Droit de réponse d’un aîné à son cadet
Nemale, je te tutoie dans ma réponse car, tu l’as dit toi-même, je suis ton aîné et à Africa 24 on se tutoie toujours. Je t’appelle aussi par ton nom, selon la tradition africaine, le prénom est d’une constance générale et dépersonnalise. Je suis ahuri sidéré, abattu et c’est le cœur serré que je te réponds. Je suis parti d’Africa 24, non pas sur la base des raisons que tu évoques dans ton papier mais sur des critères précis comme l’algarade dont j’ai été victime sur le plateau, à propos de l’esclavage des Noirs par les Maures en Mauritanie, de la part de l’éditorialiste mauritanien que les téléspectateurs d’Africa 24 connaissent. Je vais t’éviter une paronomase, procédé stylistique qui t’oblige à t’excuser et qui pourrait faire croire que tu t’accuses. Cadet Nemale, je ne t’accuse de rien, je ne prononce pas ton nom. Mon propos sur les Présidents de chaînes est général car je suis intervenu aussi bien pour Télésud, Vox Africa, Africa n°1, Deutsche Welle, etc., et bien entendu Africa 24.
J’essaie de sortir du bac à sable et de discuter sur la base du respect comme tu le dis toi-même et de la fraternité que toi et moi avons tenue respectivement en évidence.
Depuis mon départ d’Africa 24, je suis resté silencieux, même si sur la place de Paris j’ai été sollicité par certains médias pour écrire des papiers concernant l’ambiance et l’organisation interne au sein d’Africa 24. Certains estiment, à tort ou à raison, que le modèle économique de ta chaîne n’est pas fiable. Ce n’est pas ma tasse de thé et tu vois bien que, jusqu’à ce que tu t’invites dans un débat qui n’est pas le tien, je n’ai jamais critiqué les méthodes de travail de la chaîne.
Je vais essayer d’aller vite pour que les choses soient comprises par tous, car, dans ce domaine, c’est parole contre parole et des éléments de preuve n’existent pas. Tu écris: « Pambou qui me lit sur ces lignes, s’il a la moindre décence intellectuelle, peut lui même témoigner de cette réalité. Car il l’a vécue durant son honorable parcours avec nous. » . C’est bien que tu m’appelle Pambou au lieu de ce cher Lucien dans ton texte qui crée une distance qui n’a pas lieu d’être. Plus loin, tu reprends à ta manière les raisons pour lesquelles je n’appartiens plus à la chaîne:
« 1- sa démarche inélégante n’était pas une première initiative,
2- cette récidive devait cesser, car la contradiction entre collègues « éditorialistes » ne pouvait dégénérer en insulte publique,
3- il ne pouvait mêler Africa 24 sous aucun prétexte à une quelconque dérive comportementale qui n’honore aucun Africain. »
Les deux derniers points sont faux. Le premier est discutable car il ne traduit pas toute la vérité. Tu dis dans le premier point que ce n’était pas ma première initiative, avais-je été convoqué pour que tu me le dises ? La réponse est non. Je savais qu’il y avait des bruits de couloir, mâtinés de jalousie de la part de certains éditorialistes dont tu as dû te séparer. Il n’y a pas eu récidive comme tu le dis. La vérité est autre. Tu as choisi délibérément le camp de l’éditorialiste mauritanien pour des raisons qui te regardent, tu as fait un jugement à la Salomon et à mes dépends, alors que c’est moi qui avais été insulté tout au long de l’émission. J’ai répondu par l’humour et l’intelligence du dérisoire, ce qui a eu l’heur d’énerver notre ami éditorialiste mauritanien qui a continué de s’étouffer de rage. Je disais une chose simple, vérifiable par tous (l’esclavage noir existe en Mauritanie même si celui-ci est devenu un crime puni par la loi), c’est la vérité et, en tant que co-fondateur du CRAN, je ne pouvais pas laisser passer cette ineptie dialogique.
A la sortie du plateau, j’ai apporté les preuves au collègue éditorialiste et aux membres de la chaîne Africa 24 que ce que j’avais dit était fondé. J’ai envoyé des mails une seule fois concernant cette affaire, et non pas comme tu le dis des rafales de mail. D’ailleurs, je tiens à te faire remarquer que l’éditorialiste s’était excusé, qu’il m’avait invité à boire un café, ce qui ne s’est pas fait car nos emplois du temps ne concordaient pas.
Je tiens aussi à te faire remarquer, ainsi qu’aux lecteurs de Congo liberty et à d’autres, que c’est Africa 24 qui est venue me chercher, en l’occurrence deux personnes Karine Jellman et Jules Ahzi Komlan. J’ai commencé au sous-sol, alors que le plateau était en construction. D’autres éditorialistes sont venus me rejoindre. Au départ nous étions bénévoles, et, c’est tout à ton honneur, tu nous as rémunéré sous deux conditions :
- Notre statut était celui d’auto-entrepreneur (cela veut dire que nous supportions les charges portant sur notre rémunération, soit 21% environ)
- Le montant de la rémunération était de 100 euros l’émission (somme modique compte-tenu des charges mais que j’ai acceptée car je voulais donner un coup de main à un cadet, à savoir toi Nemale). Je te fais remarquer aussi que j’étais celui des éditorialistes le plus disponible pour des points de vue de l’actualité au téléphone à Paris comme à l’étranger. J’ai payé pour répondre aux demandes de la rédaction des sommes folles en matière de téléphone quand je me trouvais au Congo Brazzaville. Par bêtise, mais surtout par volonté de faire réussir Africa 24, je ne t’ai jamais présenté de facture, ni réclamé quoi que ce soit, même quand je devais être sur le plateau pour des émissions spéciales jusqu’à 4 h du matin (élections américaines). Je ne te reproche rien Nemale, j’ai gardé jusque-là le silence, tu m’obliges à dire des choses désagréables, mais je te rassure je n’écrirai jamais un livre sur Africa 24. J’en ai la matière et le contenu, mais je ne balance pas, même des faits réels.
Comme tous les éditorialistes, nous avons un autre métier, nous ne sommes pas des journalistes de formation comme toi qui a commencé ton métier de journalisme dans une revue sportive de basket ball. Mon départ n’est pas le fruit d’une décision collective, mais surtout de la tienne et je la respecte à la suite d’un fait marquant : le départ de Blaise Compaore le 31 octobre 2014 et le commentaire que j’en ai fait sur France 24 au nom de la revue Géopolitique africaine. Je te rappelle que ce commentaire, qui mettait en avant l’importance de Blaise Compaore pour le Burkina Faso, était absolument en phase avec le « Face à nous » (ton émission) de dithyrambe que tu avais fait concernant Blaise Compaore quelques temps avant sa chute. Comment expliques-tu que l’on m’interdise l’entrée du plateau sur lequel le matin même j’étais convié ? Tu étais présent ce soir là sur le plateau, à ma place, avec mon collègue éditorialiste mauritanien. Ce n’est pas une charge, c’est un simple constat. Je m’arrête là. Pourquoi ne pas tu pas convoqué dans ton bureau comme tu sais bien le faire, même si tu affirmes le contraire, pour me dire les raisons de mon départ de la chaine ? Tu dis plus loin dans ton texte que tu ne discutais pas avec les éditorialistes car tu ne les connaissais pas. Faux, tu connais bien Christian Nana dont le frère t’a aidé sur le plan de l’organisation financière de ton business. Cadet, reste toi-même et respectueux d’un comportement qui doit être marqué par le respect de ceux qui te sont utiles dans la vie au sens large.
Dernier point qui me laisse pantois et en sidération et dans lequel tu évoques :
« Cher Lucien, comme tu as essayé de jeter l’opprobre sur cette chaîne, dont tu t’es longtemps réclamé, tu m’offres ici l’occasion de rétablir des vérités aussi limpides à chacun qui aura la décence de nous lire et de faire l’effort de nous croire :
1- AFRICA 24 n’a jamais, je dis bien jamais réalisé depuis sa création le moindre publi-reportage. Vous pouvez me croire, et le vérifier.
2- Il est formellement interdit à tout journaliste, tout responsable de la chaîne de recevoir le moindre perdiem, la moindre enveloppe d’une tierce personne.
3- Il n’existe pas sur cette terre un seul responsable politique, économique ou une tierce personne qui vous témoignera avoir un jour payé un seul centime pour passer sur Africa 24.
4- Africa 24 dispose dans le cadre de sa politique de commercialisation des offres qui sont publiques. Dans ses offres il existe des couvertures spéciales. Mais l’ensemble de ces activités ses font en totale indépendance de la ligne éditoriale de la chaîne.
5- Nous avons su dans le cadre de cette politique commerciale, comme tous les médias internationaux, valoriser la présence à travers les spots de nos clients institutionnels ou commerciaux, en toute indépendance de notre ligne éditoriale.
6- Je mets chacun au défi de me montrer et démontrer une chaine de télévision qui diffuse autant de débats contradictoires sur l’Afrique. Une chaîne qui garantit autant de temps de parole équitable au pouvoir qu’à l’opposition. Et si jamais il vous prenait l’envie de réaliser un décompte scientifique de nos temps de parole vous constaterez de vous même l’obligation de strict respect de temps de parole. »
Ces six points sont les tiens, tes rapports commerciaux ne me concernent pas. Je suis au contraire agréablement surpris qu’il y ait eu une déontologie à Africa 24. Tu dis que tu n’intervenais pas dans nos débats d’éditorialistes, cela est vrai, mais je tiens aussi à te faire remarquer qu’il n’y avait pas de réunion entre nous, éditorialistes, et la direction. Nous n’avions aucun ressenti de ce qui se faisait bien ou mal lors de nos éditoriaux. Les sujets étaient donnés le matin et chacun venait dire sa vérité le soir. Je pense avoir initié une méthode plus rigoureuse que d’autres : parler de l’actualité en me référant à l’histoire du pays concerné.
Je te donne un conseil cadet : tu as eu une idée géniale en créant cette première chaîne d’information et je te remercie de t’avoir aidé à mettre sur orbite ta chaîne. Il suffit pour t’en convaincre de te référer aux nouvelles qui venaient d’Afrique ou demande à Babylas Botton. Te dire ceci ne me fait pas gonfler mon égo : qui suis-je ? Je te rassure, petit frère, patron d’Africa 24, même si certains te dénient ce mot de patron, que « la télé ne me rend pas fou » comme l’a dit un journaliste. Rassure-toi ton aîné ne se mettra jamais à table pour te dénigrer. J’ai toujours tout fait pour défendre la chaîne. A très bientôt. Il n’y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas et tu sais de quoi je parle en matière de business.
Bon vent cadet Nemale, reste sur le pont car la concurrence médiatique en Afrique devient forte.
Respect d’un aîné (Pambou le congolais de Brazzaville) à son cadet (Nemale le camerounais) au nom du panafricanisme et d’une Afrique qui se veut conquérante et collective.
Diffusé le 27 mai 2016, par www.congo-liberty.org
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DROIT DE RÉPONSE DE CONSTANT NEMALE « PATRON D’AFRICA 24 » A LUCIEN PAMBOU
Petits mots Respectueux entre gens qui se respectent….
Cher Lucien et chers tous,
Très rarement j’ai osé prendre la parole pour apporter la moindre contradiction à un tiers, car j’ai érigé le modeste sanctuaire d’Africa 24, en faisant de cette chaîne, moi en tant que son fondateur, un socle de liberté d’expression.
A tous qui nous lisez, certains ont toujours eu la plume et la critique facile et injurieuse. Parfois à tort. Parfois par passion, car je sais à quel point derrière chaque hurlement se cache parfois ce désir passionnel de voir notre Afrique grandir.
Depuis 2008 où j’ai créée cette chaîne de télévision, et depuis 2009 où nous avons initié, Babylas Boton et moi, l’émission Africa News Room, mettant en valeur l’analyse et les éditorialistes africains pour donner une opinion sur l’Afrique, je dis bien depuis cette création, jamais je n’ai recruté le moindre éditorialiste de cette chaîne de télévision. La majeure partie, y compris Lucien Pambou, ont postulé volontairement et parfois certains ont d’abord été des invités à l’analyse pertinente ; et sur cette base, les collaborateurs de la chaîne ont jugé utile de leur proposer une collaboration quasi bénévole d’éditorialiste.
Depuis l’existence de cette chaîne de télévision, je m’honore de ne connaître aucun des éditorialistes de cette chaîne de télévision. Je m’honore de ne jamais avoir eu une moindre discussion avec un éditorialiste de cette chaîne de télévision ; je m’honore de n’avoir jamais eu une discussion avec un éditorialiste de cette chaîne de télévision, sur un quelconque sujet avant son passage ou son intervention à l’antenne et ni après.
- Pambou qui me lit sur ces lignes, s’il a la moindre décence intellectuelle, peut lui même témoigner de cette réalité. Car il l’a vécue durant son honorable parcours avec nous.
D’où viennent ces écrits et modestement ces élucubrations d’avoir été un jour mis à l’index pour avoir refusé de critiquer le gouvernement de Sassou Nguesso ou de je ne sais quelle autorité? Ce cher Lucien peut-il me dire quand, quel jour en quelle circonstance une seule personne lui a porté la moindre critique durant son parcours sur Africa 24, sur le contenu de ses expressions. Il pouvait dire et peut se permettre de dire tout et son contraire, nous avons toujours jugé humble de considérer que la libre expression était le gage de la qualité constructive des échanges.
Il faut croire que contrairement à ce qu’avait écrit un célèbre journaliste, la « Télé rend fou…mais certains ne se soignent pas ». Les vertus du mensonge et de la désinformation, ne peuvent se parer en bouclier de son intelligence. Parfois il vaut mieux se taire que de s’illustrer dans un mensonge infantile. Alors je me dois de rétablir la vérité.
Monsieur Lucien Pambou n’a jamais eu la moindre sanction à Africa 24. Nous avons pris la décision de mettre fin à cette collaboration pour une raisons aussi simple et vieille que le monde : le devoir de respect dû à une institution. Dans le cadre d’une émission ANR, un débat contradictoire s’est engagé entre M. Pambou et un autre de ses collègues éditorialistes. A notre grande surprise, cette émission qui n’était qu’un débat sur un plateau, entre personne qui ne doivent pas forcément partager la même vision sur certains problèmes, a dégénéré en lettres d’insultes, rendues publiques et transmises à des tiers.
Pour la première fois, en 4 ans de collaboration avec M. Pambou, que je ne croisais que furtivement dans mon studio, j’ai dû le rencontrer pour lui expliquer :
1- sa démarche inélégante n’était pas une première initiative,
2- cette récidive devait cesser, car la contradiction entre collègues « éditorialistes » ne pouvait dégénérer en insulte publique,
3- il ne pouvait mêler Africa 24 sous aucun prétexte à une quelconque dérive comportementale qui n’honore aucun Africain.
Cet avertissement, je l’ai fait dans le cadre de mon modeste rôle de chef d’Entreprise. Et dans ma culture africaine, le devoir et le respect d’un aîné sont un dogme que nous ne saurions trahir. Lucien Pambou est mon aîné et je lui dois le respect en toutes circonstances. Il ne m’a jamais tenu grief de cet échange clair et poli. Il a semblé adopté une attitude plus constructive et plus respectueuse vis à vis de ce collègue. A mon grand désarroi, quelques mois plus tard, j’ai découvert une nouvelle rafale de courriers injurieux envers ce même collègue.
Cher Lucien, la décision a été collégiale et unanime, de toute la direction, que l’on ne pouvait plus collaborer si le droit élémentaire du respect entre collègues était ainsi bafoué. Nous avons mis fin et de manière très légale à cette collaboration. Au demeurant de manière polie.
Sans doute l’égo n’étant pas la source de la raison, tu as cru pouvoir te justifier aux yeux de tes nombreux admirateurs en faisant croire à un quelconque conflit éditorial vis à vis de la chaîne Africa 24. En 5 ans de collaboration tu n’as jamais connu le moindre écart …
Cher Lucien, comme tu as essayé de jeter l’opprobre sur cette chaîne, dont tu t’es longtemps réclamé, tu m’offres ici l’occasion de rétablir des vérités aussi limpides à chacun qui aura la décence de nous lire et de faire l’effort de nous croire :
1- AFRICA 24 n’a jamais, je dis bien jamais réalisé depuis sa création le moindre publi-reportage. Vous pouvez me croire, et le vérifier.
2- Il est formellement interdit à tout journaliste, tout responsable de la chaîne de recevoir le moindre perdiem, la moindre enveloppe d’une tierce personne.
3- Il n’existe pas sur cette terre un seul responsable politique, économique ou une tierce personne qui vous témoignera avoir un jour payé un seul centime pour passer sur Africa 24.
4- Africa 24 dispose dans le cadre de sa politique de commercialisation des offres qui sont publiques. Dans ses offres il existe des couvertures spéciales. Mais l’ensemble de ces activités ses font en totale indépendance de la ligne éditoriale de la chaîne.
5- Nous avons su dans le cadre de cette politique commerciale, comme tous les médias internationaux, valoriser la présence à travers les spots de nos clients institutionnels ou commerciaux, en toute indépendance de notre ligne éditoriale.
6- Je mets chacun au défi de me montrer et démontrer une chaine de télévision qui diffuse autant de débats contradictoires sur l’Afrique. Une chaîne qui garantit autant de temps de parole équitable au pouvoir qu’à l’opposition. Et si jamais il vous prenait l’envie de réaliser un décompte scientifique de nos temps de parole vous constaterez de vous même l’obligation de strict respect de temps de parole.
Cher Lucien, je déplore que pour répondre sur deux lignes à une polémique qui ne nous concernait pas, entre toi et un tiers tu as cru utile de jeter l’opprobre sur notre travail, pour justifier la haute qualité morale et intellectuelle que tu te fais de ta personne. Mais la fin ne doit pas justifier les moyens.
Contrairement à la perception que tu essaies de donner, je n’ai jamais été sous la coupe de qui que ce soit. Sous quelque motif que ce soit. Je n’ai jamais eu la moindre intervention déplacée d’une personne vis à vis de cette chaîne. Nous avons fait un choix, depuis notre existence, celle de porter un regard constructif en toutes circonstances sur l’Afrique, en faisant de la libre expression le socle de notre indépendance. A ce jour nul ne l’a encore contredit. D’autres médias ont fait le choix de poser leurs formes de regard sur l’Afrique. Chacun peut apprécier à sa façon. Critiquer suivant son opinion. Mais au moins avoir la décence de poser le Respect vitrine de notre moralité.
Que cet écrit te soit source de lucidité, de transparence et de rétablissement de ton corpus intellectuel.
Avec tout mon respect.
Constant Nemale
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LUCIEN LE SCEPTIQUE, SAINT-THOMAS RESSUSCITÉ ? RÉPONSE HD A MONSIEUR PAMBOU. Par Félix BANKOUNDA MPELE
“Si je ne vois dans ses mains la marque des clous, et si je ne mets mon doigt dans la marque des clous, et si je ne mets ma main dans son côté, je ne croirai point.” (Saint-Thomas)
« Je suis un enseignant, éditorialiste, qui s’appuie sur des faits concrets, validés par la justice, avant de porter des accusations gratuites et toutes faites…Monsieur Mpélé, c’est avec des accusations comme les vôtres que le débat intellectuel ne peut pas s’organiser réellement dans notre pays, le Congo » (Lucien le sceptique)
Réponse à Félix Bankounda Mpélé, votre serviteur, le papier de Lucien Pambou du 15 mai, commence, de façon insolite, par croiser le fer à d’autres destinataires que sont les Congolais, ses compatriotes, puis aux présidents des chaînes.
Si on peut aisément comprendre qu’en s’adressant aux Congolais, Monsieur Lucien Pambou répond là aux réactions des uns et des autres suite à ma critique diffusée du 3 mai, la réplique à l’endroit des patrons des chaînes révèle, insidieusement, une problématique quelque peu malsaine, mais pas du tout anodine, puisqu’elle est constante, obsédante pour son auteur et se prolonge d’ailleurs dans les termes à notre endroit : il s’agit de sa position par rapport aux « présidents africains dont Sassou-Nguessso ».
Ainsi, sur cette problématique et à propos de ses compatriotes, il les disqualifie tout de suite au motif que « nous n’avons pas encore l’habitude du débat contradictoire » ! Sauf lui bien entendu ! A l’endroit des responsables des chaînes, dit-il, ils « me demandent de trahir mon intégrité intellectuelle et d’accuser sans preuve des présidents africains en exercice aux motifs que cela apporterait une aura pour leurs chaînes de télévision ». Et, au destinataire de sa réponse, « Monsieur Mpélé, c’est avec des accusations…sans preuve… comme les vôtres que le débat intellectuel ne peut pas s’organiser réellement dans notre pays, le Congo. …toute votre déclamation contradictoire est engagée contre le Président Sassou et sa famille » ! Comme si Monsieur Mpélé vivait dans ‘notre pays‘ ! Et, oubliant du coup que l’une des caractéristiques d’une dictature, dans le temps et dans l’espace, c’est justement l’impossibilité d’y mener un débat réel !
A contrario, Lucien Pambou, lui, apparaît donc comme le défenseur des présidents africains, et singulièrement de Sassou-Nguesso ! Mais, qu’il le fait en raison de « son intégrité intellectuelle » à laquelle les autres ne répondraient pas, ou seraient inaptes au débat ! De quoi donner l’impression, en raison de la redondance de cette problématique dans sa réponse, que le véritable destinataire est ailleurs, et non celui qui est annoncé, comme pour dire qu’il joue bien son rôle.
Car, cher Lucien Pambou, la première et impérative chose à faire, pour tout analyste politique digne de ce nom, aurait été de dire, de définir la nature du système politique et le contexte dans lequel se trouvent les objets et faits analysés. Ce à quoi, comme je l’ai noté dans ma précédente réponse, vous êtes passés grossièrement outre, démontrant ainsi, de façon manifeste, soit une inaptitude à l’analyse, soit un parti pris masqué sous la forme d’une pseudo intégrité intellectuelle, d’une méthode différente.
C’est cet argutie, pour ne pas dire cette esquive, qu’invoque le ‘professeur de sciences politiques’ dès qu’il se résout par la suite à répondre à son contradicteur :
« Monsieur Mpélé,… nous n’adoptons pas la même méthode. Vous appartenez à l’élite engagée, vous êtes un intellectuel congolais engagé… je ne suis pas sur votre ligne intellectuelle qui est celle du militant engagé ».
Et quelle est donc ladite méthode de Lucien Pambou dans laquelle ceux qui font état du système et du contexte politiques des faits analysés apparaissent comme ‘militant engagé‘ ? Il y répond lui-même, en écrivant sans craindre de choquer, que : « j’analyse les faits et les actes … sur une méthode de la Science politique qui tient compte des acteurs et des structures tels qu’ils se présentent à vous » !
C’est pour le moins crucifiant! De quoi faire retourner dans leur tombe les éminences grises de la science politique classique, essentiellement en France, où cette science est née justement du besoin, du dépassement et de la contestation du droit, du discours officiel, et surtout de l’intégration de la réalité et de l’environnement socio-politiques à l’analyse des faits ! La science politique, disait notamment Georges Burdeau, est une méthode globale, complexe et sociologique pour une connaissance plus profonde et réelle qui va au-delà du droit et du discours dominant. Ce que d’autres, avant, avec ou après lui, n’ont jamais démenti.
Sans doute, selon les écoles auxquelles n’échappe pas la science politique, des nuances peuvent être relevées dans l’approche mais, de façon générale, ce qui caractérise cette matière c’est la complexité et, il aurait été sérieux pour Lucien Pambou qu’il nommât sa curieuse méthode, ceux qui la défendent. De ne l’avoir pas fait, parce qu’il ne pouvait évidemment pas le faire, la prétendue méthode de science politique de l’éditorialiste, détachée de la réalité, apparaît tout simplement comme subjective, plombée par le solipsisme, inexistante.
Comme si cela ne suffisait pas, il ajoute, peu banal et non moins confus :
« Je suis un enseignant, éditorialiste, qui s’appuie sur des faits concrets, validés par la justice, avant de porter des accusations gratuites et toutes faites » !
Lucien Pambou finit ainsi par éclairer et convaincre sur le déficit de sa prétendue ‘méthode’, sur son solipsisme, ou sur sa collusion avec un pouvoir établi, en confondant ‘faits concrets‘ et ‘justice‘ ! Partant, il écorne très profondément le rôle de l’éditorialiste qui, selon lui, serait ligoté par le discours officiel et par la justice !
Dans la logique de son discours, qui ne peut évidemment être soutenu par aucun politiste ni aucun éditorialiste, le meurtre, le viol, le vol et divers autres délits et crimes n’existent qu’à partir du moment où ils sont validés par la justice, et pas avant ! Et que, naturellement pour lui, il ne faut ni en faire état, ni les analyser ! Alors que tout individu doué du simple bon sens sait depuis toujours que les ‘faits’ sont et restent une réalité, et en cela différents du droit et de la justice qui peuvent ou ne pas les ‘valider’, en fonction de l’état du droit existant (principes et règles de procédure), mais surtout, dans le contexte africain ou clairement dictatorial comme le Congo-Brazzaville, de l’indépendance plus ou moins réelle de la justice.
Résultat des courses d’une méthode pourrie parce que n’en étant pas une, Lucien Pambou peut se permettre de soutenir que l’affaire ‘Panama papers‘ tout comme celle des ‘biens mal acquis‘, c’est-à-dire des détournements massifs des biens et ressources d’un pays, un phénomène frénétique mais jamais traité par la justice, n’ont aucune place et aucun intérêt, quand il traite, dans sa peu crédible réflexion critiquée où il se demande pourtant si « Le président congolais relèvera les défis qu’il a fixés » ! Surtout quand il y parle spécifiquement des possibilités d’amélioration des conditions sociales très déplorables et d’un chômage endémique de très loin supérieur à celui de la Grèce ! Monsieur Pambou ne s’étonne en rien qu’alors que dans différents pays où des personnalités citées à propos de ‘Panama papers’ soient entrain de rendre compte d’une façon ou d’une autre, qu’au Congo ce soit le mutisme total ! Il ne s’étonne en rien que malgré l’importance sans précédent des recettes pétrolières reçues par le Congo (3ème puissance pétrolière d’Afrique noire et autour de 4 million d’habitants) et l’effacement d’une large partie de sa dette, ‘la famille du président s’enrichit de plus en plus et les Congolais continuent à crever de faim et de misère‘ comme dit l’ancien patron d’Elf (L. Lefloch Prigent) ! Il ne trouve rien à dire au fait que la justice française qui n’a pourtant pas condamné la famille présidentielle notamment, à propos de nombreuses acquisitions immobilières en France, mais qui veut tout simplement, à propos de l’instruction ordonnée, lui donner la possibilité de se justifier, fasse ouvertement l’objet d’un ‘trafic d’influence’ par Sassou-Nguesso !
Au plan politique, Lucien Pambou n’a pas non plu vu ce que le monde entier a vu, c’est-à-dire le braquage électoral de Sassou en mars dernier, précédé par l’euthanasie constitutionnelle d’octobre 2015. Tout cela accompagné de centaines de blessés et de nombreux morts, de manifestants non armés tués à balles réelles par les sbires, restés impunis, du despote et, qu’en faire état pour rendre compte de la nature du système politique constitue une approche ‘militante’ ! Comme si cette approche n’a pas été faite par d’autres analystes ou journalistes à travers le monde !
Drôle de politiste et curieux éditorialiste !
Enfin, il termine sa réponse en me demandant « à quel parti politique appartenez-vous », parce que, dit-il, plus que jamais éditorialiste-gardien du temple des Nguesso, « toute votre déclamation contradictoire est engagée contre le Président Sassou et sa famille » ! Là est tout le problème et, l’on ne peut que constater la pertinence du recours que nous préconisions (dans notre précédente critique) à Gaston Bachelard, éminent philosophe, qui évoque les obstacles affectifs dans la connaissance objective. Car, c’est bien d’un antidote de cet ordre notamment qu’a besoin le politiste et l’éditorialiste. Bien empêtré comme il l’est, avec d’autres, dans l’affectif et autres intérêts louches, Lucien Pambou, membre du comité de rédaction de ‘Géopolitique Africaine’, la revue de Sassou-Nguesso sur la place de Paris, ne se rend plus compte qu’il se place aux antipodes de ce qu’il a défendu au sein du CRAN (en février 2005), et s’érige ainsi dans la position du défenseur de Sassou-Nguesso et sa famille, et donc bien comme théoricien du rôle positif de la dictature et du crime de masse spécifiquement au Congo! Qu’il n’est ainsi pas aussi candide qu’il veut y paraître !
Cher Lucien Pambou, votre contradicteur, qui n’inaugure pas son action, ses écrits à partir de la famille Sassou comme vous le pensez, et qui a été auparavant contradicteur du général Mokoko dans son « Congo.Le temps du devoir » en 1996[1], de l’écrivain, ambassadeur et porte-flingue (de Sassou) Henri Lopes en 1999[2], de Pierre Eboundit en 2010[3], du manipulateur et mercenaire juriste Bienvenu Okiemy[4], des théoriciens congolais de « la scission du Congo » en 2012[5], de l’amnésique et ministre-bis sous les transitions démocratique et autocratique Martin Mbemba[6] qui ne découvrait le banditisme et la pagaille au Congo qu’au moment de l’encerclement de son domicile en 2013, du situationniste politique Kignoumba-kia-Mboungou[7] en 2013, du juriste, universitaire et théoricien du coup d’État constitutionnel Placide Moudoudou et consorts[8], de l’universitaire et enseignant de philosophie Zacharie Bowao[9] en janvier 2015, du caméléon et expert du tango politique Martin Mbéri[10] en mars 2015, votre contradicteur disais-je, n’a jamais milité ou appartenu à une chapelle idéologique, politique, morale ou religieuse et ne se reconnaît que dans un seul parti, une seule personne, d’ordre moral, qui s’appelle LE CONGO !
