De la contradiction à la violence
L’expression démocratique par la divergence d’opinion, notamment, se heurte à la difficulté d’interprétation que la culture du pouvoir des « chefs africains » analyse, comprend et traite comme une violence faite à « l’autorité établie ». D’un côté, celui du pouvoir, la rengaine est obsessionnellement tournée vers la consolidation ou la préservation de la paix, la sécurité et la cohésion, sans apporter la preuve de la menace ou la nommer. De l’autre, celui des contradicteurs, la sémantique est non pas fondée sur une différence idéologique de fond, mais sur la contestation voire la négation de la légalité et la légitimité du régime, de la dénonciation systématique des processus officiels. La vie politique est un champ de bataille en coupe réglée de protagonistes dont la ligne de démarcation politique reste floue. L’affrontement politique se mue essentiellement en positionnement personnel et devient le lieu qui crée les occasions pour quelques règlements de compte.
De Sassou Nguesso à Claudine Munari, en passant par Mokoko, Bowao, Okombi Salissa et autres Parfait Kolelas ou Tsaty Mabiala, Tous ! quand ils ne se revendiquent pas de la social-démocratie, ils ont été élevés et/ou nourris à la sauce piquante de l’autoritarisme d’Etat incarnée par celui qui passe désormais pour être l’un des plus maniaques tripatouilleurs du maquillage démocratique sous les tropiques des temps modernes, en plus de ses performances universellement reconnues d’habile et violent dictateur des années 70/80 dans une Afrique où le pouvoir se négociait au bout du fusils.
Notre espace politique est phagocyté par une horde d’activistes de tous poils qui offrent un spectacle de corbeaux s’injuriant réciproquement de leur laideur, sans aller jusqu’au bout. Les loups ne se bouffant jamais entre-eux ! Si violence il y a dans le débat publique, elle vient de la même source : Le pouvoir du PCT et ses dissidents (pour l’essentiel). Ils sont les seuls vecteurs de la brutalité politique caractéristique des rapports de forces qui tiennent moins de l’expression plurielle en rapport avec la satisfaction ou les déceptions de l’opinion face à la réalité de l’exercice du pouvoir ou des propositions alternatives venant d’une véritable et authentique opposition.
Faut-il considérer, fort de ce constat, que le Président Candidat du pouvoir despotique n’a-t-il pas eu un concurrent Démocrate à sa taille ? Certainement ! Mais encore… Dans l’état actuel des forces en présence, il faut espérer une réponse collective forte et généralisée pour imposer Respect des normes et Considération de l’opinion majoritaire à ces gourous ivres de pouvoir et prêts à tout !
Du processus électoral
En politique engagé et convaincu de l’irréversibilité de la perspective démocratique de mon pays, notre satisfaction sur le processus en cours réside dans le fait que les populations congolaises, sa jeunesse en particulier, viennent de faire un retour remarquable et très remarqué sur la scène publique. Ce fut le vœu exprimé dans notre interview publiée dans le bi-hebdomadaire « La Semaine Africaine » n°3543 du 10 novembre 2015, au lendemain de la promulgation de la constitution dite du 06 novembre 2015. Faire participer massivement les populations au processus politiques est la clé de voute pour la résolution à moyen et long terme, et même à court terme, de l’équation du pouvoir confisqué dans un pays croulant sous le poids d’une mécanique tribalo-ethnique encore paralysant.
Mais, la participation dont s’agit, comporte des exigences et des prérequis. Il faut en avoir l’intelligence et en comprendre les mécanismes ainsi que les enjeux. Face à un pouvoir vieillissant et décadent, il eut fallu une élite nouvelle, déterminée et intelligence, pour répondre au défi du renouvellement de génération, dont le pays a tant besoin. A l’opposé d’une espèce de programme pour « allez semble-t-il plus loin », une démarche rigoureuse pour ouvrir sérieusement les portes de notre futur aurait permis d’imposer à ce pouvoir, non seulement de regarder son bilan, mais surtout de faire école sur les codes qui définissent la compréhension du nouveau monde dans lequel nous sommes appelés à jouer une partition, autre que celle de simple comptoirs des puissances ex-coloniales.
Face aux Moungalla, Elongo, et autres Bouya ou Ondongo, tous de triste réputation pour n’être que des suppôts d’un pouvoir de corrompus et de corrupteurs, pouvoir incompétent dans la résolution des problèmes qui se sont posés et qui se posent encore à notre pays, à nous tous en tant que citoyens, le pays et les congolais étaient en droit de voir rivaliser au-devant de la scène, les meilleurs d’entre nous que le pays a engendré par millier et qui portent pour le Congo les meilleurs projets et le rêve d’un avenir de dignité.
Ainsi, le pouvoir n’a pas boudé le plaisir de nous servir, à ciel ouvert, la saga d’une instruction policière, qui concernerait un Général Candidat, dissident, étant jusqu’à l’annonce de la présidentielle précipitée, Conseiller du pouvoir, dans une histoire de coup d’Etat des plus rocambolesques, qui remonterait de l’année 2007 et qui n’attendait que ce moment pour en établir le caractère délictuel. Un cirque bien orchestré comme savent le faire les régimes autoritaires de type dictatorial, pour éviter de poser les questions de fond qui nous cisaillent.
