LES DRAMES DU SILENCE : l’ouvrage de Sidonie Salabanzi

61pSy5DEz9L._SX308_BO1,204,203,200_LES DRAMES DU SILENCE est une anthologie des conflits sociopolitiques et en particulier des politicides et des génocides sur le continent africain. Ce sont tous ces homicides et injustices qui ébranlent la vie, sapent l’espoir et la dignité d’une majorité timorée, réduite ainsi à l’impuissance complice. Ce sont les lacérations lancinantes sans répit du corps et de l’âme d’un continent meurtri par la déshumanisation des crimes crapuleux résultant de la gestion autocratique du pouvoir et l’exploitation économicide néoimperialiste des enjeux géopolitiques et de la mondialisation.

En ce XXIe siècle, une voix s’élève ultimement pour dénoncer éloquemment les dérives et les marasmes des anti démocraties ainsi que les terreurs des politiques africaines, en criant son désarroi mais aussi sa foi et son espoir en une prise de conscience immanente.

Un livre qui restitue lucidement et courageusement la mémoire historique sociopolitique tragique de son pays le Congo-Brazzaville, mais aussi celle de toute l’Afrique subsaharienne et du Maghreb.

Démocratie et non ″Démons cratie″, unité et non désunion, paix et non guerre, résument ses propos afin de restituer au continent tout son passé glorieux, illustré de grands royaumes et d’empires fondés stoïquement sur des bases juridiques et politiques fortes.

Systématiquement, elle exprime les faits, donne les descriptions exhaustives des événements sociopolitiques passés et contemporains fondamentalement significatifs ainsi que les références disponibles dont elle pense, susciteront non seulement l’émoi et l’empathie, mais le retour à une humanité plus constructive !

Femme africaine, mère africaine, femme engagée, Sidonie ALEXIS SALABANZI valorise le combat d’une frange vulnérable de la population, ignorée, constamment abusée mais résiliente, en appelant à leur mobilisation intercontinentale.

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5 réponses à LES DRAMES DU SILENCE : l’ouvrage de Sidonie Salabanzi

  1. B.B. Zalabantou dit :

    J’aimerais acheter et bien lire le contenu de ce livre. Mais à ce prix là, $45.00 (45 dollars, soit près de 30,000cfa en incluant les frais de transport que je dois supporter ) pour un livre de…sociologie sur les bêtises des africains (congolais dans ce cas), bon! vraiment, je préfère nourrir mes petits enfants pendant deux semaines avec les 30000fcfa.
    Si cette dame, qui semble être à l’abri du besoin materiel, veut être lue, alors ses editeurs n’ont qu’à revoir ce prix prohibitif.
    Elle a été, lit-on, candidate au Congo, en 1991, au poste de 1er ministre pendant la conference nationale. Donc elle n’est pas dans le besoin d’argent. Alors qui a fixé ce prix de 45 dollars? Où c’est elle (alors question!!!) Ou ce sont les editeurs du livre, qui sont les Quebequois en l’occurence (français d’origine!) qui veulent encore extirper les pauvres cash dans les poches des deja pauvres congolais.
    Le directeur de cette maison d’edition peut-il nous dire combien de livres de ce genre sont venus à ce prix lá?
    Prions que madame Salabanzi (Sala-pé-sambila) n’a pas ecrit le livre pour des raisons liées a ce que je pense.
    Qu’elle le vende a 5000Fcfa($10.00), et les jeunes etudiants africains, surtout congolais de Brazzaville, l’acheteront, même si la lecture n’est pas la prioté de leurs preoccupations quotidiennes (oh là là, ils en ont beaucoup d’autres plus pressants comme: comment manger demain?).

