Au moment où les Congolais du Nord et du Sud se regardent en chiens de faïence, où la cohabitation harmonieuse entre individus et entre ces deux entités vole en éclats, il est temps de poser et de se poser froidement cette question pour susciter le débat. L’avenir du Congo et du vivre ensemble en dépendent. Il est temps de sortir de l’hypocrisie, des sentiers battus et des postures pour jeter les bases d’un Congo nouveau susceptible d’unir toutes ses filles et tous ses fils.
Quatre points non exhaustifs nous amènent à nous poser cette question.
1) BA KONGOS BA BOMI MARIEN.
Alors que l’assassinat du président Marien Ngouabi le 18 mars 1977 avait été scellé par les ressortissants du Nord dans leur officine, dont le cerveau penseur et planificateur est le dictateur Sassou Denis, la propagande des médias du PCT faisait croire à l’opinion nationale que ce crime crapuleux avait été perpétré par les BA KONGOS, vocable qui désigne par extension les ressortissants du Sud du Congo.
Aujourd’hui, à moins de faire preuve de malhonnêteté intellectuelle, il est connu que ce crime sacrificiel était dicté par les velléités des ressortissants du Nord de conserver coûte que coûte le pouvoir dans la partie septentrionale du pays. Il vaut mieux sacrifier un kuyu, Marien Ngouabi, que de perdre le pouvoir! Telle est leur antienne. Si non, comment expliquer l’absence de sanctions envers les ressortissants du Nord, nonobstant les preuves irréfragables de nombreux détournements des deniers publics qui leur sont imputables ?
La contrepartie concédée à cette association de criminels et de malfaiteurs en bande organisée à l’allégeance de ce crime odieux est double: volé, violé, tué… vous ne serez jamais punis, et protéger au nom de l’ethnie et de la région. L’hubris de tous ces insignifiants a laissé court à leur slogan favori : Lèdza, lè nua, lè yiba mbongo ya l’Etat, lè botola basi ya bato.
Tel est le graal de ces prédateurs qui ont fait des anti-valeurs l’alpha et l’oméga de leur mode de fonctionnement. Peu à peu, ces fainéants ont relégué au second plan la valeur TRAVAIL, en réussissant le tour de force de faire installer sur toute l’étendue du pays leur culture de la facilité et du moindre effort.
2) L’AVENIR DES MBOCHIS
En s’exprimant ainsi publiquement sans complexe et sans détours devant la Cour des criminels de Brazzaville, Nianga Mbouala s’interrogeait sur l’avenir de l’ethnie mbochi post Sassou Denis, comme si, lui et les siens craignaient de la part des ressortissants du Sud, des représailles, ou quelque chose d’insondable.
Sociologiquement minoritaire sur l’ensemble du pays, les mbochis ont pris en otage le Congo depuis près de quarante ans, en faisant de la majorité de leurs compatriotes des valets, en leur imposant avec la brutalité qui sied à leur comportement, une colonisation intérieure.
Faute de sonder les reins et le cœur du criminel Nianga Mbouala, force est de constater que cette interrogation publique du bras armé de Sassou Denis est loin d’être anodine.
Il est donc temps de sortir de l’ambiguïté en demandant clairement aux aficionados de Sassou Denis et du PCT de dévoiler leurs intentions.
Et si cette phrase malicieusement distillée par l’homme à la barbe blanche qui s’apparente davantage à un signe de radicalisation voulait simplement dire aller à terme vers la scission du Congo?
La multiplication des appels à l’unité du Sud du Congo est loin d’être une chimère. De plus en plus de Congolais ont le sentiment de ne pas vivre dans le même pays, de promouvoir les mêmes valeurs, de développer la solidarité, de respecter les différences, et de renforcer la volonté des individus à être des acteurs.
