Le tout puissant ministre des mines du Congo-Brazzaville, Pierre Oba n’a pas la mine des grands jours. Il a la mine défaite. Le coût d’exploitation d’une mine de fer n’est pas à la portée de toutes les bourses. Pierre Oba qui aime les pierres souffle le chaud et le froid. A Mayoko, dans la région de la Lékoumou, dans le gisement de fer, Pierre Oba, a deux fers au feu. Paul Obambi, le puissant Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Congo-Brazzaville et big boss de la société Congo Mining a croisé le fer avec le patron de la société turque ULSAN Mining Congo SAU. Paul Obambi a jeté l’éponge. Il a failli sur le plan industriel. On ne s’improvise pas capitaine d’Industrie avec l’argent volé du Congo-Brazzaville. Paul Obambi dont Denis Sassou Nguesso et Pierre Oba ont tenté de mettre le pied à l’étrier par clanisme et par favoritisme dans la sphère financière et industrielle hautement capitalistique à travers Congo Mining a trébuché. La marche est trop haute. Tout ce que les membres du clan Sassou touchent se transforme en plomb.
Stop
Face au fiasco industriel et financier de Paul Obambi dans le gisement de fer de Mayoko, Pierre OBA, Ministre d’Etat, Ministre des industries minières et de la géologie, au pied du mur et du rideau de fer, a soumis le 12 août 2023 à l’examen des Membres du Conseil des Ministres un projet de décret portant attribution à la société ULSAN Mining Congo SAU d’un permis d’exploitation pour le fer, dit permis « Mayoko-Moussondji ». Le Ministre d’Etat Pierre OBA a précisé que la société demanderesse a introduit une demande de permis d’exploitation d’un gisement de fer dans la zone indiquée le 17 octobre 2022. Ce permis est retombé dans le domaine public, du fait qu’il avait été antérieurement retiré à la société Congo Mining appartenant à un membre du clan Sassou, Paul Obambi, alors détentrice dudit permis. L’échec était trop patent. L’information a été passée sous silence. Consigne a été donnée pour ne pas faire la publicité de ce crash industriel et financier d’un membre du clan Sassou issu de l’axe Oyo-Boundji-Ollombo-Makoua-Owando (OBOMO).
Paul Obambi compte parmi les fossoyeurs de l’économie du Congo-Brazzaville avec Pierre Otto Mbongo cousin de Pierre Oba, Osseté Jonas, Gabriel Bopaka Peinture…Le déni de Denis Sassou Nguesso, Pierre Oba et le PCT sur les réelles capacités de Paul Obambi en dit beaucoup sur la stature quasi mythique de grand patron que s’était forgée le Business man ces dernières années. Pour les originaires de la partie septentrionale du Congo-Brazzaville, Paul Obambi est le deus ex machina des affaires.
Ce gisement de fer dispose de réserves estimées à 917 millions de tonnes, dont 38,5 millions de tonnes directement exploitables. D’une durée de vie de 30 ans, les prévisions de production annuelle de ce gisement sont de 300.000 tonnes par an pour la première phase et 16,5 millions de tonnes par an dans une seconde phase qui exploiterait la roche dure. La société demanderesse s’engage à réaliser sans délai, c’est-à-dire dès l’obtention du permis, les études d’impact environnemental et social ainsi que l’étude de faisabilité ; la mise en œuvre de cette exploitation permettra la création d’environ 700 emplois, dont 600 pour la main d’œuvre nationale.
Enfin, l’investissement global du projet, incluant les infrastructures spécifiques nécessaires, est estimé à 15 milliards de dollars américains. Le Ministre d’Etat Pierre OBA a en outre relevé que ce projet s’inscrit parfaitement dans le cadre de la politique de diversification économique mise en œuvre par les pouvoirs publics et permettra une coopération encore plus dynamique entre notre pays et la Turquie, représentée ici par la société demanderesse. Après examen et discussion, le Conseil des Ministres a adopté le projet de décret portant attribution à la société ULSAN Mining Congo SAU d’un permis d’exploitation pour le fer, dit permis « Mayoko-Moussondji » (Les dépêches de Brazzaville adiac.com, 12 août 2023).
