Les 29 Novembre et 30 Décembre 1999, le Conseil national de la Résistance et d’autres groupes armés relevant des pays du Niari et du Kouilou forestier signaient respectivement à Pointe noire et à Brazzaville les accords de cessez – le – feu et de cessation des hostilités mettant fin au conflit armé qui avait embrasé le sud du pays.
Cet accord mis en œuvre grâce à l’habileté et à la sagesse de feu le Président gabonais Omar Bongo Ondimba avait permis au peuple congolais d’aborder le troisième millénaire sous le signe de l’espoir, de la quiétude et de la paix retrouvées, gages essentiels du vivre-ensemble pour un développement social, économique, viable et durable.
Cependant, vingt ans après, que constate – t – on ?
- Les différentes clauses conclues entre les principaux belligérants n’ont jamais été respectées par la partie gouvernementale notamment la tenue d’un dialogue national sans exclusive, l’avancement en grade de tous les agents de la force publique qui étaient dans les zones de conflit, etc. ;
- Les différents conclaves politiques organisés par le gouvernement entre 2001 et 2015 n’ont eu pour objectif que de renforcer et de légitimer une politique de gouvernance bâtie sur un tribalisme primitif et sauvage pratiqué sans aucune gêne et à ciel ouvert, un autoritarisme violent dont le niveau de cruauté est reflété chaque année par les longues listes de victimes publiées par les organisations des droits de l’homme, l’institutionnalisation d’une « race aryenne » ayant pour fondement de l’injustice sociale et la culture du mépris de l’autre. Cette politique macabre savamment planifiée et déroulée dans le plus grand cynisme depuis 1999 est devenue une pratique étatique, un mode de gouvernance de la société congolaise.
Les effets pervers de cette politique gouvernementale ont eu des conséquences néfastes sur l’ordre social, culturel, politique, moral et spirituel des populations du Congo entier, hormis celles qui ont adhéré à ce mode de gouvernance.
Qu’observe – t- on au fil des années ?
- Le ravalement des élites du pays à des rôles de deuxième ou troisième niveau dans les principaux corps de l’Etat (fonction publique, force publique, université) ;
- Le rejet systématique des dossiers de demande de bourses d’études supérieures des étudiants et cadres administratifs originaires des pays du Niari et du Kouilou forestier ;
- Le refus catégorique d’engager des cadres supérieurs et subalternes autres ethnies dans les entreprises publiques et privées à connotation stratégique (SNPC, Ecair, EEC, Régies financières, banques, etc…) Ces entreprises sont devenues des structures étatiques réservées aux seuls cadres ressortissant des soit – disant « bonnes tribus » ;
- La manipulation tribale des listes d’admission aux différents concours professionnels civils et militaires (ENAM, ENMA, INSSA, Franchissement, Académie militaire, CESAM, DEM, Ecole nationale des sous-officiers, Ecole Leclerc, etc.…) L’écrasante majorité des candidats admis à ces concours relève uniquement des « bonnes tribus », les compétiteurs issus des autres départements étant devenus soudainement les plus idiots de la République, incapables de s’admettre au moindre concours ;
- L’introduction frauduleuse dans les stages de candidats n’ayant jamais pris part aux différents concours organisés et déclarés d’office admis ;
- L’accaparement éhonté par les lobbies hyper – tribaux du pouvoir de toutes les bourses supérieures dans la catégorie des études médicales, de génie civil, militaires et policières et l’affectation de celles – ci exclusivement à des ressortissants appartenant aux « bonnes régions » ou ayant des noms reflétant la bonne consonance, sans tenir compte des capacités intellectuelles réelles des étudiants ainsi choisis. Le cas de CUBA se solde par un désastre académique : 142 étudiants sont renvoyés pour cause de déficience intellectuelle.
Dans cette série de griefs, les exemples seraient légions et n’auraient pour résultats une fois exposés que d’attiser la haine entre ethnies. On peut dès lors se poser quelques questions sur les raisons de ces pratiques rétrogrades, ignobles, odieuses et infâmes réservées en général à une bonne partie de la population du pays.
- Pourquoi tant de mépris pour les autres ?
- Pourquoi tant de dédain pour les autres ?
- Pourquoi tant d’aversion pour les autres ?
Pourtant, les Congolais ont fait preuve à plusieurs reprises de volonté et de disponibilité pour accompagner le régime politique actuel dans la perspective de la reconstruction nationale.
Un gouvernement compétent, impartial et républicain aurait pu accorder un satisfecit d’honneur aux populations et aurait fait de rassembler les citoyens des quatre coins du pays pour instaurer la cohésion nationale. En retour, que leur a-t-on offert ?
- Des chaînes de brimades, un chapelet de frustrations et un lot soigneusement planifié d’humiliations collectives et d’actes vexatoires déroulés quotidiennement, mensuellement et annuellement par la classe dirigeante et les institutions de la République avec un sadisme dépassant l’entendement humain ;
- L’imposition sous le signe du bâton et du fouet de députés, sénateurs et autres personnalités politiques dont le manque caractéristique d’ouverture sociale, l’orgueil, l’arrogance, l’esprit de suffisance et la dureté du cœur n’ont fait qu’aggraver la scission déjà largement entamée entre le gouvernement et les populations ;
- La militarisation et la mise sous surveillance policière de la vie politique régionale empêchant l’exercice d’une compétition politique saine.