A l’inverse de Sassou Denis qui a massacré sans compter dans la région du Pool en prenant soin d’éliminer physiquement plusieurs cadres du Sud, les présidents issus de cette partie du Sud du Congo (Youlou, Massamba-Débat, Pascal Lissouba), ont toujours été respectueux de la vie humaine de tous les Congolais, quelle que soit leur région et leur origine. Tout ce qui se dit et qui est écrit sur ces illustres disparus, relève de la propagande stalinienne de Sassou Denis et du PCT. Il est bien connu que l’Histoire est toujours écrite par les manipulateurs.
La crainte de Nianga MBouala et des ressortissants du Nord se situe sans doute sur ce point. Les mbochis, à travers leur tête de gondole Sassou Denis ont endeuillé plusieurs familles du Sud du Congo. Ils sont allés au-delà de l’acceptable dans leurs exactions. Aujourd’hui, sentant le vent tourner, ils craignent une hypothétique revanche des ressortissants du Sud qui ne fait partie de l’ADN de ses ressortissants.
3) LA RECONCILIATION DES CADRES DE LA LIKOUALA SOUS LA HOULETTE DE FIRMIN AYESSA.
Téléguidée par le criminel Sassou Denis, Firmin Ayessa, directeur de cabinet et gendre du tyran, avait pour mission de mener à bien aux frais du contribuable non pas du Nord mais du Congo, la réconciliation des « cadres » de la région de la Likouala. In fine, la stratégie dictée par le dictateur du bord de l’Alima est toujours la même : protéger son pouvoir pour lequel ses crimes sont absouts par sa Constitution qui lui accorde l’immunité jusqu’à la fin de ses jours, et conserver à tout prix, et par tous les moyens, le pouvoir au Nord.
Gilbert DJOMBO BOMODJO, Fernand SABAYE, Henri DJOMBO, Camara DEKAMO, Jean-Marie TASSOUA, Marius MOUAMBENGA, qui ont la spécificité d’être sans exception les fossoyeurs du Congo, sont intervenus tour à tour, non pas dans l’intérêt de réconcilier le pays, mais plutôt dans leur intérêt égoïste de protéger leur pouvoir et leur région.
Une telle démarche est-elle susceptible de sceller l’unité du pays? Assurément, non. Au contraire, elle accentue irrémédiablement sa division en deux entités bien distinctes.
4) L’ACCENTUATION INDIGESTE DU TRIBALISME
Qui est tribaliste ? Celui qui le pratique, ou celui qui le subit ?
En 1971, Ange Diawara écrivait dans son manifeste : « Sassou-Nguesso est un complexé et un incapable. Il occupe les hautes fonctions de l’Etat à cause du tribalisme mis en place par le président Marien Ngouabi afin de faciliter les nordistes à dominer dans l’administration, la Police et l’Armée ».
Depuis près de trente-quatre ans d’exercice autoritaire du pouvoir garni de cadavres par l’ogre de Mpila, la machine du tribalisme s’est emballée, broyant des vies, privant sans complexe l’avenir de tous ceux qui ne sont pas nés dans la bonne ethnie ou dans la bonne région.
99% des emplois civils et militaires sont occupés par les ressortissants d’une même région ! Par exemple, dans un souci de rééquilibrage ethnique au sein de la médecine, François IBOVI avait envoyé à Cuba, mille (1.000) étudiants dont 95% ressortissants d’une même ethnie du Nord.
Preuve de l’impasse de la gestion tribaliste du pays par Sassou Denis, ses parents issus du même village, ses enfants et sa cohorte d’idiots utiles, est un dépôt de bilan :
– 5300 milliards de dette extérieure,
– 3479 milliards de dette intérieure,
– 134 milliards de dette gagée,
– 14. 000 milliards des générations futures volatilisés dans la nature,
– 8847 d’emplois fictifs rémunérés mensuellement sur le budget de l’Etat,
– 23 mois d’arriérés de pension,
– 15 trimestres d’arriérés de bourses… Fermez le ban.
