L’incroyable histoire de NSaku Vunda, le 1er ambassadeur du Royaume Kongo au Vatican.

Un océan, deux mers, trois continents

Il s’appelle Nsaku Ne Vunda, il est né vers 1583 sur les rives du fleuve Kongo. Orphelin élevé dans le respect des ancêtres et des traditions, éduqué par les missionnaires, baptisé Dom Antonio Manuel le jour de son ordination, le voici, au tout début du XVIIe siècle, chargé par le roi des Bakongos de devenir son ambassadeur auprès du pape. En faisant ses adieux à son Kongo natal, le jeune prêtre ignore que le long voyage censé le mener à Rome va passer par le Nouveau Monde, et que le bateau sur lequel il s’apprête à embarquer est chargé d’esclaves…
Roman d’aventures et récit de formation, Un océan, deux mers, trois continents plonge ce personnage méconnu de l’Histoire, véritable Candide africain armé d’une inépuisable compassion, dans une série de péripéties qui vont mettre à mal sa foi en Dieu et en l’homme. Tout d’ardeur poétique et de sincérité généreuse, Wilfried N’Sondé signe un ébouriffant plaidoyer pour la tolérance qui exalte les nécessaires vertus de l’égalité, de la fraternité et de l’espérance.

« UN OCÉAN, DEUX MERS, TROIS CONTINENTSest l’aboutissement d’un projet qui a germé dans mon esprit il y a environ sept ans, celui de composer un roman d’aventures inscrit dans un contexte historique tendu. Quand j’ai découvert le destin incroyable de Dom Antonio Manuel dans un livre que m’avait conseillé mon frère historien, j’ai tout de suite su que je tenais le personnage principal de mon histoire.

J’avais hâte d’écrire son épopée, de raconter les dangers qu’il avait rencontrés depuis son village natal du Kongo jusqu’au Vatican. Je l’imaginais sous les traits d’un homme simple, armé de son amour pour ses frères et sœurs humains, quels qu’ils soient et d’où qu’ils viennent. Un héros qui allait réussir à échapper au pouvoir des puissants de son temps et à faire triompher ses idéaux !

J’ai alors commencé à me documenter et me suis plongé dans cette époque à la fois terrible et fascinante que fut le xviie siècle, entre esclavage, flibusterie, servage et Inquisition. Très vite, l’immensité de la tâche m’est apparue telle que j’ai d’abord finalisé deux autres livres avant de relever ce défi littéraire qui parfois, je l’avoue, m’a semblé insurmontable… La force d’aller au bout de ce roman m’est venue de l’envie de sortir de ma solitude d’enquêteur pour partager les détails inédits que je découvrais au gré de mes recherches.

J’ai beaucoup réfléchi à la construction du texte, à son rythme. Pour trouver la voix du narrateur, j’ai créé une langue qui rappellerait le passé tout en restant proche de mes contemporains, de nature à susciter leur émotion. J’espère que mon enthousiasme pour le parcours de Dom Antonio Manuel s’avérera communicatif, c’est par lui que je voudrais transmettre l’idée qu’il existe une humanité qui nous rassemble tous et qui mérite d’être célébrée, quelles que soient nos croyances, nos couleurs, ou nos origines.’’

WILFRIED N’SONDÉ

Source : Actes Sud

 

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52 réponses à L’incroyable histoire de NSaku Vunda, le 1er ambassadeur du Royaume Kongo au Vatican.

  1. RENE MAVOUNGOU PAMBOU dit :

    J’ai hate de lire ce passionnant ouvrage sur notre illustre ancêtre Nsaku Ne Vunda, véritable figure tutélaire d’humanisme et d’intelligence, ayant contribué à l’histoire glorieuse du royaume Kongo. C’est assez dommage que le tribalisme ait pris le dessus dans les esprits, au point où cette histoire est déconsidérée et dévaluée par les tenants du pouvoir. On dira jamais assez que le passé du peuple Kongo recèle des repères édifiants et nécessaires pour la construction et l’affermissement de notre identité. En effet, on ne saurait perdre de vue le fait que quand le passé n’éclaire plus l’avenir, l’esprit marche dans les ténébres. Et un peuple qui ignore son histoire est un peuple sans âme. Du reste, merci infiniment à l’auteur Wilfried N’sondé d’avoir bien voulu exhumer l’histoire de ce grand homme de Kongo.

  2. J’invite tous les Kongo du 242 à acheter et à lire ce livre avec leurs enfants qui, la plupart du temps, ignorent qui sont les Kongo contrairement aux Kongo d’Angola et de la RDC qui savent ce qu’ils sont et fiers de l’être.

  3. David Londi dit :

    Nous sommes, ici, au cœur de l’un des scandales le plus révoltant dans cette mare d’instrumentalisation par des individus qui passent leur temps à réécrire l’histoire de ce pays dans le seul et unique but d’escamoter toute référence au Royaume Kongo. Ce sont les mêmes qui ont inventé des histoires du genre « Oko montre la mer à Taty ». Ils sont allés encore plus loin en appelant le Kikongo le Kituba qui n’en est que l’expression créole. Je signale que l’on ne construit pas l’Histoire d’un pays par soustraction mais par addition de l’ensemble des cultures qui le composent.

  4. Gabio dit :

    Cet ambassadeur, si c’etait de nos jours, serait Angolais, pas Congolais en tout cas. Apres la destruction de ce que les blancs portugais esclavagistes qualifiaient de royaume, les kongo se sont disperses, et certains ont franchi le fleuve, nomme fleuve congo par les memes portugais, pour atterir dans la region de l’actuel Pool, d’abord a Boko (il y a a peine 100 ans), puis progressivement vers Brazzaville.

    Pour information, a la fin du 19e siecle, lorsque Makoko (Onkoo), assiste de Ngalieme et Mpoutaba (chef de terre allant de l’actuel Boko a Mfoa), signait ce vrai faux traite avec De Brazza, il n’y avait pas encore un seul kongo dans les environs, meme pas a Boko. Lorsque les travaux de construction de Brazzaville ont commence, il n y avait pas de kongo non plus, ni a Brazzaville, ni a Boko. Les premiers kongos sont arrives de l’Angola et du bas-RDC au debut du 20e siecle et l’immigration a continue surtout a cause d’une demande accrue de la main d’oeuvre pour la construction du CFCO.

    C’est bien de connaitre notre histoire, mais soyons honnete. Toute histoire d’une civilisation humaine laisse des traces indelibiles, malgre les efforts pour prouver le contraire. Les blancs n’ont jamais pu faire disparaitre les traces de la civilisation des amerindiens en Amerique. Je suis convaincu qu’au bas-RDC et quelque part en Angola, les forets, les savanes et les rivieres sont nommees en kongo. C’est normal, c’est leurs terres. Au Pool ou dans la Bouenza, les savanes, rivieres et forets ne sont pas en kongo, mais en d’autre langue. Preuve qu’il ne s’agit pas des terres ancestrales des kongo.

    S’il vous plait, notre probleme est national, au dela des histoires ethniques ou tribales. Je voulais simplement dire que l’histoire du peuple du Congo actuel est bien connue, il n y a rien a transgresser. Cela n’empeche qu’on puisse parler de l’histoire de chaque ethnie du Congo, et ne donnons pas l’impression que cette histoire est celle du Congo comme pays. C’est l’histoire d’une tribu, un point un trait. Moi enfant du Pool, ne des parents, ancetres et aieux Poolois, je ne me sens pas concerne par cette tres belle histoire. C’est toutefois bien de connaitre, mais dire que le contraire serait une transgression de l’histoire du pays (quel pays?), c’est exagerer.

  5. David Londi dit :

    @Gabio, est-il nécessaire de réécrire l’Histoire du pays, tout le temps dans un révisionnisme qui, parfois, laisse pantois. Il est urgent que des historiens écrivent cette Histoire loin de tout fanatisme ouvert ou caché. Quelques petites informations qui, elles, ne souffrent d’aucune contradiction.
    Mission de Linzolo est créée en accord avec les chefs Kongo le 22 septembre 1883, et sa chapelle terminée en 1885. Le clocher actuel a été ajouté en 1898. Cette église est la ..

    Mon grand-père était né en 1892, à Kindamba avant de migrer à Hamon-Madzia dont il est l’un des fondateurs.

    C’est dommage que l’on en arrive là !

  6. Arlette KIMPILA dit :

    Voici ce qu’on peut lire dans la Bulle du Pape Nicolas V, du 8 janvier 1454, qui a eu pendant des siècles des conséquences désastreuses sur les Africains :
    .
     » Nous avions jadis, par de précédentes lettres, concédé au Roi Alphonse du Portugal, entre autres choses, la faculté pleine et entière d’attaquer, de conquérir, de vaincre, de réduire et de soumettre tous les sarrasins (c’est-à-dire les Africains), païens et autres ennemis du Christ où qu’ils soient, avec leurs royaumes, duchés, principautés, domaines, propriétés, meubles et immeubles, tous les biens par eux détenus et possédés, de réduire leurs personnes en servitude perpétuelle, (…) de s’attribuer et faire servir à usage et utilité ces dits royaumes, duchés, contrés, principautés, propriétés, possessions et biens de ces infidèles sarrasins (Africains) et païens…
    Beaucoup de Guinéens et d’autres Noirs qui avaient été capturés, certains aussi échangés contre des marchandises non prohibées ou achetées sous quelque autre contrat de vente régulier, furent envoyés dans les dits Royaumes « .

    En 1483, Diego Cão découvre l’embouchure du Congo et entame le processus de mise en application des recommandations ci-dessous.

    Contrairement aux autres souverains africains, le roi Kongo offrir, sans résistance aux portugais ses parents, sujets et territoires aux portugais dont certains iront témoigner de leurs soumissions aux « Saint Siège ».

    Il faut venir au Congo Brazzaville pour voir des personnes qui célèbrent des événements qui symbolisent l’acculturation et l’impuissance des africains face à des marchands d’êtres humains. Même à Mbanza Kongo en Angola, personne n’oserait un tel exploit.

    Heureusement qu’il va présenter les choses sous forme de romain, un autre moyen de partager l’espérance d’un paradis perdu qui a donné lieu à de nombreux fantasmes depuis des siècles.

    Pour reprendre la célèbre formule du romancier Cheikh Hamidou Kane : “Ce qu’il va apprendre vaut-il ce qu’il va oublier?”

  7. Arlette KIMPILA dit :

    C’est la même logique qui préside à la création de la mission de Linzolo évoqué par David Londi.

    Il était plus facile de convaincre des descendants de migrants dont les ancêtres avaient ouvert la voie de la christianisation.