D’esquisser les portraits et de tenter de décortiquer certaines dérives politiques, il s’inscrit là dans une démarche classique, très classique et contemporaine en sciences politiques et, pour cela, hissée au plan d’un grand chapitre en la matière, comme l’ont fait notamment les professeurs et politologues Pascal Perrineau[11], Laurent Cayrol[12], Pascal Boniface[13] ou, dans le domaine où vous officiez accessoirement, et parmi les plus connus, les journalistes Jean-Marie Colombani et Anne Sinclair[14] ! Et, de ne vous en être pas douté et d’aller chercher la petite bête plutôt vulgaire, dans ‘les états d’âme de Félix Bankounda Mpélé, l’empathie…les élites clanistes et tribales‘, j’ai été tenté de me demander, très sincèrement, quelles sciences politiques avez-vous faites ou enseignez-vous ?
Certainement pas celles du commun des politistes dont la particularité, à l’opposé des juristes et leur méthode, consiste à aller au-delà du texte et d’ausculter ou de décrypter les faits, les discours officiels et les structures pour rendre compte de ce qui n’est pas à la portée de tout le monde. Pour vous paraphraser, vous renvoyer la balle, c’est à cause des prétendues analyses et des positions comme les vôtres, faussement neutres, que les dictatures perdurent en Afrique, que la misère prospère, que des truands et piètres hommes d’État comme « le président Sassou » peuvent multiplier les coups d’État, piller, tuer et humilier à satiété des décennies durant, collectionner des constitutions, organiser des référendums et élections à huis clos et avec des blindés puis se frotter les mains en proclamant, de façon surréaliste, face au monde entier, que « la démocratie est en marche »…
En définitive, cher compatriote, le déni des faits et de la réalité n’a jamais été une méthode. Surtout pas en science politique.
Ni politiste, ni éditorialiste, ni Saint-Thomas, l’image et le résultat véhiculés par votre papier apparaissent comme ceux d’un individu se prétendant analyste mais qui n’a, jusque-là, pas réussi à se débarrasser – mais surtout de se rendre compte – du carcan subjectif dans lequel il est embourbé, et qui constitue un obstacle à cet exercice. Aboutissant ainsi, et paradoxalement, au fait que les analystes réels et objectifs deviennent péjorativement des ‘engagés’ ! Être analyste c’est aussi s’activer pour permettre un cadre sain d’exercice de la démocratie et des droits car, peut-on objectivement s’exprimer, analyser, débattre dans un contexte politique qui ne permet pas l’expression libre ? …En freinant un peu votre sentiment, vous avez une réponse sans équivoque conjoncturellement au Congo.
Sans polémiques, comme vous l’avez demandé, outillez-vous réellement comme politistes, et débarrassez-vous du carcan solipsiste et ‘mercenarial’ manifeste qui vous empêche de voir ce que le monde entier voit, ce que d’autres politistes et éditorialistes décrivent, pour nous permettre alors à tous, véritablement, un débat qui ne soit ni stérile, ni de la comédie politique, ni de l’autodérision…. Car, d’avance, votre contradicteur vous avoue ne pas être très doué dans le genre.
[1]« Un général pas comme les autres? A propos de ‘Congo. Le temps du devoir’ du général Mokoko », in Politique Africaine,1996, numéro 63, pp.150-151 et Journal (congolais) Le Temps, numéro 48, du 28 août 1996, p.11
[2]« Une élite malsaine : à propos des ‘confidences de son Excellence » Henri Lopès, septembre 1999
[3]« Autopsie d’une interview : réponse à Pierre Eboundit », en ligne, février 2010
[4]« Jusqu’où ira l’élite ‘mercenarisée au Congo? Curiosités politico-juridiques du Ministre Okiemy», mai 2012
[5]« Le sentiment régional…n’existe pas : réponse aux adeptes de la scission », juillet 2012
[6]« Une élite politique congolaise : du sempiternel tango politique à l’imbroglio et la disgrâce », août 2013, en ligne,
[7]« L’aveu : les propos édifiants de Kignoumbi-kia-Mboungou », août 2012
[8]« Passe-passe constitutionnel en Afrique : au Congo-Brazzaville, politiques et juristes ne savent plus à quel droit se vouer », octobre 2014, en ligne.
[9]« La résurrection de l’éthique de circonstance au Congo : à propos de la ‘Lettre ouverte au président’ de Charles.-Zacharie. Bowao », 27 janvier 2015
[10]« Dans l’engrenage du tango politique : l’ambiguë et obscure ‘Lettre citoyenne’ de Martin Mbéri », mars 2015 ; suivi de « Tango politique endémique : Martin Mbéri rejoint l’église du prophète-colonel Innocent Peya », janvier 2016
[11] Les comportements politiques , Armand Colin, 1992 (avec Nonna Mayer)
[12] Le grand malentendu. Les français et la politique, Paris, Seuil, 1994
[13]Les intellectuels faussaires. Le triomphe médiatique des experts en mensonge, Ed J-C Gawsewitch, 2011
[14]Notamment, Jean-Marie Colombani, De la France en général et de ses dirigeants en particulier, Paris, Plon, 1996 ; Anne Sinclair, Deux ou trois choses que je sais d’eux, Paris, Grasset, 1997
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LUCIEN PAMBOU RÉPOND A FELIX BANKOUNDA-MPELE
Monsieur Mpele,
Merci pour votre papier en réponse au mien sous le titre « le Président congolais (Denis Sassou Nguesso) relèvera-t-il les défis qu’il a fixés » publié dans le Huffington Post du 29 avril 2016.
Je vous remercie parce que, dans notre pays, nous n’avons pas encore l’habitude du débat contradictoire entre nous, Congolais, qui avons la prétention de nous caractériser comme intellectuels alors que chacun de nous n’avons pas encore une œuvre reconnaissable par d’autres.
Je vais tout de suite rassurer certain de mes compatriotes qui, me regardant comme éditorialiste sur Africa 24, peut-être à cause de mon aisance à l’antenne, ont pensé que je n’étais pas congolais : ils ont cru que j’étais gabonais ou camerounais. Je suis congolais, vili, de père et de mère, et né à Diosso au Congo-Brazzaville (Pointe Noire).
Je reconnais à mes contradicteurs la qualité de contradicteur utile comme je le fais ici et maintenant pour Monsieur Félix Bankounda. En revanche, à ceux qui me demandent de trahir mon intégrité intellectuelle et d’accuser sans preuve des présidents africains en exercice aux motifs que cela leur apporterait une aura pour leurs chaines de télévision, je dis non et vous comprenez pourquoi certains d’entre vous ne me voient plus sur Africa 24 en tant qu’éditorialiste, car je ne suis pas un traître et je n’ai pas la prétention de faire plaisir aux responsables politiques des médias qui m’emploient en critiquant les Présidents africains dont Denis Sassou Nguesso. Assez paradoxalement ces mêmes Présidents de chaînes qui me demandent de critiquer le Président Sassou sont largement rétribués par le Congo lorsque leurs chaînes font des reportages sur le Congo-Brazzaville ou couvrent des évènements concernant ce pays. J’ai un travail en France, j’ai passé des concours dans l’Education Nationale (ceux qui veulent les connaître peuvent fouiller ma bibliographie car elle est libre et ouverte), je suis fonctionnaire de l’Etat français. J’ai créé le CRAN (Conseil représentatif des Associations Noires de France) avec d’autres Africains comme Patrick Lozes franco-béninois j’y ai assumé les fonctions de Premier Secrétaire général. Je suis parti de l’organisation et les faits m’ont donné raison après, car je ne sais pas trahir, ni travestir la vérité. Lozes, à la tête de la direction, a perdu son poste et a été remplacé par Louis Georges Tin pour les raisons de trahison de la cause initiale pour laquelle nous avons créé le CRAN.
Cette mise au point faite, revenons à l’essentiel de l’apostrophe épistolaire de Monsieur Mpele.
Monsieur Mpele, vous avez raison de m’apostropher comme vous l’avez fait car nous traitons d’un même sujet, le Congo, Denis Sassou Nguesso et les pouvoirs politiques au Congo Brazzaville, mais nous n’adoptons pas la même méthode. Vous appartenez à l’élite engagée, vous êtes un intellectuel congolais engagé (même si, pour moi, les intellectuels africains appartiennent plus à la catégorie de manieurs d’idées, de mots et de paraphrases, sans en comprendre souvent le sens historique, situationnel). Vous dites que j’appartiens à la catégorie des théoriciens et militants du rôle positif de la dictature et du crime de masse. C’est une jolie formule de-contextualisée et sans doute apprise dans des bréviaires de tonalité marxisante, voire trotsky-léninistes. Je vous laisse le soin de me démontrer le contraire. Vous avez le droit d’attaquer le Président Sassou en fonction de vos lectures et de la problématique des biens mal-acquis, mais vous ne pouvez pas dire, comme auraient aimé certains responsables de la chaîne Africa 24, que j’accuse le Président Denis Sassou Nguesso sans preuves.
Vous êtes subtil car, sans le dire, vous insinuez dans votre réponse que c’est une faute politique de ma part car j’avais simplement dit, au cours d’une émission sur les biens mal-acquis, qu’il fallait laisser la justice faire son travail, et, pour l’avoir dit, vous m’assimilez aux hommes politiques français qui (je reprends vos mots) sont plutôt en faveur de la protection des dictateurs et présumés voleurs. Vous revenez ensuite sur l’affaire dite Panama-papers, qui n’a pas épargné ni le Congo, ni les proches du Président Denis Sassou Nguesso, ni son fils Denis Christel Nguesso.
Monsieur Mpele, je ne suis pas sur votre ligne intellectuelle qui est celle du militant engagé. Je suis un enseignant, éditorialiste, qui s’appuie sur des faits concrets, validés par la justice, avant de porter des accusations gratuites et toutes faites. Ne pas désigner le Président Sassou et sa famille sans preuves dans le domaine des biens mal-acquis comme dans celui des Panama-papers, est-ce devenir un traître à son pays, le Congo, et devenir complice des agissements du chef de l’Etat et de sa famille ? Soyons sérieux Monsieur Mpele, c’est avec des accusations comme les vôtres que le débat intellectuel ne peut pas s’organiser réellement dans notre pays, le Congo. Vous êtes trop dans une situation d’empathie, comme le sont souvent la plupart des élites africaines et surtout congolaise, clanistes et tribales, quand elles parlent de leur pays et du Congo dans le cas qui nous concerne vous et moi.
Ce qui m’intéresse Monsieur Mpele, au-delà de vos états d’âme personnels, c’est la situation du Congo au moment où je décris une situation. Il y a eu le référendum constitutionnel, l’adoption de la Constitution et l’élection présidentielle. Sassou a gagné les élections. Que puis-je dire ou faire, moi Lucien Pambou, en tant qu’intervenant dans l’espace politique intellectuel du Congo ? Je prends acte des résultats et je fais des propositions intellectuelles en matière de politique économique. Que dis-je ? « Monsieur le Président Sassou, après les infrastructures, voici venue l’heure de la construction du Congo sur le plan économique et social. » Vous dites que j’appartiens à la classe des rares économistes ou politistes congolais à croire à la main invisible et à penser que l’on peut encore penser que le Président Sassou peut tenir ses engagements. Vous me demandez d’être sérieux et honnête. Vous convoquez Bachelard pour approuver votre raisonnement que vous pensez scientifique dans sa démonstration, alors que le mien ne le serait pas. C’est dommage parce que la matière (la société congolaise) que nous traitons est sociale et humaine (et j’accepte de me tromper, ce qui n’est pas votre cas). Vous estimez que le peuple congolais doit trouver les moyens d’en finir avec Denis Sassou Nguesso, l’éternel despote.
Vous avez vos raisons, elles sont respectables, mais, comme je l’ai dit sur le plateau de l’émission de RFI sur le Congo Brazzaville avec Alain Foka (http://www.rfi.fr/emission/20160424-le-climat-post-electoral-congo-brazzaville) , je prends acte de la nouvelle République advenue après l’élection présidentielle et j’analyse les faits et les actes de cette nouvelle République sur une méthode de la Science politique qui tient compte des acteurs et des structures tels qu’ils se présentent à vous, et non d’une approche partisane. Si tel doit être le cas à l’avenir, je prendrais ma carte de militant dans un parti politique congolais reconnu par les structures de la République et je ferais la différence entre m’exprimer en tant qu’intellectuel (au sens de celui qui manie les idées mais pas qui a une œuvre derrière lui) et dire les choses en tant que militant engagé. Au fait, Monsieur Mpele, toute votre déclamation contradictoire est engagée contre le Président Sassou et sa famille. C’est votre droit, vous faites ce que vous voulez, mais à quel parti politique appartenez-vous ?
Lucien Pambou
Diffusé le 16 mai 2016, par www.congo-liberty.org
Monsieur Lucien Pambou aurait mieux fait de se taire plutôt que de nous pondre ce torchon de réponse. Que du verbiage creux ! Monsieur Pambou utilise le mode indicatif qui est celui de la certitude en écrivant : « Sassou a gagné les élections ». Peut-il apporter la preuve incontestée et incontestable de cette prétendue victoire ?
Le Congo meurt a cause de ses fameux intellos.Mr Denis Sassou a raison de dire que ne soyez pas complexes de ces intellos.J’ajoute qu’ils sont plus diplômes qu’intellos.
MONSIEUR LUCIEN PAMBOU n’est pas congolais , et encore moins vili .Car un intelletuel qui se veut respectable ne peut entretenir un flou artistique sur ses opinions aussi sociétales que politiques .
Vous voulez des preuves DES NGUESSO dans l’affaire de Panama paper .
QUELLE BASSESSE ,?
QUELLE MYOPIE ,,?
Voudriez vous que KIKI vous donne les preuves de toutes ces magouilles financières ?
AVEZ VOUS DES PREUVES DE La véracité des résultats accordant à SASSOU 60 % DES VOIX aux élections présidentielles CONGOLAISES ,?
Ne vous pas réveillez pas un bon matin pour vous réclamer de la nationalité congolaise .
Où étiez vous , pendant la période des turbulences , de changement de constitution de 2002 ?
Vous prétendez avoir des diplômes , pouvez vous nous livrer vos idées originales ,dans le domaine qui est le vôtre ?.
Avoir mille diplômes ne peuvent faire de vous , un intellectuel éclairé , souffrez que je vous dise que notre compatriote PATRICK TSENGUE TSENGUE vaut socialement ,économiquement plus que vous .Car vos diplômes n’ont jamais amélioré le sort de nos compatriotes restés au pays .
MERCI REPARTEZ AU GABON ;
lire;;;; intellectuel
LUCIEN PAMBOU souffre d’une petite vérole nguessionne .QUE NOTRE ALAIN NATIONAL lui prescrive un puissant antibiotique , pour qu’il retrouve ses esprits .
EH oui ce sont les effets de la vérole qui plane au dessus du congo brazza , ce virus sassouin qui contamine des pseudo intellectuels en mal de reconnaissance nationale et internationale .
Aaaaaahhh PAMBOU ! t’as honte ??? Vraiment
Un discours de masturbation intellectuelle au service de la nullité morale, philosophique, sociale, économique et idéologique.
Se taire, c’est aussi une GRANDE vertu intellectuelle. Avec l’avantage d’éviter le ridicule.
« Le sage sait écouter sans parler, l’idiot sait parler mais sans savoir écouter ».
Telle est la classification naturelle et humaine incontestable et indiscutable.
Mr PAMBOU,
Je comprends maintenant pourquoi vous avez été viré de la chaine Africa 24. Comme l’ont dit certains de mes prédécesseurs, avoir des diplômes ne fait pas de vous un intellectuel. S’exprimer en français ne fait pas de vous non plus un intellectuel. A vos yeux sassou n’est pas un criminel, voleur et dictateur. Souffrez que les autres vous dises le contraire. Parce qu’en ce moment les populations du Sud du Congo en particulier celles de la région du Pool sont entrain de vivre un véritable cauchemar par la milice de sassou. Sassou est une petite vérole double d’une incompétence sans égale qui a précipité le Congo dans les fins fonds des ténèbres. A l’avenir Mr PAMBOU arrêter de venir nous raconter vos inepties.
M.PAMBOU, quand je vous suivais sur Africa 24, j’étais fier un peu de vous en tant que sois disant Congolais. Mais une fois, sur invitation de M. 8%, en compagnie d’une vieille blanche, vous avez raconté des balivernes sur Télé foufou au sujet des biens mal acquis. C’est en ce moment j’ai commencé à découvrir votre vrai visage, celui d’ennemi du peuple. Apprenez à vous taire même si sassou vous donne de l’argent pour le défendre. A votre âge vous ignorez que Sassou est la source de malheur des congolais?
Je vous cite Mr PAMBOU vous dites
» peut-être à cause de mon aisance à l’antenne » ceci un peu prétentieux il me semble.
Il est tordu ce mec Pambou, qui aurait mieux fait de se taire, plutôt que de venir se livrer à un numéro d’équilibriste mal assimilé.
Un éditorialiste sérieux se renseigne et se documente avant d’aborder un sujet face au public.
Si, tous les journalistes ou éditorialistes attendaient les conclusions des tribunaux pour prendre position sur des faits de société, il n’y aurait plus qu’à recruter des lecteurs décisions des juges.
C’est vraiment minable de vouloir vendre sa posture d’intellectuelle africain pour aller cautionner indirectement des crimes dont on peut facilement vérifier la réalité, quand on est réellement congolais.
Quand on est incapable de faire des investigations avant d’aborder un sujet, on ne improvise pas éditorialiste.
Mr. Pambou
Vous êtes à plaindre !!!! Et le jour où le pays sera au fond du trou, vous diriez que « vous n’etiez pas là … ».
Pauvre mesquinerie.
Lucien Pambou fait parti des mauvais, de ses ordures intello-journalistes de merde ou de basse servitude aux tyrans africains. Lucien Pambou est l’incarnation du mal intellectuel congolais, le Congo qui arrive ne veut de ces gens là de type T.Obenga, et autres ordures du nord au sud et de l’est à l’ouest. Je t’emmerde ordure de Lucien Pambou, le cheval de Troie des nguesso et du syndicats des dictateurs d’afrique francophone. la prochaine fois, je vous rencontre n’importe où je cracherai sur toi, merde, merde, merde, enculé, enculé, va t’excuser à oyo, merde, on t’aura bientot, merde
Monsieur Lucien PAMBOU
Quel dommage, moi qui vous prenait pour un éditorialiste engagé et sérieux dans vos analyses sur Africa-24. Mais, tout compte fait, vous n’êtes qu’un piètre personnage à la recherche certainement d’un poste au CONGO-BRAZZAVILLE. Comment pouvez-vous dire que Sassou a gagné les élections, alors que nous savons tous que monsieur BOUKA ( pseudo président de la CENI ) et le président de la cour constitutionnelle ( illégale actuellement car non renouvelée depuis un certain temps ) ont proclamé les faux résultats sous la pression des armes, car leur vie en dépendait. Alors, pour votre gouverne, nous avons aujourd’hui au CONGO un président illégal et un gouvernement illégal. Donc, arrêter de dire que vous prenez acte de je ne sais quoi.
A bon entendeur, salut !
Il est vraiment culotte ce PAMBOU. Comment peut il affirmer sans sourciller que sassou a gagne des elections? Alors que meme mboulou est incapable de le prouver au point de proclamer les faux resultats a 3h du matin a l’heure dite des sorciers, lui Pambou, le cousin de Poaty Pangou n’a pas honte de faire la propagande de Mr. 8%.
PAMBOU, ne reviens plus raconter des betises ici, contentes toi de l’argent recu et continue a faire campagne pour sassou. Pour ton information puisque tu sembles l’ignorer, sassou n’a obtenu que 8% lors de l’election du 20 Mars passe, il s’est autoproclame vainqueur avec 60% en pleine nuit. Il n’y a que toi qui n’es pas au courant de cette forfaiture.
En lisant tout ceci, PAMBOU ne hasardera plus à venir raconter des bêtises ici
Chers internautes,
Nous sommes dans un débat d’idées et contradictoire.
Tout propos injurieux contre l’auteur ou xénophobe sur la nationalité sera supprimé.
Soyons tolérant.
Pa mbou ……..completez le reste que les esprits des victimes du congo localisent le clan sassou et nguesso sans epargner pa mbou
CHER WEBMASTER , POURQUOI ETRE INDULGENT ENVERS DES GENS QUI MARCHENT SUR LES SOUFFRANCES DE NOTRE PAYS ,?
Un intellectuel est une personne dont l’activité repose sur l’exercice de l’esprit, qui s’engage dans la sphère publique pour faire part de ses analyses, de ses points de vue sur les sujets les plus variés ou pour défendre des valeurs, qui n’assume généralement pas de responsabilité directe dans les affaires pratiques, et qui dispose d’une forme d’autorité.
Qu’en pensez-vous, Monsieur Pambu ?
Quelles valeurs défendez-vous ?
L’activité de l’intellectuel doit-elle se limiter à relater mécaniquement les faits tels qu’ils lui sont présentés ou a-t-il l’impérieux devoir de les interpréter après contextualisation ? La noblesse de sa contribution au débat public se définit dans sa capacité à enrichir, par ses analyses, les faits livrés pour en restituer les impacts socio-économiques et faire progresser ainsi la conscience nationale, nécessaire au moment des choix politiques importants et déterminants. Il ne doit pas être un perroquet qui restitue les faits sans prendre la peine d’y apporter un éclairage contextualisé.
Tout le monde sait que les institutions congolaises ne sont pas l’émanation de la volonté du peuple souverain. La démonstration en est faite tous les jours à un point que même les observateurs extérieurs en donnent une appréciation très mitigée. Ce postulat admis, comment pouvez-vous valider toute décision édictée par ces institutions en affirmant que Sassou a été élu. Il vous est difficile de faire un effort d’appréciation des conditions dans lesquelles se sont déroulées ces élections. Vous êtes un homme du monde de la communication, pouvez-vous comprendre que l’on plonge un pays en plein 19e siècle (sans téléphone, sans moyens de communication dignes de ce nom) pendant plus de 3 jours ? Comment appréciez-vous le fait que l’on puisse proclamer des résultats nuitamment concommittamment avec le déclenchement des évènements dans certains quartiers de Brazzaville sans chercher à établir ou analyser les conditions de cette simultanéité, Monsieur l’éditorialiste ? Vous affirmez un fait, Sassou est élu, alors que tout montre que cette élection recouvre des zones d’ombre qui doivent nous interpeler. Que vous renvoie ces cris des opposants embastillés, ces populations que l’on bombarde pour vous projeter directement dans le futur sans prendre le temps d’en saisir la raison profonde. Vous êtes dans la cité, donc témoin de tous les malheurs que ce peuple endure, votre conscience ne vous interpelle-t-elle pas pour essayer d’en comprendre la cause ? Déroulons le programme gouvernemental en ciblant des perspectives d’application, il n’y a rien à voir. Tant pis pour tous ces indigents que l’on torture, brime et tue, « ite missa est ».
Une chose est surprenante. Pourquoi n’exposez-vous pas, vous l’effleurez un peu, les conditions dans lesquelles vous n’êtes plus éditorialiste à Africa 24 ? L’éditorialiste est la personne qui écrit des textes d’opinion sur l’actualité ou sur des questions de société. Comme son nom l’indique, un article d’opinion exprime un avis sur un sujet important. L’éditorial est donc l’expression de l’orientation politique (au sens large du terme) du média. Dans votre argumentaire, vous semblez vous attacher aux faits et seulement aux faits sans chercher à les restituer dans leur contexte. C’est le cas de « Panama papers », des « Bien mal acquis » et de l’élection au Congo. Savez-vous que, suite à la publication des « Panama papers », certains chefs d’état ou de gouvernement ont jugé utile d’aller se justifier devant la représentation nationale ? C’est le cas de David Cameron. Ce n’est donc pas une mince affaire. Quelle est donc votre valeur ajoutée dans les éditos dont vous avez la responsabilité ?
Une petite leçon. Entre nous, ce n’est pas parce que la cour constitutionnelle a proclamé Sassou vainsqueur que c’est la réalité politique. Un petit effort de dépassement intellectuel, vous comprendrez que toute affirmation n’est pas vérité.
Vous oubliez que M. Lucien Pambou est de Diosso, Pointe-Noire, il l’a declare en toute conscience. Or, Tchibota Sassou Antoinette est de Diosso. Vous ne voyez pas le lien tres visible entre M. Collinet Makosso, M. Pambou, Mme Tchibota-Sassou et Sassou Nguesso. Vous avez pour cela besoin de passer comme M. Pambou, un concours de l’education nationale en France, pour bien enfumer le Congo et les Congolais.
Une seule chose à Pambou le dangereux, subtil profiteur aux côtés du tyran, il faut te taire, un point c’est tout !
A dire vrai, tu es journaliste, mais la forme et le fonds de texte ne valent en rien les écrits structurés de Mpele.
Le pays souffre de la dictature, des assassinats depuis des lustres, es-tu sur Mars pour ne pas voir que chaque journal sérieux qui sort en Europe, ne manque pas de parler des malversations de Ebata (182,000 euros avec lui en cash à Roissy), de Kiki Le con devenu Kiki le voleur du pétrole ou Kiki le pétrolier , les biens mal acquis en France, tu parles de quelles preuves, merde !!
A t’entendre, tu pourrais un jour dire aux parents des 353 disparus du beach que leurs enfants ne sont pas morts, Sassou les a envoyés étudier sur la lune.
Pambou, un conseil, IL FAUT TE TAIRE. TU N’AS PLUS D’ETHIQUE. C’est ça Sassou. Ce n’est pas grave, tu rejoins Tsaty, Mpouélé, Moungalla le péroquet, les journalistes de télé foufou, Parfait Kolelas, aussi on dirait, il entretient tellement le flou. Bref tu rejoins les compatriotes qui ont opté pour le nguiri, l’argent du peuple…. Pourtant tu pouvais résister, à voir ton statut. Tu as pris ta part du sang des martyrs congolais, je t’informe que ça pèse très lourd, très lourd mon cher Pambou. Tu verras bientôt les effets….
Ce Pambou est simplement un corrompu, que veut-il comme preuves pour condamner Sassou ?Le pétrole Kongolais est geré par kiki fils de son père,l’armée est devenue une milice privée mbochie.Depuis l’avènement de sassou au pouvoir subit génocide sur génocide . Du moment où les Vilis ne sont pas touchés, lucien Pambou ne trouve aucune preuve pour condamner ce fils de satan .Lucien Pambou est un intellectuel, qu’a-t-il déjà écrit ou publié ?
Le Pool subit génocide sur génocide
Croyez-moi, les ordures et autres boiteux qui se disent « éditorialistes, enseignants » pour défendre leur pain gagné au prix de multiples compassions corruptives du model Sassou, vous en trouverez a la pelle – même a la brouette.
A quoi bon de répondre a des énergumènes pareils qui n’ont rien d’honnête que le mot prononcé du bout de leurs lèvres? C’est peut être parce qu’a certain moment la nécessite oblige.
» Je suis un enseignant, éditorialiste, qui s’appuie sur des faits concrets, validés par la justice, avant de porter des accusations gratuites et toutes faites. »… fin de citation.
De quelle justice faites-vous allusion Mr. Pambou? Est-ce de la justice libre ou bien de celle de votre Sassou?
Si c’est de celle de Sassou, permettez-moi de prendre un exemple pour exposer au clair votre « brillante logique » d’ » enseignant, éditorialiste », afin de vous faire savoir et comprendre combien de fois vous êtes confus: le procès au Congo des disparus du Beach.
Sans aller loin, au regard du verdict prononcé, selon donc Lucien Pambou et selon sa logique de fameux « éditorialiste, enseignant », il n’y a pas eu des disparus du Beach. Il y a eu des morts ou des disparus, mais sans assassins… Pas d’assassins du tout… Ils se sont fait simplement Hara-Kiri eux-mêmes quelque part dont on ne sait où avec assurance.
(voir en référence le verdict de la cours de justice du président de Lucien Pambou, Denis Sassou Nguesso, qui stipula qu’il pouvait y avoir eu quelques morts et quelques disparus, mais sans assassins; d’ou s’en suivi la libération totale des sieurs Dabira, Denguet, et autres)….
Alors Mr. Pambou, si vous vous basez sur des pareilles validations d’une justice comme celle des Nguesso, vous allez bientot nier meme votre propre mere. Car la justice des Nguesso est capable de demontrer qu’elle ne vous a jamais enfantee par exemple…
Cher bon Monsieur « éditorialiste, enseignant »,
Il se dégage aisément que dans votre conscience d’ » enseignant, éditorialiste », comme vous-même le savez bien, Sassou vous habite. Sassou vous lorgne. Sassou vous hante. Sassou est votre mal. Et que si vous le « dorlotez » ce n’est qu’a cause de vos besoins de satisfaction égoïstes.
