C’est de notoriété publique. Denis Sassou Nguesso a la rancœur à fleur de peau, le ressentiment chevillé au corps et la rancune tenace. Et, c’est un secret de polichinelle.
Le jugement en première instance du procès du 4 mars 2012 sur l’explosion de la poudrière de Mpila avait fortement irrité et énervé Sassou et Aimé Emmanuel Yoka, le juriste conseil. Le sursis du colonel Marcel Ntsourou, cheville ouvrière des massacres dans la région du Pool en 1998-2000, qui s’était répandu dans les medias avait été vécu comme un geste de soutien des magistrats à l’égard de l’officier qui réclamait le galon de général et comme une manifestation de défiance à l’endroit de Sassou et Yoka, ministre de la Justice et Garde des sceaux à l’époque des faits.
Mathurin Bayi, mwana ouénzé, et Corneille Moukala Moukoko voulaient signifier, à l’occasion de ce procès, la marque de l’indépendance de la magistrature vis à vis du pouvoir qui trancherait contre l’allégeance et la soumission aveugle ambiante de la justice du Congo-Brazzaville. Ils ne s’imaginaient pas qu’il paraphait leur acte de décès professionnel.
Incident d’audience
Comble de provocation, la convocation de Jean-Dominique Okemba à la barre par Mathurin Bayi qui le cuisina en bonne et due forme durant le procès des explosions de l’ECCRAMU. Cerise sur la gâteau, le juge d’origine mbochi confronta le numéro 1 de la sûreté nationale Jean-Dominique Okemba au jeune Kevin, neveu de Marcel Ntsourou. « Je suis le patron de ce pays » aurait clamé l’amiral Okemba à Kevin au cours d’un interrogatoire musclé à son domicile dans les quartiers nord. (Entendez : Sassou était un pantin à ses yeux.) Kevin rapporta la chose au bureau du procureur. Au procès le président Bayi posa la question à Okemba sur le sens de cette phrase. Fou de rage, Okemba proféra à la barre des menaces de mort à l’encontre de Kevin son ex homme à tout faire en insinuant qu’il pouvait régler son compte dans sa cellule de la maison d’arrêt. Le président Bayi ramena à la raison Okemba qui confondait droit mbochi et droit positif. Qu’on lui remonte les bretelles en public, le patron des services des renseignements garda une dent contre son compatriote Bayi. Le dentiste Okemba lui présente la facture aujourd’hui.
Juges indépendants
Le réquisitoires du procureur Corneille Moukala Moukoko demandant la relaxe de Marcel Ntsourou et le verdict du président Mathurin Bayi le condamnant à 5 ans avec sursis, conformément aux règle de l’art et contraire au droit mbochi, avaient déplu et fait bondir Sassou Nguesso, Aimé Emmanuel Yoka, Jean-Dominique Okemba et Jean-François Ndengué. Les consignes de la condamnation à la prison ferme du colonel Marcel Ntsourou selon le code mbochi n’avaient clairement pas été respectées. C’était un affront. L’esprit et la lettre n’y étaient pas.
Corruption des Institutions
Au Congo-Brazzaville, la justice est l’une des institutions les plus corrompues. Les scandales dans le corps de la magistrature sont légion. Le conseil supérieur de la magistrature ne s’est jamais préoccupé de cet état de fait, suivant le slogan pécétiste : « ébonga ébonga té toujours jazz ».
Un magistrat qui dira correctement le droit mais qui est servi par une administration véreuse, rouage vertueux dans une machine grippée, sera vu comme un simple empêcheur de tourner en rond. L’exemple de Mathurin Bayi et Corneille Moukala Moukoko en est l’éclatante illustration. Le 20 février 2018 , sous la présidence de Denis Sassou Nguesso, le Conseil supérieur de la magistrature est sorti du bois pour mieux sanctionner et frapper les deux magistrats rebelles Mathurin Bayi et Corneille Moukala Moukoko et récompenser Henri Bouka, pour services rendus en le hissant à la tête de la Cour suprême. Au Congo-Brazzaville, le khalife d’Oyo, Denis Sassou Nguesso exige des magistrats qu’ils soient longanimes à l’instar de Placide Lenga qui lui aura servi à plat ventre jusqu’au bout au-delà de l’âge limite de la retraite. Jean-Marie Michel Mokoko dont le procès va s’ouvrir prochainement sait désormais à quoi s’en tenir avec des juges à la solde du khalife d’Oyo.
