Lettre des Militants insoumis du Parti Congolais du Travail

 

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Jean-Jacques Bouya-Gilbert Ondongo

Chers Camarades,

 

Pour les militants infatigables que nous sommes, il est des moments d’incertitude et de doute  où la politique porte un souffle nouveau, refait sens, provoque l’envie de se remettre en cause, d’aller aux réunions, de débattre, de porter la parole, de ne plus subir, de s’écarter surtout de nos petits appareils fédéraux verrouillés et gangrénés par les ambitions égocentriques de quelques-uns, embourgeoisés et “notabilisés”, empêtrés dans leurs intérêts égoïstes, prêts à tous les reniements, à toutes les trahisons.

Nous sommes de ceux, dans le Parti Congolais du Travail-Canal Historique (PCT-CH), qui ont décidé de ne plus assister, les bras ballants, à la grande braderie de nos idéaux. S’il le faut, nous quitterons  ce Parti  qui nous a été confisqué et au sein duquel nous ne comptons plus guère que lors des visites présidentielles en France et/ou en Europe, ou lors d’élections,  ou encore pour voter des investitures dont on sait pertinemment qu’elles sont décidées sans nous, souvent dans des cercles restreints où le népotisme fait loi.

 Nous sommes de ceux qui ont décidé de se compter, puis de se retrouver autour des valeurs que nous n’avons jamais abandonnées. Depuis fin octobre 2015, nous sommes nombreux à nous rencontrer régulièrement, que ce soit à Paris, Amiens, Bordeaux, Nantes, Rennes et Reims, nombreux  à ressentir et à partager ce moment intense, celui où la flamme qu’on croyait morte se rallume dans le cœur des militants que nous n’avons jamais cessé d’être.

Nous ne sommes pas que des militants déçus du vieil appareil du Parti Congolais du Travail. Nous sommes là, venus de nos sections, le temps d’un échange politique, certains avec la tentation de ne plus jamais en faire partie, d’autres avec le désir d’y revenir, mais cette fois pour expliquer aux autres que c’est désormais ailleurs que le Parti Congolais du Travail se reconstruit pour porter notre ambition toujours intacte de changer l’avenir du pays.

Nous, militants de toujours du PCT, que nous ayons conservé ou non notre adhésion au Parti, nous savons ce que nous ne voulons pas ! Nous rejetons en bloc la poursuite de la politique de terreur et de confiscation des libertés et des biens par le Président Denis Sassou Nguesso, dont les orientations politiques et socio-économiques aggravent les injustices, les inégalités, la misère et le chômage, creusent un fossé toujours plus profond entre les différentes couches de la population, entraînant la mise à feu et à sang du pays.

Mais nous savons aussi ce que nous voulons : d’abord et avant tout en finir avec le pouvoir autocratique pour mettre en place une vraie démocratie.

En disant cela, que faisons-nous d’autre que proclamer que nous sommes du Parti Congolais du Travail-Canal Historique (PCT-CH), celui de Marien Ngouabi ! celui des Camarades Diawara, Ikoko, Bakékolo, Olouka, Ambroise Edouard Noumazalay, Lékoundzou Itihi Ossétoumba, Pierre Nzé, Pierre Moussa, Claude Ernst Ndalla, Clément Miérassa, Camille Bangou, Benoît Moundélé Ngollo, Atondis Lékas Momondjo, Maxime N’Débeka… le Parti des Camarades qui, suite à leurs erreurs politiques et/ou économiques, savaient faire leur auto-critique. Nous réaffirmons notre exigence pour le respect de l’ordre constitutionnel et l’alternance démocratique, y compris au sein du Parti, à l’opposé de ce que le Camarade Denis Sassou Nguesso, Président du Comité Central, et les associations fantoches tentent de faire accepter de force aux Congolais. Nous voulons un Parti Congolais du Travail moderne, à visage humain.

À Paris, nous avons décidé de soutenir les plates-formes IDC-FROCAD, ceux qui luttent aussi et qui organisent la résistance pour construire en profondeur la démocratie au Congo-Brazzaville. Nous sommes des insoumis au Parti dans sa forme rétrograde et ethnocentrique, et au régime dictatorial de Brazzaville, abusif, agressif, incarnant un modèle médiocre qui gouverne grâce à l’argent détourné. Nous, nous voulons un Parti Congolais du Travail qui rassemblera des jeunes, des femmes et des hommes de toutes  conditions, autour d’une doctrine moderne au cœur de laquelle se trouvent de nouvelles valeurs d’équité et de probité morale, cristallisées dans un véritable pacte social. Nous n’avons pas changé, nous voulons réellement dynamiser notre formation politique, contrairement à ceux qui sont en train de la dynamiter de l’intérieur.

Sommes-nous pour autant, mes Camarades et moi, devenus des “clowns délinquants”, des faussaires, comme l’affirment nos « anciens camarades « , auxquels l’honnêteté, le courage et la lucidité politique semblent manquer, et qui, pourtant, reconnaissent en aparté la justesse de nos critiques et la droiture de notre positionnement dans l’Appel du 18 juin 2016.

