« Mission impossible au Congo-Brazzavole » pour le FMI. Par Rigobert OSSEBI

DSK-SASSOU à l’abordage des finances du Congo

Au Congo des Nguesso, le FMI de Christine Lagarde file un très mauvais coton.

Rien ne semble pouvoir réfréner les ardeurs du Fonds, qui fut longtemps une noble institution, dans sa volonté de porter secours au maître d’Oyo, le tyran de l’Alima ; sûrement le pire dictateur du continent africain !

« Brazzatue » : peu importe que ce Congo-là ait été reconnu, le mois dernier, par Stephen O’Brienle patron d’Ocha, le bureau de coordination humanitaire de l’ONU — dans le trafic d’armes et de munitions qui alimente les deux camps qui s’opposent en RCA, dans une situation qui présente tous « les signes avant-coureurs d’un génocide ». Pourtant, financer un potentiel Rwandabis ne semble pas effrayer la direction platine du FMI…

« Brazzaviole » : peu importe aussi que le Congo de d’ENI Sassou Nguesso viole TOTALement les droits humains. Une bonne centaine d’opposants ont été embastillés sans jugement, du vainqueur de la dernière élection présidentielle au simple journaliste. Durant leurs séjours dans la capitale congolaise, les Experts et le Chef de mission, malvoyants et malentendants, longent les murs de leur prison sans penser un seul instant que leur libération pourrait être la première exigence en contrepartie de tout programme d’assistance.

« Brazzapille » : peu importe encore que le pouvoir arrogant de ce Congo impose à l’Institution de Bretton-Woods, à l’encontre de toutes ses règles, de négocier avec les mêmes personnes qui, depuis 40 années, n’ont fait que saigner ce pays de toutes ses richesses.

On se demande où se situent l’éthique et la rigueur du FMI ? Et l’on est stupéfait de comprendre que c’est finalement l’autocrate congolais qui mène la danse à sa guise. Ce n’est pas le premier ministre Clément Mouamba, qui le contredira, alors qu’il vient d’affirmer à Jeune Afrique : « Signer avec le FMI est une affaire classée. Le Congo ne peut pas rester à l’écart » ; sous-entendu « quel que soit le niveau de nos détournements, de nos vols et de nos mensonges… » !

Pour bien enfoncer le clou du mépris et de l’arrogance, le pouvoir criminel congolais a fait appel à Dominique Strauss Kahn. Selon Challenges.fr, « il conseillerait le dictateur congolais, depuis plusieurs semaines, dans ses discussions avec le FMI ».

Là, l’indécence est à son comble ! 

Si personne n’est surpris, tous s’indignent du rapprochement officiel des deux hommes ; pour certains dans un contrat pharamineux en faveur de DSK. Il ne s’agit pas des frasques personnelles de l’individu  et des casseroles judiciaires qu’il traine encore « puisqu’il est visé par une enquête pour escroquerie en bande organisée, abus de confiance et abus de biens sociaux dans l’affaire LSK » mais du fait qu’il était à la tête du Fonds Monétaire International lors de l’effacement frauduleux de la dette congolaise en 2010 pour un montant de 5 milliards de dollars ; et c’était bien lui qui avait signé, le chèque en blanc, indu, sans aucune contrepartie démocratique et de bonne gouvernance qui a été à l’origine de toutes les dérives financières et humanitaires que le Congo a connues depuis 2010.

Il est vrai qu’à l’époque, il avait eu pour Représentant Résident l’inénarrable Yaya Moussa, l’as des faux rapports du FMI qui lui ont bien profité, dès lors qu’il s’est reconverti dans les affaires troubles bancaires et pétrolières de Denis Christel Sassou Nguesso. Strauss Kahn, maintenant dans le privé depuis l’affaire du Sofitel, interviendrait au travers de sa société Parnasse, domiciliée au Maroc.

Le FMI a-t-il été informé de ce retour indécent de Dominique Strauss Kahn dans le bourbier de Brazzapille ?  Il semblerait que ce fut le cas. Dans la lettre, qu’Anne-Marie Gulde-Wolf, la Directrice Adjointe du Département Afrique, a adressée le 25 août dernier à Calixte Nganongo, celle-ci se « félicite du recrutement de conseillers juridique et financiers… »

Cependant, informée ou pas, comment l’institution washingtonienne, peut-elle accepter du Congo ce mélange de genres : l’environnement mafieux congolais renforcé par un ancien General Manager de l’institution ?

