Lettre ouverte à la classe politique congolaise – Contribution citoyenne à la commémoration du soixantenaire de la République du Congo

Wilfrid Sathoud

  • Aux leaders et militants des formations politiques de la majorité présidentielle, affiliés au pouvoir
  • Aux leaders et militants des formations politiques de l’opposition dite constitutionnelle
  • Aux leaders et militants des formations politiques dites de l’opposition radicale
  • Aux leaders et militants des formations politiques dites du Centre Démocratique
  • Aux leaders et activistes des mouvements politiques de la Diaspora Congolaise à l’étranger

Chers compatriotes,

Notre pays, la République du Congo, précieux héritage commun qui nous a été tous légué en partage par nos ancêtres et pères fondateurs, sans distinction de nos divergences sociales, politiques, philosophiques, religieuses, ethniques et tribales, commémore ce 28 novembre 2018, le soixantenaire de son avènement survenu à Pointe-Noire, un certain 28 novembre 1958, suite à l’adoption de la délibération n°112-58 érigeant le Territoire du Moyen en Etat membre de la Communauté et portant création de la République du Congo, par l’Assemblée Territoriale du Moyen-Congo, réunie dans la salle des plénières du bâtiment principal abritant de nos jours l’école paramédicale Jean Joseph Loukabou.

En date du 19 août 2008, je publiais par devoir de mémoire, un article évocateur sur la longue marche de notre pays des monarchies traditionnelles à la République, en ligne dans les réseaux sociaux, à travers le site internet Congopage.com, sous le titre : « 28 novembre 1958 : Proclamation de la République du Congo, une date historique tombée dans les oubliettes », avec la noble ambition de faire œuvre utile à la postérité, et d’apporter dans la mesure du possible, notre modeste contribution citoyenne à la reconstruction de l’édifice national, en guise de plaidoyer pour la prise en compte de cet événement historique pourtant fédérateur pour tous les compatriotes congolais, mais demeuré longtemps occulté par les vicissitudes de l’histoire politique tumultueuse de notre pays .

Lien d’accès : http://www.congopage.com/28-novembre-1958-Proclamation-de

Deux ans après sa publication par mes soins, le document historique précité sera cité en référence dans le Livre d’Or du Congo (Page 28) publié à la faveur des festivités commémoratives du cinquantenaire de l’indépendance de la République du Congo. Par la même occasion, sur proposition du gouvernement de l’époque, l’Assemblée Nationale procèdera à la réhabilitation de la date du 28 Novembre comme fête nationale de la République du Congo, à l’issue adoption de la Loi n°18-2010 du 27 novembre 2010, instituant la date du 28 novembre de chaque année comme journée fériée, chômée et payée sur toute l’étendue du territoire national congolais.

Au regard de la situation politique, économique, sociale et culturelle que traverse actuellement notre pays, en tenant compte du contexte de tension ayant prévalu à l’origine avant, pendant, et après la proclamation de la République du Congo, dont nous commémorant le soixantenaire ce 28 novembre 2018, il se dégage à maintes égards quelques similitudes manifestés par « les mêmes causes qui ne cessent de produire les mêmes effets », prenant l’allure d’une pathologie congénitale qui touche le microcosme politique congolais à différentes périodes de son l’histoire, entre autres caractérisé par :

  • La transhumance et le débauchage de certains acteurs politiques du pouvoir vers l’opposition et vice-versa de l’opposition vers le pouvoir, souvent au gré de la préservation de leurs intérêts personnels ou suite à la perte de certains privilèges ;

  • La pratique de la « politique de la chaise vide », par certains acteurs politiques se réclamant majoritaire à l’hémicycle, source de l’exacerbation des conflits et rivalités politiques entre pouvoir et opposition, à l’origine des différentes crises socio politiques récurrentes des décennies 50 et 90, causées généralement par le basculement de majorité parlementaire sur fond de course effrénée au pouvoir ;

  • L’orientation du débat politique en dehors des institutions parlementaires et constitutionnelles, souvent à l’appel de certains acteurs politiques prônant la « désobéissance civile » par des manifestations de rue, sources de débordements et de dérives ;

  • L’incarcération des challengers à différentes élections et leaders de l’opposition par le pouvoir en place, sous prétexte de « trouble à l’ordre public, incitation à la violence, détention illégale d’arme de guerre ou atteinte à la sureté de l’Etat ».

