L’escroquerie du concept du partenariat public-privé par Kiki Nguesso

Si un Homme se construit par l’éducation et la culture, Kiki, son pater de tyran et sa fratrie se sont construits par l’esbrouffe.

Dans l’Etat-cartel des Nguesso et associés, toute contradiction qui par essence fait jaillir la lumière, est considérée comme une atteinte à la sûreté de l’Etat, passible d’une peine de prison de vingt ans, prononcée par le président de leur cour des criminels.

Alors que le stratagème mis en place par l’empereur-tyran de céder son fauteuil à son rejeton se voit comme le nez au milieu de la figure, ce dernier (Kiki), depuis son entrée au gouvernement au poste de ministre chargé de la promotion du partenariat public-privé, multiplie les rencontres et les déclarations.

Mais, toute sa logorrhée n’a rien à voir avec les fondamentaux du concept du partenariat public-privé. Elle ressemble, ni plus, ni moins, à de la fausse monnaie.

« L’homme qui détient une mauvaise information prend toujours une mauvaise décision », écrivait Colbert.

Ainsi, à l’occasion d’une « prise de contact » avec les acteurs économiques, s’il en existe encore dans un Congo en faillite, Kiki le faussaire, a appelé « les opérateurs nationaux et étrangers à diversifier leurs investissements dans le pays qui reste largement dépendant du pétrole ».

Il poursuit sa falsification en ces termes : « La coopération et le partenariat seront au cœur de notre engagement, dit-il. Je vous invite désormais à aller plus loin dans vos investissements, en diversifiant vos activités. Et il apparaît clairement, aujourd’hui, que les partenariats public-privé s’imposent, non seulement dans le cadre de la performance de notre administration publique, mais aussi et surtout pour contribuer fortement à rendre notre économie beaucoup plus résiliente, car nos déséquilibres macro-économiques commandent que nous fassions désormais autrement ».

Comme son père, Kiki Nguesso lit un texte écrit au coin d’une table par un valet qui est aux antipodes du concept même du partenariat public-public.

Créé par l’ordonnance du 17 juin 2004, le partenariat public-privé est un contrat administratif par lequel l’Etat ou une autorité publique confie à un prestataire privé la gestion et le financement d’équipements, d’ouvrages ou leur construction permettant d’assurer un service public.

En faillite et dos au mur, décrédibilisé par tous les créanciers même chinois, et nonobstant leurs gesticulations, l’Etat congolais n’a pas les moyens de promouvoir le partenariat public-privé. Fermez le ban.

La curiosité intellectuelle élémentaire aurait voulu que Kiki Nguesso consulte a minima Wikipédia. Il se serait rendu compte de sa bêtise.

Mais, dans un pays dans lequel son père a sciemment tué l’éducation, en sacrifiant des pans entiers d’une jeunesse condamnée à ne vivre que d’expédients, son tyran de père n’a pas eu non plus le reflexe du « bon père » de faire-faire une bonne formation avec l’argent du contribuable congolais à son fils.

Si les chiens ne font pas les chats, il est à croire que la bêtise est congénitale dans la famille Nguesso.

Le contrat de partenariat public-privé fixe les missions du marché de partenariat avec le prestataire privé qui peuvent être : la construction, la transformation, l’entretien, la maintenance, la gestion d’ouvrages d’équipements ou de construction. Le prestataire privé, à la fois maître d’œuvre et maître d’ouvrage, est rémunéré en contrepartie par l’autorité publique durant toute la durée du contrat.

Trois conditions sont nécessaires à la réalisation d’un contrat de partenariat public-privé :

1) L’investissement doit présenter un caractère urgent ;

2) La réalisation du projet nécessite l’intervention d’un partenaire privé qualifié ;

3) Le recours à un partenariat public-privé doit présenter plus d’avantages que le recours à un contrat public.

Au grand dam de Kiki Nguesso, son blabla n’est que de l’esbrouffe. En voulant faire de l’impressionnisme, celui qui a asséché les finances de la SNPC se mélange les pinceaux. Son laïus est aux antipodes du concept qu’il galvaude sans sourciller. En voulant faire de l’esprit, le fils de l’empereur-tyran est hors sujet.

Kiki Nguesso ferait mieux de s’inspirer de ce que disait Pierre Desproges :

« Il vaut mieux se taire et passer pour un con plutôt que de parler et de ne laisser aucun doute sur le sujet ».

« Quand c’est flou, c’est qu’il y a un loup ». Les congolais sont avertis de cet imposteur propre sur lui qui s’apprête à prendre les rênes du pays. Il a l’air honnête, mais quand il te serre la main, tu as intérêt à recompter tes doigts.

Le Congo est à la croisée des chemins. Nous aurons le destin que nous aurons mérité. Soit nous nous lever tous comme un seul Homme pour libérer le pays du joug de la famille Nguesso, soit nous serons tous condamnés à subir.

Comme son père, Kiki Nguesso est un homme sans culture qui ressemble à un zèbre sans rayures. La démonstration vient d’être faite à travers ses approximations et ses errements du porte-feuille qu’il occupe par effraction, et qui ne lui sert que de marche-pied pour succéder à son père.

N’oublions pas que « les grands ne sont grands que parce que nous sommes à genoux : levons-nous ! », disait avec force Colbert.