C’est tout simplement lamentable Mr. Pambou… pardon, Mr. « éditorialiste, enseignant ».
KOO’ NGOH
Merci à Mpele pour avoir écrit ce qu’il a écrit. Merci également à notre honorable et très respectable écrivain, toi qui fais honneur aussi bien au Congo qu’à notre Afrique, toi Alain Mambankou, merci infiniment, j’avais personnellement et ardemment demandé cette intervention. Le camp du tyran est très appeuré lorsqu’un congolais de ton rang prend la parôle sur les grands médias, il n’y a qu’à voir la valse surchauffée des réations. Parce que quand c’est Alain, l’écho est FORT, il faut vite apporter un démenti, une réponse, même si elle est boiteuse.
Sassou aime les médiocres, tout comme les médiocres aiment le tyran, on voit bien comment tous se débrouillent, rien de structuré. Ils étaient lamentables durant les émissions de Africa 24 pendant les semblants de compagnes électorales. Un défenseur féru du pouvoir à court d’arguments devenait incontrolable, n’ayant pas l’habitude de la contradiction, s’est vu la parôle arrachée, et partant, toute l’émission fut intérrompue.
N’arrêtons pas les appels à l’endroit de la France, des USA, de l’Union Européenne, du Canada, etc., les résultats sont déjà visibles. Ne laissons pas le tyran réaliser son projet lugubre de faire du Congo une monarchie, avec pour monarque, le plus idiot, le piètre de ses nombreux rejetons, j’ai cité Kiki, bien rodé dans le vol et les détournements. Sassou est-il vraiment congolais??? Quel cynisme ???
Merci Mille fois à Alain, merci mille fois à Mpele. La lutte continue, nous sommes derrière J4M, derrière vous.
Monsieur Pambou, vous êtes bon pour la casse. Des Congolais souffrent, meurent dans des hôpitaux devenus des mouroirs parce que sassou et son clan volent, pillent les deniers publics, ces voleurs d’une autre ère qui s’adonnent à des crimes économiques et de sang, construisent, achètent des maisons au su et au vu de tout le peuple Congolais, et vous voulez des preuves. Pauvre intello.
Circulez dans Les grandes villes du Congo, (Brazzaville, Pointe-Noire, Dolisie, Owando, …) vous n’avez pas du mal à percevoir la misère des Congolais, et vous attendez encore des preuves ? Vous êtes bon pour le garage.
Les routes des villes du Congo ressemblent à un pays en guerre, l’eau et le courant est presqu’inexistant, vous voulez des preuves, nom de dieu.
Monsieur Pambou, la bouche qui mange ne parle pas. Si vous avez mangé l’argent de petit satan, alors buvez et taisez-vous.
A Mr Lucien Pambou :Là où la vérité n’est pas libre penses tu que la liberté peut être vraie?
Lucien Pambou,
En vous lisant ce que j’ai vu c’est un homme très mal à l’aise intellectuellement au point d’écrire pour ne rien dire. je constate aussi que vous êtes en lutte avec ce qui vous reste de conscience. Je vois un homme qui a de la difficulté à se raser, car insatisfait de l’image que lui renvoie le miroir.
La seule chose que j’ai trouvé constant chez vous c’est votre malhonnêteté intellectuelle.
Oui, intellectuellement vous êtes demeuré malhonnête, car lhonnêteté intellectuelle vous aurait poussé à nous dire que vous êtes membre du comité de rédaction de la revue géopolitique africaine, laquelle revue est la création de sassou. Cet aveu ou cette annonce devait être l’introduction de votre article. Ainsi, le lecteur aurait su à qui il avait affaire. Malheureusement, vous avez intentionnellement occulté cette vérité pour mieux mentir.
Voici ce qu’on peut lire sur le site géopolitique africaine :
Une équipe de direction internationale
– Henri Lopes (Ambassadeur du Congo en France) : président et directeur général de la revue.
– Henri Ossebi (Ministre de l’Énergie et de l’Hydraulique du Congo) : vice président
– Frédéric Nze (PDG de OAKAM) : secrétaire général
– Patrick Wajsman (Fondateur de la revue Politique Internationale) : président du comité éditorial.
Frederic Pons : directeur des rédactions
– Maryse Henry : directrice de la communication
– Marc-Antoine Zang-Atangana (PDG de MAZA eXclusive IT) : directeur du dévelopement numérique
– Lucien Pambou : Membre du comité de Rédaction, Pr de sciences économiques.
Lucien Pambou, vous êtes sur ce comité avec les sassouistes maloukou lopes henri, Henri ossebi, et Frédéric nzé – le fils de Pierre nzé.
Tu allégues analyser la société congolaise comme un intellectuel. Lucien Pambou, si vous êtes un intellectuel, vous êtes censé savoir que tout travail dans le domaine des sciences sociales s’inscrit toujours dans un contexte précis que l’auteur se doit de restituer avant de livrer ses constatations et faire des recommandations.
Une question pour vous: dans quel contexte ce sont déroulés les différents tests électoraux organisés par sassou? Pourquoi ne faites-vous pas référence à ce contexte dans vos articles?
Lucien Pambou, vous avez des diplômes , certes; mais vous n’êtes qu’un mercenaire de la plume au service de sassou et de sa kleptocratie. C’est ce qui explique votre présence au comité de rédaction de géopolitique africaine, la revue créée par sassou.
Pour finir, Lucien Pambou ce que mondafrique ecrivait sur géopolitique africaine:
» La revue de Sassou N’guesso décapitée
Par La redaction de Mondafrique – 23 août 2015
Nommée il y a à peine deux mois rédactrice en chef de la revue trimestrielle Géopolitique africaine, entièrement financée par le président congolais Denis Sassou N’guesso, la journaliste Sabine Sessou, par ailleurs collaboratrice de Rue 89 et de Afrique Magazine, a jeté l’éponge en juillet dernier. Selon nos informations, des divergences l’ont opposée à d’autres responsables de la revue, largement diffusée gratuitement, au sujet d’un article du philosophe camerounais Achille Mbembe critiquant « les dictateurs africains ». Certains membres de la rédaction y ont vu une attaque indirecte contre le président congolais, qui cumule près de 30 années au pouvoir, et ont censuré l’article. Une décision qui a provoqué la démission de la toute nouvelle rédactrice en chef. »
Alors Lucien Pambou, qu’en dites-vous ?
Lucien Pambou, à vous lire, je me dis qu’il est encore préférable d’entendre le griot de la nouvelle ripoux-blique, Thierry Moungalla le valet de son maître, au moins lui on peut lui attribuer le mérite de ne pas avancer masqué contrairement à ce que vous faites.
Un éditorialiste a pour mission de réagir sur des questions d’actualité ou de société par une analyse des événements s’appuyant sur un travail de recherche.
Un éditorialiste n’a pas vocation à attendre des décisions de justice pour se forger une opinion ou provoquer le débat.
Vouloir s’abriter dernière l’absence de preuve pour formuler une critique sur un pouvoir faisant l’objet de plusieurs faisceaux d’indices concordants permettant de mettre en cause sa responsabilité dans des crimes économiques ou de sang, c’est soit jouer le rôle de nègre de maison, soit être un piètre économiste.
Autre incongruité, pour ne pas dire stupidité, il écrit ceci :
#Que puis-je dire ou faire, moi Lucien Pambou, en tant qu’intervenant dans l’espace politique intellectuel du Congo ? Je prends acte des résultats et je fais des propositions intellectuelles en matière de politique économique. Que dis-je ? « Monsieur le Président Sassou, après les infrastructures, voici venue l’heure de la construction du Congo sur le plan économique et social. »#
Comment une personne qui se dit économiste peut distinguer la construction des infrastructures de la construction économique et sociale, et ceci après plus de 32 ans de règne et des slogans du genre autosuffisance alimentaire, santé pour tous, municipalisation accélérée, émergence d’ici 2025 sans diversification de l’économie…
Foutaise diraient les ivoiriens.
Un économiste qui n’est pas capable de faire un bilan de l’action économique, ainsi qu’une projection en tenant de la capacité d’action d’un système mafieux, nous donne l’impression d’un enseignant qui va réciter des cours devant les étudiants, sans en connaitre la portée.
Parler d’infrastructure dans un pays où vous avez, en ce moment même, plusieurs arrondissements où il ne coule aucune goute d’eau des robinets depuis plusieurs semaine, où les hôpitaux sont devenus des lieux d’euthanasie ou d’accompagnement à la mort…si ce n’est pas faire l’éloge de la corruption et de la gestion hasardeuse de la chose publique, alors, ce Pambou-la va révolutionner les sciences économiques.
Pour faire une petite leçon à celui qui se vente d’être l’incarnation de l’éloquence, la construction économique et sociale dans une économie mondialisée ne peut être efficace que dans un cadre réunissant les conditions suivantes :
– Stabilité politique
– Productivité du travail
– Formation de la main d’œuvre en rapport avec les enjeux et les secteurs de développement du pays
– La lutte contre la corruption, la transparence dans la gestion et la mise en place des organes indépendants de lutte contre la fraude et l’évasion des ressources financières d’un État fonctionnant sous forme d’économie de rente.
Une fois ces conditions réunies, il est possible d’attirer des investissements directs étrangers qui sont les principaux moteurs de l’émergence des pays dont le système économique est basé sur la vente de produit primaire ou matière première.
Ce schéma aussi simple, dont on peut analyser l’application dans le cas du Congo, est d’un niveau des cours d’économie du lycée.
Si monsieur le professeur intello croit que des gens qui ont des comptes à rendre sur les multiples citations dans les scandales financiers à travers le monde, seraient capables de miracles sous le slogan de la nouvelle république, je crains qu’avec ce genre de propagandiste déguisé de la dictature, « l’Afrique ne puisse jamais renter dans l’histoire ».
Même dans des pays les plus avancés après une élection, des éditorialistes, pour ne pas dire les économistes s’interrogent sur la capacité d’appliquer un programme politique en tenant compte de tous les paramètres.
Il en est de même les étudiants de première année en sciences économiques qui doivent déjà avoir entendu parler de cycle politico-économique.
En plus, comment peut-on se vanter d’être à l’origine de la création du CRAN, tout en étant indifférent aux injustices du Congo ou à la mbochisation du pouvoir qui semble ne pas éveiller l’esprit militantisme de notre économiste talentueux et fonctionnaire français, qui se dit tout de même préoccupé par la situation du Congo ?
A QUAND LE CONSEIL REPRÉSENTATIF DES VICTIMES DE LA MBOCHISATION ?
AH CE PAMBOU-LA…
Si s’etait un intello-économiste comme il le prétend ça se saurait. C’est des des gens qui gravitent autour du pouvoir en espérant qu’ils soient nommés á des postes des responsabilités pour » boukouter »
Franchement, ne lui accorder aucune importance. C’est gênant parce qu’il parle sur F24. C’est un tam-tam.
Vous savez, chez les vilis il y a un problème : on ne sait pas quand ils sont francs et quand ils mentent. Cet « équilibrisme » fait d’eux des gens dont il faut se méfier. Les mbochis aiment bien des gens comme ça. C’est pas pour rien qu’ils laissent l’argent de la principale production du Congo leur filer entre les doigts au profit d’Oyo.
MONSIEUR PAMBOU ENTRETIENDRAIT LE FLOU QU’IL NE S’Y PRENDRAIT PAS AUTREMENT.
PAMBOU , quand kiki vous aura donné les preuves de son pillage des finances publiques , vous nous ferez signe .
Vous êtes économistes , et vous ignorez royalement les conséquences dramatiques d’un excès d’homo -économicus ,sur la gouvernance financière d’un pays .
L’intelligence a horreur de la flatterie ,car elle est fondamentalement incorruptible face aux tentations diaboliques de toutes formes .
Se coucher devant des évidences irréfutables , vous déplume de toutes vos qualités d’homme supposé cultivé .
Dans cette affaire , vous avez perdu les reste de votre sève intellectuelle , après votre éviction de FRANCE 24 , où malheureusement ,vous avez brillé par des éditoriaux surréalistes et par des copie coller .
La posture alimentaire dont vous avez drapé vos analyses sur la mal gouvernance de SASSOU achève votre descente en enfer .
Vos cours d’économie doivent sûrement en pâtir .
Monsieur Pambou, TAISEZ-VOUS
A monsieur Pambou
Bravo! Pour votre ténacité et votre engagement. Mais, surprenant est tout de même votre conviction que dans la vie, ce qui compte, c’est le résultat; la manière dont on l’obtient, n’a pas d’importance. C’est ce que je retiens de votre réponse ou mise au point. Ainsi, ceux qui contestent la présidence de sassou nguesso ont tort, parce qu’il s’est proclamé président…
Vous affirmez que vous êtes enseignant. Ma question est: que ferez-vous d’un élève fraudeur ? pensez-vous qu’il puisse y avoir de fraude?
Vous allez dire, qu’il faut la preuve. On est d’accord avec votre démarche de recherche de preuve, à condition qu’on laisse la possibilité de cette recherche. En fait, dans votre raisonnement, vous essayez de vous retrancher dans l’indicible, comme dans le cas d’un viol, la victime se bat à le prouver et que la justice parfois rechigne à accepter les faits.
Donc pour vous, la coupure des communications, les interdictions, menaces et séquestrations des opposants et des candidats à l’élection, ne peuvent constituer des preuves de l’irrégularité d’une élection ? Ne voyez-vous pas que c’est vous qui devrez apporter la preuve que sassou nguesso a été réélu président, que le contraire.
Je suis désolé… Vous n’êtes pas au Congo, même si vous êtes né vili, à Diosso. Et dommage que vous prenez partie avec autant de détermination pour quelqu’un qui ne vit pas la réalité sur le sol congolais. Et je me dis, pourquoi avez-vous choisi l’exil au lieu d’enseigner les petits Congolais qui ont tant besoin de ça? Viens au Congo, et quand vous aurez touché le salaire de l’enseignement ici, vous aurez le droit de vous immiscer dans la définition de la pratique économique… Sinon, laissez nous tranquilles.
Chers compatriotes VILIS , il vou faut inventer un NTUMI vili , pour troubler l’aisance financière dont se gaussent les mbochis .
Votre attitude mollassante et conspirative envers les agissements des mbochis sur le produit de richesse venant de votre territoire , est plus que stupéfiante .
Quand allez vous , vous réveillez pour hauuser le ton acariâtre , contre ces gens qui agissent comme des prédateurs étrangers sur votre territoire ,?
Voilà un PAMBOU supposé cultivé , qui est carrément myope sur le pillage des richesses dont une grande partie provient de la région à laquelle il est supposé appartenir .
C’est terrible , le MONSIEUR demande des preuves du pillage , pour qu’il se convainque de la réalité du désastre financier dans lequel se trouve notre pays .
VILIS , REVEILLEZ VOUS ,.
Et ,surtout trouvez vous un NTUMI REVENDICATIF ;
Est ce que le fait d’avoir vu les premiers blancs , vous a t il condamné à la poltronnerie ?
Vous ne serez point des tchimbambas .
LIRE….. VOUS faut ,,,,, et pour hausser sur le ton acariâtre .;;;;;
Au moment où on abat cet ovni de PAMBOU venu de MA LOANGO BEEK , on ne voit point la présence d’OYESSI , pour parachever ce travail de destruction systématique des fanatiques comploteurs des suceurs de sang et des richesses de notre pays .
Comment les vilis peuvent être passifs dans l’action et actifs dans l’admiration des crimes économiques qui se déroulement sur leur territoire , sans tousser .
QUESTION ;
D’où vous venez vous ?
Quand à PAMBOU et autres gangrènes .
Ce genre de champignons , vénéneux seront systématiques détruits , pour ne pas laisser propager leurs venins contre notre pays .
Nous y veillerons , cher WEBMASTER de grâce , laissez nous , nous exprimer ;car notre colère est à la mesure de notre désarroi national .
Pas de pitié , pour des provocateurs complices , qui salissent notre peine nationale.
MOI , personnellement , je souffre au point de mal dormir à cause du sort que subit notre pays .
Merci .
LIRE ;;;D ‘où venez vous , je suis tellement en colère que je suis parfois contraint à m’y prendre par deux fois .
Je suis d’accord avec le webmaster qu’il ne faut pas lancer d’insultes mais franchement je trouve
nos amis très polis.
En effet cet individu nous prend pour des cons et je suis fou de rage de voir des pseudos intellectuels mentir comme des arracheurs de dents.
Franchement nous n’avons plus à lire de telles torchons comme celui-là.
Qu’il aille publier ses mensonges dans la pravda de Brazzaville.
Je rappelle que les congolais n’ont pratiquement aucun moyen d’expression démocratique.
Je préfère lire de petites gens sans expérience politique et qui peuvent commettre des erreurs
plutôt que des types comme Pambou qui sont le déshonneur du Congo.
Monsieur Pambou, que vous soyez , bomitaba, vili, mbochi, bembé, kouyou, de mère ou de père, on s’en fiche. Que vous parlez de votre aisance à la télé, on s’en fouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuut
Je demande à notre très respecté frère Bakounda Mpélé que nous avons souvent le plaisir de lire, de pas répondre à ce torchon qui est plutôt dans le style des dépêches d’Oyo destiné aux « Troubadours ».
Nous nous en chargeons comme il faut pour que M. Mpélé se concentre sur des sujets qui nous édifient à travers ses articles.
Nous lisons dans l’article ci-dessus:
« Je suis un enseignant, éditorialiste, qui s’appuie sur des faits concrets, validés par la justice, avant de porter des accusations gratuites et toutes faites. »
Quand on a affaire à une personne qui se dit enseignant chercheur et se trouve en incapacité de distinguer une analyse et une accusation, ce n’est ni plus ni moins que de la pitrerie.
A ce sujet, nous aimerions bien savoir ce qu’il a eu à trouver dans ses recherches, si ce n‘est du copier-coller.
Le plus marrant pour un chercheur, il écrit :
«… j’analyse les faits et les actes de cette nouvelle République sur une méthode de la Science politique qui tient compte des acteurs et des structures tels qu’ils se présentent à vous… »
Peut-on analyser et comprendre un pouvoir dictatorial, dont les principaux leviers sont tenus de façon opaque, par un clan familial ou tribal, avec l’approche des « acteurs et des structures tels qu’ils se présentent à vous ».
Est-ce que le rôle d’un chercheur n’est pas celui de décrypter ce qu’il peut y avoir au delà ce qui se présente à nous ?
Une structure, comme des acteurs politiques, sont des composants d’un système qui ne peut être analysé et compris, sans la prise en compte des approches rétrospectives et prospectives, tel que le cas du Congo.
Lorsque l’on prend acte d’une forfaiture et que l’on veut se projeter sur une construction économique et sociale, il convient de commencer par diminuer la dose de substances hallucinogènes, alcooliques ou fétichistes attachés dans des nguiris qui vous perturbent l’esprit.
J’avais eu, par hasard à écouter ce Pambou sur un plateau de télé, jusque quelques secondes avant de zapper, dès que je me suis aperçu avoir affaire à un savant de bistrot.
Et, depuis, c’est la première fois que je me suis permis de le lire pour essayer de savoir ce qu’il avait dans le ventre.
Et la, je tombe une fois de plus des nu.
Mais ce Pa-mbou-la se laisse pénétrer par un esprit de paresse qui inhibe ses facultés de transcendance.
https://youtu.be/iTMFT1wZJiA?t=17
MME SIASKA DE LANG DIPLOMATE DE L’ UE JUGEE PERSONA NON GRATA .LE CONGO DE SASSOU VEUT SON RAPPEL;
L’ UE COGNE MIEUX QUE LA FRANCE.
Que le webmaster nous excuse de quelques moments d’égarement suscités par des hommes comme Pambou qui n’ont peut-être jamais été victime de pillage du patrimoine commun au Congo, perdus des parents, amis et connaissance tel nous autres, sous le règne du sinistre monsieur 8%.
Pour faire une digression, L. Pambou, qui ne doit pas les avoirs bien suspendus, me rappelle une anecdote d’un homme cocufié et alerté par un ami de la présence de sa femme dans une chambre d’un « mini-hôtel » de Brazza avec un amant.
Le mari courroucé se rendit devant la chambre d’hôtel pour faire le guet.
A la sortie des deux amants, le « présumé cocufié » demanda à sa femme ce qu’elle faisait avec un inconnu dans une chambre d’hôtel.
Celle-ci lui répondit qu’elle se faisait « draguer » et qu’elle avait laissé le temps à la personne de s’exprimer, sans céder à ses avances.
La victime cocufiée, disciple de saint Thomas comme Lucien Pambou, crut en sa femme sur parole, en l’absence de preuve de partie de jambe en l’air.
Ils continuèrent tous leurs aventures comme si rien ne s’était passé.
Je me demande ce que penserait les étudiants de notre professeur chercheur si, ses étudiants, en « googlelisant » tombaient sur ses frasques cybernétiques de négationnisme ?
Et, pourquoi ne pas répondre sur le fond, en venant nous parler « d’origine vili, d’enseignant chercheur, de grande éloquence…????
Et, il nous parle d’infrastructures:
https://youtu.be/slsrSGP7jNc?t=5
« Disparus du Beach » de Brazzaville : les familles suspendues à la poursuite de l’instruction française
(Article lemonde.fr 17.05.2016)
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/05/17/disparus-du-beach-de-brazzaville-les-familles-suspendues-a-la-poursuite-de-l-instruction-francaise_4920787_3212.html
Les Diplomes de france? Vos diplomes de france n’ont pas de valeur. La majorite des pays africains qui parlent le francais a la tete de leur pays sont des diplomes de france mais est ce que vous ne vous rendez pas compte que les colonies qui parlent francais en Afrique sont les pays le moins avances dans tout le plan que ce soit l’economie ou autre secteurs. il faut avoir honte de parler des diplome de france. Quel sont ces diplomes? C’est les diplomes en philosophie, Droit, Francais, Histoire et geography. Meme les francais ne sont pas des bons en Mathematiques car les meilleurs Mathematiciens en Afrique sont les Zimbabweens et les Nigerians. Vos diplomes de france nous font honte. Regardez comment est Brazzaville et pointe noire ce que les diplomes de france ont rendu ces villes en bidon ville tres sale. Vous vivez en france mais meme copier coment ces francais font pour l’assainisement de leur villes et repliquer ca au congo mais come vous etes des diplomes de france meme la copie vous n’arrivez pas. D’apres des etudes menee en Amerique que nous les Bantous some un peuple le moin competent dans le monde.
a tous mes compatriotes congolais, insultants ou non,
je vous remercie pour vos analyses et vos réponses contradictoires. vous avez parfaitement le droit de ne pas être d’accord avec moi. vos réponses sont tout à fait respectables et je les accepte comme point de départ d’un long processus critique dans le débat intellectuel rare en afrique et surtout au congo. j’accepte d’être naîf mais je reconnais que notre continent et surtout notre pays n’a pas l’habitude d’un débat soumis à la non-empathie. si j’ai décliné un cv rapide, c’est pour bien montrer que je n’attends rien du président sassou et que je suis largement intégré dans ce pays france dans lequel je me sens bien et que je critique de façon radicale à travers mes différents statuts.
je vous transmets, non par vantardise, mais par efficacité de connection et de débat, mes différents blogs qui vous permettront de mieux me connaitre. je ne veux qu’une chose: le bien du congo à travers une approche intellectuelle que la plupart de mes compatriotes congolais n’ont pas , soit par empathie trop prononcée, soit par méconnaissance du pays dans lequel ils vivent, france ou congo-brazzaville. je vous livre mes blogs et vous verrez que je ne suis pas celui que vous pensez.
http://pambou.lucien.over-blog.com/
http://fr.blastingnews.com/equipe-editoriale/lucien-pambou/
http://www.dedip.com/
lisez tous mes articles, vous me connaitrez un peu mieux et vous avez raison de vous exprimer comme vous le faites car je suis un democrate au sens hégélien.
@ Nsouari Nguimbi Jacques. Je vous cite. »D’après des etudes menee en Amerique que nous les Bantous some un peuple le moin competent dans le monde ». Si vous y croyez tant pis pour vous.
Lucien PAMBOU prend ton bâton de pèlerin et va approcher la misère en partageant pour un temps la vie d’une famille dans un des quartier de brazza et explique leurs tes vues de l’esprit comme je te cite:
« le bien du congo à travers une approche intellectuelle que la plupart de mes compatriotes congolais n’ont pas , soit par empathie trop prononcée, soit par méconnaissance du pays dans lequel ils vivent »
Te fou pas du monde et ai au moins le respect qui convient envers ceux qui souffres et subissent la dictature de ton mentor en te taisant à jamais.
Piètre éditorialiste (surtout sur Africa 24), Sieur Pambou est ce ceux qui croient que le fait d’être pédant équivaut à être éclairé. Dommage pour lui, car j’ai rarement vu pire aveugle que Mr Pambou…
Notre cher Lucien est dans la posture scatophile de celui qui voyant une « merde » sur le trottoir pense qu’il faille la gouter pour bien s’assurer que c’est bel est bien un étron…
Lucien Pambou voit de toute évidence le caca que Sassou et sa famille laissent au Congo mais, ô distorsion de la réalité, lui voit de la « mousse au chocolat »… Pourquoi cela ??? Eh bien parce que le prétendu super « enseignant-éditorialiste » s’appuierait sur des faits « concrets », « validés » par la « justice » (de Sassou), et blablablabla…
Plus sérieusement, je me réjouis quand même de voir les mercenaires, comme Lucien Pambou, s’exprimer car ils nous laissent là des évidences de premier choix qui permettront, au moment opportun, de démontrer leurs responsabilités (même « intellectuelles » et « idéologiques ») dans la destruction et le pillage de notre pays…
Ce Pambou, alias petit tétu, vient encore de débiter des insanités. Lisez le commentaire ci-dessus dans lequel Anonyme le cite.
Pambou, pense même que les avis donnés ici par les internautes sur sa réponse sont contradictoires.
Chers amis, nous avons tous lu les commentaires des uns et des autres, où trouvez-vous la contradiction qui emmène Pambou le nguirisé à en parler. Il veut, dans un petit surseau d’orgueil, montrer qu’il y a des intervenants ici qui ont défendu sa cécité.
Franchement Pambou, IL FAUT TE TAIRE, LE CONGO MARCHE BIEN, SASSOU A GAGNE L’ELECTION…. n’est ce pas ??
Lucien Pambou a écrit:
» si j’ai décliné un cv rapide, c’est pour bien montrer que je n’attends rien du président sassou »
Es-tu si sûr de ton propos? Ah Pambou! Frangin, tes conseils spéciaux à sassou comptent-ils pour du beurre? Ah Pambou! Assume seulement ton rôle de conseil spécial de sassou.
Par ailleurs, comment expliques-tu ta présence au banquet offert par Antoinette Tchibota pour ses 70 ans? Ah Pambou! Tu feins même d’oublier que nous sommes dans un petit marigot où tout se sait.
Pambou! Assume seulement.
Voici ce que le professeur émérite appelle la construction sociale.
Pensez que des gens qui se comportent de la sorte ont vocation à développer un pays, c’est du fétichisme.
https://youtu.be/HgkWDLPim50
@ M. Mpele,
Ne réagissez pas à cette reponse de M. Pambou. C’est une injure aux congolais que nous sommes.
Mr PAMBOU EN VOUS DEMANDE SELEMENT DIRE RIEN QUE DE LA VERITE COMMENT POURAIS VOUS DIRE DE PARLEZ DES DEBATS CONTRADICTOIRE AVEC QUEL REGIME OR LE REGIME DE SASSOU SES UN REGIME QUI NE CONNAIT MEME PAS LES DEBAT CONTRACTOIRE OR DENIS SASSOU NGUESSO VOTRE BIEN AIMER EST UN VRAI HITLER DU CONGO Mr PAMBOU VOTRE INTELLECTUEL NE VOS RIEN POUR LE CONGO ET POUR L’AFRIQUE VOUS VOUS ETE LES INTELLECTUEL CORROMPU DE FRANCE POUR DETRUIRE VOS PROPRE PAYS AFRICAIN POUR MOI VILI , OU KONGO OU PAS VOUS ETE QUE UN VRAI BIABOLA KU TOATALE LES FILS DU CONGO ET DE L’AFRIQUE NE PEUVENT PAS COMPTER SUR VOUS. EN TEMPS QUE DES INTELLECTUELLE VOS MIEUX NOUS QUI NE SOMME PAS DES INTELLECTUELLES MAIS QUI COMPREND LE MAL DU CONGO
Lucien Pambou que j’ai decouvert sur Africa24 m’a enorment decu avec ses positions recentes sur la dictature de DSN. Pire lorsqu’apres avoir profite de l’exposition mediatique que lui a donne Africa24 il se fait nguiriser a BZV et maintenant crache sur la tele qui l’a fait connaitre au grand public. LP n’a pas besoin pour des miettes de ternir autant son image. Tu es en concurrence avec Africa24 pour le meme gateau et tu n’es pas le premier a l’avoir ete mais de grace un peu de pudeur. Prend ta part et tais toi.