Benjamin BILOMBOT BITADYS
Il y a une conférence internationale sur le Congo ou sur sassou et complices? Une conférence internationale pourquoi faire? Arrêtez la comédie, sassou ne partira que par un rapport de force soit militaire ou soit insurrectionnelle. Imaginez que ça change en RD-Congo? sassou tombe. Imaginez que sassou n’ai plus d’argent pour la logistique et l’entretien de ses forces de nuisance – sassou tombe… SASSOU VA TOMBER D’ICI PEU OU A TOUT INSTANT… LA VICTOIRE EST PROCHE… RESTER DEBOUT…
Ce nettoyage au sein de l’écurie judiciaire est le signe annonciateur d’ un procès stalinien à l’encontre de Moukoko….
Les juges Mathurin Bayi , Corneille Mounkala et Lenga placide Placide ont étés simplement congédiés car ils ne sont pas Mbochis , cependant Gabriel Akiera et Auguste Iloki malgré la limite d’âge très avancé reste toujours en poste respectivement procureur Général et président de la cour constitutionnel de la république d’Ozala . Tenez vous bien la nouvelle république Mbochi existe déjà . Le juge Lenga à été remplacer le Mbochi Henri Bouka à la cour suprême . Le code pénal MBochi s’applique déjà dans nos tribunaux c’est ainsi que les Paulin Makaya et les autres ne sortiront plus des geôles .
Seuls Mr Bayi et Mr Mounkala sont des magistrats honnêtes. Lenga a été mis à la retraite car il sucrait les fraises … mais il a toujours été aux ordres du pouvoir.
Bouka c’est évidemment encore pire car il est le pouvoir politique incarné.
Bref tout est en ordre pour régler définitivement le comptes des prisonniers politiques.
Il faut que le pouvoir politique sache que, malgré nos faibles moyens, certains suivent de près ce qui va se passer et que nous laisserons pas faire dans l’indifférence et sans dénonciations, ce qui
se prépare.
Cette machine judiciaire .dont le chef de bande Sassou addict aux tueries gratuites des congolais est en apnée….
Cette institution judiciaire,si tant est qu’il en existe une au Congo mérite plus qu’un ravalement de façade..
Des dirigeants de merde dans un beau pays! Quelle poisse!
Samba Dia Moumpata
Placide LENGA était le plus Mbochis des juges bien qu’étant kongo-lari. D’ailleurs il a été chassé de Bacongo où sa maison a été brûlé au lendemain des événements d’avril 2015.
LENGA qui avait déjà près de 90 ans, puisque né vers… a été mis à la retraite puisque n’étant plus qu’une épave de juge.
Les seuls juges honnêtes sont donc Corneille MOUKALA MOUKOKO et Mathurin BAYI.
Placide LENGA est plus qu’une pourriture…. un déchet, le caca de la justice congolaise !
Chers compatriotes,
ceux d’entre vous qui pensaient que l’outil analytique du réseau pour expliquer la situation congolaise actuelle était une fadaise en sont pour leurs frais. La théorie du réseau est prégnante pour expliquer les compromissions et les prises de conscience des intellectuels congolais depuis les indépendances à nos jours. Regardez la magistrature, la théorie des trajectoires, courtes ou longues, l’allégeance ou le refus expliquent les situations du moment.
Le Congo est il en crise ? Et si cette crise était le fait de ses propres enfants, même si l’un d’entre eux, non instruit, à savoir Sassou comme le présentent certains, était le plus malin ? Ce qui m’intéresse dans le réseau, ce sont les contradictions des uns et des autres, des alliances positives et négatives et une théorie de la libération qui a du mal à exister car il y a une compromissions des uns et des autres. La diaspora a le droit de revendiquer, elle a raison. Comment construit-elle sa stratégie ? En dehors ou à l’intérieur du réseau ? Ce sont des questions qui émergent et qui fâchent car le réseau actuel s’articule autour du Président. On reproche à Kolelas, à Anatole Milongo, à Dzon Mathias, à Tatsy Mabiala d’être compromis. Je n’ai rien à voir avec ces responsables politiques congolais mais ce qui m’intéresse c’est le rôle qu’ils jouent au sein du réseau et à la place qu’ils occupent dans les différentes boucles dans le réseau.
Certains vont me dire: quelle est ta solution Pambou ? Je réponds: je suis un analyste, originaire du Congo, qui fait de la politique en France mais qui modestement présente les outils d’interprétation et de compréhension à ses compatriotes pour que ceux-ci s’en saisissent ou pas et pour travailler au développement du Congo avec ou sans Sassou. Mon discours n’est pas ambigu, il est relativement clair et trop peu d’entre nous, intellectuels, proposent des cadres d’analyse autres que ceux fondés sur la violence. La théorie de la violence est une théorie, je l’entends, elle peut être utilisée par certains, refusée par d’autres. Pour ma part, je me permets de présenter des éléments de compréhension d’une situation et aux hommes politiques de s’en servir ou pas. La situation paisible au Congo passe par la recherche des solutions à l’intérieur et hors réseau. C’est difficile, mais cela implique une méthode, un projet, une stratégie et une réflexion permanente.