Au regard de ce qui précède, notre pays est à un tournant. Le Congo est ruiné et en ruines. Sassou Denis, est l’homme qui avait loué une suite à l’hôtel Crillon au lendemain de son coup d’Etat qui avait coûté la vie à plus de 10.000 congolais en 1997. Persuadé de ne jamais remporter l’élection présidentielle, il se maintient illégalement à la tête du pays par des complicités intérieures et extérieures. Adoubé par la France et ses réseaux qu’il prend soin d’arroser comme il se doit, les congolais du Nord et du Sud sont à la croisée des chemins : se ressaisir et s’unir pour chasser du Congo Sassou Denis, ou être deux entités irréconciliables.
« Seuls les Congolais sauveront le Congo. Pas la communauté internationale. N’y comptez pas », disait le professeur Pascal Lissouba.
Olivier MOUEBARA
Diffusé le 27 octobre 2020, par www.congo-liberty.org
Chers ecrivains et ecrivaines.
Les populations sont victimes de la manipulation de ceux qui se disent dirigeants du pays.Cela est connu de toutes les personnes qui observent la societe avec objectif.Virez cette bande d’imposteurs et reformez les choses,vous verez que le verrou qui derangeait c’etait cette bande de vauriens.Tout rentrera en ordre.
Les contradictions entre le bloc Nord et Sud date de longtemps. Il serait tres naif de croire d’apres Sassou les dites contradictions finiront. Sassou est certainement ce bon eleve qui a pu bien excute le plan du Nord qui consiste a conserver le pouvoir coute et coute pour la survie des Nordistes. Devant une telle realite irrefutable, la federalisme Nord – Sud ou la SCISSION devient la solution. Le type de gouvernance basee sur le federalisme ou la SCISSION permettra aux Nordistes et Sudistes d’etre eternellement au pouvoir.
L’unite nationale ne se quemande pas mais elle se construit par des actes concrets
Article sans sens. truffé des âneries
avec votre manière de raisonner c’est plus la partition du Congo que vous voulez.
Ce n’est pas que les mbochis qui volent les derniers de l’état mais tous les Congolais qui peuvent le faire. Mvouba, kolela. massamba-deba, moungala, moungani, etc.. sont ils mbochis.
le même Bernard kolela premier ministre de lissouba n’est il pas le même qui c’était lié à Sassou pour gêner Pascal. ce n’est pas le même qui après son exil a fait nommer ses fils ministres alors que ces derniers n’étaient même pas dans le bureau exécutif de mcddi. Ces mêmes fils sont actuellement propriétaire de plusieurs immeubles au Congo.
Si vous voulez vraiment un Congo meilleur, décrier la mauvaise gouvernance général et faite des propositions concrètes
Creusez,fouillez,bêchez ,ne laissez nulle place où la main ne passe et repasse ;disait Lafontaine.ainsi on comprendra mieux ce qui se passe chez nous. Les propos de Noumaz et Dabira n’ont pas été soulignés dans le post. Dommage !
C’est claire et nette en près de quarante ans Sassou n’a fait que accentuer la Mbochitisation du pouvoir . Sassou a trouver la façon la plus éfficace de contrôler les Mbochis c’est de générer la peur .L’avenir des Mbochis . Alors ce salopard de Sassou commence à montrer quelques signes de sénilités , comme quoi il est mortel . Visiblement même les Likoualiens n’ont veulent plus l’autorité de Sassou .99% des sudistes ne reconnaissent plus Sassou comme président une réconciliation devenue impossible . Pointe -noire vit une occupation militaire Mbochis , avec Oléssongo Jean, Itoua Poto , Romuald molongo , voilà le trio d’officiers Mbochis qui sèmes la terreur à Pointe -noire.