N’y a-t-il pas de code de conduite, ni d’un minimum d’éthique et de déontologie dès lors que l’on appartient au FMI, qu’on le dirige et qu’on le quitte ?

Sur ce point précis, les Congolais ne seront pas les seuls à être choqués. Les ONG qui s’intéressent un peu à l’Afrique, à la finance sont absolument outrées par cette dérive. Une appétence se fait sentir pour les détails de cette affaire et de tout son environnement. Avec un peu de chance pour les Congolais, hostiles à tout secours dont profiterait la dictature qui les oppresse, ce dossier brûlant et pestilentiel pourrait bien être repris par un grand nombre de médias à travers le monde. Les bons et les  mauvais coups de DSK, ses mauvaises fréquentations, font toujours vendre la bonne et la mauvaise presse… Mais cette fois-ci, c’est le FMI de Madame Lagarde qui paiera et qui sera principalement visé.

Cette dernière pourra nous refaire le coup de : « Est-ce que j’ai une tête à être copine avec DSK ou Sassou Nguesso ? »[i] Ca ne marchera pas ! Sûrement pas ! Le scandale est assuré !

Alors tout le monde se rendra compte que tout n’est pas très propre au FMI et qu’il faudra nettoyer à fond les écuries d’Augias. Là, cela se fera peut-être même avant la fin du mandat de Madame Lagarde ! Voilà à quoi pourront mener leurs « petits faux (rapports) entre amis » ! Enrichir certains sur le dos des Congolais ! En appauvrir d’autres, en toute immunité garantie au personnel. Au FMI tout aura une fin, et même au Congo de Sassou Nguesso !

Pour terminer, en revenant à la correspondance de Madame Gulde-Wolf, au sujet de la fourniture des contrats de prêts qu’elle rappelle au destinataire, ne sait-elle pas que ce dernier Calixte Nganongo a été l’un des signataires de ces fameux contrats puisqu’ils ont été conclus alors qu’il était le Directeur Administratif et Financier de la SNPC ?

Le FMI ne voit toujours pas de mal, uniquement au Congo, à traiter avec les naufrageurs de l’économie et des finances de ce pays. Tout ce qui lui est présenté est trafiqué, maquillé quand il n’est pas dissimulé ! Le FMI le sait parfaitement d’ailleurs, comme il connaissait avant que Florence Morice sur RFI ne le révélât, la désormais fameuse dette cachée. L’ancienne Directrice du Département Afrique, Madame Sayeh s’en amusait d’ailleurs en s’appuyant sur « le devoir de collecte du FMI », uniquement, des informations.

La dette du Congo pourrait bien être au-delà des 120% affirmés récemment. Les interlocuteurs de Madame Gulde-Wolf et de Monsieur Wane — qui devrait se rendre à Brazzavole — pour certains, comme Gilbert Ganongo, sont au cœur d’une grande enquête liée à la corruption dans l’affaire Asperbras/Veiga au Portugal ; mais  le FMI, toujours  indifférent à toutes les alertes, continue de traiter avec les mafieux et les criminels.

Que cette institution et ses dirigeants suivent encore cette voie, très prochainement sa réputation sera définitivement perdue, bien plus qu’entachée !

Rigobert OSSEBI

Diffusé le 3 septembre 2017, par www.congo-liberty.org

[i] Lors de l’affaire de l’arbitrage Tapie, Christine Lagarde déclarait à la presse : « Est-ce que j’ai une tête à être copine avec Bernard Tapie ? »

ACSCB : SOLIDARITE AVEC LES VICTIMES DE LA GUERRE DU POOL, CE SAMEDI 9 SEPTEMBRE 2017 DE 13H00-18H00 A PARIS (AGECA : 177 rue de Charonne 75011 –Metro 2 – Alexandre Dumas)

Ce contenu a été publié dans Les articles. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

12 réponses à « Mission impossible au Congo-Brazzavole » pour le FMI. Par Rigobert OSSEBI

  1. Ce que j’ai pu retenir de cette lettre du FMI adressée à cet employé de Christel Sassou est que ces kleptocrates sont incapables d’estimer le montant de leurs dettes. Ce n’est point étonnant. Souvenons-nous de l’affaire Ecair, de notre ami Itoua Négoce, et les compagnies sous-traitantes suisses telle que PrivatAir. Un article a été publié sur le sujet ici sur Congoliberty après l’audit de cette chose de Fatimata Mboussa. C’est la même maladie. Comme chez Ecair, les kleptocrates ignorent le niveau de leurs dettes. Mawa! Tchiadi mingi! Voilà à quoi sert la fac d’économie de Nanterre qui a formé Gilbert Ondongo.

