La fin est proche…Direction la Prison
Par Pascal MALANDA
Que mes amis inquiets et mes détracteurs habituels se rassurent, je ne suis pas défenseur de la modeste personne de Sassou. Je peux me tromper, mais je crois qu’il s’est suffisamment enrichi au détriment de la nation congolaise au point de pouvoir se payer royalement les services de bien meilleurs avocats que moi. Je suis encore moins intéressé par un poste au service de Sassou. Si je n’ai pas accepté de le servir à ses heures de gloire, pendant que coulaient encore comme à Canaan, le lait et le miel, quelle mouche me piquerait pour aller me mettre à ses ordres au moment où l’édifice qu’il a bâti se fissure à vue d’œil et où le dernier carré de ses fidèles se réduit comme peau de chagrin, au moment où il lutte pour sa survie politique ? Au moment où chaque fin de mois le plonge de l’insomnie provoquée par les salaires impayés ? Ce qui en revanche m’importe au plus haut point, et ce que je martèle depuis le début, c’est l’avenir du Congo après Sassou. Un Congo que je souhaite uni, démocratique, fier et prospère ; un Congo où la vie humaine retrouvera son caractère foncièrement sacré.
Utiliser Sassou pour préparer l’après-Sassou
C’est presque sous ce titre que je m’exprimais déjà en juillet 2012 SASSOU NGUESSO FACE A L’APRES SASSOU. Dieu seul sait le risque que j’ai pris à prôner une alternance pacifique en échange d’un paradigme faisant table rase du passé sans chasse aux sorcières ni impunité complaisante. Sassou a royalement ignoré ces recommandations qui lui auraient permis de sortir de la vie politique par la grande porte. Bien au contraire, il a cédé aux sirènes du clan et des courtisans qui lui ont fait miroiter une fin de carrière protégée par son fils. Résultat des courses, c’est ‘’l’avenir même des Mbochis’’. Ce n’est pas moi qui l’affirme, mais un de ses fidèles, le général Nianga-Mbouala, alors à la tête de sa garde républicaine. Ce régime a bien hypothéqué l’avenir des Mbochis dont au moins 90% partagent la misère noire de tous les autres Congolais. Que ceux de mes frères du sud qui pensent que ce régime a privilégié le nord au détriment du sud, regardent cette vidéo jetant à la face du monde la paupérisation d’un peuple dans une nature si riche : Voyage d’Oyo à Liranga https://www.youtube.com/watch?v=zAA3x5wpSoc Au vu de la guerre ouverte au sein du PCT, le moins que l’on puisse dire, c’est que Sassou est en passe de rater un après-Sassou apaisé, même dans son propre fief.
Sassou livré à la vindicte populaire par Macron
La France est connue pour régler sans ménagement le sort des roitelets d’Afrique qui la dérangent ou qui cherchent à s’émanciper de sa tutelle. Les cas les plus récents sont ceux de Kadhafi et Gbagbo. Mais en remontant plus loin dans l’histoire, on trouvera bien Olympio au Togo, Ngouabi au Congo, Léon Mba au Gabon, etc. L’ingérence de la France ne s’arrête pas à l’Afrique. Paris a joué un rôle très actif dans la tentative d’éviction de Bachar en Syrie ou de Madouro au Venezuela.
Le dernier passage de Sassou à Paris aurait donné lieu à une passe d’armes dont le résultat est la demande très pressante de l’Elysée souhaitant voir la libération de Mokoko et des autres prisonniers politiques. Plus grave encore, Macron aurait demandé à Sassou de passer la main en 2021. Si ce n’est pas l’arrêt de mort du régime Sassou, cela y ressemble beaucoup. Curieusement, ce qui s’est dit en tête-à-tête s’est retrouvé par ‘’hasard’’ sur la place publique, comme par une volonté délibérée de vouer aux gémonies un serviteur devenu pestiféré et encombrant. Le message de Paris est clair : Sassou doit débarrasser le plancher au risque de subir le même sort que Kadhafi ou Gbagbo. Il n’en fallait pas plus pour que Brazzaville fourmille de complots. Chacun affute son intrigue. La parole est libérée et en cette ère d’Internet les vidéos et les audio se déversent à une allure hallucinante.
Les hyènes ont flairé le sang
Brazza a, ces derniers jours, l’allure d’une jungle où les rapaces se seraient donné le mot. Ils rasaient les murs hier, les voilà qui agissent à découvert. Ils chassent en meutes assoiffées de sang. Les prédateurs de tout genre s’en donnent à cœur-joie. Il y a les hyènes qui ont flairé le sang et se pourlèchent déjà les babines. Il y a aussi les charognards qui savent qu’il y aura mort d’hommes et putréfaction, alors ils volent en cercles de plus en plus restreints et de plus en plus bas.
Tous ont senti l’éléphant sortir blessé de l’Elysée. Il a chancelé et mis le genou en terre, mais il ne s’est pas encore effondré. Alors, tout ce que la jungle politique congolaise compte de prédateurs, prépare l’estocade finale.
Ne pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir abattu
Blessé et chancelant, Sassou est rentré, dépité et furieux, dans sa tanière brazzavilloise. Sa marge de manœuvre se réduit inexorablement. Il est acculé dans son dernier retranchement, mais n’a pas encore dit son dernier mot. Alors, il prépare sa riposte avec plus ou moins de discrétion.
La tentation du feu, des larmes et du sang
L’homme connaît le goût du sang (…des autres), des larmes (…des autres aussi). Il a vu le feu lui rouvrir la voie du palais en juin-octobre 1997. Son métier l’a habitué à la croix et la bannière. En 1991, jugé par la Conférence Nationale Souveraine, il s’était failli de peu pour qu’il embrase la ville qui l’humiliait à la face du monde. Le Congo n’eut son salut que grâce à la bravoure et à la rectitude de Mokoko et ses amis AET, mais surtout à un ultime sursaut de bon sens dont je fus témoin involontaire. L’histoire semble bégayer, à la nuance près que Mokoko, l’ange gardien du peuple se retrouve lui-même prisonnier de Sassou. N’est-ce pas l’une des raisons de l’acharnement dont le général du peuple est victime ?
Pour ma part, et comme en 1991, j’interpelle humblement Sassou et l’appelle au bon sens final. On me reprochera ma naïveté face à celui qui est considéré comme l’incarnation du diable. Je préfère assumer ma naïveté que d’hurler avec les loups déchainés. Je crois au DIVIN lové au fond de chacun de nous et donc de Sassou aussi. Et seul ce DIVIN-là arrêtera le Congo au bord de l’abîme où le poussent ses courtisans irresponsables et aveuglés par l’ivresse du pouvoir.
La noblesse de la démission
Je prie le DIVIN de se réveiller dans le cœur de Sassou, mais aussi dans celui de tous ses détracteurs, sans oublier les millions des Congolais qui regardent ahuris, la pièce de théâtre de très mauvais goût que jouent devant eux les apprentis sorciers congolais avant de l’embraser.
Pour sauver la face de Sassou sans bain de sang, le peuple doit se lever comme un seul homme et lui demander de partir en paix avant 2021. Alors, Sassou aura déjoué le piège que lui tend Macron. Car ne pas se présenter en 2021 serait obéir docilement à la France, tandis que partir plus tôt serait prendre de court son adversaire et lui faire un pied-de-nez avant de tirer sa révérence. Il y a, bien sûr, l’option de se cramponner au pouvoir au-delà de 2021, mais j’ai déjà évoqué le caractère suicidaire de cette hypothèse.
Oui, il y a une très grande noblesse dans la démission. L’empereur japonais, le roi des Belges et la reine des Pays-Bas ont tous abdiqué sans y être contraints. Le pape Benoît XVI a également cédé la place au pape François. Leurs gestes ont été salués par l’ensemble de l’humanité. Ils passent leurs vieux jours loin des turbulences de la vie publique et démontrent qu’il y a une vie décente après les paillettes du pouvoir.
On me rétorquera de ne pas confondre les grandes démocraties avec la barbarie congolaise ; les grands hommes avec le ‘’monstre’’ Sassou. Cela m’indiffère car je crois au sursaut humain qui nous permettra un jour de sortir de la barbarie. Alors, pourquoi pas maintenant ? Sortons-en ensemble en jetant les bases d’une société réconciliée par le PARDON.