À ce propos, on pourra peut-être nous reprocher de ne pas avoir respecté la procédure relative à la diffusion de cet Appel. C’est pourquoi nous laissons à l’appréciation de la Commission Nationale de Contrôle et d’Évaluation les questions de forme et de la crise au sein de la Fédération du Parti de France et celle de la Commission Européenne du Parti. Je ferai juste aimablement remarquer que, par souci d’équité, il conviendrait alors de convoquer les Camarades Denis Sassou Nguesso, Denis Christel Nguesso, Gilbert Ondongo, Firmin Ayessa, Jacques Bouya et Hugues Gouolondélé, pour avoir enfreint de nombreux articles des statuts du Parti !

Depuis les campagnes présidentielles de 2009 et 2016, à l’occasion desquelles l’Éléphant a été choisi comme emblème du candidat du PCT en remplacement du logo  historique avec l’Etoile, la Houe et le Marteau,   nombre de militants et de sympathisants du Parti sont désorientés, surtout dans les zones rurales, et restent méfiants. Car à travers les instances de ce “PCT-Éléphant”, c’est notre destin que les dirigeants du Comité Central essayent de  lier à celui d’un seul homme et de sa famille. Erreur funeste ! Mais  quand  s’est donc imposée l’idée saugrenue de faire accepter au Parti Congolais du Travail l’Eléphant comme emblème pour son candidat ? C’est l’une des questions auxquelles il faudra répondre au prochain Congrès du Parti, qui devrait être le Congrès de la Refondation et de la rupture avec les anti-valeurs.

Si nous avons justement choisi de soutenir loyalement et totalement les plateformes IDC-FROCAD composante JMMM, c’est parce qu’elles représentent pour nous aujourd’hui « la coalition de la raison et de l’espérance », comme nous l’avons exprimé dans notre Appel du 18 juin dernier. Une coalition dans laquelle on trouve aussi des camarades du Parti responsables  de la situation politique, économique et financière de notre Nation. Nous assumerons ce bilan avec eux.

Étonnement, l’élection présidentielle du 20 mars 2016 nous permet aujourd’hui de percevoir toutes les facettes du tyran et de la dictature installée qui scrutent et structurent notre vie politique. Nous allons changer cela, mais en attendant, notre responsabilité est d’assumer nos choix et de faire un travail pédagogique de formation, d’éducation et de prospective politique auprès des camarades à l’extérieur et à l’intérieur du Congo.

Nous savions déjà, depuis le“ dialogue” de Sibiti, et à travers les manigances du PCT, que  » le Camarade«  Denis Sassou Nguesso serait candidat, après avoir changé la Constitution du 20 janvier 2002, en faisant sauter les verrous de l’âge et du nombre de mandats. Les débats de la session de décembre 2014 au sein du Comité Central auguraient de ce non-événement. Pas question pour nous, qui sommes restés  fidèles aux valeurs et aux principes de ce Parti créé par le camarade Marien Ngouabi, de battre campagne pour référendum du 25 octobre 2015 et des présidentielles du 20 mars 2016, ce qui aurait pour conséquence de légitimer les reniements et les trahisons.

Quelle image de Marien Ngouabi, du Parti Congolais de Travail (PCT) et du Congo-Brazzaville aurions-nous donné et donnerions-nous en nous rangeant, comme si de rien n’était, derrière un candidat sortant qui aura passé 32 ans à renier, un à un, chacun des engagements pris par lui devant les Africains, les Congolais, et les militants ! Nous avons reproché et condamné pour moins que cela aux présidents Joachim Yombi Opango et Pascal Lissouba.

Nous en sortirions non seulement humiliés en tant que républicains et démocrates, mais surtout nous trahirions notre idéal. Faire campagne pour Denis Sassou Nguesso, faire semblant de croire aux nouveaux engagements qu’il ne manquera pas de fouler aux pieds comme à son habitude, cela reviendrait à tuer, et cette fois-ci définitivement, Marien Ngouabi, le Parti Congolais du Travail et la crédibilité de son idéal dont nous, militants, portons une part dans l’Histoire de ce pays.

Ce moment, sauf à vouloir rester spectateur, ce qu’aucun militant aguerri ne saurait accepter, il fallait le saisir. C’est pourquoi nous avons longuement réfléchi avant de choisir d’être aux côtés de l’IDC-FROCAD composante JMMM. Aux côtés, pas derrière !  Ce temps-là est révolu, on a assez donné ! Aux côtés de Charles Bowao et de Claudine Munari, en prison avec Jean-Marie Michel Mokoko, Jean Ngouabi, Anatole Libongo-Ngoka… dans la clandestinité avec André Okombi Salissa et Marion Michel Madzimba, dans la souffrance avec les populations du Pool et en exil à travers le monde. Nous y sommes, nous osons l’affirmer haut et fort.

Vous l’avez peut-être compris, chers Camarades, nous ne sommes pas des groupies. Et il ne faudrait pas nous prendre pour des amateurs en politique. C’est pour cela que nous sommes rassemblés, non pas comme des supporters, mais comme des militants, en conscience, dans un sursaut républicain.

