Jean-Luc MALEKAT
Le passé explique le présent et les mêmes causes produisent les mêmes effets. Quand on oublie son histoire on sera obligé de la revivre tôt ou tard.
Au travers de cette lettre ouverte, destinée à vous alerter sur le danger imminent que court aujourd’hui la République du Congo, je voudrais revenir sur le passé pour vous rappeler l’existence de « l’Engagement Solennel » du 31 mai 1997.
La guerre civile
Cinq jours avant le déclenchement de la guerre civile du 05 juin 1997, cet « Engagement » avait été signé à Brazzaville par Messieurs Pascal LISSOUBA, Président de la République, Bernard KOLELAS, Président du MCDDI, Denis SASSOU NGUESSO, Président des FDU, Jean Pierre THYSTHERE-TCHIKAYA, Président du RDPS, Saturnin OKABE de la Mouvance Présidentielle, Pascal TSATY MABIALA, UPADS et Monsieur Federico MAYOR, Directeur Général de l’UNESCO.
Le but de cet accord était d’obtenir que l’organisation de l’élection présidentielle prévue pour le 27 juillet 1997 se déroule dans un climat de paix et soit caractérisée par la transparence et le respect mutuel des candidats.
Les solutions
Ces derniers avaient pourtant convenu de rechercher, entre autres, des solutions aux problèmes suivants :
Les questions liées au recensement administratif spécial
La mise en place d’une commission nationale d’organisation des élections
La sécurité des élections et du ramassage des armes
L’accès équitable aux médias
Le financement de la campagne électorale
L’éthique
Le comportement de l’appareil judiciaire basé sur son impartialité
La mise en place d’un comité technique chargée de superviser les termes de cet engagement
Force est de constater que les élections précipitées du 20 mars prochain sont très loin d’apporter un semblant de ces garanties qui étaient alors exigées par ceux-là même qui les organisent actuellement.
Il est vrai qu’ils se heurtaient à la déclaration désormais célèbre de Pascal Lissouba qui a conquis tout le continent : « On n’organise pas des élections pour les perdre » !
L’on est également loin des exigences formulées en 1997 ainsi que des recommandations prises à Sibiti et Diata en 2015 concernant le processus électoral.
Dès le 23 décembre 2015, Les Assises Nationales du Congo, récusaient et rejetaient l’organisation d’une prétendue élection présidentielle anticipée au premier trimestre de l’année 2016.
Report
Le « Comité de Veille et Soutien J3M pour l’Alternance », dans un Manifeste, vient en date du 14 mars 2016, d’exiger purement et simplement le report de l’élection présidentielle du 20 mars en se basant sur les arguments supra.
Nous appelons les forces morales congolaises regroupées au sein du Conseil Œcuménique de demander également le report des élections prévues au mois de mars 2016.
Nous saluons la position prise par le Parti Socialiste français, le 07 mars 2016, sur le report de l’élection présidentielle au Congo.
La surenchère qui consiste d’exiger que les élections présidentielles se déroulent le 20 mars 2016 n’est qu’une illusion dans la mesure où les conséquences de la mise en exergue de cette décision pourraient encore entraîner notre pays dans des épreuves dont il ne s’est pas totalement relevé. Il ne saurait y avoir de gagnant véritable et, le seul perdant ne pourra être que le peuple congolais.
La crise congolaise est multidimensionnelle (institutionnelle, morale, de gouvernance, spirituelle etc.) et ne saurait être réduite strictement à des problématiques de gouvernance électorale et de Constitution.
Le pouvoir, l’opposition, la société civile, les forces de sécurité et les forces morales devraient s’inviter à une table ronde nationale sans exclusive pouvant aboutir à un vrai dialogue.
Plusieurs questions essentielles devraient faire l’objet d’un débat fructueux pour dénouer la crise congolaise. Voici ces problèmes : la gouvernance électorale, l’avenir des institutions, l’état des lieux de la nation, la refondation économique, sociale, sécuritaire du Congo, le statut du président de la République en fin de mandat, la justice, la paix et la réconciliation etc.
Après ce débat, l’on pourrait esquisser les termes de référence d’une Transition en se référant aux expériences accumulées.