Inspiré par l’exemple du modèle de réconciliation nationale expérimenté à l’époque, en leurs temps par les premiers protagonistes politiques et pères fondateurs de notre très chère REPUBLIQUE, qui finiront par transcender leurs différents pour privilégier l’UNITE, dans le TRAVAIL nécessaire au PROGRES, en plaçant l’intérêt supérieur de la NATION au-dessus de leurs légitimes ambitions, nous avons estimé le moment propice, à la faveur de cet événement fédérateur de la commémoration du soixantenaire de la République du Congo pour :

  • Exhorter les acteurs politiques actuels toute tendances confondues à créer, dans le respect de leur différence, les conditions permissives à l’instauration d’un CONSENSUS NATIONAL, en prélude à un éventuel VERITABLE DIALOGUE POLITIQUE, après la LIBÉRATION PRÉALABLE des anciens candidats aux dernières élections présidentielles maintenu à ce jour en détention.

  • Redéfinir les contours d’un nouvel ordre politique et institutionnel susceptible de restituer sincèrement au PEUPLE sa SOUVERAINETÉ, en l’incitant à ressentir plus intensément en lui-même, l’éminence responsabilité qui lui incombe dans l’édification du CONGO de demain, un CONGO DÉMOCRATIQUE, JUSTE, plus UNI, PROSPÈRE et capable de préparer à tous ses enfants des lendemains enchanteurs et resplendissants.

Depuis la nuit des temps, la haine et la passion n’ont jamais rien construit. C’est dans la paix, la tolérance, le respect mutuel et l’amour du prochain, que chaque CONGOLAIS fier et digne, de ce nom doit contribuer à sauver notre pays du danger qui le menace.

La victoire ne reviendra à personne, ni à un protagoniste politique, ni à une Région, ni à une tribu. Ce sera la Victoire du Congo sur le Congo, pour que :

Vive la République du Congo réconciliée avec elle-même.

Bonne fête de la République à chacun et à tous.

Fait à Pointe-Noire, le 28 novembre 2018.

Wilfrid Olivier Gentil SATHOUD, activiste politique indépendant

[email protected]

Ce contenu a été publié dans Les articles. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

24 réponses à Lettre ouverte à la classe politique congolaise – Contribution citoyenne à la commémoration du soixantenaire de la République du Congo

  1. Anonyme dit :

    Encore un qui vient nous parler de PAIX et DIALOGUE !!

  2. louamba georges dit :

    Y a-t-il un grand défilé militaire ou civil aujourd’hui à Brazzaville ?

  3. Anonyme dit :

    Il ne peut y avoir de paix avec la mafia sassou-hyene en place. Seul le départ de sassou et de sa famille de corrompus pourra rendre de l’espoir au peuple Congolais.

  4. Mascad dit :

    Il veut qu’on le suive, lui. Mais il est incapable de suivre les autres. Comment voulez-vous que ça marche si tout le monde veut être premier et que personne ne veut être second? C’est comme ça, avec ces attitudes, qu’on fait le lit (peut-être inconsciemment ?) de ce qu’on voudrait combattre.

  5. Anonyme dit :

    Il utilise simplement le chemin qui permet de récolter les nguiris

  6. Encore un enculé ce WILFRID OLIVIER NTSATOU MPIAKATEUR dit :

    ENCORE UN CORROMPU QUI VEUT NOUS ENDORMIR

    Question :

    LA PAIX EST ELLE POSSIBLE AVEC UN ASSASSIN NOTOIRE ET MULTIRECIDIVISTE COMME TAKOU NGUESSO
    – QUI A TUE SON PROPRE FRERE MARIEN NGOUABI
    – QUI A TUE MASSAMBA DEBAT
    – QUI A TUE MEME UN CARDINAL BIAYENDA
    – QUI A TUE KIMBOUALA NKAYA
    – QUI A TUE XAVIER KATALI
    – QUI A TUE AUXANCE ICKONGA
    – QUI A TUE MOTANDO
    – QUI A TUE ADOUA
    – QUI A TUE AVOUKOU
    – QUI A TUE MARCEL NTSOUROU
    – QUI A TUE 353 DISPARUS DU BEACH
    – QUI DEPUIS LE DEBUT DE SON REGNE A FAIT TUE PLUS D’UN MILLION DE CONGOLAIS

    – QUI ENFERME TOUS CEUX QUI NE PENSENT PAS COMME LUI

    – QUI IL Y’A A PEINE 2 MOIS A FAIT TUE 14 JEUNES AU COMMISSARIAT DE CHACONA ??????