Nous, c’est qui? C’est quoi? À l’origine, un observatoire d’ex-responsables du PCT France/Europe, mais toujours militants, rassemblés il y a plus d’un an à l’appel et à l’initiative d’Isaac Djoumali Sengha et de moi-même (Paolo Benjamin Moussala).

Beaucoup de Camarades, venus du PCT et d’autres mouvements, nous connaissent bien. Car il y a de cela plus de sept ans, sous l’impulsion de notre aîné, le camarade Jean-Jules Okabando, membre du Comité Central, nous avions, avec deux autres camarades, réveillé le Parti Congolais du Travail en France et en Europe. Nous faisons partie des voix qui comptent sur « la place de Paris », à en juger par l’écho retentissant de l’Appel du 18 juin 2016.

Aujourd’hui, nous nous organisons dans toute la France, de façon complètement horizontale et décloisonnée. Nous n’avons pas le culte du « chef », conformément à nos statuts. Nous saluons le courage des Membres du PCT de Pointe-Noire qui ont rejoint le Cercle de réflexion de Mpita, ceux de Brazzaville de Talangaï et de Ouesso qui ont répondu favorablement à l’Appel du 18 juin 2016. Comme l’immense majorité des Congolais, ils condamnent l’arrestation illégale du Général Jean-Marie Michel Mokoko et  celle de tous les acteurs politiques. Si le Parti est encore à l’écoute du peuple congolais, il faut les libérer sans conditions.

Chez nous, les mots prennent tout leur sens, et des Camarades, pour la plupart des militants du Parti qui n’ont pas quitté le Comité de l’Île-de-France ou le Comité Inter-Régional de France, sont venus nous rejoindre. Nous nous réunissons régulièrement sur Internet, dans des locaux appropriés, ou dans des cafés aussi s’il le faut… Ils n’ont pas renié leur adhésion à l’Appel du 18 juin 2016, malgré les pressions de Brazzaville et les intimidations des parents et amis proches du pouvoir. Nombre de Camarades, le plus souvent des provinces de France, déprimes et en complète déshérence par manque de structure, frappent à notre porte et nous reprochent de ne pas les avoir associés à notre action.

Nous regrettons d’avoir eu à connaître ce que nous ne voulions plus connaître. Chance ou expérience, comme il vous plaira de l’appeler, mais aussi force politique, cette école du militantisme fait que, parce que nous avons été ou sommes encore membres du Parti Congolais du Travail (PCT), nous savons tout ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut pas reproduire. Nous disons à ces Camarades : « N’ayez pas peur, venez avec nous, c’est la voix de la Paix, c’est la voie de la Raison historique ! »

Cette force, c’est à nous aujourd’hui, ici et maintenant, de la construire, pour que chacun d’entre nous puisse demeurer sans embarras et gêne au Parti Congolais du Travail-Canal Historique, qui s’est débarrassé de son lourd passé et qui a  expié  ses fautes à la Conférence Nationale Souveraine. Un parti qui a fait allégeance au souverain primaire, surtout pas à un individu, ni à un quelconque groupe. C’est pourquoi nous pouvons paraphraser sans crainte Charles Zacharie Bowao  en disant : « Il n’est de souveraineté respectable qui ne fasse signe au progrès humain et social. Le Congo n’est pas en marge de la communauté internationale. Aucun pays ne peut vivre en autarcie dans ce monde devenu village planétaire, où désormais la jurisprudence a instauré un droit transculturel et international de juger et d’agir, au nom de la protection de l’humanité ». Je récuse ! Lettre Ouverte du 20 janvier 2015.

Camarades, il n’est jamais trop tard pour bien faire. À bon entendeur salut !

Paolo Benjamin MOUSSALA

Membre du Parti Congolais du Travail Canal Historique.

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27 réponses à Lettre des Militants insoumis du Parti Congolais du Travail