Olivier MOUEBARA

Diffusé le 29 juin 2021, par www.congo-liberty.org

Monsieur Denis Sassou Nguesso, le débiteur insolvable

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36 réponses à L’escroquerie du concept du partenariat public-privé par Kiki Nguesso

  1. le fils du pays dit :

    Mr Youlou l’avait predit que les Congolais applaudiront des fous.
    Mr Ngouabi par cecite voulue n’avait pas souhaite faire le tri de son sac a dos afin de denicher des vers.Et voila depuis plus demi siecle une partie de Congolais,toutes categories confondues applaudisent les fous,-caressent les vendeurs d’illusions et destructeurs -vendeurs du patrimoine commun dans le sens de leurs poils.L’Afrique du sud croit avoir tire la lecon de l’histoire en mettant une loi interdisant la vente des terres aux etrangers.Le peuple Congolais doit se reapproprier de toutes ses terres et l’interdiction formelle de vente de terre aux sujets etrangers meme pas un lopin.Il faut sauvegarder le patrimoine commun du peuple Congolais.

  2. Val de Nantes . dit :

    Bravo , AU WEBMASTER d’avoir restauré la plénitude du site ,qui reste le porte -parole officiel des lamentations objectives de tous les congolais épris de paix et surtout de justice sociale en faveur desquelles nous pourrons bâtir un CONGO harmonieux et juste . L’histoire politique congolaise en sera longtemps marquée ,car ce site se dresse comme un missile pointé sur la gouvernance chaotique organisée par les voyous de la république dont SASSOU est l’incarnation ….

  3. VAL DE NANTES : dit :

    Comme ,je l’avais souligné sous d’autres cieux que « : la vieillesse de la fonction présidentielle se grime en une déformation démocratique qui donne naissance à des clones pré-présidentiels « ….
    C’est le spectacle clonique auquel assiste l’Afrique centrale ,autrement dit l’exercice du pouvoir par télépathie au moyen de sa progéniture .
    Aussi curieux que cela puisse paraître , nous voyons certains pays francophones clonés et en voie de clonage familial quitter sur la pointe des pieds la francophonie pour adouber « le commonweath « .ou les pays anglophones . Ces pays ,ce sont le Togo , le Cameroun et le Gabon …
    La raison invoquée pour justifier cette débandade est d’ordre économique .En effet ,le modèle de développement anglophone à l’instar du RWANDA semble répondre au pragmatisme économique tant souhaité par les africains .
    Le processus collectif d’aveux d’échecs sous le magistère de la sphère française se dévoile au grand jour ,car le modèle français parait totalement inadapté aux réalités économiques de ces pays .
    Sauf que ce modèle économique anglophone , ne cadre pas avec les modèles politiques français qui régissent tous ces nouveaux entrants …Ces pays ,demandeurs d’expansion économique , se trouvent devant une équation politique où la remise en question de leur pensée politique s’avère être un préalable à la réussite économique « mode anglophone « …
    Chers compatriotes ,
    Si pendant plus de 60 ans d’exodus économique ,on ne change pas de chemin pour trouver la porte de sortie , et si jamais s’ajoute le plus souvent , l’incendie économique allumé par des voleurs indécrottables , on mourra enfumé ,calciné et pauvre …
    Ce sera notre : »fatum  » ,comme dirait NIETZSCHE.Autrement dit notre destin .

  4. VAL DE NANTES : dit :

    lire , s’y ajoute l’incendie économique …
    L’AFRIQUE CENTRALE , en l’occurrence le CONGO BRAZZA n’a pas de modèle économique lisible pouvant faire l’objet d’une réflexion approfondie .ON N’Y COMPREND RIEN ,SAUF LES INITIÉS , ceux qui se biberonnent au trésor public . Car eux , ils savent où débusquer l’énigme financière qui échappe à bon nombre des citoyens congolais …
    Même LE MODÈLE ÉCONOMIQUE CENTRALISÉ d ‘approche exotique n’en est pas un.
    Il va nous falloir un « pfizer économique pour nous en guérir tant le virus de la kleptomanie reste résilient aux autres vaccins …

  5. le fils du pays dit :

    Mr Val de Nantes.Juste pour l’information pour le modele economique,une fois j’avais suggere a Mr Pambou Voka qui est economiste afin de reflechir sur ce sujet et creer un modele economique Congolais.

  6. Pambou Lucien Mkaya Mvoka dit :

    A Fils du pays et à Olivier Mouebara,

    Cher fils du pays, un modèle économique est une représentation théorique de la situation d’un pays en s’appuyant les agrégats réels monétaires et financiers du pays. Il s’agit théoriquement sur la base d’informations concernant le PIB, les importations, les exportations, la dette et la fiscalité de construire un modèle qui n’est pas la réalité mais qui peut servir d’appui pour la réalité.

    Rien de tel au Congo n’est possible car les sources statistiques sont biaisées et pas très fiables; donc la construction d’un modèle économiques avec des variables typales est difficile. On peut s’appuyer sur les sources de la Banque mondiale et du Fonds monétaire qui ne sont que des ressources de seconde main, si on peut le dire, car toute la réalité économique n’est pas décrite.

    Les conséquences liées à la corruption, au détournement des fonds ou à à l’évasion fiscale échappent au modèle et rendent friable la robustesse des variables de départ et des variables conclusives. Dès lors un modèle quantitatif est difficile à mettre en place, on ne peut réfléchir que sur une analyse qualitative et donc scientifiquement nulle, voire rejetable. On peut construire un modèle politique en organisant des priorités et les moyens de financement et de contrôle, mais on reste dans un divertissement intellectuel qui n’a pas beaucoup de sens car le décideur politique peut changer de trajectoire.

    Il n’y a pas un modèle économique congolais mais des modèles articulés par des trajectoires/objectifs différents.

    A Monsieur Olivier Mouebara,

    Votre texte est clair et significatif sur la définition, la signification de la notion de partenariat public/privé qui est très précise et qui suppose une matrice d’organisation précise en termes de choix de domaines d’activité et de partenaires stratégiques ainsi que des modes de financement retenus par les pouvoirs publics.