    Donc, en 1883, il y a déjà des migrations des Kongo dans la région du Pool dont les premières remontent aux sundi qui venaient pour travailler dans les mines du cuivre du coté de Mindouli.

    Il est écrit noir sur blanc des les récits des pères spiritains de l’époque que le choix de Linzolo vient du fait que les zones peuplées exclusivement de téké refusaient l’installation des missions catholiques, comme à Mfoa devenue Brazzaville.

    C’est encore un autre événement malencontreux curieusement revendiqué avec fierté par ceux qui rêvent d’une exception économique et socio-culturelle Kongo-Lari du Pool.

    Mais, on ne viendra pas à bout des croyances entretenues par des descendants de migrants qui ne veulent pas le reconnaître.

    C’est un peu comme Zemour qui se croit plus aryen que…

  8. Tsoua dit :

    A vous entendre , l’actuel KONGO brazzaville ne faisait pas partie de l illustre royaume KONGO, seulement le bas Kongo en RDC et l ‘ Angola actuel .Alors dites moi où était la province Nsundi ?
    Pour votre gouverne ce royaume allait de l’Afrique du sud au Kongo mfoa sans la partie septentrionale

  9. LE SUD CONGO dit :

    quoi de neuf, nous devrons reconnaitre la difficulté de notre tache, celle du départ de sassou et son clan.
    QUANT UN SUD CONGOLAIS OU EN PARTICULIER UN HABITANT DU POOL, SE REVEILLE, IL DIT MERCI DIEU CAR JE SUIS VIVANT AUJOURD’HUI LA MILICE DE SASSOU N’A PAS FRAPPER DE MON COTE.
    Il n’y a pas de vie au Congo en étant un sud congolais.
    Chaque jour dans les medias sociaux si on ne parle pas du mauvais de Kolelas, c’est Nstaty, ou Ntumi.
    PENDANT CE TEMPS LES GROS SANGULAIRES COMME NDEGUE, OKOI, NIANGAMBOULA,OKEMBA,DABIRA, OLESSENGO SONT EMPARGNIES
    Les imbéciles viennent faire semblant de pleurnicher dans les vidéos Kolelas nous a trahis.
    OU ÉTAIT LE NORD DURANT LA MACHE CONTRE LE CHANGEMENT ILLEGAL DU REFERENDUM,, SEUL PAULIN MAKYA QUI ÉTAIT SORTI, ALORS KOLELAS A TI’IL EMPECHE, LES NORDISTES DE SE METTRE DANS LE RUE POUR DEFENDRE LA PATRI, SI NOUS NOUS RECLAMONS TOUS D’UN MEME PAYS.
    Saisissez de tromper les sud congolais, LE SYSTÈME SASSOU EST TRES FORD, QUE JAMAIS CAR SASSOU EGAL LA France.
    Je ne crois pas au général en papier au nom de Mokoko, car il est a l’origine, de la mort de la démocratie au Congo.
    S’IL FAUT DIVISER CE PAYS POUR QUE LE SUD CONGOLAIS EST LA PAIX ALORS SOUTENONS BOUKADIA
    Mais sachons une seule chose, ne commence pas la guerre quand tu es faible.
    LE NORD CONGO A POUR MAITRE LA France
    NOUS LES SUD CONGOLAIS PRENNONS NOTRE MAITRE LES USA.
    CONCENTRONS NOS ENERGIES, POUR CRÉER NOTRE CONGO DU SUD, LE CONGO INDIVISIBLE SET UNE TROMPERIE PENDANT CE TEMPS 90% DES FONTIONNAIRES SONT DU NORD CONGO
    TOUS LES POSTES IMPORTANT SUR LES MAINS DU NORD, 99% DE MORTS PAR BALLE A U SUD CONGO, NOS MEDIAS SOCIAUX SONT CONTROLLEES PAR LA France

  10. Anonyme dit :

    Qui interdit à qui d’être fier de ses origines? Je suis très fier de constater que la langue parlée par les Kongo de Uige, au nord-est de l’Angola, est comprise par les gens de Mayumba, au Gabon.

    Chaque fois que l’histoire des Kongo est évoquée, des congolais qui ont honte de leurs origines ont du mal à accepter d’avoir des compatriotes dont les ancêtres faisaient partie d’un grand empire. La faute à qui?

    Personne n’empêche à qui que ce soit de parler de ses origines. Sont-ils des etres complexés? Ou simplement des ignorants?

  11. Gabio dit :

    Oui Tsoua, le Congo Brazzaville ne faisait pas partie du royaume kongo, non. Quant a la province de Nsundi, sa limite nord se situait autour de Kimongo, juste a cote de la region du Niari actuel. Le lien ci apres te renseigne bien sur la situation du royaume kongo et de Nsundi.

    https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/73/KingdomKongo1711.png

    Tsoua, il ne faut pas avaler tous ce que les kongo du Kongo central en RDC racontent ou revent. Le royaume kongo, ne avec l’arrivee des portugais au 15e siecle, ne s’etendait au dela du nord de l’Angola et du bas-RDC. Il faut eviter de faire de reve de grandeur inutile.

    Ce n’est pas l’histoire des kongo en soi qui est mauvaise. Au contraire, toute histoire est bonne a apprendre. Ce qui est mauvais, c’est de manipuler cette histoire pour donner l’impression que tout est kongo, meme les terres ou rien du kongo ne sort. On semble meme dire que Linzolo, un vrai teke, serait devenu un kongo par la magie du reve de grandeur. Il n’y a aucune transgression de l’histoire a dire que les kongos au Congo Brazzaville sont des immigrants venus du bas-RDC et d’Angola il y a environ un siecle. C’est l’histoire tout ca, c’est bien de le savoir.

    Ecouter, au 21e, on est tous congolais, colonises et toujours maltraites par un envoyes du colonisateur. Arretons avec ses reves de grandeur inutile, cette paranoia n’avance pas.

  12. Gabio dit :

    « Fondée par le père Augouard et les frères Kraft et Pâris en janvier 1884, la mission s’était établie en plein plateau des Cataractes suite à une maladresse de De Brazza qui verrouilla pour un moment son établissement dans la future capitale. Prosper Augouard et son équipe construisirent d’abord un campement avant de négocier avec une vingtaine de chefs l’acquisition du terrain et l’établissement de la Mission.

    L’accord fut finalement enlevé, complété d’un traité de paix avec les autorités coutumières du Pool qui enterrèrent symboliquement leurs armes sur la place centrale de la mission, en haut de la colline. Restent aujourd’hui de cet établissement les bâtiments coloniaux. »

    Qui a dit que les autorites coutumieres du Pool etaient des kongo en 1883? Celui qui a ecrit ca sur wikipedia est un menteur. Linzolo lui meme n’etait pas kongo et toutes ces terres etaient sous l’autorite de Mpountaba. Il n y avait pas des kongo a Linzolo a l’epoque, il y avait par contre quelques soundis arrives a Mpangala au 17e siecle. C’est la seule presence avant De Brazza des soundi au Congo Brazza. Tous les autres kongo sont arrives apres De Brazza, donc apres la creation du Congo Brazzaville et meme de la ville de Brazzaville.

    La limite nord de la province de Nsundi se situait vers Kimongo dans le Niari actuel, En tout cas, le Nsundi etait habite par le Sundis, pas les habitants du Pool de l’epoque.

    Chers amis, il y a des choses qui ne nous avancent pas, comme cette histoire qui veut donner l’impression d’une grandeur du passe. Il faut arreter avec cette paranoia. La grandeur passee des egyptiens est bien connue de l’humanite, les traces de leur glorieux passe sont toujours la, et ceux qui racontent cette histoire ne sont pas les petist fils de Toutankanon, mais toute l’humanite.

    Cette grandeur imaginaire des kongo n’a rien laisse de substantielle, et elle n’a pas empeche les kongos d’etre mis en esclaves pendant 300 ans par les autres humains. Envoyer un ambassadeur chez ton bourreau n’a rien de glorieux. J’aurais bien apprecie d’apprendre que le roi des kongo, par orgeuil du a son rang, avait refuse cette humiliation et exiger l’arret de l’esclavage. Autrement, c’est collaborer avec le bourreau de tes enfants.

    Avec des histoires pareilles, vous semblez donner raison aux noirs americains qui croient que les rois africains de l’epoque les avaient vendus de bonne foi comme esclaves. Votre recherche de grandeur du passe vous illusionne, et pendant ce temps, le colonisateur continue a vous enculer par l’entremise de son prefet. Continuons a soutenir nos theses de doctorats bidons sur le royaume kongo. Des reveurs!

  13. Anonyme dit :

    Moungabio,
    Qui t’empêche de parler d’Anziko? As-tu honte de nous dire du passé, qui éclaire l’avenir?

    Sais-tu au moins qui sont les Sundi? Ah l’ignorance quand elle est guidée par la haine.

  14. mwangou dit :