    Chère Soeur Salabanzi, je vous salus pour votre courage. N’arrêtez pas d’ecrire. Parlez surtout à votre editeur qui veut lui aussi, comme Chirac, Sarkoxi, Hollande, De Gaulle, …profiter des pauvres Africains. Mais bon, cela est devenu la chanson. Dominique strauss-khan etait il ya peu a Oyo. Queo pensez-vius de ce que ce playboy des « joies » a-t-il apporté de bien a Sassou ou aux congolais, si ce n’est aller…profiter, toujours profiter…sutout que les cours du petrole remontent.
    A +

  2. DRAME, H dit :

    En vous lisant, Monsieur, je vois à travers ces diatribes, votre désir ardent de lire ce livre que vous ne sauriez de prime abord réduire à`la « sociologie sur les bêtises des Africains«  ! La bêtise même a une essence! Je suggérerais que vous vous donniez d’abord les moyens de la certitude de votre diatribe en l’acquérant. Investir dans la culture est ce qui fait véritablement défaut à notre cher continent! Les intentions de l`auteure ni de l’éditeur que je suis ne sont point de nous enrichir (!) sur la misère de nos peuples à l’instar de ceux qui détienne séculairement tout le patrimoine de nos nations, voire l’économie africaine entre les dents! De grâce, il n y a aucun crime qu’un auteur ou qu’un artiste vive de son art ou de son travail et perpétue ainsi la culture ! L’économie ou l’industrie créative est une voie du développement ! Les bibliothèques du monde peuvent acquérir les œuvres pour leurs publics et un dépôt légal se fera dans le pays de l’auteure afin que nul ne soit privé de lecture.
    Si nous ne pouvons investir dans la culture ni encourager les écrivains, comment pourrons-nous espérer à la pleine autonomie ? Je crois, qu’il est plus légitime que la corruption qui nous ronge, devrait être notre souci de dénonciation. Insultez des personnes de s’enrichir illicitement sans aucune preuve est un crime !
    Que ce livre soit un témoignage pour vos petits-enfants! Nous ne saurions aussi les en priver ni vous en priver! Tous nos livres à destination pour l’Afrique reçoivent un escompte de 50% sur le prix Amérique du nord. Tout libraire peut vous aider dans cette démarche. Nous les approvisionnerons sur pré-achats!

    Mme Salabanzi aura fait l’exercice intellectuel pour la postérité ! A vous d’en juger!

    Meilleures salutations

  3. MASS dit :

    Très bien dit Drame H, car notre sous-développement est aussi fille de nos mentalités. Mais, faites attention avec les…. » Les intentions de l`auteure ni de l’éditeur que je suis ne sont point de nous enrichir (!) sur la misère de nos peuples à l’instar de ceux qui détienne (detiennent) séculairement tout le patrimoine… » Salut!

  4. Kanda Banza dit :

    Le très peu de commentaires pour cet article « culturel » montre à suffiisance le « grand intérêts » (sic!) des congolais ici à Brazzaville pour la…culture. Et continuer à nous faire avaler que… Celui qui a parlé du prix élevé du livre semblait ne pas être trop à côté des patates culturelles.

  5. Jean-Marie Dikamona
    Madame Sidonie Salabanzi, toutes mes félicitations. Vous nous donnez un ton nouveau. Celui de la vérité, celui du courage que nous les Africains et nous les Congolais attendons depuis longtemps. Et qui s’affirme avec un courage de mère et de femme digne, brave et lasse comme toutes les mères de pleurer et d’enterrer leurs fils et leurs époux.
    Ce Congo et cette Afrique qui en ont marre des crimes et autres génocides perpétrés au nom de la politique et de la « démocratie », afin de se maintenir ad vitam aeternam au pouvoir, vous nous les racontez.
    Madame Sidonie Salabanzi, tenez-bon et ne vous taisez pas, s’il vous plait. Continuez à dénoncer et à romper le silence.
    Enfin, quant à Monsieur Zalabantou, addictif à l’argent, ignorez-le, car il ne vous atteint pas à la cheville. C’est un nain politique et intellectuel. Négligez, s’il vous plait, ses élucubrations qui ne sont que barbaries et jalousies.
    Jean Marie Dikamona.

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