Peut-on (encore) vivre-ensemble avec les Mbochis ?

Mettons, sans sourciller, les pieds dans le plat.

Il est temps de nous débarrasser de nos pudeurs de gazelle pour nous poser cette question cruciale qui interroge, non pas seulement sur l’avenir des Mbochis cher à Nianga Mbouala, mais sur celui des congolais de vivre (encore) ensemble avec les natifs de cette partie septentrionale du Congo, qui, unanimement, ont sciemment fait le choix de confisquer tous les leviers politiques, économiques et sociaux du pays.

Les tribalistes Sassou Denis et Nianga Mbouala

L’adverbe (encore) qui indique ici la persistance d’une action ou d’un état est utilisé à bon escient.

Autour de nous, depuis 1977, année au cours de laquelle Sassou Denis s’était accaparé du pouvoir par la force en faisant assassiner le 18 mars 1977 Marien Ngouabi dans la chambre numéro 8 de l’hôtel Mistral de Brazzaville, le Congo-Brazzaville était sorti de la normalité pour emprunter non pas le chemin d’avenir, mais celui de la régression autoritaire incarnée par Sassou Denis.

Plus de quarante ans après l’exercice autoritaire du pouvoir par Sassou Denis et son parti le PCT, rien ne semble apaiser nos peurs. Bien au contraire !

Nous le voyons chaque jour. Les tensions sont palpables, la misère galopante de la population laisse pantois pendant que le clan qui s’est accaparé de nos deniers se gave ostensiblement. Bien que terrifiés, l’on ne peut s’étonner des discours décomplexés de certains mbochis qui, pour notre part, ne sont que le reflet du pourrissement de diverses rancœurs.

Sassou Denis et le PCT ont fait voler en éclats le socle qui faisait coexister au sein de notre pays tous ses fils et toutes ses filles, c’est-à-dire, l’ensemble de valeurs qui « relient » les Congolais et les réunissent  dans une même communauté. Notre pays se délite parce que le vivre-ensemble ne fait plus sens. Le vivre-ensemble est ce qui devrait nous permettre de faire corps et non, pour les mbochis, de s’aliéner à la personne de Sassou Denis.

A cause du cynisme de Sassou Denis, de la médiocrité des membres du PCT et de l’arrogance de certains mbochis sur les réseaux sociaux, notre pays est menacé de délitement. Si nous nous méprenons, il suffit d’allumer une mèche pour que les gens qui se regardent en chiens de faïence depuis des décennies, finissent par se canarder !

Sous le vocable de « vivre-ensemble », que désigne-t-on, sinon l’adhésion de tous et de chacun à des valeurs partagées?  Aujourd’hui, les Congolais n’ont plus rien en commun. Tous les ingrédients sont réunis pour une SCISSION, à défaut du FEDERALISME.

Le ressentiment naît de la frustration, de la conviction, objective ou non, d’avoir été lésé, de n’avoir pas reçu notre dû au regard des richesses que regorge notre pays.

Incapable de rassembler ce qui est épars, Sassou Denis n’a pas compris l’importance des « trois métiers », selon FREUD : analyser, éduquer et gouverner. Un pays qui est incapable de prendre soin de sa population, qui n’a pas la capacité de lui permettre de vivre en bonne santé, est-il encore un pays ?

Si nous voulons sauver ce qui reste du Congo, chacun d’entre nous doit lutter contre ce ressentiment collectif et individuel pour renouer ce vivre-ensemble qui fait tant défaut.

Nous ne pouvons pas prétendre aimer notre pays en le laissant entre les mains des hurluberlus, des tribalistes, des voyous, des cancres, des voleurs, des incompétents, qui galvaudent ces valeurs de vivre harmonieusement ensemble.

Chaque Congolais doit et devrait être fier de chanter l’hymne national. Nous devons élever des temples à la Vertu, creuser des cachots pour ces vices.