A la place d’une confrontation politique dans le cadre d’une élection présidentielle d’essence démocratique, le pouvoir s’en est donné à cœur joie, pour des motifs aussi ridicules que fantaisistes de multiplier des alertes au chaos savamment attribué à ses dissidents qui, plus est, n’ont d’amis qu’au Pct pour les en vouloir à mort. Une aubaine pour justifier cinq jours de coupure de communications afin, -c’est la réalité- d’opérer une manigance électorale à huit clos, à l’abri de toute curiosité.
Aussi, savions-nous que participer à cette élection sans avoir réussi à imposer des conditions minimales de transparence ne donnait, à priori, aucune chance aux adversaires du régime de la gagner. Il aura été question de mettre face au pouvoir des interlocuteurs exigeants, déterminés et courageux. Car, lors des précédents scrutins (entre 2002 et 2012), la magouille était feutrée faute d’adversaires et d’électeurs qui ont régulièrement boudé les rendez-vous politiques. L’engouement des populations au scrutin du 20 mars 2016, vient de mettre à nue l’échelle de la tricherie à la mesure du désaveu.
La messe électorale est dite ! La parfaite connaissance que nous avons de la nature et des pratiques du pouvoir de Brazzaville nous amènent à penser que, rien ni personne n’aidera à faire entendre raison pour corriger le mauvais tir. Mais le plus dur pour tous est à venir !
Le pouvoir Entre l’enclume et le marteau
Le pouvoir de Brazzaville, depuis le forcing du référendum constitutionnel et du présent bidouillage électoral, est plus que jamais face à lui-même dans sa contradiction principielle à défendre la règle démocratique sur les fondations d’une Paix « chèrement acquise », et la propension pathologique à bafouer la volonté et l’expression de l’opinion publique majoritaire ; mais aussi face aux Peuples du Congo qui ne peuvent plus avoir confiance à un régime de truands.
Le Congo post-élection du 20 mars 2016, avec un dirigeant mal ou non élu sera ingouvernable. Entre l’enclume de la déconfiture morale de l’engeance au pouvoir en panne de légitimité, elle-même reposant sur des fondements constitutionnel chahuté par le plus grand nombre, et le marteau de la crise financière liée à la chute des cours du barils de pétrole sur le marché international, qui ne tardera pas à produire tous ses effets, maintenant que les calculs électoraux sont derrière nous, notre exigence de vérité nous oblige à le dire tout haut et sans détours : Le Congo va sombrer à mesure que vont s’amplifier à la fois la crise politique et la rareté des ressources financières de l’Etat.
Il faille tout de même en sortir !
Notre pays, et ce depuis l’aube des indépendances, souffre d’une crise de pouvoir. Un pouvoir qui se noie dans des considérations sociologiques non compatibles aux principes d’organisation d’un Etat de type républicain. Il est toujours temps de faire le compte de celles et ceux qui pensent posséder le gène de l’éradication de cette culture politicienne de la soif du pouvoir pour le pouvoir personnel.
A la violente absurde d’un pouvoir usurpé, il nous faut opposer Intelligence et Action raisonnée, mais déterminée.
Brazzaville, le 24 mars 2016.
Wilfried D. Kivouvou
Président de La Conscience Libre
Diffusé le 25 mars 2016, par www.congo-liberty.org
Ces leaders de l’opposition même s’il ne sont pas parfaits ont bougé leur cul sur le terrain pour donner à nous le peuple l’occasion de dire à ce pouvoir attention attention même si ça n’ a pas marché c’est pas des écrits d’intellectuel assis douillettement à l’étranger qui font peur au régime Monsieur les inspecteurs de travaux fini dans votre genre;;……..pfffffffffffffff aaah je suis même fatigué certains congolais intello sont vraiement sur leur planète
Je suis d’accord avec vous anonyme. Les beaux discours ne changeront pas la donne sur place. Ce qu’il nous faut, ce sont des leaders capables de galvaniser la jeunesse en quête de son avenir que certains politiciens véreux veulent hypothéquer. Nous voulons un plan d’action, un message clair, et sans ambiguïté pour nous défaire de l’esclavage qui nous tient depuis 500 ans avec la complicité de négriers africains, complexé encore à l’œuvre aujourd’hui. Nous en avons la preuve, éclatante, au vu et au su de tous. Qu’est ce qu’il nous faut de plus pour se révolter? La honte d’être la risée de l’Afrique, voir du monde, m’ébranler chaque jour qui passe. N’avons nous donc aucune dignité?
Franchement, est ce que le message d’appel a la désobéissance civile, nous savons ce qu es c’est, faite par mokoko n’est pas claire ? Lorsque en 1990 sassou arrête le congres de la csc qui demandait la conférence nationale souveraine le mot d’ordre de grève générale a rte lancé, qu’est ce qui était plus clair que celui de la désobéissance civile d’aujourd’hui. Nous savons aujourd’hui que c’est kolela qui attend son poste. Et donc ce n’est pas que le mot d’ordre de désobéissance civile na pas ete clair. Soyons sérieux. Les libertes sont confisquées ici.
