L’ONU va renvoyer chez eux les Casques bleus congolais déployés en Centrafrique
Les quelque 600 soldats du bataillon, qui opèrent à Berberati, sont notamment accusés d’agressions sexuelles.
Accusés d’agressions sexuelles, plus de 600 soldats du Congo travaillant pour les Nations unies en Centrafrique vont être renvoyés chez eux, ont révélé, lundi 19 juin, plusieurs responsables onusiens. Ce départ doit être officialisé mardi lors d’une conférence de presse par le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres.
Cette décision survient après un rapport accablant d’un responsable de la mission onusienne en Centrafrique (Minusca), qui avait menacé de rapatrier ces militaires si rien n’était fait au sein du bataillon visé – ces soldats étant également soupçonnés de trafiquer du carburant et de manquer de discipline.
Le général sénégalais Balla Keita avait déjà envoyé six lettres de « blâmes » cette année au commandant du groupe en question. Les 629 Casques bleus déployés à Berberati, la troisième plus grande ville du pays, sont la seule contribution de Brazzaville à la Minusca.
« On ne peut plus faire confiance »
En 2016, 120 soldats de ce même contingent ont été renvoyés chez eux à la suite d’allégations d’agressions sexuelles sur au moins sept victimes, dont six enfants. Mais il n’y a eu « aucun progrès dans le comportement du bataillon congolais », selon M. Keita.
« La situation s’est détériorée au point qu’on ne peut plus faire confiance à ce bataillon en raison de son mauvais commandement, de son manque de discipline et de ses déficiences opérationnelles. »
Les Nations unies comptent 10 000 soldats et 2 000 autres personnes Lire la suite…
Source : Le Monde.fr
et ce Guterres dit quoi a propos de la situation du General Mokoko ?
@ENFANT DE KOMONO tout à fait ;;;;;;;;;;;;On ne comprend pas cette différence de traitements des conflits en AFRIQUE …Celui du CONGO n’existe pas à leurs yeux ;;;
Ce sont les mêmes miliciens ramassés au nord du pays , et au nord de Brazza qui dispachent le déshonneur initié par leur mentor ;;;
EXCLUSIF Les juges ont saisi des villas à Nice et un hôtel particulier à Paris, dans le cadre de la vaste enquête sur les biens mal acquis par les potentats africains, dont ceux du défunt président gabonais.
Alors que s’est ouvert hier à Paris le procès pour blanchiment de Téodorin Obiang, fils du président de la Guinée équatoriale, l’instruction sur le clan Bongo touche à sa fin. A la demande du juge Roger Le Loire, les enquêteurs de l’Office central de répression de la grande délinquance financière (OCRGDF), viennent de saisir six villas acquises par le défunt président gabonais dans les années 1970 et 1980, sur les hauteurs de Nice, dans le quartier de Cimiez Cap de Croix. Elles sont estimées à environ huit millions d’euros. Il y a quelques semaines, c’est l’hôtel particulier de la rue Edmond Valentin, dans le 7ème arrondissement de Paris, valorisé également à ce prix, qui faisait l’objet de la même procédure.
Des saisies s’élevant à plus de 50 millions d’euros
Au printemps 2016, la justice française avait déjà saisi une première propriété à Nice, la Villa Saint-Ange, achetée en 1999, un hôtel particulier rue Dosnes (16ème arrondissement), acquis en 1997, et un autre hôtel plus côté, rue de la Baume (8ème arrondissement), acheté par Omar Bongo en 2007, deux ans avant sa mort. Au total, la valeur des avoirs confisqués serait comprise entre 50 et 60 millions d’euros. Reste à savoir ce que deviendra l’argent une fois que la justice se sera prononcée et que les biens auront été éventuellement vendus.
Dans ce volet de l’affaire des biens mal acquis africains, aucun membre du clan Bongo n’a pu être poursuivi directement. Seuls les dirigeants d’Atelier 74, une société française chargée de l’achat et de la décoration des biens immobiliers, ont été mis en examen pour complicité de blanchiment. Pour compliquer la donne, Ali Bongo, le fils d’Omar, protégé par son immunité d’actuel président du Gabon, s’est porté partie civile et le magot du patriarche fait l’objet de multiples bisbilles familiales entre les 52 héritiers ! Ali avait, un temps, assuré qu’il était prêt à vendre une partie des biens pour les « redonner » au peuple gabonais. La France pourrait « négocier » et le forcer à créer une fondation chargée de gérer les fonds, sous surveillance internationale, comme cela s’est déjà fait dans des affaires similaires en Suisse.