Un Pacte National pour la démocratie et la bonne gouvernance
Nous avons besoin d’entrer définitivement et sans passion dans le concert des nations civilisées où la gestion du pouvoir n’est pas synonyme d’assassinat systématique. Le Pacte National signifierait le refus de cautionner le meurtre comme unique voie d’accès à la magistrature suprême. Notre histoire est sanglante. J’aime faire le triste constat que sur les 6 présidents qu’a connus le Congo depuis son indépendance, tous en dehors de Sassou, ont connu un sort tragique :
Youlou est mort en exil
Massambat-Débat et Ngouabi ont été assassinés le même mois
Yhombi a passé 11 ans en prison
Lissouba a failli mourir sur la route de l’exil qu’il passe en France
Dans ces conditions, n’est-il pas naturel que Sassou craigne pour sa vie ? Lui, le pilote assis sans parachute sur le siège éjectable de l’avion-Congo qui pique du nez en traversant une zone de turbulence. Ne découvre-t-il pas sur le tard qu’il est un mortel comme tout le monde ? Mortel comme Marien ?
Sommes-nous un peuple foncièrement barbare ?
Le sombre tableau ci-dessus est l’expression d’une violence quasi-génétique chez nous. D’aucuns ont concentré cette violence sur Sassou qui cristallise toutes les haines et les idolâtries. C’est oublier qu’aujourd’hui, des officines sont apparemment à l’œuvre pour préparer l’assassinat de Sassou. Dabira qui croupit en prison a dû faire des émules parmi les généraux essentiellement Mbochis (comme par hasard). On trouvera bien un Tsaty-Mabiala à qui on fera porter le chapeau d’un lobby ayant Sassou en ligne de mire. Le reste sera d’une banalité usuelle : Ba Kongo ba bomi Sassou. Naturellement, de l’autre côté, comme ce ne sont pas des enfants de chœur, les armes sont affutées. La ministre Inès Ingagni s’est fondue d’un audio hallucinante où elle étale devant un peuple incrédule, le fonctionnement des officines qui préparent à la pelle, les ‘’atteintes à la sûreté intérieure de l’Etat’’. Bien que la ficelle soit usée jusqu’à la corde, dame-ministre remettra l’ouvrage sur le métier pour nous sortir un scénario plus crédible pour descendre Ngolo. Nous risquons sous peu d’assister à la nuit des longs couteaux : une barbarie généralisée comme en Libye, en Syrie ou au Yemen. Que Dieu nous préserve !
Pourtant, il nous suffit de nous arrêter un instant afin de conjurer notre triste sort de peuple belliqueux. Et Sassou peut mettre fin à ce cycle odieux, à cette danse macabre qui a commencé en août 1963, pendant les trois journées, finalement pas si Glorieuses que cela. Monsieur Sassou qui s’est donné tant de peine en 1997 pour ‘’restaurer’’ au prix de tant de morts, la démocratie violée par Lissouba, a-t-il besoin de toutes ces intrigues pour se désigner un successeur ? A-t-il besoin de transformer Ngolo en putschiste à abattre comme un chien ?
Commençons par nous engager dans un Pacte National dans lequel nous jurerons tous ensemble que la succession de Sassou ne devra pas conduire à la chute d’un seul cheveu d’un seul citoyen congolais à commencer par Sassou lui-même. Aucun pouvoir ne justifie l’assassinat de Ngolo, JDO, Kiki, Tsaty, Kolélas etc. Faisons de sorte qu’aucune famille ne soit endeuillée par le départ de Sassou du pouvoir. Cela est possible. Montrons à la face du monde que si nous avons été capables d’un demi-siècle de haine et d’horreur, nous sommes capables d’ouvrir un nouveau chapitre apaisé de notre histoire commune.
La responsabilité de Macron est engagée
En publiant l’injonction faite à Sassou de quitter le pouvoir en 2021, Macron a ouvert la boîte de Pandore. Qu’il ne fasse pas à la jeunesse congolaise le coup Hollandais qui suscita d’abord l’énorme espoir de démocratisation à la conférence de Dakar avant de doucher les aspirations du peuple congolais en octobre 2015. Ce sera synonyme de non-assistance à peuple en danger. De la boîte magique macronienne, sortira-t-il le djinn de nos habituels démons de la guerre civile ou au contraire un esprit de concorde et de réconciliation ? Macron doit désormais assumer toutes ses responsabilités car tout crime politique commis après la visite de Sassou à l’Elysée sera marqué du sceau de la légèreté de la France. Tout ce qui portera atteinte à l’intégrité physique et morale de Mokoko, Okombi et tous les autres prisonniers, retombera sur Macron. Cela n’exclut en rien nos propres responsabilités nationales. N’empêche que la prise de position de Macron en septembre 2019, comme celle de Hollande en octobre 2015, sont des marqueurs très profonds de la vie politique congolaise. Dans la conscience collective congolaise, le nom de Hollande sera indélébilement lié à la tragédie d’octobre 2015, quand il eut l’audace, après avoir entretenu l’espoir de tout un peuple par ses discours soporifiques sur les exigences démocratiques de déclarer que Sassou pouvait « consulter son peuple ». Macron est-il conscient de l’espoir qu’il a allumé dans le cœur de nombreux Congolais ?
Une relation franco-congolaise enfin affranchie de l’hypocrisie et de la cupidité françafricaine
La prise de position de Macron, bien que tardive, peut fermer un chapitre sombre et ouvrir un nouveau chapitre dans les relations entre la France et le Congo et servir de laboratoire à toute l’Afrique francophone, surtout en Afrique Centrale. La géopolitique nous impose de cheminer ensemble depuis le partage de l’Afrique à la Conférence de Berlin en 1885. Du quasi esclavage à la colonisation puis à la néo colonisation, la relation entre nos deux pays a souvent été une relation tumultueuse, incestueuse, étouffante pour le Congo et ruineuse pour la compétitivité de la France. Il y a un paradoxe en économie : Les matières premières obtenues à vil prix sont néfastes à la compétitivité. Connaissant une overdose de pétrole et d’autres matières premières bradées par les anciennes colonies et passant par des circuits obscurs, la France peine à concurrencer sa voisine allemande bien moins nantie et obligée d’acquérir les mêmes matières au prix transparent du marché. Plus grave encore, le Congo qui devait jouer le rôle d’un marché préférentiel où les industriels français pouvaient écouler une bonne partie de leur production, est réduit à un pays peuplé de super pauvres gavés de pacotille asiatique. Un pays à la classe moyenne quasi inexistante. Quel gâchis !
La France ne s’est jamais affranchie d’une attitude prédatrice à l’égard du joyau de sa couronne qu’est le Congo. Résultat : Les Congolais, les plus francophiles des Africains, ont une haine quasi viscérale de la France. Ils singent le Français par la langue, le langage, la culture, jusqu’au ridicule de la ‘’sape’’. Ils vivent comme des parias dans un pays aux richesses fabuleuses et rêvent de France dans leurs chaumières. Une relation adulte basée sur des gains mutuels donnerait pourtant un avantage substantiel à la France sur la scène internationale.
Oui, Macron a suscité un immense espoir, puisse-t-il comprendre que cet espoir peut se transformer en tragédie dans un pays où tuer, même un président en exercice, est un jeu d’enfant.
Monsieur Sassou, soyez enfin conscient d’une chose : Ce n’est pas la France qui vous a lâché depuis le 3 septembre, c’est le peuple congolais qui vous invite depuis 2014 à prendre paisiblement votre retraite. Ecoutez enfin la voix de la raison et surtout celle du DIVIN en vous.
Pascal Malanda
LE CONGO ÉTERNEL
Naïveté, naïveté et encore et toujours naïveté!
Voilà pourquoi « Les cœurs SENSIBLES ne remportent JAMAIS de batailles DÉCISIVES » (sic) George Jackson!
Et A André Malraux d’enseigner que « On ne fait pas de politique avec de la morale, mais on n’en fait pas davantage sans »
Quelqu’un avait dit : Les Africains aiment leurs colonisateurs et adorent être asservis(esclaves) ! Ils veulent toujours garder le cordon ombilical avec leurs colonisateurs! 2 exemples frappants le franc cfa (dont ils ne veulent pas du tout se séparer ) et la francophonie qu’ils défendent plus que les Français eux-mêmes jusqu’à supplanter leurs propres cultures ! je suis ahuri d’entendre dire que le salut du Congo viendra de la France comme si les dirigeants Français et les Congolais avaient le même centre d’intérêt pour leurs peuples respectifs ! Triste.Quelle naïveté enfantine !
Ah bon ? Et lui qui ne fait que cela contre son peuple et ses compatriotes depuis plus de 40 ans doit être civilisé, courageux, utile et intelligent ?!!