    Deuxième enseignement lié au premier, les kleptocrates n’ont pas de juristes et financiers dignes de ce nom parmi eux pour que le FMI leur demande de s’en procurer. Waoohh! Comment peut-on endetter un pays à plus de 120% de son PIB sans recourir aux services des professionnels de la finance et du droit? Si c’était les congolais qui avaient dit cela, les kleptocrates les qualifieraient d’aigris et de tribalistes. Là c’est le FMI qui leur demande d’en recruter. Je croyais que Ganongo, Dimi, Ondongo étaient des gens de la finance et de l’économie.

    Troisième enseignement, les kleptocrates sont de cachotiers qui refusent de divulguer les informations cruciales à leurs prêteurs. Les congolais en savent quelque chose depuis qu’ils leur demandent des comptes sur les excédents budgétaires appelés “fonds des générations futures”, ils n’ont reçu aucune information sur leur argent.

    Ces enseignements me permettent de dire à la suite de Rigobert Ossebi que le FMI va échouer au Congo de ces kleptocrates qu’ils traitent eux-mêmes de fainéants, cachotiers et incompétents ( voir la lettre de Mme Gulde-Wolf)

    Dans une compagnie quand on a les tares de l’incompétence et de la fainéantise, on est vite mis à la porte. Ces gens ne peuvent changer du jour au lendemain pour devenir des bons gestionnaires. Si le contraire était vrai, en plus de 33 ans d’exercice de pouvoir sans partage, le Congo serait devenu une petite suisse. Ils ont été incapables de gérer plus de 50,000 milliards de francs CFA; aussi comment peuvent-ils générer des revenus pour rembourser une dette de 120% du PIB à moyen terme?

    De qui se moque-t-on? Dans les années 80-90, quand le FMI prêtait de l’argent à des états faillis ayant eu à leur tête des kleptocrates comme Mobutu, il exigeait que les kleptocrates soient écartés des postes où il y avait de l’argent. Pire, ils mettaient des experts étrangers aux postes clés des finances de ces pays. Ce fut le cas au Zaïre et en Côte-d’ivoire où Kengo wa Dondo et alassane dramé ouattara furent nommés aux postes de 1ers ministres du zaïre et de la C-I. L’allemand Blumenthal était placé à la banque centrale du zaïre pour surveiller l’emploi des prêts du FMI et de la Banque mondiale.

    Est-ce que le FMI va s’éloigner de ce schéma quand on sait que ceux qui ont endetté le Congo à plus de 120% de son PIB et mis ce pays en banqueroute sont les mêmes qui négocient avec lui? À moins de vivre sur la planète Mars, le FMI le sait; tout comme il sait que ces mêmes kleptocrates sont l’objet de poursuites pénales et civiles dans plusieurs pays pour les biens mal acquis avec l’argent volé aux congolais.

    Le FMI est bel et bien au fait des biens mal acquis. Pourquoi ne pas intégrer cette variable dans les négociations? La fourniture des contrats des prêts, c’est bien. Mais après, on fait quoi?

    Ces contrats de prêts ont un pendant qui est la fourniture des services et des biens. Il y a lieu d’enquêter aussi sur la fourniture de ces biens et services pour savoir l’utilisation de l’argent de ces prêts. Tout le monde sait que les services et biens acquis par ces kleptocrates avec ces prêts ont été surfacturés avec la complicité de leurs fournisseurs, surtout étrangers tels que les chinois et français. Cette surfacturation nous conduit à dire que la valeur de plusieurs de ces prêts n’est que fantaisiste puisque ne correspondant pas à la valeur marchande des biens et services acquis. Ce faisant, le FMI a le devoir de mettre des juricomptables sur la table pour évaluer la valeur réelle des biens et services acquis avec ces contrats de prêts. Toute surfacturation doit être remboursée aux congolais.

    Le FMI doit se poser aussi la question suivante: si tout est à crédit chez ces kleptocrates, où est alors parti l’argent du pétrole entre 2002 et 2014? Si le FMI est une institution crédible, il doit obtenir des réponses de ces kleptocrates sur l’utilisation de l’argent du budget puisque tout ce qui a été construit a été fait à crédit. Mieux, le FMI lui-même avait dit avec la Banque mondiale que le budget était exécuté seulement à 30%. Il est de son devoir d’exiger aussi des comptes sur les 70% du budget non exécuté? Tout cet argent est bien quelque part.