Il s’agira de réaliser un processus électoral juste et transparent, qui soit une réussite pour le peuple souverain, cela dans l’intérêt général et que, dans le même temps, la transmission du pouvoir se fasse dans les meilleures conditions.
Il s’agira de faire jouer à la force publique (armée, police, gendarmerie) un rôle décisif pour que le principe de l’alternance démocratique s’inscrive comme une valeur républicaine et une tradition politique et qu’elle soit là pour sécuriser le peuple ;
Il s’agira, aux travers des institutions à mettre en place, de connaître et de faire connaître la vérité sur l’histoire politique de notre pays afin d’avancer vers une réconciliation et un État de droit qui rendent la justice, qui puissent trouver des solutions consensuelles relatives aux crimes humains et économiques.
Notre vision d’une Transition apaisée, saine et maitrisée sera basée sur les vœux et besoins clairs de l’ensemble de la population. Pour nous, la population qui n’a que trop souffert, est notre socle et notre principal intérêt. Avec ses problèmes actuels de pauvreté, de conditions de vie familiale difficiles, de santé, de scolarisation dans un système délabré, de chômage endémique des jeunes, de veuves et de personnes âgées à l’abandon…la base de l’économie nationale devra la concerner.
Il s’agira donc de mettre en place un programme pour la reconstruction du Congo et du partage égalitaire des richesses.
Cette période devra se réaliser dans un cadre qui privilégie l’éthique, la transparence et la justice sociale pour inclure chaque fille et fils du Congo dans l’œuvre de refondation, réconciliation, et de revitalisation de notre tissu socioéconomique.
Grâce à leurs intelligences, leurs compétences, leurs courages et leurs engagements, les Congolais de l’intérieur et de l’extérieur parviendront, nous en sommes persuadés, à faire sortir le Congo du gouffre dans lequel il a été plongé.
Pour cela il faudrait que le dialogue, la sagesse et la tolérance réciproque prévalent !
Vive la République,
Vive le Congo.
Par Jean Luc MALEKAT
Ancien Ministre de l’Economie, des Finances et du Plan du Gouvernement de Transition
1991 1992
Et…….donc……
Comme si on NE sait pas CA deja?
Rôle à la hauteur de son génie créateur!
Mon frère Malekat , merci de restituer l’histoire à sa place , les Congolais doivent comprendre que sassou est un obstacle pour la paix ! C’est lui le problème du congo . Moi j’adhère dans le parler vrai du Général MOKOKO si sassou triche le 20 , l’insurrection populaire pour le chassé du pays ! Cet ainsi que nous pourrons rétablir la république du congo !!!
C’est une démarche sage,(malheureusement à l’heure où les deux généraux vont s’affronter et le peuple envahir le palais du fils de satan pour réclamer son dû),ladite démarche s’inscrit dans l’après Sassou.
Le présent demande au peuple d’aller vers le palais chasser le dictateur pour sa liberté;une liberté qui n’a pas une date d’acquisition. Maintenant tout doit arriver!remplacerait bien des slogans du genre l’avenir est arrivé ou le changement c’est maintenant qui bien que
valables devraient évoluer vers MAINTENANT TOUT DOIT ARRIVER.
Cette lettre ne fait que reprendre ce que nous disons depuis l’annonce de la participation de l’IDC-FROCAD au début du processus de célébration du troisième mandat du dictateur qui aura lieu le 20 mars.
C’est dommage que ses références sur le report du scrutin ne se limitent qu’au comité de soutien de Mokoko, dans la mesure où le collectif des partis de l’opposition réuni autour de Ndzon a émis ce souhait publiquement, dès le départ.
La réalité est qu’on a voulu vite célébrer un sauveur, portant en lui les espoirs de faire fléchir le tyran sur sa volonté de passer en force.
Malgré l’entrée tonitruante du général sur la scène politique, rien ne semble arrêter la marche vers une victoire au premier tour de la mafia d’Oyo.
C’est à se demander s’il n’est pas finalement un agent de diversion ou un leurre, focalisant l’attention sur lui, pendant que tout est mis en œuvre pour que le tyran s’impose.
A 4 jours du scrutin, il devient de plus en plus évident pour ceux qui croyaient en Moïse que seul le peuple peut venir à bout de cette escroquerie d’Oyo Haram.