    Quant à Chrystel Denis Nguesso, je crois qu’il est trop tôt pour juger ses capacités et ses compétences de ministre de la coopération en charge du partenariat public/privé. Il faut le laisser travailler et au bout de deux ou trois ans évaluer de façon concrète les résultats obtenus. Qu’il soit le fils du président, c’est un débat dans lequel je ne rentre pas, il ne m’intéresse pas beaucoup. Ce qui m’intéresse, c’est le Chrystel Nguesso congolais en charge d’un ministère stratégique et surtout sa capacité à faire exister des résultats concrets de ce ministère pour le bien-être du Congo et de ses populations.

  7. Isidore AYA TONGA 100% Intérêt général dit :

    ET SI C’ÉTAIT ÉCRIT QUE LE TYRAN SASSOU NGUESSO FINIRA COMME MANUEL NORIEGA ET POURQUOI?
    Un jet privé en provenance des Caraïbes et à destination du Congo-Brazzaville intercepté aux îles Canaries avec 524 millions de dollars.
    Un avion de type Gulfstream G450 immatriculé aux îles Coke E5 DHJ qui assurait la liaison entre les îles Caïman (paradis fiscal) et le Congo a été saisi par les autorités aéroportuaires de Arecife aux Îles Canaries en Espagne pour trafic illégal de la monnaie américaine.
    Dans la fouille de l’appareil, les Garde Civils espagnoles ont retrouvé la somme de 524 millions de dollars en coupure de 100. l’équipage a été placé en détention et devrait être extradé aux USA à la demande d’un juge de l’État de Floride.
    Ce sont les services d’espionnage des États-Unis qui ont alerté ceux d’Espagne du survol de leur espace aérien de cet avion et de son escale technique aux Îles Canaries. L’appareil a décollé des Îles Caïman et a fait escale à la Havane à Cuba avant de poursuivre son vol.
    Les trois membres de l’équipage d’origine Italienne détenus auraient affirmé selon les sources aéroportuaires n’avoir qu’été contacté par un intermédiaire Français pour la location de l’appareil et ignoraient totalement le contenu des bagages.
    Les services américains soupçonnent que cet argent provienne d’un trafic ou des détournements publics. L’unique passager Français de ce vol serait depuis des années en relation avec les cartels du crime organisé Mexicains. Il serait un (testafero) prête nom des trafiquants et aussi des dictateurs africains.
    Les enquêteurs veulent comprendre pourquoi cet avion se rendait-il au Congo Brazzaville et si les autorités de ce pays ont un lien à avoir avec cet argent. Ce sont plus de 524 millions de dollars qui ont été saisi.
    Plusieurs autorités Congolaises possèdent des comptes bancaires off shore dans les Caraïbes estimés à des milliards de dollars issus essentiellement des détournements d’argent public et de la vente illégale des ressources naturelles. Il se pourrait qu’à cause de la traque sur les transferts bancaires que les propriétaires ont préféré de rapatrier cet argent par cette méthode. explications: https://www.youtube.com/watch?v=wEHxH0V-oXY

  8. Baliele M. Bakima dit :

    Je partage largement l’analyse que fait monsieur Pambou L. M. Mvoka sur les difficultés d’établir un modèle économique pour le Congo au vu de l’absence des documents et autres ressources pouvant permettre une étude sérieuse du fait économique dans notre pays. Je ne vais donc pas refaire la roue, l’ami Pambou l’a magistralement expliqué .

    Par contre je ne pense pas qu’il faille attendre deux ou trois ans, comme le propose mon aîné Pambou, pour entrevoir ce que pourrait réussir ou pas monsieur Christel Sassou dans ses nouvelles fonctions ministérielles. Ce n’est pas parce qu’il est le fils de son père de satrape que je le dis. Non c’est parce monsieur le ministre du partenariat public-privé a déjà occupé des fonctions publiques…certainement aussi importantes que celles du ministère que son père à créer pour lui. Directeur général adjoint de la plus grande entreprise du pays, la société nationale des pétroles du Congo, SNPC. En plus d’être président du conseil d’administration de la Congolaise de Raffinage, CORAF, le fleuron du raffinage des produits pétroliers. Quelle a été le bilan de son action dans ces deux sociétés d’état? On ne trouve nulle part. Aussi, on ne peut pas non plus croire que la flopée d’affaires qu’il traine comme casseroles dans lesquelles son nom a mainte fois été cité ici et là dans certaines villes européennes soient toutes le fait d’une presse occidentale liguée contre sa personne. Et alors le shopping de luxe et des villas ou hôtels particuliers achetés dans des beaux quartiers parisiens?
    Dans un pays normal on ne peut nommer une personne suspectée d’attouchements sexuels sur enfants comme directrice d’une école maternelle, même si tout citoyen a droit à la presumption d’innocence.
    Quand tu passes ton certificat de spécialité dans un domaine précis de l’enseignement, dans mon pays d’adoption, on vous soumet à des teste médicaux et à une enquête de moralité que mène la police de l’état où vous allez travailler. Votre connaissance du sujet et son expertise ne suffisent pas. Des enseignants aux parcours intéressants ont déjà été recalés après les résultats des enquêtes et des analyses médicales. J’ai déjà été collègue pour un court temps avec des profs qui ont été rattrapés par la police locale où le FBI. L’institut où école vous engage sous réserve que les résultats des enquêtes parviennent à la direction ou à la présidence de l’institution.
    Mais au Congo pour peu qu’on vienne de la bonne famille ou bon coin, on vous déroule un tapis rouge. Quitte à déshonorer le pays dans le concert des nations quand l’effet boomerang de cette nomination sera étalé sur la place publique mondiale.
    Enfin, l’auteur de l’article Olivier Mouebara fait bien de poser le vrai problème: une personne qui a une connaissance parcellaire d’un domaine et confond des concepts simples peut-elle poser un bon diagnostique, afin de trouver des bonnes solutions?