Beaucoup a deja ete si bien dit par mes devanciers compatriotes sur les demies verites de monsieur Lucien Pambou. Cela me fera l’economie du temps et d’energie. Se donner a une gymnastique intellectuelle sur deux pages juste pondre un texte sterile est affligeant. Dr. Lucien Pambou attend des preuves de megestion et de la delapidation des fonds publics par le tyran et sa famille biologique et politique.
La presse suisse en parle, elle qui connait les arcanes de la finance internationale, mais Pambou n’ented rien et ne voit rien. Les voitures et autres objets de luxe sont saisis dans des proprietes privees des Nguesso et cie dans les quartiers cousus de Paris et sa banlieue, la aussi notre compatriote Pambou attend que jugement soit rendu avant croire. Meme St. Thomas, apres avoir refuse de croire a la resurrection, finit par croire a l’apparution de Christ Jesus, quand ce dernier prit sa main et la posa sur l’une de ses cotes percees, nous apprend l’evangile. Mais pas le tres Cartesian Pambou…
Toutes les casseroles de monsieur 8% depuis son retour sanglant en 1997 sont connues et ont fait de la UNE des grands organes de presse de par le monde. La aussi notre editorialiste et enseignant des SciencePot n’est pas au courant. Bon, que peut-on dire a celui qui les yeux pour voir mais refuse de voir; a celui qui les oreilles pour entendre, mais refuse d’entendre ? Rien.
L’activiste pour le retour de la democratie authentique au Congo que je suis vous dit monsieur Pambou: We, the people of Congo shall overcome the Nguesso1er dictatorship once for all! Vive le Congo Libre, Fier et Debout!
Monsieur BANKOUNDA-MPELE, les Congolais en colère et désabusés ont répondu à monsieur Lucien Pambou, quoi dire de plus.
Ce que sassou sait sur les vols, les arrestations, la corruption, le chômage, l’absentéisme au travail, sur la misère du peuple,… bref, sur les crimes économiques et de sang puisqu’il l’a subtilement décrié dans son discours »d’investiture » , monsieur Pambou ne le sait pas, il attend des preuves, alors monsieur BANKOUNDA-MPELE, que lui répondre: Rien.
Il est « sourd et aveugle ». Alors, la question est toute simple, qu’est ce qui peut aveuglé cet intello apparemment brillant au point de raconter des inepties ? comprendre qui pourra.
LES PRATIQUES SATANIQUES ET AFFAIRES CRIMINELLES: LE DICTATEUR SASSOU NGUESSO IMPOSE A SES COLLABORATEURS DE LUI DONNER DES SACRIFICES HUMAINS POUR GARDER LEURS POSTES.
Tout le monde, ou presque, sait que le pouvoir de Sassou Nguesso est un pouvoir basé sur des pratiques obscures et sataniques qui impliquent l’utilisation mystique du sexe et du sang humain.
En bon « kani » de sa contrée, Sassou Nguesso sacrifie massivement des humains a tour de bras, aussi bien au sein de sa propre famille que dans la population congolaise.
Ces pratiques qui durent depuis que Sassou Nguesso a mis les pieds dans les hautes sphères de la politique congolaise, commencent à sérieusement révolter plus d’un dans la contrée de Oyo-Edou, restreignant ainsi les marges de manoeuvres du « kani » pour continuer à sacrifier ses proches, car ceux-ci se mettent désormais, timidement mais progressivement et consciencieusement, en mode « refus de mourir. »
Les proches du « kani » ont compris qui est Sassou Nguesso et ils ne veulent plus du tout animer leur vie aux rythme des décès, des veillées, des pleurs, des deuils interminables; ils ne veulent plus servir de sacrifices humains pour le pouvoir d’un seul homme et ses enfants et neveux.
Le très « généreux » et très célèbre Sassou Nguesso, bien connu et adulé pour être un « a pesa a tala té », le distributeur de billets qui inonde ses proches avec des monstrueuses sommes d’argents pour acheter leurs âmes, fait désormais peur dans son milieu. D’après une source très proche du cercle fermé du clan Sassou Nguesso, « les gens ont peur de lui, alors, ils le fuient, ils ne veulent même plus de son argent maléfique ».
Outre cette obligation de sacrifier des âmes humaines, un autre rituel battrait son plein dans la loge maçonnioque du Congo dirigée par Sassou Nguesso. Il parrait que les collaborateurs qui sont dans la même loge que Sassou Nguesso seraient soumis à une autre épreuve dégoûtante.
Notre informateur nous dit que dans cette loge, quand l’on lave les pieds de Sassou Nguesso dans une bassine – sans savon – tous les membres présents à la cérémonie sont obligés de marcher en procession autour de Sassou Nguesso, et de boire l’eau avec laquelle les pieds de Sassou Nguesso ont été lavés; le rituel aurait pour but d’obliger les collaborateurs à montrer leur totale soumission et dévotion à Sassou Nguesso… A suivre
A Monsieur Lucien Pambu
Je découvre dans votre blog que vous émargez ou avez émargé à l’UMP (Les Républicains). Telle ne fut pas ma surprise. Dans un passé pas si révolu que ça, quand vous étiez dans la « merde », vous étiez oublié d’écrire à Mr Laurent Fabius, pour aider sortir de la situation de déclassement dans laquelle bon nombre d’africains compétents étaient relégués.Alors du PS vous êtes passés à l’UMP. C’est l’UMPS de Marine Le Pen. Que se soit l’un ou l’autre, pour vous c’est du pareil au même. Peu importe la couleur du chat, noir ou blanc pour vu qu’il attrape les souris. Mais je comprends, pour un lèche-cul comme vous, ce n’est pas la girouette qui tourne, mais le vent
Monsieur Pambu, mais en réalité Mpambu, qui signifie bifurcation, croisée des chemins, il est un proverbe Kongo qui dit: « quand on se trompe, il faut revenir à mpambu, la croisée des chemins ».
Vous ferez ainsi honneur à votre patronyme.
Vous regrettez que les congolais ne soient ps à la hauteur du débat contradictoire. Mais à qui la faute? Ne sont-ce pas là les fruits de l’œuvre de votre mentor de président? trente deux ans de nivellement par le bas, cela laisse des traces. Si tu ne pèches pas par ton pieds, c’est par la bouche que tu pècheras dit un proverbe; on vous a démasqué Mr Pambu. Le cafard a beau se couvrir de cendre, le coq ou la poule finissent toujours par le découvrir. Et je constate que la modestie ne vous étouffe pas. Comme le dit le proverbe: » si tu sais jouer du tamtam, ne relève pas trop haut ton arrière train, car parmi ceux qui te regarde, il en est aussi qui maîtrise l’art du Ngoma ».
Ce n’est pas parce que l’eau en surface est est calme et noire, qu’elle n’en est pas profonde. Méfie-t’en.
Tous ces jeunes congolais ne demandent qu’ à être bien formés; ce à quoi a brillamment échoué celui pour qui tu roules. Certains anciens compagnons de galère t’observent et s’étonnent. Mbisi a kendeke epayi mayi ku tiolalaka, basusu landaka ndako ya mosolo. Le censeur final reste l’Histoire.
Attention: Bidiwu, bidiwu, bifut’ bifut’
Bravo Félix!
Lucien Pambou n’est qu’un mystificateur qui veut nous faire croire qu’en sciences sociales on peut construire un discours en faisant fi du contexte des faits analysés. Même en droit, dans le mémoire des faits et de droit, la plaidoirie expose toujours le contexte de l’affaire portée devant le juge qui doit la trancher en s’appuyant sur la règle de droit et la jurisprudence.
Par ailleurs, dans l’analyse des organisations, les théoriciens du Management inscrivent toujours l’analyse des acteurs et des structures ( entendez organisations) dans leur contexte. C’est ce que j’ai retenu de mes cours de management ayant porté sur l’oeuvre de Henry Mintzberg, le grand théoricien contemporain du management.
Alors Lucien Pambou, de quelle méthode parlez-vous? Qui en sont les théoriciens? Dans quelle école avez-vous appris cette méthode d’analyse des acteurs et structures?
Lucien Pambou, SVP, lisez l’oeuvre d’Henry Mintzberg. C’est le gourou mondialement reconnu de l’analyse des structures. Mieux, si ce n’est déjá fait, revisitez vos cours sur les méthodes de recherche en sciences sociales et humaines.
Petits mots Respectueux entre gens qui se respectent….
Cher Lucien et cher tous,
Très rarement j’ai osé prendre la parole pour apporter la moindre contradiction à un tiers. car j’ai érigé le modeste sanctuaire d’Africa 24, en faisant de cette chaîne, moi en tant que son fondateur un socle de liberté d’expression.
A tous qui nous lisez, certains ont toujours eu la plume et la critique facile et injurieuse. Parfois à tort. Parfois par passion. car je sais à quel point derrière chaque hurlement se cache parfois ce désir passionnel de voir notre Afrique grandir.
Depuis 2008 ou j’ai créée cette chaîne de télévision, et depuis 2009 ou nous avons initié babylas Boton et moi, l’émission Africa News Room, mettant en valeur l’analyse et les éditorialistes africain pour donner une opinion sur l’Afrique, je dis bien depuis cette création, jamais, je n’ai recruté le moindre éditorialiste de cette chaîne de télévision. La majeure partie, y compris lucien Pambou, ont postulé volontairement et parfois certains ont d’abord été des invités à l’analyse pertinente et sur cette base, les collaborateurs de la chaîne ont jugé utile de leur proposer une collaboration quasi bénévole d’éditorialiste.
Depuis l’existence de cette chaîne de télévision, je m’honore de ne connaître aucun des éditorialistes de cette chaîne de télévision. Je m’honore de ne jamais avoir eu une moindre discussion avec un éditorialiste de cette chaîne de télévision. je m’honore de n’avoir jamais eu une discussion avec un éditorialiste de cette chaîne de télévision, sur un quelconque sujet avant son passage ou son intervention à l’antenne et ni après.
M. Pambou qui me lit sur ces lignes, s’il a la moindre décence intellectuelle peut lui même témoigner de cette réalité. Car il l’a vécu durant son honorable parcours avec nous.
D’ou vient ces écrits et modestement ces élucubrations d’avoir été un jour mis à l’index pour avoir refusé de critiquer le gouvernement de Sassou Nguesso ou de je ne sais quelle autorité? Ce cher Lucien peut-il me dire quand, quel jour en quelle circonstance une seule personne lui a porté la moindre critique durant son parcours sur Africa 24, sur le contenu de ses expressions. Il pouvait dire et peut se permettre de dire tout et son contraire, nous avons toujours jugé humble de se considérer que la libre expression était le gage de la qualité constructive des échanges.
Il faut croire que contrairement à ce que avait écrit un célèbre journaliste, la « Télé rend fou…mais certains ne se soignent pas ». Les vertus du mensonge et et de la désinformation, ne peuvent se parer en boucleir de son intelligence. Parfois il vaut mieux se taire que de s’illustrer dans un mensonge infantile. Alors je me dois de rétablir la vérité.
Monsieur Lucien Pambou n’a jamais eu la moindre sanction à Africa 24. NOus avons pris la décision de mettre fin à cette collaboration pour une raisons aussi simple et vieille que le mondre : Le devoir de respect à une institution. Dans le cadre d’une émission ANR, un débat contradictoire s’est engagé entre M. Pambou et un autre de ses collègues éditorialistes. A notre grande surprise, cette émission qui n’était qu’un débat sur un plateau, entre personne qui ne doivent pas forcément partager la même vision sur certains problèmes, a dégénéré en lettres d’injustes , rendus publiques et transmises à des tiers.
Pour la première fois, en 4 ans de collaboration avec M. Pambou, que je ne croisais que que furtivement dans mon studio, j’ai du le rencontrer pour lui expliquer :
1- sa démarche inélégante n’était pas une première initiative.
2- cette récidive devait cesser, car la contradiction entre collègue « éditorialiste » ne pouvait dégénérer en insulte publique.
3- Il ne pouvait mêler Africa 24 sous aucun prétexte à une quelconque dérive comportementale qui n’honore aucun Africain.
Cet avertissement je l’ai fait dans le cadre et mon modeste rôle de chef d’Entreprise. Et dans ma culture africaine, le devoir et le respect d’un aîné sont un dogme que nous ne saurions trahir. Lucien Pambou est mon aîné et je lui dois le respect en toutes circonstances. Il ne m’a jamais tenu grief de cet échange clair et poli. Il a semblé adopté une attitude plus constructive et plus respectueuse vis à vis de ce collégue. A mon grand désarroi, quelques mois plus tard, j’ai découvert une nouvelle rafale de courrier injurieux envers ce collégue.
Cher Lucien, la décision a été collégiale et unanime de toute la direction que l’on ne pouvait plus collaborer si le droit élémentaire du respect entre collégués était ainsi bafoué. Nous avons mis fin et de manière très légale à cette collaboration. Au demeurant de manière polie.
Sans doute l’égo n’étant pas la source de la raison, tu as cru pouvoir te justifier aux yeux de tes nombreux admirateurs en faisant croire à un quelconque conflit éditorial vis à vis de la chaîne Africa 24. En 5 ans de collaboration tu n’a jamais connu le moindre écart …
Cher Lucien, comme tu as essayé de jeter l’oppobre sur cette chaîne dont tu t’es longtemps réclamé tu m’ofres ici l’occasion de rétablir des vérités aussi limpides à chacun qui aura la décence de nous lire et de faire l’effort de nous croire :
1- AFRICA 24 n’a jamais , je dis bien jamais réalisé depuis sa création le moindre publi-reportage. Vous pouvez me croire. et le vérifier.
2- Il est formellement interdit à tout journaliste, tout responsable de la chaîne de recevoir le moindre perdiem, la moindre enveloppe d’une tierce personne.
3- Il n’existe pas sur cette terre un seul responsable politique, économique ou une tierce personne qui vous témoignera avoir un jour payé un seul centime pour passer sur Africa 24.
4- Africa 24 dispose dans le cadre de sa politique de commercialisation des offres qui sont publiques. Dans ses offres il existe des couvertures spéciales. Mais l’ensemble de ces activités ses font en totale indépendance de la ligne éditoriale de la chaîne.
5- Nous avons dans le cadre de cette politique commercialise su comme tous les médias internationaux, valoriser la présence à travers les spots de nos clients institutionnels ou commerciaux, en toute indépendance de notre ligne éditoriale.
6- Je vous mets chacun au défi de me montrer et démontrer une chaine de télévision qui diffuse autant de débats contradictoires sur l’Afrique. Une chaîne qui garantit autant de temps de parole équitable au pouvoir qu’à l’opposition. Et si jamais il vous prenait l’envie de réaliser un décompte scientifique de nos temps de parole vous verrez de vous même l’obligation de strict respect de temps de parole.
Cher Lucien, je déplore que pour répondre sur deux lignes à une polémique qui ne nous concernait pas, entre toi et un tiers tu as cru utile de jeter l’opprobre sur notre travail, pour justifier la haute qualité morale et intellectuel que tu te fais de ta personne. Mais la fin ne doit pas justifier les moyens.
Contrairement à la perception que tu essaies de donner, je n’ai jamais été sous la coupe de qui que ce soir. Sous quelque motif que ce soit. Je n’ai jamais eu la moindre intervention déplacée d’une personne vis à vis de cette chaîne. Nous avons fait un choix, depuis notre existence. celle de porter un regard constructif en toutes circonstances sur l’Afrique, en faisant de la libre expression le socle de notre indépendance. A ce jour nul ne l’a encore contredit. D’autres médias ont fait le choix de poser leurs formes de regard sur l’Afrique. Chacun peut apprécier à sa facon. Critiquer suivant son opinion. Mais au moins avoir la décence de poser le Respect vitrine de notre moralité.
Que cet écrit te soit source de lucidité , de transparence et de rétablissement de ton corpus Intellectuel.
Avec tout mon respect.
Constant Nemale
YA LUCIEN, BIKA MATALANA YA NGUE, KANGA INOUA.
BIKA KOUTALISSA BETO SONI, NA BA CHAÎNE YA BOUZOBA YINA BETO KE TALA KA VE.
KOUENDA SALA BA FÊTE NA BA BOKILO YA NGUE .YA MONSIEUR 8%.
BETO SAMBILA TATA NZAMBI, YANDI PESSA BETO NGOLO YA KOUNUOUNA MVITA NA BIBOULOU YINA KE TALA PASSI YA BA PANGUI VE.
à Lucien Pambu (en fait Mpambu)
Votre éviction de la chaîne AFRICA24 n’est pas due à un problème éditorial comme vous avez voulu nous le faire croire, mais plutôt à un problème de comportement. On vous découvre non seulement avec un ego hypertrophié à l’envie, mais en plus vous mentez. A beau mentir qui vient de loin. A en croire ce déluge de désapprobation sur vous, vous faites le vide autour de vous; attention, car le jour où vous vous retournerez, il n’y aura personne autour de vous pour vous tendre la main. Si à votre âge vous n’avez pas encore compris que « mokili ezali mbanga ya ntaba, lelo ya yo, lobi ya moninga », alors c’est regrettable. Science sans conscience = ruine de l’âme. Encore une fois: »si tu sais jouer du tamtam, ne pense pas être le seul à en avoir la maîtrise »
Je remercie Monsieur Constant Nemale pour sa mise au point. Elle me permet, en ce qui me concerne, de me faire une idée, de cerner ce personnage quelque peu atypique. Monsieur Pambou doit savoir que l’erreur est humaine, mais persévérer dans l’erreur est diabolique.JB
CE MONSIEUR PAMBOU NGANGUESTERISE LES COLLEGUES AU BOULOT C EST VOUS DIRE LA QUALITE DE SA MORALITE EST DOUTEUSE .
Les écrits de M. PAMBOU s’articulent autour de l’injonction manifeste suivante: « Touche pas à mes présidents africains dictateurs! ». Jugez-en par vous-mêmes en lisant l’intégralité de cet article publié par notre PAMBOU national -que dis-je? – international publié le 5 avril 2016 sur son blog.
AFFAIRE PANAMA-PAPERS ET L’ÉVASION FISCALE À L’ÉCHELLE PLANÉTAIRE
Publié par Lucien Pambou sur 5 Avril 2016, 16:11pm
L’Occident à force de donner des leçons de morale est pris à son propre piège : le Président Hollande n’est pas content
Le Président Hollande est satisfait des révélations liées à l’affaire Panama-papers car il souhaite que la justice française soit saisie et que le fisc récupère les sommes que des Français auraient dissimulées illégalement dans les paradis fiscaux.
Plusieurs personnalités de renom (chefs de gouvernement, rois, ministres, artistes et de célèbres joueurs comme Platini et Messi sont cités par les Panama-papers). Que montre cette affaire explosive ? Deux éléments immédiats : l’être humain est fragile et corruptible, quoi qu’il dise et quoi qu’il fasse. L’Occident a érigé au plan mondial un système de dissimulation et de corruption. Que l’Occident arrête de donner des leçons de morale à la terre entière sur les notions de justice, d’égalité et de respect des droits de l’homme. Les Européens se plaignent en permanence des régimes patrimoniaux qui, depuis les indépendances, caractérisent certains chefs d’Etat africains et leurs familles. Les Occidentaux oublient qu’ils sont en partie responsables de la dissémination de ces régimes patrimoniaux en Afrique car ils y trouvent leurs intérêts et les paradis fiscaux sont un moyen à leur guise pour dissimuler des sommes reçues de la plupart de ces régimes patrimoniaux qu’ils critiquent.
à Suivre
Je ne suis ni lanceur d’alerte, ni moraliste, ni père fouettard, ni donneur de leçon. L’observation de la sociologie politique du monde et de ses décideurs m’oblige à dire une série de faits qui souvent mettent l’Afrique en situation d’accusée. L’Occident, par une ingénierie et une innovation financières, a créé les paradis fiscaux pour permettre aux personnes fortunées d’Afrique et d’ailleurs d’échapper au fisc. Cette façon de faire est contreproductive pour le fonctionnement de l’économie de marché qui a besoin de l’épargne utile pour l’investissement afin de créer de la valeur nécessaire à la lutte contre le chômage. Que les Occidentaux arrêtent de donner l’impression qu’ils découvrent ce qu’ils savaient depuis longtemps. La magouille, la dissimulation structurent les comportements humains, quels que soient les continents.
Panama-papers vient de montrer que dorénavant il faut parler d’une géopolitique de la triche. Aucun continent n’est épargné. Le village global est bien celui du mensonge. Il suffisait de le dire. Les Occidentaux sont pris à leur propre piège. Qu’ils arrêtent leurs leçons de morale. Les pays africains doivent savoir que leur participation à la corruption et à la dissimulation des fonds constitue un frein au développement de l’Afrique. L’Occident est arrosé alors qu’il passe sa vie à donner des leçons de morale et de probité. Heureusement qu’il y a des citoyens du monde capables de regarder l’implicite, d’en tirer des faits d’observation et d’analyse pour un débat sur la morale entre les Nations et leurs acteurs et qui ne fait que commencer.
MERCI M. MPELE BANKOUNDA, VOS ANALYSES SONT TOUJOURS MARQUEES PAR LE SCEAU DE LA RIGUEUR INTELLECTUELLE. C’EST UN PLAISIR DE VOUS LIRE.
Merci pour cette contribution cher Mr Moussitou-Youlou qui démontre bien l’inconséquence et le double discours de Lucien Pambou. J’ai surtout bien noté l’extrait suivant dans son article rapporté » Les pays africains doivent savoir que leur participation à la corruption et à la dissimulation des fonds constitue un frein au développement de l’Afrique « . Et voilà que quand je note dans la critique à lui faite dans son papier sur Sassou, il me répond qu’il ne voit pas ce que Panama-papers et les biens mal acquis viennent faire, alors que dans cet extrait-ci il reconnaît bien que la corruption constitue un frein au développement et participe évidemment à la misère et au chômage endémique de l’Afrique, du Congo en l’occurrence. Quelle inconséquence! En fait c’était pour lui un article-cadeau à Sassou-Nguesso
Monsieur Lucien Pambou n’est qu’ un corrompu du verbe, un mercenaire de la plume. C’est une âme vile et basse prête à se vendre au démon Sassou pour se faire un peu d’argent. S’il m’était autorisé à lui donner un conseil, je lui demanderais purement et simplement de se taire.
Ne perdons pas le temps sur mr pambou. Reconnaissez ceux qui veulent nous distraire en nous entrainant hors du combat contre la dictature de Sassou.
Si pambou croit en Sassou et qu’il s’aveugle en ne voyant ni mort, ni bombardement, ni bien mal acquis, ni achat de cadavre au congo, ni hold up electoral, ni voup d’etat, ni pouvoir clanique, … Sassou lui meme les voit et desormais parle de « RUPTURE AVEC LES MENTALITES GREGAIRES DE SON PASSE ».
Peut etre faudra-t-il que Sassou apporte lui aussi les preuves tangibles de son etat de bie GREGAIRE. Pourtant, la dscription est de lui et pambou en ecoutant Sassou a sa pseudo investiture devrait ravaler sa langue.
Constant NEMALE peut-il nous expliquer quels criteres democratiques et deontologiques l’ont emmené a repartir le temps de parole pdt l’election au Congo B. de tenez vous bien: 50% pour Sassou et 50% pour l’opposition?
Je veux juste comprendre …
De nombreux congolais semblent l’oublier, or c’est parce que la France continue de refuser également de déposer un projet de «Résolution» pour la paix au Congo-Brazzaville devant le Conseil de sécurité de l’ONU, ce nouveau projet qui devait neutraliser l’ancienne résolution de Jacques Chirac de 1997 qui soutenait le coup d’État de M. Sassou Nguesso, est attendu. Tant que la France ne dépose pas ledit projet de Résolution sur le Congo Brazzaville, et, comme M. Sassou Nguesso ne pourra jamais autoriser aux humanitaires de pénétrer dans la région du Pool, ainsi alors ni le CICR, Amnesty, la FIDH, l’OCDH, le RPDH, et ni même la Commission des Droits de l’Homme des Nations Unies n’iront pas travailler sur la solution à la condition humanitaire dans ce pays…
De ce fait, M. François Hollande qui ne s’engage pas à fond pour l’instant, devrait décider pour le Congo-Brazzaville même à titre humanitaire pour changer cette mauvaise politique africaine de la France. Pourquoi alors la France s’est engagée en Syrie, Afghanistan, Mali, RCA, etc… Pourquoi?
Répartition du Temps de Parole
Cher Warren, en réalité il n’existe aucun dogme de répartition du temps de parole, dans le cadre des élections dans les pays du continent. Chacun ayant sa spéficité. Par ailleurs dans nos pays il est parfois difficile au vu de la transhumance de nos leaders politiques, de pouvoir figer les interlocuteurs suivant une approche idéologique du type (Droite, Gauche, extrême droite, etc….). La solution la plus médiane et parfois qui peut s’avérer complexe de constater que quelque soit le cas de figure, dans nos élections nous avons toujours deux poids politiques qui se détachent :
– Un bloc Majorité présidentiel, incluant les parties au pouvoir et un bloc opposition. C’est uniquement sur cette base que dès le début de notre approche des confrontations électorales, nous avons toujours faire le choix de respecter un bloc paritaire.
Mais reconnaissons le ce bloc paritaire est virtuel et ne tient pas lorsque dans une élection vous disposez de candidats de poids et disposant d’un impact réel dans leurs activités terrains.
En ce sens les élections au Burkina Faso et les dernières élections au CONGO ont démontré l’impossibilité de tenir un tel écart. de fait sur le Congo que vous savez mieux connaitre que nous, lors des derniers élections le relevé de nos programmes peut vous montrer une couverture à 57% pour l’opposition et 43% pour la majorité présidentielle. Vous devez aussi noté que nous avions 3 journalistes terrain pour suivre les candidats de l’opposition et un seul pour suivre le candidat de la majorité présidentielle.
N’hésitez pas à poser toutes vos questions on vous répondra le plus clairement possible
Respectueusement,
Constant Nemale
Monsieur Constant Nemale, j’avoue respecter votre humilte et votre disponibilite a venir echanger ici. Le contenu de votre reponse a l’ancien collaborateur de votre chaine, Africa 24, Lucien Pambou, vous honore vous et votre jeune enterprise. Defendre votre entreprise ne me surprend pas, c’est votre silence qui m’aurait etonne. 🙂 Je comprends un tout petit peu, d’ou vous venez…
En effet, a la fin de la decennie 80 et au debut de la suivante, 1990, j’etais un petit entrepreneur de presse ecrite a Brazzaville. Pour etoffer la redaction, quelques contributeurs du monde universitaire avaient rejoin l’equipe des jeunes diplomes en journalisme de l’Uni de Brazza que nous formions. Je pu decrouvrir les egos surdimensionnes des « docteurs » a qui j’avais accorde une tribune. Des Lucien Pampou avant Pambou a Africa 24. 🙂 🙂
Autre chose, a propos du TEMPS d’antenne, sans avoir mene une enquete sur la repartition du temps d’antenne pendant la presidentielle congolaise, d’Outre-Atlantique ou j’ai suivi cette election sur votre chaine, il saute aux yeux que les oppositions, a defaut d’une opposition unique , m’ont semble t-il avoir obtenu une couverture decente de vos equipes. Ce que Africa24 a fait, Tele foufou, la chaine publique congolaise ne l’a pas fait. La bas, sur cette chaine tout etait axe sur le timoniern. Qui deviendra apres son hold-up electoral, monsieur 8% . Bonne continuation a vous monsieur Nema.
A mes compatriotes Congolais je dis: We, the people of Congo shall overcome the Nguesso1er dictatorship once for all! Vive le Congo Libre, Fier et Debout!
A lire ce Mr Pambou, a l’heure des difficultes que connait le congo, l’on a envie de tomber du haut d’un immeuble et d’en finir. Sachez Mr que vous n’etes qu’un petit diplome et non un intellectuel. Vous etes minable et malhonnete. Je vous plains. S’il faut que tous les congolais soient cousins de la femme de sassou comme vous pour se laisser anesthesier par ce mr qui n’est autre qu’un cancer, alors cher Mr, vous ne faites que tomber plus bas que tous ces malhonnetes et mal appris du monde. Je comprends maintenant pourquoi l’on vous fait tournebouler partout comme un bon infiltre de sassou et sa femme, votre cousine. Vous n’avez peut-etre pas tort de voir du vert la ou tous les congolais, voient du rouge, mais ce comportement pourra vous couter tres cher. Faites attention a vous… Meme si la femme de sassou et vous-meme, etes ses valets qu’il nourrit au lait et au miel, ce n’est pas le cas pour tous ces congolais qu’il a plonges dans cette misere devant laquelle vous voulez sans scrupule marquer votre indifference, tout simplement parce que vous ne seriez pas un activiste engage, comme si pour analyser un probleme qui fait bruler de l’encre dans son pays, on aurait besoin d’etre un activiste engage? Heureusement pour vous qu’etre con comme vous, ne tue pas. A votre place, j’aurais meme honte de me dire congolais, encore moins cousin de cette sorciere Antoinette qui cautionne les malheurs du congo, causes par son mari qu’elle quittera tres bientot comme elle l’avait fait a Kader…Continuez donc a jouer a votre comedie de ne rien voir, entendre ou savoir, les congolais vont tous dans cette meme direction de vous le faire voir, entendre et savoir un jour. Qui vivra, verra, encore que toute comedie a toujours une fin….