Car, tout au long de la campagne, on a pas vu l’effervescence des gros poissons tant annoncés autour de Moïse.
Seuls nos jeunes gens et paisibles citoyens continuent à espérer un miracle ce 20 mars, qui viendraient les délivrer de 32 ans de martyrs.
Comme je l’ai toujours souligné, il est quasiment incertain qu’un mouvement spontané puisse faire long feu.
L’entrée en campagne de « Moïse « , si populaire soit elle, semble relever de l’improvisation. Et, pour déboulonner un dictateur, il faut un minimum de préparation.
J’ose espérer que notre opposition qui a précédé sur le terrain de lutte dispose des structures qui pourraient déstabiliser le système mafieux et son appareil répressif à long terme.
Sinon, nous dirons tous au lendemain du 20 mars, en ramassant nos cadavres, essuyant les larmes et nettoyant le sang: Ndzon avait raison.
Je vous remerciez pour cette lettre ouverte.
Pour compléter: les Généraux de la force civils n’ont rien à faire dans les parties politiques.
Pour un meilleur respect des institutions…
Chaque personne doit-être a sa place!
La lecture don je fais, très amer a l’egar de nôtre armée national.
Pour leurs participation à la déstabilisation du NKONGO « Congo », avec leurs arrive dans la gestion de la cité »institutions public ».
Adire c’est un domaine réserver aux civils.
Matondo.
Il est difficile d’avoir une appréciation acte de la situation du pays. Nous retenons seulement,comme disait le Cdl MOSSENGO,le Congo est comme un train qui » va droit sur le mur ».
Que de bonnes intentions n’ont elles pas été évoquées pour ramener les politiques sur la même table. Mais tous n’ont pas les mêmes enjeux. Il y en a qui veulent sauvegarder le pouvoir et il y en a qui militent pour le changement.
Un terrain d’entente est difficile à trouver quand les visions ne convergent pas. L’orgueil ,la super – puissance,( économique et militaire ) du plus fort entraîne à l’aveuglement et à la surdité à tel point que les apports de ceux qui ne partagent pas la même vision,ne compte plus. Un exemple,au tour même de Sassou,nous constatons que les membres de la famille,sont plus actifs que les autres partenaires pctistes. Donc, ayant une vision familiale très forte du pouvoir, le Congo devient defacto un bien familial.Et les congolais,s’il y avait moyen de les liquider tous,le clan sassou ne s’empêcherait pas de le faire; l’essentiel est que le pouvoir soit garanti pour la famille et l’exploitation des richesses du pays soit toujours à leur portée.
Que faire dans ce cas,c’est triste de le dire. Que Sassou parte. Mais comment? Je doute fort qu’avec l’organisation actuelle des élections que les congolais le fassent partir du pouvoir.
Le Lion de Makanda,risquerait d’avoir raison un jour. Il proposait une solution armée.Mais avec qui ?
Le peuple n’irait jamais en guerre armée contre Sassou. Peut-on compter sur l’armée? Elle n’est pas armée et les officiers sont corrompus.
Alors que faire? Le Congo devient une équation mathématique difficile à équilibrer. Une seule chance,que chacun soit vigilent et persévérant le jour du vote. Dans le même quartier veiller sur ceux qui viennent voter. Sont -ils de mon quartier ou ce sont des gens qui viennent d’ailleurs? Que la Commission technique qui a été mise en place par l’opposition exige de faire le choix de l’ancre à utiliser pour les empreinte digitales ( rouge,bleu, noir). Instaurer les fouilles systématiques de votant avant l’entrée en salle. Faire un bouclage et repérage des bureaux de vote dans chaque circonscription électorale. Mais combien de temps nous reste-t-il pour y arriver?
Comptons sur le sens patriotique de chacun. J’espère que tous nous avons la même vision; néanmoins ceux qui militent pour le départ de Sassou.
Demain Jeudi 17 mars 2016 après les discours de Kolélas et de l’opposition réelle au Boulevard des armées, quel que soit les schémas,…,des états généraux de la nation s’imposeront avec application cette fois-ci de tous les actes de la conférence nationale souveraine de 1991 qui sont encore en souffrance!
Cette fois-ci,le fils de satan ne s’echappera pas!!!