« Je crois au DIVIN lové au fond de chacun de nous (les apprentis sorciers congolais embraseurs) et donc de Sassou aussi. »
Plus rien ne va, faites vos jeux…
No more comments necessary !
Pauvres rapaces raseurs de murs, tristes hyènes poulècheurs de babines, sales charognards, espèce de loups déchaînés va. ‘Aveugles, allez vous faire foutre; j’assume.’
Oh Kongo !
Où est passé On Rit L’eau Pèse ? Il ne devrait pas être loin.
Les congolais sont devenus des poètes et des philosophes . Ils parlent maintenant qu’en langage codé. Et comme ça vous dites que vous allez chasser Sassou quand vous êtes incapables de vous exprimer clairement sur un simple texte qui est soumis à votre appréciation .
Les paroles liturgiques de@ MALANDA m’inspirent deux réflexions fondamentales .
Est ce que le fait de libérer MOKOKO condamne SASSOU au piloris , sachant que les inquisitions (LE DRIANNES ) ont été frigorifiées par la lettre de MACRON à l’adresse de ce SASSOU dont notre @MALANDA semble acter la fin du régime ?
Alors @MALANDA a – t-il bien scanné le déroulé de cette mise en scène néocolonialiste ?
L’homme SASSOU est crisogène et je ne crois pas dans cette spéculation française pour qu’enfin notre pays retrouvât la paix .
La BELGIQUE a montré à KABILA ,sans ciller ,la voie de sortie et nous en avons vu le résultat .Notre pays meurtri aurait aimé que la FRANCE le délivrât de SASSOU de la manière la plus solennelle .
Mégoter sur les 36 ans de pouvoir ,c’est faire preuve de cynisme à l’égard du peuple congolais .
Quand à son sort ,il reviendra aux congolais d’en décider ,mais je crains le pire pour lui .
Et surtout, pauvre Mgr Ernest Kombo; pas un tout petit mot sur celui-là pour sa bravoure originale et douce dextérité qui justement à l’époque a su manier virtueusement les confidences avec une marque d’amour exceptionnelle et en représentation du peuple souverain pour pardonner déjà ce même (m)ONSIEUR…
On recommande au peuple une fois de plus, celle du charme. Apparemment il n’aurait donc rien fait du tout, le pauvre, pour se voir vilipender aujourd’hui et pour tant la cause du fameux « lavement des mains ».
Ça fait mal, très mal, venant de LÀ !
Bon, dit-on qu’il n’y a jamais 2 sans 3; mais et pourquoi pas 3 sans 4, pendant que nous y sommes (I guess) !
Chers compatriotes, restez bien vigilants.
‘Je m’en vais donner du coco moulu aux oiseaux.’
MAWA !!!
@Le Codeur,
Ne vous en faites pas. Ils sont nombreux ici qui sûrement cumulent les fonctions parmi les internautes. Il y a bien des congolais dessinateurs aussi des voitures 2-Chevaux. Ils finiront par dessiner pour vous. Patience eh !
Il nous faut comprendre une bonne fois pour toute que Sassou a une échelle de valeurs qui lui est propre et dans laquelle les notions de bien et de mal sont essentiellement indifférenciées. Il ne ressent pas dans l’intimité de son être,et c’est l’aspect le plus grave de sa nature, ce que sont le bien ou le mal. Il commet ou laisse commettre des actes qu’un homme dépourvu d’instruction mais riche de coeur réprouverait instinctivement.
Réponses à Pascal Malanda : Malanda répond en valorisant l’analyse Réseautale.
Cher Pascal Malanda et cher citoyen,
Merci pour votre texte concernant le Président Sassou. Quand on vous lit, on établit une relation de proximité entre vous et le Président Sassou. Je vous remercie pour votre positionnement intellectuel et pragmatique car vous demandez au Président Sassou de partir en 2021 et on perçoit dans vos déclarations que vous êtes proche du pouvoir et donc du réseau congolais. Ce n’est pas un reproche de ma part mais un élément qui me permet de dérouler mon analyse réseautale. Vous reconnaissez à juste titre que les pays africains (Cote d’ivoire avec Gbagbo, Congo avec Ngouabi) sont dominés par le réseau français. Par votre démonstration, vous me donnez raison sur l’importance de la partie internationale du réseau français sur la domination nationale du réseau congolais.
Pour vous, il faut que Sassou parte mais vous ne dites pas selon quelles modalités et selon quel calendrier. Vous affirmez que Macron lui a demandé de partir. Avez-vous des preuves ? Partons du principe que vous avez raison. Vous insinuez qu’il y a des charognards et des hyènes prêtes à mettre dehors Sassou. On est d’accord avec vous mais l’analyste politique que je suis qui refuse l’émotion et les pleurs, comme nous le montrent la plupart des intervenants sur ce site, vous demande de répondre à certaines questions.
1. Selon vous, Sassou est-il mort politiquement après sa rencontre avec Macron ? Si oui, de qui tenez-vous l’information du lâchage de Sassou par Macron ?
2. Pas de brutalité au Congo après Sassou. Etes-vous sûr que les Congolais vous entendent ? Comment comptez-vous mettre en cohésion sociale les Congolais qui ne s’aiment pas et qui font semblant d’être ensemble ?
L’analyse réseautale que j’utilise comme outil et qui emmerde certains, révèle un certain nombre de choses que votre texte met en évidence, à savoir que les nègres congolais ne sont pas indépendants et, malgré leurs bavardages et même après le départ de Sassou, ils seront toujours sous la domination française. Nous sommes bavards, « semoulards », fêtards, ethnicistes et intellectuellement dévoyés, parlant de l’unification du Congo alors que dans la pratique nous ne sommes que des ethnicistes privilégiant nos ethnies une fois arrivés au pouvoir. La France le sait et, même après le départ de Sassou, elle saura manipuler les Nègres que nous sommes, intellectuellement faibles malgré nos discours baveux et bavards sur la volonté de libérer la République du Congo.
Je dis toujours que les Congolais sont critiques, bavards vis à vis de la France, reprochent à la France de supporter les dirigeants congolais de Brazzaville et on ne voit pas leur action concrète sur le terrain français. Les diasporas bavardent à travers le site Congo Liberty et restent néanmoins incapables d’introduire un focus sur le Congo-Brazzaville. Au sein du réseau Congo Sassou a réussi à corrompre les journalistes et les réseaux de communication français pour que les problématiques congolaises n’apparaissent jamais à la une des journaux français. Que vont les diasporas congolaises de France ? Elles bavardent et elles se révoltent comme des enfants en se tapant le cul par terre.
Me concernant, le Président Sassou est le Président de la République du Congo. Je suis un analyste. la plupart des Congolais préfèrent l’émotion et les analyses rapides comme Pascal Malanda qui dit que Sassou est mort politiquement. Qu’en sait il ? Sassou est un homme politique depuis les années 60 et il est au cœur de toute la vie politique congolaise. Il a réussi intelligemment au sein du réseau Congo car je maintiens et je souligne, sous Youlou il y a eu un réseau politique comme sous les présidences de Massamba-Débat, Ngouabi, Yombi, Sassou, Lissouba et Sassou.
Cher Pascal Malanda, arrêtez d’endormir le peuple congolais et dites à celui-ci qu’il faut supprimer les différents réseaux ethniques des présidents énoncés en amont et construire une véritable nation congolaise. Arrêtez vos discours et vos repentances bidons. Ce qu’il se passe aujourd’hui au Congo me donne raison sur le plan analytique et conforte mon analyse en termes de RESEAU pour décrire le Congo. Les faits concrets viabilisent et donnent raison à mon outil analytique. Je devrais me réjouir de cette victoire intellectuelle mais j’ai honte d’avoir raison et je suis triste car l’outil analytique du réseau me rend triste et me désespère.
A quand la sortie du réseau ethnique politique, sociétal pour construire une vrai nation et un vrai Etat congolais ?
Mr Malanda, Sassou peut etre conduit aux poteaux ou au petit matin, selon les termes utilisés il y a quelques decennies dans notre pays. Ce serait pour lui une occasion de gouter le gout du sang et des larmes des autres.
Le peuple congolais n’est pas « foncièrement barbare « . C’est une insulte contre ce peuple rien que de l’insinuer. Mr Malanda ne connaît pas l’histoire du congo. Qui d’autre mieux que sassou est barbare ? Kombo l’a sauvé au nom du « Divin » et et encore aujourd’hui Malanda vient servir le même plat. « Tolérance zéro « . Sassou doit payer ses méfaits.