- L’organisation de municipalisations à l’emporte – pièces concentrée uniquement autour du chef lieu de département. Qu’ont gagné Mabombo, Loutété, Mayéyé, Mouyondzi , Banda, Moutamba, Dongou, Ouesso, Impfondo, Lékana, Pointe-Noire, Dolisie, Nkayi et Epena, etc. de ces municipalisations productrices d’éléphants blancs ?
- La transformation d’une force publique républicaine en force publique tribale où 90% des effectifs proviennent désormais d’une seule région et principalement d’une seule ethnie. Une telle force publique ne peut être que répressive, belliqueuse, fanatique à l’excès et fermement opposée à tout processus d’alternance. C’est un instrument de commission des crimes de masse et de guerre.
- L’ethnicisation de l’administration publique avec l’organisation de recrutements massifs basés sur la pratique du nettoyage ethnique, garantissant la constitution d‘une fonction publique tribale, modèle d’excellence retenu pour accéder à l’émergence en 2025 ;
- L’imposition de doctrines philosophiques contraires à la coutume spirituelle des ethnies faisant de celles qui n’y adhèrent pas de véritables parias de la société congolaise quelque soit leur niveau de formation et les contraignant à vivre dans un régime d’oppression sociale, morale et spirituelle qui ne serait pas loin d’atteindre le niveau de celui qui fut exercé par Pol Pot au Cambodge.
Il devient donc tout à fait facile de relever qu’ une politique d’apartheid et de nettoyage ethnique ayant pour objectif final la disparition progressive du champ social et culturel des peuples des autres ethnies est planifiée et mise en œuvre depuis 1999. L’avidité de conserver pour les ressortissants de la « bonne ethnie » tous les postes administratifs et politiques de premier plan et l’obsession maladive de promouvoir la domination ou l’asservissement des ressortissants des « mauvaises ethnies » entraînent les partis au pouvoir et le gouvernement à pratiquer les préceptes du nettoyage ethnique dans l’attribution des postes, la recomposition des listes des admis aux différents concours professionnels civils et militaires, les recrutements dans la fonction publique et dans la force publique, l’attribution des bourses d’études supérieures.
Des exemples récents de nettoyage ethnique dans le domaine de la gestion des concours ou des bourses supérieures laissent apparaître :
- Sur 1825 étudiants orientés pour des études médicales et paramédicales à Cuba entre 2014 et 2017, il est impossible de compter plus de cent vingt originaires des départements du sud de la République. Dans le premier lot orienté en 2014, tous les candidats appartenant aux mauvaises ethnies avaient été déclarés inaptes au plan sanitaire. Seuls quelques uns, moins d’une vingtaine ayant bénéficié de « pistons » solides avaient réussi à passer à travers le filet et le filtre ultra – tribalo – ethniques tendus par le ministère de la santé de l’époque.
- Le concours de franchissement des sous officiers de la police, tout comme le concours d’entrée à l’ENAM organisés au cours de l’année académique 2018 – 2019 sont le reflet patent de cette politique de nettoyage ethnique. Visionnez ces listes et vous crierez au scandale.
Tout est fait pour cloitrer ceux qu’on appelle communément « Nibolek », Njem, etc. dans des rôles secondaires ou primaires : infirmier, instituteur, adjudant, attaché de cabinet, chef de secrétariat, etc. A l’horizon 2030, trouver un ressortissant des pays du Niari et du Kouilou forestier, de Ouesso, Makoua, Owando, Lékana occuper les fonctions de médecin, pharmacien, colonel, géophysicien, ingénieur, journaliste, pilote, etc. sera un exercice redoutable. A croire qu’ils sont tous devenus bêtes, analphabètes ou attardés mentaux.
Réclamations, audiences, critiques dans la presse, contacts informels…, rien n’arrête le pouvoir dans l’accomplissement de son œuvre sordide, odieuse et diabolique. Impassible, impitoyable et imperturbable, telle une araignée, il monte patiemment, lentement et sûrement sa toile nauséabonde, créatrice de futures crises, le plus souvent sous les yeux complices des cadres politiques de ces régions déclarés indésirables, qui regardent avec une indifférence effroyable l‘achèvement de cette dédaigneuse besogne de décapitation intellectuelle du capital humain des pays du Niari, du Kouilou forestier, du Pool et d’autres régions. Les frustrations, les humiliations et les mécontentements découlant de ce travail de sape ne peuvent que générer à moyen et long terme des crises socio – politiques.
Ah, les crises. Le pouvoir n’en a guère la sensibilité. C’est un pouvoir qui est amnésique, spécialisé dans la création des crises. Mal gouverner, causer des mécontentements, approfondir les inégalités sociales, appauvrir les populations, opposer les ethnies, violer les accords politiques, corrompre et coopter les anciens belligérants, mépriser et dédaigner, générer des frustrations – Voilà les domaines de compétence de ce pouvoir. Aucun savoir – faire dans la gestion du post – conflit. Aucune expertise en techniques de réduction des risques de conflit armé. C’est la porte ouverte à la reprise des conflits.