Le primat du clan
Que du temps perdu. Pourquoi le Congo-Brazzaville par l’entremise de Pierre Oba avait-t-il accordé le permis d’exploration et d’exploitation à la société Congo Mining de Paul Obambi qui ne reposait sur aucun matelas financier et qui ne disposait d’aucune expertise dans le domaine d’exploitation minière ? N’y avait-il pas d’autres firmes minières dans les rangs qui pouvaient faire l’affaire ? Pourquoi les grands groupes industriels miniers de la trempe de BHP Billiton (producteur de fer, de diamants, d’uranium, de charbon, de pétrole et de bauxite), Rio Tinto, Glencore, Anglo American ne s’intéressent-ils pas aux minerais enfouis dans le sous-sol du Congo-Brazzaville ? Le climat des affaires est-il en cause ? La société Congo Mining de Paul Obambi avait-elle rempli toutes les conditions exigées ? Pierre Oba et ses collaborateurs du Ministère des mines se sont-ils interrogés sur la fiabilité sur le plan industriel et financier du dossier soumis pour l’obtention du permis d’exploitation du gisement de fer par l’équipe de Paul Obambi qui n’a aucune expérience dans ledit domaine ?
Prompt à foncer vers tout ce qui brille, le Congo-Brazzaville dont l’économie a été mise en coupe réglée par les membres du clan Sassou qui ont dilapidé 14 000 milliards de francs CFA, a, curieusement du mal à opérer des choix économiques et industriels judicieux. Voilà une décision désastreuse qui se solde par un manque à gagner sur le flanc des impôts, des taxes, des infrastructures routières et ferroviaires et surtout sur le front de l’emploi. Devrait-on accorder le permis d’exploitation minière qui requiert d’énormes capitaux à n’importe quel aventurier, fut-il un proche de Sassou et de nationalité congolaise ?
Les mines ne payent pas de mine
Au Congo-Brazzaville, les minerais ne comptent que pour quantité négligeable dans la richesse nationale. Les exportations minières représentent 155 millions de dollars, soit environ 91 milliards FCFA, et 0,06% du total des revenus du secteur extractif. En matière d’industrie minière, le Congo-Brazzaville est donc toujours en phase de développement avec une seule société en phase de production effective, à savoir la Société de recherche et d’exploitation minière, installée à M’Fouati, dans le Département de la Bouenza (Les dépêches de Brazzaville adiac.com, 11 janvier 2022). La société de Paul Obambi Congo Mining avait-elle des reins assez solides sur le plan industriel et financier pour réaliser les travaux d’infrastructures indispensables à l’exploitation minière ? Présentait-elle les garanties technologiques, financières et industrielles suffisantes ? Plusieurs kilomètres séparent Mayoko dans la Lékoumou du port de Pointe-Noire dans le Kouilou. A l’instar de la COMILOG qui avait transformé Makabana, Mossendjo et Mbinda en petite cité ouvrière, la société Congo Mining de Paul Obambi avait-elle réalisé des travaux en amont et en aval avant l’extraction du fer et son expédition via le port de Pointe-Noire vers l’Europe, vers l’Amérique ou vers l’Asie ? Pourquoi, comme c’est la mode du moment, Paul Obambi, patron de Congo Mining, à l’instar de Pierre Mabiala, le parrain du Niari, n’a-t-il pas organiser une cagnotte pour rassembler 15 milliards de dollars américains représentant l’investissement global du projet, incluant les infrastructures spécifiques nécessaires à l’exploitation du gisement de fer de Mayoko ? Pourquoi les membres du clan Sassou qui cachent d’énormes sommes d’argent dans leurs multiples villas n’ont-ils pas puisé dans leur bas de laine pour voler au secours de Paul Obambi dans l’exploitation des mines de fer de Mayoko ? L’expérimentation hasardeuse de Congo Mining de Paul Obambi avec la complicité de Denis Sassou Nguesso et Pierre Oba dans le gisement de fer de Mayoko s’est achevée par un déraillement, le décès de quelques travailleurs et la mise au chômage des agents qui commençaient à recevoir les bulletins de salaire.