A mes chers compatriotes de toujours,
Ma vieille maman, Victoire Toukoula décédée en juin 2016, me disait: tu as trop fait d’études, attention tu risques de perdre la réalité du village de Diosso, De tes tantes, de tes oncles, de toute ta famille car tu risques d’être en apesanteur alors que, eux, sont dans la réalité du terrain, même si ce terrain est marécageux. Réfléchis et vois où tu poses tes pieds et quand tu les poses dans le marécage, analyse le marécage pour t’en sortir.
« A mes chers compatriotes de toujours, »
est-ce la théorie du caméléon?
Votre vielle maman, paix à son âme, Toukoula Victorine, te suggérait-elle la rencontre très opportune avec la fameuse théorie du réseau?
« Je réponds: je suis un analyste, originaire du Congo, qui fait de la politique en France mais qui modestement présente les outils d’interprétation et de compréhension à ses compatriotes pour que ceux-ci s’en saisissent ou pas et pour travailler au développement du Congo avec ou sans Sassou. »
Quand des étudiants ne revendiquant que leur bourse sont emprisonnés, pensez-vous que c’est le gouvernement qui est contre le développement du Congo, ou les étudiants? Quels sont les outils de l’analyse du réseau qui pourraient permettre aux étudiants emprisonnés de retrouver leur liberté et au gouvernement de mieux se consacrer au fameux développement du Congo? Votre vieille maman, paix à son âme, Victorine Toukoula n’avait-elle pas bien vu pour vous avoir dit: » tu as trop fait d’études, attention tu risques de perdre la réalité du village de Diosso, De tes tantes, de tes oncles, de toute ta famille car tu risques d’être en apesanteur »?
Je désire rebondir sur le poste de Mwangou.
Tout d’abord, et sauf erreur de ma part, ce site n’est pas destiné aux » seuls compatriotes « .
Je ne suis pas Congolais mais j’aime le Congo et je trouve dommage de ne pas s’adresser à tous
et notamment à ceux qui veulent la paix, la démocratie et la justice sociale au Congo.
Enfin les analyses en » apesanteur » ne font certes de mal à personne mais croyez-vous que les
prisonniers politiques, la population qui se demande le matin ce qu’elle va manger le soir, s’y intéressent.
Rien ne va plus dans ce pays ; alors arrêtons de tourner autour du pot et dénonçons.
J’ai beaucoup de difficulté à comprendre que certains doubles nationaux puissent faire de la politique en France sans combattre énergiquement la dictature qui écrase leurs compatriotes qui
vivent au pays.
Mobilisons-nous pour faire connaître en France ce qui s’y passe !
De tout coeur avec vous Mr DELBAR, beaucoup de compatriotes n’en font pas autant que vous et pour cela je vous en remercie.
Comme vous le dites si bien, il faut se mobiliser et faire connaître aux plus grand nombre et surtout a l’opinion Française ce qui se passe réellement au pays car la médiatisation est une arme et comme chacun le sait tout a été fait par la mafia d’Oyo pour que cette omerta médiatique perdure, tant que la lutte restera confinée entre Congo, Congolais sassou aura encore de beaux jours devant lui.
D’ailleurs ces doubles nationaux que vous avez du mal à comprendre y contribuent et surtout le MONSIEUR Pambou qui continue à jouer le rôle qu’il s’est attribué de rendre acceptable l’inacceptable de cette dictature mafieuse à l’adresse des opinions internationales comme l’est dans un autre registre le vrp ou griot de service l’innocent paya.
RÉGLONS LE CAS SASSOU DÉGAGE D’ABORD _AVANT LA TENUE D’UNE CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LE CONGO
La liberté, ça se mérite – Ceux qui sont libres l’ont certainement mérité. Il faut alors la mettre en pratique et avancer.
Si tu est libre et ne mets pas en pratique ta liberté acquise – cela signifie qu’à l’intérieur de ton être, tu ne sera jamais libre. Sinon, à quoi ça sert d’être libre?
La liberté « Être libre, c’est faire ce que je veux » ?
Si la liberté est l’absence de toute règle et de toute contrainte, alors l’animal est libre. Mais ce raisonnement n’a qu’une apparence de vérité: le comportement d’un animal est en fait dicté par son instinct, de sorte que l’animal ne peut pas s’empêcher d’agir comme il agit.
L’instinct commande, l’animal obéit : loin d’être le modèle de la liberté, l’animal est l’incarnation d’une totale servitude à la nature. On ne peut parler de liberté que pour un être qui s’est affranchi du déterminisme naturel.