Voici les vrais résultats de l’élection présidentielle au Congo-Brazzaville, conformément au décompte de la Commission Technique Électorale (CTE) de l’Opposition congolaise. L’on constatera que M. Sassou Nguesso est très largement battu à plate couture. Tout le reste n’est que pure truanderie.
Merci de diffuser ces résultats partout où besoin sera.
Sur la route du combat final:
Lu de Alphonsine Mikouiza·vendredi 25 mars 2016
Nous sommes des légalistes: Allons jusqu’au bout de la stratégie “ coller la petite”
Je suis étonnée de constater que certains sous-estiment le combat mené par la majorité républicaine au Congo Brazzaville. Cette majorité républicaine doit obligatoirement fermer toutes les portes derrière elle. Nous sommes des légalistes démocrates, allons jusqu’au bout de la stratégie que nous avons mise en place
C’est pourquoi c’est important de déposer ce recours devant la cour constitutionnelle même si nous savons qu’il a des fortes chances de ne pas aboutir à notre faveur.
Nous suivons tous l’évolution de cette situation. L’opposition congolaise devenue aujourd’hui la majorité républicaine a mis en place une stratégie de résistance et de combat pour la restauration de la démocratie au Congo. Cette stratégie a eu la faveur de porter le nom de “Coller la petite” en référence à cette chanson de l’artiste camerounais FRANKO qui fait fureur et fait danser actuellement la jeunesse africaine, française et francophone.
C’est un combat que nous menons, nous ne devons pas avoir des hésitations. Dans chaque combat, chaque victoire remportée doit être consolidée et préservée. C’est comme dans une vraie guerre, pour ceux qui ont fait les stratégies et les tactiques de la défense nationale dans l’armée, ils savent que dans toute guerre, quand vous gagnez du terrain il faut préserver le territoire gagné pendant votre conquête. C’est ce que l’opposition doit faire et est entrain de faire. C’est pourquoi, la majorité républicaine doit fermer toutes les portes derrière elle pour ne plus laisser une issue de sortie ou de secours à la dictature.
Dès le départ on savait bien qu’il allait tricher, les congolais ce sont battus pour trouver les preuves de la fraude alors maintenant que nous avons ces preuves nous n’allons pas tout gâcher au dernier moment. D’ailleurs la communauté internationale l’a bien dit, qu’il faut utiliser les moyens légaux de recours, selon vous pourquoi? Nous savons tous que cette cour constitutionnelle est à la solde du pouvoir mais il faut obligatoirement fermer cette porte pour que Sassou Ngesso ne vienne pas nous dire après voila, l’opposition n’avait qu’à faire un recours si elle n’était pas d’accord avec les résultats de sa CNI que nous savons partiale et complètement à sa solde tout comme la cour constitutionnelle.
Dès le départ on savait que le dictateur ne pouvait pas laisser aussi facilement le pouvoir, ce monsieur qui prend les congolais de Brazzaville en otage n’a jamais été un démocrate. Tout le monde le savait sauf les naïfs. Alors on a mis en place cette stratégie pour le faire partir en appréciant et limitant les coûts en vie humaine.
La mise en place de cette stratégie a démarré dès l’instant où l’opposition congolaise a accepté de participer à cette élection. Pour tout démocrate, il était question de prouver que ce n’est pas lui qui avait la légitimité du peuple congolais mais c’est l’opposition. D’ailleurs vous avez constaté à quel point la dictature a payé les jeunes pour assister au meeting de ce monsieur. Pour lui c’était un message qu’il voulait envoyer à la communauté internationale en prouvant qu’il y a foule dans ses meetings et justifier plus tard la fraude .
Alors ne nous faisons pas avoir au dernier moment et ayons la patience d’avancer pas à pas. cela n’empêche pas de mener d’autres actions comme la désobéissance civile. Assurons-nous d’avoir fermé toutes les portes derrière nous et d’avoir jeté les clefs très loin.
A bon entendeur Salut!
Mon commentaire: Je vous accorde un dernier crédit.Mais il n’est pas un chèque en blanc.Je demande en échange que vous nous précisez les délais de ces recours.Et que le retour de ces recours ne se passe pas de la date de proclamation par cette caisse de résonance de leur protegé usurpateur si est ce qu’ils ont l’intention de proclamer cette forfaiture.
Ce n’est tant le message de Mokoko qui est l’objet de mon intervention. C’est plutôt l’inaction du peuple que je ne comprend pas. Mokoko est le plus cohérent d’entre eux. Okombi, Tsaty et Kolelas, eux sont totalement incohérent dans leurs postures de faux démocrates qui n’attendent que leur tour, comme leur avait promis leur chef franc-maçons de la loge du Congo.