Chers compatriotes de la diaspora mondiale, faites tres attention a tous ces infiltres de sassou qui nous cotoient, dont ce pauvre petit diplome MPambou qui est loin d’etre considere comme un intellectuel, surtout pas par moi. Que les patrons des chaines de television les excluent tous des debats pronant la liberation du congo, omme vient de le faire Afrique24. N’acceptez plus la compagnie de tous ces larons a double carapace, car ils n’ont pas tort de ne pas vouloir mordre la main de celui qui leur offre du pain. Evitons aussi de nous tenir en compagnie avec tous ces tribalistes qui pronent sans scrupule, la division du congo, alors que ce qui nous preoccupe dans l’ensemble, c’est la liberation de notre pays de ce joug cancereux que sont sassou et sa famille.
J’ai toujours dit quand un vili agit de la sorte c’est la plus grande honte du Congo Brazzaville car nous vili devons être les premiers à nous rebeller contre Sassou Nguesso.
Franchement, je considère que nous perdons notre temps. Cette personne se base sur un constat comme quoi Sassou a gagné les élections.
Tout ce qui est dit par Mr Pambou n’a rien à voir avec de la science politique mais il s’agit de la propagande.
Enfin, j’ apprécie profondément les us et coutumes africaines mais un aîné pour mériter le respect
doit pas raconter n’importe quoi.
Le respect n’est pas un dû mais il se mérite.
Eh Lucien ,
Christian Nana est toujours en France? Voila un que j’avais perdu de vue depuis 1989 quand j’étais jeune étudiant à Paris. Oh que ce monde est très petit.
Bon, à quand la production de tes sources méthodologiques qui font fi du contexte des faits analysés?
BRAVO CONGO. LIBERTY
CAMEROON VOICE REPREND LE DROIT DE RÉPONSE DE LUCIEN PAMBOU
J
http://cameroonvoice.com/news/article-news-24700.html
Mon frère LUCIEN , on ne peut avoir de sympathie ni de l’admiration pour le bourreau ou assassin de ses frères et soeurs , car tu t’appelle PAMBOU donc kongo !En effet Depuis mars 1977 sassou après assassiné son frère Ngouabi ,il lance BAKONGOS BA BOMI NGOUABI , c’est ainsi qui commence le génocide des kongos qui perdure jusqu’aux récentes BOMBARDEMENTS du pool , car NTOUMI n’est que l’exécutant de sassou qui est son manipulateur .
https://youtu.be/-2HNJTjGMAc
NEMALE est un saint alors ici….
Réponse II – Monsieur PAMBOU « Quand la Vérité réfléchit dans un miroir, son reflet déforme les mensonges les plus grotesques. »
Cher Monsieur,
A trop s’exhiber devant ce miroir on finit par voir jaillir des reflets troubles. Je lis votre réponse et suis ébahi par cette notion de fuite en avant. L’intellectuel se caractérise généralement par l’analyse de la situation. Par votre réponse vous confirmer ma première réponse et comme si ca ne suffisait pas vous envoyez dans ma boîte mail privé un autre mail complémentaire à l’insu de vos écrits sur ce site.
Monsieur Pambou, je m’en vais ici rétablir une vérité avant de faire des précisions. Ma passion pour mon continent l’Afrique, dont je porte fièrement la seule et unique identité à ce jour celle du Cameroun, me pousse toujours à penser que nous citoyens du continent avons d’autres combats à mener que des disputes vaines et inutiles entre nous.
Si j’ai pris la peine de répondre la première fois, dans un forum et une discussion ou nous n’étions en rien concerné, la raison est toute fondée : Face à des attaques manifestes contre votre personne , dans le cadre d’un débat d’idée libre et dynamique sur ce site, vous vous êtes cru obligé comme chacun le constatera d’incriminer et de jeter l’opprobre sur Africa 24, pour vous disculper de vos errances. car la vérité et le fondément d’une éducation sollicite que l’on ne réponde pas sur la place publique à un aîné.
Par ailleurs je constate que loin de tirer les leçons de cette première erreur que vous reconnaissez dans votre réponse , vous y ajoutez désormais une surcouche de mensonge, mâtiné d’une à priori douteux sur mes origines « Bamilékés » comme vous dites. Ce qui est à mes yeux la ligne rouge à ne pas franchir. Et vous le faites allègrement.
Voici le mail que vous avez transmis dans ma boîte professionnelle en ce samedi 28 mai 2016. je laisse à chacun le soin de lire votre mail personnel et surtout votre réponse sur CONGO site. Et une nouvelle fois au terme de cette lecture je vais répondre tout en bas, point par point.
Certes au moment ou le CONGO souffre dans sa chair, dans sa construction politique et démocratique, souci qui est à l’origine de ce débat virulent sur CONGO-Liberty, cette polémique peut sembler vaine. Personnellement j’ai foi en l’avenir de ce pays, de ce CONGO des talents si multiples et si dominant dans sa soif d’un avenir meilleur et en paix. Comme tous nos pays. Mais ce destin ne pourra se réaliser que si nous avons la capacité à chaque instant de regarder noytre destin dans le miroir de la vérité et de l’intégrité. Voilà ce qui peut motiver l’intérêt de ma réponse aux mensonges si pathétiques de Monsieur Pambou. Et Warren, je confirme, je ne suis pas un ange…
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Nemale,
je suis ton aîné, tu l’a dit, cela m’honore et prouve mon éducation par rapport à toi mon cadet. Je t’avertis de la réponse que je t’ai faite dans Congo Liberty. Tu m’as forcé la main pour te répondre, alors que je voulais garder le silence après mon départ d’Africa 24. Il y a une différence entre toi et moi: le rapport aux choses,aux gens et surtout à l’argent. je t’ai toujours félicité pour ta capacité d’organisation, mais, quand on est grand patron d’une chaîne, on laisse ses journalistes travailler, on leur fait confiance et on ne passe pas soi-même dans une émission. Que dirait le public français si Alain Weil, patron de BFM, était en permanence sur le plateau ? Ou Bollore chez Canal Plus ? Tu n’as même pas osé me dire dans les yeux (je l’apprends maintenant) pourquoi notre collaboration s’arrêtait. Je te rassure, une note interne que tu as écrite constituait quatre groupes dans lesquels se trouvaient les éditorialistes auxquels on devait faire appel. Camille Sari et moi étions dans le dernier groupe. Tu vois que je suis au courant, et tu dois être étonné. Sois plus dynamique et plus social en matière de collaboration avec ton personnel, sans faux-semblants, sans la fausse modestie comme tu le dis dans ton papier. J’ai été le témoin privilégié, je sais de quoi je parle. Ne fait pas de l’analyse géopolitique qui veut. Tu me parles de tes relations commerciales, ce n’est pas mon problème, même si je sais que tu as été au Gabon pour l’inauguration de la chaîne Gabon 24. Je m’arrête là, je pourrais continuer.
N’attends pas de moi que je te réponde à la suite de cette mise au point que je viens de faire. Il n’y aura pas de suite, il n’y aura pas un droit de réponse de ma part, même si tu le fais. Mon épouse qui est camerounaise, bamileke comme toi, avec laquelle je suis depuis trente deux ans, m’a dit une chose quand j’ai commencé la collaboration avec toi, que les choses n’iront pas très loin et elle sait de quoi elle parle, il faut toujours écouter les femmes, ce que j’ai manqué de faire.
Bon vent cadet, on travaille peut-être un jour ensemble. Je ne te force pas la main, mais je ne souhaite pas terminer par de la rancune entre personnes respectueuses. Quand on se sépare d’un collaborateur, on ne se cache pas, on dit les choses. C’est cela être un véritable patron. Bonne coupe d’Afrique des nations au Gabon et bonne élection présidentielle dans le même pays pour Africa 24. Tu as du métier mais attention, comme tu le dis toi-même, à la toute puissance de la télé, de ta chaîne, qui pourrait te donner un gros melon.
Cordialement et, je réitère, n’attends pas de réponse à un papier que tu pourrais faire. C’est triste de cesser une collaboration professionnelle de cette manière Nemale, cher cadet. Il me fallait remettre les choses au point, désolé. Je n’ai pas relu mon papier, tu corrigeras les fautes, ce n’est pas très grave.
http://congo-liberty.com/?p=15630
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Lucien Pambou répond à Constant Nemale, patron de la chaîne Africa 24 TV
Publié le 27/05/2016 par congo-liberty.com
pambou
Droit de réponse d’un aîné à son cadet
Nemale, je te tutoie dans ma réponse car, tu l’as dit toi-même, je suis ton aîné et à Africa 24 on se tutoie toujours. Je t’appelle aussi par ton nom, selon la tradition africaine, le prénom est d’une constance générale et dépersonnalise. Je suis ahuri sidéré, abattu et c’est le cœur serré que je te réponds. Je suis parti d’Africa 24, non pas sur la base des raisons que tu évoques dans ton papier mais sur des critères précis comme l’algarade dont j’ai été victime sur le plateau, à propos de l’esclavage des Noirs par les Maures en Mauritanie, de la part de l’éditorialiste mauritanien que les téléspectateurs d’Africa 24 connaissent. Je vais t’éviter une paronomase, procédé stylistique qui t’oblige à t’excuser et qui pourrait faire croire que tu t’accuses. Cadet Nemale, je ne t’accuse de rien, je ne prononce pas ton nom. Mon propos sur les Présidents de chaînes est général car je suis intervenu aussi bien pour Télésud, Vox Africa, Africa n°1, Deutsche Welle, etc., et bien entendu Africa 24.
J’essaie de sortir du bac à sable et de discuter sur la base du respect comme tu le dis toi-même et de la fraternité que toi et moi avons tenue respectivement en évidence.
Depuis mon départ d’Africa 24, je suis resté silencieux, même si sur la place de Paris j’ai été sollicité par certains médias pour écrire des papiers concernant l’ambiance et l’organisation interne au sein d’Africa 24. Certains estiment, à tort ou à raison, que le modèle économique de ta chaîne n’est pas fiable. Ce n’est pas ma tasse de thé et tu vois bien que, jusqu’à ce que tu t’invites dans un débat qui n’est pas le tien, je n’ai jamais critiqué les méthodes de travail de la chaîne.
Je vais essayer d’aller vite pour que les choses soient comprises par tous, car, dans ce domaine, c’est parole contre parole et des éléments de preuve n’existent pas. Tu écris: « Pambou qui me lit sur ces lignes, s’il a la moindre décence intellectuelle, peut lui même témoigner de cette réalité. Car il l’a vécue durant son honorable parcours avec nous. » . C’est bien que tu m’appelle Pambou au lieu de ce cher Lucien dans ton texte qui crée une distance qui n’a pas lieu d’être. Plus loin, tu reprends à ta manière les raisons pour lesquelles je n’appartiens plus à la chaîne:
« 1- sa démarche inélégante n’était pas une première initiative,
2- cette récidive devait cesser, car la contradiction entre collègues « éditorialistes » ne pouvait dégénérer en insulte publique,
3- il ne pouvait mêler Africa 24 sous aucun prétexte à une quelconque dérive comportementale qui n’honore aucun Africain. »
Les deux derniers points sont faux. Le premier est discutable car il ne traduit pas toute la vérité. Tu dis dans le premier point que ce n’était pas ma première initiative, avais-je été convoqué pour que tu me le dises ? La réponse est non. Je savais qu’il y avait des bruits de couloir, mâtinés de jalousie de la part de certains éditorialistes dont tu as dû te séparer. Il n’y a pas eu récidive comme tu le dis. La vérité est autre. Tu as choisi délibérément le camp de l’éditorialiste mauritanien pour des raisons qui te regardent, tu as fait un jugement à la Salomon et à mes dépends, alors que c’est moi qui avais été insulté tout au long de l’émission. J’ai répondu par l’humour et l’intelligence du dérisoire, ce qui a eu l’heur d’énerver notre ami éditorialiste mauritanien qui a continué de s’étouffer de rage. Je disais une chose simple, vérifiable par tous (l’esclavage noir existe en Mauritanie même si celui-ci est devenu un crime puni par la loi), c’est la vérité et, en tant que co-fondateur du CRAN, je ne pouvais pas laisser passer cette ineptie dialogique.
A la sortie du plateau, j’ai apporté les preuves au collègue éditorialiste et aux membres de la chaîne Africa 24 que ce que j’avais dit était fondé. J’ai envoyé des mails une seule fois concernant cette affaire, et non pas comme tu le dis des rafales de mail. D’ailleurs, je tiens à te faire remarquer que l’éditorialiste s’était excusé, qu’il m’avait invité à boire un café, ce qui ne s’est pas fait car nos emplois du temps ne concordaient pas.
Je tiens aussi à te faire remarquer, ainsi qu’aux lecteurs de Congo liberty et à d’autres, que c’est Africa 24 qui est venue me chercher, en l’occurrence deux personnes Karine Jellman et Jules Ahzi Komlan. J’ai commencé au sous-sol, alors que le plateau était en construction. D’autres éditorialistes sont venus me rejoindre. Au départ nous étions bénévoles, et, c’est tout à ton honneur, tu nous as rémunéré sous deux conditions :
Notre statut était celui d’auto-entrepreneur (cela veut dire que nous supportions les charges portant sur notre rémunération, soit 21% environ)
Le montant de la rémunération était de 100 euros l’émission (somme modique compte-tenu des charges mais que j’ai acceptée car je voulais donner un coup de main à un cadet, à savoir toi Nemale). Je te fais remarquer aussi que j’étais celui des éditorialistes le plus disponible pour des points de vue de l’actualité au téléphone à Paris comme à l’étranger. J’ai payé pour répondre aux demandes de la rédaction des sommes folles en matière de téléphone quand je me trouvais au Congo Brazzaville. Par bêtise, mais surtout par volonté de faire réussir Africa 24, je ne t’ai jamais présenté de facture, ni réclamé quoi que ce soit, même quand je devais être sur le plateau pour des émissions spéciales jusqu’à 4 h du matin (élections américaines). Je ne te reproche rien Nemale, j’ai gardé jusque-là le silence, tu m’obliges à dire des choses désagréables, mais je te rassure je n’écrirai jamais un livre sur Africa 24. J’en ai la matière et le contenu, mais je ne balance pas, même des faits réels.
Comme tous les éditorialistes, nous avons un autre métier, nous ne sommes pas des journalistes de formation comme toi qui a commencé ton métier de journalisme dans une revue sportive de basket ball. Mon départ n’est pas le fruit d’une décision collective, mais surtout de la tienne et je la respecte à la suite d’un fait marquant : le départ de Blaise Compaore le 31 octobre 2014 et le commentaire que j’en ai fait sur France 24 au nom de la revue Géopolitique africaine. Je te rappelle que ce commentaire, qui mettait en avant l’importance de Blaise Compaore pour le Burkina Faso, était absolument en phase avec le « Face à nous » (ton émission) de dithyrambe que tu avais fait concernant Blaise Compaore quelques temps avant sa chute. Comment expliques-tu que l’on m’interdise l’entrée du plateau sur lequel le matin même j’étais convié ? Tu étais présent ce soir là sur le plateau, à ma place, avec mon collègue éditorialiste mauritanien. Ce n’est pas une charge, c’est un simple constat. Je m’arrête là. Pourquoi ne pas tu pas convoqué dans ton bureau comme tu sais bien le faire, même si tu affirmes le contraire, pour me dire les raisons de mon départ de la chaine ? Tu dis plus loin dans ton texte que tu ne discutais pas avec les éditorialistes car tu ne les connaissais pas. Faux, tu connais bien Christian Nana dont le frère t’a aidé sur le plan de l’organisation financière de ton business. Cadet, reste toi-même et respectueux d’un comportement qui doit être marqué par le respect de ceux qui te sont utiles dans la vie au sens large.
Dernier point qui me laisse pantois et en sidération et dans lequel tu évoques :
« Cher Lucien, comme tu as essayé de jeter l’opprobre sur cette chaîne, dont tu t’es longtemps réclamé, tu m’offres ici l’occasion de rétablir des vérités aussi limpides à chacun qui aura la décence de nous lire et de faire l’effort de nous croire :
1- AFRICA 24 n’a jamais, je dis bien jamais réalisé depuis sa création le moindre publi-reportage. Vous pouvez me croire, et le vérifier.
2- Il est formellement interdit à tout journaliste, tout responsable de la chaîne de recevoir le moindre perdiem, la moindre enveloppe d’une tierce personne.
3- Il n’existe pas sur cette terre un seul responsable politique, économique ou une tierce personne qui vous témoignera avoir un jour payé un seul centime pour passer sur Africa 24.
4- Africa 24 dispose dans le cadre de sa politique de commercialisation des offres qui sont publiques. Dans ses offres il existe des couvertures spéciales. Mais l’ensemble de ces activités ses font en totale indépendance de la ligne éditoriale de la chaîne.
5- Nous avons su dans le cadre de cette politique commerciale, comme tous les médias internationaux, valoriser la présence à travers les spots de nos clients institutionnels ou commerciaux, en toute indépendance de notre ligne éditoriale.
6- Je mets chacun au défi de me montrer et démontrer une chaine de télévision qui diffuse autant de débats contradictoires sur l’Afrique. Une chaîne qui garantit autant de temps de parole équitable au pouvoir qu’à l’opposition. Et si jamais il vous prenait l’envie de réaliser un décompte scientifique de nos temps de parole vous constaterez de vous même l’obligation de strict respect de temps de parole. »
Ces six points sont les tiens, tes rapports commerciaux ne me concernent pas. Je suis au contraire agréablement surpris qu’il y ait eu une déontologie à Africa 24. Tu dis que tu n’intervenais pas dans nos débats d’éditorialistes, cela est vrai, mais je tiens aussi à te faire remarquer qu’il n’y avait pas de réunion entre nous, éditorialistes, et la direction. Nous n’avions aucun ressenti de ce qui se faisait bien ou mal lors de nos éditoriaux. Les sujets étaient donnés le matin et chacun venait dire sa vérité le soir. Je pense avoir initié une méthode plus rigoureuse que d’autres : parler de l’actualité en me référant à l’histoire du pays concerné.
Je te donne un conseil cadet : tu as eu une idée géniale en créant cette première chaîne d’information et je te remercie de t’avoir aidé à mettre sur orbite ta chaîne. Il suffit pour t’en convaincre de te référer aux nouvelles qui venaient d’Afrique ou demande à Babylas Botton. Te dire ceci ne me fait pas gonfler mon égo : qui suis-je ? Je te rassure, petit frère, patron d’Africa 24, même si certains te dénient ce mot de patron, que « la télé ne me rend pas fou » comme l’a dit un journaliste. Rassure-toi ton aîné ne se mettra jamais à table pour te dénigrer. J’ai toujours tout fait pour défendre la chaîne. A très bientôt. Il n’y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas et tu sais de quoi je parle en matière de business.
Bon vent cadet Nemale, reste sur le pont car la concurrence médiatique en Afrique devient forte.
Respect d’un aîné (Pambou le congolais de Brazzaville) à son cadet (Nemale le camerounais) au nom du panafricanisme et d’une Afrique qui se veut conquérante et collective.
Diffusé le 27 mai 2016, par http://www.congo-liberty.com
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A tous
Vous constaterez que ce débat est né d’un post de Monsieur Pambou. Dans une réponse à Monsieur MPELE, réponse écrite et lisible par tous. ce monsieur a écrit » ……Je vous laisse le soin de me démontrer le contraire. Vous avez le droit d’attaquer le Président Sassou en fonction de vos lectures et de la problématique des biens mal-acquis, mais vous ne pouvez pas dire, comme auraient aimé certains responsables de la chaîne Africa 24, que j’accuse le Président Denis Sassou Nguesso sans preuves. »
et par ailleurs il enchaine en écrivant ……. »En revanche, à ceux qui me demandent de trahir mon intégrité intellectuelle et d’accuser sans preuve des présidents africains en exercice aux motifs que cela leur apporterait une aura pour leurs chaines de télévision, je dis non et vous comprenez pourquoi certains d’entre vous ne me voient plus sur Africa 24 en tant qu’éditorialiste, car je ne suis pas un traître et je n’ai pas la prétention de faire plaisir aux responsables politiques des médias qui m’emploient en critiquant les Présidents africains dont Denis Sassou Nguesso. »
Voilà les deux affirmations écrites qui ont suscité pour la première fois mon intrusion sur votre site et vos écrits. car nous nous devions clairement de rétablir la vérité ses allégations.
1- Monsieur Pambou n’a jamais eu et reçu la moindre indication d’un responsable de cette chaîne sur ces opinions et encore moins des consignes pour critiquer Monsieur Sassou.
2- Monsieur Pampou n’a jamais eu le moindre incident avec la direction d’Africa 24 sur une quelconque ligne éditoriale, car on ne s’est jamais mêlé de quelque manière que ce soit, ni de son recrutement, ni de son esprit critique et encore moins de sa liberté d’expression.
Nous sommes honorés de voir que Monsieur Pambou dans sa réponse, nous donne clairement raison sur ces points et ce sans équivoque. En effet, après avoir reconnu qu’il n’a pas été recruté par moi, Monsieur Pambou il écrit clairement …… » Tu dis que tu n’intervenais pas dans nos débats d’éditorialistes, cela est vrai, mais je tiens aussi à te faire remarquer qu’il n’y avait pas de réunion entre nous, éditorialistes, et la direction »
Donc, de fait, si nous n’intervenons pas. S’il n’y a pas de réunion entre éditorialiste et la direction à aucun moment Monsieur Pambou ne peut avoir reçu consigne de critiquer qui que ce soit. A aucun moment ce monsieur n’a pu être en situation de trahir son intégrité intellectuelle. car nul ne s’autorisait à s’ingérer dans son travail . Cette vérité rétablie par lui même aurait du mettre fin à la polémique et par décence ou humilité suscité une réfléxion plus lucide de ce Monsieur. Mais devant ce beau miroir, il s’est cru obliger d’apporter d’autres mensonges et un certain mépris à ces argumentation. Une nouvelle fois je me crois obligé de corriger ses profondes erreurs et omissions volontaires qui n’honorent pas la mémoire de cet intellectuel.
Surtout que Pambou écrit de nouveau…… « Je suis parti d’Africa 24, non pas sur la base des raisons que tu évoques dans ton papier mais sur des critères précis comme l’algarade dont j’ai été victime sur le plateau, à propos de l’esclavage des Noirs par les Maures en Mauritanie, de la part de l’éditorialiste mauritanien que les téléspectateurs d’Africa 24 connaissent.Mon propos sur les Présidents de chaînes est général car je suis intervenu aussi bien pour Télésud, Vox Africa, Africa n°1, Deutsche Welle, etc., et bien entendu Africa 24. »
Alors que chacun relise la réponse écrite de Monsieur Pambou pour noter son rapport pathologique à la vérité. Il est sidérant de le voir renier ses propres écrits publics.
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Pambou écrit ……. »Depuis mon départ d’Africa 24, je suis resté silencieux, même si sur la place de Paris j’ai été sollicité par certains médias pour écrire des papiers concernant l’ambiance et l’organisation interne au sein d’Africa 24. Certains estiment, à tort ou à raison, que le modèle économique de ta chaîne n’est pas fiable. Ce n’est pas ma tasse de thé et tu vois bien que, jusqu’à ce que tu t’invites dans un débat qui n’est pas le tien, je n’ai jamais critiqué les méthodes de travail de la chaîne. »
Donc pour Monsieur Pambou, écrire un éhonté mensonge indiquant qu’il a cessé sa collaboration à cause de l’intrusion des dirigeants de la chaîne , n’est pas une critique des méthodes de travai de la chaîne. Chacun appréciera. Quel compliment alors!!!!!!!!!!!!!
Monsieur Pambou, Africa 24 existe depuis 2008. N’a pas une dette sociale. Commerciale ou envers quiconque à ce jour. Africa 24 est une chaîne publique. Qui vit de la publicité de ses annonceurs, société privés, et institutions , exclusivement et de la modique redevance des opérateurs. Comme BFMTV, comme LCI, comme CNN, comme I télé. Africa 24 n’est affilé à aucun état et n’a jamais bénéficie de la moindre subvention publique, comme France 24, BBC, Al Jazeera, qui ne vivent que de subventions d’états. Maintenant si vous et les critiques avez un modèle économique fiable, soyez libre de créer votre chaîne et l’Afrique s’en portera mieux.
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Pambou écrit ….. »La vérité est autre. Tu as choisi délibérément le camp de l’éditorialiste mauritanien pour des raisons qui te regardent, tu as fait un jugement à la Salomon et à mes dépends, alors que c’est moi qui avais été insulté tout au long de l’émission. J’ai répondu par l’humour et l’intelligence du dérisoire, ce qui a eu l’heur d’énerver notre ami éditorialiste mauritanien qui a continué de s’étouffer de rage. Je disais une chose simple, vérifiable par tous (l’esclavage noir existe en Mauritanie même si celui-ci est devenu un crime puni par la loi), c’est la vérité et, en tant que co-fondateur du CRAN, je ne pouvais pas laisser passer cette ineptie dialogique.
A la sortie du plateau, j’ai apporté les preuves au collègue éditorialiste et aux membres de la chaîne Africa 24 que ce que j’avais dit était fondé. J’ai envoyé des mails une seule fois concernant cette affaire, et non pas comme tu le dis des rafales de mail. D’ailleurs, je tiens à te faire remarquer que l’éditorialiste s’était excusé, qu’il m’avait invité à boire un café, ce qui ne s’est pas fait car nos emplois du temps ne concordaient pas. »…….
Pourquoi ce monsieur qui se dit panafricaniste se croit-il obligé de citer la nationalité et les origines de son collègue. Avez vous déjà entendu une personne vous qualifiez de Pampou le Congolais ou pour être plus précis de Pambou le Francais, comme vous avez parfois fierté à exhiber cette nationalité comme étendard de votre haute intelligence.
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Pambou écrit ….. » Notre statut était celui d’auto-entrepreneur (cela veut dire que nous supportions les charges portant sur notre rémunération, soit 21% environ)
Le montant de la rémunération était de 100 euros l’émission (somme modique compte-tenu des charges mais que j’ai acceptée car je voulais donner un coup de main à un cadet, à savoir toi Nemale). Je te fais remarquer aussi que j’étais celui des éditorialistes le plus disponible pour des points de vue de l’actualité au téléphone à Paris comme à l’étranger. J’ai payé pour répondre aux demandes de la rédaction des sommes folles en matière de téléphone quand je me trouvais au Congo Brazzaville. Par bêtise, mais surtout par volonté de faire réussir Africa 24, je ne t’ai jamais présenté de facture, ni réclamé quoi que ce soit, même quand je devais être sur le plateau pour des émissions spéciales jusqu’à 4 h du matin (élections américaines). Je ne te reproche rien Nemale, j’ai gardé jusque-là le silence, tu m’obliges à dire des choses désagréables, mais je te rassure je n’écrirai jamais un livre sur Africa 24. J’en ai la matière et le contenu, mais je ne balance pas, même des faits réels.
Comme tous les éditorialistes, nous avons un autre métier, nous ne sommes pas des journalistes de formation comme toi qui a commencé ton métier de journalisme dans une revue sportive de basket ball. Mon départ n’est pas le fruit d’une décision collective, mais surtout de la tienne et je la respecte à la suite d’un fait marquant : le départ de Blaise Compaore le 31 octobre 2014 et le commentaire que j’en ai fait sur France 24 au nom de la revue Géopolitique africaine. Je te rappelle que ce commentaire, qui mettait en avant l’importance de Blaise Compaore pour le Burkina Faso, était absolument en phase avec le « Face à nous » (ton émission) de dithyrambe que tu avais fait concernant Blaise Compaore quelques temps avant sa chute. Comment expliques-tu que l’on m’interdise l’entrée du plateau sur lequel le matin même j’étais convié ? Tu étais présent ce soir là sur le plateau, à ma place, avec mon collègue éditorialiste mauritanien. Ce n’est pas une charge, c’est un simple constat. Je m’arrête là.
Pourquoi ne pas tu pas convoqué dans ton bureau comme tu sais bien le faire, même si tu affirmes le contraire, pour me dire les raisons de mon départ de la chaine ? »
Cher Monsieur Pambou…….Votre modique salaire est celui que touchais tous les éditorialistes de la chaîne Africa 24. ET c’est le salaire fixé d’un commun accord. car vous avez tous signé des contrats d’éditorialistes dans les conditions les plus légales. Et en connaissance. Des conytrats conformes à la législation eu égard à vos statuts par ailleurs. Contrat qui n’ont jamais été remis en cause de quelque manière que ce soit.? Ni par l’inspection du travail, le fisc, ou les Ursaff. Et ce n’est pas faute pour notre entreprise d’avoir subi toutes formes de contrôles annuels depuis sa création.
Africa 24 ne vous dois rien à ce jour. Et de quelque manière que ce soit. Chacune de vos factures y compris les prestations supplémentaires a toujours fait l’objet d’un règlement mensuel. Vous dites avoir travaillé pour France 24, Deutsche Welle, Telesud, et je ne sais quel autre média. Alors publié vos contrats de travail dans ces médias et vos factures et là on saura toute la vérité et le plus simplement du monde.