  1. BOUYA ET ONDONGO N'ONT QU'A MEDITER SUR CES REFLEXIONS DE MARIEN NGOUABI PATRIOTE ATTERRE dit :

    SANS COMMENTAIRES SUR UN DIRIGEANT QUI AVAIT UNE HAUTE IDÉE DE SA MISSION ET SES RESPONSABILITÉS HISTORIQUES. RIEN A VOIR AVEC LES KLEPTOMANES D’AUJOURD’HUI!
    MALGRÉ SES ERREURS!
    « Du haut de la résidence présidentielle, assis sur l’une des terrasses principales qui offrent une vue merveilleuse sur le fleuve Congo, je me suis senti profondément touché par un spectacle pourtant régulier et monotone propre à l’Afrique noire, à toute l’Afrique tout simplement.
    Ce spectacle me bouleverse parce que, en tant que responsable politique et cadre de ce pays, le Congo, je me trouve directement concerné par ce que j’observe. Je ne suis pas dans l’arrière-pays, je me trouve à Brazzaville, capitale de la République Populaire du Congo. Je suis dans une ville des plus agitées de l’Afrique, une ville où très tôt, dès 1963, les masses populaires ont osé braver les canons de l’impérialisme pour décider elles-mêmes de leur propre histoire, l’histoire de leur pays.
    Je suis à Brazzaville où, depuis bientôt huit ans, le socialisme scientifique n’est plus un vain mot, une doctrine inconnue de notre peuple, et mieux de notre jeunesse intellectuelle dynamique et révolutionnaire. Mais ce spectacle me hante tellement aujourd’hui que je suis obligé de commencer d’écrire précocement l’expérience de notre Révolution, ce qu’a été notre Révolution, et ce que pourra et doit être notre Révolution.
    En face de moi, pendant que j’écris, il y a des femmes, des femmes paysannes qui sont là, depuis des heures, au bord du fleuve Congo, coupe-coupe et houe à la main, fatiguées mais laborieuses. Des femmes qui travaillent pour se nourrir, pour s’habiller, pour vivre, pour faire l’histoire du Congo, l’histoire d’une étape de notre Révolution, l’histoire d’une Afrique exploitée. Elles sont là dès les premières heures de la journée, avec tous leurs enfants et même leurs tout petits enfants. Elles transforment la nature, elles créent, elles travaillent pour la production. Il y a aussi quelques hommes affairés pour la même besogne et tous ici, dans notre capitale, font bien partie de la paysannerie pauvre qui est la couche la plus importante de notre société.

    Je me suis rendu compte qu’il y a une grande différence entre ce que je veux et ce que j’obtiens, entre ce que je dis et ce qui se fait réellement ou concrètement. Je me suis rendu compte et je me rends de plus en plus compte qu’il risque d’exister un vide entre les directives et l’exécution, entre la théorie et la pratique »

    Marien Ngouabi, Samedi 19 juin 1971 (16h16)

    EH OUI C’ÉTAIT CA MARIEN! TEL QUE JE L »AI ADMIRÉ ENFANT…ET TEL QU’IL VIT DANS MA MÉMOIRE!

  2. Anonyme dit :

    émouvant! et même prémonitoire…

  3. Anonyme dit :

    Pourquoi sommes-nous à deux pas du présent et du futur au Congo Brazzaville?

    L’AVENIR D’UN PEUPLE OU D’UNE NATION EST PAR DÉFINITION LE PASSÉ, LA MÉMOIRE ET LE PRÉSENT QU’ON IGNORENT (ISIDORE AYA TONGA) !

    COMMENT PENSER ET REPENSER L’APRES SASSOU NGUESSO EN SEPT PRIORITÉS MAJEURES?
    PRIORITÉ MAJEURE N°1: UNE PÉRIODE DE TRANSITION POLITIQUE DE 4 A 5 ANS MAXIMUM !
    Pouvoirs et contre-pouvoirs de transition démocratique: le Président de la république, gouvernement de transition, l’assemblée constituante « la constituante », le haut conseil de transition politique, la société civile, associations des droits de l’homme et du citoyen.

    Dès lors, s’ouvrira une véritable période d’analyse, de réflexion et de décision, de 4 à 5 ans de communion nationale, que j’appelle LA CONSTITUANTE ; une rencontre historique qui posera fondamentalement la question de la NATION QUI N’EXISTE PAS, DE l’État DE DROIT, DES INSTITUTIONS NOUVELLES, DU MODÈLE DE SOCIÉTÉ, DU DEVOIR DE MÉMOIRE et de la DÉMOCRATIE dans notre pays, y compris de la DÉMOCRATIE ÉLECTORALE ou GOUVERNANCE ÉLECTORALE.

    PRIORITÉ MAJEURES N°2: REFORMER, RESTRUCTURER ET RÉTABLIR LE RÔLE ET LE RANG DE NOS FORCES ARMÉES, SÉCURITAIRES ET DE SÛRETÉ NATIONALES.

    PRIORITÉ MAJEURE N°3: PENSER GESTION, FIABILITÉ ET TRAÇABILITÉ DU CITOYEN ET DES ÉCOSYSTÈMES SOCIO-ECONOMIQUES, CULTURELS ET ENVIRONNEMENTAUX.

    PRIORITÉ MAJEURE N°4: EDUCATION ET RE-EDUCATION MENTALE, SCOLAIRE, UNIVERSITAIRE, PROFESSIONNELLE, ECONOMIQUE ET SOCIALE DE L’INDIVIDU OU DU CITOYEN.

    PRIORITÉ MAJEURES N°5: LA FRANCAFRIQUE ET LA FRANCOPHONIE
    Le modèle Rwandais de sortie de crise et de l’entonnoir francafrique, français et francophone est-il applicable au Congo Brazzaville?

    Au cœur de cette priorité – les problématiques arbitrages et positionnements face aux questionnements sensibles liés à la monnaie francs cfa, à la coopération militaire, aux traités, accords tacites et conventions à perte de souveraineté pour l’état congolais et la volonté générale du souverain peuple.