Cette requête nous renvois inévitablement dans un processus chronophage incertain, dans lequel le pouvoir qui à la main sur la cour constitutionnelle, peut faire traîner les choses. Ce recours n’ayant aucun caractère suspensif, ne l’empêchera donc pas de prêter serment, de réinstaller son pouvoir et d’achever la chasse aux sorcières. Cette opposition ne sera pas épargnée. Aucun cadeau ne leur sera fait. Le délai de réponse de la cour constitutionnelle ne devra pas dépacer une certaine date que l’opposition se sera fixée au préalable. Au delà de ce délai que j’espère très court, il n’y aura plus d’excuses. Chacun devra prendre ses responsabilités. Il est temps d’arrêter d’élaborer des stratégies en fonction de la réaction d’en face. Il faut maintenant prendre le taureau par les cornes et agir par anticipation et non par réaction comme on a pu le constater depuis le début de cette crise.
Point n ‘est besoin de mendier un quelconque avis juridique de la cour constitutionnelle .Les preuves manifestes du vol électoral sont irréfutables .
A l’opposition de faire preuve d’une intelligence exceptionnelle , pour contrer la joie indécente du voleur des voix du peuple .
La cour constitutionnelle , est une chambre de toilettes de SASSOU , il s’y sent l’aise comme un poisson dans l’ALIMA , car il y dépose ces déjections comme bon lui semble .
A moins que KOLELAS , éreinté par les affres de la campagne , veuille y aller humer l’odeur .
Lu dans AE
Qui a dit que le « bâtisseur infatigable » était infaillible, invincible ? Le voilà qui, pour se maintenir au pouvoir, pratique la dictature à ciel ouvert. Il n’a plus le choix. Pour retarder sa chute, d’ores et déjà, programmée, il se voit obligé de museler, totalement, ses adversaires du 20 mars alors que, lors de sa conférence de presse pendant la nuit de la proclamation de sa victoire par KO au premier tour, il avait déclaré urbi et orbi que « la démocratie s’exerce » au Congo, et que ses « adversaires ont le droit de s’exprimer librement » même s’il ne partage pas leurs positions.
Ce matin, patatras ! Après avoir eu vent de la conférence de presse que les Cinq Grands Candidats (Mokoko, Kolelas, Okombi, Mabiala et Munari) voulaient tenir, à Diata, au siège de l’UPADS, afin de donner la suite de la protestation contre son hold up, Sassou a envoyé des camions de policiers et de militaires, dès 6h30 du matin, encercler le siège de l’UPADS, pour empêcher cette conférence de presse de se tenir.
Ce matin, encore, il a envoyé une escouade de policiers et de militaires encercler le domicile de Zacharie Charles Bowao, coordinateur de l’IDC-FROCAD et responsable de la CENI de l’opposition, diffuseur des tendances contraires à la CENI de Bouka qui est à sa solde.
Pour quelqu’un qui a totalisé 60,39%, dès le premier tour, ce qui est un score exceptionnel, on ne le sent pas dans le pays. Au contraire, ce sont les partisans de l’opposition qui donnent de la voix et ont le vent en poupe. Pour les effrayer, Sassou leur envoie des militaires.
Rejeté par tous, le vainqueur auto-proclamé n’a à présent reçu aucun message de félicitation. Pour se donner un peu d’air, il a tenté, selon nos informations, de semer la discorde au sein du Groupe des Cinq Grands Candidats, en cherchant à marchander un ralliement. Mais ses manœuvres à l’endroit d’un des trois Grands Candidats du Sud ont échoué. Les 5 Grands Candidats restent soudés sous la coordination du philosophe Bowao. De son côté, la communauté internationale est d’une vigilance de tous les instants sur les moindres pas et gestes du dictateur.
Il est comme un fruit pourri qui, malgré son état de décomposition, reste, encore, accroché à l’arbre. Il peut tomber seul, tout comme, un petit coup de vent peut l’emporter ou une secousse de l’arbre. C’est au choix.
Dans la situation qui est la sienne, actuellement, ce serait suicidaire s’il faisait tirer sur la foule.
Gare au militaire ou policier qui va tirer sur quelqu’un pour le protéger. Tous les actes posés sont filmés par des téléphones portables anonymes. Plus tard, de telles images parleront au détriment des éléments des forces de l’ordre qui auront agi contre le peuple.
C’est dans ce contexte que les militaires devant charger les manifestants, avaient préféré laisser envahir l’Assemblée nationale, à Ouagadougou, où les députés s’apprêtaient à modifier la constitution. Dès qu’il a appris que le parlement était en feu, Blaise Compaoré n’a pas demandé son reste. Il a, immédiatement, pris les jambes à son cou. Destination : là où vous savez.
A Mr Kivouvou.
Votre analyse est juste. je me garde cependant pour vous soutenir dans la première partie de celle-ci…ce qui comptait pour moi, dans cette mascarade, c’est d’avoir l’alibi pour une contestation… Par exemple, si on avait suivi Dzon, qui a raison aujourd’hui quant à sa position de ne pas se présenter aux élections, on aurait eu mains plus liées. A partir de quoi on aurait pu protester? mais par la grâce de ces opposants de poste et non opposants idéologiques, le tyran a été mis à nu. C’est déjà quelque chose de positif pour notre pays.