Eléphant
Après le tête-à-queue du gisement de fer de Mayoko, Paul Obambi s’est converti dans le trafic de l’or noir au port de Yoro. Paul Obambi se comporte comme un éléphant dans un magasin de porcelaines. Que cet imposteur soit encore en haut de l’affiche du monde des affaires, la chambre de commerce et d’industrie, en dit long sur le cancer du clanisme, de l’impunité, du favoritisme et de la corruption qui ronge le Congo-Brazzaville. Pierre Oba continue ses œuvres au Ministère des mines. Qui arrêtera ces deux malfrats ?Si, l’objectif était de promouvoir le secteur privé national et d’encourager les investissements étrangers pour stimuler la croissance économique du Congo-Brazzaville et créer des emplois, Denis Sassou Nguesso et Pierre Oba ont parié sur un mauvais cheval. Le siège de Congo Mining de Paul Obambi a mis la clé sous le paillasson. A la chambre de commerce et d’industrie de Brazzaville, des pudeurs de gazelle ont veillé pendant des années à utiliser un vocabulaire très choisi pour critiquer les méthodes et les initiatives de Paul Obambi, l’ancien collaborateur et bras droit de Pierre Otto Mbongo. Le milieu des affaire du Congo-Brazzaville se gausse de l’initiative financière et industrielle de l’exploitation du gisement de fer de Mayoko emmenée par Paul Obambi, « une grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf » . La société turque ULSAN Mining Congo SAU relèvera-t-elle le challenge et redonnera-t-elle le sourire aux habitants de Mayoko et ses environs comme à l’époque de la COMILOG ?
Benjamin BILOMBOT BITADYS
Le fer de Mayoko est le « : liyoto »du grand Bleck ou Pierre Oba… Et Oui , c’est la rançon des secrets d’États entre Sassou et OBA.
Sous le tapis de la république des cadavres et des intrigues diaboliques dont on ne connait pas encore l’ampleur des dégâts.
Soulevez ce tapis de la république et vous y découvrirez l’impensable.
Les Débats, economiques ,techniques , technologiques introuvables et interdits au Congo -Brazzaville?
Prolégomenes concernant l ‘exploitation future de la mine de fer de Mayoko
C’est a desesperer de notre pays si les informations publiees par Bilombot sont justes et averées concernant la mine de fer de Mayoko
Les congolais doivent savoir et les pays du golfe l ont compris avant nous on peut avoir des ressources financieres( encore doivent elles etre substantielles pour faire sortir du desert des stades nouveaux grace à l expertise étrangere comme ce fut le cas pour la coupe du Monde de foot au quatar) pour essayer d’ entreprendre un developpement industriel durable
L exploitation d ‘une mine de fer suppose la complementarite de nombreux experts que le congo ne possede pas en nombre suffisant , d’ou l apport d une expertise internationale
Cette expertise globale est formee de plusieurs groupes en Amont au centre et en Aval
En amont on besoin de topographes , de geometres, de sismologues et des constructeurs d architectures et de verification de la solidite des sols par rapport a l environnemenr et de facon permanente par rapport aux lieux d exploitation du minerai de fer
La prise en compte des effets sur l ecosysteme social doit etre integrée dans les travaux de faisabilite technique et financiere,d ou la necessite d’avoir un cahier de charges precis et compris par tous dans les moindres details.on y participe pas a ce type de missions par appariements clanico- tribaux et familiaux mais en ayant recours aux vraies competences verifiees des congolais et étrangers retenus
Au centre c est la question des logistiques de transport des materiels, des techniques et des technologies avec l amenagement des aires de stockage proches des villages ou non. Comment construire les infrastructures pour les personnels de la mine.