Avec de telles pratiques, les conflits armés ne se termineront jamais au Congo. Ils seront tout juste suspendus ou gelés (mis au réfrigérateur) pendant quelques temps, puis cinq à dix ans plus tard, ils renaîtront de leurs cendres. Cas typiques des conflits du Sahara occidental ou du Tchad.
Face à ce désastre annoncé, l’institutionnalisation d’une politique d’apartheid, à cette vie faite de frustrations, d’humiliations, de vexations, d’injustice et de mépris ; face à l’indifférence totale de la classe dirigeante,
TELAMA (TELEMA) 2019 t’appelle et exige de toi,
Jeune, vieux, de tous les départements du Congo de rejoindre la Dynamique TELAMA(TELEMA) 2019 pour dire 20 ans d’exclusion ça suffit !
Comme l’a dit JESUS CHRIST, Réveilles – toi, toi qui dors « comme » un mort ;
Rejoins la dynamique TELAMA. Dans un pacifisme absolu, viens lutter pour ta libération, pour le relèvement de ton pays, pour l’avenir de ta postérité sacrifiée à l’autel de la médiocrité, du tribalisme, de l’intégrisme, de l’insouciance, de l’irresponsabilité et de l’arrogance.
Rappelles toi cette pensée de Martin Luther King : « nos vies commencent à prendre fin le jour où nous devenons silencieux à propos des choses qui comptent ».
. Rejette le tribalisme. Viens construire un Congo nouveau. Ensemble, attelons nous à reformer cette situation catastrophique vers laquelle nous a conduit l’irresponsabilité et l’incurie de notre classe dirigeante. Abandonnes ces leaders politiques que le régime t’a imposé dans ton département ou dans ton district et qui, bouffis d’orgueil, mus par une arrogance inouïe, une indifférence et une avidité maladives n’ont excellé que par la captation et l’accumulation déraisonnée des ressources financières et matérielles qui devaient servir au développement du pays. Intériorises cette pensée de Jean Paul Sartre et qu’elle te guide dans ton action : « Ce qui compte, ce n’est pas ce qu’on a fait de nous. Ce qui compte, c’est ce que nous ferons de ce qu’on a fait de nous ».
Rejoins la dynamique TELAMA .ensemble, arrêtons ce péril qui menace le Congo. L’excès de tribalisme conduit droit vers les guerres civiles, la sécession, l’éclatement du pays. Par ton action, tu aideras ton pays à ne pas sombrer dans l’incertitude chronique. Le grand philosophe grec Platon aimait affirmer : « Si la République est vertueuse, elle jouira d’une paix inaltérable. Par contre, si elle est corrompue par les vices et l’immoralité, elle aura la guerre civile et la guère étrangère ».
La conjuration de ce péril imminent intéresse fortement les institutions de la République, les partis politiques et la société civile. Tout en dénonçant la responsabilité des institutions et des partis politiques dans le développement du tribalisme, de l’apartheid, des anti- valeurs et de la régression économique et sociale du pays ;
TELAMA 2019 rappelle,
- A Monsieur le Président de la République : le préambule de la Constitution du 25 Octobre 2015, votée au prix du sang de plusieurs congolais, invite le peuple congolais et ses dirigeants « à bâtir une République fondée sur les principes d’égalité, de fraternité et de solidarité et d’assurer l’épanouissement de chacun dans le cadre d’une République respectueuse des droits intangibles de la personne humaine ».
- L’article 15 relève en outre que « tous les Congolais sont égaux devant la loi … et que nul ne peut être favorisé ou désavantagé en raison de son origine familiale, ethnique, de sa condition sociale, de ses convictions politiques, religieuses, philosophiques ou autres ».
Monsieur le Président, il est encore temps. Ressaisissez – vous et sauvez le Congo de la déroute. Veillez à une observation stricte des préceptes constitutionnels auxquels vous tenez tant. Améliorez le quotidien des populations. Changez radicalement de méthodes de gouvernance. Le peuple congolais ne peut plus attendre et vivre de promesses vaines. Allez résolument en guerre contre le tribalisme, le favoritisme, le népotisme, la concussion, la corruption, etc.….Remettez – vous en cause. Que demain, l’histoire du Congo et celle du monde n’aligne pas votre nom et votre réputation à côté des lugubres figures africaines qui ont détruit la vie des Nations.
- Au Président du Sénat : Détachez – vous de votre veste partisane de secrétaire général du parti au pouvoir et agissez en tant que président du conseil de la nation. Amenez le gouvernement de la République à exercer une politique basée sur l’application des principes universels de la déclaration universelle des droits de l’homme ( articles 5 et 27), de la charte africaine des droits de l’homme et des peuples (articles 5 et 17) et des conventions, protocoles et pactes s’y rapportant.