  9. VAL DE NANTES : dit :

    Pas faux @le fils du pays , c’est le véritable défi intellectuel auquel se trouvent confrontés les sachants congolais …
    Le modèle économique doit être le reflet des potentialités économiques que regorge un pays ,en l’occurrence , le CONGO .
    Le modèle économique est -il asservi à un modèle politique ?.
    Si tel est le cas au CONGO BRAZZA , nous ne sommes pas loin d’un modèle économique bolchévique théorisé par MARX .
    La collectivisation des moyens de production par l’Etat central a montré ses limites et les résultants y afférents sont indignes d’un pays regorgeant d’immenses richesses naturelles ….L’idéologie marxiste dont se nourrit le PCT est contraire à l’esprit économique qui régit les pays en quête de progrès économique .
    Le modèle économique chinois est hybride et surtout capitaliste en pratique car sa stratégie commerciale est offensive et laisse libre cours à ces compatriotes capitalistes de conquérir les marchés extérieurs ayant la couverture diplomatique de l’Etat central.
    Les théories économiques de A.Smith et celles de RICARDO restent les références mondiales ,c’est ce qu’on appelle  » l’économie classique « .Mais ces théories ont été complétées et corrigées par les économistes néo -classiques ,comme friedman …
    L’économie de notre pays , plus particulièrement , les potentialités économiques qui s’y trouvent doivent absolument faire l’objet d’une réflexion économique congolaise .
    EXemple .
    SI UNE REGION A produit 20 tonnes de tomates et 2 tonnes de bananes ,et si vous avez une région B qui produit 20 tonnes de bananes et 2 tonnes de tomates …
    Questions :
    Dans quelles régions allez – vous créer des valeurs ajoutées croisées ?.
    Voilà un exercice économico – mathématique qui mérite réflexion …

  10. Val de Nantes . dit :

    J’ajoute à mon exemple de calcul de mathématique économique ,pour ne pas donner l’impression de terminer sur une aporie :
    Une région C produit 8 tonnes de bananes et 1 tonne de tomates et une dernière région K produit 100 tonnes de tomates .
    La question demeure la même :
    Dans quelles régions , comptiez vous réaliser des valeurs ajoutées croisées , quelles solutions préconisez vous pour celles qui en seraient privées ?.
    Le véritable problème , chers amis , c’est plus la nature du modèle économique qui doit être appliquée aux ressources économiques dont disposent nos régions que la citation des grandeurs économiques et financières ,qui sont elles -mêmes les conséquences du modèle économique .
    Que le CONGO ne soit pas transparent sur ces données économiques et financières et fiscalo – douanières , là n’est pas le problème . C’est la nature du modèle économique qui pose problème ….
    Pour celui qui a compris et a résolu mon exercice de mathématique économique ,il aura compris de quoi il retourne . Car derrière la résolution de cet exercice , il y a toute une grande idée d’organisation économique de notre pays pouvant aboutir un modèle économique unique .

  11. Isidore AYA TONGA 100% Intérêt général dit :

    CLASSIQUE D’EXORCISME DU PEUPLE: POURQUOI SASSOU NE TIENDRA PLUS LONGTEMPS TÊTE AUX CONGOLAIS? https://www.youtube.com/watch?v=37VbtK27r8Y

  12. TEMPO dit :

    Des remarques objectives Monsieur Mouébara. Malheureusement, le peuple est complaisant, traumatisé par des guerres, des arrestations arbitraires, et cerise sur le gâteau les retraités sont sans pensions, les travailleurs de la fonction publique sans salaire et sans éthique. Les étudiants sont sans bourse. Les chômeurs sont sans voix.
    Trouvons des stratégies à faire réagir ce peuple meurtri. Ventre affamé n » a point d’oreille, point d’ yeux.

  13. Baliele M. Bakima dit :

    Juste pour corroborer ce que j’ai écrit dans post ci-dessus sur le ministre Christel Sassou:
    https://mondafrique.com/congo-les-panama-papers-publient-les-comptes-des-congolais/

  14. Samba dia Moupata dit :

    Le vrai problème c’est la santé mentale de cette équipe gouvernementale Mbochi , qui pourtant des milliardaires , mais laissent nos retraités pendant plus de trois ans ,sans pensions , un pays en cessation d’activités , nos hôpitaux qui sont devenus des mouroir , les urgences vitales inexistante . pendant que Sassou et sa famille sont très préoccupés par l’achèvement des tours jumelles . On est chez les fous .

  15. le fils du pays dit :

    Je le reitere que le President Massamba,l’homme integre,bosseur et gestionnaire hors paire disait aux Congolais qu’ils allaient le regretter un jour quand la bande de nullards l’a pousse de quitter la chose.
    Avant lui Mr Youlou avait predit qu’un jour les Congolais allaient applaudir des fous.Et bien,les deux choses se sont accomplies,les Congolais regrettent le President Massamba voyant la mauvaise gouvernance et la gestion chaotique de leur pays ou on fait les petits bricolages a coups de milliards et on siphonne les deniers publics.Ils applaudissent aussi des fous depuis plus d’un demi siecle

  16. le patriote éclairé dit :

    Devinez quoi ? Air Antwerp, dirigée par Monsieur Johan Maertens, ex-DGA de ECAir (Equatorial Congo Airlines) a fait faillite.
    https://fr.airlinestravel.ro/air-antwerp-a-suspendat-operatiunile-pe-11-iunie-2021-faliment.html

    Auparavant il était DG de VLM qui est aussi tombée en faillite. Tout ce que touche ce monsieur part en vrille.

    C’est ce même individu qui était l’un des directeurs de http://www.coem.ch dirigé par Marco Villa, et qui est à l’origine des détournements, vers ses poches, des centaines de milliards de CFA.