Laissez les populations tranquilles Elles sont victimes de la bande de truands de tous bords auto proclames dirigeants de ce pays.Vireztout ce monde qui rend la vie impossible a ces populations depuis a peu plus d’un demi siecle,reformez les choses et vous verez que c’etaient eux qui tissaient ces tensions.Les choses sont tres claires.Observez comment vivent les populations a Poto poto par exemple.Cette bande de vauriens a fait de la manipulation du peuple leur fond de commerce,leur raison d’existence en tant que femmes et hommes vereux depourvus de bon sens,d’amour pour ce peuple, de la capacite d’oeuvrer pour l’interet avec une vision a long terme.Ajoutant a tout cela leur mediocrite et leur incompetence notoire une vraie bande de bon a rien.Soyez sinceres et objectifs,toutes ces populations victimes du comportement nefaste de cette bande de bandits de tous bords.Voila ce qu’il faut noter.
Lire:interet general avec vision a long terme.
C’est une bande d’idiots tres nefaste pour ce peuple.Virez les tous sans exception aucune.
Par l’agenda officiel des voyages de Monsieur le Ministre des Affaires étrangères , Jean Yves le Drian, j’apprends que la fondation du Général De Gaulle et Vous même, serez présents à BRAZZAVILLE ce mardi 27 Octobre 2020 en vue de la commémoration du 80eme anniversaire du discours du Général De Gaulle, qu’il est convenu d’appeler le » Manifeste De Brazzaville « .
À cette occasion , permettez moi d’attirer votre attention sur le sort des prisonniers politiques à Brazzaville et notamment du Général JEAN MARIE MICHEL MOKOKO.
Je suis un ami en France des proches du Général originaires comme Lui de la ville de Makoua et notamment de sa fille aînée.
Par ailleurs, je profite de ce courrier pour vous rappeler un fait historique et tragique sur lequel se fonde depuis 43 ans le régime de Sassou Nguesso à Brazzaville.
Le 22mars 1977 , alors que Sassou Nguesso est ministre des armées et Directeur de la Police, tenant ainsi sous son autorité toutes les armes du Pays , le CARDINAL EMILE BIAYENDA, Archevêque de Brazzaville ( Créé Cardinal par le Pape Paul VI en 1973)est ENTERRÉ VIVANT AU CIMETIÈRE D’ITATOLO .
IL S’AGIT D’UN CRIME RITUEL.
Le 4 Août 2020 jour de la Fête du Saint Curé d’Ars, le CARDINAL EMILE BIAYENDA EST PROCLAMÉ » VÉNÉRABLE » par Monseigneur PAROLIN SECRÉTAIRE D’ÉTAT AU VATICAN à ARS EN PRÉSENCE DE MONSEIGNEUR PASCAL ROLAND ÉVÊQUE DE CE DIOCÈSE.Cette proclamation du CARDINAL EMILE BIAYENDA RECONNU ,ENFIN ,MARTYR DE LA FOI PAR LE VATICAN nous annonce sa prochaine BÉATIFICATION. C’est ainsi qu’à BRAZZAVILLE le CARDINAL EMILE BIAYENDA SERA LA TOUTE PREMIÈRE HAUTE PERSONNALITÉ DE L’ÉGLISE CATHOLIQUE AFRICAINE QUI ENTRERA DANS LE GRAND MARTYROLOGE ROMAIN .
Pour ma part je ne doute pas que » CHARLES DE GAULLE LE CATHOLIQUE » veille auprès du PÈRE DE TOUS LES HOMMES À CETTE RECONNAISSANCE À BRAZZAVILLE. Cette Béatification soyons en bien sûr éclairera d’une grande LUMIÈRE cette nuit profonde qui règne sur BRAZZAVILLE depuis plus de 40 ans. Elle est une ESPÉRANCE POUR TOUT UN PEUPLE VIVANT SOUS LE RÉGIME DE LA TERREUR DEPUIS LE SACRIFICE CONSENTI PAR EMILE BIAYENDA. J’ai pensé Monsieur le Président HERVE GAYMARD , que vous sauriez joindre l’AUTORITE ET LE RAYONNEMENT DE LA FONDATION CHARLES DE GAULLE AUX EFFORTS DE TOUT LE PEUPLE CONGOLAIS APPELANT PAR TOUTES SES PRIÈRES CETTE » LUMIÈRE SUR BRAZZAVILLE » QUE SERA LA BÉATIFICATION DE CE MARTYR DE LA FOI QU’EST LE CARDINAL EMILE BIAYENDA.