    La crédibilité du FMI est en jeu avec ces kleptocrates. Cette institution sait que le Congo a de l’argent, mais cet argent se retrouve dans les comptes des individus. Les agents du FMI ne vont pas dire qu’ils ne lisent pas la presse qui parle des Panama papers, des biens mal acquis en France, Suisse, Portugal, Dubai, Chine?

    Pour une fois, contrairement aux années 80-90, le FMI doit intégrer la question des malversations financières, de la surfacturation des biens et services par les kleptocrates dans ses solutions à la crise. Récupérer l’argent volé permettra de ne pas faire payer les populations qui n’ont pas profité de la dette de 120% du PIB. Ceux qui ont volé doivent rembourser. Ceux qui ont facturé un kilomètre de route bitumée à 3 milliards de francs doivent rembourser l’argent volé. Et cet argent volé se chiffre à des milliers de milliards de francs CFA.

    Limiter le travail à faire seulement à l’évaluation de la dette c’est comme construire une route qui ne va nulle part puisque les mêmes causes produiront les mêmes effets. L’évaluation de l’appareil financier de l’état congolais doit être systémique en suivant toute la chaîne de l’argent. Le prêteur et l’emprunteur ne sont que deux éléments de la chaîne. Il y a aussi les fournisseurs des services et des biens et les intermédiaires.

    Dans son évaluation, le FMI doit aussi faire un diagnostic de l’organisation qui gère les finances publiques ainsi que des pratiques de gestion afin d’aboutir à une réforme d’ensemble de cette organisation. Ce faisant, le ministère des finances doit être réformé ainsi que celui des grands travaux. Les régies financières ne doivent plus dépendre du ministère des finances. Il en va de même du trésor public. Une même personne ne peut pas collecter l’argent et payer les factures. Ces pouvoirs doivent être séparés pour éviter les magouilles. Le ministère des finances doit s’occuper que de la politique fiscale, du budget et de la gestion dette. Plus question de gérer l’argent. Il en va de même des grands travaux qui doivent être transformés en une commission interministérielle chargée de décider des projets d’un certain montant, en plus de suivre l’exécution de ces projets. Plus question de gérer des sommes d’argent. Quant aux régies financières, elles doivent être regroupées dans une nouvelle organisation avec pour mandat d’exécuter la politique fiscale et recouvrer l’argent. Le trésor sera le gardien de l’argent collecté et paiera les factures vérifiées par le bureau du Contrôleur général avant tout décaissement.

    Pour finir, si le FMI veut aider, il doit rencontrer aussi les membres de la société civile et les partis d’opposition comme il l’avait fait en Guinée. En mars 2017, le FMI n’avait rencontré que les partenaires économiques du Congo. Cette fois-ci, tout le monde doit être rencontré y compris la diaspora qui compte des gens qui peuvent suggérer des bonnes pistes de solutions à la crise créée par ces kleptocrates cachotiers, incompétents et fainéants

  2. Prince Albert dit :

    @ Bakala Telema
    La dernière question est importante.
    Si le FMI veut aider ? Précisons qui il voudrait aider ?
    Le peuple congolais ou son tortionnaire Sassou ?

  3. zaiko dit :

    @ prince Albert la réponse est : aider le tortionnaire
    car celui qui veut aider congo commencera par decapiter son ses pseudos autorités suit mon regard .

  4. AHGPOUCHA dit :

    Mon cher Rigo comprend une chose, tant que la tete du fund sera dirigee par la France voice comment se presente l’equation du benefice du Congo notre pays: FMI=La France= Le Congo Brazzaville.Laissons le President LSAS aider son pays.Lagarde=DSK=Le President Francais=LSAS.

  5. Val de Nantes dit :

    @bakala telema , c’est bien et validation nationale.tes arguments sont cohérents et l’opposition devrait s’en inspirer .voilà le Congo qui ignore ces dignes fils .

  6. Val de Nantes dit :

    le fmi ,devant un fait accompli , et , les congolais restent suspendus à la barbe de cette institution .prêter des sous aux voleurs insatisfaits , c’est humilier le peuple congolais .Nous avons préféré la misère au bonheur infini d’un clan sadique .

  7. Atsonga dit :

    Lucien Pambou,

    As-tu vu où ondongo Gilbert, ton condisciple de Paris Nanterre qui a eu le même prof à savour DSK que toi, a conduit leconomie du Congo?