    Sur l’article de la RTS c’est lui dont ont voit le bas du visage.
    https://www.rts.ch/info/suisse/8474630-des-millions-dargent-public-congolais-siphonnes-via-des-societes-suisses.html

  17. Isidore AYA TONGA 100% Intérêt général dit :

    COMMENT SORTIR DE L’IGNORANCE DE LA FACE CACHÉE DE LA DICTATURE DE SASSOU ET POURQUOI FAIRE? https://www.youtube.com/watch?v=SRfZ_5lzBQQ

  18. Val de Nantes . dit :

    Congo ,un pays ,qui ne sait pas ,politiquement et économiquement copier . Les collectivités territoriales , c’est à dire les communes , les régions , les départements ont des statuts des administrations décentralisées .Pour éviter la lourdeur des actions verticales de l’ETAT central , elles se sont vu attribuer des compétences multiformes aux fins de créer des politiques de proximité avec les citoyens …
    Les compétences régionales françaises balaient beaucoup des domaines : économique , environnemental , sanitaire , urbanistique , transport et innovations etc .
    Les départements : s’occupent des domaines , social ; éducatif , culturel etc .
    Alors , puisqu’il faut absolument emprunter les idées politiques françaises pour que vive le CONGO BRAZZA . Un département comme le pool a t -il un minimum des compétences dont disposent les départements français ?..
    Le POOL n’est -il pas un département que je sache ?..
    Voilà le nihilisme dans lequel baigne le CONGO sous SASSOU .
    C’est la nature même du paradigme économique qui contredit le socle politique importé au CONGO .Le tout est d’une incohérence abyssale …

  19. VAL DE NANTES : dit :

    (suite ) .Vous avez parlé de « modèle économique » en voici la traduction française à laquelle le CONGO n’a jamais consenti en dépit de sa capacité à singer la pensée institutionnelle de la FRANCE .
    Un minimum d’imitation de la gouvernance de ces collectivités à la sauce française aurait atténué les souffrances séculaires du peuple congolais .
    Mais ,voilà comme par magie ,on en vient à oublier le volet de gouvernance des collectivités territoriales …Le CONGO est comme cet enfant prématuré qu’il convient de mettre sous serre ,ou couveuse pour espérer le voir vivre .
    Au regard de ce qui précède ,il est quasiment admis que l’économie de notre pays reste vierge de tout travail intellectuel .
    Car comment comprendre que nous soyons incapables de mesurer dans les faits les PIB de nos régions .
    Quelqu’un est – il en mesure de me donner en pourcentage le PIB DU POOL ?.
    CHERS AMIS ,
    Nous sommes en plein 2021 ,et ne savons pas les valeurs économiques réelles de nos régions ,mais nous passons notre temps à diviniser des présidents tribaux de la république .C ‘est le paradoxe mortifère congolais ,qui renonce à la raison pour la satisfaction des instincts ethniques .Et le résultat misérabiliste est sans appel ….
    D’où mon désir d’en appeler à mes compatriotes de passer de l’obscurantisme présidentiel aux lumières de la raison raisonnante .Ce n’est qu’à ce prix d’effort de transformation spirituelle que le CONGO se délivrera de toutes ces chaines ataviques .

  20. Lucien Pambou mKAYA mVOKA dit :

    Cher val de Nantes
    Salut frangin

    je ne souhaite ni te destabiliser , ni te deranger; neanmoins je souhaite te dire ce que j entends tout bas
    Les congolais n ont rien a foutre de tes elucubrations sur le federalisme au congo dans un pays marque par un centralisme tribal
    Les gens rigolent surtout les sachants ils te prennent pour un fou
    Meme apres le depart de Sassou du pouvoir , les remplacants toujours proches de Paris monnaie zone franc et contrats leoniens obligent combattront les federalistes car la France n ‘en veut pas au Congo

    il va falloir passer a l ‘action pratique c est bien de federer les institutions mais combien de troupes et de divisions et avec quels moyens financiers
    nous sommes au coeur de l action politique pratique et non seleument theorique

    Sur ce site certaines personnes sont hypocrites et elles ne te le disent pas
    dommage

  21. Val de NANTES .@grd PAMBOU dit :

    Ma démarche s’inscrit dans le long terme car ,je hais le court- termisme ..L’action pratique est subordonnée au dégagisme de la pourriture politique actuelle .La vérité ne saurait longtemps faire bon ménage avec le mensonge …
    Peu me chaut , les opinions politiques d’autrui ,ce qui m’importe ce sont les idées qui pourraient améliorer les conditions de vie de mes compatriotes .
    J’ai conscience de la chance que j’ai eue de m’installer en EUROPE avec les avantages matériels qui s’ y trouvent ,mais je pense que grâce à la raison le CONGO pourrait se sauver de ces passions tristes qui habitent bon nombre de nos compatriotes suceurs potentiels des finances publiques ….
    Oui , je prône le fédéralisme au CONGO pour distribuer les avantages économiques et financiers à tous nos compatriotes ,où qu’ils se trouvent dans notre pays .
    Les humeurs de ces intellectuels improductifs et attentistes ,je m’en tape ….
    Vous avez mis vos propres pensées sur les têtes métaphysiques des compatriotes qui n’existent que par votre imagination ..C ‘est de bonne guerre à défaut de la déclarer aux fossoyeurs de la république .
    Interrogez – les sur les PIB des régions dont ils sont issus et vous jugerez la valeur de leurs arguments ,car apparemment vous en côtoyez davantage qu’ils ne brillent sur ce site .
    Ce discours mielleux ,loin d’être une nouveauté , est une arlésienne dont vous maquillez les faces à chaque sauce .La dernière pluie m’a vu naître …
    Ayant un cuir tanné ,je ris comme DIOGENE de ces mesquineries de caniveau ,car la montagne CONGO vaut réflexion plutôt que niaiseries ….
    Bref , j’ai compris votre feinte intellectuelle bien édulcorée ….Maintenant à supposer qu’ils en existent ,ces fameux compatriotes hypocrites ,dites -leur que VAL DE NANTES est une véritable arête au travers de leurs gorges .
    Le fédéralisme , j’en fais don de ma personne pour le bien de mon pays …