    PRIORITÉ MAJEURE N°6: LA PROBLÉMATIQUE RÉPUBLIQUE FÉDÉRALE – C’EST A DIRE DES RÉGIONS-ETATS OU SEMI AUTONOMES !

    PRIORITÉ MAJEURE N°7: RESTAURER LE RANG SOUS-RÉGIONAL ET CONTINENTAL.

  4. Anonyme dit :

    Vous savez ce qu’il vous reste à faire ? Suivre la voie de votre illustre aîné Charles Zacharie Bowao : quitter ce machin de PCT et rompre le cordon ombilical avec cette OBUMITRI.

  5. le fils du pays dit :

    Oui,le Pct cette coquille vide créée par Ngouabi et ses satellites maladroitement appelés partis politiques,un vrai tremplin pour se faire une place au soleil.La premiere chose a faire dans un Congo post Denis Sassou c’est dissolution de toutes ces escroqueries.

  6. le fils du pays dit :

    Oui,Ngouabi a commis la maladresse d’emmener dans sa gibecière les gens qui ne valent meme pas un clou.Mr Denis Sassou,son cousin Bouya alias Michellin et d’autres ont transforme ce machin Pct en propriété familiale comme ils l’ont fait avec le reste du pays.Tout cela sous la barbe des autres camarades membres.Il faut mettre fin a cette vermine.

  7. KITSIMBOU dit :

    Si le propos est sincère. Félicitations !!!
    Excellente analyse.

  8. Isidore aya tonga dit :

    SASSOU A VIDÉ LE PCT DE SON ÂME ET DE SON IDÉOLOGIE DEPUIS L’ASSASSINAT DU COMMANDANT MARIEN NGOUABI ET PUIS T. TCHICAYA, NOUMAZALAYE, ETC

    Moi, Isidore AYA TONGA, j’avais partagé à un certain moment l’idéologie des pères fondateurs du PCT d’abord en tant que militant de ce parti dès 1985 et puis dirigeant du PCT à la faculté des sciences de l’université Marien Ngouabi (secrétaire chargé aux affaires académiques, président de la FENAJEST et puis de l’ujsc fac sciences entre 1987 et 1989).

    J’ai enseigné au lycée drapeau rouge puis participé à la conférence nationale, quitté le Congo en fin 1991 pour la France et depuis le 21 janvier 1998 que je n’ai plus été membre du parti congolais du travail ou plutôt des tricheurs.

    MERCI LES GARS POUR VOTRE DÉTERMINATION ET BRAVO POUR VOUS TOUS ET BIEN REVENU DANS LE RANG DE LA LIBERTÉ, DE LA LIBRE PENSÉE ET DE COURANTS DE PENSÉES…

  9. Ne comptons pas sur les brebis galeux dit :

    Soyons clairvoyants dans notre lutte de libération et au fur et a mesure que nous avançons éliminons tous ceux qui sont des traîtres parce que Jean jules okabando est dans la liste de la pléiade des conseillers du gouvernement du sang.Donc ce mr ne doit plus compter pour nous.

  10. Dieu m'a dit l'idc-frocad n'a pas besoin du pct dit :

    Vous avez dit pct parti congolais des tueurs. Le pct depuis des lustres a fait trop de mal. Le pct a détruit le pays et détricoté l’unité nationale au profil d’un individu d’un clan et d’une tribu. Ce parti doit disparaître. L’idc-frocad et les congolais n’ont pas besoin du pct pour se défaire de satan.

  11. Londi dit :

    Au fait, @Ne comptons pas sur les galeries galeux, qu’avez-vous posé comme acte décisif pour chasser le petit dictateur de Brazzaville ? Dans une lutte toutes les âmes de bonne volonté devraient être les bienvenues. Que celui ou celle qui n’a jamais commis une seule erreur dans la vie lui jette la première pierre. Avec le sectarisme on n’arrive nulle part. La contradiction principale est le départ du petit tyran, peu importent parfois les méthodes ou les moyens. Ceci est d’une priorité secondaire. Je constate que notre lâcheté nous pousse au sectarisme, invectives ou insultes mais pendant ce temps la bête est en train de grandir, grandir, grandir ! Les transfuges ont toujours une longueur d’avance sur les combattants parce qu’ils connaissent le système de l’intérieur. Il faut parfois voir la réalité en face.

  12. Anonyme dit :

    Aujourd’hui, la « contradiction principale » est celle qui oppose les congolais dans leur majorité au clan des nguesso forts des armes de la force publique qu’ils ont transformée en milice privée aux fins de confiscation du pouvoir de l’état.
    Il faut relever que sassou nguesso denis n’a jamais réussi à faire disparaître le pct au profit d’un parti à lui, familial qu’il n’a pas osé faire sortir au grand jour. Tel fut le défi qui lui a été fait. Mais le tyran a réussi à faire sortir de son chapeau l’éléphant dont les jours sont comptés.
    Le pct a sa place sur l’échiquier politique congolais, car comment veut-on instaurer la démocratie en faisant taire les voix discordantes? Il faut saluer le courage et l’audace de ces compatriotes qui font la preuve que l’unanimité du pct en une de façade; il n est de même au sein du gouvernement de fait où des voix discordantes existent, mais elles craignent pour leur vie. Sur place au Congo, la grogne au sein du pct enfle!
    Il faut donc créer les conditions pour que l’opposition interne au gouvernement de fait éclate en plein jour, que les conservateurs du pct véritablement opposés à l’usurpateur tapent du point, et que les populations des quartiers nord de Brazzaville se soulèvent enfin, pour que la tyrannie cesse. Ce moment est presque là!