Congolaises, congolais, souhaitons, avant qu’il ne soit trop tard, qu’après la coupe d’amertume, et avant que le ressentiment ne prolifère, pour éviter que notre pays se déchire et ne prenne la voie de la somalisation, que nos regards se tournent vers l’immensité des solutions d’un Congo bienveillant.

Olivier MOUEBARA

Diffusé le 17 décembre 2023, par www.congo-liberty.org

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14 réponses à Peut-on (encore) vivre-ensemble avec les Mbochis ?

  1. Anonyme dit :

    Sans commentaire. Maître Moudileno-Massengo avait tout dit. Sont-ils capables de comprendre et de transcender ?

  2. Samba dia Moupata dit :

    Cher Olivier, vu la puissance hégémonique des Mbochi, le vivre ensemble n’est plus qu’un vain mot ! Car naître kongo aujourd’hui en république Mbochi est la promesse d’un destin entravé par l’injustice . Les jeunes Mbochi se font recruter à Oyo pour travailler à pointe noire dans les secteurs pétroliers et maintenant c’est officiel les centres des formations aux métiers des armes d’Obouya et Tsabitso tournent en plain régime, surtout réservé à la jeunesse Mbochi à 100% . Sassou Denis en réponse à Nianga Bouala Ngantsé Adoua et à Norbert Dabira de n’est pas s’inquiéter pour l’avenir des Mbochi.

  3. lpambou mkaya mvoka dit :

    https://www.youtube.com/watch?v=BaJm55RBXoA&fbclid=IwAR3Csgc6tb4seyjowN85QetmYn0Pg_KYBoSjZlgtwjQ-DsYj0Le0CCGdo8Q

    Pourquoi les élites dirigeantes Mbochis doivent redevenir congolaises

    Mabilemono, fils congolais originaire du nord, estime que la pratique des élites congolaises originaires du nord n’est pas celle qu’il faut suivre pour redresser le Congo dans son éthique, sa vertu et sa morale. Il ne sert à rien de s’appuyer sur les ingrédients ethniques pour diriger le Congo. La Mbochisation, comme le dit un des fils du nord, de la vie politique congolaise n’est pas acceptable, même si les notables politiques Mbochis essaient de montrer que le gouvernement de la République congolaise est fondée sur la diversité avec un premier ministre vili et des ministres qui appartiennent à d’autres régions du Congo.

    Nous sommes au coeur d’une tromperie symbolique et en même temps objective de la réalité. Pendant ce temps, les problématiques industrielles, économiques, sont laissées de côté ou sont utilisées comme artefact de développement.

    Le Congo a accepté d’être le vassal de l’occident global. Les diasporas peuvent crier et hurler au loup, les choses demeurent en l’état et il faut remercier Mabilemono, congolais et fils du nord, qui reconnait à travers cette vidéo que le pouvoir est cadenassé et embrigadé par des Mbochis incompétents au nom de la tribu et vous comprenez pourquoi je demande que les blancs reviennent nous coloniser et nous indiquer la direction du développement. J’ai honte de ce que je dis, mais les faits sont là, le nègre congolais est incapable de sortir de sa condition de colonisé.

    par Lucien Pambou Mkaya Mvoka

  4. Christian Biango dit :

    Ah qu’il est bien loin ce temps pendant lequel certains de ceux-là étaient ses amis en servant le pct( ex MNR)! Comme toujours, on assume rien en faisant dans un sectarisme abject. Groupe ethnique Mbochi( composante tribale Kouyou, Makoua et Mbochi). Au lieu de s’apitoyer sur ce que une des composantes tribales Mbochi fait, il vaut mieux dire, ce que le groupe Kongo( composantes tribales Hangala, Soundi,Kongo boko, Bembé, Kamba, Dondo, Kougni, Yombé, Vili) souhaite faire en ne pouvant pas par pure lâcheté ? Y en a vraiment marre de ces idéologues aigris, que nous apprend-il, que les 3 morts de février 1965 n’étaient pas l’œuvre de Pascal Lissouba, quel gâchis criminel pour les victimes que nous sommes devenues à partir de 1992 dans les quartiers dits sud de Brazzaville !