Veillez trouver ici l’expression de ma considération respectueuse.
Herve Zebrowski
Compagnon de route de Monseigneur Ernest Kombo
Président de la Conférence Nationale souveraine en 1991 à Brazzaville
Président de la Conférence Épiscopale du Congo Brazzaville
Ancien Chef de l’Executif du Congo en 1991
Rappelé par Dieu le 22octobre 2008 à 14 h10 à l’Hopital du Val De Grâce. https://www.youtube.com/watch?v=ISpsYimozWQ
Un vaccin fédéral est à souhaiter à notre pays pour s’en sortir .
Une reconfiguration géographique s’impose pour écarter le spectre de la séparation du pays ,comme ultime onction à ce mourant qu’est le Congo .
La proposition fédérale est d’une vérité implacable car elle repose sur la construction d’une carte du CONGO géographiquement économique qui renverra aux calendes grecques celle pensée pour nous par les blancs ,qui est une carte tribale trainant des freins économiques ,sociaux ,et politiques .
Remettons à plat cette carte, lui faire retrouver ses lettres de noblesse imaginées par nos anciens .
C’est l’économie qui est le rempart des passions tristes et des affects qu’expriment nos compatriotes au quotidien .
La doxa congolaise attend une praxis économique qui soit à la hauteur des besoins légitimes de notre population .
Il va falloir penser un modèle de développement économique qui échapperait aux primes du jacobinisme envahissant , facteur d’inhibition de toute expansion des richesses locales .
Comment peut- on inlassablement vivre du seul revenu des nvilis ?
Comment un président de la république peut- il dormir tranquille sachant qu’il exploite honteusement l’or noir venant d’une seule région pour s’en faire les poches et jeter les débris à ces sujets ?.
Comment expliquer que depuis la conférence nationale que le CONGO ne se soit pas soucié d’organiser une conférence nationale dédiée au modèle de développement économique adéquat ?
Y aurait -il anguille sous roche qui s’expliquerait par la volonté manifeste de ces politiciens de s’en mettre plein les poches au moyen de leur centralisme d’Etat ?
Donnez aux régions la place économique qui leur sied bien .
Celui qui a bien mangé ne regarde pas dans l’assiette de l’autre . Partant de cette assertion ,nous devons créer de la richesse à partir des ressources dont disposent nos régions ,ce qui suppose une reforme institutionnelle changeant fondamentalement la forme d’Etat dont advient la création des richesses régionales par le biais du fédéralisme bien dosé et réfléchi au moyen de notre intellection .
Pour des gens qui ,semble t-il ,ont étudié il serait criminel de ne pas trouver une alternative à ce merdier de poste présidentiel pour recréer un nouveau Congo sans en référer un ZEUS EXOTIQUE .
Voilà ce qui nous arrive après 40 ans de pouvoir tyrannique ,et nous en sommes à chercher le sort que le ZEUS grec a administré aux androgynes .
Sassou en aura été le responsable .
bonjour monsieur vous avez soulever un problème pertinent dommage que vous faites ce que vous dénoncez pour tant la guerre à fait des ravages le sudiste non plus ne sont pas blancs ils ont fait pire parler en terme de politique et non d’ethnie si on veut parler d’ethnie vous savez réellement qui sont pire nous sommes tous congolais et subissont à cause de ce gouvernement nordiste ou sudiste tous subissent .arrêtez de faire l’amalgame parceque vos propos ressemble à une incitation à la haine etnie qu’à la cohésion nationale
L’idiot Lissouba a favorisé la division du sud et je pèse mes mots tout professeur qu’il est il ne vaut pas mieux que l’analphabète cannibale comment a t il pu tomber aussi bas ???