    Mr Wilfrid Olivier Méchant NTSATOU, vous êtes soit un GRAND MALADE MENTAL a enfermé immédiatement dans un asile psychiatrique ou un handicapé du porte-monnaie, un mendiant en quête de maroquin.

    ENVOIE DONC TA LETTRE A L’ASSASSIN MATAKOU ZOBA MBOULA NGUESSO ET NE REVIENS PLUS NOUS FAIRE CHIER SINON NOUS ALLONS TE MANQUER DE RESPECT

    IDIOT, YEZA, ENCULé ! VA TE FAIRE METTRE

    INTELLECTUEL YA NDZALA, MENDIANT.

  7. LA DESCENTE AUX ENFERS COMMENCE dit :

    LE TERRAIN EST QUADRILLÉ FRANGIN,
    SI VOUS ESSAYEZ DE DÉBORDER PAR LES AILES, NOUS ALLONS ARRÊTER VOS ATTAQUES. NIANGOU ET DENGAKI VEILLENT. SI VOUS PASSEZ PAR LE CENTRE, MINGA, BOUKAKA, BALECKITA, ETC… SERONT LÀ POUR VOUS CONTRER. SI VOUS PASSER QUAND MÊME TOUTES LES LIGNES, MATSIMA NE LAISSERA RIEN ENTRÉ DANS SES CAGES.
    ALORS
    Monsieur Sathoud,
    JE SUIS NÉ DES PARENTS NÉS AU CONGO, DONC JE SUIS CONGOLAIS.
    JE SUIS FIER ET DIGNE CAR JE N’AI FAIT DU MAL À PERSONNE.
    PEUT-ÊTRE QUE NOUS N’AVONS PAS LA MÊME ÉDUCATION, MAIS LE MOT JUSTICE A UN SENS CHEZ MOI.
    ON NE DISTRIBUE PAS LA VIOLENCE IMPUNÉMENT.
    L’EDIFICATION D’UN CONGO DEMOCRATIQUE, JUSTE, UNI, ET PROSPÈRE PASSE PAR LA MISE HORS SERVICE DES INDIVIDUS QUI JOUENT AUX IDIOTS DE SERVICE ET DE LEURS MAÎTRES, LES FRANCAIS MAL EDUQUES.
    DES RESSOURCES ONT ÉTÉ EXPLOITÉES ET PILLÉES. CELA A GÉNÉRER DES RICHESSES. LES CONGOLAIS DOIVENT D’ABORD RETROUVER CE QUI EN RESTE.
    APRES NOUS POURRONS ETRE DES ENFANTS D’UN DIEU IMAGINAIRE.
    LA PRISON À CIEL OUVERT, NOUS N’EN VOULONS PAS.
    CE QUI SE PASSE AU CONGO N’EST PAS UNE CATASTROPHE NATURELLE.
    POURQUOI VOULEZ-VOUS JOUER LES INTERMÉDIAIRES SI LA RAISON N’EST PAS VOTRE FORT?
    VOUS N’ETES PAS LE PREMIER, NI LE DERNIER DANS CETTE DÉMARCHE. SACHEZ QUE NOUS AVONS PERDU DES PARENTS. SACHEZ QUE NOUS AVONS DES PARENTS QUI SOUFFRENT.
    JE VOUS EN PRIE, VOTRE DISCOURS NE PASSE PLUS.
    LAISSER LA JUSTICE FAIRE SON CHEMIN. SI C’EST CELLE DES PLUS IDIOTS QUI L’EMPORTE, NOUS CONTINUERONS NE NOUS BATTRE DIGNEMENT. SI C’EST LA NOTRE QUI TRIOMPHE, LES IDIOTS ASSUMERONT.