Pendant que nous faisons nos commentaires, Sassou déroule lentement mais surement le processus qui conduira son fils au trone du Congo Eternel. En effet, de sources bien informées et crédibles, Tshisekedi va jouer un grand role en apportant la logistique militaire nécessaire à cela, étant de la même tribu que Christel (sa mère est Baluba). Rappelons-nous que Sassou avait financé les obsèques de feu Etienne Tshisekedi. Fasthi va donc renvoyer l’ascenseur…le réseau dans toute sa plénitude….
Chers frères et adversaires
Il m’importe de souligner ici, que le débat contradictoire est une des bases de la démocratie. Personne ne possède la vérité absolue et c’est du débat des idées que jaillit la lumière dans une société civilisée.
Tout au long de mes analyses, je n’exprime que mon intime conviction, une parmi des millions d’autres. Cette conviction n’est pas vérité d’évangile. C’est une prise de position dans un processus qui nous concerne tous.
La proto-nation congolaise est très divisée. Il y a d’un côté les tenants du pouvoir qui campent de façon maladive et suicidaire sur des positions de plus en plus intenables. Il y a de l’autre l’immense majorité de la population qui ne peut plus supporter les injustices criardes. Entre ces deux extrêmes, le fossé est de plus en plus grand. C’est cela que Lénine appelait situation révolutionnaire.
Quand on voit ce que les révolutions de ces dernières décennies ont apporté à notre planète, on est en droit de se demander pourquoi les élites n’encouragent pas leurs peuples à l’évolution, processus qui intègre quotidiennement les défis du changement éternel. De la révolution iranienne aux printemps arabes, en passant par la révolution bolivarienne de Chavez au Venezuela, le spectacle est le même : une folie destructrice qui rejette les pays à des années-lumière du développement.
Entre les extrêmes du paysage politique congolais, le centre où se construit le consensus s’est réduit en peau de chagrin. L’église qui devait se mettre au milieu du village a été détruite par les rancœurs. Comment peut-on rassembler, comme le recommande notre hymne, si l’on ne prête attention ni à la terreur de ceux qui sentent le pouvoir leur échapper ni à la fureur de ceux qui ploient sous le poids de l’injustice ? Comment peut-on fédérer, si on ne construit des ponts entre les uns et les autres ? Je ne m’oppose pas à ceux qui prônent la division, j’essaie de développer un discours parallèle visant à surmonter nos haines pour préparer un après-Sassou plus inclusif. Je vois les germes de la divisions s’incruster dans le sol congolais, puisse nos prières faire que le terreau congolais ne leur soit pas favorable.
On peut tout me reprocher sauf le fait d’avoir dit à haute et intelligible voix, que Sassou a lamentablement échoué. Et il le sait mieux que tout le monde. En 40 ans de règne, il a tout eu pour faire du Congo un pays où il fait bon vivre. S’il essaie de l’ignorer, la crise multidimensionnelle qui étrangle le pays est là pour le lui rappeler. Le bon sens élémentaire aurait conduit n’importe qui dans pareille circonstance, soit à démissionner, soit à rechercher activement une voie de sortie consensuelle. C’est ce que je m’évertue à transmettre à Sassou depuis le début de cette crise. Je suis conscient de la précarité de la démarche, cependant, en adepte de la lecture abrahamique avant la destruction de Sodome et Gomorrhe, je conserve à la nation congolaise et à Sassou, le maigre capital d’un sursaut salvateur. Si Sassou a raté son règne qui entrera dans l’histoire du Congo comme une période sombre, qu’il éclaire au moins sa sortie pour épargner aux Congolais les affres d’une nième guerre fatricide.
Et si l’embrasement abhorré finit par se produire, j’aurais au moins la conscience tranquille d’avoir fait tout ce qui était en mon infime pouvoir pour m’opposer à l’ignominie. Si par malheur, le Congo se transforme en Yémen, Syrie, Libye, Venezuela, etc. je n’aurais plus de larmes pour pleurer, car celles que j’ai versées sous formes de tombereaux d’écrits depuis 2012 se seront évaporées dans le désert des cœurs congolais endurcis par la haine.
Heureusement, comme le disait Mika Waltari dans Sinouhé l’Egyptien : « De demain, nul n’est certain. » Le Congo peut basculer demain dans le meilleur ou le pire. Alors, je souhaite à mon beau pays la réconciliation de ses fils noyés dans une haine incommensurable.
« Je ne m’oppose pas à ceux qui prônent la division, j’essaie de développer un discours parallèle visant à surmonter nos haines pour préparer un après-Sassou plus inclusif. Je vois les germes de la divisions s’incruster dans le sol congolais, puisse nos prières faire que le terreau congolais ne leur soit pas favorable. »
Cher Malanda ,
Veux-tu dire « ceux qui appliquent la division comme politique « ? Il y a lieu de nuancer ton propos car, prôner la division en réponse à une politique ségrégationniste est différent d’appliquer une politique ethniciste.
En terminant , tu souhaites une réconciliation aux fils de ton beau pays. C’est louable, mais que penses-tu de la justice? Entre la justice et la réconciliation , qui a bienséance sur l’autre? Doit-on passer pour pertes les milliers des milliards volés et placés dans des paradis fiscaux? Les forêts et terres détruites irréversiblement pour l’extraction des minerais? La destruction du lien social par l’ethnicisme?
Oui pour la réconciliation, mais cela n’est pas opposée à la justice. Trop d’injustices ont été commises au Congo . Les faits doivent être établis et la loi doit être appliquée pour réparer les préjudices subis par les victimes . Autrement, ce que tu appréhendes le plus arrivera en ce sens que les victimes d’hier deviendront les bourreaux de demain. Et ainsi de suite.
Très cher Bakala Louzolo
Tu dis: “Il y a lieu de nuancer ton propos car, prôner la division en réponse à une politique ségrégationniste est différent d’appliquer une politique ethniciste.”
Je suis convaincu d’une chose: On ne résout pas le mal par le mal. Mandela, au sortir de la ségrégation n’a pas instauré un apartheid anti-blanc, mais une nation-arc-en-ciel. Et malgré cela, tu vois bien que la violence imprègne fortement ce grand peuple. Qu’en aurait-il été si en plus, officiellement, Mandela avait instauré une stigmatisation des Blancs? On peut s’imaginer le sort que ceux qui s’attaquent aujourd’hui aux Noirs, auraient réservé aux Blancs en 1994.
« C’est louable, mais que penses-tu de la justice? Entre la justice et la réconciliation , qui a bienséance sur l’autre? »
Eternelle question : Qui de l’œuf et de la poule avait précédé l’autre ? Mais au fond, est-ce si important ? Pour ma part, je suis convaincu que le génie de notre peuple saura trouver la meilleure formule pour associer justice et réconciliation. Les Sud-Africains sont passés par la commission ‘vérité et réconciliation’, les Rwandais ont instauré des ‘gachachas’, tribunaux traditionnels, après le génocide.
‘’Doit-on passer pour pertes les milliers des milliards volés et placés dans des paradis fiscaux? Les forêts et terres détruites irréversiblement pour l’extraction des minerais? La destruction du lien social par l’ethnicisme?’’
Je ne nourris pas d’obsession ni d’illusion à l’égard de l’argent perdu. Ce sera déjà un grand miracle si on retrouve 20% de cet argent. Je suis convaincu que malgré cette perte colossale, nous sommes capables de reconstruire de façon spectaculaire notre pays dans un aprè-Sassou apaisé. Mon homonyme, Pascal Lissouba disait au sujet de Nkossa dont la mise en service était un des déclencheurs de la guerre de 1997, que ‘’Le Congo n’avait pas besoin de cette ferraille pour se développer’’. Les recettes existent, il suffit de les sortir des cartons. Lissouba a hérité d’une situation économique catastrophique. Un pays surendetté et à l’économie exsangue. Le baril de pétrole à 9 dollars etc. Pourtant, en 1997, les comptes de la maison Congo revenaient progressivement à l’équilibre.
Nous avons un potentiel économique énorme : le génie de notre peuple associé à une nature généreuse. Il suffit de mettre de l’ordre dans notre gestion pour découvrir que la fonction publique est peuplée de fantômes qui grèvent les finances de l’Etat en alimentant les poches d’une oligarchie, tandis nos colossales ressources naturelles ne demandent qu’une gestion orthodoxe pour soulager notre économie. Les recettes existent donc, mais il ne sert à rien de les livrer maintenant car la CARTOUCHE lissoubienne de la réforme de la fiscalité pétrolière a engendré une manne dont le régime PCT a usé et abusé pour ruiner les Congolais. Réservons les MISSILES économiques à l’après-Sassou.