    Comme je ne suis pas historien, je ne m’hasarderais pas trop loin sur ce terrain. Ceci étant, j’ai entrepris depuis quelques années une marche vers mon passé, qui n’est pas totalement passé. Je suis devenu herboriste, et pour ce faire je suis allé vers les tradi-therapeutes. Et quand on rentre dans ce monde, on fait du coup, une randonnée dans l’histoire, pas seulement dans l’histoire des soins de santé, mais dans l’histoire plus globalisante.. Bref!
    Dans ce domaine, comme il s’agit d’aller chercher dans le fond de sa mémoire, ce qu’on y ressort, il y a du tout. Oui, il y a eu migration des kongo. Mais à partir de combien de temps d’occupation du sol, un migrant peut-il revendiquer la possession du sol qui l’a accueilli? Un homme politique congolais, étant allé voir le roi téké dans ce 21è siècle, fut surpris d’entendre de la bouche même du roi, que les téké aussi sont venus du royaume du kongo. Est-ce pour cela que les téké n’ont presque jamais opposé de refus/résistance à l’arrivée des migrants Sundi venus du royaume kongo? Que cédant leur territoire aux nouveaux arrivants, il y a eu mixité, à tel enseigne, que la langue bembé s’est « tékinisée »?
    A propos de l’histoire à reconstituer sur la base des noms des rivières par exemple, il y a beaucoup de risques. J’avais cette approche de notre histoire kongo au Congo. Un linguiste m’avait très aimablement invité à la modération, car tous les noms de rivière prétendument téké, était plutôt Sundi. A propos, y aurait-il un nom téké du fleuve qui a été nommé bien après Congo?
    Dans ma quête, je suis allé jusqu’à découvrir la dernière terre de ma famille, du coté de Boko, d’où elle est partie pour venir s’installer vers la voie ferrée. Le chef de famille de l’époque était venu de l’autre côté du fleuve, avait traversée avec ses sœurs avant le début du 20è siècle. J’ai eu la chance de rencontrer un vieux qui est décédé qui connaissait mon chef de famille et qui me l’avait décrit avec tellement de précision que je n’en reviens toujours pas, alors que ça faisait plus de 70 ans qu’il n’avait plus vu la personne. Mon chef de famille était né en 1862 de l’autre côté du fleuve Congo, et décédé en 1962 de ce côté-ci du fleuve Congo.
    Dans cette quête, je découvre la mission protestante de Munsana à Kiyinda sous-préfecture de Louingui. Et je fais connaissance d’un arrière petit-fils du chef Samba Dia Ndongo, dit Samba Ndongo dont la naissance selon un journal de la RDC, province du Congo Central aujourd’hui, est situé en 1858 de l’autre côté du fleuve Congo, et mort en 1958 de ce côté-ci du fleuve Congo. C’est Samba Ndongo qui cède le terrain à la mission protestante au Congo sur lequel est établi la paroisse de Munsana. Je crois qu’on se situe vers 1911. La question qui m’effleure l’esprit est la suivante: la famille Samba Ndongo était installé là depuis combien de temps? Encore que la question perd de sa pertinence dès qu’on voit les choses sous l’angle de propriété acquise par la vente/achat, même si pour l’époque, il était difficile d’effectuer une cession d’une partie de sa terre, une terre qu’on venait d’acquérir ? C’est difficile de savoir ce qui trottait dans la tête de ces gens de ces siècles passés et je me garderais des exigences du genre, « pourquoi ils n’avaient pas fait ceci, et pourquoi ils ont fait cela »… . Ca me rappelle le marxisme triomphant du pct qui fustigeait le colonialisme, sur ce qu’il n’avait pas fait, comme si les colons étaient des surdoués qui auraient dû faire mieux que ce qu’ils avaient dû faire, vu leur si grande capacité à raisonner.
    Je suis surpris que le grand-frère tienne ce langage et surtout se mette à traiter de « bidon » les thèses de doctorat en histoire. Il y a quelques années, devant le matalana au Congo des docteurs en science, je les affrontais en leur lançant le défi de me prouver que leur doctorat avait une quelconque utilité pour le pays. Je disais, m’appuyant sur l’après conférence nationale, que tous les doctorats ne servaient à rien sinon qu’à faire de ces titulaires des imposteurs…, certains ne me saluaient plus. De même que les docteurs en communication et les journalistes qui sont tout-à-fait inutiles pour le Congo, les professeurs de médecine ne valent pas mieux, puisque ce qu’on qualifie de « charlatanisme » est en passe de vaincre la médecine des professeurs. D’où, peut-être que les historiens auraient la noble tâche de remettre cette société dans le bon chemin?

  15. Ngaliemo dit :

    @Anonyme,
    Les sundis ne sont autre que les ressortissants de la province de Sundi dont les cartes représentant les six provinces du royaume kongo situent bien en dehors du territoire de la république du Congo actuelle, mais plutôt en RDC.

    Ceux qui sont appelés sundis au Congo Bzv sont donc des descendants des migrants. Il suffit d’approcher les plus anciens pour savoir de qui ils tiennent les positions territoriales actuelles.

    De plus, il ne faut pas orienter le débat vers un autre sujet qui n’ est pas en rapport avec l’article.

    En Afrique il y a des traditions royales qui ont traversé les épreuves du temps, avec toutes les incidences possibles de l’environnement sociopolitique, comme dans tout régime tyrannique.

    Vous semblez confondre une histoire qui traverse des siècles et continue à se vivre de génération en génération, avec la mythologie portant sur un rêve de grandeur brisé l’assujettissement d’un monarque qui a troqué ses coutumes à des sacrements de baptême que les portugais donnaient avant que les personnes concernées aient compris de quoi ça retournait.

    Il s’avant tout ici de souligner le fait que l’on veille transformer un acte de servitude en signe de grandeur.

    Voici l’exemple ci-dessous de la lignée N’Galiema de la RDC qui vient faire ses hommes à celui d’Anko, et ce n’est pas un roman(N’Galiema étant le vassal de Makoko).

    Quand Sassou partira, nous travaillerons pour la reconstitution et la consolidation de nos espaces culturels ayant survécu (loango, téké…)

    https://www.youtube.com/watch?v=VjBDR2KdjD8&feature=share

  16. Bulukutu dit :

    C’est par le fait religieux que la domination de l’Afrique à pu se faire. La plupart des royaumes africains ont été affaiblis dès l’introduction du christianisme et même de l’islam.
    Peut-on être fier d’un acte de soumission qui a agit comme un cheval de Troie contre l’autorité du Mwéné par la suite?
    Après, le fait religieux, les portugais ont utilisé la richesse culturelle de ce royaume pour créer des divisions internes, affaiblissant encore plus le pouvoir du Mwéné. Ces divisions ont donné lieu à des guerres intestines qui ont fini par diviser ce grand empire, en petits royaumes rivaux dans un contexte de traître negrières.

    Aujourd’hui encore, nos pays dont les frontières fictives font croire à certains que c’est une condition suffisante pour constituer une nation, sont gangrenés par le fait religieux et les rivalités culturelles pour ne pas dire ethniques. Cet état de fait, permet la perpétuation de cette domination depuis près de 5 siècles. Ce sont justes les acteurs qui ont changé.

    La proximité territoriale des kongos et des Tékés n’a jamais été source de conflits avec ces derniers? Au contraire, elle permis un métissage culturel qui a donné naissance entre autre à ceux qu’on appelle pompeusement aujourd’hui les « laris ». Ce qui est ni plus ni moins, qu’une invention coloniale.

  17. mwangou dit :

    Si l’on s’en tient à certains principes en linguistique, il est plus subtil de ne pas trop s’avancer sur ce terrain des langues qui seraient premières d’où seraient issues les autres langues.
    A dire que le lari est le résultat du métissage kongo – téké, l’une des questions pourrait être, le téké comprend t-il aisément le lari, comme le Doondo comprend facilement le lari par exemple? Un rongeur très prisé comme repas chez le lari, le « NKUUMBI » , le téké le nomme « NKU ». par la proximité phonétique, le mot « NKU » parait avoir été dérivé du « NKUUMBI ». ceci étant, cela peut aussi bien s’expliquer par le fait que le téké ne consommant pas ce rongeur, a emprunté le mot chez le voisin migrant, le Sundi/kongo.
    Toute notre attention doit être dirigée du côté de la lutte contre ce tyran actuel du Congo. Le reste, c’est pour le lendemain. Nos enfants et poursuivants nous demanderons des comptes sur le comment on aura tant courbé l’échine devant la tyrannie, ce qui a précipité le pays dans le chaos? Ils ne pourront nous comprendre que si on leur laisse les matériaux d’analyse pour comprendre…Car aujourd’hui, on se pose la question de savoir comment des diplômés universitaires qui pavoisent en rhétorique, en insultes et en leçons de morale, n’ont pas pu consolider les prémisses démocratiques d’une conférence nationale, mais on fait fait chemin inverse jusqu’à ruiner leur pays, et pour tout état d’âme, n’ont pas trouvé de mieux à faire, que de s’haranguer en se bombardant de citations et versets historiques sur l’histoire de leurs migrations vers des cieux plus propices, moins chauds et plus frais?

  18. Certains mégalomanes dépourvus d’esprit de modestie osent même accuser faussement de « bidon » les thèses de doctorat de certains congolais. Bon! Je les comprends, ils n’ont certainement jamais soutenu une thèse de doctorat d’où leurs invectives. Mais moi, connaissant la valeur d’une thèse, je respecte ces docteurs car pendant que d’autres passaient leur temps à critiquer inutilement les intelligences des autres au coin de la rue, ces intelligences sacrifiaient leur temps et leur jeunesse sur les bancs de l’Université.
    Nombreux apportent déjà la critique de l’ouvrage sans l’avoir lu; toujours dans les procès d’intention. L’auteur nous dit bien qu’il a fait un travail de rechercher pendant plus de 07 ans, il mérite au moins des félicitations pour ça. En quoi ça dérange certains s’ils y a des descendants de ce vaillant royaume du Kongo veulent ressusciter certains de leurs héros? On a besoin d’une conscience historique pour mieux affronter ce monde dont on nous traite de tout (que nous ne sommes pas assez rentrer dans l’histoire; que nous étions des animaux, des esclaves puis des indigènes). Vous ne pouvez pas juger avec votre intelligence d’aujourd’hui ce diplomate Kongo de l’époque, contextualiser les choses. Dans son temps il croyait vraiment en la vertu de cette Eglise catholique dont nous en doutant ce jour. Croyez vous vraiment que si nos ancêtres du Royaume Kongo savaient réellement les intentions des missionnaires Chrétiens ou des colonisateurs ils devraient se laisser faire? Même si c’était pas le cas, en avaient ils les moyens de s’opposer à leurs plans machiavéliques de déportation et de destruction des royaumes? Cette carte de Wikipedia référencée ici, elle n’est même pas datée et on ne voit aucunement la source.
    Cette idée selon laquelle nos frères afro-américains accusant nos ancêtres de les avoir vendu, cela a été déjà démenti par un historien de référence spécialiste du trafic des faits historiques faux, l’apanage des leucodermes; le professeur gomez Coovi nous a prouvé par la causalité historique au cours d’une conférence bien documentée avec éléments d’archivage à l’appui que les colonisateurs avaient planifiés l’envahissement de ces royaumes d’Afrique à la quette des matières premières et de la main d’oeuvre gratuite pour les champs de canne à sucre en Europe puis en Amérique avec une logistique et un financement conséquent; le Vatican était bien au courant de tout ça. Donc demeurer dans cette idéologie que nous étions complice, c’est faux.

  19. Gabio dit :

    Cher Mwangou, n’avance pas trop loin sur ce terrain tres prise par ceux qui se qualifient de kongologues, a moins que tu en sois l’un d’eux. NKU, NKUUMBI ou quoi encore? D’ou as tu appris que les tekes ont appris ce mot des soundis? Pourquoi ca ne pourrait pas etre l’inverse? Voila, la recherche effrenee d’une grandeur passee imaginaire vous amene a l’imagination fertile de ce genre. NKU, c’est en teke gangoulou, en teke lali ou nzabi ou tout teke du sud, on dit NKUUMI.

