De nombreux observateurs de la vie politique congolaise sont surpris par la longévité de la dictature installée depuis la fin des années 1960. Elle est à analyser en prenant en compte les causes exogènes et les causes allogènes.
Les causes endogènes.
Le Congolais reste attaché à sa tribu et son ethnie alors que la pénétration européenne et ses corollaires : la naissance des « villes à l’européenne » ainsi que l’école ont favorisé les brassages des populations. On sait que la ville congolaise- les deux plus grandes : Brazzaville et Pointe-Noire – n’ont rien de moderne étant donné que leurs quartiers sont ethniquement connotés. En effet, les quartiers sont construits autour des ethnies : Bacongo et Makélékélé majoritairement peuplés des hommes et des femmes originaires des régions australes du pays, Ouenzé et Talangaï, sont des zones des ressortissants de la partie septentrionale, Mfilou par ceux des pays du Niari. Même Poto-Poto dit cosmopolite ne l’est que de nom. Il est à majorité peuplé des « Bangalas ». Cette répartition ethnique perdure puisqu’un quartier tel que Kombo, né au début des années 2000 après la victoire militaire de Sassou Nguesso, obéit à la logique ethniciste et tribaliste. Ce dernier est même la caricature du tribalisme et de la division du Congo. Majoritairement habité par les partisans de M. Sassou Nguesso à un tel point qu’on dit qu’il y aurait une villa d’un officier supérieur se serait substituée en centre d’identification. On y distribuerait cartes d’électeurs et pièces d’identité nationale sans que cette scandaleuse rumeur n’émeuvent la justice et la police nationale.
Le clan, la tribu sont devenus des critères de soutien d’un candidat. On oublie que le clan, la tribu comme base électorale sont un frein au décollage du pays. Les hommes politiques ont biaisé avec les critères de recrutement dans la fonction publique et dans les forces de sécurité, Ils ont volontairement tué le patriotisme et le nationalisme embryonnaires. On le voit, le clan, la tribu et la région ne sont nullement des critères de compétence. Au contraire !
Depuis le retour de M. Sassou Nguesso au pouvoir en octobre 1997, le clan, la tribu, la région ont fait du vol, des antivaleurs, de la prévarication la méthode de la gestion de la chose publique, avec des résultats que l’on sait ! Les sommes d’argent détournées provoquent le tournis. La cadence des détournements choque. Curieusement ni la justice ni M. Sassou Nguesso ne se saisissent de cette question pour sauver le Congo. Le Trésor public est transformé en source du village où chacun va puiser jusqu’à la dernière goutte. Tant pis pour le Congo ! On a fait la guerre, on l’a gagnée, c’est notre butin de guerre ! Le clan, la tribu, la région ainsi que le clientélisme sont des vecteurs d’impunité, du vol, de la presse et de l’arrogance.
Dans une tyrannie, la justice et ses auxiliaires, les médias sont au service du roi-l’empereur ont dit MM. Ouattara et Condé ses amis de la FrançAfrique- je dirais le « roi de tout-Rei di tutto »- Au Congo, les journalistes ne donnent pas les nouvelles sans introduire la figure ou le nom de M. Sassou Nguesso : tout part de lui et revient à lui. Les maires ainsi que les députés nommés font dans le zèle qui va être le plus bouffon pour avoir les faveurs de l’empereur et ses sbires. Ecrasées par le pouvoir dont la brutalité est devenue légendaire à travers sa police et sa justice inique et incompétente, les populations se sont résignées. La voix de l’opposition interne est étouffée. Il ne reste plus que la diaspora devenue la vraie opposition.
A ces causes exogènes, il y a les causes allogènes. L’empereur connu pour ses largesses corruptrices, arrose les dirigeants étrangers à travers les réseaux mafieux. De nombreux dirigeants et institutions respectables ailleurs sont à ses yeux des moyens d’asseoir son pouvoir. Ces réseaux allogènes consolident la dictature qui se sait impunie et peut par ce fait brûler des régions entières, peut incendier des villages sans que les gémissements ne soient entendus au-delà du Congo.
Malgré tout, ce tyran est fragile. Pour preuve l’achat compulsif des armes de guerre ébruité par les journaux étrangers. Autre preuve, les Rambos qui l’entourent lors de ses déplacements dans la ville capitale et dans certaines localités à l’exception d’Oyo. Il a fait du mensonge sa méthode. L’antienne de la paix entonnée à tue-tête chaque seconde, chaque minute, chaque heure ferait rire plus d’un Congolais mais c’est tragique pour provoquer le rire léger.