Privilégiant la rationalisation de l’économie congolaise, je n’interdis pas à quiconque en sentant l’impérieuse nécessité, de traquer les milliards congolais parqués dans les paradis fiscaux. Connaissant la fourberie des banquiers internationaux, je préfère laisser ce sacerdoce à plus patient que moi.
« Oui pour la réconciliation, mais cela n’est pas opposée à la justice. »
Les deux sont intrinsèquement liées. Encore une fois, faisons confiance au génie de notre peuple. Le souverain primaire a toujours le dernier mot.
« Autrement, ce que tu appréhendes le plus arrivera en ce sens que les victimes d’hier deviendront les bourreaux de demain. Et ainsi de suite. »
Dans la gestion non-violente des conflits, cela s’appelle « escalade ». Le bon sens élémentaire impose de sortir le plus vite de l’escalade. Et le chemin le plus court pour y parvenir est la réconciliation.
De l’enfumage, encore de l’enfumage, et toujours de l’enfumage avec ces voeux pieux. Ernest KOMBO, dans sa naïveté, pensait changer cette vipère de Sassou; et cette vipère a fini par le mordre et lui inoculer son venin mortel.
Gachachas ici, reconciliation là…c’est de l’enfumage!
Pascal MALANDA,
Vous semblez ne pas connaitre l’histoire du Congo. A moins que vous n’ayez été mandaté pour endormir ou commencer à distiller le venin de l’endormissement des Congolais.
Si on avait enfermer ou éliminer physiquement Sassou en 1992 après la CNS, le destin du Congo et l’avenir des Congolais en aurait été TOUT autre.
Mais hélas, Mgr KOMBO l’a pardonné en procédant à un lavement des mains stupides. Et avec tout l’argent qu’il avait volé, cet ASSASSIN est revenu massacré les Congolais.
Laisser CE SERPENT vivant provoquera les mêmes effets.
Si ce n’est LUI, ça risque d’être son fils qui reviendra avec TOUT l’argent qu’ils ont volé (re) massacré les CONS -golais qu’ils prennent pour leurs moutons à l’abattoir.
ALORS Pascal MALANDA, voulez vous que l’histoire se reproduise ?
@Mon cher Malanda,
Sassou n’est pas imbécile et il n’a que faire de vos conseils. Surtout vous au sud,ne vous leurrez pas. Sassou à détruit tout le petit tissu qui unissait encore le Sud au nord. Il a inoculé le venin de la violence et de la division. On ne pourra plus se comprendre. Il n’ya pas de Mandela au congo.
Le sud doit apprendre à s’unir et à se défendre. Parce que Sassou veut réduire le congo en cendre. Mais qu’il le fasse d’Oyo,Olombo et autre du Nord. Rien ne l’autorise à détruire le congo.
PEUPLE CONGOLAIS MEFIEZ VOUS DU CHANGEMENT TSCHISEKEDILISE QUI ARRIVE À GRAND PAS….
Qui d’autre qu’un ami de Sassou qui peut reconnaître un autre ami de Sassou? Pambou qui reconnaît en Malanda des accointances avec Sassou . Malanda qui le zappe. Pourquoi? Allez comprendre .
La nature est dualité de l’être et de l’étendue, antagonisme des principes physiques, métaphysiques, moraux, etc..
Cette dualité a définitivement consacré l’existence séparée et antagonique d’entités paradoxalement contiguës (le sujet et l’objet, le bien et le mal, le corps et l’âme, etc..)
Non, il n’est pas vrai que l’unité soit supérieure à la dualité et à la multiplicité quand la multiplicité et la dualité dérivent de l’unité
L’EXTRÊME NAÏVETÉ, C’EST DE CROIRE EN L’EXISTENCE DU DIVIN DANS UN ÊTRE SATANIQUE INCARNÉ QUI A ÉTÉ CAPABLE D’ENTERRER VIVANT UN SAINT HOMME.
Si le martyr rappelé ici de celui qui a parié sur le grand pardon, n’a toujours pas convaincu, les types de discours par lien ci-dessous plus de 40 ans après la forfaiture clairement anti-bakongo, devraient au moins arriver à bout de l’angélisme coupable
https://www.facebook.com/marielouise.ango1/videos/10211565308407183/
PASCAL MALANDA mais TU AS Pété un cable ?
Et je le dis en pesant mes mots.
Qu’est ce qui ne va pas chez toi ?
Tu as fumé le dolo par le trou de balles ?
Tu as sniffé de la coke au petit déj avant de nous balancé des imbécilités pareilles ?
DONC SELON TOI, SASSOU A LE DROIT DE TUER TOUS LES CONGOLAIS AUTANT QU’IL VEUT, MAIS LES AUTRES CONGOLAIS N’ONT PAS LE DROIT DE LE TUER ?
Va pondre tes insanités là à ceux qui ont perdu des parents par la faute de ce fils de pute de sassou et tu risqueras la potence.
Et si en 2021 sassou se remet à tuer des Congolais seras tu capable d’en assumer TA complicité de crimes contre l’humanité par ces écrits stupides ?
MALANDA arrête tes conneries OKAY ?
SI TU N’AS RIEN A DIRE, VAUT MIEUX LA FERMER….. parce que de tels écrits pourront un jour se retourner contre TOI surtout si sassou se remettait à massacrer les Poolistes ou autres en 2021.
Loin de partager l’analyse politique de@Malanda ,il y a un point qui doit éveiller notre attention ,c’est celle de la volonté granitique de Sassou de kabilaser le pouvoir (pouvoir par procuration ).
Deux indices majeurs symbolisent le règne éternel de ce clan : l’octroi du futur champ pétrolier du nord á Etoka et l’octroi des minerais de fer á Paul Obambi .
Alors ,je ne vois pas ce clan abandonner le pouvoir , sous prétexte que Mokoko serait sorti du goulag .
Il va de soi ,que je n’en mene pas large sur un Congo paisible après 2021 ,et je rejoins @ Malanda ce point précis où toutes les hypothèses sont plausibles .
De l’auberge , notre pays n’est pas encore sorti.
N’oublions pas
La part de vérité de Justin Lekoundzou Itihi Ossetoumba sur les assassinats de Marien Ngouabi, Cardinal Emile Biayenda et président Massamba Débat en mars 1977
Nous reproduisons cependant des larges extraits.
Congolaises, Congolais, Chers compatriotes,
Le message que je vous adresse, aujourd’hui, à mon corps défendant (je n’ai aucun titre à le faire) a valeur d’aveu et de témoignage. En tant qu’un des acteurs majeurs de la vie sociopolitique nationale depuis des lustres, je suis tenté de vous livrer ce qu’il convient d’appeler « ma part de vérité » concernant les errements, les intrigues, les félonies, les trahisons, les persécutions, les assassinats, bref, tous ces maux qui ont, et qui continuent d’émailler celle-ci.
Comme vous le savez certainement, déjà, je suis actuellement à l’étranger en train de recevoir des soins appropriés suite non pas à une maladie naturelle, mais à un empoisonnement avéré.
D’aucuns se demandent qui est le véritable commanditaire de cet empoisonnement ?
Comment cela est-il arrivé, et pour-quoi ?
Nul n’ignore les débats internes au Parti congolais du travail (PCT), parti du commandant Marien Ngouabi entre ceux qu’on a appelé outrageusement les réformateurs dont la tête de file se trouvait être le défunt président du sénat, Ambroise Edouard Noumazalay, d’une part, et ceux qu’on a désignés péjorativement comme conservateurs, lesquels étaient conduits par votre serviteur d’autre part.
Ces débats internes qui trahissaient d’une bonne santé de la démocratie au sein de notre parti étaient perçus a contrario comme une fronde. Certaines personnes s’étaient senties menacées, celles-là mêmes qui ne croient pas au débat démocratique. Nous avions été perçus comme des ennemis à abattre à tout prix pour que leurs privilèges soient sauvegardés.
Notre action en vue de la préservation du PCT, et partant, de la mémoire de son fondateur, le commandant Marien Ngouabi, n’avait pas, à proprement parler, l’assentiment du président de la République, même si publiquement, il n’osa l’avouer, s’érigeant faussement en arbitre impartial.