Pour le reste, comme vous le dites, le moment est venu de ne plus garder par devers soi, les informations financières et économiques que l’on peut détenir. Oui, le Congo va renouer avec les arriérés de tout… Nous autres retraités de la fonction publique, nous serons les premiers à en goûter l’acidité…moi je le sais depuis.
Merci beaucoup pour votre courage, pour un monsieur qui est au Congo… mais attention! pour le tueur infatigable, tout le monde devient dangereux, même les 100% des électeurs du district d’Ignié qui lui ont fait confiance…
De nos jours celui qui détient et maitrise la communication détient le pouvoir et ce clan de mafieux l’a bien compris mais ce qui n’est pas compréhensible c’est que l’opposition n’a fait que suivre sans anticiper alors que la forfaiture annoncée était prévisible.
Notamment la dernière conférence de presse prévue à Diata nul n’est besoin d’être prophète pour imaginer que sassou aurait tout fait pour l’en empêcher ????.
Tout ceci nous démontre une grande naïveté car je pense que même sassou s’attendait à un engagement plus violent et fut surpris d’avoir eu autant de facilité à perpétré sa forfaiture.
La dynastie de nguesso n’est pas prete de s’arreter
La démocratie à la Congolaise
le député du pouvoir Aimé H. Mouagni vient de créer sa propre milice armée pour défendre Sasou Nguesso.et a droit pour cette annonce un passage au journal sur tele foufou.
Pauvre général OKOI même un simple député à plus de poids que toi et vient essuyer ses chaussures sur tes galons.
Par contre les candidats officiellement déclarés à une élections présidentiel sont cernés par la police pour leur interdire de s’exprimer.
Elle est belle la nouvelle république sassouiste, même pas honte.
En ces tristes jours, je ne suis pas fier d’être Congolais
La diaspora parisienne me semble bien curieusement silencieuse?
Curieusement???? !!!! Sérieusement?
NON, ce n’est pas la peine de me rectifier, j’ai bien écrit « curieusement »
https://blogs.mediapart.fr/jecmaus/blog/240316/congo-brazzaville-resultats-des-presidentielles-de-la-cte-de-lopposition?utm_source=facebook&utm_medium=social&utm_campaign=Sharing&xtor=CS3-66
La dynastie des NGUESSOS doit s ‘arrêter, nous ne devons pas accepter que les enfants venus d’ailleurs et de surcroit voleurs et incompétents s’enrichissent avec nos ressources et nous narguent en donnant des bourses ??? à nos enfants.
J’ai personnellement vécu cela comme une injure
Le temps fera ce que nous n’arrivons pas à faire maintenant
J’ACCUSE KOLELAS, TSATY MABIALA ET OKOMBI DE TRAHISON ENVERS LE PEUPLE. J’AVAIS BEAUCOUP DE SYMPATHIE POUR OKOMBI MAIS JE SUIS VRAIMENT DÉÇU. LES KOLELAS… JE NE CROYAIS PLUS EN CETTE FAMILLE DEPUIS LES NOMBREUX VOLTE-FACE DE LEUR PÈRE (CONTRE SASSOU, AVEC SASSOU, CONTRE SASSOU, AVEC SASSOU), ALORS QU’IL ÉTAIT JUSTE PAS UN OPPOSANT MAIS UN HOMME TRÈS AFFAMÉ. JE NE MOURRAIS PAS SANS QUE VOUS AYEZ DU TRAVAIL, disait-il face à un peuple surexcité. EN FAIT, IL PARLAIT SEULEMENT DE SES PROPRES ENFANTS ET NON LE PEUPLE, puisqu’il les avait confié et laissé en fonction… chez son bourreau. NE DIT-ON PAS QUE TEL PÈRE TEL FILS? EN VOILA ALORS UN AUTRE OPPORTUNISTE. QUESTION TRÈS SIMPLE: QUE POURRA ÊTRE UN KIKI (OU UNE COCO) A LA TÊTE DU CONGO? RÉPONSE TRÈS FACILE: VOLEUR, VIOLEUR, ASSASSIN. Pouah!!
Ce sera une ville demi morte , je ne pense pas que la partie nord du pays , et notamment de BRAZZA , veuille s’y associer , tant leur indifférence à leur condition sociale se confond avec leur inculture .
Ces actions ne sauraient ébranler ce pouvoir , dont le départ passe par une rébellion militaire .
MOKOKO doit maintenant y penser .
Nous savions l’issue finale de scrutin , nous aurions aussi , par MOKOKO , peaufiné un plan B.
Espérant que , l’opposition y travaille , vu l’illégitimité de ce pouvoir , une action militaire recueillerait l’assentiment national , autant qu’international .
Les soldats et officiers nationalistes, républicains et patriotes doivent prendre leurs responsabilités face à l’occupation du pays par les mercenaires du régime tyrannique de Brazzaville qui terrorisent le peuple. https://www.youtube.com/watch?v=RJa4xxM3oYM
Lu pour vous.(le blog de Patrick Mampouya)
Analyse.