Comment préserver les cours d’eau alentour et comment ne pas menacer la vie de populations par les pollutions eventuelles a cause des résidus ferreux rejetes au cours de l exploitation de mine. les pollutions de l environnement par certaines entreprises chinoises qui exploitent les mines au Congo sont legion et de monnaie courante
En aval se poseront le probleme de l ‘exploitation et de l ‘évacuation par la route? par le train? du fer ainsi produit. Il faut ajouter a la question de la production celle liee a la vente sur les marches inernationaux(( a qui confier le mandat de concession negociation vente du fer ainsi produit, comment etablir la clef de repartition des recettes entre les actionnaires prives et la puissance publique congolaise
A chaque phase, des equipes de faisabilite et de controle des travaux doivent etre etablies avec des cahiers de charges definis en fonctions des objectifs a atteindre en evitant les confusions de mission et le « baclage des travaux » sous pretexte que cela se passe en Afrique et que les congolais seraient inferieurs aux experts étrangers sur les plans des expertises scientifiques , techniques, et technoloqiques meme si certains congolais au nom d’ un égocentrisme debride vont dire l inverse de ce que j annonce ici
L aspect financier apparait ici comme le nerf de la guerre , le Congo peut demander a ULSAN partenaire turc choisi de constituer avec elle un partenariat dont il faudra définir les termes en terme d ‘actionnariat, de mobilisation des fonds d investisseurs nationaux congolais, qui seraient differents de l Etat Congolais, et des banques etrangeres
La question de la formation des personnels de toute nature ( ingenieurs, techniciens, ouvriers) et de la creation d emplois durables doit etre poséee
On ne s’improvise pas industriel entrepreneur on le devient par par le Learning By Doing par étapes et en montant progressivement le long des courbes techniques et technologiques admises par la communaute internationale dans les domaines de construction et d amenagement des sites industriels
Avoir des ressources financieres fussent elles abondantes ne suffit pas
Merci cher Bilombot Bitadys , Paul Obambi est un multirécidiviste en 1986 nommé par son parrain mafieux Sassou Denis comme directeur administratif et financier , à l’ex ONPT avait détourner 20milliards des CFA , pour créer le groupe GPOM avec Mbongo qui était déjà associé à cousin pierre Oba qui avait placer son défunt jeune frère Corneille Oba dans le groupe , tous Mbochi d’Ollombo près d’Oyo. Paul Obambi est l’argentier de l’état Mbochi c’est par lui et le fils Sassou Christel c’est d’ailleurs eux deux que Tsaty Mabiala et Mathias Dzon et tant d’autres perçoivent leurs salaires d’opposants officiels qui deviennent très rare .
Merci samba dia moupata
Le reseau existe bien au Congo et vous venez à la fin de votre post de montrée que Tsaty mabiala et dzon mathias perçoivent des salaires en tant qu opposants officiels alors que dans la réalité ils disent être opposés à SAssou
Vous avez avec val de Nantes ,anonyme,aya Tonga et d autres combattus mon instrument théorique d analyse
J ai résisté à vos oukases outrancières et vous me donnez raison maintenant vous surtout SAmba dia MOupata en en avouant haut et fort que les opposants politiques congolais ne sont pas très crédibles
Ces opposants politiques sont faux ils trompent le peuple congolais faiblement éduqué sur le plan politique
Et vous qui intervenez sur ce site posez vous la question pourquoi SAssou que vous pensez comme inférieur continue perversement et stratégiquement à vous dominer depuis 40ans
La m’bochisation ou le clan sont des éléments essentiels mais non suffisants pour expliquer la main mise de Sassou sur le congo
Allez visitez l analyse régulatrice du réseau et vous même Samba vous avez donner la réponse
L existence des opposants tricheurs comme dzon Mathias ou Tsaty mabiala qui vont au nom du boukatage faire allégeance à sassou dans le réseau et vous samba et d’autres vous nous raconter des salades en disant que l opposition doit faire partir sAssou
Je veux qu’il t’ait des améliorations en termes de gouvernance politique mais pas cher Samba avec vos guignols actuels que vou avez cités en tant que opposants officiels à Sassou a savoir Dzon ,Tsaty et d autres
Cher Samba dia moupata
Dormez tranquillement car les congolais au nom de l argent facile sont pourris de la tête aux pieds
Ils sont d accord avec vous le matin et le soir ils vous trahissent en allant voir le big boss SAssou en disant au président de ne pas tenir compte de ce qu ils ont dit dans la journée car eux sont avec lui
Le président Sassou les écoute fidèlement en les croyant sans réellement leur faire entièrement confiance
Ceci est possible car le président SAssou sait qu au sein de reseau politique congolais il y’a de la trahison
Revenons à la redoutable histoire politique de notre pays après la conférence nationale souveraine.