ABOU PIA NA LOBI ESSILI .
au date d’aujoud’hui sassou nguesso est en position de force l’afrance soutien totalement le regime du dictateur , mais lissouba na pas etais soutenue par la france, sassou a teki mboka na la france parce que sassou apesa atalate na France.haaaa cette France qui na pas meme un compagnie au congo apart TOTAL ELF mawa troooo pona biso congo, pona kolonga sassou il ne faux pas surtout compter sur la France
Pour ma part, j’attends le comportement des deux generaux au soir du 20 Mars.
Lequel est de pacotille et lequel est vrai…………….
Cela est juste. Les conditions ne sont pas requises, et l’opposition ne devrait normalement accepter le scrutin du 20 Mars. Qu’ à cela ne tienne. Compte tenu des foules qu’attirent les 5 candidats de l’opposition; L’AFFAIRE EST CLAIRE COMME L’EAU DE SOURCE QUE C’EST L’OPPOSITION QUI va gagner les élection. Sassou Nguesso est vomis et que cela le monde entier en prenne acte. Cela est la logique des choses. Non seulement Sassou Nguesso n’a jamais été le président légitime du Congo, il une poersonnalité trouble. Il est un criminel g´enogidaire. Une telle personne ne mérite pas de diriiger une république.
Sassou Nguesso est une honte, un scandal. Il est un Président criminel, génocidaire autoproclamé, entouré par un clan aussi responsable de crimes contre l’humanité,de génocides, crimes de sang, crimes économiques. Il faut une fois pour toute mettre un terme à près de 33 ans de dictature sanguinaire sassouiste. Il faut mettre les affiches les images des tueries de Sassou Nguesso; le plus corrompu, dingues criminel, sanguinaire des préfets de Françafrique en Afrique. Il faut bien informer le peuple français sur l’existence de la Françafrique et ses effets néfastes à long terme pour intérêts réels de la France. Il faut citer les noms des responsables politiques de la France et firmes qui soutiennent la dictature Sassou Nguesso. Le destin du Congo est entre les mains des congolais. Pas de négociations avec Sassou Nguesso et sa clique.« Denis Sassou Nguesso n’a jamais été un homme de paix. Sassou Nguesso est avant tout un terroriste. Avant ou après ce scrutin, seul le soulevement populaire peut vraiment sauver le peuple du Congo de près de 33 ans de dictature Sassou Nguesso et Co. surtout si le diable arrive à se déclarer vainqueur. Attention ! Pas de négociation avec le dictateur et sa clique. Le systéme Sassou doit disparaitre à jamais. Une transition de 3 à 5 ans doit s’installer avec des dirigeants vraiment intégres.
Bsoir à tous! Reprenant les termes les plus expressifs de la lettre ouverte, je cite » Voici ces problèmes : la gouvernance électorale, l’avenir des institutions, l’état des lieux de la nation, la refondation économique, sociale… », étant ici dans le quartier sud, je vous informe que la campagne a pris et adopté la stratégie de l’intimidation et de création de psychose de la guerre. Depuis 3 jours, il y a de plus en plus de voyageurs au point de départ vers l’intérieur , gare routière de Bifouiti, qu’il y a afflux de voyageurs vers la gare CFCO, et encore vers l’aéroport… M’étant retrouvé par hasard du côté de Makélékélé, j’ai entendu le leader actuel du mcddi tenir un discours, court mais suffisamment éloquent, disant qu’il faut éviter de repartir dans la forêt (guerre dans le Pool 1998 – 2002)… Il conseillait bien entendu pour cela de choisir son candidat sassou nguesso..Après ce laconique discours sans intérêt pour une campagne électorale, il a annoncé qu’il laissait une enveloppe d’un million à ceux qui étaient venus l’écouter. De tels propos sont de nature à provoquer la psychose, effet recherché du reste pour éloigner les électeurs de leurs lieux d’élection…Voilà pourquoi les gens ont opté pour le départ de la ville étant assurer que les armes vont encore toner…
La lettre ouverte a mis le doigt sur le point qui explique toute la situation d’aujourd’hui, « l’état des lieux de la nations »… , chose à éviter pour le clan au pouvoir. D’où tout ce rappel historique qui est bien d’actualité, ne fait ni chaud ni froid au clan au pouvoir; il n’y a qu’à voir comment la distribution de l’argent se fait sans gène, y compris par le fameux dgpn ndenguet, qui distribue vraiment… L’état de la nation, c’est pour le clan se livrer en pâture… Le clan au pouvoir veut rester au pouvoir et c’est tout…. Les institutions, c’est lui et pas autre personne ni physique ni morale..