- Sachant que vous êtes un fervent admirateur de Marien Ngouabi, TELAMA 2019 vous rappelle que ce dernier, au cours d’un de ces discours contre le tribalisme et le régionalisme, soulignait : « Qu’importe que le chef soit du nord ou du sud. Aucune région ne peut prétendre se suffire à elle – même, aucune tribu ne peut vivre isolée. D’où l’interdépendance des régions et des tribus constitue la nation congolaise que nous voulons indivisible. Seule l’unité nationale dans le travail, la démocratie et la paix peut assurer à notre peuple des victoires certaines sur l’impérialisme et le sous – développement ». Exigez du gouvernement de revoir sa politique sociale. Votre action a déjà porté quelques fruits. Persistez. Votre seul juge est le peuple.
- Au Président de l’assemblée nationale : Amenez la chambre basse du Parlement à légiférer contre le tribalisme en adoptant, comme l’a fait très tôt la nation éclairée, modèle et performante du Rwanda une loi sanctionnant les personnes et les institutions reconnues coupables d’action tribale. Activez des commissions d’enquête pour éclaircir et sanctionner des faits avérés de pratique tribale pouvant porter une atteinte grave à la cohésion nationale. Tenez à ne pas être complice de tout acte ou politique nationale conduisant à l’effondrement du pays. Monsieur le Président de l’Assemblée nationale, « Vous avez fait des lois contre l’anarchie, faites maintenant des lois contre la misère et les discriminations », dixit Victor Hugo.
- Au Premier ministre : Attelez – vous à instaurer une politique d’égalité des chances pour tous. Combattez le développement des inégalités dans le pays afin d’éviter le surgissement de conflits futurs. Dans une étude, Paul Collier et Anke Hoeffel ont établi que « lorsque l’écart entre les classes sociales devient trop grand, surtout lorsque le pauvre a le sentiment que les nantis ne le sont pas en raison de leur mérite, c’est-à-dire qu’ils n’ont pas donné la preuve qu’ils sont les meilleurs », cette situation peut susciter de la violence. Les comparaisons entre pays suggèrent que le niveau d’inégalité est très élevé en République du Congo. En effet, le pays est classé parmi les sociétés les plus inégalitaires au monde, selon les données des indicateurs de développement portant sur les inégalités dans 105 pays. Le Congo occupait la 90ème place sur 105 pays selon le coefficient de Gini ». En 2019, la position du Congo a dû encore fortement décroître.
- Au Conseil national de sécurité : Paix et sécurité sont les deux faces d’une même pièce : le développement. Sans sécurité et paix, il ne peut y avoir de développement, quelles que soient les stratégies employées. Nulle part au monde, paix et sécurité n’ont fait un bon ménage avec le tribalisme, le nettoyage ethnique, l’apartheid.
- Au Conseil national du dialogue, au Conseil national des Sages et au Comité de suivi de la Convention pour la paix et la reconstruction du Congo : En appelle à leur responsabilité sur la situation catastrophique des droits de l’homme et du vivre – ensemble au Congo et les invite à agir sans préalable pour amener les institutions et les populations à réduire le niveau de tribalisme, de discrimination afin de garantir l’établissement de la cohésion nationale. Pratiqué à outrance, le tribalisme se transforme en haine et est en mesure de détruire entièrement un pays. Au Congo, tous les régimes politiques qui se sont succédé au pouvoir depuis l’indépendance ont pratiqué le tribalisme à des degrés divers, mais le régime présent à dépassé les limites interdites. Votre attention est interpellée sur les dangers que représente ce fléau pour notre pays et son avenir. Faites de cette pensée d’Elena Roosevelt votre chemin de croix : « Il ne suffit pas de parler de paix. Il faut croire en elle. Et il ne suffit pas d’y croire. Il faut la construire ».
- Aux partis politiques : Vous êtes les foyers et les creusets du tribalisme. La déchéance de ce pays vous sera principalement attribuée. Quel héritage lourd ! Le moment venu, le peuple décidera impitoyablement de votre sort. Rappelez- vous, aucun pouvoir politique n’est éternel. Tout empire finit toujours par périr, et la main du bourreau finira par périr. Tôt ou tard, sonnera le glas. Le développement des taux d’abstention électorale depuis 2008 et la sanction électorale assénée au candidat Sassou Nguesso en 2016 par les Congolais devaient vous inciter à rectifier le tir. Le peuple est mécontent. Le peuple boude. Comprenez que dès qu’un individu, un groupe ou un peuple s’aperçoit qu’il est contraire à sa dignité d’homme d’accepter des injustices, de continuer à subir des humiliations, aucune tyrannie, aucune monarchie, aucun empire ne peut l’arrêter. Les cas récents vécus au Soudan et en Algérie sont encore vivants dans nos mémoires.
A votre attention aussi, cette citation du général Beaufre, « Les évènements finissent par imposer une réforme longtemps reportée ».
- Aux personnalités politiques originaires des autres ethnies :
- Vous qui avez été intégrés dans le pouvoir actuel et qui jouissez de plusieurs privilèges vous faisant oublier et ignorer les problèmes de vos bases respectives,
- Vous qui êtes à la soit – disant opposition, et qui jouez de temps à autre à la girouette entre le pouvoir et l’opposition, déroutant votre base électorale,
- Vous qui êtes au centre sans être au centre, car votre position d’appendice du pouvoir est tellement claire que même l’aveugle y percevrait la réalité des faits,
Sachez que vos différentes actions et interventions en faveur de la défense des intérêts des malaimés de la République n’ont jusqu’à présent aucunement effrayé le gouvernement. Ce dernier persiste dans sa mal gouvernance. Remettez-vous aussi en cause !