Pour être libre, il faut pouvoir choisir de faire ou de ne pas faire. Seul donc un être qui s’est débarrassé de la tyrannie des instincts peut remplir les conditions minimales de l’accès à la liberté.
Emmanuel Kant soutient que c’est précisément là le rôle de l’éducation : elle a pour but premier de discipliner les instincts, c’est-à-dire de les réduire au silence pour que l’homme ne se contente pas d’obéir à ce que sa nature commande.
S’il suffisait d’obéir aux lois injustes et illégitimes pour être libre, alors les sujets d’une tyrannie connaîtraient-ils la liberté?
Pour Jean Jacques Rousseau, la seule solution à ce problème à la fois politique et morale,c’est que je sois aussi l’auteur de la loi à laquelle je me soumets – Et vous le dictateur Sassou Nguesso? (Isidore AYA TONGA) !!! https://www.youtube.com/watch?v=GUGhb7I4WKI
A mes compatriotes et aux autres, dont Monsieur Delbar,
Enfin soyons sérieux. Vous pensez bien que je suis criminel au point d’ignorer la souffrance du peuple congolais, les arrestations arbitraires d’étudiants qui veulent simplement défendre leurs droits et ceux de leurs représentants. Vous pensez que je suis sourd et aveugle à la crise économique et à la mauvaise gouvernance qui frappe notre pays, ce qui justifie pour l’instant le refus du Fonds monétaire d’accorder les crédits au Congo. Soyons sérieux, néanmoins je refuse d’être guetté par l’émotion et je m’évertue à travers la théorie du réseau de montrer les compromissions et contradictions dont font preuve les politiques et les intellectuels congolais face à Sassou.
Soyons méthodiques. Quand j’utilise la théorie des trajectoires et des boucles dans le réseau, je vais essayer de comprendre comment notre égyptologue, le Professeur Théophile Obenga qui avait largement critiqué le Président Sassou il y a dix ans au cours d’un débat dont j’étais l’un des intervenants dans le 19ième arrondissement près du périphérique, dans une école, a rejoint aujourd’hui le Président Sassou sans problème en étant son conseiller aux Universités. Comment expliquer que Okombi Salissa, patron du front des 400 que Sassou a enrichi pendant une douzaine d’années en tant que Ministre, devienne un opposant acharné à Sassou au prétexte qu’il avait été sorti du gouvernement ? Après avoir mis à la porte par Lissouba, Mokoko avait été récupéré par Sassou malgré la fameuse cassette vidéo que tout le monde connait. Bien sûr que Mokoko et Salissa ont le droit de s’opposer à Sassou, bien sûr que le professeur Obenga a le droit de rejoindre Sassou, ce qui m’intéresse à décrypter et qui fait mal à certains qui ne veulent pas le voir car complices.
Ce sont ces va et viens des hommes politiques et des intellectuels Congolais qui n’ont pas de corpus et encore moins de chair politique. Je n’ai pas la prétention de révolutionner la politique au Congo. Nous sommes tous d’accord que la situation va mal. Je vais introduire dans l’analyse du réseau le clanisme tribal.
Comment expliquer que la venue d’un homme politique du nord, du sud et du centre se traduise toujours par une politisation clanique autour de son clan familial. Certains de la mbochisation avec Sassou mais l’existence de Lissouba au pouvoir n’était pas mieux. Ce sont des éléments de réflexion qui m’intéressent, que certains n’aiment pas entendre car ils préfèrent camoufler la réalité pour mieux s’en servir quand l’un des leurs arrive aux affaires. Je suis pour l’unité du Congo, au delà des clans et des tribus mais encore faut-il dénoncer cette clanisation du pouvoir pour mieux la dépasser. Sassou n’est pas éternel et il n’a pas vocation à gouverner le Congo jusqu’à sa mort, même s’il le pensait la contrainte physiologique est là pour rappeler que nous sommes tous des mortels.
Je n’excuse aucun gouvernement, ni celui de Youlou, ni celui de Massamba-Debat, ni celui de Ngouabi, ni celui de Yombi, ni celui de Sassou. Ces différents gouvernements doivent être intégrés dans une analyse réseautale pour essayer de comprendre la complexité des trajectoires des uns et des autres, les compromissions, les fausses alternances politiques. L’ensemble de ces éléments permettent de lire le passé sans état d’âme et sans émotion pour construire l’avenir, un avenir que j’espère débarrassé de l’hypocrisie clanique que l’on refuse de façon démagogique dans les discours mais que l’on applique avec jubilation quand on est aux affaires. Ne vous en déplaise, la théorie du réseau vous aide à comprendre la signification des trajectoires longues, courtes et les boucles qui singularisent les hommes politiques et les intellectuels congolais.