Les alliances de circonstance Sassou/lIssouba pour empecher Bernard Kolelas de devenir président,l alliance après entre Lissouba/kolelas pour marginaliser sassou etc etc sont autant de preuves du bavardage inefficace de politiques au Congo
Si sassou après 1997est revenu aux affaires peut être expliqué par la force de son réseau dans sa partie internationale(total, la France de Chirac, le Tchad,l angola
Alors cher Samba dia moupata que pensez vous de l analyse des situations politiques en partant du réseau même si le reseau n expliqué pas tout
Regardez ce qu il se passe au NIger et comment lssoufou n est pas mécontent de ce qui arrive à son ami Bazoum qui a voulu changer le reseau installé par issoufou au sein du pnds parti créé par issoufou dont bazoum a bénéficié pour accéder à la magistrature suprême
Explication du fonctionnement et du non respect des règles non écrites du reseau
A tous il nous suffit d écouter et de regarder toutes les chaînes d infos(LCI, cnews,bfmtv )
La mort brutale de prigojine,son remplacement par Victor bout , le rôle de Wagner au Mali ,les négociations en Centrafrique avec Wagner,la place de cette milicien Libye avec le général haggard et au Soudan avec Hamiti
Tous ces faits traduisent des faits nouveaux la faiblesse stratégique des armées africaines et le réseautage des pays africains pour leur sécurité et pour l exploitation des ressources économiques
C est le cas de l exploitation du cobalt en rdc et demain peut être au Congo Brazzaville
Voilà grâce à l actualité les travaux pratiqués sur le réseau en direct
Bon visionnage des teles et bonne méditation
Cher Lucien Pambou , je ne suis pas d’accord avec ton fameux réseau ! Non c’est un état mafieux Mbochi où tous les argentiers sont Mbochi , Paul Obambi, Lucien Ebata, Denis Ngokana , Yela Ngakosso, Willy Etoka, Evariste Ondongo , Christel Sassou . Bref c’est le jeu du corrupteur Mbochi et les corrompus comme Tsaty Mabiala qui aujourd’hui rouspète pour du retard de ses 62 mois d’arriérés des salaires que lui doit son employeur Sassou Denis qui l’a nommé chef de l’opposition alimentaire avec 15 millions mensuels. Sassou le punit avec aucun sénateur.
Cher Samba dia Moupata
vous n y etes pas un réseau peut etre mafieux comme la cammora en italie
Sortez de la definition unique du réseau telle que les livres et dictionnaires mettent a votre disposition
Un réseau a plusieurs configurations et vous avez beaucoup de mal a considerer que les opposants politiques du ventre au congo appartiennent au réseau car vous leur trouvez des circonstances attenuantes. Vous avez le droit de qualifier ce reseau de mafia et vous avez le droit de dire que les pratiques de l etat s inscrivent dans ce reseau » mafieux ou malefique » comme il vous plait
Malheuresement ces faux opposants politiques congolais ne trompent personne ils font bien partie du reseau politique congolais et continuent de tromper les populations congolaises qui votent pour eux
je ne vous contrains à rien, vous avez le droit faute d arguments de discuter de la notion differente selon vous entre reseau et mafia.