  8. mwangou dit :

    Un coup, on crie à l’impérialisme et on tue au nom de ce cri de combat, sans hésiter. Un coup, on applaudit les anciens colonisateurs, et on tue au nom de ce nouveau combat, sans hésiter. Ce qui devait être surprenant mais qui ne surprend pas curieusement les « sages » des Congolais qui distillent des idées prétendument patriotiques, c’est que dans les deux cas, les combattants sont les mêmes. Finalement, c’est au nom d’un combat unifié que l’on a tué et continue de tuer.
    Comment Sassou Nguesso peut-il se sentir tout à fait à l’aise dans les divers options politiques idéologiques?

  9. Anonyme dit :

    Ne soyons pas naïf nous même car derrière la soit disant naïveté se cache le plus souvent un boukouteur pret à capter l’attention sur lui même et se servir de ces semblants de dialogue pour se vendre, (ces dialogues qui maintenant peuvent devenir source de profit).
    Cet idée de dialogue que l’on peut vendre sur la place de Mpila en vue d’obtenir la grâce et la reconnaissance de la mafia en place et surtout récolter les nguiris qui vont avec.

  10. Anonyme dit :

    A lire dans « La lettre du continent » une partie de l’article ci-joint:

    « Paul Marie Mpoulé
    Désormais rallié au régime de Brazzaville, Paul Marie Mpouelé qui fut le président du FROCAD,
    ex plate-forme de l’opposition Congolaise, a été chargé par le ministre de l’intérieur d’organiser avec le CND de Martin Mberi le dialogue entre le pouvoir et la diaspora Congolaise à Paris. »

    Vous voyez bien que nous ne sommes pas sorti de ces soit disant dialogue que l’on va nous pondre à la pelle dans un seul et unique but de museler la diaspora et l’enfermer dans des discussions inutiles qui n’aboutiront jamais mais feront perdurer dans le temps le régime mafieux en place.

  11. Anonyme dit :

    Lu pour vous dans la revue « Lettre du Continent »

    « Jean-Dominique Okemba
    Neveu de denis sassou Nguesso et secrétaire général du conseil national de sécurité (CNS, renseignements), Jean-Dominique Okemba (« JDO ») doit épauler Raymond Zéphirin Mboulou dans sa mission de « veille » en France. »

  12. tebola dit :

    Ce texte ne fait que rappeler, dans une certaine mesure, la volonté de tous les acteurs politiques qui ne cessent de demander l’organisation d’une rencontre pour résoudre les problèmes qui se posent au Congo. Malheureusement, Sassou Nguesso n’est pas dans cette logique. Sassou Nguesso ne veut en aucun moment que la démocratie s’installe au Congo. Lui même ne veut pas quitter le pouvoir. Il est pour un dialogue pour entre ouvrir la porte à certains acteurs politiques qui veulent entrer ou rentrer dans le système. Sassou nguesso et les siens sont conscients de leurs casseroles. Avec ces éléments, il n’est pas prêt de lâcher du laisse pour une vraie rencontre constructive. On a beau lui prodiguer de bons conseils, Sassou veut contrôler le pouvoir jusqu’à ses derniers jours. Il n’ a aucune garantie d’être d’avoir la tranquillité s’il abandonne le pouvoir.

    Le pouvoir reste toujours au bout du fusils!

  13. VAL DE NANTES dit :

    Ce safou , tsatou ou sathoud ,n’est pas trop mûr pour la consommation .DOMMAGE .
    Combien de fois ,doit on pardonner à quelqu’un ,dont la seule culture reste le canon ?,,
    S’il souhaite un dialogue ,ce sera ,celui ,de son départ du pouvoir .CETTE DANSE DU VENTRE ,dont certains ont fait un métier ,ne participe nullement à l’établissement de la paix dans notre pays .
    La tendance à l’apaisement de cette guerre larvée que nous livrons à SASSOU ,est synonyme à la course à l’échalote .
    Pourquoi ,se prosterner à la MAKOME , devant une évidence indéniable qui est celle de notre droit de ne pas lui reconnaitre le statut du chef de l’Etat ,au regard de son élection par effraction à la présidence de la république ?.
    Si , SASSOU a la surface humaine suffisante ,qu’il quitte le pouvoir volé au peuple de son propre gré .
    Ces appels intempestifs à la désescalade politique masquent une propension à la mendicité de la part de ceux qui en prennent l’initiative .