Finalement votre départ n’est plus lié à votre refus de critiquer M. Sassou à la demande de la direction de la chaîne, mais à ma présence sur le plateau lors de la chute de Blaise Compaoré. mais enfin quand allez vous vous fixer sur une explication plausible. Arrêtez ce vagabondage inutile. l’émission Face à nous de Blaise Compaoré est visible de tous. Sur You Tube. je laisse à chacun le soin de la regarder et de se faire son opinion si cette émission est Dythirambe. Au demeurant je ne vous ai jamais critiqué sur vos opinions sur les antennes d’Africa 24. Mais chacun constatera votre véhémence par le passé à critiquer, injurié des états sur le changement de constitution dans leur pays et dire l’exact contraire sur le congo. Chacun saura que c’est et argumentaire qui a emmené une tension entre vous et un autre éditorialiste au point de dégénérer sur de faux prétextes. Par ailleurs il n’est pas inutile de confirper ici que vous n’avez jamais été convié dans l’émission spéciale lié à la chute de Compaoré. jamais. Et vous le savez si bien. la fiche de production en atteste. ON ne vous a jamais interdit de plateau à Africa 24 durant toute notre collaboration. Même si après vous avoir signifié la fin de cette collaboration vous avez essayé d’intimider mes collaborateurs pour vous revenir à l’antenne.
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Pambou écrit…… »Tu dis plus loin dans ton texte que tu ne discutais pas avec les éditorialistes car tu ne les connaissais pas. Faux, tu connais bien Christian Nana dont le frère t’a aidé sur le plan de l’organisation financière de ton business. Cadet, reste toi-même et respectueux d’un comportement qui doit être marqué par le respect de ceux qui te sont utiles dans la vie au sens large. »
Cher Monsieur pourquoi jeter en patûre dans ce débat le nom de ce monsieur NANA. Ou est le respect dont vous vous réclamez. Par ailleurs connaître une personne et discutter avec cette personne sur son travail sont deux choses différentes. Merci de demander à Monsieur NANA si j’ai pu un seul jour discutter avec lui de ses interventions sur cette chaîne, ou il est resté juste 14 mois….contrairement à vos 4 ans de collaboration.
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Monsieur Pambou écrit « reste sur le pont car la concurrence médiatique en Afrique devient forte. »
Tant mieux, si nous pouvons susciter une concurrence qui a toujours exister. ce sera aussi une chance pour vous de travailler avec d’autres télévisions et d’y prodiguer vos hauts conseils avisés.
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Pambou écrit …… »Il y a une différence entre toi et moi: le rapport aux choses,aux gens et surtout à l’argent. je t’ai toujours félicité pour ta capacité d’organisation, mais, quand on est grand patron d’une chaîne, on laisse ses journalistes travailler, on leur fait confiance et on ne passe pas soi-même dans une émission. Que dirait le public français si Alain Weil, patron de BFM, était en permanence sur le plateau ? Ou Bollore chez Canal Plus ? »…..——————————————-
J’ignorais que Monsieur Pambou était devenu mon conseiller stratégique. je suis honoré et flatté qu’il puisse me comparer à Monsieur WEIL ou à Monsieur Bolloré. Je n’ai pas encore un tel destin financier, mais avec les conseils de Monsieur Pambou ma destinée est toute tracée.
Mais comme ce dernier semble souffrir d’un rapport à l’histoire et à la vérité. je dois lui faire remarquer que je suis journalistes et titulaire d’une carte de presse depuis 1987. J’ai travaillé comme tel à La Nouvelle République de Tour, à Mondial Basket, à M6 et à la chaîne 3A TELESUD que j’avais créée. IL me semble que Monsieur Bolloré et M. Weil n’ont jamais eu de carte de presse. Par ailleurs Serge July fondateur de Libération ne menait-il pas les grandes interviews? Philippe Labro président de D8 sous Bolloré, ne menait-il pas les grandes interviews? Jeap Pierre Elkabach, président sur France télévision et LCP, ne menait-il pas les grandes interviews sur Europe 1 et LCP? des exemples noius en avons à foison.
En quoi le fait pour moi de détenir une émission mensuelle de 30 minutes, empêche les journalistes d’une chaîne 24H/24 de travailler. Monsieur Pambou a t-il déjà eu un écrit d’un journaliste lui indiquant qu’il était empêché de travailler sur Africa 24. Nous diffusons 16 émissions quotidienne. En quoi cette critique a-elle une relation avec la fonction d’éditorialiste de Monsieur Pambou et son mensonge initial sur les raisons de sa fin de collaboration avec Africa 24.
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Monsieur Pambou écrit …….Tu n’as même pas osé me dire dans les yeux (je l’apprends maintenant) pourquoi notre collaboration s’arrêtait. Je te rassure, une note interne que tu as écrite constituait quatre groupes dans lesquels se trouvaient les éditorialistes auxquels on devait faire appel. Camille Sari et moi étions dans le dernier groupe. Tu vois que je suis au courant, et tu dois être étonné. Sois plus dynamique et plus social en matière de collaboration avec ton personnel, sans faux-semblants, sans la fausse modestie comme tu le dis dans ton papier. J’ai été le témoin privilégié, je sais de quoi je parle. »
Monsieur Pambou a un rapporté étrange avec la vérité. Car il décrit par le même écrit la raison profonde de son éviction. Celle de la dispute avec un autre éditorialiste et le comportement injurieux qu’il a eu.
J’ai recu Monsieur Pambou la première fois dans mon bureau, sans doute la seule et unique fois. Je lui ai clairement demandé de cesser ces agissements. Il a récidivé et nous avons mis un terme à la collaboration. Etant averti il n’y avait plus nul besoin de le recevoir. Je lui sais gré de ses conseils en management et en rapport humains. Mais diantre qu’il prenne la peine d’appliquer les leçons qu’ils souhaitent donner aux autres. car dans sa réponses il écrit littéralement à propos de l’éditorialiste avec lequel il a eu un comportement inélégant » D’ailleurs, je tiens à te faire remarquer que l’éditorialiste s’était excusé, qu’il m’avait invité à boire un café, ce qui ne s’est pas fait car nos emplois du temps ne concordaient pas. »
Chacun appréciera la qualité humaine. Une personne vous dites s’excuse, vous invité à boire un café. Vous êtes dans un conflit qui va vous faire perdre une collaboration majeure à vos yeux. Et vous avez un emploi du temps qui ne coincide pas. Et c’est ce Monsieur Pambou qui me le demande d’être plus dynamique et plus social avec mon personnel. Quand il aura fondé son entreprise et va gérer pendant 8 ans 200 collaborateurs, on en reparlera. Warren a dit que je ne suis pas un Ange. je le confirme. Un patron à des devoirs, un employé à des engagements.
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Paumbou écrit ……. »Ne fait pas de l’analyse géopolitique qui veut. Tu me parles de tes relations commerciales, ce n’est pas mon problème, même si je sais que tu as été au Gabon pour l’inauguration de la chaîne Gabon 24. Je m’arrête là, je pourrais continuer…….. ».
Là je reste estomaqué et sur ma fin. Oui j’ai été au Gabon pour l’inauguration de gabon 24 en Mai 2016.Au vu et au su de tout le monde car celà a fait l’objet de sujets télévisés. So what? Et ou est le problème. Avant cette visite j’étais au Cameroun, en Guinée Equatoriale et au Tchad…Juste avant en chine, aux Etats-Unis et à Dubai. Demain je vais au Congo et au Rwanda. Si quelqu’un pense que je dois demander la permission préalable à ce monsieur Pambou pour mes voyages, qu’on en a vise. Je reste interloqué qu’une personne qui a quitté mon entreprise depuis pus de trois ans puisse suivre mon agenda à la trace. Quel rapport avec votre mensonge initial?
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Monsieur Pambou écrit ….. » Mon épouse qui est camerounaise, bamileke comme toi, avec laquelle je suis depuis trente deux ans, m’a dit une chose quand j’ai commencé la collaboration avec toi, que les choses n’iront pas très loin et elle sait de quoi elle parle, il faut toujours écouter les femmes, ce que j’ai manqué de faire. »…..
Cher Monsieur, je suis bamiléké et fier de l’être. D’être Bamiléké, Camerounais, africain et citoyen du monde. Mais que vienne faire mes origines, dans mon travail. Votre épouse vous l’a dit. Très bien. Et vous y êtes restés plus de 5 ans. Et à la in de cette collaboration vous m’avez harcelé de mail pour reprendre votre place. Vous écrivez encore dans ce mail votre désir de retravailler avec moi. Donc manifestement si vous ne savez pas écouter votre épouse au bout de 32 ans de mariage; comment voulez vous que l’on écoute vos mensonges, élucubrations et argumentaires si infantiles.
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Monsieur Pambou écoutez votre femme. Ou tout le moins laisse moi l’écouter si vous êtes si rétif. A travers vos écrit je m’honore de ne plus collaborer avec vous. A travers vos écrits , vous démontrez que votre rapport à la vérité est un luxe que votre statut d’intellectuel ne semble pas apprivoiser. Vous démontrez par ailleurs que votre panafricainisme se pare d’une fragilité déconcertante face à l’argumentaire sur votre pseudo intégrité intellectuelle et l’usage des origines pour qualifié des tiers. Vous avez mis en doute la fiabilité de vos propos et celà ne pardonne pas quand on souffre de vous offrir la moindre once de respect. Vous avez fait le choix d’être francais, alors occupez vous désormais de votre pays avec la plus grande rigueur morale. Et souffrez de ne plus jamais me répondre.
Respectueusement
Lucien Pambou répond à Constant Nemale (ou à quelqu’un d’autre que l’on a laissé faire exprès):
Je suis abasourdi car je retrouve dans la réponse de l’internaute ci-dessus, le texte que j’ai envoyé à Nemale de manière privée pour le prévenir de mon droit de réponse à son texte, et, comme je lui ai dit, je suis bien élevé et bien éduqué.
Je suis surpris que le texte que je lui ai envoyé personnellement pour lui expliquer ma démarche, se retrouve sur cette page. Je ne comprends pas la manière dont la réponse a été formulée car truffée de fautes de syntaxe et d’orthographe et je ne pense pas que Nemale ne fasse pas attention à son orthographe.
Soit Nemale ne sait pas que sa boite mail est piratée (et là c’est grave), soit il a demandé à quelqu’un d’autre de formuler une telle réponse (inaudible et intellectuellement faible).
Quand j’ai dit que l’on pouvait retravailler ensemble, c’est de l’humour et de la dérision comme j’en ai l’habitude: « seules les montagnes ne se rencontrent pas ! ».
Je suis ahuri de constater que le message n’est pas signé de son nom, bizarre quand même quand on est patron de chaîne (à moins qu’il s’agisse d’un lampiste).
Pour moi les choses sont claires, je suis étonné que d’autres personnes que lui (peut-être) lisent ses messages et répondent à sa place. Ce n’est pas très élégant intellectuellement et j’ai dit que je ne souhaitais plus répondre à Nemale mais ce type de torchon mal écrit et très peu inspiré m’oblige à le faire parce que je retrouve dans ce torchon les éléments très précis que j’a envoyé en mail privé, et à lui seul, à Nemale et je suis très étonné (et je le redis encore) de retrouver ces éléments dans la correspondance de cet inconnu.
J’avais dit à Nemale que je répondrais pas, il le sait, si c’était lui qui m’avait écrit, je n’aurais pas répondu.Que les lecteurs de Congo liberty t du Congo voient où se trouve la vérité.
Je ne polémique pas, je présente les faits, mais mon droit de réponse fait perdre pieds à ceux qui m’accusent de tous les maux. Je peux mettre à la disposition de Congoliberty le mail que j’ai fait de façon privée à Constant Nemale et dont le contenu se retrouve dans la réponse mal écrite et mal formulée du dit Nemale.
Lucien Pambou
Nemale, je ne te harcèle pas puisque c’est au vue de de tous et je n’utilise pas le miroir déformant, puisque toi et moi sommes gros, je te demande, s’il te plait de dire ton point de vue aux lecteurs de Congoliberty sur les deux points qui ont motivé ta décision de faire cesser ma collaboration avec Africa 24:
1.mon algarade avec l’éditorialiste mauritanien concernant l’esclavage des Noirs en Mauritanie (vrai ou faux);
2.j’ai fait une analyse sur France 24 de la chute de Compaore qui t’a mis mal à l’aise alors que, quelques semaines avant, tu avais un face à nous joliesque de Blaise Compaore avant sa chute.
Tu as souvent fait peur à tes journalistes, mais pas à Pambou, parce que nous ne combattons pas avec les mêmes armes intellectuelles. Quand tu dis dans ta réponse sur ce site que je m’interroge sur tes origines bamilékés, tu es à côté de la plaque cadet et cher petit frère. C’est la coutume en Afrique de demander les origines, sans y voir un quelconque racisme, comme tu sembles l’insinuer avec le concept « d’origine douteuse bamiléké ». Ma femme est bamilékée, camerounaise comme toi, que cela te plaise ou non et quand elle me parle des bamilékés, je ne suis pas surpris moi le Congolais de Brazzaville.
Allez, ton aîné te demande de répondre aux lecteurs de congoliberty et évite les grandes envolées lyriques et les démonstrations inutiles, va à l’essentiel, cela fera gagner du temps à tout le monde. Tu es vraiment mon cadet et petit frère.
Lucien Pambou
Pavé dans la marre ?
Je retiens de Mr Lucien PAMBOU pour lequel je n’ai aucune empathie, aucune complaisance et encore moins de considération sur ses thèses collabos dictatoriales, des phrases suspectes sur sa réponse à Mr Constant NEMALE.
En effet, mine de rien, Mr PAMBOU en dit plus qu’il ne veut en dire.
Je le cite : « Certains médias m’ont sollicité pour écrire des papiers concernant Africa 24….. Certains estiment que le modèle économique d’Africa 24 n’est pas fiable. »
Que voulez vous dire par là Mr PAMBOU.
Sans en avoir l’air vous en avez dit beaucoup dans ces quelques lignes. Pour toute personne tatillonne comme moi sachant lire à travers les lignes, il est clair et même très claire que vous faites planer une « manne noire » sur le financement d’Africa 24.
Cette chaîne serait t’elle financée par certains dictateurs comme Paul BIYA, SASSOU NGUESSO et compagnie ? Ce qui ne serait d’ailleurs pas étonnant… puisque certaines rumeurs circulent en ce sens depuis belle lurette.
Cela pouvant se confirmer implicitement quand nous avons tous entendu Mr NEMALE dire en direct au dictateur SASSOU NGUESSO, je cite : » les élections présidentielles que vous organisez sont un immense modèle de démocratie dont devait s’inspirer bon nombre de pays africains…. »
Phrase qui m’a fait bondir de mon canapé.
Comme si Mr NEMALE ignore l’affaire dite des disparus du Beach, les assassinats de Marien NGOUAGI, du Cardinal BIAYENDA, de MASSAMBA DEBAT, j’en passe et des meilleures.
Mr NEMALE oubliait en plein direct sciemment la confiscation de la démocratie par un VIOL PUBLIC DE SA PROPRE FILLE MINEURE nommée constitution de 2002 que venait récemment de réaliser SASSOU NGUESSO.
A moins d’avoir troqué la veste journalistique contre celle de propagandiste.
Alors pour une fois Mr PAMBOU, ayez le courage et l’honnêteté d’assumer vos accusations à peine voilée, votre « NON DIT ».
Que voulez vous INSINUER par MODELE ECONOMIQUE NON FIABLE D’AFRICA 24 ?
Oui Nemale, répond!
Au fait, quel est ton rapport à l’argent Nemale? Pambou t’a posé une question très précise qui exige une réponse très précise.
Qu’est-ce que tu es allé faire chez Acrombessi Maixent, avec qui nous t’avions vu au Palais du bord de Mer?
Par ailleurs, pourquoi l’évocation du nom de min condisciple Christian te sort de tes gonds? Est-ce que Lucien Pambou a touché un point sensible de ton jardin secret que tu ne voudrais que personne visite?
Par ailleurs, comment se fait-il qu’avant la chute de Compaoré, tu n’avais que des yeux doux pour lui, comme le dit Lucien Pambou? Que lui réponds-tu sur ce point très précis?
Nemale, le fait de livrer aux chiens la lettre que Pambou t’a envoyé en privé montre ta mesquinerie et ta mechanceté. Tu manques de savoir-vivre. Dans l’ancien temps, ta place au centre correctionnel de Louvakou était guarantie tant ton manque de bonnes manières flagrantes.
Nemale, un conseil: médite l’histoire de Jeune-Afrique Économie et de son Président. C’est dire que dans votre univers journalistique tourné vers le continent, il y a des fautes professionnelles à éviter. La mauvaise querelle avec Lucien Pambou doit prendre fin et sur ce point, ce dernier a raison. Le business n’aime pas le bruit. Tu as plus à perdre que Lucien Pambou dans cette querelle.
Lucien Pambou, nous attendons toujours les sources de ta nouvelle méthodologie de recherche.
Constant Nemale est bien au service des dictateurs africains comme l’etait son compatriote Pascal Talla de Jeune Afrique Économie.
« Africa 24 was founded by Constant Nemale, President of the company Afrimédia SA, based in Saint-Cloud, France. This is turn accounts for a large part of the Holding S.A. Afrimédia International, headquartered in Luxembourg. 20% of this company is owned by the Republic of Equatorial Guinea, and as of 2012 the Republic of Cameroon. AFRIMEDIA has offered it stock to many other African states.
Afrimedia France, editorial administrators of Africa 24, employed 94 staff in 2012. Two unions are officially present at the company. »
Source: Wikipedia sur Africa 24.
Alors, Nemale, Lucien Pambou a le gros bout du bâton comme Theodoro Obiang Nguema qui avait coulé ton compatriote Pascal Talla, de jeune Afrique Économie.
Nemale, Africa 24 = Jeune Afrique = soutien aux kleptocrates dictateurs africains. Aussi, quand Pambou te dit que vous allez vous retrouver en affaires, il sait ce qu’il dit. Quand il parle du modèle d’affaires non viable d’Africa 24, Wikipedia vient confirmer ce qu’il nous disait. Africa 24 a pour financiers les kleptocrates d’Afrique Centrale que vous-même nous avez annoncé avoir visité en allant au Cameroon, Guinea Equatorial, Congo Brazzaville , Gabon et tchad.
Alors, Nemale, faites-vous discret, au risque de subir le sort de Pascal Talla avec son Jeune Afrique Économie qu’obiang Nguema avec l’appui de sassou et bongo avait fait disparaitre.
Tu Es très mal placé comme donneur de leçons. Tu Es aussi crasse que tes kleptocrates de patrons.
Sur le site de Financial Capital, il est ecrit, entre autres, que cette firme du frère de Christian Nana avait aidé Africa 24 de Nemale à se financer en 2008. Donc, l’information livrée par Lucien Pambou est vraie. Mieux, en livrant cette information, Lucien Pambou nous aiguillait vers les kleptocrates africains que Nemale rend visite.
« AFRICA24
Lead Advisor & Financial Advisor
–
Media
France
2008 »
Alors Nemale, est-ce que Lucien Pambou est encore dans le mensonge?
La Posture vaut toujours mieux que l’imposture.
Il est toujours difficile de penser que l’on peut diffamer, injurier et traiter de manière méprisante une entité et se surprendre à la voir vous répondre et rétablir la vérité.
Je n’avais jamais réagi sur ce site. Mais devant l’imposture et le mensonge , je ne vais jamais m’abstenir de rétablir ma version des faits.
Ayez le courage de constater que les arguments et éléments avancés initialement par Monsieur Pambou sont démentis par lui même. Et je me suis arrangé à ne rien sortir de son contexte. ET vous en aurez encore pour preuve les éléments qui suivent.
Ce monsieur me demande de dire mon point de vue aux lecteurs. Sur des faits complètements tronqués. Bien je vais vous aider à mieux comprendre cette vérité et ce sera ma manière de clôre ces mensonges éhontés.
Toutefois vous devez déjà noté la première version des changements de Monsieur Pambou sur les raisons de son départ à Africa 24. Maintenant Ce monsieur apporte de nouvelles versions totalement aussi fausses et voici les raisons.
Pambou écrit : ……. »Nemale, je ne te harcèle pas puisque c’est au vue de de tous et je n’utilise pas le miroir déformant, puisque toi et moi sommes gros, je te demande, s’il te plait de dire ton point de vue aux lecteurs de Congoliberty sur les deux points qui ont motivé ta décision de faire cesser ma collaboration avec Africa 24:
1.mon algarade avec l’éditorialiste mauritanien concernant l’esclavage des Noirs en Mauritanie (vrai ou faux);
2.j’ai fait une analyse sur France 24 de la chute de Compaore qui t’a mis mal à l’aise alors que, quelques semaines avant, tu avais un face à nous joliesque de Blaise Compaore avant sa chute…. »
Quand ce monsieur Pambou comprendra que le mensonge ne peut prospérer devant les faits. Et les voici.
1- Monsieur Pambou, jamais et à grand jamais votre « algarade » sur l’antenne d’Africa 24 dans l’émission ANR du 29 avril 2014,avec l’éditorialiste Mauritanien au demeurant reconnu par tous comme l’un des meilleurs avocats au barreau de Paris n’a été la source de votre éviction d’Africa 24. Même si cette polémique avait entraîné des écrits et mails furieux contre la chaîne de plusieurs téléspectateurs.
2- La seule et unique raison de votre éviction a été la récidive après votre mail initial, injurieux, odieux et parfaitement attentatoire à l’honneur de ce monsieur que vous avez envoyé à toute la rédaction d’Africa 24 et à des personnes externe à notre société en date du Dimanche 4 mai 2014…..Dont voici la trace.
De : lucien pambou
Date : dimanche 4 mai 2014
Objet : A propos de la Mauritanie et du débat sur l’ANR du 29 avril
Si vous avez le courage, la force et la foi publiez ce mail et demandez à tout un chacun si un chef d’Entreprise peut garder un collaborateur qui se permet de telles insultes publiques envers un autre collaborateur.
3- Le 6 mai 2014, vous l’avez sans doute effacé de votre mémoire, je vous ai convoqué et vous ai signifié ma totale désapprobation de ce procédé et de ce type de comportement. Par ailleurs je vous ai signifié que votre collègue n’aurait en aucun cas du avoir ce comportement avec vous à l’antenne et il s’en est excusé. Vous êtes une personne que je tenais en haute estime. Vous m’avez promis par retour de ne plus avoir ce type d’agissements et je vous ai clairement signifié qu’un prochain et tel écart signifierait la fin de notre collaboration.
4- Début octobre 2014, vous vous êtes lancé une énième fois dans un comportement inélégant envers deux de vos collègues éditorialistes avec des échanges publiques. Dont l’un s’est déroulé à proximité de la directrice de la chaîne de télévision et du directeur des opérations. C’est suite à cet incident que nous avons pris la décision de ne plus vous convoquer et de mettre un terme immédiat à votre collaboration avec la chaîne Africa 24.
5- Les actes entraînant la chute de Monsieur Blaise Compaoré se sont déroulés le 28 octobre 2014. Jamais nous ne vous avons sollicité pour intervenir sur notre plateau. Jusqu’à votre écrit de ce jour j’ignorais que vous étiez intervenu sur France 24. car je ne me suis jamais soucié de vos autres interventions dans divers médias. Quand Monsieur Compaoré quitte le pouvoir le 31 octobre 2014, nous ne vous avons jamais sollicité pour intervenir sur nos antennes.
6- En date du 3 novembre 2014, M. Florent un des coordinateurs, alors que vous sollicitiez d’intervenir de nouveau, vous a signifié, que nous ne pouvions plus vous admettre sur notre plateau. Vous m’avez transmis un mail de demande d’explication ce 3 novembre 2014 à 17H48……Et depuis cette date sur mes instructions vous n’avez plus été jamais convoqué pour des prestations comme éditorialistes. Vous pouvez le vérifier.
En date du 4 novembre 2011,à 18H53, j’ai envoyé un mail précis à tous les collaborateurs sur la répartition et la liste des nouveaux éditorialistes, dans laquelle M. Pambou et un autre éditorialiste ne figurait plus. Ce mail se répartissait en trois groupes. Groupe 1- les éditorialistes à solliciter. Groupe 2 – les éditorialistes à ne solliciter que pour les JT et le Groupe 3 : les deux éditorialistes dont on mettait fin à la collaboration. Et depuis cette date la fiche de production en fait foi et celle de notre antenne, plus jamais Monsieur Pambou n’a été sollicité par notre société de quelque manière que ce soit.
7- Donc votre éviction n’est en aucun cas lié aux évènements du Burkina Faso. Il faut de ce point vous rendre à l’évidence et noter qu’en l’espace de trois écrits vous avez donné 4 raisons différentes pour votre éviction d’Africa 24. Autant vous rendre à l’évidence l’explication est plus simple » vos altercations répétitives avec certains éditorialistes ont été la seule et unique décision Et je le dis avec fermeté et courage, car à mon grand désarroi j’ai été un grand fan de vos interventions et de cette manière courage de défendre vos idées et votre vision de l’Afrique.
8- Pour en revenir à Blaise comparoré, je l’ai rencontré exactement 3 fois dans ma vie, dont deux fois pour réalisé un face à nous. Je n’ai jamais reçu de ma vie le moindre cadeau et le moindre présent de M. Compaoré. Africa 24 n’a jamais eu à signer le moindre contrat et reçu le moindre centime du Burkina Faso sous le règne de M. Compaoré. Les comptes de nos sociétés sont à votre disposition.
9- Votre jugement sur l’interview de Monsieur Compaoré , réalisé le 23 octobre 2014 est édifiant de ce que peut être un point de vue. Vous insinuez que j’ai été dythirambique…Ca ne semble pas être l’avis des Burkinabés et pas les plus tendres avec M. Compaoré. veuillez visiter les forums en ce sens.
Toutefois ne pouvant porter un jugement sur mon travail je vous laisse juger en revisionnant cette interview.
http://www.africa24tv.com/fr/face-nous-blaise-compaore-part-1
http://www.africa24tv.com/fr/face-nous-blaise-compaore-part-2
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Monsieur Pambou vous écrivez ……. » Tu as souvent fait peur à tes journalistes, mais pas à Pambou, parce que nous ne combattons pas avec les mêmes armes intellectuelles. Quand tu dis dans ta réponse sur ce site que je m’interroge sur tes origines bamilékés, tu es à côté de la plaque cadet et cher petit frère. C’est la coutume en Afrique de demander les origines, sans y voir un quelconque racisme, comme tu sembles l’insinuer avec le concept « d’origine douteuse bamiléké ». Ma femme est bamilékée, camerounaise comme toi, que cela te plaise ou non et quand elle me parle des bamilékés, je ne suis pas surpris moi le Congolais de Brazzaville.
1- Je ne vis pas d’insinuation. Donnez moi juste le nom d’un seul journaliste d’Africa 24 à qui j’ai eu à faire peur? Cher monsieur, je ne suis pas parfait. mais je constate que l’ensemble de notre management est en place depuis plus de 6 ans au mois, voire depuis la création de la chaîne et que l’essentiel des journalistes cadres de la chaîne sont toujours en place. Oui, je peux prendre des décisions désagréables en cas de divergences profondes avec un employé. Allant jusqu’à la séparation, mais jamais depuis l’existence d’Africa 24, je n’ai eu un conflit éditorial avec un journaliste de cette chaîne de télévision.
2- Il existe une différence profonde entre demander les origines d’une personne et insinuer que du fait de l’origine d’une tierce personne on devrait s’en méfier. Et que votre femme soit de la même origine ethnique que la mienne , ne peut vous dédouaner de porter de telles insinuations qui ne peuvent nous honorer. Il me semble inutile de vous signifier pour certains pays du continent les conséquences d’un tel raisonnement.
Il me semble être allez à l’essentiel, et ne plus à partir de cet instant m’autoriser à vous répoindre sauf si vous devez une nouvelle fois faire entorse à la vérité et prendre une posture qui réflète l’imposture.
Respectueusement,
CN
Réponse à MPONDO MBIMI
Cher M. MBIMI,
Je vous remercie pour vos interrogations, vous constaterez que je vous réponds sans me cacher derrière un pseudo.
Mais je veux vous remettre dans le contexte. La genèse initiale de mon post était la réponse à un post de M. Pambou insinuant qu’il est partie d’Africa 24 sur des faits qu’il décrit comme vous pouvez le lire mais qui ne s’avèrent pas conformes à la réalité.
La suite porte sur des insinuations contre Africa 24, que vous reprenez et pour lesquels vous m’interpellez publiquement. Permettez moi de vous répondre, avec votre aimable autorisation.
MPONDO MPAMI vous écrivez » Je retiens de Mr Lucien PAMBOU pour lequel je n’ai aucune empathie, aucune complaisance et encore moins de considération sur ses thèses collabos dictatoriales, des phrases suspectes sur sa réponse à Mr Constant NEMALE.
En effet, mine de rien, Mr PAMBOU en dit plus qu’il ne veut en dire.
Je le cite : « Certains médias m’ont sollicité pour écrire des papiers concernant Africa 24….. Certains estiment que le modèle économique d’Africa 24 n’est pas fiable. »
Que voulez vous dire par là Mr PAMBOU.
Sans en avoir l’air vous en avez dit beaucoup dans ces quelques lignes. Pour toute personne tatillonne comme moi sachant lire à travers les lignes, il est clair et même très claire que vous faites planer une « manne noire » sur le financement d’Africa 24.