  13. Mwana Tals dit :

    Le PCT n’a pas besoin de s’exprimer de cette manière comme le font ceux qui ont été des laissés pour compte depuis 40 années maintenant. Ce que le peuple attend du PCT et de tous ces noms cités ci-dessus qui ont justement bénéficié eux tous des avantages et privilèges du pays, c’est d’agir en faisant en sorte que Sassou-Nguesso ne puisse plus gouverner le pays, à partir des 13-14 et 15 août 2016, puisque vous avez travaillé avec lui, et certaines de vos stratégies l’ont aidé à décimer des générations entières de innocents Congolais qui n’avaient commis comme seul crime que le fait de ne pas être membres de l’UJSC, ni du PCT.
    Vous nous disiez tous à l’époque : celui qui n’est ni au PCT, ni à l’UJSC est contre nous, contre le Congo. C’est un ennemi de l’Etat qui n’a droit à aucun privilège de l’état PCT. A partir de 1997, vous avez ajouté un autre épithète: celui qui n’est pas Franc-Maçon ne peut pas bénéficier du chemin d’avenir…
    Mais Sassou, plus rusé que vous, venait de rajouter depuis 2009, un nouveau adjectif sur lequel nombreux ne peuvent plus tricher car celui-là est génétique. Celui qui n’est pas de mon clan, de mon sang n’a plus droit au chapitre. Dès cet instant, même étant de sa loge, du PCt, on a plus droit à rien car le monarque d’Oyo ne vous le dit pas, mais la république s’est muée en Royaume d’Oyo et il prépare la succession dynastique par ses parents… Le récent sommet de Chine le prouve. C’est le clan et la famille Sassou qui s’est rendue en Chine signer des accords de coopération qui font du Congo une province chinoise, qui sera gérée en partenariat avec la France.
    Vos verbiages sont pour ceux des Congolais qui n’ont jamais connu le lait et le miel du PCT que des démagogies dilatoires pour l’accompagner dans la consécration de son royaume avec l’aide de la France de la Chine et de la Russie.
    Pour faire tomber Sassou Nguesso, c’est très simple, chers messieurs du PCT, dites nous la vérité sur la mort de Marien Ngouabi, de Massamba Débat, du Cardinal, … Dites votre vérité sur le guerre de décembre 1998, dites votre vérité sur les disparus du beach…, dites votre vérité sur le repeuplement du Pool par les Rwandais pendant que vous décimez les populations Téké et Kongo du Pool Nord dans ces guerres à huis clos avec votre Ntumi National que vous avez fabriqué avec l’aide de Noumazalaye…
    Dites nous pourquoi Diawara et Ikoko ont été jetés ensemble dans cette fosse commune de la tsiémé comme des animaux pour vous réclamer encore aujourd’hui de l’Obumitri…
    Tant que ces vérité ne sortiront pas vous êtes ceux par qui le pays disparaîtra. Car hier vous pensiez que les injustices de Sassou ne frappaient que les autres, et vous trouviez cela normal que des compatriotes ayant le même parcours que vous puissent galérer à Brazzaville… Aujourd’hui vous constatez que vous aussi malgré l’épithète de la Franc-maçonnerie, vous êtes aussi atteints par Sassou…
    Demain ce sont tous les Congolais, nous, vous, le clan de Sassou qui allons tous pleurer d’avoir perdu le Congo notre bien commun. Il n’est donc pas trop tard pour agir. Car comment accepter qu’un Général d’armée soit humilié ainsi (Général Jean Marie Michel Mokoko), l’homme grâce à qui la paix est revenue en Centrafrique, et que dans le même temps, des mercenaires venus du Rwanda, du Burundi, de France, de Cuba … gracieusement hébergés dans le nouveau complexe universitaire et sportif de Kintélé, tuent les populations Congolaises et que vous passez vous le PCT à nous raconter des histoires alors que vous avez la clé pour arrêter toute cette honte, cette infamie, ce génocide infligés au peuple congolais…
    Na lobi. Ba oyo ba zali na matoyi ba yoka.
    Mwana Talas.

  14. Tshiélikk dit :

    très bien

  15. Dieu m'a dit qui sont ils ses insoumis? dit :

    Bien parlé mwana talas no comment. cependant Il faille ajouter ceci: Qui sont ses insoumis? qu’ils aient au moins le courage et la décence de signer leur pseudo pétition. Ne fût ce qu’en hommage aux nombreux disparus congolais du fait de la politique pctiste. De toutes façons le vin est bu jusqu’à la lie.

