Mbochi.

  2. marie monique dit :

    finalement denis sassou ng navait rien a voir….ce sri lankais connaissait il denis sassou ng ? denis sassou ng n’a aucun ami sri lankais

    quant au depart de mme tatiana elle a raison mr

    quelle est cette femme qui se rejouira de partager sa vie avec un homme qui passe tout son temps a pourfendre l’action politique de denis sassou ng.

    enfin le redacteur de l’article doit aussi prendre quelques cours de francais. il ya des fautes legeres surtout la concordance des temps

    vous dites qu’une autre audience est prevue le 13 mars 2024. cette date est passee a ce que je sache . 13 mars 2025 vouliez vous ecrire? quelques fautes quand meme…

    dernier point

    s’il fallait tuer dombe mbemba ben ecoutez combien de fois lui meme n a t il pas appele a la mort de denis sassou ng?

    mme tatiana a raison de quitter ghys d mbemba

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