  5. lpambou mkaya mvoka dit :

    A Biango christian par lpambou mkaya mvoka

    Chjer compatriote je ne comprends pas tres bien le sens et l objectif de ton post

    Allons plus loin et essayons de piger ce que tu demandes au peuple Kongo / au lieu de se lamenter c est de se prendre en main et de reagir face a ce que certains appellent la mbochisation de la vie politique congolaise
    *
    Ma theorie du réseau de la vie politique congolaise montre que les autres ethnies congolaises ne sont que des allegeants et des suppletifs du regime politique actuel au Congo car le le president sassou aide de l angola du tchad et de la France a gagne la guerre de 1997 qui introduit la peur et la soumission aupres des populations congolaises plus bavardes que guerrieres comme on peut le dire pour des soldats tchadiens qui ont aide le president Sassou a revenir aux affaires

    Que faire en 2026, l analyste politique que je suis et qui regarde les faits politiques comme des choses au sens du sociologue philosophe Durkheim se demande si les opposants politiques congolais au president Sassou seront assez courageux et non hypocrites en mettant en avant la la mbochisation des nominations a des postes importants du pouvoir des mbochis souvent incompetents comme ces opposants le dient sous anonymat dans certains resaux sociaux

    De quoi parlons nous chers compatriotes? De la mbochisation du congo diront certains, certes mais la plupart des elites dirigeantes congolaises issues d autres regions ne trouvent rien a redire car au nom de la theorie de reseau( qui ne plait pas a samba dia ,moupata, aval de nantes, a ya tonga, a fils du pays, et a Anonyme) ces elites par leur silence et surtout par la preservation de leurs interets financiers et de place se taisent rampent denoncent la mbochisation du regime Sassou sous anonymat et ne disent rien au grand jour

    Je dis toujours et avec regrets( car je connais la betise occidentale francaise dans la gestion de negres naifs et pas tres instruits de la culture francaise meme quand) ces congolais ont longtemps vecu en france) que les francais au travers des accords de cooperation limites dans le temps reviennent aider les negres congolais pour une administration plus efficiente de la vie politique economique congolaise

    C’est dur ce que je dis cela fait mal mais il faut se rendre a l evidence malgres nos bavardages il faut se rendre a l evidence nous sommes incapables tous ensemble car les elites dirigeantes sontes deconectees du peuple

    Je ne suis ni victime ni allegeant ( je suis originaire du congo et je vis en france depuis 40 ans)du systeme politique francais que j ai toujours critique a fond quand j etais editorialiste sur Africa 24 TV et en tant que fondateur et secretaire general du cran ( conseil representatif des associations noires de France)
    lpambou mkaya mvoka

  6. Val de Nantes. dit :

    Et si la mbochisation était une résignation nationale !!..
    La fin d’un mythe. Ç aurait été le titre de l’histoire politique congolaise.Thomas Moore aurait parlé de « l’utopie »..
    Vivre ensemble est synonyme de respect des valeurs humanistes, collectives , placées sous le sceau de la dignité humaine . Redondance, peut être. Mais il y a lieu d’en préciser les mots .
    Si les mbochis ont une définition particuliére des mots tels que, valeurs et dignité,ils doivent s’adresser aux congolais issus de leurs régions , c’est à dire les plateaux et la cuvette…
    Question ?.
    L’utopie politique ou réalisme économique ??.
    De la réponse à cette question dépendra le devenir du Congo Brazzaville…
    NB : la pensée est une activité et le sommeil est son epoché Docteur Freud, au secours !