    Toi qui veut parler d’économie, que penses-tu de la lettre du FMI au gouvernement du Congo? Quelles sont tes préconisations pour sortir le Congo de cette situation ?

  8. Anonyme dit :

    Lucien Pambou a perdu sa voix ou ses mains pour être silencieux comme une carpe. Voilà que ses amis du pct sont attrapés en flagrant délit d’incompétence, monsieur rase les murs. Envoie-nous au moins Laurence pour nous parler.

  9. Samory dit :

    Le FMI n’est pas une ONG de la société civile nihiliste, bien que tout ce monde bosse parfois ensemble à la déstabilisation des pays africains, ceux du Golfe de Guinée en particulier. L’activisme colonialiste de Sherpa et Transparncy le prouve à suffisance, ce sont les caisses de résonance des lobbys de la finance mondiale. Cela étant, les relations des IFI avec le Congo ne datent pas d’aujourd’hui, car dans les années 90 le font monétaire international a secrètement piloté la transition politique post CNS. C’est un fait historique, les congolais sont quelque part fiers d’avoir été dirigés par des hommes d’etat qui furent des salariés du FMI. Lors qu’ils visiteront prochainement Brazzaville, ses émissaires ne viendront pas en terre inconnue, ils connaissent l’histoire encore récente de notre pays. Aussi ils sont au courant des efforts fournit ces deux décennies, en matière de développement socio-économique et de modernisation des infrastructures de base, sauf que l’économie congolaise qui est basée sur le pétrole pâti du faiit de la baisse du prix du baril. Mais contrairement à la france de Némo qui profite de la générosité bien mal acquise du front monétaire qatari, les dirigeants congolais ont fait le choix de solliciter l’appui des institutions de Bretton Wood.

  10. Anonyme dit :

    Cette fois ci, il n’a pas envoyé FlorenceDuCongo mais Samory…… Cherchez l’erreur?

  11. Lucien Pambou dit :

    A toutes et à tous et surtout à mon cher Anonyme qui ne va plus me lire dans les posts mais uniquement en article intégral et en vidéo,
    Le peuple congolais a besoin d’une analyse car il est devenu fou depuis les indépendances. Les dirigeants congolais n’aiment pas leur pays. Nous sommes un peuple du verbe et du bavardage. J’enseigne à mes étudiants en économie que la réussite économique dépend de la mobilisation des connaissances pratiques pour construire un pont, une route, ce qui n’est pas le cas des Congolais car ceci nécessite une expérience historique technique et technologique longue. Les Congolais préfèrent le bavardage qui n’est qu’un maquillage de position pour mieux assujettir l’autre. Je le sais, je préfère consacrer mon énergie à une aventure intellectuelle orientée vers le pays France qui est déjà développée et qui n’a pas besoin de moi.
    Je me retire de cette folie collective et dorénavant j’interviens sur le site soit par vidéo, soit par un article de fond et pas par des posts que je laisse à Anonyme. A très bientôt je reste présent mais par des articles de débat et de fond. Ce n’est pas vous inférioriser mais chacun d’entre nous a des priorités dans la vie
    Je vous remercie tous pour vos posts de débats et a très vite car je ne disparais pas
    Cordialement
    Lucien Pambou

  12. le fils du pays dit :

    Mr Pambou,je vous cite:J’enseigne à mes étudiants en économie que la réussite économique dépend de la mobilisation des connaissances pratiques pour construire un pont, une route, ce qui n’est pas le cas des Congolais car ceci nécessite une expérience historique technique et technologique longue. Les Congolais préfèrent le bavardage qui n’est qu’un maquillage de position pour mieux assujettir l’autre. Je le sais, je préfère consacrer mon énergie à une aventure intellectuelle orientée vers le pays France qui est déjà développée et qui n’a pas besoin de moi.
    Je vous pose une seule question qui est egalement valable pour les autres cadres Congolais.
    Jusqu’à quand continuerez vous à travailler pour l’empire français?
    Si je ne me trompe pas vous etes l’unique economiste declare sur cette page.
    Dans l’un de mes posts sur cette page je vous avais suggerer de reunir un groupe de Congolais de votre domaine afin de penser et d’elaborer les theories ainsi le modele economique Congolais.
    Il faut sortir du carcan imperial français,vous ne pouvez pas continuer a etre volontairement les esclaves de l’empire français.

Laisser un commentaire