« La théorie du réseau vous aide à comprendre » car il est vrai que tous les intervenants ou simples lecteurs sont simplement « débiles et incultes » et ont besoin que le petit professeur MONSIEUR pambou viennent régulièrement leurs faire la leçon pour les ramener sur le chemin de l’analyse.
Mais curieusement, n’est plus dans la simple analyse lorsqu’il vole au secours de son maître après la mascarade du rendez vous et de la photo truquée avec Trump, ni lorsqu’il a rédigé quelques articles sur d’autres pays Africains.
Son jeux hypocrite de l’analyse réseautale qu’il nous déroule à longueur de commentaires lui permet de noyer sassou dans un ensemble pour en atténuer les effets.
Il lui arrive malgré tout de sortir de l’analyse mais pour cela il est obligé de le faire sous d’autres pseudo comme par exemple « CongFirst » ou « LeauranceDuCongo » etc….
Mr DELBAR je vous invite à lire les articles de notre vaillant Félix BANKOUNDA MPELE concernant le MONSIEUR pambou et dont je vous cite un extrait:
« ………et s’érige ainsi dans la position du défenseur de Sassou-Nguesso et sa famille, et donc bien comme théoricien et militant du rôle ‘positif’ de la dictature et du crime de masse spécifiquement au Congo! Qu’il n’est ainsi pas aussi candide qu’il veut y paraître ! »
https://blogs.mediapart.fr/felix-bankounda-mpele/blog/190516/lucien-le-sceptique-saint-thomas-ressuscite-reponse-hd-monsieur-pambou
Quelle action menée pour soutenir ces magistrats sanctionnés pour qu’à l’avenir d’autres esprits libres n’aient pas peur d’assumer leur esprit de liberté et leur conscience du travail accompli dans ce pays où l’on sanctionne pour avertissement aux autres, me parait la question la plus opportune du moment? Et donc, bien qu’il me parait très intéressant d’aborder les problèmes congolais par une analyse systémique, réseautale ou autre descriptif, il faut éviter de se dissoudre dans le global, face à un cas particulier qui si déterminant, le cas sassou nguesso. Si sous Ngouabi, un ministre pouvait se permettre de démissionner, ce qui montre bien que la même dictature du prolétariat avec un dirigeant tel que celui-là, pouvait laisser entrevoir un autre visage, sous sassou nguesso, on ne démissionne pas. Voilà ce qui fait de ce dirigeant un cas spécial… Analysez le bien et on verra que les autres présidents étaient des colombes face à l’aigle sassou nguesso.
Il faut, peut-être, prendre le problème dans son ensemble. En effet, nous avons ici les impacts d’une stratégie initiée volontairement par Sassou qui, une fois de plus, prend une longueur d’avance sur la stratégie de communication. Pressé par la communauté, la France et le FMI (Jeune Afrique 28/02 sur le site Africatime), Sassou déploie toute son énergie pour sortir de la situation étriquée entre son exclusion du concert des nations et la situation économique catastrophique (toujours dans Jeune Afrique sur Africatime). Cette stratégie se déroule en 3 phases :
1) signature de l’accord avec Ntumi pour montrer à cette fameuse communauté internationale qu’il est l’homme qui promulgue la paix au Congo et se blanchir au passage des massacres qu’il a commis dans le Pool ;
2) précipiter le jugement des prisonniers pour valider son discours qu’il n’y a pas de prisonniers politiques au Congo et la démocratie règne puisque les procès se déroulent normalement (selon lui) ;
3) la pseudo-chasse à celles et ceux qui ont détourné l’argent public et le projet de privatisation des sociétés des eaux et de l’électricité pour donner des gages au FMI .
Le but de cette stratégie est simple : conjurer le sort qui l’avait entraîné en enfer dans les années 87/90 (cessation de paiements, intervention FMI et colère du peuple). Il souhaite aussi réintégrer le concert des nations (aucune visite officielle depuis sa pseudo-réélection de 2016 dans une capitale occidentale) et parachever son coup-d’État en donnant du Congo l’image d’un pays démocratique.
Ce problème doit d’analyser avec tous ces éléments en tête. Il faut donc faire de ces procès staliniens pour déjouer le piège que Sassou tend à tous les démocrates en répondant aux demandes de recrutement des avocats internationaux compétents pour se déshabiller le système judiciaire de Sassou comme l’avait initié Me Diallo, l’avocat d’Okombi Salissa.
Je regrette, tous les juristes et hommes politiques qui interviennent sur une Constitution criminogène comme celle en cours au Congo sont des collaborateurs parce que l’on ne peut pas exonérer un Président d’extradition et des crimes humains Après son depart du pouvoir malgré les engagements de ce pays auprès de la communauté internationale dont l’ONU. Ceci est une autorisation au droit de tuer, fait unique au monde. Dans ces conditions la désobéissance aux lois scélérates est un devoir que ces femmes et hommes auraient dû suivre.