Le Congo est paralyse a cause ou grace a Jean marie Miche Mokoko depuis le 20 Mars 2016
Si Jean Marie Mokoko n’etait pas rentre dans la danse,le Congo aurait deja tourne la page des elections,le peuple ne s’est pas trompe cette fois ci.Seul le leader du peuple Jean Marie Michel Mokoko a le pouvoir de faire durer cette paralysie.
Oui,je vous le réitère que le general Mokoko est très coherent et en phase avec le peuple Congo.
Kolelas fils de son père Bakana Kolelas,Tsaty Mabiala etc veulent saisir quelle cour constitutionnelle dans le Congo transforme en jungle les Sassou et les Nguesso sans foi ni loi.N’oubliez pas que kolelas et d’autres ont fait capote la marche des Congolais pour le palais afin de déloger l’imposteur et usurpateur Denis Sassou alias nguesso avec les morts qui se sont suivis suite a leur incapacité ou hesitation,aujourd’hui ils veulent répéter la meme erreur.Que les vrais Congolais se mettent derriere le leadership du general Mokoko afin de virer le cartel d’Oyo.Ne faites pas perdre les Congolais du temps.Denis Sassou baigne et surfe dans l’illégalité absolue,il faut le virer par les canons.
CHERS COMPATRIOTES RAPPELONS NOUS QU’UN DICTATEUR N’EST JAMAIS ÉTÉ CHASSÉ PAR UN HOMME, UN PARTI POLITIQUE,…UN DICTATEUR DOIT ÊTRE CHASSÉ PAR LE PEUPLE, PRENONS NOTRE DESTIN EN MAIN, CHASSONS LE DICTATEUR EN UTILISANT TOUS LES MOYENS EN NOTRE POSSESSION!!!
COUR CONSTITUTIONNELLE, DE QUELLE COUR CONSTITUTIONNELLE PARLENT ILS, HO MY GOD!!!
Ce sassou voleur des votes ne mérite aucun respect , pour les fonctions qu’il prétend exercer au nom du peuple .
Désormais , il s’est disqualifié aux yeux de la population , et ne peut porter le titre suprême du président de la république .
Le temps d’ivoiriser , ce pays est venu , que chaque s’arc boute sur ce qu’il considère être sa victoire .Nous aurions dû avoir plus de garanties et peut être en pourrissant davantage , la situation politique , le monde extérieur voudrait bien sen mêler , pour arbitrer ce conflit post électoral .
L’ONU , doit créer une agence en charge des élections en AFRIQUE , afin d’en assurer et la qualité et la fiabilité .
LE FMI et la BANQUE imposent aux pays africains des codes de bonne gouvernance économique et financière , et ce serait d’un secours estimable à des fins d’épargner à ces pays des pertes de vies humaines, que L’ONU ,s’en inspirât .
Vu , notre immaturité politique et le fait d’être de arriérés culturels en terme d’acquisitions des règles démocratiques , il eût été salutaire , pour nous , de nous faire organiser ces élections sous l’égide de L’ONU.
L’Envoi des observateurs extérieurs , souvent inféodés au pouvoir contrôlant l’appareil de l’Etat ,n’aseptise pas ,la transparence de ces scrutins .
lire ,,chacun s’arc boute ;;;;;;;s’en mêler;;;;;;secours inestimable ;;;;des arriérés
mon ordi , bug
Si l’opposition est cohérente, elle devrait d’ores et déjà créer un gouvernement parallèle et commencer à diriger le pays, sans tenir compte de l’usurpateur en place. Pourquoi encore aller demander la permission aux usurpateurs ? Ils ont tout. La légitimité des urnes, le soutient du peuple,…
Je ne pense pas qu’il faille se coucher une fois de plus au diktat exotique , de ce voleur toutes catégories confondues .
La résignation doit être chassée au profit de la résistance continue , car le temps joue contre nous il va falloir ,communiquer , et informer , au reste du monde , de la justesse de notre action politique
La forfaiture est tellement grotesque et minable que nous ne pouvons , à ce niveau de bassesse politique , accepter l’inacceptable .
Nous ne partageons pas le nivellement vers le bas , l’exercice du pouvoir démocratique , comme entend l’exercer ce voleur multicartes de la république .
A moins que SASSOU , ait innové , en matière de démocratie illusionniste , qui consiste en l’enfumage des esprits , pour se déclarer vainqueur, quels qu’en soient les résultats issus des urnes .
Je gage , de la cohérence des membres de l’opposition , pour mener avec méthode ,cette séquence politique au terme de la quelle , ils pourraient être jugés sur la crédibilité et la sincérité de leur engagement au coté du peuple , lequel leur aura fait tant confiance .