J’ai bien suivi cette demande de Mokoko, je crains par rapport à ce qui se voit et se vit actuellement dans le pays, que ça ne soit un autre petit bruit de plus pour le clan au pouvoir, dans le genre « le chien aboie, mais n’empêchera pas la caravane de passer » tout comme « ebonga, ébonga te, toujours meilleur(un titre musical de l’orchestre disparu SBB).
faire fuir les électeurs, rachat des cartes d’électeurs contre somme d’argent, qui sont détruits sur le champs, où encore vote anticipé en proposant aux électeurs contre somme d’argent de signer leur carte d’électeur et de poser leur empreinte puis de le remettre à ces démarcheurs lâchés dans la ville; ou encore, la salvatrice révélation de Télé Molière de Kinshasa qui a dénoncé la tentative de distribution de carte dans cette ville à des faux électeurs qui devaient voter sur l’Ile Mbamou … ,toutes sortes de manigances mises en place par le clan qui ayant inondé la ville de Brazzaville des images de leur chef sassou nguesso, vont s’appuyer dessus pour justifier leur victoire frauduleuse, en disant, « mais voyez vou-mêmes comment le peuple a porté ce candidat par ces images parfois géantes confectionnées par des associations bidons créées sur le champ, comme le club 200 de Tchimbambéléla et autres trafiquants…
Voilà Mr Malékat…
«
les congolais ont les leaders qu ils meritent si l ABBE youlou a maudit son peuple il faut prier pour conjurer le sort recuperer un ancien tueur du pct en esperant que ce dernier tue le clan sassou cela prouve que la malediction est en nous l exemple de jesus ne nous parle pas.le mal est en nous et il est profond malgre toute la souffrance que m a fait vivre le pct jamais je ne voudrai leur ressembler
No comment JLM car tout est résumé dans ce bref analyse de la période politique de 1991 à 2016 et puis? ou non plus jamais ça !!!
Lien important à lire
http://www.pftavares.fr/congo-brazzaville-agonie-dune-tyrannie
C’est fini pour le tyran d’oyo.
Il pense encore à une guerre nord sud c’est fini.
Il aura une guerre tout le Congo contre le clan d’oyo.
Mes frères du sud moi qui suis du nord je vous dit on est ensemble contre la Tyranie d’oyo
Le Congo bientôt libre , nous ne pouvons que nous réjouir ,de l’idée de voir notre pays revivre sans les griffes des NGUESSO .
Nous allons certainement demander pardon à ce pays , de l’avoir laissé aux mains d’un criminel qui l’aura privé de ces fils et illustres fils .
Le 20 mars , date mémorielle , écrira une nouvelle page de notre histoire politique , celle du redressement du pays , et du redressement de soi , par le travail , car la véritable paix , c’est celle de la satisfaction des besoins primaires .
Privatiser un pays , pour se taper une fortune dépassant l’entendement , est un assassinat contre l’intégrité physique de celui ci , et le peuple qui s’y trouve .
Comme dirait , l’autre , que diras tu SASSOU , à tes enfants et à tes petits enfants , du bilan politique que tu auras laissé durant ton règne .,?
Ta fin ,risque d’embraser tout un pays , à croire que ,tu n’as pas de cerveau , pour réfléchir aux conséquences que tu fais courir , à toute ta progéniture .
Comment , oser présider aux destinées d’un pays , dont la population vous a tourné le dos ?
Cette posture d’usurpateur récurrent des sentiments populaires , se traduit par des échecs , au niveau de la gestion des affaires du pays .Tel un voleur , à la recherche permanente d’un objet à voler , et ton esprit ne peut qu’être intranquille .
On ne gouverne qu’avec l’autorisation populaire ,et les résultats sont partagés par ce même peuple , pour lequel tu t’es engagé à réduire la fracture sociale .