  14. La descente aux enfers commence dit :

    LA DIASPORA N’EST PAS UN PARTI UNIQUE.
    LA LUTTE CONTINUE.
    AUX DÉTRACTEURS DE LA DIASPORA , SOYEZ PLUS ENDURANT QUE NOUS.
    ŒIL POUR ŒIL , DENT POUR DENT.
    KO KENDE LIBOSSO EZALI KO KOMA TÉ.

  15. Nicolae & Elena Ceaușescu dit :

    TAKOU sera jugé et PENDU en caleçon « upside down » ensemble avec Kiki, Coco et Caca etc, ligotés et baillonnés, nus comme des vers à ventouses (sangsues)._
    Tchibota TAKOU sera baisée vachement sur la place publique par Tout-Bouge Okombi Salayé, eugh, Salissa du Front 400.
    Mokoko défoncera profondément en vaillant guerrier Oko Pygmée Ngakala, pour égaliser.

    Saddam Hussein et Mobutu Sese Seko Kuku Ngbendu Wa Za Banga vous attendent impatiemment en enfer. Dépêchez-vous, sales pêcheurs!

    LONGUE FOURCHETTE,

    Abu, Piaaaaaaaahhhhhhhhh.

  16. Anonyme dit :

    L’arme favorite de sassou est la corruption et la désinformation, il en use et en abuse sans fin. Et maintenant que la trio Mboulou, JDO et Mpouele sont à la manoeuvre (d’après la lettre du continent) pour approcher la diaspora Parisienne, vous n’allez pas tarder à voir les Ngueris atterrir et circuler sur la place de Paris pour orchestrer ce projet machiavélique. Chaque mendiant (style makome) qui est prêt à se vendre et se rendre à la mangeoire ne va pas tarder à nous pondre des projets de soit disant dialogue.
    Le seul dialogue qui compte est le départ de toute la mafia en place, c’est comme un cancer si on retire l’organe malade en laissant des métastases proliférer ce ne sera qu’un éternel recommencement.

  17. Val de Nantes dit :

    @Anonyme.Grosse validation.
    Autant mourir pauvre que de succomber au baiser de Sassou .
    À ,Makome ,
    Le mendiant national ,de se rapprocher de la CNAV du lieu de sa résidence en France .
    Caisse nationale d’assurance vieillesse .
    Qu’ il prenne un rendez-vous ,pour son minimum vieillesse.Mon tonton le perçoit ,paipailai.
    Et,qu’ il arrête son hideux cinéma .
    Donc,voilà mon cher parent @Anonyme ,la solution antisassou pour ce mendiant .

  18. Paul Marionnette MPOUELé, MBOULA MAMA GUé, LIBOLO YA MAMA NA YO ! dit :

    A L’HOMME A LA BOUCHE D’ANUS D’ELEPHANT

    Paul Marie MPOUELE,

    Inoua on dirait mboula ya ngouvou !

    Idiot !

    Tu ne perds rien à attendre. On t’aura et ce n’est pas des paroles en l’air.

    Le jour où Takou Nguesso va disparaitre tu auras intérêt à savoir nager ou à devenir invisible.

    Sinon nous ne te louperons jamais…. Certains d’entre nous vivent à quelques mètres de chez toi et attendent ce moment avec impatience.

    Laid comme un asticot plein de merde !

    MBOULA MAMA KOU

    FOUNIA MAMA NGUé

  19. LA DESCENTE AUX ENFERS COMMENCE dit :

    LA DIASPORA N’EST PAS UN PARTI UNIQUE
    À BON ENTENDEUR SALUT!

  20. Anonyme dit :

    Personne n’a, à ce jour , dit que la diaspora était un parti !. Employer le mot diaspora dans les commentaires permet de désigner les Congolais vivant en dehors du pays.

  21. VAL DE NANTES dit :

    Il y en a qui tremblent à l’idée d’entendre le mot diaspora ;C’est vous dire à quel point ,il y a une cristallisation pathologique sur ceux qui vivent à l’étranger sans odeur du pétrole .
    A , croire que ,ce sont les pestiférés du pays ,porteurs des virus qui ont ruiné pays .

  22. VAL DE NANTES dit :

    lire ;;le pays .