  7. le fils du pays dit :

    le fils du pays
    Certains Mbochis ignorants et tres egares qui suivent aveuglement depuis plus d’un demi siecle l’Ivoiro-Dahomien Sassou Denis devenu Mbochi qui les manipule pour les raisons obscures que seul lui et ses maitres colons francais savent.
    A mon avis,le vivre ensemble est encore possible avec les Mbochis.Il faut juste dynamiter le regime criminel de Sassou Denis qui les entraine dans cette folie,dans ce chemin sans issue.
    Faire table rase,panser et repenser le Congo.C’est a dire au prealable faire degager Sassou Denis,son clan et ses amis du pct. Ensuite penser les nouveaux outils de gouvernance pour repartir sur les nouvelles bases solides et saines.

  8. Val de Nantes. dit :

    L’éducation des sauvages ,au sens de Condorcet, est un processus d’acquisition des bases solides sur les valeurs de vivre ensemble. C’est l’histoire d’un pygmée, revenant du fond de sibiti, voulant s’intégrer dans la société civile,et qui a dû subir avec succès toutes les épreuves d’assimilation des conditions de vie bonne..
    L’être mbochi,tel perçu par les congolais, avec des lunettes occidentales ,est un être plus doué de désordre, de déraison,de doxa ,que de bon sens. Il s’arrache aux catégories impératives de Kant  » la morale de l’action doit se couvrir d’une once universelle ». C’est à dire appréciée de tous..
    D’où l’immaturité mentale qu’offre l’être mbochi,au travers de sa mauvaise conception de la chose publique, en fait un être encore ancré dans l’état de nature Hobbesien , c’est à dire celui de  » la guerre de chacun contre chacun « …
    Cette posture sociale n’incite en aucune manière un besoin de construction d’une unité nationale fondée sur la compréhension légitime des aspirations de chaque congolais au sein de cette république.
    De ce constat anthropologique ,je tire une leçon institutionnelle,qui me commande de penser un modèle économique du type fédéral..
    Le Congo Brazzavile est un bien commun,mais les différences de gouvernance de la chose publique nous oblige à un compartimentage de l’économie nationale..
    L’unité nationale c’est aussi la possibilité de vivre de biens tirés du milieu dans lequel on vit , c’est à nos territoires….
    Si Mossaka vivait sous l’emprise d’un gouvernement régional ou fédéré , les inondations dont il souffre depuis des millénaires, auraient été solutionnées…
    Chers compatriotes,
    Souffrez que je vous dise que, désormais,je vous regarde du haut de mes convictions fédérales ,et que vos angoisses existentielles m’indiffèrent…
    J’attends que l’open bar de Sassou prenne fin pour que j ‘y mette un gros coup de balai.. L’avènement. du fédéralisme au Congo Brazzaville m’a sorti du coma dans lequel gise une majorité d’entre vous.
    Que l’être mbochi soit addict aux fêtes, c’est son droit. Mais qu’il m’empêche de penser autrement que lui , c’est une agression. …

  9. Anonyme dit :

    Cher tonton si je n ai pas de haine vis à vis des mbochi c est parceque le pouvoir politique ne m interressé pas par contre j’ ai des enfants et toutes ces histoires de vengeance politique m ont empêchés d être normal oui c est je ne le souhaite pas pour mes enfants les congolais n espere pas leur avenir dans la vérité sur ses assassinats et pour les mbochi quel est le pays où l ethnies du président ne rafflent pas tous les postes importants. Quant lissouba était au pouvoir c était ngoulou mako tous les postes étaient a eux?et cela sera pareille si c est les télés aux pouvoir ou les loango sinon il faut gagner les élections en rassemblant ceux qui sont contre la politique du pct qui est le seul parti a existe sur tout le territoire sassou n est peut être pas éternel mais le pct auquel tu as appartenus oui tonton il risque de rester 200 ans au pouvoir si au lieu de chercher des compromis pour arriver à une constitution republicaine on préfère les appels à la haine.