Moralité: Les dictateurs voleurs africains volent pour remplir les caisses des Etats français , suisse, belge et autres et rien pour leurs propres pays qui leur ont tout donné. Mawouaaaaaa!
@Milongo mia Ngandi, t’as rien compris?
Mais c’est pour cette raison qu’ils (nos gouvernants) sont installés là et sont-ils soutenus et protégés.
Dans un des livres de notre compatriote Jean-Claude Mayima-Mbemba, j’avais lu (je cite de mémoire) : « Le principe du pouvoir en Afrique est simple : celui qui remue la queue, rampe, lèche les bottes et garantit les intérêts de la France, même reconnu mondialement criminel, celui-là est jugé apte à « gouverner » ses compatriotes ».
Avez-vous compris ?
Quant au cas de nos « BONOBOS » en Centrafrique, qu’y a-t-il d’étonnant et de surprenant? Ce sont des individus que le CLAN AU POUVOIR est allé ramassés dans son fief pour leur faire gagner beaucoup d’argent. Ce sont des milices Cobras, des Tontons-Macoutes à la sauce OYO, sans culture, sans éducation, sans formation aucunes. Que voulez-vous qu’ils fassent d’autre? On leur a donné des tenues militaires. Voilà tout et c’est tout. Quand vous avez des ministres pédophiles et/ou pornographes, qui importent des filles mineures (15 ans) de Kinshasa (RDCongo) pour satisfaire leur libido ou qui se branlent devant leur Webcam et qui ne sont jamais sanctionnés, pourquoi voulez-vous que ces gamins incultes analphabètes et illettrés soient différents de ceux qui les y ont envoyés ?
C’est la barbarie personnifiée ! C’est des tueurs, c’est tout.
Dis-moi qui est ton chef et je te dirai qui tu es !
Le poisson pourrit toujours par la tête.
Quelque part, c’est même une forme d’escroquerie sur le dos de l’ONU, et donc de la Communauté Internationale.L’ONU a donc intérêt à regarder de très près ce qui se passe dans la région du Pool, au lieu de se contenter des propos du baveux LOUNCENY, le Guinéen corrompu par le monarque d’Oyo et qui a menti sur toute la ligne.
Il faut toujours se méfier de ce type d’information, s’agissant la RCA qui est au centre de grands enjeux internationaux. Les puissances occidentales contrôlants l’ONU n’ont pas intérêt à ce que les pays de l’UA s’arrogent seules le monopole du dossier centrafricain, étant entendu que les colonisateurs convoitent les richesses de la Centrafique encore inexploitées. Antonio Guterres doit se souvenir que la MONUSCO est la plus longue, la plus budgétivore, en plus d’être la plus inefficace mission de maintient de la paix de l’histoire. Quel est le bilan de machin dans l’Est de la RDC ? Au Kivu, ce sont bien les casques bleus qui violent les populations, toute catégories confondues.
Des miliciens congolais pédophiles indésirables en Centrafique
Que pouvait-on s’attendre de bon d’une milice de yaka noki-noki dénués d’éthique et dont le seul mérite est d’être nés de l’ethnie-Etat? Ils ont brillé par leur légendaire mentalité retrograde de bonobo en violant des petites filles qu’ils étaient censés protéger. C’est le satrape de l’Alima, criminel patenté de la république, qui sera content.
Avec Sassou Nguesso, le tyran sanguinaire, avec le système d’antivaleurs qu’il incarne, le Congo est devenu la risée du monde. Jamais l’image de notre n’a été autant ternie.
Pitoyable et pathétique!
@uncongo,
Je ne pense pas qu’il ait contradiction entre ma petite parenthèse sur la moralité sur la saisie des biens des dictateurs et les pratiques des pays nantis qui les leur confisquent par la suite.
Seulement, ces dictateurs se font prendre par la loi » du voleur volé ». Je ne pense pas qu’ils amassent tout cela pour la France, la Suisse ou la Belgique. Ils espèrent en profiter après la chute comme ont fait les Duvalier, Bokassa et que sais-je encore!
Malheureusement pour eux, les états pourris dont ils ont été les Chefs ne fonctionnent pas pareillement que les Etats qui les accueillent. D’où la justice les rattrape!
@Milongo mia Ngandi
Mon cher ami, il n’y a pas de contradiction entre toi et moi. Ce que j’ai écrit était dit sous un ton ironique contre les BONOBOS-PREDATEURS qui nous « gouvernent ».