Cette chaîne serait t’elle financée par certains dictateurs comme Paul BIYA, SASSOU NGUESSO et compagnie ? Ce qui ne serait d’ailleurs pas étonnant… puisque certaines rumeurs circulent en ce sens depuis belle lurette. »
Vous dites que vous êtes une personne tatillone. Pourtant vous dites prendre corps sur certaines rumeurs qui circulent depuis quelques temps. Je suis étonné que vous puissiez confirmer de telles affirmations. Toutefois j’ai le devoir de vous confirmer :
1- Depuis la création de notre société Africa 24, toutes les informations sur nos société sont publiques et disponibles sur Internet. Aussi bie sur notre site officiel que sur des sites Tiers.
2- Je suis le créateur initial de ma société et de ce projet qui est né sur mes fonds propres en 2008.
3- après avoir sollicité 20 pays Africains, la République de Guinée Equatoriale est devenu actionnaire en 2009, en prenant 20% des Parts
4- La République du Cameroun est devenue actionnaire en 2012 en prenant 5% des parts. et à augmenter sa participation en 2015. pour monter à 10% des parts. La Guinée Equatoririale descendant à 17%
5- Donc à ce jour dans le Holding du Groupe, ces deux pays sont à 17% et 10% et je détiens via un holding de droit Francais, Nemale Holding 73%. Sincèrement pensez vous qu’au regard de l’actualité dit des Biens Mal Acquis, nous nous amuserions à détenir une manne noire ou à être financé de manière illicite. Alors que tous les comptes bancaires principaux de notre holding sont en France.
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Monsieur MPONDO vous écrivez » Cela pouvant se confirmer implicitement quand nous avons tous entendu Mr NEMALE dire en direct au dictateur SASSOU NGUESSO, je cite : » les élections présidentielles que vous organisez sont un immense modèle de démocratie dont devait s’inspirer bon nombre de pays africains…. »
Phrase qui m’a fait bondir de mon canapé.
Cher Monsieur, Je ne veux pas polémiquer, mais je vous promets de faire des recherches pour trouver quand et à que moment j’ai fait cette déclaration et le contexte précis de ma phrase.
Voici le lien de la dernière émission que j’ai réalisé avec M. Sassou Nguesso lors de la dernière élection 2015 :
https://www.youtube.com/watch?v=5L__24zEZKY
Je voulais juste vous préciser que la République du CONGO n’est pas actionnaire d’Africa 24 à ce jour.
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M. MPONDO vous écrivez ……..Comme si Mr NEMALE ignore l’affaire dite des disparus du Beach, les assassinats de Marien NGOUAGI, du Cardinal BIAYENDA, de MASSAMBA DEBAT, j’en passe et des meilleures.
Mr NEMALE oubliait en plein direct sciemment la confiscation de la démocratie par un VIOL PUBLIC DE SA PROPRE FILLE MINEURE nommée constitution de 2002 que venait récemment de réaliser SASSOU NGUESSO.
A moins d’avoir troqué la veste journalistique contre celle de propagandiste.
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M. MPondo les accusations sont parfois gratuites. Toutefois, je vous prie de me donner le lien d’une émission ou nous avons été complaisants avec M. Sassou.
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M. MPONDO vous écrivez ….. » Alors pour une fois Mr PAMBOU, ayez le courage et l’honnêteté d’assumer vos accusations à peine voilée, votre « NON DIT ».
Que voulez vous INSINUER par MODELE ECONOMIQUE NON FIABLE D’AFRICA 24 ? »
Je vous remercie pour cette demande et je suis aussi preneur de ces explications ou du dévoilement de ces NON DIT…..ET j’en profite pour vous dire qu’une grande chaîne d’information africaine, initié par des Européens, financé par le CONGO émet du monde entier depuis Pointe Noire. Prenez aussi dans le cadre de vos analyses le soin de nous démontrer son Modèle économique.
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M. MPONDO je vous remercie et vous demande juste de ne point considérer ce que nous sommes, ce que nous faisons comme une négation systématique. Posez vos questions on vous répondra en toute transparence. la rumeur et les insinuations ne peuvent être des gages de fiabilité.
Respectueusement.
Réponse à M. Bakala Téléma – Merci pour vos insultes. mais acceptez mes explications.
Cher M. Bakala, je ne vous connais pas. Toutefois, je tiens à vous remercie pour les nombreux conseils que vous m’avez transmis. Certains sont portent des insultes contre ma personne. Je vous ai heurté en répondant à Monsieur Pambou. Je m’en excuses. J’espère que ce ne sera pas le cas en vous répondant. Je tiens ici à vous dire tout le respect que j’ai pour le débat, les échanges d’idées et les opinions diverses.
Vous m’avez demandé de répondre. Alors je respecte vos injonctions.
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M. Bakala vous écrivez »
Oui Nemale, répond!
Au fait, quel est ton rapport à l’argent Nemale? Pambou t’a posé une question très précise qui exige une réponse très précise.
Ma réponse : Cher M. Bakala, j’ai un rapport très sain avec l’argent. Je travaille depuis 1987. Je suis journaliste depuis cette date. J’ai travaillé pour La NOUvelle République de Tours (6 ans) , Mondial Basket (14 ans) J’ai créée la société ETNIUM en 2002, première société de marketing ethnique en France et géré et participé au développement des marques comme DIA et AIRNESS.
Sur mes fonds propres j’ai développé la chaîne 3A TELESUD a sa création de 1998 jusqu’à mon départ avec le concours technique de plusieurs personnes.
J’ai une modeste famille. Je possède deux biens immobiliers en France. Je n’ai pas de compte personne au Panama, ni dans un paradis off shore.
Mes sociétés n’ayant jamais eu à être bénéficiaire je touche un salaire modeste pour un dirigeant de chaîne de télévision de moins de 6000 euros. Un salaire qui est identique à celui de ma Directrice générale.
Notre société en France est considéré suivant une étude spécialisée comme la 36ème société audiovisuelle en France sur 79 société et nous sommes la société dont les dirigeants sont les plus mal payés du secteur audiovisuel en France.
Notre société est auditée chaque année par KMPG un des top 4 du secteur. Et nous avons droit chaque année à un contrôle Urssaff, Fiscal, ou TVA. sans oublier le suivi attentif de l’inspection du travail et de Tracffin. En 12 contrôles sur 8 ans, nous n’avons jamais eu la moindre notification d’une infraction caractérisé.
Je tiens à vous dire que chez AFRICA 24, de moi à mes équipes, nous n’acceptons de quiconque ni perdiem, ni transaction en espèces, ni remise de dons de quelque nature que ce soit. Et que vous ne trouverez jamais un seul être humain vous disant qu’il a du payer une quelconque facture directe pour passer sur Africa 24.
Nos procédures commerciales sont publiques et très encadrés.
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M. Bakala vous écrivez : Qu’est-ce que tu es allé faire chez Acrombessi Maixent, avec qui nous t’avions vu au Palais du bord de Mer?
Ma Réponse…. » Je ne savais pas que je devais répondre de mes déplacements. Toutefois je le fais de bon coeur. Le Gabon a décidé de lancer sa chaîne de télévision d’information Gabon 24, le 24 mai 2016. Chaîne d’information qui n’a aucun lien de quelque nature que ce soit avec Africa 24.
Nous avons été invité à cette inauguration en compagnie de plusieurs médias dont des journalistes de TV5. Nous y sommes allés à nos frais. Par ailleurs ils m’ont fait l’honneur de m’inviter à participer au premier débat sur cette chaîne qui avait pour thème « L’absence des médias africains dans l’information continentale et mondiale ». Débat public, en direct. Qui s’est déroulé en présence des autorités du pays, dont le Président de la République.
Au lendemain de cette cérémonie nous avons été reçu, par le Président de la République au Palais Président par le Président de la République, pour une audience qui a porté sur notre vision complémentaire sur le projet Gabon 24, en compagnie du Ministre de la Communication. Nus étions en présence de journalistes Gabonais.
Dans la salle d’attente nous avons croisé le Directeur de Cabinet Maixent Accrombesi qui a eu une discussion collective de 10 minutes avec le groupe média, dans la salle d’attente.
Je dois avouer que j’ignorais que rencontrer le Président de la république du Gabon, ou son directeur de cabinet pouvait être ne source d’interrogation. Mais comme on vit d’insinuation , je peux vous confirmer être entré avec juste mon téléphone et mon Ipad et être ressorti avec mes deux appareils.
J’en ai profité pour demander une interview à Africa 24 à M. Ali BONGO Ondimba, qui n’a jamais accordé une interview à Africa 24 depuis son arrivée au pouvoir. Pourtant il l’a fait à Voice of América, TV5, France 24 etc….
Par ailleurs sachez que la république du Gabon a acheté en 2015 et 2016 de l’espace publicitaire sur Africa 24. Dans les strictes règles commerciales comme ils l’ont fait sur TV5, France 24, CNN
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Vous écrivez Par ailleurs, pourquoi l’évocation du nom de min condisciple Christian te sort de tes gonds? Est-ce que Lucien Pambou a touché un point sensible de ton jardin secret que tu ne voudrais que personne visite?————————————————————————
Vous connaissez M. Christian NANA mieux que moi sans doute. Vous dites l’avoir perdu de vu. Alors quand vous le rencontrerez prenez le temps d’échanger avec lui sur son parcours aus sein de notre chaîne de télévision.
Je ne suis pas sorti de mes gonds. Et je vous promets il en faut beaucoup pour lme faire sortir de mes gonds. Ca arrive très rarement. ET pas dans ce cas de figure. J’ai juste trouvé inélégant de citer ce monsieur dans un débat pour lequel il n’était pas concerné et de manière biaisé.
Relisez l’écrit de M. Pambou. Il était question de savoir si à titre personnel j’étais une seule fois intervenu auprès d’un éditorialiste dans le cadre de son activité à Africa 24. Et non si je connaissais un éditorialiste. M. NANA ne peut être un point de mon jardin secret. car je n’en ai aucun sur le plan professionnel . Et on peut tout visiter. car notre métier exige une transparence totale.
M. NANA est un aîné. J’ai grandi dans la même ville que lui. Il est aujourd’hui un grand professionnel de la finance, qui a travaillé dans les plus grandes entreprises françaises et internationales à des postes stratégiques et très sensibles. Le connaître est une fierté. Comme celle de vous découvrir à travers ces lignes.
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Vous écrivez : Par ailleurs, comment se fait-il qu’avant la chute de Compaoré, tu n’avais que des yeux doux pour lui, comme le dit Lucien Pambou? Que lui réponds-tu sur ce point très précis?
Sincèrement cher Monsieur que veut dire avoir les Yeux doux pour Monsieur Compaoré? Juste deux faits notoires. Je n’ai rencontré le Président que trois fois dans ma vie et dans mon cadre professionnel. Je respecte M. Compaoré je ne souhaite le juger de quelque manière que ce soit. car je suis incompétent en la matière.
Africa 24 n’a jamais signé le moindre contrat avec le Burkina Faso depuis sa création. Je n’ai jamais eu à bénéficier du moindre avantage quelconque de M. Compaoré.
Voici les deux seules et unique interviews que nous avons eu à réaliser avec M. Compaoré
Le 23 octobre 2014– 5 jours avant sa chute….
http://www.africa24tv.com/fr/face-nous-blaise-compaore-part-1
http://www.africa24tv.com/fr/face-nous-blaise-compaore-part-2
Par ailleurs, juste au lendemain de son investiture, la seule et première interview que le nouveau Président Roch March Christian Kaboré a accordé a été à Africa 24. Pensez vous franchement un seul instant que le nouveau Président du Faso l’aurait fait, si nous avions été des personnes complaisantes ou faisant des yeux doux à M. Compaoré?
http://www.africa24tv.com/fr/face-nous-1ere-interview-du-president-burkinabe-roch-kabore-apres-son-investiture-24
https://www.youtube.com/watch?v=-meSb5IUXL0
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Vous écrivez : Nemale, le fait de livrer aux chiens la lettre que Pambou t’a envoyé en privé montre ta mesquinerie et ta méchanceté. Tu manques de savoir-vivre. Dans l’ancien temps, ta place au centre correctionnel de Louvakou était guarantie tant ton manque de bonnes manières flagrantes.
Cher Monsieur, je vous présente mes plus plates excuses si vous pensez que j’ai heurté votre sensibilité. Autorisez moi à penser que jamais la victime ne sera le bourreau et inversement. La chronologie des faits peut donner une autre approche de vos affirmations.
1- De ma vie je n’ai jamais publié des documents personnelles d’une tierce personne.
2- depuis Octobre 2014, je n’ai jamais échangé avec M. Pambou suite à la fin de sa collaboration avec notre média.
3- Malgré ses multiples écrits, et mails parfois injurieux à ma modeste personne, je n’ai jamais répondu une seule fois.
4- Je ne connaissais point le site Congo-Liberty, jusqu’à ce que des collaborateurs d’Africa 24 reçoivent le post de M. Pambou répondant à M. MPELE et me le transmette. Vous constaterez sur un sujet portant sur le congo et se permette dans ce post de porter des accusations très graves sur ma personne , sur Africa 24. Nous sommes en 2016. M. Pambou a cessé sa collaboration en 2014 et n’a jamais eu à nous citer publiquement. Quand un collabrateur indique que vous lui avez demandé d’insulter un chef d’état » j’estime qu’une telle accusation est d’une extrême gravité. Vous noterez qu’à ce moment, M. Pambou n’a pas jugé utile de m’écrire dans ma boîte mail privé pour m’informer de ces propos.
5- Chaque information est accessible sur le net et visible par tous. M. Pambou quand il publie son droit de réponse suite à ma réaction, croit utile de m’envoyer un courrier qui me dissuade de lui répondre. Là il retrouve comme par hasard, la trace de mon mail pro direct. ceci est un haut acte d’imposture morale. Et la lecture simultané de ces deux écrits en sont la preuve. Je vous laisse prendre le temps de les lire pour vous édifier. J’ai voulu et je souhaite être transparent. Vous ne pouvez jeter la morale d’une personne en publique et sans preuve et faire semblant de dialoguer avec lui sous seing privé simultanément. ceci est un manque de bonne manière. mais je vous donne entièrement raison, on ne peut répondre à un manque de bonne manière, par un manque de bonne manière. je ne connais pas le centre correctionnel de Loukavou, mais tant qu’à choisir une destination ayez l’indulgence de me mettre à Tcholliré ou à Newbell. Promis je vais garder les prochains écrits privés de M. Pambou en lieu sûr…..
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Vous écrivez : Nemale, un conseil: médite l’histoire de Jeune-Afrique Économie et de son Président. C’est dire que dans votre univers journalistique tourné vers le continent, il y a des fautes professionnelles à éviter. La mauvaise querelle avec Lucien Pambou doit prendre fin et sur ce point, ce dernier a raison. Le business n’aime pas le bruit. Tu as plus à perdre que Lucien Pambou dans cette querelle.
Cher Monsieur, Merci pour vos conseils. Je ne connais pas l’histoire de Jeune Afrique Economie, et il ne me semble pas être animé par cette vision.
J’ignore ce que vous entendez par des fautes professionnelles, mais je suis curieux, même à titre privé de les découvrir et de m’abstenir de les commettre.
Si rétablir une vérité est une querelle alors je prends acte. je prends acte aussi que vous nous demandez de nous laissez injurier à tort par des tiers. Et que notre seul acte de défense soit le silence je prends acte.
je pense que cher Monsieur je n’ai individuellement rien à perdre. Africa 24 est une entreprise elle à vocation à vivre et un jour disparaître si tel devait être son destin (Kodak, et des milliers d’entreprises disparaissent chaque année dans le monde et en Afrique) . M. Pambou n’a rien à perdre. La seule chose que nous avons est d’éviter de jeter l’opprobre sur de tierce personne. C’est une question d’éducation.
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Vous écrivez ….. » Constant Nemale est bien au service des dictateurs africains comme l’etait son compatriote Pascal Talla de Jeune Afrique Économie. »
Cher Monsieur cette affirmation est votre opinion, je la respecte. Sur Africa 24 , nous parlons des 54 pays du Continent. Nous consacrons 78% de notre temps d’antenne à des citoyens qui n’occupent aucune fonction officielle et moins de 2% de notre temps d’antenne à des chefs d’Etats. Dans le cadre politiquela moyenne de notre remps d’antenne est de 60% pour l’opposition et 40% pour la majorité présidentielle. Ces chiffres sont des sources officielles et vérifiables de nos rapports d’antenne annuel déposé au CSA Francais et vérifié par eux.
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Vous écrivez : « Africa 24 was founded by Constant Nemale, President of the company Afrimédia SA, based in Saint-Cloud, France. This is turn accounts for a large part of the Holding S.A. Afrimédia International, headquartered in Luxembourg. 20% of this company is owned by the Republic of Equatorial Guinea, and as of 2012 the Republic of Cameroon. AFRIMEDIA has offered it stock to many other African states.
Afrimedia France, editorial administrators of Africa 24, employed 94 staff in 2012. Two unions are officially present at the company. »
Source: Wikipedia sur Africa 24.
Alors, Nemale, Lucien Pambou a le gros bout du bâton comme Theodoro Obiang Nguema qui avait coulé ton compatriote Pascal Talla, de jeune Afrique Économie.
Cher Monsieur, cette information que vous transmettez date de 2012. Depuis certains éléments ont évolué. Il ne me semble pas que Lucien Pambou qui a été un collaborateur très honorable de notre média ai jamais évoqué un jour son intention de couler Africa 24. car il n’en a ni l’envie et ni le pouvoir.
Par ailleurs, j’ai toujours eu un rapport très clair à l’Afrique. A chaque fois qu’un africain entreprend une initiative ma modeste ambition est de le voir réussir au delà de toutes les espoirs initiaux.
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Vous écrivez :::::::::::: » Nemale, Africa 24 = Jeune Afrique = soutien aux kleptocrates dictateurs africains. Aussi, quand Pambou te dit que vous allez vous retrouver en affaires, il sait ce qu’il dit. Quand il parle du modèle d’affaires non viable d’Africa 24, Wikipedia vient confirmer ce qu’il nous disait. Africa 24 a pour financiers les kleptocrates d’Afrique Centrale que vous-même nous avez annoncé avoir visité en allant au Cameroon, Guinea Equatorial, Congo Brazzaville , Gabon et tchad »
Cher Monsieur vous prenez des raccourcis. Vous semblez disposé du label pour désigné celui qui est dictateur et celui qui semble ne pas l’être. Entre cet extrait public de Wikipédia et les informations de notre société ou est la contradiction. En quoi ces extraits donnent des informations sur le modèle d’affaires?
Vos informations probables sur Wikipedia, sont des informations partielles sur notre société.
Vous semblez disposez informations dont je ne dispose pas. Sachez par ailleurs que WIKIPEDIA sont des fiches non officielles réalisés par des tiers. Merci de recouper vos informations dans les sources fiables. Au greffe du tribunal de commerce de Paris vous disposez de toutes nos archives officielles et légales. Vous y avez accès. Soyons logiques, si vous considérez que se rendre dans ces pays est un tort, alors il faut interdire l’accès à ces pays à tous les médias internationaux qui y font parfois plus de reportages que nous. De CNN à Al Jazeera, de BBC à CCTV? de CNBC à Canal plus. Certaines de ces entreprises ont un chiffre d’affaires de plus de 200 millions d’euros rien qu’en afrique centrale et en Afrique de l’Ouest. En travaillant et se développant avec des autorisations et des marchés de nos états. Cherchez l’erreur?
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Vous écrivez ……….Alors, Nemale, faites-vous discret, au risque de subir le sort de Pascal Talla avec son Jeune Afrique Économie qu’obiang Nguema avec l’appui de sassou et bongo avait fait disparaitre.
Tu Es très mal placé comme donneur de leçons. Tu Es aussi crasse que tes kleptocrates de patrons.
Sur le site de Financial Capital, il est ecrit, entre autres, que cette firme du frère de Christian Nana avait aidé Africa 24 de Nemale à se financer en 2008. Donc, l’information livrée par Lucien Pambou est vraie. Mieux, en livrant cette information, Lucien Pambou nous aiguillait vers les kleptocrates africains que Nemale rend visite.
« AFRICA24
Lead Advisor & Financial Advisor
–
Media
France
2008 »
Alors Nemale, est-ce que Lucien Pambou est encore dans le mensonge?…….le mensonge par rapport à quoi? demandez le lui. surtout demandez lui pourquoi sa version initiale de sa fin de collaboration à changer au vu et au su de tous. ?
Cher Monsieur j’ignore la finalité de vos insultes. Pourtant vous souhaitez me donner des conseils.
1- je ne suis et je ne veux être donneur de leçons.
2- Je n’ai à ce stade aucun patron.
3- Vous semblez con aître mieux que moi l’histoire de Jeune Afrique Economie.
4- Malheureusement Financia Capital ne nous a jamais aidé à nous financer. Tout simplement pour une raison très simple : C’est une banque d’Affaires. Elle s’occupe comme toutes les banques d’affaires de la structuration des projets, de l’organisation de son financement et de son conseil. de ce fait elle ne oeut investir et financer les projets de ces clients. Et vous constaterez si vous faites bien vos recherches qu’en 2008, Financia Capital était BMCE Capital, filiale banque d’affaires de la Banque Marocaine du Commerce extérieur , 2ème banque du Maroc.
Si vous avez trouvé cette info sur le site de Financia Capital c’est bien la preuve de la transparence des informations sur nos activités. Tous les intervenants dans notre société, sont publiques et connus. que ce soit les associés, les annonceurs, les conseils, les avocats et les auditeurs.
A trop vouloir chercher le loup, on finit parfois par devenir chèvre. Monsieur BAKALE, je vous invite le plus sincèrement possible à venir nous rencontrer au siège de notre société, à consulter l’ensemble de notre documentation juridique, fiscale, comptable et stratégique, à rencontrer notre personnel et ensuite à rendre compte le plus librement de votre perception. Nous en serions très honoré.
Par ailleurs je me permets de vous l’affirmer j’ai un très grand respect pour vous, pour M. Pambou. Ce respect se doit d’être conforme à la réalité des faits.
Voici ce qu’un tchadien pense de Mr Nemale
» 10 Avril 2010 Publié par Mak
Africa 24 : la chaîne qui réconforte et renforce la dictature au Tchad et en Afrique
constant-nemale.jpgNombreux sont les téléspectateurs tchadiens et africains sur le continent qui sont outrés, scandalisés voir atterrés par l’apologie et le panégyrique développés par M.Constant Nemale, fondateur de la chaîne Africa 24,en faveur d’Idriss Deby, lors de sa récente visite à Paris et au siège de ladite télévision qui se veut panafricaine.
Pour les Tchadiens qui ont suivi à Ndjaména ou de l’étranger, l’accueil en fanfare réservé à Idriss Deby dans vos studios devant votre personnel ; ils ont éprouvé, un sentiment de vomir et de la douleur de voir un éminent journaliste camerounais et africain, se rabaisser à un diapason aussi vil pour faire l’éloge d’un dictateur le plus cruel qui a ensanglanté le Tchad durant deux décennies.
Aujourd’hui, nous avons désormais la preuve irréfutable qu’Africa 24, n’est pas cette chaîne, qui aide le continent à s’émanciper politiquement ou à s’affranchir des régimes les plus liberticides, mais, elle réconforte et les renforce dans leur turpitude la plus indigne.
Nous sommes doublement frappés par votre acharnement de servir les régimes dictatoriaux dont les pratiques heurtent les consciences individuelles, collectives et universelles des peuples qui se battent pour sortir de l’ornière et de l’obscurantisme imposés par ces mêmes dirigeants corrompus et corruptibles.
1- Nous déplorons que vous n’ayez aucune compassion pour les enfants, les veuves, les vieillards et autres citoyens tchadiens et africains paupérisés par Idriss Deby et autres dirigeants les plus véreux ;
2- Nous sommes plus que jamais frappés de stupeur de vous voir, militer allégrement pour le maintien au Tchad et en Afrique, des pouvoirs militaires et autoritaires, qui, chaque jour que Dieu fait, oppriment et répriment sans complaisance leurs sujets dans l’indifférence totale sinon avec la complicité de certaines puissances étrangères soucieuses de préserver leurs intérêts crypto-personnels que d’œuvrer en faveur du respect de la dignité de l’homme par l’homme.
Contrairement à votre vision sur le Tchad et l’Afrique, nous sommes cette génération d’Africains décomplexés, qui se bat sur le continent avec nos propres moyens face à ces redoutables dictatures que vous soutenez bec et ongles aux prix de vos intérêts propres faisant fi des valeurs morales censées animées tout homme libre.
Les Tchadiens et Africains en général, souhaiteraient voir votre chaîne militer aux côtés des victimes mais pas des bourreaux.
L’Afrique émergente n’est pas celle que vous peignez avec des éloges risibles jetés aux dictateurs tchadien et autres, mais plutôt, celle qui est débarrassée des régimes répressifs, liberticides et claniques qui règnent dans la terreur et l’arbitraire.
Cette Afrique naîtra un jour, lorsque des chaînes comme la vôtre, découvre les réalités dans lesquelles Idriss Deby et autres despotes ont plongé leurs peuples dans une misère indescriptible pour les dompter et pour longtemps.
Au finish, notre rédaction rappelle que votre chaîne encourage et soutienne un régime tchadien totalement militaire et autoritaire dirigé par un homme semi-illettré qui, au lieu de dire le Sénégal dit la Sénégal.
Vous imaginez-un peu dans quel terrain vous évoluez ?
Notre blog exprime sa compassion au peuple tchadien et à l’ensemble des Africains, qui, sur le continent , malheureusement, subissent toutes les formes d’injustice sociale des régimes politiques qui se maintiennent indéfiniment aux pouvoirs avec la complicité de certaines élites africaines supposées « intellectuelles » et qui mettent leurs talents depuis la France pour présenter au monde entier l’autre visage d’une Afrique trahie par les siens.
Tout le monde s’interroge ici qu’en faisant ça, avez-vous la conscience tranquille ?
Makaila Ngueblar »
Et ce que Mpelé écrivait à Nemale
»
C’est, par ailleurs, pour aider, à ma façon, Africa 24 à éviter le sort d’un hebdomadaire africain de renom devenu ‘faiseur d’images’ de dirigeants africains, et surtout de ‘l’homme fort’ du Congo, auprès de qui on dépêche d’urgence, à chaque grande actualité, le même journaliste pour le dédouaner et le glorifier, que j’ai tenu à vous adresser cette correspondance.
Je reste convaincu d’être lu à juste raison et vous prie de croire, Monsieur le Président, à l’assurance de mes meilleurs sentiments.
France, 21 décembre 2012
Félix BANKOUNDA-MPELE »
Lettre à Constant NEMALE, Président d’Africa 24 ,par Félix BANKOUNDA-MPELE
Publié le 06/01/2013 par congo-liberty.com.
Mine de rien, ce sujet est très intéressant, surtout que de bonnes nouvelles sont en route depuis Brazzaville.
Réponse à MOKOLO TSONGA ……sur Makaila Guebla.
Cher Mokolo, effectivement mine de rien c’est très plaisant d’échanger et de se forger son opinion. mais il ne faut pas être partial. Juste équitable.
Vous avez retranscris un message de M. Makaila Nguebla sans dire qui était ce cher ami à cette époque.
Mais tout l’historique sur makaila est disponible sur son blog Makaila.fr.
Makaila est un bloggeur et homme politique tchadien très engagé. Qui a lutté et est en opposition frontale avec le Président Idriss Deby. Donc forcément ne peut être neutre sur sa position sur ce régime. D’autant plus qu’il a été réfugié politique du Tchad au Sénégal et ensuite en France.
Makaila a fustigé Africa 24 à travers le courrier que vous nous avez envoyé qui date du 10 avril 2010,soit il y’a 6 ans . ET à l’époque Makaila qui annoncait que le Tchad est investisseur dans Africa 24, après nous avoir interpellé, nous a mis au défi de lui répondre et surtout de venir l’intervievew , si nous n’étions pas selon lui à la solde de M. DEBY. vous avez lu et vu ces propos retranscris sur son blog. mais comme pas hasard vous vous êtes abstenu de les retranscrire aussi. Alors je vous demande l’autorisation de le faire.
——————–Voici la Réponse initiale à ce mail de M. Nguebla——————
0 Avril 2010
Publié par Mak
Africa 24 réagit aux propos du blog de mak
constant nemaleCher Monsieur NGUEBLA,
Nous respectons, votre point de vue. Nous respectons surtout vos qualités d’insultes et de propos aussi éloquents.
Nous sommes même certains, que chaque jour, chaque nuit, vous avez la conscience tranquille d’avoir fait votre devoir. Des abjections à longueurs d’écrits et de croire que celà sert le lit de votre morale d’objecteur de votre propre consience.
Toutefois, ayez l’humilité de croire que l’Afrique nous appartient à nous tous. Ayez l’humilité de croire que l’on ne puisse pas partager la même vision de ce continent que vous. de croire que l’on peut changer notre continent en étant loyaux envers nos idéaux, objectifs devant la réalité de notre quotidien et respectueux des autres.
Pour ce respect, nous pouvons vous dispenser de regarder Africa 24 avec la simple opinion qui est la vôtre, mais de partager aussi celle de millions de personnes qui nous regardent tous les jours et de respecter leur choix.