MONSIEUR pambou écrit :
« ………Ne vous en déplaise, la théorie du réseau vous aide à comprendre …….. »
Car bien sur, sans l’analyse éclairée du » petit » professeur, MONSIEUR pambou les intervenants ou simples lecteurs sont trop « débiles ou incultes » pour comprendre la situation du pays.
Sa théorise fumeuse est bien connue qui consiste à noyer sassou dans un ensemble pour en diluer les responsabilités et détourner l’attention en tapant fort sur les sous fifres.
Curieusement il ne se comporte pas toujours de la même manière et sait sortir du réseau, lorsqu’il le faut, pour voler au secours de son maître comme suite à la mascarade de l’entretien raté avec TRUMP et de la photo truquée ou il c’est empressé de sortir un article pour le disculper ainsi que lorsqu’il écrit quelques articles sur d’autres pays d’Afrique. Il pousse même le cynisme jusqu’à s’auto-congratuler en n’hésitant pas à utiliser pour cela des pseudos du style, « CongoFirts » ou « LeaurenceDuCongo » etc…., lui le chantre de la droiture intellectuelle !
Monsieur DELBAR pour comprendre la position ambiguë de ce MONSIEUR pambou je vous invite à lire les commentaires, le concernant, de notre grand Félix BANKOUNDA MPELE parus dans Médiapart
Dont je vous en cite un extrait :
«…….. et s’érige ainsi dans la position du défenseur de Sassou-Nguesso et sa famille, et donc bien comme théoricien et militant du rôle ‘positif’ de la dictature et du crime de masse spécifiquement au Congo! Qu’il n’est ainsi pas aussi candide qu’il veut y paraître ! »
Salutations
Que faire contre une situation qui nous précipite en Enfer jour après jour ?
Chaque compatriote doit s’impliquer dans la mobilisation de sa zone d’influence éthnique ou politique pour créer un vaste réseau de résistants au Congo. Il ne faut pas se voiler la face, la Nation congolaise n’est qu’une vue d’esprit entretenue par une certaine élite. En effet le Mukongo, un Vili ou un Mbochi va délivrer un message qui sera mieux reçu dans leurs communautés respectives. Ceci est un fait, malheureusement. Préparer l’insurrection nationale est l’une des options les plus crédibles dans l’Etat actuel de la situation sociale, économique et sécuritaire.
Il faut parfois savoir faire un bilan des actions entreprises par la diaspora et le rôle fondamental des réseaux sociaux parce que les dictateurs n’ont plus le monopole de la communication. Si Sassou rame pour installer son hold-up et est privé, pour l’instant, de l’aide du FMI, c’est en partie grâce à l’action soutenue des diasporas qui s’efforcent à démontrer la vraie nature de la gouvernance de Sassou auprès de ces organismes. Tous les procès en cours sont autant de situations qui démontrent que l’activité de communication de la diaspora. Certains tribunaux délivrent aussi le statut de réfugiés politiques aux ressortissants congolais. Certains soutiens politiques de Sassou ont peur d’agir ouvertement de peur de voir leurs noms affichés sur les réseaux sociaux. Donc, il est entendu que le Congo est une dictature par la communauté internationale. Ce n’est pas assez mais ces résultats ne sont pas à négliger, il faut intensifier notre stratégie et plan de communication.
Enfin, il faut participer au recrutement des avocats internationaux compétents compétents en donnant un peu d’argent aux organisations qui s’en occupent pour exploiter chaque opportunité de déshabiller Sassou.
Je partage totalement l’intervention de Mr David Londi.
Pour les démocraties occidentales, il ne fait aucun doute que le Congo est une dictature et un pays de non droit.
Le cinéma des procès à venir n’y changera rien, bien au contraire.
La diaspora joue un rôle important d’information mais également les étrangers qui côtoient ou ont côtoyé ce régime.
Des diplomates à la retraite sont également très utiles.
Evidemment le monde économique fait pression sur le politique mais ils ne sont pas dupes et il suffit de voir comment Sassou a été reçu dernièrement en France pour s’en convaincre.
Pour ce qui concerne le recrutement d’avocats étrangers, il faut être très discret car il suffit pour les`
empêcher d’intervenir, de refuser le visa.
Il faut s’interroger également sur la façon de soutenir les quelques avocats congolais qui sont encore prêts à prendre des risques.
Chacun par petites touches peut faire reculer la tyrannie qui doit être balayée sans violence.