Je continue à me poser des questions sur ce personnage qui a tant déçu le premier ministre André Milongo de la transition lui remis les destinées du pays sans EFFUSION DE SANG !!! et lui qu’a t il fait pourquoi n’a t il pas pu ou su empêcher tous ces morts inutiles ???? et c’est la population du Sud qui a payé un lourd tribut et qui continue encore à le payer à cause des ses errements politiques et son absence de vision économique et politique !!! de son imbécillité chronique !!!
Je suis indignée et mon cœur est rempli de colère à chaque foi que je pense à lui
Voilà un individu qui avait tous les rênes du pays et qui fut incapable de faire régner la justice de réparer les dommages causés par la barbarie du nord oui avant son élection.
Cette barbarie du nord existait déjà qu’a t il fait lui le docteur en sciences et technologies ????comme quoi nul besoin d’avoir un doctorat en expert de je ne sais quoi quoi pour avoir une vision.
ET MAINTENANT OU EN SOMMES NOUS QUEL EST SON HÉRITAGE QUE NOUS A T IL LAISSÉ : RIEN QUE DES LARMES ET DES SOUVENIRS DOULOUREUX UNE GUERRE ENTRE LES LARIS ET LES BEMBÉS
COMMENT A T IL PU LAISSER UNE TELLE CHOSE ARRIVER ????
DÉSOLÉE MAIS L’ANALPHABÈTE CANNIBALE A EU UNE BIEN MEILLEURE VISION QUE LA SIENNE IL A UNI LE NORD LUI !!!! CE QUE MA SCIENCES ET MA TEKNOLOGIES A ÉTÉ INCAPABLE DE FAIRE
INCAPABLE DE FAIRE DES RECHERCHES POUR RETROUVER LA DÉPOUILLE DE LA PERSONNE QUI LE NOMMA PREMIER MINISTRE.
NOUS RETIENDRONS SON INGRATITUDE
S’il avait réussi la cohésion entre les différentes ethnies de ce pays peut être que la séparation ne se profilerait pas à l’horizon
Mingwa je viens d’envoyer un post merci de le publier et de ne pas le bloquer
Seule vérité permettre au pays de sortir de son marasme
Nous congolais devrions oeuvrer a tout prix a l’unite nationale, a la reconcilaition apres l’ere sassou gueux sot le tribalo-genocidaire.
Ne soyons pas manipules par les anti-valeurs et pseudo-politiciens ou chefs tribaux a la conscience fragile, aux ideaux de division pour atteindre leur objectifs en servant les etrangers chinois, francais, senegalais, libanais, rwandais, maliens et autres au detriment des congolais qui sont aujourd’hui consideres comme etrangers dans leur propre pays.
Ne cedons pas au chantage des politiciens ou chefs tribaux mafieux qui ne sement que la division et qui favorisent le pillage de nos ressources naturelles par les chinois, libanais… !
Le Congo doit rester uni et unique pour nous tous. C’est notre patrie a nous tous. Personne ne peut en decider autrement.
Quel que soit ce que sassou gueux sot deni le sanguinaire fera, le CONGO vaincra la division. L’unite nationale va prevaloir du nord au sud et de l’est a l’ouest.
sassou nge sot deni n’est qu’un mortel mais notre CONGO est eternel.
VIVE LE CONGO UNI !
L’intelligence c’est un champ vaste.Il y a la difference entre instruction et education.Nombreux pensent que etre instruit c’est synonime d’etre intelligent c’est archifaux.C’est pareil quelqu’un peut etre instruit mais pas eduque vis versa et quelqu’un egalement peut possede les deux atouts.