Aux francs – maçons du Congo : La franc – maçonnerie a largement contribué à l’installation d’un monde meilleur. L’abolition de l’esclavage, la modernisation de l’école, l’instauration de la laïcité, le développement des Nations occidentales et plusieurs œuvres ayant une connotation hautement bienfaitrice pour l’humanité. D’où vient – il alors qu’au Congo franc – maçonnerie puisse rimer avec haute sorcellerie, médiocrité, mauvaise gouvernance, perversité morale, anti – valeurs, etc. La déchéance de la Nation congolaise est largement imputable à la franc – maçonnerie congolaise. Les chefs se sont prostitués sous la conduite des médiocres d’une seule ethnie. TELEMA vous invite à vous RELEVER, à changer radicalement vos modes d’action et à REPARER les innombrables dégâts que vous avez causé à la Nation. Vous en êtes capables et cela a été mis en œuvre par vos confrères dans d’autres pays. Ce n’est qu’à ce prix que le peuple congolais vous applaudira.
- Au Conseil œcuménique des Eglises et au Conseil et à la Fédération des Eglises de réveil du Congo: TELAMA loue votre action et votre détermination à professer la bonne parole, les bonnes mœurs, à combattre les antis – valeurs. Priez sans cesse et obtenez du Créateur qu’il nous débarrasse de ces « charges » qui annihilent le développement de notre pays et retardent l’avancement spirituel du peuple congolais. Nous serons avec vous pour organiser des messes contre ces fléaux.
- Aux organisations des droits de l’homme : Votre combat est à la fois noble et difficile. Que de vies avez – vous contribuez à sauver. TELEMA vous rejoint dans ce combat et collaborera avec vous.
- Aux hommes politiques congolais qui ont affreusement saigné ce pays en le vidant de toutes ses ressources financières et qui ont mis la corde au coup du peuple congolais en lui « fabriquant » une dette qui a déjà entamé son existence et celle des générations futures,
- Ayez le courage de rapatrier au moins la moitié des avoirs financiers dissimulés à l’étranger,
- Ayez pitié de ce peuple qui vit dans la tourmente sociale et l’incertitude,
- Remettez à l’Etat congolais la moitié des biens que vous avez acquis en utilisant les fonds publics,
Si vous ne les faîtes pas, ne criez pas à la chasse aux sorcières quand sonnera le glas.
- A la communauté internationale représentée au Congo par des représentations diplomatiques : TELAMA vous demande de suivre avec une attention soutenue l’évolution de la situation politique, sociale, économique et des droits de l’homme au Congo. Connaissant la propension de la plupart de ses dirigeants à pratiquer la gabegie financière, même en période d’austérité ou de vaches maigres, TELEMA invite la communauté internationale à observer rigoureusement la mise en œuvre par le gouvernement congolais des pratiques de gouvernance financière et de faire preuve de circonspection sur tous les dossiers relatifs aux droits de l’homme.
- Aux compatriotes congolais, du nord au sud et de l’Est à l’ouest,
- Toi qui subis quotidiennement et cruellement le tribalisme, l’exclusion, le nettoyage ethnique, l’apartheid et toutes sortes de discrimination,
- Toi qui n’est pas ressortissant des régions ou peuplades opprimées, mais qui, en citoyen loyal, honnête et fervent partisan de l’unicité du pays, désapprouves l’action de la classe politique dirigeante et rejettes l’instrumentalisation ethnique orchestrée par elle ;
- Toi qui souffres de voir ton pays jour après jour sombrer dans les profondeurs du sous – développement,
- Toi, à qui on impose une culture philosophique étrange et contraire à tes convictions spirituelles, condition essentielle et incontournable pour être promu à une fonction supérieure,
- Toi, à qui l’on s’efforce de faire croire que tu es devenu bête, idiot, bon à rien, incapable de t’admettre à un concours ou d’occuper une fonction de premier ou deuxième choix,
- Toi à qui l’on impose des élections « pipées » d’avance,
- Toi qui refuses que le Congo ne devienne dans un avenir proche ou lointain un théâtre de guerres civiles récurrentes,
- Toi qui refuses l’institutionnalisation de la médiocrité et la poursuite des politiques barbares médiévales dans ton pays,
- Toi qui refuses de paraître demain comme un « paria » de la société africaine et d’être pointé du doigt par tes pairs africains à cause de la gouvernance désastreuse de ta classe dirigeante,
Lèves – toi, rejoins TELEMA 2019,
Comme le soulignait Nelson Mandela dans son discours d’investiture, « le temps est venu de réduire les abîmes qui nous séparent. Prenons l’engagement de construire une société dans laquelle tous, du nord au sud, de l’est à l’ouest, pourrons marcher la tête haute, assurés de nos droits inaliénables à la dignité humaine. Le soleil ne se couchera jamais sur une réussite humaine si glorieuse ».