  22. Lucien pambou m mvoka dit :

    A val de Nantes
    Je pense que votre réflexion a été comprise
    Il reste maintenant à débattre et à instaurer des modèles institutionnels de type fédéraliste sur les plans institutionnels et économiques à
    A bientôt pour la disputation sur le modèle federal

  23. Pascal Malanda dit :

    Chers tous,

    Pas besoin d’être une grande lumière pour comprendre que le partenariat public-privé tel que prôné au Congo est une coquille vide. On n’attire pas les mouches avec du vinaigre. Dans un pays en faillite, on n’attire pas les investisseurs sérieux avec de simples déclarations d’intention.

    Le Congo souffre depuis les années 1970 d’un grave problème structurel qui n’a fait que s’aggraver au fil du temps. En arrivant au pouvoir, Ngouabi s’est concentré sur la politique au détriment de l’économie. Sous le prétexte d’un rééquilibrage du paysage politico-administratif que lui et son équipe trouvaient trop favorable au sud du pays, il a lancé un vaste programme de formation de cadres au rabais pourvu qu’ils soient acquis à sa cause. Quand ces cadres formés à la va-vite ont commencé à occuper les rouages d’un Etat dirigé par le parti (un des slogans de l’époque était ‘’ Le parti dirige l’Etat), la rigueur économique a fondu comme neige au soleil.

    Je me souviens d’un exemple concret. Pendant mes trois années au lycée du Drapeau Rouge, j’ai vu mes camarades de classes, notoirement incompétents sur le plan scolaire, tenir la dragée haute au proviseur ou au surgé sur la simple base qu’ils étaient membres de la milice populaire, le bras juvénile armé de la révolution et qu’à ce titre rien ne pouvait se faire sans leur avis.

    Quand Ngouabi a compris son erreur monumentale et le drame qui en découlait et a voulu ramener Massamba-Débat dans un système bicéphale où ce dernier tiendrait l’administration et donc l’économie, tandis que lui-même s’occuperait de la politique, son cas fut très vite réglé.

    Marien mort, la boîte de Pandore qu’il avait ouverte a commencé à engloutir l’économie congolaise. Ministres et hauts fonctionnaires exigeaient d’abord 10% puis 20% dans le capital d’une société pour accorder leur aval à sa création. Aujourd’hui, on doit être à plus de 50%. Quel est l’industriel sérieux qui apporte son capital et vous cède 51% du projet sans que vous ne déboursiez un seul sous? On peut prendre les Congolais pour des idiots, mais pousser le bouchon jusqu’à vouloir gruger les opérateurs internationaux à ce point est d’une naïveté insondable.

    Sans cadre juridique et économique stable, lisible et prévisible, le Congo n’attirera que des opérateurs véreux. D’ailleurs, la simple lecture de ce partenariat à la sauce du nouveau gouvernement est on ne peut plus claire. Il n’y est ni plus ni moins question que de préférence nationale dans les attributions des futurs marchés. Ce pseudo nationalisme économique cache mal l’intention de recycler dans l’économie nationale, sous prétexte de partenariat, des fonds nationaux égarés dans des paradis fiscaux. Une façon bien maladroite de sauver un système condamné à l’effondrement.

    La meilleure façon d’attirer les investisseurs au Congo est de mener une réforme en profondeur destinée à réinstaller la rigueur au cœur de l’action politique, économique et sociale. Tout le monde le sait, cela est mission impossible au Congo dans son état actuel.

    Seul un débat de fond sur les sujets qui fâchent, dans l’intention non pas d’une inutile chasse aux sorcières, mais pour la recherche d’un consensus socio-économique salvateur, pourra sortir le Congo de son calvaire actuel.

    Les Congolais y sont-ils prêts? J’ai mes doutes…

  24. Val de Nantes . dit :

    @grosse validation , MALANDA .
    « NGOUABI avait préféré la politique à l’économie « . Et si c’était la cause inférée de nos maux actuels !.
    L’économie est celle par laquelle un peuple se construit autour d’une nation crédible . Effectivement ,les conditions objectives d’une installation véritable d’une économie nationale semblent très loin réunies .
    Au départ nous souffrons de la mauvaise interprétation du concept du mot  » économie nationale « .
    De quoi est composée une économie nationale ?
    En avons nous une bonne définition ?
    Quand un nigérian parle de l’économie nationale ,on en saisit vite le sens , au regard de la prospérité territoriale qui émaille tout ce pays .C ‘est tout le pays qui participe à la création des richesses de par le modèle économique .
    C’est quoi l’économie au CONGO ?.
    De quoi vit une population comme celle du POOL ?
    LE PIB NATIONAL est une agrégation des PIB régionaux .
    Alors , question :
    Quel est le PIB de chaque région du CONGO ?.
    Peut -on imaginer un jour des « Dangote congolais « ?
    Et surtout comment on peut produire des DANGOTE congolais pour créer des richesses privées qui participeront et contribueront au PIB NATIONAL ?
    L’Etat congolais ne peut créer durablement les richesses ,mais doit poser les fondements juridiques d’une nation propice à la création des richesses nationales tirées des initiatives privées …
    Vous avez raison de dire que NGOUABI avait une marmotte pour la politique et nous en sommes toujours là …
    Et je reconnais votre courage en parlant de l’économie nationale qui n’en est pas une , au regard de la définition qu’en donne le dictionnaire …
    Bref , on se console ,comme on peut §§§.
    ECONOMIE , CONNAIS PAS .