    Les langues bantoues sont similaires les unes les autres, et les mots se retrouvent dans differentes langues, meme si la prononciation peut varier. Vous ne viendrez pas pondre ici que tous les autres bantous ont appris les mots de leurs langues chez les kongo! Tu ne sais pas qui a pris chez qui, alors arrete de faire des affirmations gratuites comme ces fameux kongologues.

    Le fleuve Congo etait nomme par les blancs, pas les kongos. Avant ca, les kongos l’appelaient nzadi, les tekes l’appelaient Ebale comme ca se dit en langue nationale aujourd’hui. Les autres peuples avaient aussi leurs noms pour le meme fleuve, certains l’appelaient Loulouaba.Le mot NGO est commun au peuple de l’afrique centrale, c’est la panthere, le symbole de la mojorite des peuples de l’afrique centrale. Koongo, c’est chez NGO la panthere. On a le district de NGO dans les plateaux.

    Pretendre que les tekes viennent du royaume kongo, c’est vraiment ignorer l’histoire. Les tekes sont installes sur leur territoire actuel depuis 3000 ans avant JC, donc depuis pres de 5000 ans. La plupart des bantous au sud du bassin du Congo sont issus de ce premier noyau des bantous. Au Rwanda par exemple, les pygmees sont appeles BATSOUA. Et c’est aussi comme ca qu’on les appele dans la region des plateaux.

    Le royaume kongo, dont la formation et la destruction coincide avec le debut et la fin de l’esclavage des noirs, ne peut pas pretendre avoir enfante le plus ancien bantou de l’afrique centrale. C’est de l’arrogance. Quant a la credibilite des dires de Makoko actuel, une marionnette du criminel et usurpateur du pouvoir, je te conseillerais de tout simplement oublier ca. Ancien etudiant en genie chimique quelque part en europe de l’est, Il n’a pas eu le temps d’apprendre son propre histoire. Il se contente des histoires des kongologues assoifes de grandeur pretendument perdue.

  20. Anonyme dit :

    Moungabio,

    Je te trouve ignorant et allergique à tout ce qui est touché l’histoire des Kongo. Merci d’avouer que l’une de tes sources d’infos doit Wikipedia.

    Vous alléguez que les Kongo soient arrivés sur les terres actuelles du Congo avec la construction du CFCO. Quelle ignorance crasse!

    Sais-tu au moins que le CFCO a été construit en longeant la route des caravanes? Sais-tu au moins depuis quand existe la route des caravanes et quelle était sa fonction ?

    La route des caravanes, relié le village côtier de Loango à Mfoa sur le fleuve Congo. Cette route servait à la traite des esclaves venus de l’hinterland, du Tchad, RCA, Cameroun, RDC.

    Quand a commencé ce commerce des esclaves? Dans les années 1500.

    Louango, qui est le point de départ de cette traite faisait partie de quel royaume? Quel était le territoire du royaume de Louango? Qui étaient les habitants de ce royaume?

    Vous alléguez que les Kongo sont arrivés sur leurs terres actuelles après la constructeur CFCO. Comment expliquez-vous la route des caravanes? Quelles populations trouvait on le long de cette route qui a fourni plus de 2 millions d’esclaves embarqués à Louango pour des destinations inconnues?

    Cette route est antérieure à la construction du CFCO. Deuxièmement, le Louango s’étendait de l’Atlantique jusqu’aux confins de la vallée Kouilou-Niari jusqu’à l’embouchure de la Nianga a Mayumba et du Kakongo et Ngoyo en RDC. Ce royaume était peuplé des vili sur, yombé, sundi, kugni, punu, lumbu, bongo. Les Sundi sont voisins des Kugni dont les terres sont mitoyens des Dondo et Kamba qui se retrouvent aussi en RDC. De l’autre côté de la RDC, on retrouve au même moment une route des caravanes parallèle à celle du Congo qui va de la région de Mouanda / Banana/ Matadi jusqu’à l’actuel Kinshasa pour assurer le commerce des esclaves. Tout ce pays est le pays Sundi qui va aboutir au pays des Manianga qui va jusqu’à Kinshasa à la rencontre du pays Téké.

    Quand on ignore, on demande. Deux routes des caravanes, deux histoires des populations Kongo sur ces routes qui commencent en pays Kongo sur l’Atlantique pour terminer à Stanley Pool en pays Téké où étaient débarqués les esclaves venus de l’intérieur des terres de la RCA, RDC, Cameroun, voir Tchad.

  21. Anonyme dit :

    Voici les populations du Kongo Central de la RDC.

    QUESTION: pourquoi on ne conteste pas ces populations les terres qu’elles occupent en RDC?

    Certains de ces peuples se retrouvent aussi au Congo. Ont-ils aussi pris les terres des autres? Si oui, les terres de qui?

    Les Ne-Kongo comprennent plusieurs sous-groupes dont le dénominateur commun est la langue Kongo. Ils sont :
    – Les Yombe (Bayombe), originaires du district du Bas-Fleuve. Ils occupent le territoire de Tshela et sont majoritaires dans les territoires de Lukula et de Seke-Banza. On rencontre aussi une forte communauté de ce peuple dans les villes de Boma et Matadi.

    – Les Nyanga (Banyanga) occupent la rive droite du fleuve Congo, dans le territoire de Luozi.
    – Les Ndibu (Bandibu) occupent les territoires de Songololo et de Mbanza Ngungu.
    – Les Ntandu (Bantandu) habitent les territoires de Madimba et de Kasangulu.

    Les autres tribus assimilées aux Ne Kongo sont les Vili (Bavili), les Woyo (Bawoyo) et les Solongo (Basolongo) qui occupent les bords de l’océan atlantique et l’Estuaire du fleuve Congo. Les Sundi (Basundi) occupent l’ouest de Lukula, les Singombe (Basingombe) se repartissent au nord de Mbanza Ngungu ; les Zombo (Bazombo) qui constituent un groupe important occupent l’aire de part et d’autre de la frontière angolaise, au sud des territoires de Mbanza Ngungu et de Madimba. Ailleurs ce sont les Mbata (Bambata) qui occupent une partie du sud du territoire de Madimba. Par contre, les Lemfu (Balemfu) se retrouvent dans le territoire de Kasangulu.

  22. Anonyme dit :

    Par Moungabio, je parle de Gabio, celui-là qui joue au révisionnisme historique et sociologique. Dites-nous les noms des populations se trouvant sur la route des caravanes ayant servi à la traite négrière de 1500 à 1880.

  23. le fils du pays dit :

    A Mr N’sonde.Nous devrons faire attention dans le choix de nos mots pour ne pas répéter le discours eurocentrique qui accuse les noirs d’avoir vendu les leurs.
    Je vous cite:En faisant ses adieux a son Kongo natal, le jeune prêtre ignore que le long voyage cense le mener a Rome va passer par le nouveau monde et que le bateau sur lequel il s’apprête a embarquer est charge d’esclaves.
    Est ce que ces ancêtres Congolais empilés dans le bateau vivant au Kongo étaient esclaves?.
    Je dirais non, il est preferable d’utiliser le mot captif,ils sont déportés par la force de leur terre natale pour être asservis (esclaves)dans les Amériques.
    Dire esclaves c’est comme si ils vivaient comme esclaves dans leur Kongo.Alors que c’étaient des hommes,les femmes et enfants au depart libres,vivant paisiblement leur vie qui seraient captures et déportés.
    Je tenais juste a souligner ce fait qui échappe a nombreux de nos ecrivains.

  24. Gabio dit :

    Anonyme, pas besoin de deformer mon pseudo pour me repondre, c’est juste un pseudonyme, je pouvais faire comme toi, ne rien choisir et demeurer anonyme. On est tous anonyme. Ne perds pas ton temps.

    Je ne sais pas ce que tu veux m’apprendre avec la route des caravanes ou encore les population du kongo central en RDC. Qu’est ce que tu veux que je te dise des populations de RDC? Les baluba, ngbande… sont aussi de RDC ne ce pas? Il y a plus de 200 ethnies en RDC, je n’ai pas besoin de les connaitre tous.

    Qui t’a dit qu’il n’y avait pas echanges et communications entre les communautes? Il y avait evidemment du commerce entre eux, personne ne le nie. Faire du commerce avec les vilis du royaume loango ne signifie pas que les autorites coutumieres de Linzolo etaient des kongos en 1883, comme on veut le faire croire. Entout cas, sur cette route des caravanes, les populations du royaume de loango se limitaient a la limite nord du Mayombe, et il n’y avait pas des kongo entre Mfoa et le Mayombe. Les bembes n’existaient pas encore a cette epoque, tout comme les hangala.

  25. Gabio dit :

    Voici ce film realise en 1957 par les journalistes coloniaux. Le journaliste dit qu’a l’arrivee de de Brazza au Congo, il n’y avait que des batekes partout

  26. Anonyme dit :

    Gabio,

    Vous êtes d’une mauvaise foi consommée. Rien ne sert d’affirmer les mensonges, il faut les démontrer.

    Votre fixation sur les Beembé et les Laris montre que vous ne parlez pas le language de l’histoire, mais un bien autre language.

    Auriez-vous l’amabilité de nous donner l’itinéraire du déplacement des Beembé jusqu’à leurs terres actuelles avec des datations? Il en va de même de leurs voisins Dondo, Kamba, Kugni, Sundi, Bahangala. Citez-nous aussi les noms des villages et des rivières du Kouilou-Niari et du Pool pour l’on mette l’épreuve votre théorie révisionniste.

    Je vous ai parlé de la route des caravanes pour déclencher des étincelles dans votre cerveau, mais il semble que votre boogie doit être changée pour faire marcher votre cerveau. Il ne faut pas voir la route, mais ceux qui l’ont construit et utilisé. Le long de cette route, il y a des populations des territoires traversés. De Loango jusqu’à Stanley Pool, la route des caravanes passait dans les pays Kongo jusqu’à sa frontière avec le pays Téké à Mfoa. Ce sont ces mêmes Kongo qui habitaient le long de la route des caravanes de l’autre côté du fleuve, dans l’actuelle RDC. Voyez-vous cette continuité?

    En RDC, la rencontre entre les Téké et les Kongo se fait exactement sur la même ligne qu’au Congo Brazzaville i.e. au niveau de Kanzangulu qui fait frontière avec les Téké de Maluku et Nselé ( cette rencontre se fait aussi un peu plus à l’ouest au pays Ntandu). Quand on traverse le fleuve, on trouve exactement les mêmes populations Téké-Kongo vivant sur les terres mitoyennes. Toutefois, en RDC, on n’a jamais dit que les Kongo n’étaient pas sur leurs terres dans la région de Kinshasa. Ce n’est qu’au Congo Brazzaville et depuis quelques temps que l’on entend ce discours révisionniste de la part des individus qui ne sont ni Téké ni Kongo. C’est une honte ! Cela traduit votre ignorance et barbarisme.