Bonjour à tous,
Comment allez-vous ? Les théories du réseau systémiques, opérationnelles, sociétales ou autres énervent car elles mettent les acteurs congolais face à leurs responsabilités. La plupart d’entre nous avons beaucoup de mal à accepter celles-ci car elles nous révèlent à nous-mêmes, concupiscents, compromis et on attend le bon jour pour pouvoir aller manger la galette qui, pour l’instant, est prise par d’autres. Quelles réflexions scientifiques, techniques, technologiques de la part de la diaspora pour sortir le Congo du merdier actuel ? Ce jour, il y a eu un comité de presse relatif à une conférence de presse de rentrée du collectif des partis de l’opposition congolaise.
C’est bien, c’est un début d’organisation qui passe en revue 8 points:
– la réaction au discours de Sassou prononcé le 30 décembre 2017,
– la réaction à l’accord du cessez de feu et de cessation des hostilités dans le Pool,
– la situation sociale épouvantable des populations,
– le sort des prisonniers politiques,
– les contradictions au sein du clan régnant,
– la nomination d’un soi-disant chef de l’opposition,
– le point de vue du collectif sur l’accord à conclure avec le FMI,
– le budget de l’Etat, exercice 2018.
Ce serait intéressant que Congoliberty publie les remarques de l’opposition sur ces 8 points. dans l’ensemble, on retient une critique radicale de l’opposition et une stratégie de Sassou visant à minimiser les conséquences des 8 points évoqués en amont et la valorisation de la mal-gouvernance, de la corruption, l’enrichissement illicite, l’appropriation personnelle des biens publics, l’impunité, les inégalités et les injustices sociales flagrantes. Sur tous ces points, c’est un diagnostic qui est fait par l’opposition, assez détaillé, mais il n’y a pas une once de proposition alternative sur la manière de sortir par le haut de cette situation catastrophique. L’impact de la dette aujourd’hui, le refus du Fonds monétaire international d’apporter une solution à la demande de crédit supplémentaire nécessitent, selon l’opposition, une participation de tous à cette vaste réforme et pour cela l’opposition demande l’instauration d’un dialogue national inclusif qui doit permettre de construire un compromis politique dynamique entre le pouvoir et l’opposition et promouvoir la réconciliation nationale et une gouvernance vertueuse, démocratique, rationnelle, transparente, sociale et participative.
Le collège des Présidents de l’opposition qui signe ce papier le 3 mars 2018 est donc d’accord pour que rien ne change, alors que certains estiment qu’il faut tout changer. Voilà à quoi sert le réseau, c’est montrer et décrypter l’inacceptable qui devient acceptable. Tient au fait, qu’en pense la diaspora ou les diasporas en France ?
Voilà les amis quelques prolégomènes de débat dans ce beau pays Congo qui nous offre une belle page d’analyse réseautale: violence ou pas violence, réseau ou hors-réseau ?
A TOUS
Tiens , tiens pas de réponse
quand je mets de facon concrete et selon la theorie du réseau les les liens entre l ‘opposition actuelle et le Réseau congo
ALLEZ UN PEU DE COURAGE POUR DENONCER CE QUE JE DIS ET MONTRER QUE LES MEMBRES DE CE COLLECTIF ACTUEL DE L OPPOSITION ONT TOUJOURS APPARTENU AU Resau.DITES MOI QUE JE ME TROMPE UNE FOIS DE PLUS?
CES MEMBRES DE L OPPOSITION SONT ILS LES REELS OPPOSANTS, ALORS SAVANTS POSTEURS SUR CE BLOG J ATTENDS VOS BELLES DEMONSTRATIONS
IL faut lire qu ils n ont pas appartenu
Mon pauvre MONSIEUR pambou mais vous ne vous rendez même pas compte que personne n’a envie de rentrer dans votre petit jeu de dupes que vous vous efforcez de mettre en place à longueur de post. Votre égo surdimensionné en prend un sérieux coup. Au fait! vous avez oubliez , il me semble, de nous ressasser vos états de services et vos diplômes, sans doute un simple oubli MONSIEUR le professeur.
Parler de courage ! mais il n’y a pas besoin de courage pour dénoncer la vraie nature de l’homme que vous êtes.
Comme on peut le constater même un Français Maître DELBAR , avocat de son état, et qui connait bien le pays, ne peut comprendre le rôle ambigu que vous jouez.
Au pays du dictateur sassou (votre maître) il n’y a pas d’opposition, ni d’opposants visibles ou sinon ils croupiraient comme les autres dans les geôles infâmes de la mafia d’oyo.
Ah j’oubliais! si vous voulez organiser une discussion ou dialogue n’hésitez pas à le faire avec vous même, vous savez parfaitement le faire il vous suffit, pour cela, de réactiver vos différents pseudos.