Mais pour votre gouverne un reseau peut etre mafieux c est le cas du reseau mafieux de la cammora en italie ou de wagner de prigojine, reseau mafieux de wagner qui est un sous reseau du reseau central dirige par le big boss Russe et les autres membres du GRU ou du FSB russes
Mais j en conviens et pour vous tranquilliser avec vos croyances humanistes et caritatives on peut avoir des reseaux d ‘anoiens eleves de grandes ecoles des reseaux cartitatifs verses dans la charite
On peut avoir le reseau des chefs d ‘entreprise sauf qu en politique le reseau peut cohabiter avec toutes les formes d ‘entraide ou mafieuses pour conserver le pouvoir
Voici c est dit
Cher Lucien Pambou, c’est quand même absolument tragique, vous finirez par entamer votre credit durement sur ce site ! Ça relève de la arithmétique, je vous cite une dixième des Mbochi qui se sont enrichis de façon mystérieuse surtout qui bradent les ressources naturelles du pays, il s’avère qu’ils sont tous Mbochi c’est un faite! Tu vois pas un seul Kongo dans ce bradage. Cher frère je connais bien les Mbochi surtout les environs D’oyo , Ollombo. Les autres se contentent des clopinettes , ces mêmes les victimes de la bêtise Mbochi qui insiste toujours .Aujourd’hui Tsaty Mabiala a déchanté .
Le Congo Brazzaville peine à s’inviter dans la vraie démocratie,il est en Sassoucratie.
Puisque tout dépend de la seule volonté d’un individu, qui a jugé bon de travestir les règles démocratiques pour asseoir un pouvoir hors sol ,qui fait du Congo Brazzaville est un Emirat où les mbochis s’approprient la presque totalité du revenu national au moyen des postes hautement argentés.
Hobbes dirait » c’est la loi du plus fort » ,sauf que nous sommes un pays censé vivre en paix en bonne harmonie avec les institutions, garantes de l’égalité des traitements entre citoyens.
Alors les questions sont les suivantes :
D’où vient cette perception de la gouvernance du Congo Brazzaville,si tous les congolais sont égaux devant la loi républicaine ??
Y a-t-il un État mbochi dans l’État congolais ?.
Est -ce que le premier est hiérarchiquement supérieur au second ?
C’est la conception même de la république du Congo Brazzaville,qui est en jeu.
Bonsoir frère Benjamin ! Après lecture de votre billet, celui-ci pousse mon analyse à être faite sur deux volets: 1- l’évidence de l’illusion minière. 2- le quotient intellectuel (QI) au service du crime. En réalité, et sans doute à l’insu de votre plein gré, vous révélez des faits qui battent en brèche l’illusion minière. Les africains francophones, et depuis peu de nombreux panafricanistes, fustigent la prédation des matières premières africaines par les européens occidentaux, mais surtout la France grâce à son projet de la communauté de 1958. Depuis mon très jeune âge, j’ai toujours entendu parler des gisements de fer de Mayoko ( Niari) et Zanaga ( Lékoumou), mais pas plus. En parlant de ce dossier, j’en ai décelé une limite celle de ne pas dire l’intérêt d’exploiter un tel gisement quelque soit l’endroit dans le monde. Produire du fer, c’est à terme pouvoir élaborer de l’acier. En 1951, à l’initiative de la France, fut créée la CECA( communauté européenne du charbon et de l’acier), ces gisements étaient à sa disposition pour fournir son quota, or, aucune exploitation de ceux-ci n’a jamais été faite avant 1960, pourquoi finalement ? Sauf avis d’experts en mines, nous pouvons soupçonner la faiblesse de sa qualité et de son potentiel d’exploitation ( 30 ans). Aucune personne physique ou morale, n’est riche d’un potentiel exploitable, nous devons en faire un leitmotiv de projections budgétaires. J’ai pour habitude de dire, que critiquer le régime illégitime de Brazzaville, est le meilleur moyen de le crédibiliser. Mais ce qui est surtout insupportable, c’est de l’accuser de mauvaise gouvernance. Je mets au défi chaque citoyen congolais, de m’apporter la preuve incontestable depuis octobre 1997, d’une volonté de ce régime d’avoir les congolais au centre de ses préoccupations ? N’oublions jamais, que seule l’intelligence peut faire prospérer le crime en col blanc ( évasions et paradis fiscaux). Le régime illégitime de Brazzaville, n’est capable de dilapider le seul argent qu’il peut générer, et pour cela, il utilise des ressources humaines hyper qualifiées en Droit des affaires, des économistes hors pair, des banquiers et autres. Ils gèrent bien, tellement bien, mais pour eux uniquement, voilà la nuance subtile de leur machiavélisme.