  10. Christian Biango dit :

    Il faut rappeler à certaines personnes, que le président Pascal Lissouba fut membre de la tribu Ndzébi une composante de l’ethnie téké. À ces personnes je dis, ravalez votre haine tribale ! Ce qui est pour vous insupportable, c’est que des enfants Kongo aient soutenu Pascal Lissouba par conviction pour son projet politique. Les charlatans qui nous vendent une homogénéité ethnique de la partie dite sud du pays sans en définir le tracé, ont brillamment échoué dans leur sectarisme. J’habite le département de l’Essonne en région parisienne, mais je ne mets jamais les pieds dans celui des Yvelines ni celui du Val d’Oise eux aussi en région parisienne, en quoi mon comportement remet-il en cause le vivre ensemble en île de France ( IDF)? À partir du moment que les 2/3 de la population congolaise vivent à Brazzaville et Pointe-Noire, donc, un taux de brassage de plus de 80%, que l’on nous parle d’un vivre ensemble qui n’existe pas, rien que des fadaises ! Comme dit un cher aîné habitué de ce site me dit: si c’est Pascal Lissouba qui avait commis le 1/100 de ce que le régime de Brazzaville fait depuis octobre 1997, Brazzaville serait à feu et à sang, c’est donc bien la preuve, que la situation actuelle est cautionnée par ces mêmes populations pour lesquelles nous avons de la compassion naïve, à défaut hypocrite. À Brazzaville ( région du pool vous en déplaise) , on entend toujours des gens dire, il vaut mieux que les nordistes commandent, plutôt que les nibolek, que bien leur fasse alors!

  11. Val de Nantes. dit :

    Lire , nous obligent.
    Le légendaire  » lenoi lé tonga dacko » a été outrageusement atteint sous la gouvernance ethnique, clanique, voleuse de Sassou .
    Alors, question !
    Jusqu’à quelles limites de l’impensable, la destruction de la nation congolaise ??.
    Ce qui m’amène à m’interroger sur la valeur objective des connaissances diverses acquises par l’être mbochi aussi au cours de l’expérience sociale de sa vie que de celle son éducation rationnelle venue de l’esprit formaté par les conséquences de la volonté de Jules ferry….
    Est- il rationnel , l’être mbochi ??…
    Doit -on généraliser ou individualiser la bêtise des congolais mbochis ??…
    D’où la question satyrique,mais qui en vaut la peine !!
    Pourquoi y a-t-il un être mbochi au Congo Brazzaville plutôt que rien ??.
    Quelle est sa réelle place au sein de cette cosmogonie congolaise ??..
    Est-il un fragment congolais dans notre cosmogonie congolaise dont la congologie peine à le situer dans l’histoire ancestrale de notre pays.
    Opango,seul ,ne justifie en rien l’appartenance des mbochis à la république congolaise..
    Les historiens doivent se pencher sérieusement sur l’origine douteuse des mbochis pour mieux en comprendre le délire mental lequel altère le bien être de toute la nation.. C’est même la signification de la phrase éponyme de Sartre :_ L’existentialisme est un humanisme « . C’est à dire la responsabilité individuelle engage mécaniquement celle des autres.. Exemple : si tu te suicides,tu engages l’autre dans un état des soucis permanents , de culpabilité, d’inattention etc .
    Surtout quand tu voles de l’argent public,tu mets en péril la vie des nombreuses vies congolaises.. .
    Merci,Sartre ! .En espérant que tu sois compris des lascars mbochis , friands du pétrole du kouilou…
    Peut -être,inviter le professeur Raoult Didier à étudier leur ADN !!.
    Leur ADN est – il soluble dans la république ??..
    Aaaah, l’armée,juge de paix politique de Sassou .. C’est vraiment dommage !!.
    Il faudrait un jour faire un procès Nuremberg de cette pacotille d’armée par laquelle arrive le malheur du Congo Brazzaville…..
    Le futur du Congo Brazzaville va être rythmé par des procès multiformes…

  12. Anonyme dit :

    Christian Biango, comme tjrs, meilleure vision de la chose congolaise, voir africaine, un vrai intellectuel de qualite, bravo et chapeau bas mon frere.