    Comprenez-vous maintenant pourquoi j’ai cité les noms des Ne-Kongo de RDC? Pour vous montrer cette continuité des peuples sur un même espace. Donc, les Kongo du Pool ne peuvent être des envahisseurs sur leurs propres terres.

    Dans la région de Luozi, on trouve les Manianga et les Nsundi. Ce sont les mêmes Manianga et Nsundi qui se retrouvent à la frontière nord. Ce sont les colons qui ont séparé ces populations en deux pays. Par ailleurs, pourquoi ne trouve-t-on pas des Téké dans la région des Manianga du côté de la RDC? Si les Manianga du Congo ont pris les terres des Téké, cela devait aussi être le cas chez les Manianga mitoyens de la RDC. Or ce n’est pas le cas. Il n’y a pas de traces des Téké au pays Manianga de RDC. Et aucun Téké n’a eu cette prétention. Le pays Téké commence plus au Nord.

    Revenons un peu plus à l’ouest du Congo central. Il y a des Yombé et Sundi de Boma et Tshela que l’on retrouve aussi au Niari, Bouenza et Kouilou. A qui ces Ne-Kongo ont-ils pris les terres où ils habitent actuellement? Vous osez dire qu’il n’y a que les Téké dans ces espaces avant l’arrivée de de Brazza. Soit! Dites-nous l’origine des noms Mvouti, Kimongo, Loubomo, Louvakou, Moukondo, Loudima, Nkayes, Nkayi, Lutété, Mfouati, Boko-Songo, Ngouédi, Kimbédi, Bouensa, Kindamba, Louingui, Boko, Loumo, Loulombo, Matoumbou, etc.

    Arrêtez de deconner. Les Téké et les Kongo Manianga se rencontrent au niveau du Stanley Pool de part et d’autre des deux Congo.

    Avec la colonisation, il y a eu des mouvements des populations vers les nouveaux centres où il y avait du travail. C’est un phénomène mondial. Ce faisant, Kinshasa a été en majorité peuplé par les Ne-Kongo. Idem pour Brazzaville jusqu’à ce que d’autres populations les rejoignent comme les Mbochi . Pointe-Noire a attiré les Vilis, Yombé, Kugni, Lumbu, Puni, Beembé, Lari et aujourd’hui Mbochi.

  27. NGALIEMO dit :

    @Anonyme , vous faites tout pour tenter d’orienter le débat sur un sujet qui n’est pas en rapport avec l’article, en proférant une série de mensonge.

    Exemple très simple qui fait de vous le vrai révisionniste qui, plutôt que de voir la poutre qui est dans ses yeux préfère accuser un autre de vouloir trafiquer l’histoire.

    Vous dites par exemples :
    « Toutefois, en RDC, on n’a jamais dit que les Kongo n’étaient pas sur leurs terres dans la région de Kinshasa. »

    C’est la preuve que vous n’avez pas connaissance de la version officielle de l’histoire de Kinshasa, préférant nous ramener aux thééries du Bundu Dia Kongo.

    Sauf que, le théoricien du BDK étant plus malin, préfère occulter l’antériorité des tékes sur Pool Malebo en faisant passer ces derniers pour des kongo.

    Preuve de votre mensonge, voici ce que l’on peur lire chez les historiens sur la création de la ville de Kinshasa :

    1- « C’est le 30 juin 1966 que Léopoldville à reçu le nom de Kinshasa (du nom d’un de ces villages du siècle précédant) et comptait 2 millions d’habitants. Le nom vient du mot « insasa » qui signifie petit marché en « teke ».
    A l’origine, Kinshasa est un «Nganda» (campement) des pêcheurs tekes, situé sur l’île Mbamu, au milieu du pool Malebo. Suite aux diverses guerres, il y a eu dispersion des habitants. Certains s’installent sur le plateau de M’Fua, l’actuel emplacement de Brazzaville tandis que d’autres émigrent sur la rive gauche où ils fondent à Mpumbu, sur des terres Humbu, une colonie riveraine teke dont les habitants s’appellent « les gens du fleuve ». La colonie va devenir une importante agglomération grâce au commerce de l’ivoire avec les européens.»

    2- Le site de Kinshasa est habité depuis longtemps, comme toutes les rives du Malebo Pool (anc. Stanley Pool). La ville actuelle est née de deux villages, Nshasa et Ntamo (plus tard appelé Kintamo), dominés par les Bahumbu et fréquentés par les pêcheurs et les marchands Batéké. Quand l’explorateur anglo-américain Henry Morton Stanley arrive dans la ville en 1877, il noue une alliance avec le chef de Kintamo, un riche marchand d’ivoire et, malgré les efforts français visant à le devancer,

    3- Un témoignage d’un téké-humbu de la RDc qui peut vous édifier : http://www.mbokamosika.com/article-histoire-de-la-ville-de-kinshasa-78749067.html
    Ce qui me révolte aujourd’hui est le fait que partout au monde, des instances internationales dont l’UNESCO protège certains peuples autochtones et indigènes (les indiens d’Amazonie, les Indiens d’Amérique et du Canada, les aborigènes en Australie, les Tibétains (quoi que avec la politique Chinoise), etc…), mais le peuple Humbu-Téké est en train de disparaître. Kinshasa étant la capitale, il y a eu brassage, immigration, émigration, etc… à tel point que le Peuple Humbu-Téké n’a même plus son espace vital tant pour sa culture, sa langue, etc…

    En partant de ces incohérences, il est évident que vous ne devez pas en savoir davantage sur le parcours migratoire des populations venues de Mbanza Kongo ou Nsundi.

    Essayer aussi de mieux vous renseigner sur les fameuses routes des caravanes. Après avoir vidé les peules de la côte et détruit le royaume Kongo, les esclavagistes utilisaient les survivants pour aller faire la chasse aux peuples les plus éloignés.

    A l’arrivé des colons, fort de leurs habiletés dans la chasse à l’être humain et le portage à longue distance, les peuples des zones côtières comme vilis serviront de mains d’œuvre priséé pour le portage des charges du Loango vers le Pool Malebo.

    On peut lire dans les lettres de l’explorateur Marchand que plus de 15% des porteurs n’arrivaient pas à destinations…

    C’est donc ce contexte de dépeuplement des zones côtières qui a favorisé le déplacement des populations en terre profonde, avec tous les mélanges qui s’en suivront.

    SITUATION GÉOGRAPHIQUE
    Il est borné :
    – Au nord par le fleuve Congo
    – Au sud par la rivière Kwaza
    – A l’est par la rivière Kwango
    – A l’ouest par l’océan atlantique
    Il occupe le maritime de la RDC (Bas-Congo et l’Angola)

  28. Gabio dit :

    Anonyme s’abreuve des ecrits de BDK qui s’efforcent a faire croire que tout est kongo sous le soleil, sans jamais presenter une seule evidence. Ils disent meme que leur royaume s’etendant sur toute l’afrique et existait meme avant l’epoque des pharaons.

    J’ai deja lu dans leurs articles que le pays Haiti etait nomme d’apres un mot kongo. Ils ont aussi dit que toutes les personnes ou villages portant un nom qu’on retrouve en kongo sont tous kongos. Ainsi, avaient t-ils conclu, tout Samba du Mali ou Niger est kongo.

    Bref, on a a faire aux parano, des reveurs qui vivent de leurs reves.

    Les sundi viennent de la RDC, autour de Kimongo. Les bembes sont formes a partir du noyau teke fondateur de Mouyondzi. Les sundis du Pool sont venus de la-bas aussi.

    Au debut du siecle passe, au temps de Mabiala Ma Nganga, la region de Mindouli etait encore habite par les tekes. Puis, ces memes populations sont devenus hangala, et on nous dit qu’ils sont kongos, mais n’existent nul part ailleurs qu’a Mindouli, leur terre ancestrale.

    Anonyme, j’ai mis un document sur les beembes dans l’autre article, ca te sortirait un peu de ton breuvage kongolonerique.

  29. Anonyme dit :

    @ Ngaliemo

     » Vous dites par exemples :
    « Toutefois, en RDC, on n’a jamais dit que les Kongo n’étaient pas sur leurs terres dans la région de Kinshasa. »

    C’est la preuve que vous n’avez pas connaissance de la version officielle de l’histoire de Kinshasa, préférant nous ramener aux thééries du Bundu Dia Kongo.

    Sauf que, le théoricien du BDK étant plus malin, préfère occulter l’antériorité des tékes sur Pool Malebo en faisant passer ces derniers pour des kongo.

    Preuve de votre mensonge, voici ce que l’on peur lire chez les historiens sur la création de la ville de Kinshasa : »

    Ma réponse :
     » En RDC, la rencontre entre les Téké et les Kongo se fait exactement sur la même ligne qu’au Congo Brazzaville i.e. au niveau de Kanzangulu qui fait frontière avec les Téké de Maluku et Nselé ( cette rencontre se fait aussi un peu plus à l’ouest au pays Ntandu).  »

    Savez-vous au moins où se trouve Kazangulu?
    Si vous savez la localisation géographique de Kazangulu, vous n’allez pas exposer votre ignorance à la face du monde.

    Savez-vous les frontières de Kazangulu par rapport à la Nselé et Maluku, terres Téké mitoyennes de Kinshasa ?

    Ahh les enfants ! Vous nous montrez les conséquences de l’école sous l’ère Sassou.

    Ngaliemo a écrit :

    « Essayer aussi de mieux vous renseigner sur les fameuses routes des caravanes. Après avoir vidé les peules de la côte et détruit le royaume Kongo, les esclavagistes utilisaient les survivants pour aller faire la chasse aux peuples les plus éloignés.

    A l’arrivé des colons, fort de leurs habiletés dans la chasse à l’être humain et le portage à longue distance, les peuples des zones côtières comme vilis serviront de mains d’œuvre priséé pour le portage des charges du Loango vers le Pool Malebo. »

    Donc les Vili avaient vendu toutes les populations entre l’Atlantique et Stanley Pool? Est-ce bien ce que vous sous-entendez ? Pouvez-vous nous donner les noms de ces populations ou vous nous dites qu’entre l’océan et Stanley Pool, c’était le vide?

    Ah tâ Sassou qu’as-tu fait de l’école au Congo ? Ehhh Mâmâ Ntsona! Et puis comme vous dites que vous êtes congolais ? Comment pouvez-vous étaler votre mauvaise foi de la sorte à la face du monde sans craindre de paraître ridicule ?

    Ngaliemo nous dit que les esclavagistes ont tellement détruit le royaume Kongo qu’il n’y avait plus d’âmes entre Loango et Stanley Pool?