    Le pct disparaitra avec lui toute sa racaille politique incapable de démissionner de ce parti génocidaire et/ou de dénoncer à la face du monde le congocide sassouiste, comme l’a fait le courageux Bowao.

    Ils préfèrent se délecter du lait et du miel; fruits de la sueur et du sang des congolais, quand ceux ci croupissent dans la misère la plus infamante. Ses pctiste sans lois ni foi, l’attitude hautaine à l’image d’un Pierre Ngolo; continuent de faire bombance sur une usurpation politique, une gabegie financière et des crimes politiques et économiques scandaleux et graves.

    Mr les insoumis un conseil: Créer les conditions d’une implosion du pct sinon démissionner du pct et créer votre propre structure politique. dénoncer les dérives et les génocides pctistes, dénoncer le hold up électorale, les emprisonnements politiques et le plan mouébara de pérénisation et de conservation du pouvoir de sassou. Autrement d’insoumis vous resterez d’éternels soumis à la volonté de votre sassou, dans ce cas cessez d’amuser la galerie congolaise

  16. le fils du pays dit :

    Je suis parmi ceux qui donne depuis longtemps le tempo du nouveau Congo post regime Denis Sassou et ses affidés.Un nettoyage total et très profond du pays.Tous ces partis dits politiques véritables nids de la vermine,voleurs et criminels sont dissous.Tous ces nids des escroques surtout tremplin pour siphonner les deniers publics et se faire une place au soleil seront interdits.
    Le Congo post Denis Sassou,son clan et ses courtisans appliquera la justice a la règle.
    Tous ces escroques du pct et des autres groupuscules satellites expliqueront aux Congolais quand sont-ils devenus riches.

  17. VAL DE NANTES , . dit :

    BOUYA , tel est un voleur réprimandé à l’issue d’un verdict .Comme l’a dit LE FILS DU BOKA , ces malfrats nous doivent des explications post SASSOU ;

  18. macktchicaya dit :

    « IL Y A DES CITATIONS QU’ON OUBLIES PAS DANS LA VIE AUTANT PLUS LORS QUELLES VIENNENT DES PERSONNES TRÈS INSPIRÉES »
    « si le pays Congo est sale » n’est -il pas urgent de le laver avec du sang? Le commandant Marien Ngouabi venait là de poser un postulat fondateur d’une révolution. Aujourd’hui que constate ‘t-on? le pays est plein dans l’obscurantisme, une nouvelle idéologie gangrène le pays et des hommes affiliés à cette pratique s’illustrent sans vergogne ,,,,le pays meurt à petit feu car les révolutionnaires de la trompe de Marien Ngouabi et Diawara, Ikoko n’y sont plus,,,,,Ndalla graille et Bongou camille sont des peureux, pour ne citer que ceux-là et du côté des généraux, pas la peine d’y penser comme tous sont affairistes au dos du peuple souverain.,et l’on ne peut imaginer un brin de conscience de leur part pour libérer ce pays des mains des prédateurs et étrangers à la solde du pouvoir mafieux,,,
    ,Le président Youlou l’avait dit à kolelas: « vous me chasser du pouvoir vous serez un jour commandé par des fous » et bientôt le manioc se vendra en morceau c’est ce qui se fait dans la capitale aujourd’hui. A quand la conscience patriotique et Africaine, on entend plus le professeur OBENGA THEOPHILE vanter sa sagesse? Le Philosophe Mbongou Camille et l’idéologie stratège NDALLA où sont-ils passés? « allons seulement » voilà la nouvelle idéologie qui va drainer le pays vers l’émergence. Ce pays n’a plus d’âme ni d’esprit il est temps de ne plus s’enivrer les jeunes devrons ne plus consommer à longueur de journée des bières qui les abrutissent ,,il faut changer cette manière de faire des jeunes.

  19. le fils du pays dit :

    @ Mr Macktchicaya,aucun ne sort du lot et aucun d’eux vale un clou.Je vous le réitère que le pct et ses autres partis satellites sont absolument les nids des voleurs et des criminels.Tous les hommes et femmes qui y font parties depuis la date de creation de cette coquille vie dans leur majorité n’ont jamais travaille.Tous ceux qui finissaient ou pas leurs etudes au Congo,a Moscou et ailleurs,ils venaient droit vers le tremplin pct pour être nommes deputes,directeurs,ministres etc afin de s’enrichir et se faire une place au soleil.Ceux sont des hommes et des femmes escroques.
    Le philosophe Mbongou Camille,avez vous dit,l’homme de Bokouele,demandez lui comme a t-il fait pour acquérir un appartement a Poitiers en france ou vivent encore ses enfants et sa belle puisque lui meme n’a pas supporte la galère de france,il est rentre il y a quelques années rejoindre leur secte le pct,leur mangeoire et leur chef d’équipe le moniteur d’Edou/Penda.
    Mr Macktchimaya,ceux sont tous des voleurs et criminels que la vraie justice Congolaise post Mister eight per cent devra bien s’occuper.Ces indécrottables et incorrigibles par leurs vices ont transforme le Congo en pays sans conscience.Vive la peine de mort dans un Congo post Denis Sassou et ses affidés.