Fait à Brazzaville ; le 20 Mai 2019
Texte nibolekien qui fait fi de l’éviction des cadres par fax sous Moungounga et compagnie. Toujours le prisme tribal chez ces gars. Les grandes mécaniques sont de sortie. Attendons voir encore …,au bénéfice de qui ??? L’école Kikoungat refait surface …
Quel de pays de merde avec des analyses de merde
@Anonyme
On te comprend frèro de Mantsimou.
Comme les vilains anonymes qui ont ecrit le vilain texto n’ont pas pas mentionné les noms que tu voulais, « suis mon vilain doigt », comme celui de tata Matsoua, … ou de tata… alors on comprend ta reaction.
Parait que le webmaster sera tout occupé a gérer les beaux commentaires comme le tien, au lieu de gerer le vrai debat. Bon courage.
« Le rejet systématique des dossiers de demande de bourses d’études supérieures des étudiants et cadres administratifs originaires des pays du Niari et du Kouilou forestier »
En verité, c’est fort comme texte.
@ LMG; tu as expréssément décidé de retirer « le Pool et autres regions » comme il est ecrit dans le texte original (milieu du texte.)
EN vérité, votre force n’a d’égal que la hauteur de votre taille.
Heureusement que le president Sassou Nguesso est là pour nous premunir de vos energies létales.
LMG, c’est vraiment « fort » comme personnage que vous faites transpirez !, y compris le premier lecteur ayant réagi à l’article.
Le webmaster devrait faire un boulot de « saleté » … pour garder ce website pour tous.
TRISTE.
@Anonyme, @ANO BISSENGO et autres intervenants
ON S’EN FOUT DES DETAILS.
PERSONNE NE PEUT SAVOIR TOUT SUR TOUT.
PERSONNE NE PEUT DIRE TOUT SUR TOUT.
PERSONNE N’A LA SCIENCE INFUSE.
NE VENEZ PAS TRONQUEZ LE DÉBAT, PUISQUE VOUS AVEZ COMPRIS LE SENS PROFOND DU TEXTE.
Le reste n’est que détails = Dieu reconnaitra les siens.
L’IMPORTANT ICI C’EST L’APPEL QUI EST LANCER POUR CHASSER LE DICTATUEUR
ALORS NE VENEZ PAS NOUS DISTRAIRE AVEC VOS DISSENSIONS PARTISANES QUI SONT AUTANT DE PARTI PRIS COMME CE QUE VOUS VOULEZ VOUS MÊME DENONCER.
LES NOUVELLES DU GOULAG FRANCAFRIQUE ET DE LA DICTATURE SAUVAGE ET BARBARE AU CONGO BRAZZAVILLE.
DÉCRYPTAGE: 1-LA DICTATURE A LA SAUVETTE ET BARBARE, 2-LE DICTATEUR SASSOU NGUESSO MALADE, 3- IDIOCRATIE CLANIQUE DE SASSOU ET DES NGUESSOS, 4- SERVITEURS GÊNANTS FAUX OPPOSANTS ET FAUX DIGNITAIRES DE SASSOU EN DANGER, 4- LE PEUPLE ET HÉCATOMBE DE LA CONDITION HUMAINE ET SOCIALE, 5- GOULAG FRANCAFRIQUE SOUILLÉ, – LA DIASPORA INTELLIGENTE DIGNE ET COMBATTANTE, – LA FIN DU GOULAG EST ANNONCÉE ET LA FRANCAFRIQUE A REFORMER ET A SE TRANSFORMER POUR LE MEILLEUR D’ICI A 2030 ET +. https://www.youtube.com/watch?v=is11pEl0Twc&feature=youtu.be
@ NGOLA
Sachez critiquer avec élégance; relisez bien le texte; il est écrit ceci dans le premier tiers:
« Le rejet systématique des dossiers de demande de bourses d’études supérieures des étudiants et cadres administratifs originaires des pays du Niari et du Kouilou forestier ; »
Et en milieu du texte comme vous le dites, il y a ce long paragraphe:
« Réclamations, audiences, critiques dans la presse, contacts informels…, rien n’arrête le pouvoir dans l’accomplissement de son œuvre sordide, odieuse et diabolique. Impassible, impitoyable et imperturbable, telle une araignée, il monte patiemment, lentement et sûrement sa toile nauséabonde, créatrice de futures crises, le plus souvent sous les yeux complices des cadres politiques de ces régions déclarés indésirables, qui regardent avec une indifférence effroyable l‘achèvement de cette dédaigneuse besogne de décapitation intellectuelle du capital humain des pays du Niari, du Kouilou forestier, du Pool et d’autres régions. »
LMG a donc mieux lu le texte que vous.
Vous, tous ceux qui ont posté les commentaires ci-dessus, Continuez à fumer le chanvre de Madziha vendu a Ta Nkombo, Yoro et à Odziha.
Brève incursion d’obambi pleine de bon sens.