  25. Val de Nantes . dit :

    Je rappelle que le PIB (le produit intérieur brut ) ou le montant de la richesse nationale obtenue à l’instant t .
    C’est un petit ratio : PIB : RICHESSE nat t1 / RICHESSE nat t2 multiplié par 100 .
    t1 , c’est l’année en cours et t2 , c’est l’année passée …
    Or il se trouve que dans le cas du CONGO , cette formule mathématique se grime en  » PIB: richesse régionale du KOUILOU / richesse régionale du KOUILOU multiplié par 100 .
    La richesse nationale du CONGO = richesse régionale du KOUILOU .
    Où sont les PIB des autre régions ?
    Voilà la réalité économique congolaise dont on nous cache la face honteuse …
    Depuis notre accession à l’indépendance ,nous n’avons pas été capable de créer les conditions d’une économie nationale et j ‘incrimine le FMI de valider les documents économiques et financiers basés sur une économie purement rentière qui n ‘engrange nullement une expansion économique dans le reste du pays .
    C’est une économie socialiste dont tous les moyens de production sont aux mains d’un tyran avec tout le cataclysme socio -économique qui y appert .
    La liberté d’expression et de pensée sont consubstantielles à la liberté d’entreprendre et donc d’exercer librement des activités économiques en respectant les règles juridiques qui en assurent le fonctionnement .
    Cela va de soi que le CONGO étant un pays totalitaire , il est impossible d’y voir émerger un climat d’affaires exécuté dans les règles de l’art ….
    KIKI est une distraction politique de plus . SASSOU se paie des mots .

  26. Val de Nantes . dit :

    lire ,, capables .

  27. Pascal Malanda dit :

    Cher frangin de Potal,

    Nous, Congolais, avons un rapport malsain et maladif à la politique. Au Congo, tout est abusivement politique. Et la politique est perçue comme un raccourci vers l’enrichissement. Or la richesse se crée économiquement par le travail. C’est en plantant du café, du cacao, de la banane, du manioc etc que le paysan crée la richesse. C’est en produisant du ciment ou des machines que l’industriel s’enrichit et enrichit le pays.
    Au Congo, le citoyen ne vise qu’une chose, la politique et le politicien ne vise qu’une chose: détourner les fonds publics, l’effort du contribuable qui devrait lubrifier la machine économique. Il vise la rente pétrolière, minière etc etc. L’argent détourné, ne pouvant être investi au pays, prend le chemin des paradis fiscaux ou des caves villageoises. Tout politicien qui ‘’s’enrichit’’ ne pense qu’à une chose: devenir président. Conséquence: il faut tout faire pour empêcher l’enrichissement en dehors d’une caste, de peur de créer des rivaux incontrôlables.
    J’étais surpris de voir Matsima briguer la députation à Vinza. Dangote est la première fortune africaine avec plus de 20 milliards de dollars. Je ne crois pas qu’il ait un jour pensé à devenir président du Nigéria. Ce ne sont pas les moyens qui lui manquent. Il n’a rien à envier au président de son pays et ce dernier ne lui fout pas les bâtons dans les roues: chacun fait ce qu’il sait faire le mieux. Aujourd’hui, Dangote construit la plus grande raffinerie de pétrole du monde au Nigéria. Voilà les ambitions d’un industriel. Chez nous, Matsima, Ntiétié, Mahouéné, Bayonne, Ebina etc. ne peuvent jamais émerger comme de grands industriels de niveau africain. Le système ne le permet pas. Et de toute façon, les héritiers des ‘’grandes fortunes’’ congolaises n’ambitionnent qu’une chose: devenir président. Ça frise la psychiatrie collective.
    Après une décennie de vaches grasses (2004-2014) pendant laquelle le Congo a connu des excédents budgétaires faramineux, le Congo ne compte aucun milliardaire ‘’propre’’en dollars capable d’investir honnêtement et ouvertement dans d’autres pays comme Dangote le fait chez nous au vu et au su de tout le monde. Les pseudo milliardaires congolais sont de bas de gamme, ont honte de leur richesse et ont besoin de prête-noms chinois, libano-palestiniens ou ouest-africains pour investir. C’est de la pure schizophrénie.

  28. Val de Nantes . dit :

    lire ; entrepreneuriat .