  20. Dieu m'a dit achat de conscience makouaiènne par sassou dit :

    Ô insoumis du pct plutôt les soumis du pct . Tenez regarder bien: Le pct au pouvoir votre parti, entre autres exactions et atteintes aux droits humains vient d’emprisonner des opposants politiques dont Paulin Makaya, J3M… pour des motifs non avérés. Et pour ce dernier le président du Pct vient de corrompre les sages de Makoua à hauteur de 25 millions afin d’étouffer toute velléité de manifestations makouaiènnes promokoko, en achetant leur silence. Et vous insoumis ou plutôt soumis du pct qu’elle est votre réaction face cet énième achat de conscience sassouiste?

  21. Dieu m'a dit achat de conscience makouaiènne par sassou dit :

    Ajout
    ….A hauteur de 25 millions chacun……

  22. macktchicaya dit :

    A FILS DU PAYS

    Merci pour votre réaction qui pourtant s’aligne sur mon adresse lorsque je me pose les questions de savoir où sont Dalla graille et Mbongou camille? et les autres,,,,en fait c’est pour dire que nous ne les avions pas oubliés ,,,puisque collectivement notre mémoire à tous se rappelle. Aussi je dirai que le pct aile canal historique ou éléphant tous deux ne sont que le produit d’une même idéologie puisqu’ils répondront un jour devant la sentence populaire à l’heure du bilan.
    Les avoirs à l’étranger et et partout devront être élucider, bref l’immédiat aujourd’hui est de sortir le pays de la torpeur et donc remettre en place la justice et les institutions fiables à la tête des quelles nous élirons des vrais patriotes une fois la France et la chine balayées des archives de la coopération comme l’a fait le Rwanda.Le Congo aussi a le droit de choisir ses partenaires en toute indépendance un jour.

  23. Mwangou dit :

    Sassou nguesso dirige le pays. Cessez de rêver à haute voix en plus à la fin prochaine de sa dictature, mi-aout 2016… Son ancien mandat a pris fin ce mois d’avril où il prêta serment. ce genre de rêve « rumorisé » dans la foule n’arrange pas vos désirs.. nous subissons ici au pays son nouveau style politique… l’argent du pays va dans la répression…la police est remplacée par une horde de voleurs armés et qui ont autorisation de tout: ils ont droit de vie sur quiconque. des prisonniers ont été élargis et intégrés dans les rangs pour la répression. voilà la réalité actuelle… Et, on ne pense pas objectivement que les désirs et prières y feront quelque chose. Moi, je n’y crois pas.
    sur le plan de l’émotion, que nous sommes nombreux à s’être ému de cette position des « insoumis du pct ». vaut mieux tard que jamais… Il y a longtemps que cela aurait dû arriver. car sur le plan visuel simple, il y a bien longtemps que les principes énoncés par ce parti, n’étaient pas en phase avec la pratique… par exemple, quand le secrétaire général de ce parti, souvent unique, se liait d’amitié si forte avec des chefs de parti à idéologie opposée… et plus récemment, le 20/10/15 dernier…, où un silence total a été observé sur la réalité de cette époque. A tel point qu’on a l’impression que cette attitude d’aujourd’hui n’est pas tant le fait du piétinement des principes du parti, que le fait très apparent de l’emprisonnement des patriotes originaires du nord du pays. bref! on est tout de même très sensible à ce geste d’une portée politique indéniable.

  24. Anonyme dit :

    Je suis en commun d’accord avec mwana talas, si c’est vrai de l’intérieur du PCT faites comme le plus courageux de tous le Professeur BOWAO, passez sur les chaines de TV vues par beaucoup des africains et faites nous savoir que vous êtes convertis et Mr 8% a effectivement en pocher 8% lors des dernières consultations…

  25. Pascal Malanda dit :

    Quel drôle de pays !
    Les insoumis? Des soumis qui se cachent!
    Le PCT ? Des fossoyeurs du pays !
    Les Nordistes ? Le mal absolu du pays !
    Les Niboleks ? Des pileurs de bébés qui ont ruiné la démocratie !
    Les Tcheks ? Des intégristes mystico-matsouanistes, champions de la guérilla !
    Les Vilis? Des vendus qui se prosternent devant Sassou leur beau-frère ingrat!

    Qui sont donc ces hommes intègres, oiseaux rares sur les épaules desquels pèsera la reconstruction du pays ??? A ce rythme-là, Sassou a de beaux jours devant lui. Heureusement que le plus grand opposant congolais s’est levé, j’ai parlé de la crise économique et financière.

  26. Anonyme dit :

    Le dictateur sassou dois laisser les autres aussi la place

  27. Anonyme dit :

    Mes frères vous parler jtr du Nord et le Sud au lieu de parler des kinois comme Denis christel avec sa soeur et le clan nguesso (Serge oboa, Jean Jacque bouya, nianga-bouala) il vole l’argent de l’état congolais

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