En 2021, le prochain président se nommera Sassou Nguesso. Trop de bataille de chapelle â la noix. La vérité est que historiquement le Niari pro Kinkougha â toujours été avec le PCT tout au moins avec le 1er parti du Nord dont le Leader était Opongault. Une littérature politique abondante existe sur l’alliance Kikoughat Opongault qui jamais ne s’est démentie. C’est vrai qu’il y’a eu une autre tendance du Niari Pro Sathoud qui lui était pro Youlou d’où cet antagonisme Sathoud (Balumbu) et Kikoungat ((bakuni) qu’on ne peut contester historiquement. La domination du Pct depuis 1968 â induit Ipsos facto la victoire politique des idées de Kikoungzt sur celle de Sathoud. L’ideologue Kikoungha a vaincu le pragmatique Sathoud. Vous constaterez que sous Le PCT triomphant peu de leader Balumbu air pu emerger. C’est Comme une espère de fer rouge sur cette population.Je ne sais pas si Koumba est Balumbu, Mais si tel est Le cas il a été crée politiquemeant par Milongo donc par l’axe opposé á celui de Kikoinghat-Opongault. De la on peut dire que L’alliance Lissouba Sassou était de ce point de vue une evidence. Kikoungat finira á un age avancé Maire de Dolisie sous Lissouba. Et c’est là où je note une ignorance historque des auteurs de ce texte qui veulent a tout prix arrimer Le Kouilou aux pays du Niari. La verité est que l’axe Kikoughat Opongault etait contrebalancé par l’axe Thykaya Youlou. Lesquels axes ont été validés en 1992, avec contre toute attente Thystere appellant a voter Kolelas alors que Le Pct appellait a voter Lidsouba.
A mon Avis, une clarification devrait s’imposer de ce point de vue. L’alliance Tsatsy Mabiala et Kolelas est une imposture. Elle va exploser dans peu de temps car il est de la nature des choses. Les textes dont celui ci participe par avance de cette strategie. Le PCT cependant n’est pas naïf. Un interview de Mabiala Pierre Ministre affirmait à juste titre que Les Pays du Niari ont toujours été des alliés objectifs du PCT.
Pour moi, point de doute, Le prochain president se nomme Sassou Nguesso car il est de l’interet de l’upads et du Pct et de leur militants doublé a cela du bruit des canons. Je subodore Le result suivant sux elections.
1- Un Guesso
2- ou 3- Tsatsy Mabiala ou Kolelas
La Messe sera dite. Kolelas et Tsatsy Mabiala ne parleront pas Le même language.
C’est juste un point de vue.
Non relu
Il y a des souhaits qui enterrent toute une nation.
Le votre @dgfip en est cyniquement un.
Je ne vous imagine pas vivre au Congo….Le contraire tiendrait d’un cas pathologique…
Réduire les attentes multiformes d’un peuple au seul trio machiavélique , Sassou ,Kolelas et Tsatou ,c’est faire preuve d’un esprit purement inhumain et inabouti.
Mesurer la densité du supplice Sassouien imposé aux congolais , pour mieux comprendre combien on s’approche du monde cannibale .
Á moins que ,vous et Sassou ayez décidé de transfigurer le pays en un camp de concentration .
Vos propos , qui se griment en souhaits , vous en rapprochent.
Il est des postures intellectuelles dont j’éviterais d’être porteur , celles que vous incarnez ,par une litote maladroite ,sont de cet acabit .
Lorsque , je me fie á vos propos ,Votre point de vue est un appel au meurtre congolais par votre satan de maître .
En Haiti pays pauvre frais passeport et durée de validité
le montant du droit de timbre appliqué aux passeports en 2019 est le suivant :
Pour les personnes majeures : 86 euros (valable 10 ans) ;
pour les mineurs de 15 à 17 ans : 42 euros (valable cinq ans) ;
pour les mineurs de moins de 15 ans : 17 euros (valable cinq ans).
Au Congo pays pauvre et tres endetté frais passeport et durée de validité
Sans distinction d’age, 120 euros et validité 5 ans
En France pays developpé et tres riche, frais passeport et durée de validité
Pour les personnes majeures : 96 euros (valable 10 ans) ;
pour les mineurs de 12 à 17 ans : 32 euros (valable cinq ans) ;
pour les mineurs de moins de 12 ans : 27 euros (valable cinq ans).
en 10 ans, un congolais de brazzaville depense 240 euros, tandisqu’un haitien adulte lui depense seulement 86 euros.
Pourquoi au Congo et en Afrique la vie est toujours chere? Et pour quelle raison on accepte bonnement toute cela?
Une chose est sure et certaine : la nuit noire a quitte le territoire congolais. Nous sommes a l’aube de la nouvelle journee, donc a la fin de nos malheurs. PATIENCE.
@Val de Nantes
Il suffit de sortir des sentiers battus pour Etre taxé de Sassouiste. Le texte qui fait l’objet de ce Debat s’adresse aux intellectuels et non aux mamans de Diosso ou de Louvakou. Avec ses derives ici relevées, ce texte a le mérite d’exister sauf qu’on ne sait pas qui en est l’auteur. Qui est autour de Telema même si l’on peut affirmer que c’est des cadres des Pays du Niari. Ils en ont le droit. Un acteur majeur des évènements cités en première lignes de ce texte, le Colonel MOUSSOUNDA aurait pu rétablir la vérité sur cet accord car la phrase suivante est douteuse « Les 29 Novembre et 30 Décembre 1999, le Conseil national de la Résistance et d’autres groupes armés relevant des pays du Niari et du Kouilou forestier signaient respectivement à Pointe noire et à Brazzaville les accords de cessez le feu »
Quels étaient ces groupes armés relevant du Kouilou Forestier ? Il faut peut-être les nommer. Il me semble que par ailleurs NTOUMI tenait une place importante dans ce schéma. On ne le cite pas et pourquoi ?