  23. mwangou dit :

    Dans un pays où il y a une constitution, avec les institutions, on ne regarde plus la classe politique; on regarde presque exclusivement le gouvernement. Car ce sont les actions de ce dernier qui ont un effet immédiat sur la société. La classe politique n’existe plus dans ce cas. Il n’y a que le gouvernement qui conduit une politique globale qui restructure les comportements des individus dans la société.
    Alors c’est au gouvernement qu’il faut adresser sa lettre et à personne d’autre…Respectons la constitution.

  24. LA DESCENTE AUX ENFERS COMMENCE dit :

    VOUS ÊTES DE PLUS EN PLUS NOMBREUX À SUIVRE LES MATCHS DE DEMI-FINALES PASSIONNANTS QUI OPPOSENT DANS LA PREMIÈRE LES DEUX ÉQUIPES DES PANAFRICAINS ET DANS L’AUTRE LES DEUX ÉQUIPES DES PANAFRICONS (JE CITE REMY NGONO).
    NOUS NOUS SOMMES QUITTÉS LA DERNIÈRE FOIS SUR LES SÉANCES DE TIRS AU BUT.
    DANS LA PREMIÈRE DEMI-FINALE, LES PANAFRICAINS (SOUS ENTENDU, LA DIASPORA CONGOLAISE ET LA DIASPORA GABONAISE) ÉTAIENT À ÉGALITÉ. LES DEUX AYANT RATÉ LEUR PREMIER TIR AU BUT CHACUNE.
    LE SCORE SEMBLE AVOIR ÉVOLUÉ. LA DIASPORA GABONAISE PAR L’INTERMÉDIAIRE DE SES ACTIVISTES VIENT DE MARQUER LE DEUXIÈME TIR AU BUT. LA DIASPORA CONGOLAISE A RATÉ SON DEUXIÈME TIR AU BUT. LE JOUEUR CONGOLAIS S’EST AUTO DÉSIGNÉ, ET EVIDEMMENT LA CONSÉQUENCE EST TRÈS LOURDE POUR L’ÉQUIPE CONGOLAISE DES PANAFRICAINS. IL VA FALLOIR SE RESSAISIR, AMIS CONGOLAIS.
    DANS TOUS LES CAS, BRAVO À L’ÉQUIPE GABONAISE, UNE DIASPORA MIEUX ORGANISÉE, ET POURTANT QUI A LES MÊMES PROBLÈMES DE TRAHISON. ELLE DOIT RESTER VIGILANTE EN CE QUI CONCERNE LES PROCHAINS TIRS AU BUT.

    DANS LA DEUXIÈME DEMI-FINALE, CELLE QUI OPPOSE LES PANAFRICONS, LE CONSTAT EST LE MÊME DANS LA MESURE OÙ LE TIREUR GABONAIS, ALI BONGO, COMME SON PRÉDÉCESSEUR OMAR, VIENT DE MARQUER SON PENALTY. DU CÔTE CONGOLAIS, NDENGUET QUI A ÉTÉ DÉSIGNÉ, APRÈS EDITH, TERGIVERSE UN PEU. IL A PEUR DE LA RÉACTION DU PUBLIC CONGOLAIS S’IL N’ARRIVE PAS À LOGER LA BALLE AU FOND DES FILETS. TOUTEFOIS, IL IMPLORE SES FANS PANAFRICONS, VENUS EN MASSE POUR L’ENCOURAGER, DE DEMANDER À DIEU DE LUI DONNER LA FORCE DE RATER SON PENALTY. CE QUI EST SYNONYME DE TIR AU BUT MANQUÉ POUR LES PANAFRICAINS VENUS ESPIONNER LEUR FUTUR ADVERSAIRE. DANS L’ÉQUIPE CONGOLAISE DES PANAFRICONS, ON ENVISAGE MÊME DE CHANGER LE DEUXIÈME TIREUR À LA DERNIÈRE SECONDE.
    GARDER L’ÉCOUTE, ON VOUS ASSURE QUE CES DEMI-FINALES SONT PASSIONNANTES.
    « C’EST PARCE QUE NOUS N’AVONS PAS LA FORCE IMBÉCILE ET QUE NOUS SOMMES BIEN ÉDUQUÉS, QUE NOUS RELATONS CES FAITS. C’EST UNE DE NOS MANIÈRES DE RÉSISTER AUX IDIOTS DE SERVICE, AUX OCCIDENTAUX ET ORIENTAUX MAL ÉDUQUÉS ».

Laisser un commentaire