Nous dérangions par notre action, sans que l’on sache réellement pourquoi, d’où cette tentative de mon élimination physique. En le faisant, les tenants du « Réformisme » pouvaient ainsi asseoir leur dessein, celui de faire disparaître à jamais le PCT, et partant, la mémoire de son fondateur, le commandant Marien Ngouabi.
Ces gens-là veulent faire croire au peuple que les déboires du pays sont dus au PCT, ancien parti unique. Ils sont en quête d’une certaine virginité politique, puisqu’ils tentent vainement de faire table rase du passé, de leur passé fait de gabegie, d’intrigue, d’assassinats politiques.
Le PCT est ce qu’il est à cause de la pratique des hommes, en particulier, de ses dirigeants. Le PCT en tant que parti n’a jamais tué, ni non plus professé une quelconque idéologie divisionniste. En tant que parti, le PCT a déjà admis des réformes fondamentales à la faveur de l’ère démocratique. Il a abandonné son idéologie marxiste-léniniste, faut-il qu’il se fasse hara-kiri en abandonnant son nom pour que l’on parle de réforme ? Voilà ce qui explique la tentative d’élimination visant ma personne. Cela a toujours été leur pratique. J’ai été empoisonné certainement par des personnes qui me côtoyaient, à l’instar de l’amiral Jean Dominique Okemba, qui m’appelait affectueusement, « Tonton » en raison des liens solides que j’entretenais avec son oncle (Denis Sassou Nguesso).
Le principal commanditaire de cette tentative est nul autre que Monsieur Denis Sassou Nguesso. Cet homme est d’une intolérance sans bornes car il n’accepte jamais aucune voix discordante ou contraire à ses opinions en son sein. Son machiavélisme notoire a déjà précipité maintes personnalités de notre pays à la mort, comme je vais le démontrer un peu plus bas.
Pourtant, mon engagement auprès du président Denis Sassou Nguesso était connu de tous les Congolais. Je l’assume et je n’en ai pas honte. Pendant la période 1991-1992 qui marqua la transition démocratique au Congo-Brazzaville, j’ai été sous les feux de la rampe. Alors qu’il était, constitutionnellement, protégé par son statut d’ancien président de la République, d’autres que lui étaient la cible de ceux qui voulaient en découdre avec lui. J’ai personnellement été le bouc-émissaire car j’ai connu la prison au cours de cette période.
De même, dans les années 1992-1997, période marquant le règne du président Pascal Lissouba, maintes personnes liées au président Denis Sassou Nguesso ont vécu moult difficultés, voire, des persécutions alors que le principal intéressé se la coulait douce en France et au Gabon, ou se terrait dans ses « bunkers » d’Oyo et de Brazzaville, loin des tracasseries quotidiennes.
Chers Compatriotes, les manigances du président Denis Sassou Nguesso ont précipité ce pays dans l’abîme car il a toujours agi sous la main pour provoquer les crises afin d’en récolter les dividendes, en éliminant tous ceux qui lui ont toujours fait obstacle. Aucune crise ne s’est passée au Congo de 1969 à ce jour sans qu’il n’y soit impliqué, soit directement, soit indirectement. Même lorsque le conflit opposait le président Pascal Lissouba à Monsieur Bernard Kolelas, le président Denis Sassou Nguesso était toujours impliqué.
Après l’élection du président Pascal Lissouba, un accord avait été conclu, lequel devait conduire à la participation des membres du PCT au gouvernement. C’est le président Denis Sassou Nguesso lui-même qui avait don-né les noms des trois personnalités du PCT, qui devaient rejoindre le gouvernement à El Adj Djibril Bopaka, ceci nuitamment, et à l’insu de tous, avant de dénoncer l’accord, ce qui nous a conduits à une profonde crise comme vous le savez.
Venons-en maintenant à l’assassinat du président Marien Ngouabi. Il faut dire que c’est une affaire dont l’énigme n’a jamais été élucidée.
Cet assassinat est à inscrire au même chapitre que l’assassinat du président John Fitzgerald Kennedy, en 1963, à Dallas, aux Etats-Unis. La mort du président, Marien Ngouabi, a entraîné l’exécution d’illustres personnalités parmi lesquelles le président, Alphonse Massamba Débat, et le cardinal, Emile Biayenda. Toutes ces personnalités auxquelles il avait été attribué à tort l’assassinat du président, Marien Ngouabi, ont été sacrifiées sous l’autel de l’ambition d’un homme parmi les plus cruels et les plus sanguinaires que l’Afrique ait jamais connu, à savoir, le président Denis Sassou Nguesso. Ce dernier alors ministre de la Défense et de la Sécurité, en 1977, a été le principal instigateur de la mort du président Marien Ngouabi, voire, son principal commanditaire.
D’aucuns ont toujours pensé à tort que le président Marien Ngouabi a été assassiné dans sa résidence comme l’a toujours indiqué la version officielle tronquée. Il n’en est pas ainsi car le président Marien Ngouabi a été entraîné dans un traquenard à l’hôtel Mistral où il avait été lâchement assassiné par les soins de Denis Sassou Nguesso qui avait savamment, et de façon rusée, exploité la haine que lui vouaient certains officiers de l’armée.
Il faut souligner pour votre gouverne qu’au moment des faits, Monsieur Denis Sassou Nguesso était ministre de la Défense et responsable de la Sécurité de l’époque. Comment comprendre qu’un président soit assassiné alors même que l’armée était consignée et que le président vivait en plein état-major ? Comme se fait que la responsabilité du ministre de la Défense et de la Sécurité de l’époque n’ait jamais été mise en cause ?
C’est dire que c’est lui qui a tiré toutes les ficelles sur cette affaire. Il a sacrifié plusieurs personnes en capitalisant sur la haine et l’esprit de revanche des Kouyou car il fallait à tout prix des bouc-émissaires.
Mesdames et Messieurs, cet homme à l’esprit retors ne recule devant rien. C’est bien lui qui a provoqué la guerre de juin 1997. Il s’est préparé, militairement, au lendemain de l’élection du président Pascal Lissouba dans le but d’en découdre, plus tard, avec lui en vue de la reconquête du pouvoir car il était pertinemment conscient de l’impossibilité de le faire par la seule voie des urnes. Monsieur Pascal Lissouba s’est pris au piège tendu par Monsieur Denis Sassou Nguesso, à cause surtout de son inconscience, sa susceptibilité, et de la haine viscérale qu’il vouait à ce dernier, et inversement.
Monsieur Pascal Lissouba a lancé, maladroitement, ses forces contre Monsieur Denis Sassou Nguesso, encouragé dans cette maladroite entreprise par Yhombi et Okoko, tandis que celui-ci s’est posé en victime. Tous ceux qui connaissent ce sinistre personnage comme moi, ne sauront mettre en doute la véracité de ces propos.
Mesdames et Messieurs, Chers compatriotes,
Aujourd’hui, l’Etat congolais tout entier est devenu la quasi-propriété des Nguesso.
Monsieur Denis Sassou Nguesso, ses enfants et neveux, se sont appropriés de façon criminelle les sociétés qui, naguère, étaient le fleuron de l’Etat congolais. Les finances et le pétrole congolais sont contrôlés de façon discrétionnaire par cette famille dont l’appétit vorace et insatiable, et l’avidité incompréhensible obèrent les finances publiques au point où les immenses ressources financières dont est censé disposé le Congo sont largement détournées par cette famille qui fait l’acquisition des biens immobiliers partout, à savoir, à l’intérieur et à l’extérieur du pays.
Ce qui est particulièrement curieux, aujourd’hui, c’est que Monsieur Denis Sassou Nguesso ne semble pas se rendre compte du fort ressentiment du peuple à son égard ; sa désinvolture est désarçonnante. Les Congolais témoignent, aujourd’hui, de l’aversion pour cet homme dont la seule apparition à la télévision est vue comme de l’outrage. Les événements de Pointe-Noire à l’occasion de l’inhumation de Monsieur Thystère Tchikaya traduisent la véracité de ces propos. Au lieu de prendre en compte les raisons de la colère populaire à son encontre, Monsieur Denis Sassou Nguesso qui pense être en mission divine, y est allé en menaces à peine voilées lorsqu’il a reçu les notables de Pointe-Noire venus s’excuser platement devant lui.
Quelle désinvolture !