ON PEUT AUSSI AJOUTER QUE L’ONU DOIT PENSER A LANCER AUTOMATIQUEMENT DES MANDATS D’ARRÊTS INTERNATIONAUX CONTRE CHAQUE CHEF D’ÉTAT AFRICAIN QUI VOUDRA CHANGER UNE CONSTITUTION POUR SE PRÉSENTER A UN 3ème MANDAT CONSÉCUTIF, EN PARTANT DU PRINCIPE QUE LE NOMBRE DE MANDAT C’EST DEUX (2). VOUS VERREZ QUE LES DICTATEURS DISPARAITRONT DE LA TERRE OU DEVIENDRONS TRÈS TRÈS RARES. IL Y AURA DE L’ORDRE ET LA PASSATION DU POUVOIR OU L’ALTERNANCE SE FERA SANS ARMES NI VIOLENCE.
http://www.liberation.fr/planete/2016/03/25/le-floch-prigent-le-pouvoir-congolais-s-enrichit-alors-que-le-peuple-creve-de-faim_1442094
Il faut à tous prix forcer les portes des médias internationaux et les mettre devant leur contradictions on ne peut indéfiniment mettre une chape de plomb sur un pays et laissé une population crever sous un silence coupable.
Il y a non assistance à population en danger.
Bougeons, crions, hurlons à la face du monde que le peuple Congolais existe et ne veut plus vivre en esclavage. Que la parole des Congolais qui commence seulement à se faire entendre s’amplifie de partout au pays et dans la diaspora à l’étranger.
On ne peut admettre que des états continue à travailler avec un état voyou pris en otage par une bande de mafieux.
Sassou n’a jamais gagné une seule élection libre au Congo!
Voici les vrais résultats des élections. Sassou et ses soutiens français y compris le président YOLANDE ( pardon, HOLLANDE!) savent que ce dictateur sangunaire est élimé dès le premier tour !
https://static.mediapart.fr/files/2016/03/24/tableau-des-vrais-resultats-de-la-cte-de-l-opposition-24-03-2016.pdf
Peuple Congolais, ne nous laissons voler notre victoire CHEREMENT ACQUISE!!!!
Nous lançons un appel à contribution à tout ceux des âmes bien conscientes qui détiendraient des preuves compromettant les politiques françaises dans la consolidation de la tyrannie de Sassou au pouvoir au Congo Brazzaville de nous les mettre sur la place publique svp. C’est un cri de cœur des pauvres populations de ce pays lassent de cette mafia organisée au sommet de la françafrique. Merci d’apporter les contributions pour la libération de ce peuple.Nous saurons comment les transmettre au FBI pour la suite des événements.
La réélection de Denis Sassou-Nguesso est contestée par le Parti socialiste français. La formation du président Hollande la juge « non crédible » et appelle l’Union africaine et l’Union européenne à se saisir du sujet. De son côté, l’Elysée n’a pas officiellement réagi.
Cette réélection, le PS la juge « non crédible », car elle a été annoncée, estime-t-il, par une commission électorale notoirement partiale. La formation du président Hollande critique l’ensemble du processus électoral, dénonçant à la fois l’absence de transparence, les coupures de communications avec l’extérieur du pays imposées par le pouvoir, ainsi que l’agression dont ont été victimes trois journalistes après leur entretien avec un candidat de l’opposition.
Au final, le PS demande aux organisations internationales, et notamment à l’Union africaine et à l’Union européenne de se saisir immédiatement de la question afin de prévenir « une crise majeure pour la région ».
Le parti socialiste dit-il tout haut ce que le président français pense tout bas ? Oui, répond un parlementaire socialiste bien informé. Le problème pour François Hollande, ajoute ce député, c’est qu’il ne peut pas être le seul chef d’Etat à réagir, il va donc attendre.
François Hollande ne donnera donc pas son sentiment dans l’immédiat. L’information est confirmée à l’Elysée: le président veut attendre la fin du processus et l’examen des recours pour réagir, mais sa position sur le sujet, le président l’avait laissé entrevoir dès mardi. Ce jour-là, le Quai d’Orsay avait dénoncé le « contexte préoccupant » dans lequel s’est déroulée cette élection.
Pour lire le communique République du Congo : le Parti socialiste dénonce l’absence de transparence de l’élection présidentielle publié par le secrétaire national à l’International, immigration et co-développement Maurice Braud,
NOUS, PEUPLE QUI SOUFFRE DE LA TERREUR DES NGUESSO, PEUPLE QUI A TROP LONGTEMPS SOUFFERT PENDANT 32 ANS DE DICTATURE, NOUS LANÇONS UN APPEL SOLENNEL A TOUS CEUX QUI AIMENT LEUR PAYS LE CONGO ET QUI VEULENT LE LIBÉRER, DE RÉSISTER PAR TOUS LES MOYENS QUI SONT A LEURS DISPOSITION Y COMPRIS PAR LA DÉSOBÉISSANCE CIVILE. A TOUS LES MILITAIRES, POLICIERS ET GENDARMES QUI SONT SENSÉS PROTÉGER LE PEUPLE DANS TOUTE L’ÉTENDUE DU TERRITOIRE CONGOLAIS, NOUS LEURS DEMANDONS DE PROCÉDER A L’ARRESTATION IMMÉDIATE DE SASSOU NGUESSO Denis, DE BOUKA, DE OKO NGAKALA, DE NDEGUET Jean François et de MOIGNI Hidevert POUR GRAND BANDITISME, ASSOCIATION DE MALFAITEURS et TERRORISME EN BANDE ORGANISÉE. CES PERSONNES SONT LOURDEMENT ARMÉS ET DISPOSENT DES MILICES. NOUS, LE PEUPLE CONGOLAIS, NOUS NE VOULONS PLUS ÊTRE DIRIGÉ PAR UN ASSASSIN QUI MASSACRE SON PEUPLE, UN VIOLEUR (des femmes/enfants de ses amis et de la constitution), UN VOLEUR (de l’argent de l’état et des élections). AINSI, SASSOU NGUESSO Denis N’EST PLUS LE CHEF DE L’ÉTAT CONGOLAIS, NOUS ALLONS SUIVRE LES ORDRES DU Général MOKOKO.