    Voyez-vous ces revionnistes qui n’hésitent plus à dire que même les pays du Grand Niari sont des terres Téké que les Kongo ont pris. C’est ce que Gabio a écrit et que Ngaliemo nous dit en sous-marin avec son texte ci-dessus reproduit. Bien avant eux d’autres tentèrent de le dire sur ce site.

    vous dites  » Après avoir vidé les peules de la côte et détruit le royaume Kongo, les esclavagistes utilisaient les survivants pour aller faire la chasse aux peuples les plus éloignés ». Quels sont ces peuples les plus éloignés? Ils sont éloignés par rapport à la Côte ? Qui sont-ils ? Où se situaient leurs territoires? Parlez-vous des Téké ? Si oui, alors les Téké devraient être frontaliers des Vili si on suit votre logique qui consiste à dire que la vallée du Niari est terre Téké. Gabio l’a dit ici. Alors citez-nous les noms des villages et rivières Téké mitoyens du royaume de Loango?

    Vous êtes nés avant la honte.

    Ngaliemo écrit :
     » C’est donc ce contexte de dépeuplement des zones côtières qui a favorisé le déplacement des populations en terre profonde, avec tous les mélanges qui s’en suivront.

    SITUATION GÉOGRAPHIQUE
    Il est borné :
    – Au nord par le fleuve Congo
    – Au sud par la rivière Kwaza
    – A l’est par la rivière Kwango
    – A l’ouest par l’océan atlantique
    Il occupe le maritime de la RDC (Bas-Congo et l’Angola) »

    Je le répète, quelles sont ces populations qui ont quitté les zones côtières pour les terres profondes. Je veux leurs noms? Par ailleurs, à vous entendre, tout le monde vivait sur les zones côtières pour les fuir après les razzias esclavagistes? Ahh tâtâ Nzambi ya Mpungu!

    Je me demande ce que les enfants apprennent aujourd’hui à l’école. Quand on dit que l’école est par terre au Congo, vous avez là un exemple patent de la destruction de l’école par Sassou.

     » SITUATION GÉOGRAPHIQUE
    Il est borné :
    – Au nord par le fleuve Congo
    – Au sud par la rivière Kwaza
    – A l’est par la rivière Kwango
    – A l’ouest par l’océan atlantique
    Il occupe le maritime de la RDC (Bas-Congo et l’Angola) »

    Ceci est l’exemple patent du révisionnisme. Pour Ngaliemo, le royaume Kongo ne s’étendait pas sur une partie du Congo actuel, mais seulement en RDC et en Angola. Vous lisez bien ce qu’il a écrit ci-dessus  » situation géographique  » qu’il dit tenir de Marchand.

    Gabio, apprenez à discuter. Aussi ayez l’amabilité de répondre à mes questions.

  30. LLL dit :

    Le FROLIBABA est en guerre. Curieusement, non contre ceux dont ils (les tékés) sont les éternels porteurs d’eau et qui les méprisent ouvertement : Les Mboshis. Ils ont une obsession : « en finir avec les laris, ces migrants apatrides, hégémonistes en diable qui la ramènent un peu trop ». Les difficultés sociopolitiques et économiques du pays leur importent peu et passent au second plan. A leurs yeux, l’enjeu du moment c’est le « péril lari. » C’est à la virgule près, exactement ce que pense Sassou Nguesso. Ils sont donc en bonne compagnie. Massacres et génocides d’Etat, sont toujours précédés d’une préparation idéologique. Le génocide des tutsis, au Rwanda a été précédé d’une puissante campagne contre les « cafards », ces parasites qui se considèrent d’une race supérieure et méprisent les hutus. Quant aux juifs, ces cosmopolites apatrides (tiens tiens…), race maudite parmi les nations, la solution finale c’est-à-dire leur disparition, devait être une œuvre de salubrité planétaire. Ce à quoi les nazis se sont employés. Trop tard cependant pour nos éradicateurs. Leur comparse Sassou Nguesso ne les a pas attendus. Il n’en est qu’à son deuxième massacre. Ils entendent donc se rattraper. Aussi ne lâchent ils pas leur bout de gras. Ils s’y accrochent. Il faut bouffer du lari. Ce mal qui les ronge, les dévore à en perdre le sommeil et les contraint (les pauvres) à une veille Internet de tous les instants n’est plus supportable. Ils rêvent d’un ethnocide pourtant largement entamé par leur allié Sassou Nguesso. Il n’y a que ça qui vaille contre ces migrants apatrides, usurpateurs de royaume ! Avec toute la suffisance qui n’a d’égale que leurs complexes, ils sont capables de vous citer 287 auteurs au soutien de leurs sentences (phobies ?). Dans une vie antérieure et sur ce site, j’avais déjà répondu à ces individus dont j’avais identifié la pathologie que : « la lévitation stratosphérique engendre une mégalocéphalite, une pathologie qui se soigne par doses quotidiennes de modestie et de séjours prolongés dans l’anonymat ». Peine perdue ! Le mal est plus profond que je l’imaginais. Ils se sentent investis d’une mission quasi divine. Nous nous bornerons (pour l’instant) à présenter un texte qui relativise lourdement leurs divagations.

    Projet KongoKing (2017) http://kongoking.net
    Ce projet d’une durée de cinq ans (2012-2016), coordonné par le professeur Koen Bostoen de l’Université de Gand, mené en collaboration avec l’Université libre de Bruxelles et le Musée royal de l’Afrique centrale de Tervuren en Belgique, ainsi qu’avec plusieurs autres partenaires associés en Afrique, en Europe et en Amérique du Nord. visait d’abord à recueillir des données nouvelles en archéologie et en linguistique historique, puis à les confronter entre elles et avec les données d’autres disciplines, notamment l’histoire, afin d’apporter une lumière nouvelle sur les origines et le développement du royaume Kongo.

    Découvertes linguistiques (je passe les découvertes archéologiques )
    Avertissement : Avant le projet KongoKing, ni l’archéologie ni la linguistique historique n’avaient été systématiquement mises à contribution pour éclairer l’histoire ancienne du royaume Kongo, alors que ces deux disciplines jouent dorénavant un rôle souvent majeur dans la reconstruction de l’histoire ancienne d’autres parties de l’Afrique.
    Extrait
    « Un des principaux apports de cette démarche linguistique est que malgré son nom, la répartition du groupe kikongo n’est point le résultat de l’essor et la désintégration du royaume Kongo, comme il est communément admis. Ce vaste ensemble de langues étroitement apparentées qui s’étend du Nord de l’Angola (y compris le Cabinda) jusqu’au Sud du Gabon tout en incluant des parties considérables du Congo Brazzaville méridional et du Congo-Kinshasa occidental est considérablement plus ancien que le royaume Kongo. L’ancêtre commun de ce groupe de langues a au moins 2000 ans et il a émergé non le long de la côte Atlantique, comme il a souvent été pensé, mais dans l’intérieur, à savoir non loin du Pool Malebo où se trouvent actuellement les capitales de Kinshasa et Brazzaville. Grâce à la confrontation avec les données archéologiques disponibles, nous pouvons assumer dorénavant que la première expansion de ces langues vers la côte est le corollaire de la première colonisation de la région par des populations bantouphones qui ont descendu le fleuve Congo au moins plus d’un millénaire avant que ne commence à émerger le royaume ».
    Chacun, peut désormais se faire son opinion sur les forfanteries de ces historiens de cours d’écoles. Mais comme le dit si bien MONSIEUR Arlette Kimpila qui pourrait tout aussi bien être Gabio, Ta Malanda, Nkalla, où Ngaliema, « on ne viendra pas à bout d’obsessions entretenues par des complexes d’un autre âge »

  31. Anonyme dit :

    Gabio a écrit :

     » Pour information, a la fin du 19e siecle, lorsque Makoko (Onkoo), assiste de Ngalieme et Mpoutaba (chef de terre allant de l’actuel Boko a Mfoa), signait ce vrai faux traite avec De Brazza, il n’y avait pas encore un seul kongo dans les environs, meme pas a Boko. Lorsque les travaux de construction de Brazzaville ont commence, il n y avait pas de kongo non plus, ni a Brazzaville, ni a Boko. Les premiers kongos sont arrives de l’Angola et du bas-RDC au debut du 20e siecle et l’immigration a continue surtout a cause d’une demande accrue de la main d’oeuvre pour la construction du CFCO. »

    Boko a pour frontière Luozi en RDC. Si nous suivons Gabio, le pays Téké était frontalier de la région de Luozi. Donc, on peut dire qu’en RDC, on trouverait aussi les villages Téké dans la région de Luozi ou dans le pays Manianga.

    Gabio, cite-nous les noms des villages, rivières Téké que l’on trouve dans le Manianga de RDC vu que tu allégues que les Manianga du Congo n’existaient pas et que tout leur pays actuel était sous l’autorité de Mpoutaba, chef de terre allant de l’actuel Boko à Mfoa.

    La rupture ne peut être brutale pour dire que les Téké ne seraient pas aussi dans le pays Manianga de RDC si Mpuntaba était chef de terre allant de Boko à Mfoa.

  32. Gabio dit :

    Anonyme, souffre qu’on te dise autre chose que les conneries de Bunda dia kongo que nous balances. Le royaume kongo ne se situait qu’en Angola et au bas RDC, pas au Congo ou Afrique du sud ou au Gabon comme le veut BDK. C’est un reve qui ne t’apporte rien, sinon qu’un sentiment de fierte ridicule.

    Je ne reponds pas aux ecrits de bunda dia kongo que tu deverses ici, ce sont des vauriens. Alors tes references de BDK, tu les gardes pour toi. Je sais que les choses vont tres vites. En 1942 pendant le proces de Matsoua a Kinkala, les chefs de terre presents au proces comme Malela etaient dits chef teke. 76 ans plus tard, que sont devenus les descendants de Malela? Des laris de Kinkala, n’est ce pas? Et tous les laris, y compris Brrnsrd Ankoula alias Kolelas, ne sont t-ils pas dits des kongos? Vois-tu ce que veut dire kongo?

  33. NGALIEMO dit :

    @LLL croit venir impressionner en faisant une extrapolation d’un projet de recherche sur le royaume kongo, partant d’une méconnaissance de la période précédant l’arrivée des portugais, pour tirer des conclusions qui reprennent les théories du Bundu Dia Kongo.

    Et, comme pour toute personne évoluant dans un univers très sensible à la victimisation, il présente ceux qu’il ne peut contredire par des arguments pertinents au personnage de Sassou Nguesso pour tenter de rallier à sa cause les victimes du système tyrannique.