Lire:peut posseder
La nvilisation de l’économie du pays laisse de marbre bon nombre de congolais préoccupés par la présidenfolie dont ils sont atteints depuis leur sortie de la caverne coloniale ; je me demande s’il ne fallait pas y rester .
Essayez de vous en guérir pour vous projeter dans une trajectoire vidées d’idées et des préjugés obscurs .
Le vivre ensemble est un concept social en ce qu’il protège les plus faibles d’entre nous ,face à des puissants . Telle est la philosophie des abeilles cherchant à créer une ruche pour s’y loger . Ce qui suppose une entente entre des êtres doués de raison .
C’est du Hobbisme que de dire que l’homme à chercher à se protéger de toutes injustices au sein de la société en organisant l’Etat ou « le leviathan « .
Le vivre -ensemble intelligent est une condition de l’acceptabilité de l’autre dans l’espace social que se partagent les êtres humains ,c’est à dire « les animaux politiques » au sens Aristotélicien ,car ils se distinguent des animaux par la faculté de penser ,d’agir et de raisonner .
ALORS ,LA QUESTION qui fâche en ce qui concerne ,le CONGO est le partage équitable et non égalitaire des richesses nationales .
Chers compatriotes ,
On n’est pas coupable de ce que l’on ne sait pas (droit de savoir ) .
Quand certains de nos compatriotes en viennent à élogier la fonction présidentielle au CONGO ,dont on sait le caractère anxiogène et criminel ,ne sont ils pas coupables de la dérive physique du CONGO ?.
Le vivre -ensemble en l’état actuel des choses est une chimère ,car tout le monde veut être président pour présider aux destinées d’un pays devenu fictif .
Le vivre – ensemble ne trouve sa justification réelle que dans une perspective économique éclatée indistinctement sur tout le territoire .
Peu importe la séparation qui peut advenir des injustices imposées au sud ,la véritable équation réside dans la résolution de notre incapacité à créer de la richesse nationale .
Que peuvent faire des régions du sud séparées du nord si leur schéma institutionnel reste le jacobinisme exotique ?
Il faut mettre le bistouri sur le cancer qui tue ce pays : le manque d’une véritable économie nationale .
Vous pouvez faire intervenir le pape pour ceux dont la vie dépend d’un président de la république ,le cancer rongera inexorablement le corps du CONGO …
NB : La seule région qui est à même de vivre seule ,c’est le KOUILOU .
Si vous comptez vous délester des nordistes pour aller sucer les entre -cuisses des nvilis ,c’est peine perdue .
Moi ,je ne mange pas de ce pain là .
Notre rapport à la fonction présidentielle est tout sauf rassurante . Les délires qu’engendre celle – ci ne nous rassurent guère et son historicité politique devait nous préserver des futures folies humaines nées des délices qu’ils procurent à ces faux élus .
Du fait de notre mauvaise gouvernance de cette fonction ,il est temps d’y mettre fin pour prioriser une formule politique simplissime assise sur deux épaules : PREMIER MINISTRE ET DEPUTES POINTILLEUX .
Cette fonction est la cause des causes des maux du CONGO .
On parle d’unité Nationale lorsque l’on a une patrie. Le Congo actuel n’est pas un pays. C’est un conglomérat d’ethnies dont les structures politiques et économiques ont été façonnées pour perpétuer la domination coloniale. Toute l’économie de ce territoire est tournée vers l’extraction Des matières premières destinées aux puissances étrangères. Voilà la vocation de ce territoire. Alors de quoi parle t-on? Arrêtons de faire l’autruche et posons-nous les vraies questions. Le cadre politique et économique dans lequel les congolais évoluent, est une construction coloniale. Cette construction coloniale n’a jamais eu pour objectif de produire des États fiables, indépendants et prospères. Il faut d’abOrd détruire cette construction pour refonder quelque chose d’autre, qui serait compatible avec nos réalités. Auquel cas, dans 20 ans, nous serons encore en train vociférer sur les réseaux sociaux.