VIVE LE CONGO LIBRE, VIVE Le Général MOKOKO
Anonyme, tu n’as rien compris. On ne voulait pas te [rectifier] du tout.
Le ‘Sérieusement’ interrogatif, dénotait au contraire une exclamation, un étonnement sur le fait que tu ne saisissais pas le ‘pourquoi’ éventuel du silence relatif de la diaspora, particulièrement celle de France, selon toi…
(Sérieusement?) Pour ne pas renchérir.
Bon, bonne chance!
Si le parti socialiste se permet d’émettre un avis concernant des doutes sur les élections je suppose que c’est avec l’aval du secrétaire du PS J.C. Cambadélis, qui il me semble est la vois du président Hollande au sein du parti.
C’est pour cela qu’il faut encore pousser et ébruiter le plus possible pour internationaliser le conflit.
Arrêtons avec l’hypocrisie des français qui son gênés aux entournures et condamnent du bout des lèvres l’immonde dictature de Sassou-Nguesso!
Pour eux, il y a de bons dictateurs et de mauvais dictateurs!
Combien même des journalistes français du Monde et de l’AFP se font molester par des sbires de Sassou, les médias français dont on connait pourtant la virulence envers certains dictateurs (Bachar El ASSAD, MUNGABE…) sont d’une étonnante complaisance envers SASSOU!!!
De même, la classe politique française, prompte à donner des leçons de démocratie à la terre entière, est muette sur la tricherie ubuesque et le comportement psychiatrique Sassou!
Dieu sait que GBAGBO qui avait fait moins que ce que fait Sassou avait eu contre lui tous les projecteurs des médias et de la classe politique françaises!
2 poids 2 mesures!
Je m’insurge contre ce positionnement de la politique française en Afrique (surtout en Afrique Centrale!) qui étouffe l’épanouissement des peuples et constitue le terreau sur lequel pourra germer non seulement la volonté d’immigrer vers la France, mais aussi et surtout de s’inscrire dans la voie de l’expression violente (terrorrisme…).
32 ans du cure Sassouiste constitue le seuil de tolérance au-delà duquel le peuple congolais ne peut plus aller…
Sassou a été battu, il doit partir!
Lire : … »32 ans de cure Sassouiste »
Merci!
Chers compatriotes,
Il revient à nous de chasser Sassou du trône qu »il occupe illégalement depuis le 20 Mars.Le droit et le devoir ne reviennent qu’exclusivement à nous peuples congolais.Tout le reste n’est qu’Infantilisme.La désobéissance civile, les grèves etc… sont à notre porté.Alors mains à la pâte.
Le bras médiatique de la mafia Françafricaine, l’autoproclamé Radio Mondiale dite RFI reprend son mensonge. Il qualifie le général Mokoko,le général du peuple d’adversaire malheureux de leur poulain et homme de paille Sassou-Nguesso en annonçant l’arrestation d’ Anatole Limbogo-Ngoka.
RFI cesser avec votre parti pris.Honte à RFI, honte à la FRANCE et son terrorisme médiatique.
Nous demandons à nos vaillants cadres de l’IDC-FROCAD de bien redoubler la vigilance et prévoir toutes les éventualités envers la cours constitutionnelle en ces temps d’études de nos recours.Plus que jamais vigilants et clairvoyants.
http://brazzaparisinfos.com/paris-sassou-nguesso-ne-volera-pas-notre-victoire-comme-dhabitude/
Lorsqu’un eleve triche en classe c’est le professeur qui sanctionne mais comment la Francophonie, L’union Europeenne observe la fraude
Comment l’on parle de l’emergence si les valeurs universelles sont mises en causes
La Democratie est une culture importée de L’occident ,c’est a Mr François Hollande de faire valorisée cette culture. Si L’union africaine parle de L’emergence elle doit egalement lutter a consolider la democratie
Je suis très touché et satisfait du niveau des analyses, ce rôle intellectuel que vous apportez à vos raisonnements. Je vous encourage et cela me donnera la force nécessaire à réagir dans vos différents et futurs débats. Qui a dit que le congolais était un arriéré mental capable de raisonner en fonction de ces intérêts? C’est vrai que beaucoup de personnes qui critiquaient jadis le pouvoir ont rejoint les rangs dès qu’on leur tendait un poste. N’est ce pas la nature humaine de vouloir suivre la force naturelle de la famine?