    Malheureusement, ce ne sont pas des clichés, ni les méthodes clientélistes ou démagogiques qui viendront occulter la réalité observée sur le terrain, des recherches menées depuis plusieurs siècles sur les mouvements migratoires des différents peuples africains, particulièrement ceux de l’Afrique centrale.

    Donc, il n’y a aucun fait nouveau qui viennent contredire tout ce que nous avons avancé comme argument, malgré les tentatives de ceux qui ont du mal à admettre leurs origines, soit téké, soit de la RDC ou du nord de l’Angola.

    En RDC, il y a aussi des chercheurs:

  34. Anonyme dit :

    Gabio,
    Je vous sentais à bout d’arguments. La preuve en est que vous fuyez maintenant le débat.

    Il y avait aussi Mpiaka comme assesseur indigène au tribunal au même titre que Maléla. Aussi, je ne vois aucun lien avec le sujet en discussion. Et que dites-vous de Nkouka Etienne?
    Ces messieurs étaient des fonctionnaires de justice et à ce titre assistèrent au procès de Matsoua. Ahhhh beno! Louvounou !

  35. Anonyme dit :

    Ngaliemo
    Où est Kazangulu ? On ne parle de Kinshasa ici. Aussi ne détourne pas le sujet. Votre mensonge vous revient au visage.

  36. Anonyme dit :

    Ngaliemo dit :
     » Malheureusement, ce ne sont pas des clichés, ni les méthodes clientélistes ou démagogiques qui viendront occulter la réalité observée sur le terrain, des recherches menées depuis plusieurs siècles sur les mouvements migratoires des différents peuples africains, particulièrement ceux de l’Afrique centrale. »

    Apporte nous ces recherches pour qu’on en discute. Ahh votre mensonge et votre haine de l’autre vont vous perdre.

    Par ailleurs, comme vous y êtes, cest vrai que le pays Téké commence au  » nord du Mayombe  » comme l’allegue votre alter ego Gabio?

    Notez que le  » nord du Mayombe  » se situe où le Cfco sort du Mayombe en direction de Brazzaville, selon Gabio. Ahhh tchiadi mingui. Vraiment l’école n’existe plus au Congo. Les enfants ne savent plus ce que sont les points cardinaux, notion enseignée en CE2.

  37. Jules Ngoyo dit :

    @Anonyme,

    Commencez par faire vos propres recherches en procédant par une analyse comparative, plutôt que de vous appuyer sur des éléments comme ne nom de Loubomo donné à l’époque de Ngouabi, où les approximations de @LLL qui déforme les objectifs de Kongoking.

    Dans ce projet dont l’aboutissement reste incertain, il est question d’une démonstration des origines communes des langues utilisées par des peuples bantous.

    En bon Kongologue, il remplace bantou en kikongo pour situer les origines de la langue a plus de 2000 ans.

    C’est donc une association malhonnête des théories du Bundu dia Kongo avec un projet qui n’a rien à y avoir.

    De plus, dans ce projet, il est bien spécifié que l’on ne peut pas étudier l’histoire du royaume Kongo indépendamment de celle des royaumes avoisinants, dont le Tio, Loango…

    Si vous étiez un bon intellectuel, vous auriez commencé par relever ces incohérences et cette tentative d’escroquerie de la part de @LLL.

    Essayez de vous élever au delà d’un niveau humoristique comme celui des inconnus (Legitimus, Bourdon, Campon) qui disaient dans un sckech que la première ville arabe traversée par le Paris Dakar était Marseille, parce que on y trouve une forte présence maghrébine.

    Il faut chercher au delà des apparences pour découvrir la vérité.

  38. Dina Mahoungou dit :

    Chapeau l’artiste ! Un travail de maître !

  39. NGALIEMO dit :

    Anonyme

    comment voulez-vous débattre sur un sujet historique avec comme principal argument des idées reçues, non reprises par des chercheurs indépendants, si ce n’est par des pseudos historiens animés par la volonté de restaurer de façon virtuelle la grandeur supposée d’un royaume mythique.

    Avez-vous déjà eu à lire l’ouvrage de Marcel Soret, édition PUF, 1959, intitulé « Les Kongo nord-occidentaux »?

    Si ce n’est pas le cas, je me fais le plaisir de vous faire découvrir vos origines et j’espère que vous aurez l’amabilité de m’n remercier;

    Vous pourrez apprendre ceci dans cet ouvrage:

    « Ce sont des populations généralement en progression démographique. Ces tribus, vers le début du XVe siècle, n’occupaient que la rive gauche du Congo; elles ont ensuite progressé vers le N -E. au détriment du groupe Téké. Sur la vallée du Niari, probablement alors vide d’habitants, cette progression ne rencontra pas d’obstacles; plus à l’E. par contre, la résistance des tribus Tékés fut plus forte et détermina l’accumulation de la population dans la partie orientale du pays.
    On sait de façon à peu près certaine que les Kongo arrivèrent aux environs de 1450 à San Salvador, venant du Kasaï.
    A partir de cette date se fait l’éparpillement des tribus, en particulier le long du Congo, sur la rive gauche du fleuve. Le franchissement au niveau du Stanley Pool n’aurait eu lieu cependant que vers le XVIIIe siècle, l’autre rive étant jusque là solidement tenue par les tribus Tékés.

    Dans la Vallée du Niari, les traces d’anciens villages sont fréquentes. Mais il faut rechercher
    les raisons de leur abandon plus dans le regroupement des villages téké sur les routes que dans
    une diminution de la population. »

    Et, je peux multiplier des exemples de références historiques, alors que, vous n’aurez comme recours qu’un certain LLL. Essayez de trouver mieux pour nous faire rêver.

  40. Anonyme dit :

    Vous dites que les Kongo sont arrivés aux environs de 1450 à San Salvador. Soit!

    Il est d’autorité que Diego Cao arriva à l’embouchure du fleuve Congo en 1483 et fonda la première colonie. De là on lui annonça qu’il y avait un grand royaume à l’intérieur des terres où réside le roi.

    Est-ce que vous me suivez? Si vous me suivez, alors dites-moi comment les Kongo peuvent constituer un puissant royaume seulement en quelques années s’ils sont arrivés du Kasai aux environs de 1450? C’est invraisemblable!

    Il est de notoriété publique que le royaume Kongo a été fondé au 14eme siècle après plusieurs migrations bantou du VII au xiv eme siècle sur les terres des pygmées. Quand en 1482 Diego Cao rencontre le roi Nzinga Nkuwu à Mbanza Kongo, le royaume est déjà à son apogée. Mbanza Kongo est une ville riche.

    Quand Diego Cao arrive au Kongo, le royaume Téké est aussi à son apogée et en lutte chronique avec le royaume du Kongo. C’est avec les armes portugaises que les Kongo vont prendre l’ascendance sur les Téké. Cette guerre kongo contre les Téké avec les armes portugaises est de notoriété publique.

    Ceci étant, comment osez-vous dire que les Kongo arrivèrent à Mbanza Kongo aux environs de 1450?

    Ce que vous faites est de la mystification historique. Mieux, je dirais que c’est du terrorisme intellectuel.

     » dans la vallée du Niari, les traces d’anciens villages sont fréquents, etc »

    Dans la vallée du Niari où exactement? À la sortie du Cfco au Mayombe en direction de Brazzaville comme disait Gabio? Tchadi mingui!

     » regroupement le long des routes… » mais quelles routes et qui vont d’où à où ? Donnez-nous les noms de ces villages et routes?

    Écoutez, arrêtez avec votre révisionnisme et racisme. Là où réside un grand peuple, il y a toujours une continuité linguistique et culturelle.

  41. Anonyme dit :

    Le grand peuple Peul est présent en Mauritanie. Mais ils sont aussi au Tchad qui est à des milliers de kilomètres de la Mauritanie. Est-ce possible de les trouver dans ces deux extrémités sans qu’ils ne soient présents dans les pays qui se trouvent entre les deux? Non. C’est impossible. Il y a des peuls au Cameroun, Nigeria, Niger, Burkina, Mali, Guinée, Sénégal et Mauritanie. Saisissez vous la notion de continuité géographique et culturelle d’un même peul sur plusieurs territoires? Donc si le sud du Congo était Téké, alors à l’image des Peuls, on devait retrouver leurs villages partout. Or, ce n’est pas le cas. Vous êtes des révisionnistes animés par la haine du Kongo.

  42. Gabio dit :

    Ananyme, prouve le contraire de ce que nous disons. La vallee du Niari est une terre occupee par les tekes depuis des milliers d’annees, bien avant l’arrivee des kongo en Angola et bas RDC a partir du 12e siecle apres JC en provenance de la region de Kassai. Oui, les kongos se sont installes dans le bassin du Congo a partir de 1200, culminant avec la creation de ce que les portugais ont appele royaume au 15e siecle, coincidant etonnament avec le debut de l’esclavage.

    Comment vouloir faire croire au gens qu’un peuple comme ca soit au dessus des autres bantous qui occupaient ces terres depuis plus de 4000 ans a l’arrivee des kongos et que tous les autres bantous soient devenus par un tour magique, des kongos? Voila pourquoi personne ne vous prend au serieux, une bande de reveurs.

    Le sud du Congo etait teke, sauf l’actuel Kouilou. Voila pourquoi les Vili ont pu l’occuper et creer leur structure. Les peuples de la vallee du Niari ont du sang teke, n’en deplaise a tes historiens du zaire. Il n’y a aucun village kongo present ou passe dans la lekoumou parexemple, tout est teke. Le kongo est comme ce gros tam-tam, vide a l’interieur mais trop de bruit.

    Anonyme, si tu connais le Pool, je te demande de nous citer un seul village non teke parmi les 26 villages du district de Mayama par exemple. Pourtant a Mayama, on parle aussi en lari, meme Kolelas parlait en lari en public. Tu pourras faire autant pour Kimba, Vindza ou Kindamba. Parler en lari dans le Pool ou a Brazzaville n’est pas un critere de kongolite, on doit se comprendre la dessus.

    Ngamandzambala est un village de Kindamba, actuellement habite par les gens parlant en lari. Ces memes parsonnes, une generation ou deux plus tot, parlait en teke. C’est comme les Malela et les Mpiaka de Kinkala, tekes en 1942, laris (donc kongos) aujourd’hui.

    On comprends ta desillution apres avoir appris la verite, que le grand niari n’est pas kongo, malgre les efforts de BDK et ses disciples. Les vrais kongos ne parlent pas comme vous, ils savent l’histoire

  43. Anonyme dit :

    Gabio,
    Plus ignorant que toi, je meurs. C’est de toi que l’on attend des explications sur ta fumeuse frontière nord du Mayombe là où le Cfco sort du Mayombe en direction de Brazzaville.