Il doit savoir une chose : les Congo-lais supportent difficilement ces gens qui étalent de façon ostentatoire leur richesse mal acquise pendant qu’ils tirent eux-mêmes le diable par le queue, d’autant plus que, selon les chiffres, le Congo n’a jamais été aussi riche avec un budget annuel de plus de deux mille milliards de f cfa. Le gouvernement fait office de faire-valoir. Monsieur Denis Sassou Nguesso a créé des sociétés qui sont sous sa propre gouverne, pour contrôler tous les flux financiers, à savoir, la délégation générale des grands travaux, la SNPC, le Domaine présidentiel, la Cotrade, Socotram, le Conseil national de sécurité, la BGFIBank, la Direction générale des contrats et marchés de l’Etat…
A la tête de ces sociétés se trouvent ses neveux et fils. Ils sont ouvertement en conflit d’intérêt et ne s’en émeuvent pas, surtout, lorsqu’ils ont aliéné à leur profit les sociétés d’Etat aussi juteuses qu’Hydro-Congo, ATC, ONPT…
Aujourd’hui, les conseils des ministres se tiennent rarement. D’ailleurs, ils n’ont rien à décider car les décisions importantes sont prises en haut lieu (cercle familial). Que dire des pouvoirs locaux comme les conseils régionaux et municipaux ?
Ils s’avèrent inutiles car n’ayant aucune emprise sur la moindre décision les concernant. Nous constatons cela lors de l’exécution des projets de la municipalisation accélérée qui du reste font appel aux investissements mal orientés dans des secteurs loin d’être prioritaires.
Au lieu de prendre à bras le corps les problèmes réels du pays, Monsieur Denis Sassou Nguesso, personnage contradictoire à souhait, veut plutôt son image en endossant les problèmes qui ne sont pas nôtres. Son activisme en ce qui concerne la lutte contre le réchauffement de la terre, ainsi que pour le développement durable étonne plus d’un Congolais qui voit en cela une digression traduisant une incapacité notoire à s’attaquer aux vrais maux nationaux qui sont : le chômage, les problèmes du système éducatif et du système de santé, le manque d’eau potable et d’électricité, l’absence de logements sociaux, les problèmes d’insalubrité et des routes…
Il est de notoriété publique que Monsieur Denis Sassou affectionne particulièrement les pratiques mystico-fétichistes et ne s’en cache pas. Il vient à cet effet de créer le District de Brazzaville, qui est une loge maçon-nique. Mais il n’a pas suivi le cheminement, les procédures requises et la philosophie de cette loge. Il s’est autoproclamé Grand-Maître à vie tandis que son neveu de triste mémoire est nommé député à vie.
Monsieur Denis Sassou Nguesso pratique la magie et la sorcellerie dans un seul but : asseoir sa domination et la pérennité au pouvoir. Tous les compatriotes adeptes de cette secte doivent savoir que leurs étoiles, leurs âmes et leur famille, sont à sa merci parce que sous l’emprise de sa domination mystique. Il veut devenir omnipotent, omniscient et cherche à accéder au 30e degré dans la conception maçonnique pour mieux asseoir sa puissance.
Dans sa quête mystico-fétichiste, qui fait qu’il s’adonne aisément à l’inceste, Monsieur Denis Sassou Nguesso veut s’approprier, si ce n’est pas déjà fait, des restes (ossements) de certaines personnalités comme De Brazza et le roi Makoko (Elo 1er) pour soi-disant fortifier sa puissance tutétaire. Mais avec le roi Makoko actuel (Auguste Nguempio), il n’y arrive pas, c’est pourquoi il veut le faire disparaître et le faire remonter par un roi à sa dévotion.
Dans cette quête mystique, il a des alliés comme le général Florent Ntsiba, le colonel Marcel Ntourou, Raymond Mboulou, Auguste Célestin Gangarad Koua, le colonel Jean Aive Allakoua, le capitaine Nganvala Essouli, qui ont ceci de commun qu’ils affectionnent le sang et les fétiches.
Chers compatriotes,
Je vous demande d’aller au devant de vos problèmes, de les affronter afin de s’en affranchir. Vos problèmes ont pour nom la famille Nguesso. C’est une famille prédatrice dont les intérêts passent avant le bien-être de tout un peuple.
Souvenez-vous que lors de la Conférence nationale souveraine, vous aviez dit NON à Denis Sassou Nguesso. Dites-lui de nouveau NON en 2009. Même s’il vous inonde de l’argent, dites lui tout de même NON car cet argent vous appartient.
Vous étiez nombreux à vous abstenir lors des élections législatives et locales. Abstenez-vous de voter pour votre propre malheur, ne lui donnez plus car te blanche. Votez pour une autre personne ou abstenez-vous.
Aujourd’hui et demain, nous avions besoin d’un homme équilibré, ordonné, discipliné, d’une majesté mêlée de bonté dans toutes ses actions. Nous n’avions plus besoin d’un déséquilibré avide de cupidité.
Monsieur Denis Sassou Nguesso doit comprendre le rejet total du peuple à son égard. S’il veut se maintenir en dehors de la volonté populaire, il aura à répondre un jour.
Ce monsieur représente le malheur. Débarrassez-vous-en. Vous le pouvez. En 1992, vous lui avez dit NON. Vous pouvez le faire à nouveau. L’avenir vous appartient, notamment, vous les jeunes. Ne permettez pas qu’il vous le compromette plus qu’il ne l’a fait. Levez-vous ! Prenez l’exemple sur les événements récents de Pointe-Noire. Lapidez-le par un NON ou par une abstention massive : TOUT, SAUF Denis Sassou Nguesso.
Que vive le Congo !
Fait à Paris, le 3 novembre 2008
Justin Lekoundzou Itihi Ossetoumba
Ancien ministre de la Défense Ancien Secrétaire général du PCT
Document publié par Afrique éducation Numéro 364 du 15 au 31 mars 2013 – A l’adresse du chef d’état-major général des Forces armées congolaises, des cadres civils et militaires
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Pascal Malanda, « Le Pardonneur du Peuple », du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest.
Qui a élu ou nommé Pascal Malanda pardonneur du peuple? Quand on n’a rien à dire, on se tait simplement. Il n’y a pas de mal à cela.
Qui a élu ou nommé Michelle MonCoco général du peuple? Quand on a beaucoup à dire, on ne se tait pas simplement. Il y a beaucoup de bien en cela.
LP Sarcaca, Idiot du village.
C’est le peuple Congolais qui l’a élu Général du Peuple. Le peuple Congolais qu’il draînait dans tous ses meetings du Nord au Sud, dans toutes les villes et tous les villages.
C’est ce monde FOU jamais vu dans un meeting à Ponton qui l’a élu Général du Peuple. N’en déplaise à ton cul
Ouais, ce monde « FOU » et ignorant, curieusement qui se fait TOUJOURS attendre pour aller libérer son particulier? Si mal que même pas un tout petit chat n’a bougé depuis lors du côté de Makoua seulement!
O yébi BIEN. Peuple asi ayébi malamu!
Pauvre Cul Pété, 1 vrai rêveur espéranto.
Takou Ngué-Sot = gÉNÉRAL Niongologue alias Papa Déshonneur
Michelle MonCoco = gÉNÉRAL Moniato alias Bottom Affairs – Top Crédibilité?
LA BAVE DU CONNARD BOITEUX N’ATTEINDRA JAMAIS LE GÉNÉRAL DU PEUPLE
MANDELA tout comme MOKOKO a fait la prison avant d’arriver au pouvoir. Et ce ne sont pas les Sud-Africains qui sont allé sortir MANDELA de prison.
IDEM POUR MOKOKO
LE DESTIN DES GRANDS HOMMES SE RESSEMBLE.
Le connard du peuple peut beau chier dans sa propre bouche, MOKOKO EST ET RESTERA L’HOMME POLITIQUE LE PLUS POPULAIRE DU CONGO DE TOUS LES TEMPS.
LES CHIENS ET LEURS CHICOTS NAUSEABONDS ABOIENT…. MOKOKO PASSERA
POURQUOI SON PEUPLE NE SE LÈVE PAS POUR LE LIBÉRER PUIS C’EST LE PEUPLE QUI L’ A ÉLU GÉNÉRAL
Il est bien sans aucune lucidité ce MOUNÉNO travesti, tellement envahi par un préjudice d’Oxymoron. Il pense que critiquer ou faire jaillir la lumière sur ce petit soldat fréluquet c’est être fans de Kolélas ou Tsaty? Quel rotten ‘pussy’ ce pleurnichard! Indiquez-nous bien là où vous voyez un quelconque support pour ces deux-là ici par vos critiques? N’est-ce pas clairement vous le fanatique omnipotent, messianiste-nouveau et aux bretelles traditionnelles du PCT?
VOTEZ ROUGE !