    Ici, les tribalistes inveteres qui se croient tout permis, crient du tribalisme des autres tribalistes qui se seraient accapares du pouvoir pour lequel ils s’entretuent depuis 1959, disons depuis qu’ils sont tous arrives sur le sol du Congo actuel. Ils pensent meme que tout le sud est a eux et qu’ils veulent en faire un pays uniquement a eux.

    Enfin, comme le dit la bible, voir la paille dans l’œil du voisin et ne pas voir la poutre dans le sien, c’est de l’hypocrisie abominable.

  13. Jean OKOMBA dit :

    Soyons serieux loorsque l’on rapporte des propos des congolais qui agissent sans perspective historique en pensant que l’histoire du Congo s’arrete avec leur regime. En effet, les propos « L’AVENIR DES MBOCHIS »attribués faussement au géneral Dabira ont pour auteur le général NIANGAMBOUALA. Il les prononça lors du procès de 2018 à Brazzaville. Il faut bien dire ni Okoko Jacques lors du procès de 1978 sur l’affaire Ngouabi avec les tekés, ni Jean Dominique Okemba avec ces propos aussi cyniques qu’irresponsables « ON A BOMBARBE LE POOL DIEU N’EST PAS DESCENDU DU CIEL », tous ces hommes n’ont reçu mandat de personne pour parler en leur nom. Lorsqu’on rabache a tout moment la triste célèbre phrase de Sassou Nguesso, BAKONGO BABOMI MARIEN pour se dedouaner du meurtre dont il est le cerveau penseur, on a la lumière de ce qui s’est passé au Rwanda en 1994 après l’assassinat du president ABIARIMANA, un effet different au Congo en 1977. Tous ceux qui ont malheusement trouvé la mort a a suite de l’assassinat de Ngouabi étaient de difféntes regions du Congo. Et ils ont été tués simplement en qualité de temoins genants. Il n’ya pas eu la chasse a l’homme ni a Owando fief du president assassiné, ni a Brazzaville encore moins dans d’autres villes du pays contre les BAKONGO. C’est un element indicateur qui revele déja que ces personnes tristement celebres avec leurs actes criminels ainsi que leurs propos irresponsables ne represente les groupes etniques dont ils sont issus. QUI LES A MANDATES POUR TENIR CE GENRE DE PROPOS ET CRIMES CONTRE LES AUTRES CONGOLAIS? LA VERITE EST QU ‘IL Y A AUSSI DES MBOCHI QUI TIRE LE DIABLE PAR A QUEUE. VOUS LE SAVEZ BIEN ET DONC ARRETONS L’AMALGAME.

  14. Val de Nantes. dit :

    En dépit des bonnes intentions patriotiques ,il est sacrément difficile d’envisager une cohabitation avec des voleurs…
    Tous les mbochis n’en sont pas ; mais le soupçon est une armé de défiance psychologue, d’où la malheureuse impression de jeter le bébé et le bain de ce dernier..
    À l’ancien temps, c’est la tribu qui portait la responsabilité des erreurs commises par l’un de ses membres. Donc MBoula Nianga est responsable de sa phrase éponyme…
    La déclaration de Nianga MBoula sur « : l’avenir des mbochis » démontre la non intégration de la tribu mbochi dans le Creuset de la République..
    Comme disait un certain Sassou « : le virus est dans la tribu mbochi »…
    D’ailleurs , pourquoi les mbochis seraient ils menacés après Sassou ???….
    Quand un innocent se présente devant un tribunal, c’est qu’il y a anguille sous Oyo ??…
    Pourquoi l’avenir des Kunis serait il pas menacé ??..
    Le véritable souci ou la véritable signification de cette phrase, c’est nous faire oublier la sassoufolie après Sassou. C’est tout… Mais c’est un coup fourré !!.
    C’est un pré – baratin de paix factice avec d’autres tribus martyrisées sous Sassou…
    On n’est pas dupe de la duperie de MBoula Nianga… C’est à lui de corriger les dégâts collatéraux de sa phrase guerrière…

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