A ANO
Difficile pour toi et les autres d’accepter l’inacceptable car tu validerais la théorie du réseau. Cet inacceptable est que les membres de l’opposition actuelle que tu soutiens, ou que tu ne soutiens pas, appartiennent tous au réseau Congo maîtrisé par le Président Sassou. Cela t’embête de reconnaître ce fait. Je n’ai pas besoin d’organiser une discussion ou un dialogue sur ce site, comme tu le sais je suis lu ailleurs, sur d’autres sites, où mes papiers sont quelques fois mis en tête pendant un mois (comme sur Blastingnews, va faire un tour sur la rubrique Opinion). Alors tu vois mon grand, je n’ai pas besoin de discuter, cela ne me manque pas, j’expose et j’attends une contradiction argumentée, plutôt que des billevesées qui ne renseignent sur rien et qui confortent le bavardage impénitent sur ce site Congoliberty de ceux qui derrière leur écran d’ordinateur, pensent changer les choses au Congo. Les gens comme toi Ano, vous préférez être bavard, ça rassure. Combien de militants, combien de divisions, quel part politique ? Réponse: 0. Alors je te laisse le soin de bavarder. le Congo changera sans ton bavardage.
Bonne soirée et ne sois pas trop énervé dans la réponse que tu vas faire. Il parait que je suis un provocateur. La réponse est non mais je refuse les imposteurs qui font croire aux Congolais que par leur bavardage depuis Paris et depuis la scène, ils vont changer la vie politique au Congo. C’est confortable de boire de la bière et de manger de la semoule de puis Paris et de bavasser sans frais sur la situation politique au Congo alors qu’on ne possède pas une once de politique alternative, crédible, acceptable par les partenaires internationaux qui, eux, défendent leurs intérêts. Nous sommes au coeur de la géopolitique économique et territoriale. Je m’arrête parce que je risque de devenir agaçant. Allez bonne soirée et j’attends ta réponse coco ANO.
Alors ANO, on est comme le Paris Saint Germain, bavard et looser, ces parisiens qui disaient qu’ils allaient écraser Real Madrid sans stratégie et sans plan d’attaque. Résultat: éliminés, comme le sent les membres de l’opposition qui appartiennent au réseau du Président Sassou et qui font croire aux Congolais qu’ils représentent l’opposition. Des bavards sans plan d’organisation, sans stratégie, comme le PSG ce soir. Alors coco, on dit quoi ? C’est marrant, non ? Bavards comme le PSG, tels sont les membres de l’opposition au Congo et ses thuriféraires bavards aussi comme ANO et d’autres en France. Je ne fais que dire les choses qui fâchent et qu’on n’aime pas entendre. Je n’attends pas de poste, moi Lucien Pambou au Congo, comme certains, je suis bien en France. De classe populaire, je me suis battu beaucoup pour obtenir un peu, un tout petit peu. Voilà, à bientôt sur les antennes de Congo Liberty. Bavards comme vous êtes, comme le PSG.
Je ne suis pas énervé, ce serait vous faire trop d’honneur. Vous ne m’impressionnez nullement et n’ai besoin d’aucun courage pour vous le faire remarquer. Pour moi vous n’êtes pas un provocateur mais plutôt un imposteur, manipulateur et maillon actif à part entière de cette omerta médiatique et dont le rôle que vous vous êtes attribué est de lisser l’image de sassou, de le rendre acceptable et présentable aux yeux de l’opinion, ce qui pour le commun des mortels connaissant la situation réelle est une dictature des plus infâmes.
Au Congo le système n’est pas politique mais mafieux et sassou en est la parrain. Au pays du dictateur sassou (votre maître) il n’y a pas d’opposition, ni d’opposants visibles ou sinon ils croupiraient comme les autres dans les geôles infâmes de la mafia d’oyo. Ce n’est nullement une découverte de dire que c’est sassou est le grand ordonnateur qui tire les ficelles de toute cette gabegie par la corruption et la délation pour son seul et unique profit et de sa famille.
Pour rappel : Dans un de vos articles vous parliez de sassou en ces termes « Il ne faut pas accabler le président sassou ».
Ce que je pense de vous est simple et pour cela je me permet de faire mienne la phrase de notre honorable Félix BANKOUNDA MPELE qui le dit mieux que moi et que j’aime à vous rappeler. Je cite :
«Lucien Pambou ….. …. s’érige ainsi dans la position du défenseur de Sassou-Nguesso et sa famille, et donc bien comme théoricien et militant du rôle ‘positif’ de la dictature et du crime de masse spécifiquement au Congo! Qu’il n’est ainsi pas aussi candide qu’il veut y paraître ! »
Félix BANKOUNDA MPELE
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