De regarder notre chaîne en ayant une conscience objective, même si pour vous il faut attendre que ce soit les chaînes e-Européennes dont vous ne cessez de faire l’éloge qui viennent vous monter la forme de réalité qu’ils ont choisi et qui semblent être votre référent.
Nous vous avons invité à plusieurs reprise, lors de votre précédent écrit à venir nous faire partager votre opinion, relisez vous. A venir nous rendre visite et exprimez en toute liberté votre voix, pour qu’enfin vous puissiez réaliser la portée de votre conception du continente et ses habitants à grande échelle. Vous souvenez-vous, nous vous avons même demandé de nous proposer des sujets à réaliser sur votre pays le Tchad, qui puisses soutenir votre conscience objecté, en guise de réponse vous nous votre plume et vos écrits abjects.
Nous vous en remercions, tout en vous garantissant que la première des libertés en démocratie, est la liberté d’opinion.
La seconde, dans ce continent, dont vous vous sentez si propriétaire du droit d’inventaire moral, est le respect des autres.
Cette réponse est tout le respect, que chaque employé de notre chaîne de télévision, vous témoigne.
la Direction.
——————————–.Blog de Makaila Réponse 6 jours plus tard d’Africa 24 à Makaila intitulé remerciements à AFRICA 24——
16 Avril 2010
Publié par Mak
Africa 24 à Dakar pour un reportage sur le blog de mak.
MAK-NICOLASMakaila Nguebla et Nicolas Cuquel d’Africa 24 à Dakar( Sénégal) au studio de la radio Manoré Fm. Cliquez pour agrandir l’image
Chers lecteurs et lectrices,
Nous avons le plaisir de porter à votre connaissance qu’en date du 13 avril, la Direction de la chaîne Africa 24, nous a invité par écrit à faire un reportage sur notre activité de bloggeur opposant à Dakar (Sénégal).
Hier, jeudi 15 avril 2010, un journaliste reporter est arrivé dans la capitale sénégalaise pour effectuer ce travail sur notre modeste personne.
Notre blog se réjouit énormément de l’attention et de l’intérêt que cette chaîne panafricaine porte sur nous et vous nos lecteurs. C’est une preuve supplémentaire que notre combat politique sur le Tchad, ne passe pas inaperçu au plan national, africain et international.
Le reportage sera diffusé sur la chaîne Africa 24 au cours de la semaine prochaine.
Ainsi, notre blog saisi l’opportunité pour remercier tous ceux qui ne cessent de croire à nos valeurs et nous soutiennent régulièrement dans cette phase étroitement difficile que nous menions depuis plusieurs années.
Merci à vous tous.
La rédaction du blog
Lire le message d’Africa 24
Monsieur,
Seriez vous disponible pour une interview permettant de donner votre position et votre vision sur le Tchad.
Nous pouvons la réaliser sur le Sénégal à Dakar ou un de nos journalistes se déplacera cette semaine.
Merci de nous confirmer votre disponibilité et aussi vos contacts.
On pourra réaliser un sujet sur vous et votre blog, ainsi que votre prise de position et votre souhaite de voir évoluer le Tchad.
La Direction.
———————- Voici ce qu’écrit le site internet Leral.net très virulent contre les politiques————
La force d’un blog
Ce blog est très suivi et traite principalement de l’actualité politique tchadienne. « C’est un moyen d’expression parce qu’au Tchad, les médias sont étouffés, la société civile réduite au silence et l’opposition est presqu’inexistante. Il n’y a pas d’alternatives au Tchad. Les Tchadiens sont bâillonnés face à un pouvoir qui refuse l’ouverture médiatique et démocratique. Seule une médiatisation peut dénoncer la situation qui prévaut au Tchad. Ce blog c’est l’interface entre les Tchadiens et l’international », souligne-t-il. Ce blog c’est son «arme ». Au moment où ses autres frères s’engagent dans l’opposition armée tchadienne, pour combattre le pouvoir d’Idriss Deby Itno, lui, à travers sa « plume combattante », lance des roquettes sur la « gestion opaque des ressources du Tchad », mitraille la « démarche autocratique des autorités tchadiennes » et pilonne « l’absence de démocratie et d’ouverture médiatique » dans son pays d’origine. « Ce blog est alimenté par mes textes, les contributions d’amis tchadiens et africains », dit-il.
Les bâtons dans les roues de la liberté d’expression
Ce blog, avec un fort taux de pénétration quotidien et la qualité des textes publiés, a fait l’objet d’un reportage de la part d’Africa 24. Une équipe de cette chaîne africaine, basée à Paris, a fait un aller-retour Paris-Dakar-Paris pour voir en chair et os l’homme, le blogueur qui « empêche au pouvoir de Ndjamena de dormir sur ses deux oreilles ». A l’instar des régimes tyranniques qui essaiment dans le continent africain, ce succès est mal digéré par Ndjamena. Il reçoit souvent des menaces à travers les commentaires de son blog : « Les menaces ne peuvent pas me dissuader de continuer le combat. Je mène cette lutte pour le bien-être des Tchadiens, pour une justice sociale équitable, une liberté politique et l’égalité entre tous les Tchadiens.» Pourquoi une révolution tchadienne à partir du net ? Une option qui serait souhaitable parce de rien, le président tchadien, Idriss Deby Itno, est au pouvoir depuis 1990. Vingt ans de règne sans alternance !
Outre les menaces, le renouvellement de son passeport est bloqué sans aucune explication valable : « Les autorités tchadiennes ont refusé de me confectionner un autre titre de voyage. La date de mon passeport est expirée mais jusqu’à présent pas de renouvellement ». Les démarches faites par sa famille établie au Tchad sont vaines. Elle est toujours renvoyée aux calendes grecques. Ce refus empêche à Makaila de voyager et de porter, dans d’autres contrées, les revendications du peuple tchadien et de bien mener son combat. Il tente d’expliquer ce comportement des autorités étatiques de son pays : « Au Tchad, tu ne peux pas s’afficher politiquement en toute liberté. Si tu ne fais un acte d’allégeance au pouvoir tu es condamné à vivre éternellement dans l’opposition avec tous les risques qui peuvent en découler.»
——- Epilogue——————–
M. Nguebla Makaila, n’a pas cessé depuis 2010 d’échanger avec nous. Parfois de nous orienter sur des sujets.
MM. Majkaila, qui vit à paris depuis des années est passé à plusieurs reprises dans nos locaux à la rencontre des journalistes.
Demandez lui directement ce qu’il pense de notre couverture de l’actualité au Tchad, de la présence de l’opposition Tchadienne sur nos antennes. Il aura la force de l’honnêteté de vous le dire.
Aucune télévision au monde, n’a diffusé, relayé et diffusé des reportages sur le Tchad et surtout l’opinion de son opposition comme Africa 24 l’a fait. Vous pouvez aisément le vérifier sur tous les moteurs de recherche.
————————Nous ne prendrons jamais mal vos critiques…..Jamais. Nous chercherons toujours à nous améliorer, en vous écoutant et en suivant vos conseils—————————————
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Voici ce qu’un tchadien pense de Mr Nemale
» 10 Avril 2010 Publié par Mak
Africa 24 : la chaîne qui réconforte et renforce la dictature au Tchad et en Afrique
constant-nemale.jpgNombreux sont les téléspectateurs tchadiens et africains sur le continent qui sont outrés, scandalisés voir atterrés par l’apologie et le panégyrique développés par M.Constant Nemale, fondateur de la chaîne Africa 24,en faveur d’Idriss Deby, lors de sa récente visite à Paris et au siège de ladite télévision qui se veut panafricaine.
Pour les Tchadiens qui ont suivi à Ndjaména ou de l’étranger, l’accueil en fanfare réservé à Idriss Deby dans vos studios devant votre personnel ; ils ont éprouvé, un sentiment de vomir et de la douleur de voir un éminent journaliste camerounais et africain, se rabaisser à un diapason aussi vil pour faire l’éloge d’un dictateur le plus cruel qui a ensanglanté le Tchad durant deux décennies.
Aujourd’hui, nous avons désormais la preuve irréfutable qu’Africa 24, n’est pas cette chaîne, qui aide le continent à s’émanciper politiquement ou à s’affranchir des régimes les plus liberticides, mais, elle réconforte et les renforce dans leur turpitude la plus indigne.
Nous sommes doublement frappés par votre acharnement de servir les régimes dictatoriaux dont les pratiques heurtent les consciences individuelles, collectives et universelles des peuples qui se battent pour sortir de l’ornière et de l’obscurantisme imposés par ces mêmes dirigeants corrompus et corruptibles.
1- Nous déplorons que vous n’ayez aucune compassion pour les enfants, les veuves, les vieillards et autres citoyens tchadiens et africains paupérisés par Idriss Deby et autres dirigeants les plus véreux ;
2- Nous sommes plus que jamais frappés de stupeur de vous voir, militer allégrement pour le maintien au Tchad et en Afrique, des pouvoirs militaires et autoritaires, qui, chaque jour que Dieu fait, oppriment et répriment sans complaisance leurs sujets dans l’indifférence totale sinon avec la complicité de certaines puissances étrangères soucieuses de préserver leurs intérêts crypto-personnels que d’œuvrer en faveur du respect de la dignité de l’homme par l’homme.
Contrairement à votre vision sur le Tchad et l’Afrique, nous sommes cette génération d’Africains décomplexés, qui se bat sur le continent avec nos propres moyens face à ces redoutables dictatures que vous soutenez bec et ongles aux prix de vos intérêts propres faisant fi des valeurs morales censées animées tout homme libre.
Les Tchadiens et Africains en général, souhaiteraient voir votre chaîne militer aux côtés des victimes mais pas des bourreaux.
L’Afrique émergente n’est pas celle que vous peignez avec des éloges risibles jetés aux dictateurs tchadien et autres, mais plutôt, celle qui est débarrassée des régimes répressifs, liberticides et claniques qui règnent dans la terreur et l’arbitraire.
Cette Afrique naîtra un jour, lorsque des chaînes comme la vôtre, découvre les réalités dans lesquelles Idriss Deby et autres despotes ont plongé leurs peuples dans une misère indescriptible pour les dompter et pour longtemps.
Au finish, notre rédaction rappelle que votre chaîne encourage et soutienne un régime tchadien totalement militaire et autoritaire dirigé par un homme semi-illettré qui, au lieu de dire le Sénégal dit la Sénégal.
Vous imaginez-un peu dans quel terrain vous évoluez ?
Notre blog exprime sa compassion au peuple tchadien et à l’ensemble des Africains, qui, sur le continent , malheureusement, subissent toutes les formes d’injustice sociale des régimes politiques qui se maintiennent indéfiniment aux pouvoirs avec la complicité de certaines élites africaines supposées « intellectuelles » et qui mettent leurs talents depuis la France pour présenter au monde entier l’autre visage d’une Afrique trahie par les siens.
Tout le monde s’interroge ici qu’en faisant ça, avez-vous la conscience tranquille ?
Makaila Ngueblar »
Et ce que Mpelé écrivait à Nemale
»
C’est, par ailleurs, pour aider, à ma façon, Africa 24 à éviter le sort d’un hebdomadaire africain de renom devenu ‘faiseur d’images’ de dirigeants africains, et surtout de ‘l’homme fort’ du Congo, auprès de qui on dépêche d’urgence, à chaque grande actualité, le même journaliste pour le dédouaner et le glorifier, que j’ai tenu à vous adresser cette correspondance.
Je reste convaincu d’être lu à juste raison et vous prie de croire, Monsieur le Président, à l’assurance de mes meilleurs sentiments.
France, 21 décembre 2012
Félix BANKOUNDA-MPELE »
Lettre à Constant NEMALE, Président d’Africa 24 ,par Félix BANKOUNDA-MPELE
Publié le 06/01/2013 par congo-liberty.com.
Mine de rien, ce sujet est très intéressant, surtout que de bonnes nouvelles sont en route depuis Brazzaville.
Bien que Lucien Pambou fasse faute route dans ses analyses, peut-être à dessein, Monsieur Nemale, le Président de l’entreprise qui emploie plus de 200 salariés ne brille pas pour autant par sa perspicacité, dans des réponses qui prennent l’allure d’une cabale contre son ancien collaborateur.
En personne responsable et de bonne éducation, il eut été plus sage de prendre directement contact pour s’expliquer avant tout dérapage public, d’autant plus que vous semblez avoir la possibilité de communiquer part mail.
Ce qui est positif, c’est le fait de pouvoir nous donner la possibilité de juger, publiquement de votre crédibilité en termes accointance avec les despotes africains.
Nous sommes tous partisans du panafricanisme, lorsqu’il n’est pas nivelé par le bas, à travers un mécanisme tendant à servir de vitrine publicitaire des pouvoirs qui brillent par leur opacité, comme peut en témoigner les indices en terme de bonne gouvernance ou de corruption dans le monde.
Je ne pourrais juger avec pertinence votre chaine dans la mesure où je ne perds pas mon temps à la regarder.
Les quelques occasions hasardeuses où les images se sont imposées à mes yeux en faisant le zapping, ce fut un traumatisme ; écœuré de me retrouver en face des publicités de projets gouvernementaux du genre « chemin de l’enfer » ou « municipalisation décélérée ».
Il est évident que, dans des pays où, malgré les fameuses municipalisations, la majorité de la population se trouve en incapacité de satisfaire aux besoins essentiels, le fait de profiter d’une partie des recettes pétrolières, à travers la facturation des publicités démagogiques, ne peut que constituer un potentiel de croissance, dans un univers où les pouvoirs despotiques sont légions.
Il y a bien de quoi faire le tour du contient.
Pour finir, que pensez-vous de cette déclaration prêtée au ministre équato-guinéen de l’Information, de la Culture et du Tourisme, par plusieurs médias, lors du lancement de la chaine Africa24 en mai 2009 :
« Notre Président de la République a profité des revenus pétroliers pour financer le démarrage de cette chaine qui se veut panafricaine. »
http://wuitamoutopona.over-blog.com/2015/08/afrique-centrale-la-guerre-des-teles.html
Pierre Moukala – le Dialogue et le débat ne peuvent en aucun cas être réducteur…..
Cher Pierre,
Contrairement à une certaine attitude qui consiste à prendre de haut ces interlocuteurs, j’ai toujours pensé que le meilleur dans le débat reste l’explication transparente et claire et dans le pur respect du parrallélisme des formes. Vous vous invitez dans ce débat en m’interpellant publiquement, permettez moi de répondre à votre interpellation. Car vous avez l’immense mérite d’ouvrir un débat réel, profond et sans langue de bois.
Mais je tiens à le préciser et à le confirmer, jamais je ne me serais invité dans ce débat qui a dérivé si ma personnalité morale, et mon intégrité n’avait fait l’objet d’un remise en cause publique de la part d’un ancien collaborateur de notre chaîne.
Par ailleurs depuis sa création et dans un souci de transparence de ses actes, Africa 24 a toujours mis un immense respect à répondre à toutes les interrogations dont il fait l’objet.
Merci d’accepter mes réponses ci dessous.
—————————————————————-
Pierre MOUKALA dit :
29/05/2016 à 11:21
Vous écrivez …… » Bien que Lucien Pambou fasse faute route dans ses analyses, peut-être à dessein, Monsieur Nemale, le Président de l’entreprise qui emploie plus de 200 salariés ne brille pas pour autant par sa perspicacité, dans des réponses qui prennent l’allure d’une cabale contre son ancien collaborateur.
En personne responsable et de bonne éducation, il eut été plus sage de prendre directement contact pour s’expliquer avant tout dérapage public, d’autant plus que vous semblez avoir la possibilité de communiquer part mail. »
___________________
Cher Pierre je n’ai jamais eu l’intention de mener la moindre cabale contre Monsieur Pambou, pour la simple et unique raison que je n’ai jamais eu le moindre conflit avec lui. Par ailleurs, je dois vous l’avouer comme je l’ai déjà à maintes fois écrit, s’il a collaboré pendant plusieurs années avec notre groupe c’est aussi la preuve de son brio et de toute l’admiration que je pensais lui porter en restant à ma place de téléspectateur comme vous et moi. Partageant avec la passion qui le caractérises ses brillantes analyses qui peuvent être sujet à débat ou non. car telle était l’initiative de sa présence, nous pousser à la réflexion.
M. Pambou a initialement interpellé publiquement notre société sur des faits d’une extrême gravité au vu et au su de tous. provoquant de nombreuses réactions de tiers. Lui répondre à titre privé aurait été vous le conviendrez avec moi une forme de dérobade de notre part. M. Pambou a cessé sa collaboration avec notre entreprise sur des faits précis qu’il a fini par reconnaître et mieux expliquer clairement après notre mise au point. Il eut été plus classe de sa part, au vu de sa haute respectabilité, de dire cette vérité initiale.
Nous n’avons et n’aurons aucune cabale contre quiconque et encore moins contre une personne de sa dimension qui a pris et assumé tous ses risques en collaborant avec nous. Je prends acte de vos remarques et je vais tâcher d’être désormais une personne responsable et de bonne éducation.
———————————————————————————————————————–
Vous écrivez……. » Ce qui est positif, c’est le fait de pouvoir nous donner la possibilité de juger, publiquement de votre crédibilité en termes accointance avec les despotes africains.
Nous sommes tous partisans du panafricanisme, lorsqu’il n’est pas nivelé par le bas, à travers un mécanisme tendant à servir de vitrine publicitaire des pouvoirs qui brillent par leur opacité, comme peut en témoigner les indices en terme de bonne gouvernance ou de corruption dans le monde.
Cher Pierre, Africa 24 est une entité qui mène des actions publiques et visibles de tous. Votre jugement est propre à vous. La parole étant libre. Dès le premier jour je n’ai jamais caché qui avait participé au financement de cette chaîne. ce n’est pas pour autant que ca altère notre indépendance éditoriale.
Vous dites que nous servons de vitrine publicitaire à des pouvoirs qui brillent par leur opacité.
Cher Pierre, j’ignore le sens de l’opacité telle que vous le définissez. Je dois reconnaître comme je l’ai toujours dit que chacun est libre de se faire son opinion. Une télévision qui diffuse des publicités de Bière ou d’alcool, est-elle plus moralement acceptable?
1- le propre d’une télévision commerciale est de diffuser les publicités de ces clients.
2- Sur notre antenne que nous ne regardez pas, ces spots des états sont diffusés avec la mention clairement visible de l’insigne » publicité ».
3- Il faut savoir que notre chaîne étant une société de droit internationale, nos publicités sur les antennes sont soumises à vérification des autorités compétentes CSA, BVP ( Bureau de vérification des publicités) , etc….
4- Il est important de noter que les mêmes publicités que vous nous reprochez de diffuser font l’objet de diffusion sur des antennes de quasiment tous les médias internationaux,vous pouvez le vérifier autrement.
5- Ces achats d’espaces publicitaires sont liés d’abord et avant tout aux audiences des médias. la société de référence qui publie les audiences des médias internationaux est TNS SOFRES, avec lequel nous n’avons aucune relation commerciale.
6- Pierre s’il me semble pertinent de valider les publicités gouvernementales en fonction des indices de bonne gouvernance et de corruption dans le Monde, au mieux seul dix états ne pourront être en mesure de communiquer. Je vous donne un exemple : le montant des seuls procédures judiciaires en France pour corruption et détournement de fonds en 2015 est supérieur au montant de la corruption en Afrique centrale ( prenez les sommes su scandale areva, frégates de taiwan etc…) et vous serez édifiez. Pourtant la France finance entièrement sur fonds publics ces médias et mieux
7- Pierre vous parler des indices de bonnes gouvernances ou de corruption dans le monde. Je vous prie éclairer nous: A quel organisme faites vous référence et dites nous qui finance ces organismes.
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Vous écrivez………. » Je ne pourrais juger avec pertinence votre chaine dans la mesure où je ne perds pas mon temps à la regarder.
Les quelques occasions hasardeuses où les images se sont imposées à mes yeux en faisant le zapping, ce fut un traumatisme ; écœuré de me retrouver en face des publicités de projets gouvernementaux du genre « chemin de l’enfer » ou « municipalisation décélérée ».
Il est évident que, dans des pays où, malgré les fameuses municipalisations, la majorité de la population se trouve en incapacité de satisfaire aux besoins essentiels, le fait de profiter d’une partie des recettes pétrolières, à travers la facturation des publicités démagogiques, ne peut que constituer un potentiel de croissance, dans un univers où les pouvoirs despotiques sont légions.
Il y a bien de quoi faire le tour du contient.
1- Vous dites ne pouvoir juger notre chaîne avec pertinence, je prends acte, car vous ne la regarder pas. Mais vous êtes capable de porter des jugements sur son contenu. Sacré paradoxe.
2- Vous dites les occasions hasardeuses vous vous êtes retrouvés avec des publicités gouvernementales. Cher Pierre dans notre rapport d’activité 2015, déposé au CSA, nous avons répertoriés 72 annonceurs. Dont 13 annonceurs gouvernementaux, 45 annonceurs entreprises privés et 14 annonceurs institutionnels.
3- Pierre si nous devons juger un annonceur gouvernemental à l’aune de l’ensemble de sa politique sociale, économique, gouvernance, etc….je dois vous avouer notre incompétence. Si nous devons le faire pour l’Afrique alors appliquons le à tous les médias internationaux de manière équitable.
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Vous écrivez ……. » Pour finir, que pensez-vous de cette déclaration prêtée au ministre équato-guinéen de l’Information, de la Culture et du Tourisme, par plusieurs médias, lors du lancement de la chaine Africa24 en mai 2009 :
« Notre Président de la République a profité des revenus pétroliers pour financer le démarrage de cette chaine qui se veut panafricaine. »
http://wuitamoutopona.over-blog.com/2015/08/afrique-centrale-la-guerre-des-teles.html »
1- Nous n’avons jamais caché, et ce depuis notre création en 2008, que la République de Guinée Equatoriale est actionnaire à hauteur de 20% initialement et désormais 17% de notre société. ce sont des informations officielles et publiques.
2- Il s’agit d’un investissement financier. Nous sommes une société de droit privé, dont le siège est au luxembourg et en France. Cher Pierre Qui contribue aux revenus pétroliers de la Guinée Equatoriale? Ce sont les Etats-Unis…la France…La Chine ( rapport banque mondiale) …….
Que le ministre le dise est la preuve de notre transparence. Un actionnaire a le droit d’investir dans la société de son choix. Tout comme il a le droit de la quitter quand il le jugera nécessaire.
3- cher pierre dans le même blog que vous citez en référence et que vous avez parfaitement lu, il est écrit ceci « Un autre projet et non des moindres, est en train de prendre corps au Congo Brazzaville. Il s’agit d’Africanews qui sera la version africaine d’Euronews. En janvier 2014, Michael Peters, Président du Directoire d’Euronews, et Jean Obambi, Directeur Général de Télé Congo, ont signé à Brazzaville, un « accord de coopération » pour le lancement d’une télévision panafricaine d’information en continu, Africanews. Que cette nouvelle chaine d’information voie le jour sous le parrainage du Président Denis Sassou Nguesso, et qu’elle émette depuis Brazzaville, est tout sauf anecdotique. La capitale congolaise entend être dans les prochaines années, une plaque tournante du continent à partir de laquelle moult actions dans les domaines des affaires, de la culture et du sport, prendront naissance. Ce n’est donc pas un hasard, si la chaine envisage d’émettre en français, en anglais, en arabe et en swahili. Ces différents projets médiatiques charrient certes des arrière-pensées nombrilistes, mais ils pourraient être utiles dans la bataille de l’information qui a cours actuellement dans le monde. Les Africains souhaitent de plus en plus être informés sur l’Afrique et le monde par des professionnels africains. Il est temps que les problématiques africaines ne soient plus appréhendées sous des paradigmes exclusivement empreints de catastrophisme. Le continent est en pleine évolution et en pleine croissance économique. Les médias audiovisuels ont un rôle essentiel à jouer. »
Cher Pierre que pensez vous de cette analyse? Nous sommes disponibles pour continuer ce débat et es échangesen privé si vous le souhaitez et échanger avec vous à travers une visite de notre siège à votre convenance.
merci pour votre contribution.
Monsieur Nemale,
vous êtes un manipulateur car en publiant le mail privé que Pambou vous a envoyé, vous avez voulu prouver qu’il se trompait. la réalité est autre. vous avez une politique entrepreneuriale inacceptable.
1. Vous vous séparez des collaborateurs sans leur donner de raison,
2. Pambou vous a fait de l’ombre car vous n’êtes qu’un reporter de Basket ball.
3. Pambou est brillant, ce que vous n’êtes pas, même si je ne suis pas en accord avec ses analyses brutales sur l’Afrique et sur les Présidents.
4. Pambou est une grande gueule qui souhaite initier une méthode de nouvelle analyse des faits politiques africains
JEAN BARRY- Merci pour vos argumentations……..Voici mon opinion.
Cher Jean Barry, il est toujours facile d’accuser en se basant sur des éléments infondés. Mais permettez moi de vous répondre humblement.
Jean Barry dit :
29/05/2016 à 21:40
Vous écrivez :
Monsieur Nemale,
vous êtes un manipulateur car en publiant le mail privé que Pambou vous a envoyé, vous avez voulu prouver qu’il se trompait. la réalité est autre.
Je vous réponds. Je respecte votre opinion mais vous semblez vouloir faire fi des faits que je me permets de vous remettre en perspective.
a) M. Pambou a publié des informations erronées et des critiques sans fondément sur Africa 24 dans ce blog. Et ce sans m’en avertir au préalable ce ui est son droit.
b) découvrant celà, j’ai publié un droit de réponse. Par le même biais.
C) Pour me répondre M. Pambou a publié un droit de réponse public, visible par tous. Et simultanément m’a envoyé un mail synthèse de son droit de réponse, avec une argumentation contraire. J’ai estimé que pour la clarté des opinions les deux éléments devaient être rendu visibles de tous. Si la transparence est manipulation, alors j’assume mon geste.
Vous écrivez : vous avez une politique entrepreneuriale inacceptable.
Je respecte une nouvelle fois votre opinion. Je n’ai jamais prétendu être un manager exemplaire. J’apprends tous les jours modestement. Et votre opinion me permettra sans doute de mener une politique managériale acceptable. Toutefois permettez moi de vous répondre sur les points 1 à 4.
1. Vous vous séparez des collaborateurs sans leur donner de raison
Je ne me suis jamais séparé d’un collaborateur sans donner des raisons. La loi du travail vous l’interdit formellement. Et quand le collaborateur conteste vous vous retrouvez au Prudhomme. Dans le cas d’un contrat de prestation vous courrez le risque d’une rupture abusive et sans cause.. Dans le cas de Monsieur Pambou qui avait un contrat de prestation, il a clairement eu les raisons de cette séparation et les écrits sont là pour le prouver. Mais croyez moi, aucune séparation n’est élégante et porte ses germes de douleurs. Surtout quand vous portez une véritable et haute estime à la personne au moment des faits.
2. Pambou vous a fait de l’ombre car vous n’êtes qu’un reporter de Basket ball.
Je ne renie pas mon statut de reporter de basket et cette carrière dans le basket dont les résultats sont à votre disposition. Mais pour faire de l’ombre à une personne il faut bien que cette dernière se sente attirer par une quelconque lumière. Ce qui n’a jamais été mon cas. Je n’ai jamais eu le moindre souci du monde ni personnel , ni sur le plan du travail avec M. PAMBOU. Et je suis perplexe de réaliser que c’est au bout de 4 ans…..que cette ombre puisse devenir encombrante. Et si je devais prendre la métaphore du basket, tous les joueurs sur un terrain n’ont pas la même caractéristique. M. Pambou est un super pivot, et moi je suis un petit meneur. A l’arrivée c’est le travail et le résultat d’une équipe qui compte.
3. Pambou est brillant, ce que vous n’êtes pas, même si je ne suis pas en accord avec ses analyses brutales sur l’Afrique et sur les Présidents.
Cher Barry, je n’ai jamais revendiqué être brillant. J’ai assez d’humilité croyez moi pour savoir rester à ma place et ne pas me prendre pour ce que je ne suis pas. J’assume les limites de mes compétences. Et je ne nourris pas le moindre complexe pour ceux qui sont brillants à vos yeux. Et si vous souhaitez une confirmation de ma part je peux vous dire que nous partageons la même opinion. Oui M. Pambou est brillant et très pointue. Je ne partage pas les mots et la dureté des propos à son encontre sur ce blog. Je l’ai toujours pensé et le lui ai toujours dit en face sans la moindre once d’ambiguités et avec toute le respect que le cadet que je suis lui doit.
4. Pambou est une grande gueule qui souhaite initier une méthode de nouvelle analyse des faits politiques africains
Dommage sur ce point. Monsieur Pambou n’est pas une grande gueule, il est un intellectuel réfléchit et assez stratège pour valoriser ses idées et ses opinions. C’est en celà comme je l’ai écrit qu’il est un super éditorialiste. il sait rendre vif un débat, contrairement à des grandes gueules qui braillent parfois sans faire évoluer le débat. Par son analyses clivantes, Monsieur Pambou pousse chacun de nous à réfléchir sur les faits politiques africains.
Pour ma part, simple reporter de basket , je me contente d’apprendre à travers les arguments des uns et des autres.
MERCI À TOUS POUR LE DÉBAT CONTRADICTOIRE.
LA POLÉMIQUE EST CLOSE !