Ce qui pose problème dans ce pays, c’est l’histoire qui est en permanence galvaudée. Et pourquoi dès qu’on parle Histoire sur ce site, ça derange. Le jeune Wilfred Sathoud en est la preuve avec ses papiers à forte valeur ajoutée qui n’entraine pas de débats. Les gens se complaisent aux debats de caniveau.
Vous dites
« Réduire les attentes multiformes d’un peuple au seul trio machiavélique , Sassou ,Kolelas et Tsatou ,c’est faire preuve d’un esprit purement inhumain et inabouti. »
Argument pueril et preuve de cecité que de penser que dans un pays dirigé par des gens non civilisés, on peut s’attendre à une génération spontanée. La vie politique Congolaise est structurée depuis les années 60 par des blocs objectivement ou subjectivement en place. Mokoko est venu déranger cette organisation. Ses soutiens les plus virulents ont disparus de la circulation, certains ont meme fait subrepticement retour dans leur famille naturelle. BOWAO peut en paraitre l’exemple. Je redis froidement hélas que le PCT, TSATY et KOLELAS seront les principaux acteurs de 2021.
Le Nord appartient au PCT selon SASSOU. Mokoko et Okombi en prison, je ne vois pas naitre une autre MOKOKO ou OKOMBI dès lors que sa place sera la prison à defaut d’une elimination physique. C’est si compliqué à comprendre ?
Le problème du NORD étant réglé, Le PCT s’est attaqué au SUD. Il nomme TSATY MABIALA President de l’Opposition, auquel il adjoint Kolelas dans une alliance qui eclatera le moment que Sassou aura choisi. C’est si compliqué à comprendre ?
TSTAY MAbiala entant que Président de l’Opposition sera Candidat à l’élection Présidentielle à juste raison. Par Principe L’UPADS ne peut être absent de cette élection majeure. Le document du President de la JUPADS mis sur la toile sous-entend cette posture.
KOLELAS, en raison de sa réussite fausse ou réelle à la dernière élection présidentielle a le droit de se porter Candidat. Par Principe YUKI ne peut êtrte absent de cette election majeure.
SASSOU s’imposera par les contradictions à venir qu’il a lui-même crée entre l’UPADS et YUKI. Le bruit des bottes parachèvera ce schéma.
OYO deviendra la nouvelle capitale du CONGO avec son oléoduc gazier, les Banques, Grands Hotels et Centre Hospitalier étant déjà crées. En quoi un tel point de vue fait de moi un Sassouiste.
Vous dites
« Vos propos , qui se griment en souhaits , vous en rapprochent.
Il est des postures intellectuelles dont j’éviterais d’être porteur , celles que vous incarnez ,par une litote maladroite ,sont de cet acabit .
Lorsque , je me fie á vos propos ,Votre point de vue est un appel au meurtre congolais par votre satan de maître »
Trop facile.. J’attends une contradiction sur le fond et non ces insultes faciles Mr @Val de Nantes.
On se complaît dans la médiocrité et on s’en satisfait
J’ai arrêté de commenter les articles. Car, je n’y trouve plus mon compte. Je peux comprendre que la tâche est difficile de déboulonner celui qui fait la misère des congolais. Ce qui me désole, c’est la singularité de nos analyses sur notre pays, des analyses biaisées qui prennent souvent (pour ne pas dire toujours ) comme référence notre appartenance régionale. Ça devient fatiguant. En revanche, j’apprécie le travail d’histoire fait par Wilfried Sathoud qui me parle et pousse ma réflexion. J’ai apprécié le travail fait par aîné David Londi. Aussi, j’apprécie les articles de mon autre aîné Pascal Malanda. Leurs analyses sont objectives et portent aucune connotation régionale.
L’objectivité nous sauvera tous ensemble mais la subjectivité nous tuera tous.
dgfip êtes vous satisfait de vos analyses ?
Ce pays va à vau l’eau et vous vous en réjouissez « cadres du niari » qu’est ce cela veut dire encore ? on reprend la terminologie honnie pctiste et on est content ainsi va le Congo
Votre référent a détruit ce pays et a institutionnalisé le tribalisme et cela ne vous dérange pas plus que cela alors toujours la même sempiternelle question que faisons nous ensemble ? pour quelle raison est on obligé d’être ensemble ?
Tel que ce pays va satisfait une partie de ses habitants mais pas l’ensemble de ses habitants alors qu’est ce qu’on fait ?
Les richesses ne sont pas équitablement reparties et non ça ne vous dérange pas plus que ça non non tout va bien
On prône la paresse le vol le pillage la médiocrité le meurtre les assassinats politiques comme signe d’intelligence et de bienfaits pour le pays ! c’est vraiment pitoyable c’est pourquoi je dis et redis que la seule solution c’est de séparer ce pays
Ceux qui trouvent leur bonheur dans le crime et la médiocrité pourront rester entre eux .