Pour vaincre cette tyrannie, il faut un travail de réflexion fait par des femmes et des hommes indépendants, jaloux de l’unité nationale, débarrassés de tout égoïsme. Les Congolais se libéreront ensemble ou mourront ensemble. Aucun clan, aucune tribu, aucune région ne se sauvera sans les autres congolais.
MBAMA NGANKOUA
Diffusé le 12 mars 2021, par www.congo-liberty.org
Sassou perdure au pouvoir à cause de la lâcheté des descendants de toutes ces victimes.
La culture de la vendetta n’existe pas au Congo.
Nos anciens braves n’ont accouché que de mécréants pourceaux, sans fierté, sans envergure et dignité.
Même ceux qui sont enrôlés dans l’armée, la gendarmerie et la police ne restes que des couards sans charisme, sans courage.
De véritables poules mouillées.
Comment comprendre que ces tirailleurs de bas étages n’aient pu ourdir la moindre vengeance envers l’ASSASSIN de leurs géniteurs depuis toutes ces années ?
Sassou se pavane dans Pointe-Noire, et l’idiot de Rolland NGOUABI est là comme un con à se mettre au garde-à-vous devant l’égorgeur de son père.
Et ils sont nombreux dans ce cas.
– les Dominique NGOUABI (qu’on a entendu pleurnicher dernièrement dans une bande son comme et ramper comme un ver de terre. Son père doit se retourner dans sa tombe. Plus lâche tu meurs).
Outre les enfants NGOUABI
Ou sont les enfants :
– Massamba Débat ? (Line Massamba Débat pousse même le vice à être la présidente du jury du comité de je ne sais quel concours de la fille morte du tueur abominable de on père à qui il crèva les yeux avant de le tuer). Quelle horreur.
les enfants neveux et parents des :
– Auxance ICKONGA
– Xavier KATALY
– ADOUA
– TASSOUA
– MOTANDO
– KIMBOUALA NKAYA
– KINGANGA
– IKOKO
– NTSOUROU
– MOKOKO
– OKOMBI SALISSA
– DABIRA
– TCHYSTERE TCHICAYA
– ADOUA
Pour ne citer que ceux là, les plus connus.
Mais la liste est très très longue et celle-ci est non exhaustive
Cher Mbama une révolte à besoin d’un visage connu . Or nos visages connus sont tous corrompus . En réalité nos soi-disant élites politique et nos évêques doivent se débrouiller tout seul , pour se soigner , se nourrir et organiser ses obsèques sans échange d’une clémence de Sassou Dénis le grand Satan . Car souvent on entend chez ces rigolos , de manière officieuse que Sassou Dénis est fidèle en amitié quand je suis tombé malade il m’a envoyé son émissaire avec un sac rempli d’argent, quand j’ai perdu ma mère Sassou ou un un barbare Mbochi m’a aidé financièrement , c’est la corruption pure et simple , le Mbochi qui te vient en aide avec l’argent volé . Moi je paye ma mutuelle et mon assurance obsèques pour n’est pas faire recours à l’argent du crime . Après nos avons le garçon kolélas à 62 ans ,fils adoptif de Sassou Dénis .
Monsieur Mbama.
Le colon a structuré toutes les villes africaines de la même manière en zone francophone, mais rassurez-vous, le tribalisme ne s’exprime pas avec la même médiocrité partout, faites le tour des pays francophones, j’en suis persuadé.
Le tribalisme s’est installé avec l’affaiblissement de l’état qui a perdu son rôle à cause des hommes politiques incompétents.
Les populations sont prises dans un piège, la rareté des prestations les poussent vers un bienfaiteurs de la tribu.
Aucun discours n’arrêtera le tribalisme, c’est par l’abondance du travail et du mérite qu’on mettra fin à ce cancer.
Les populations prises isolement ne se haïssent pas du tout, elles sont victimes des manipulations quelconques des politiques avec la complicité du silence des intellectuels.
Posons des bonnes questions, qu’est ce qui est fait au Sénégal, au Mali, peut-être Cameroun ou Gabon pour que les tribus ne soient pas au cœur du drame.
Monsieur Mbama, je pense que nos tribus sont porteuses de valeurs, de diversité, c’est un facteur de richesse pas une catastrophe.
Mettons notre génie intellectuel pour une recette idéale.
Je suis optimiste sur cette question
MARS 2021-COMMENT SASSOU NGUESSO A-T-IL PRÉPARÉ SON COUP KO EN TRAFIQUANT DES PUTES ET DES ÉTRANGERS https://www.youtube.com/watch?v=8Z3G1Q4dbzk
Je suis souvent congoliberty 99÷ d’intervention de samba dia mpata tourne toujours autour de Guy Parfait kolélas j’espère que maintenant qu’il est mort samba dia mpata pourra le remplacer et chasser Sassou du pouvoir