Cul Pété, les ninjas et autres nsiloulous ne viendront PAS libérer votre messie, la Carpe parmi ces poissons-là. Montrez-nous alors de quoi vous êtes faites: « ya biso mwana ba meka te… et bla bla bla »; oh really?
Tiens-tiens, Mandéla et qui? Mokoko? POUAH ! Le premier n’était nullement un prisonnier de luxe dans une
minable céllule. Mais le second, ah, ba pangui ya Vincent bo yoka lisapo (ohngué), un véritable détenu de luxe dans un espace large fait d’un mélange de confort et d’esthétisme. QUOI ? Ouais, un autre Yhombi Opango en gestation en train d’être modélé. D’ici-là qu’il pète plus haut que son cul ré-pété en tandem avec Takou ne nous surprendra guère puisque à priori ils ont déja consommé le singe sale en famille. Ce n’est pas moi qui le dis, mais le (g)UERRIER lui-même qui l’a librement reconnu publiquement en toute âme et conscience. Il a donc déjà oublié de donner des miettes au peuple. Imaginez-vous 5 ans de pouvoir après!
Et oui, prison somptieuse, hum, on comprend pourquoi les 2 vieux gorilles de la garde républicaine n’ont pas hésité un seul instant pour dégainer leurs zigounettes aux dépens et bons soins de ‘la trace de Babel’ du Postérieur osseux de ce (g)ÉNÉRAL: ~ oh eugh- oh eugh- oh eugh- oh eugh; aaaahhhh! ~.
Ne vous étonnez point hélas sur le silence intrigant de madame MonCoco ni de celui de ses enfants. Idem pour l’autre incarcéré-de-stratégie, l’ex-chef du gang Front 400, l’ami de Pascal Malanda, Okombi ‘Salissant’.
Voyez-vous chers compatriotes, c’est plutôt Takou qui contrairement à vos interrogations avait un plan B. Oui allez-y: OH MERDE !
@@ Au Nom De La Conservation Du Pouvoir Au Nord, A Toutes Les Sauces @@
Avec tout le mal fait et engendré au Sud, la logique pour le moindre sursaut national serait raisonnablement de voir les »’Nordistes » supporter un ou des candidats originaires du Sud. Mais que nenni! Niet! Zero! Nada! Bop kiss! Hummmmm!?!?!?
Certains comme à leur malice habituelle vous diront: « mais nous avons supporté Pascal Lissouba! » BULLSHIT ! Ils n’avaient pas tout simplement le choix au 2ème tour car présenté plus qu’avec 2 candidats du Sud. Il avaient bel et bien choisi Takou au 1er tour, classé 3ème devant le 1er ministre de la transition…
Cher Cul Pété, on attend T O U J O U R S les résultats des votes, mêmes simples tendances partielles, ou les PV. Prouvez-le! Les tactiques propagandistes du PCT, messieurs les messianistes-nouveaux, seront à jamais révolues.
Aux intellos paresseux sudistes, et naïfs à outrance qui se sont quasiment fait rouler jadis en faveur de la cause de Mokoko, cet autre bourreau sournois, vous qui osiez traiter de tribalistes les cerveaux-penseurs et lucides qui ne gavent pas dans ce ratelier de leurs ‘tombeurs’,
En ces temps-ci, MÉFIEZ-VOUS, d’abord!
A bon entendeur,
Un tout petit vecteur pour vous, les graves complaisants petits politiques du Sud, demandez-vous simplement pourquoi vous ne voyez jamais des images de Mokoko en taule, aussi bien d’Okombi? Rappelez-vous cependant que celles dégradantes de Paulin Makaya tel un vulgaire voleur vous étaient balancées plusieurs fois sur le net…
Il y a manifestement et quasi-systématiquement de nombreux corrompus ici et ailleurs qui font absolument semblant de critiquer Takou et son régime de voleurs-assassins. Et d’aucuns ont pour mission ‘d’occuper’ les congolais de la diaspora Internationale par de l’enfumage aliénant et déroutant sans rationnel. Comme le tête à tête – méthode a échoué plus ou moins misérablement, avec au commencement les Gouélondélé de la ‘Guestapo’, les Dzon de Magenta, ainsi de suite avec les Okombi du Front 400, c’est au tour des faucons du Net, franc-maçons pour certains d’entre eux si pas pseudo-réligieux tout court, pour entuber donc le monde avec des théories ridicules et utopiques dans une obsession à vous faire dormir debout les yeux ouverts.
Conséquemment pendant ce temps précieux perdu cela permet Le Takou Niongologue de continuer sans inquiétude sa sauvagerie infernale. Nouvelle stratégie (!) Parlons sans ambages.
Débattez toujours sans agir, jusqu’au tombeau.
Cul Pété, alors, ‘amnesia’?
Ce ne sont pas les Zoulous où l’INKATA qui sont allés sortir MANDELA de prison.
Et Ce n’est pas qui que ce soit qui ira sortir MOKOKO, le Général du peuple de la prison.
MOKOKO = MANDELA
Que les fanatiques zélés de KOLERAS et NTSATOU MABIATA se carrent bien leurs doigts boudinés des chicots jusqu’au nombril et même jusqu’au trous de balle béant, élargis par des enculades mortifères de leurs commanditaires de maîtres.
Les miasmes, gorets et autres caniveaux putrides peuvent beau s’agiter et se torturer les méninges, MOKOKO est et reste L’HOMME LE PLUS POPULAIRE DU CONGO.
N’en déplaise à vos mandibules pleines de déjection KOLELISTE ou NTSATOUISTE.
SOUFFREZ QUE MOKOKO SOIT PLUS POPULAIRE QUE VOS SODOMISTES ATTITRÉS.
L’Homme a été plébiscité par le peuple et cette extrême ONCTION POPULAIRE vous FAIT MAL A VOS CULS ASTICOTÉS.
BENO KE NENA MINTSIOPO NA NKOUMBOU YA MOKOKO.
MOKOKO EST VOTRE CAUCHEMAR PERMANENT.
Pauvres remugles d’anthropophages de vous.
Je ne vous plains pas, puisque le simple nom de MOKOKO vous torture déjà.
Pouvez vous défendre votre héros sans proférer des grossièretés ?
Elanga, laisse-(la) ensévélie dans sa merde. Les internautes avec de la jugeotte apprécieront tout simplement. (Elle) n’aime pas la démocratie. CHOC !
I rest my case.
@Elanga
A moins d’avoir les yeux mi-clos ou une jugeotte déficiente ou à deux vitesses, vous ne pouvez ignorez qui a commencé à utiliser les termes « GROSSIERS ».
Votre « Rideau Ecervélé »
est à l’origine de l’escalade verbale et nous ne faisons que répondre à ces termes insignifiants par des propos encore plus forts.
Histoire qu’on est pas des bras cassés.
Et quiconque s’aventurera sur ce terrain sera laminé verbalement.
A bon entendeur….
NA MWA SONI !
« La recherche des phrases nouvelles et des mots peu connus vient d’une ambition puérile et pédantesque »
IMPOSTEUR, mais poste avec ton pseudo habituel, le plus utilisé parmi des dizaines, puisque tu crois en ton héros. Tu as peur de quoi cancrelat? De tes fausses convictions ou d’une poule?
Censure-toi, dégonflé!
Je te mets au défi pauvre C…. de nous désigner un homme politique Congolais plus populaire, méritant, digne et droit dans ses bottes que MOKOKO à ce jour.
Au lieu de proférer des injures dont tu ne maîtrise pas la sémantique désigne nous ton champion scatologique et anthropophalo-sodomiste.
PAUVRE ET MINABLE DIFFAMATEUR PROFESSIONNEL, DIS NOUS OUVERTEMENT QUI TU SOUTIENS, TOUS CEUX QUI LISENT CONGO-LIBERTY APPRÉCIERONT.
Tes injures n’atteignent que ta médiocre personne.
si vous êtes sûr de votre général parlez nous de son programme prouvez nous que c’est l’homme de la situation au lieu de nous faire la démonstration que vous êtes un expert en grossièretés
Et vous c’est qui votre champion ? Pourquoi vous ne nous parlez pas de votre champion, au lieu de proférer des inepties sur l’homme le plus populaire du Congo le Général du Peuple du nord au sud ?
KOMBO YA MOKOKO ESSUI BINO WAPI ?
Dites nous tout simplement le nom de votre champion à vous.
C’est aussi simple que ça.
A MOINS QUE VOUS EN AYEZ SI HONTE A L’ÉVOCATION MÊME DE SON SIMPLE NOM.