Faute d’avoir obtenu , pendant des années , cet assentiment populaire , tes politiques politiques n’ont pas été à la hauteur des attentes sociales .
Tu as cru , satisfaire la population , moyennant municipalisation super bâclée ,tu te retrouves, incompris , devant une population toujours vêtue des guenilles .
TIRES EN UN ENSEIGNEMENT PATRIOTE .
lire ;;;;; politiques publiques ;
My message to Denis Sassou
PLease,leave power in peace but not in pieces.
« Il est vrai qu’ils se heurtaient à la déclaration désormais célèbre de Pascal Lissouba qui a conquis tout le continent : On n’organise pas des élections pour les perdre ! »
Je Suis Démocrate, une telle déclaration énigmatique laisse songeur. C’est à se demander à quoi a servit la CNS ? La quelle a été organisée grâce à la volonté politique des dirigeants de l’époque. Mais il n’appartient point aux internautes à juger, laissons aux vrais historiens reconnus des grandes maisons d’édition le soin d’écrire l’histoire.
UNITE dit ; Tout intellectuel non partisan qui observe ce qui se passe au Congo sait que, Sassou pendant des décennies a entretenu un faux clivage nord sud pour mieux abrutir nos populations. Nous constatons qu’il a instauré un système mafieux dans lequel des cadres de tous les départements détournent en toute impunité des deniers publics avec pour contre partie un soutien de leurs populations à l’égard de sa politique. Nous voyons ce qui se passe aujourd’hui au sein de la famille Kolélas, ce que fait Nsilou pour tricher, Tchibambelela, Mvouba, Lenga placide Président de la Cour suprême retraité il y a plus de 10 ans, maintenu en fonction quitte à ce que toutes les décisions rendues par cette cour soient illégales.Ce sont des cadres du pool. C’est la même chose dans le Niari et la Bouenza avec, Mbéri, Mabiala, Koumba. Dans le Kouilou ,le fils Thystère Tchicaya, , Collinet Makosso, Coussoud Mavoungou, M’Paka, ect.
Avec l’arrivée de MOKOKO et surtout grâce à une diaspora honnête, le peuple aujourd’hui a compris toute cette diversion bien organisée par tous ces politiciens. Ce même peuple qui les adulait après avoir reçu 2000 frs et un tee shirt pour assister aux meetings réclament plus, l’emploi, la meilleure répartition des richesses, de l’eau potable etc. Devant cette furie du peuple, attendons voir ce qu’il en sera, car aucun érudit ne pourra aujourd’hui nous dire avec certitude vers quoi aboutira cette crise dans ce pays.
Bonjour Jean Luc,
excuse moi pour les accents, je suis sur un clqavier anglais
Tes propos sont a ton image toujours tres sences et pertinents
J ose esperer que le Congo pourra dans les changements a venir qu`ils soient conduits par 3M ou d`autres integrer dans la composition de ses cadres des elements de valeur comme toi
Instruction culture pour tous, developement agricole, industriel, energetique,touristique, integrant les valeurs environnementales, refondation des administrations publique pour plus d`ethique, paiement juste des impots et taxes, orientation des flux financiers vers le secteur productif, …
Les chantiers sont enormes
A tres Bientot
Thierry De Blanche
[email protected]
Maleka,
Tu es un gros menteur en écrivant: »
Il est vrai qu’ils se heurtaient à la déclaration désormais célèbre de Pascal Lissouba qui a conquis tout le continent : « On n’organise pas des élections pour les perdre » !
Il ne faut pas avoir pour guide les émotions. Que tu ais été mis au placard du temps de Lissouba en redevenant un simple contrôleur, c’est une injustice que tout le monde déplore, mais insinuer que Lissouba est l’auteur de ce slogan est un grosser mensonge, une mystification de ta part. Lissouba a préparé l’organisation des élections en collaboration avec l’opposition. Les listes électorales avaient été mises à jour avec l’opposition. Ce que Lissouba demandait était de repousser de quelques semaines la date des élections. Marion Mazimba Ehouango, qui était à l’époque des faits un opposant farouche de Lissouba, a reconnu publiquement que l’opposition avait instruit un procès en sorcellerie contre ce dernier. Aussi, il avait fait son mea culpa.