    Un incapable de ton genre nous apprend que Loubomo est un nom donné par Ngouabi ignorant ce qu’est Loubomo.

    Donnes nous les noms des rivières et villages Téké allant de la « frontière nord là où le Cfco sort du Mayombe en direction de Brazzaville ». Ta réponse est attendue.

    De la notion de terres Téké occupés par les Kongo dans la vallée du Niari, tu nous parles maintenant de sang Téké. Tu changes de sujet. Bien sûr que même les Mbochi et autres Makoundi ont du sang Téké vu qu’Abala, Ollombo, par exemple, sont sur les terres Téké qu’ils leur ravirent. Entre voisins, il y a eu des mariages.

    Il y a une différence entre « terres » et « sang ». Il y a eu beaucoup de mélange entre les Kongo et les Téké vu qu’ils sont des voisins.

    Tu nous disais que les terres Téké allaient de Boko. Soit! Mais je t’avais demandé de nous expliquer pourquoi dans le Manianga de la RDC, il n’y a pas de traces des Téké ? Le Manianga de la RDC, à partir de Luozi, continue dans le Manianga du Congo, Boko, Louingui, Loumo. Alors, on doit ou devrait forcément trouver des Téké dans le Manianga de la RDC.

    Hier tu disais que tout le sud était Téké. Aujourd’hui, tu dis sauf le Kouilou. Tu es un gros menteur, pire qu’un arracheur des dents.

    Quelles sont les frontières du Kouilou dont tu parles? Un territoire a des délimitations et des populations. Cites les.

  44. Gabio dit :

    Tu es rigolo, un vrai echantillon dèun kongologue.

    Limite nord du mayombe, encore une fois, c’est la fin du mayombe en allant vers Brazza. Prend ca comme la limite du Kouilou et du Niari actuel.

    Je ne change pas de pseudo, je suis Gabio, et tous les autres qui t’enseignent que tu es descendant des immigrants venus du kassai a partir du 12e siecle et de l’Angola vers le Congo au debut du 20e siecle, sont des individus distincts de moi.

    Dolisie etait baptise Loubomo par Ngouabi, comme le Congo en Zaire par Mobutu. Bien sur que Ngouabi avait tenu compte des noms anciens autour!

    Je te sens tres decu d’apprendre la verite, tu es le seul qui ne sais pas que Boko etait encore un village en 1900. Ce qui signifie que tu es vraiment ignorant. Vas te renseigner aupres des vieux a Boko, tu apprendras mieux que dans les livres des kongologues.

  45. Gabio dit :

    lire: Boko etait encore un village teke en 1900

  46. Anonyme dit :

    Hier tu étais incapable de nommer les noms des localités où le  » Cfco sort du Mayombe en direction de Brazzaville » .´je te les avais donné: Lebanda (Kouilou), Mokondo et Dolisie ( Niari ). Ayant appris la leçon te voilà maintenant qui dit que ta fameuse frontière c’est au Niari et Kouilou.

    Un vrai ignorant doublé de gros menteur qui est toujours incapable de nous citer les noms de villages et rivières Téké que les Koongo ont ravi aux Téké dans le Grand Niari et au Kouilou . Un vrai révisionniste doublé de tribaliste raciste. Je ne serai pas étonné d’apprendre un jour que tu étais un des cobras actifs dans l’opération mouebara et colombe dans les plaines, savanes et forêts du Pool et de la Vallée du Niari.

    Un ignorant qui oublie que les kongo ont peuplé les terres du Grand Royaume du IIIème siècle au XIV eme siècles. Je l’ai pourtant écrit en répondant à Ngaliemo. Il ne sait pas lire tellement qu’il est aveuglé par la haine du kongo.

    Il est tellement ignorant qu’il est incapable de situer le Mayombe qui va d’est en ouest.

    Il me parle de Boko. Bien sûr qu’il a toujours été un village. C’est dans le pays des kongo Manianga qui sont dans les deux Congo. Malheureusement, il n’y a pas de traces des Téké sur les terres Manianga en RDC. Il est incapable de nous dire pourquoi. Cest simple puisque ça a toujours été la terre des Manianga. Demain, on ne serait pas étonné d’apprendre de lui que les Téké étaient jusqu’à l’océan Atlantique de Banana à Mayumba. Que les kongo ont pris leurs terres situées sur la côte atlantique.

    Des terres, il passe à la consanguinité pour refuser aux Koongo leurs terres. Drôle de débatteur. Échec et mat!

    Dit nous les noms des villages et rivières Téké que les kongo ont ravi dans la vallée du Niari, allant de ta fameuse « frontière nord là où le Cfco sort du Mayombe » en direction de Brazzaville.

    Un vrai ignorant révisionniste.

  47. Gabio dit :

    Anonyme, tu ne comprends pas que meme tes amis kongos ne te suivent pas, parce que tu ne comprends meme pas ce que tu dis? Tu es vraiment tres atteint par cette decouverte que tu ignorais, celle de savoir que meme en Angola, les kongos sont parmi les bantous les plus recemment arrives, 800 ans a peine alors que les autres bantous sont dans les bassin du Congo depuis 5000 ans. Tu ne trouveras aucun livre, en dehors de ceux de tes kongologues, qui diront le contraire de ce que nous te disons. Aucune recherche n’appuyera ce que tu dis, a moins qu’il soit un kongo en quete de grandeur imaginaire.

    Sur ce, je m’arrete de perdre mon temps avec toi. Continue a vivre dans tes illusions de grandeur imaginaire kongo, d’un mythique royaume kongo qui s’etendait sur toute l’Afrique.

  48. Anonyme dit :

    Échec et mat!

    Toutefois, donnez-nous les noms des villages et rivières teke à partir de la frontière nord là où le Cfco sort du Mayombe en direction de Brazzaville. Quel menteur!

    Reviens avec tes mensonges et je te ferais ta fête. Votre haine des autres doit avoir des limites. Espèce de milicien cobra va!

  49. NGALIEMO dit :

    Anonyme,
    Je suis persuadé que vous devez être un lari ignorant son pourcentage de métissage entre Téké et Kongo; ce qui explique votre obstination à vouloir nier l’évidence.

    Pour en remettre une couche, afin de calmer vos ardeurs à vouloir vous servir des révisionnistes comme référence historique, je vous recommande d’aller lire les contributions ethnographiques du missionnaire suédois K. E. Laman dont vous avez jamais entendu parler dans votre vie.

    En lisant ce chercheur qui connaît mille fois mieux les kongos que vous, vous apprendrez :
    – le processus de formation d’un créole appelé lari à partir des migrations Kongo en terre Téké,
    – que le lari commence à émerger après de la création de la paroisse de linzolo
    – que les terres ayant servi à la construction de la paroisse sont achetées aux tekes
    – que, face au refus de l’évangélisation des tékés, les premiers paroissiens à être formés étaient des enfants de migrants venus de toute l’afrique noire, ayant échappé à la traversée de l’Atlantique(allez vérifier les registres). Par curiosité, j’aimerais savoir si le nom samba existe en RDC et en Angola
    – que le lari est donc né des nécessités de communication entre migrants de diverses origines et autochtones

    Donc ne soyez pas surpris d’apprendre un jour que vous pouvez être tchadien ou centrafricain

    Dans ma famille, nous avons eu des descendants d’esclaves venant de l’Oubangui…

    Dans le prochain épisode, si vous êtes gentil et que vous faites preuve de sagesse, je vous donnerez les références bibliographiques des récits des explorateurs qui expliquent que Ma Loango, après avoir revendiqué l’autonomie au royaume Kongo était devenu vassal de Makoko, que de Brazza avait demandé l’autirisation à Makoko pour aller rencontrer tous ses vassaux pour décliner le fameux traité en accords locaux.

    Arrêtez de lire les fossoyeurs de l’histoire et apprenez à chercher l’information à la source.

  50. qqq dit :

    Intéressant de voir comment les fils du royaume Kongo dérangent. Mais qu’est ce qui se passe; notre frère Nsondé s’est donné du plaisir en essayant de restituer une partie de notre passé qui nous échappe en tant que Congolais. Pourquoi cela déchaine t-il des passions?
    Faut il aussi mettre ce frère N’SDONDE avec son livre en prison comme c’est la mode maintenant
    En principe ce livre dès sa sortie doit être au programme dans les écoles au Congo. ça donnerai goût aux autres enfants de continuer à les recherches dont une page vient d’être écrite. Aujourd’hui on connait mieux De Brazza avec son musé au milieu de Brazzaville que toute notre histoire.avant l’arrivée de ce Blanc.
    Le royaume KONGO a bien existé. Il a connu les affres de la domination portugaise et pas seulement.
    A son apogée des blancs venus d’ailleurs se sont mis à genoux à son trône. Les échanges commerciaux et diplomatiques ont eu lieu. Une certaine lumière s’est dégagée de ce royaume.
    Les marques de ce royaume sont visibles dans d’autres continents. Des fils ce royaume ont été déportés loin parce-qu’ils avaient de la valeur au sens large du terme comme le peuple d’israèl a été déporté à Babylone. De ce point de vu les Kongos ne peuvent être confondus aux batékés car ils ( les batékés) sont confinés uniquement autour de l’alima et la Lefini, et nul part ailleurs au monde. Je ne parle même pas de Mbochi ( attention ce n’est pas une insulte).

    Notre compatriote N’SONDE mérite des applaudissements et des encouragements. Ce livre sur le 1er ambassadeur du KONGO mérite un long métrage.

  51. KONGO DIA NGUNGA OU LE KONGO DE LA CLOCHE dit :

    qqq, Ngaliemo, Gabio, parfois anonyme constituent un même et unique personnage qui trouve un malin plaisir à jouer l’avocat du diable en plaidant des deux côtés. Et c’est bien triste de voir certains compatriotes souffrant probablement d’un mal-être profond veuillent venir distraire les leurs qui ne cherchent qu’une chose construire le Congo en se souvenant de ce qu’on a été hier.

    Hier on a porté des noms comme Nima koko, la soutane de Youlou, Matsoua le sapologue etc

    Tsiari mingi ba mpangi ya vincent !

  52. Anonyme dit :

    Je regarde beaucoup pour nos dirigeants il fallait que on retourne le corps d’un autre ancêtre dans notre sol kongo mais dommage ils sont tous dans l’air secte magique tu peux pas faire ça mais tôt ou tard le monde finira par comprendre des portugais ils vont payer un jour et tout ce qu’ils ont fait nos ancêtres

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