  29. Val de Nantes . dit :

    Devenir président de la république ,tel est le rêve qui ,malheureusement aura tué PAKO .Cependant tous ses flatteurs , qui l’y ont poussé , sont restés en vie en attendant d’autres candidats putatifs au suicide présidentiel …
    Il n’ya de vie que présidentielle ,tel est le message que leur a délivré SASSOU . l’empereur du rienisme congolais …
    Au NIGERIA , la politique est totalement reléguée au second plan pour prioriser l’économie . L’autorité politique se fait discrete ,car les nigérians sont occupés quotidiennement à célébrer des victoires économiques ,commerciales , financières .Il suffit pour s’en convaincre de voir la structure de leurs économies fédérales qui sont le résultat d’un travail sur l’exploitation inclusive de toutes les ressources que contiennent ses vastes territoires .
    Le nigérian parle peu de politique ,car nourri à l’initiative privée , il ne croit qu’aux bienfaits de l’économie au détriment des croyances présidentielles puériles qui rabaissent le citoyen au rang d’esclave de la république …
    BUHARI est , certes , président de ce pays , mais totalement absent de la sphère économique et financière ,une fois que l’ETAT FEDERAL a donné la possibilité à tous ses états fédérés d’organiser leurs économies en fonction des réalités économiques ,humaines , financières que recèlent leurs territoires .
    C’est ce qu’on appelle « une politique de proximité pragmatique au profit du peuple « .
    Au CONGO , vous avez des régions fantômes dont on se demande comment y vivent les habitants .?
    Au CONGO , y – a t-il des régions OUI ou NON ?
    Si , oui , alors , dites – nous leur contribution au PIB NATIONAL ?
    Que TSATOU MABIALA et MVOUBA nous esquissent le PIB de chacune de leurs régions ?.
    Chers compatriotes ,
    Nous nous mentons à nous mêmes . Le CONGO n’a jamais eu d’économie nationale ,car , objectivement , au niveau du pays , cette économie est purement issue d’une
    seule région ,j’ai cité le KOUILOU ….
    D’où l’inutilité de chercher un être transcendant à qui on attribuerait des vertus divines pour la résolution des nombreuses problématiques que connaissent notre pays .Cela tiendrait même du messianisme .Non . Le salut a un mot « l’organisation économique optimale de toutes les ressources dont dispose ce CONGO « .
    J’aurais pu dire « le sophos sophos congolais  » doit s’imprimer dans les esprits des congolais  » . Autrement dit , ‘la sagesse de la sagesse congolaise doit primer sur des obscurantismes tatillons qui brisent » l ‘anima  » en latin ou l’âme congolaise …
    PLATON aurait dit : « un monde imparfait  » dont les habitants admirent des silhouettes en lieu et place des originaux atteignables par l’exercice du « logos « …
    Descartes ,dans sa quête de vérité universelle , avait toujours peur de se faire tromper par un « malin génie  » à défaut d’ en accuser DIEU , fatouah religieux oblige . Galilee en sait quelque chose . Contrairement aux congolais qui se font toujours avoir par le « génie présidentiel  » duquel ils ne retirent rien …

  30. Val de Nantes . dit :

    lire ,problématiques que connait notre pays .

  31. VAL DE NANTES : dit :

    suite , DUBAI doit nous servir de leçons dans la gestion optimale des deniers prélevés de l’or noir …
    NB: On (sème) l’argent du pétrole dans tout le pays pour en récolter les bénéfices à long terme .
    Pouvoir c’est vouloir . S’arracher à la misère existentielle ,Dubai l’a fait au milieu DU DÉSERT .
    Nous sommes pauvres ,parce que nous l’avons voulu ….

  32. VAL DE NANTES : dit :

    CONGO : Des voleurs qui se sont transformés en hommes politiques . Ce n’est pas BOUYA qui va nous démentir ,lui , qui aura marqué son séjour MISÉREUX à LILLE ,SELON SES PROCHES , en PRATIQUANT LA « DÉMARQUE INCONNUE  » (VOL ) dans AUCHAN .
    Des proches devenus très éloignés pour des raisons de catégorie sociale .L’homme joue dans la liga espagnole ,alors que ses anciens proches en sont restés en deuxième division Lilloise …

  33. Lucien PambouMKAYA MVOKA dit :

    a val de nantes

    CHER FRANGIN

    peux tu nous expliquer ce qu il se passe dans l etat federal avec aby ahmed qui semble etre conteste par l ‘etat de tygree sur un fond ethnique entre oumourous musulmans , amaras et autres
    Comment peut on contester une federation qui doit etre la source de bonheur pour les populations et pour les institutions?

    BONNE JOURNEE

  34. Pambou Lucien Mkaya Mvoka dit :

    VAL DE NANTES SUITE

    Bien sur il s agit de l Ethiopie desole de ne pas l avoir precise pour nos lecteurs
    pambou

  35. Val de NANTES . dit :

    L’analyste politique que vous êtes devrait parfois soupeser les questions qui n’en sont pas .
    Si l’ETHIOPIE déraille sur son unité la question géographique ,permettez- moi de me satisfaire des cas ou les pays dits fédéraux où la santé économique fait pâlir d’envie ceux qui ont pris le ticket économique labellisé français .
    L’apprenti ETHIOPIE est à bonne école , il lui suffit d’accorder certains violons pour qu’il retrouve la totalité de l’alchimie fédérale .
    Comme tout apprentissage , les pièges immatures font partie de la dure épreuve du débutant ,il n’en demeure pas moins que le socle économique reste la garantie d’une nation appelée à devenir un dragon africain …
    Le modèle politique doit être cohérent avec la philosophie fédérale .La géographie d’un pays fédéral se comprend par la géographie économique de ces micro -états dits fédérés .
    Le principe géographique de base est l’intangibilité des frontières extérieures ,mais l’intérieur reste découpé par des frontières immatérielles représentant la séparation des économies des régions fédérées .
    Comme , je l’ai dit  » c’est une maison où les chambres sont délimitées par des murs coupe feu (cf ) et remettent en cause l’unicité de cette maison .
    Le but ,c’est l’évitement d’un incendie embrasant toute la demeure .
    Donc , il n’est nullement question de diviser un pays ,au titre géographique …
    C’est une technique de l’ingénierie incendie ,possiblement ,applicable à un pays au titre la prévention de crise économique généralisée .
    Comprendre ce raisonnement ne requiert pas un BAC +10 .

  36. Pambou Lucien Mkaya Mvoka dit :

    a val de Nantes

    votre demonstration ne me convaint pas

    ce n est pas tres grave le debat est ouvert et doit le rester

    Avancons avec des arguments forcement contradictoires pour nourrir ce debat et il en ya d autres

    Bonne fin de semaine et ne confodonspas les reussites des modeles federaux dans les pays europeens qui ont une longue histoire politique de federalisme avec nos democraties tropicales africaines qui cherchent a installer un modele de gouvernance approprie a leur developpement si tant est donne que ces pays savent ce que le concept de developpement veut dire

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