Aussi, je suis étonné de vous entendre sortira de telles énormités en plus de coller à Lissouba ce qui me vient pas de lui.
Tu parles de guerre civile là où tout le monde reconnait que sassou avait fait un coup d’état avec la participation des forces armées étrangères. Quelle est cette guerre civile où on importe des étrangers pour venir commettre un génocide sur ses compatriotes? Je comprends que le mot « guerre civile » vous arrange pour masquer les responsabilités.
Les objectifs que les congolais doivent se fixer pour les dix années à venir extensifs, afin de retrouver l’unité nationale, la dignité, l’éthique, la morale et le respect en tant qu’Etat-Nation ; à appliquer à partir du 2O mars 2O16 :
1. Faire chuter Sassou, sa famille, ses complices dignitaires et le pct par une grande et féroce manifestation populaire sur toute l’étendue du territoire; sans tuer aucun d’entre eux, sauf celui qui s’entêtera et versera le sang du peuple.
2. Récupérer toutes les institutions de l’Etat à l’aide de la force publique républicaine, interdire la sortie hors du territoire de toute personne ayant négativement joué un rôle durant tout le règne de Sassou II, interdire la sortie des capitaux, des devises et des actions amovibles.
3. Libérer tous les prisonniers politiques, inciter le retour au pays de toute la diaspora constructive, des réfugiés politiques et de tous les anciens dignitaires depuis l’époque des indépendances pour reconstruire ensemble le pays selon les nouvelles normes
4. Mettre en place un comité provisoire de transition composé des acteurs de l’opposition positive ayant véritablement lutté pour la victoire du peuple ; comité présidé par J3M.
5. Revoir toutes les conventions signées avec les institutions internationales, car n’ayant pas véritablement assisté le peuple congolais durant sa lutte contre l’oppression, selon les rôles ambigus affichés par ces dites institutions à l’instar de l’UA, l’UE, l’OIF, la CEMAC, les médias et journaux internationaux et autres…
6. Organiser un nouveau référendum pour le choix entre la constitution de mil neuf cent quatre vingt douze ou d’une nouvelle constitution en fonction de l’expérience des 15 dernières années afin de ne plus tomber dans le piège de kolelas-lissouba-sassou et les manipulations de la francafrique-complexes militaro-pétrolo-industriels
7. Assainir les institutions étatiques durant deux ans au plus, période de transition
8. Organiser les élections présidentielles en deux mil dix huit et élire un président de la République démocratiquement
9. Regrouper les projets de société de tous les candidats, étudier la faisabilité et choisir les meilleurs dirigeants technocrates expérimentés et compétents, pas forcement charismatiques, pour une meilleure application
10. Juger véritablement et définitivement selon une solide juridiction nationale et non à la CPI, Sassou et son népotisme négatif, les membres persécuteurs de longue date du pct et ses complices nationaux ; par contre ses complices non-nationaux les renvoyer à la CPI
11. Ressortir et renégocier toutes les conventions et contrats officiels et officieux signés entre le Congo et la France, les institutions internationales financières, bancaires, commerciales, et autres ; afin de repartir sur les bonnes bases. Faire participer le peuple en l’informant suffisamment et non discuter les traités et décisions à prendre dans les loges obscurs en oubliant que nous sommes un Etat laïc
12. Se remettre au travail, bien intégrer la notion de « compétition » sur le plan national, sous-régional, continental et mondial afin de bâtir notre économie sans le pétrole plutôt avec les ressources humaines bien formées et créatives dans tous les domaines : culturel, artisanal, agricole, élevage, nouvelles technologies, énergétiques et autres ; réécrire notre histoire, être un exemple pour l’Afrique, redorer la fierté nationale et ensuite mener le combat de la libération de l’homme noir en anéantissant le franc cfa, la francafrique, le néocolonialisme-capitaliste-mondialiste, le nouvel ordre mondial négatif avec ses réseaux mafieux et paradis fiscaux rendant les pauvres et non-compétitifs à l’extrême esclavage à l’état animal. Combat qu’il faudra mener selon la philosophie de nos héros africains comme Kimpa vita, Nkwame Nkrumah, Lumumba, Thomas sankara, cheik anta diop, nelson mandela et autres