Sans avoir bu la cuvée du Redressement chère à Arnaud Montebourg, François Hollande avait accordé au dictateur Sassou-Nguesso, le permis de truquer les élections, de piétiner la volonté populaire, et de massacrer plus largement le peuple congolais. Les crimes perpétrés dans la région du Pool, en sont l’illustration parfaite. Il en portera la responsabilité politique et morale devant l’Histoire.
Après avoir claironné au Bourget « être l’ennemi de la finance », François Hollande ne s’est pas gêné d’accepter que le dictateur Sassou-Nguesso, dit monsieur 8%, finance la COP 21 à hauteur de 40%, alors que le peuple congolais vit dans le dénuement le plus total.
En acceptant l’accréditation de Rodolphe Adada(70 ans) comme nouvel ambassadeur d’un régime illégal et illégitime, François Hollande fait du double langage sa marque de fabrique.
Notre compatriote, Alain Mabanckou, a fait les frais de l’ambivalence de François Hollande. Au moment où il était accueilli à l’Elysée, François Hollande donnait le vert au dictateur Sassou-Nguesso de jeter en prison l’insoumis-général Mokoko.
Le refus du général du peuple, Jean-Marie-Michel Mokoko de baisser le pantalon devant la pression intérieure exercée par le dictateur Sassou-Nguesso, et extérieure exercée par François Hollande et les réseaux mafieux, est une belle leçon pour l’avenir.
Résister à un pouvoir non démocratique est un devoir de tous les citoyens.
Résister à un pouvoir arbitraire qui se maintient par les armes, est un devoir de salubrité publique.
Les congolais doivent se mobiliser afin d’empêcher un pouvoir non démocratique, celui du dictateur Sassou-Nguesso à s’installer. Dans les officines d’Oyo, certains parlent déjà de préparer la énième tricherie électorale qui aura lieu en 2021!
La première résistance est aujourd’hui, très clairement, le départ sans aucune condition du dictateur Sassou-Nguesso. Il s’agit pour nous congolais de redevenir des êtres libres.
Toutefois, éradiquer le cancer Sassou-Nguesso et ses métastases ne suffisent pas.
Nous devons, dès à présent, éviter les erreurs d’antan, l’impréparation, le « Moi »(qui est toujours haïssable), les postures, et les divisions inutiles.
L’alternance se prépare. Réfléchir collectivement sur l’avenir du pays, faire converger des projets, des idées novatrices, mettre en avant l’intérêt général au détriment de nos intérêts privés, cesser de nous compromettre en apportant de l’eau au moulin à une dictature qui broie des vies, deviennent une urgence nationale.
Le monde de demain étant celui de la connaissance, le dictateur Sassou-Nguesso a sciemment laminé l’école. Il est urgent de la réhabiliter. Sans formation, nul avenir pour un pays. Sans formation, nulle compréhension du monde et de notre environnement.
Aujourd’hui, peu ou prou, notre pays est fracturé, divisé, et les tensions sont palpables. Se résigner est une fatalité. Tout est à faire. Le dictateur-fainéant n’a rien bâti. Au contraire, il a tout détruit et volé. La municipalisation accélérée à la petite semaine ne fait pas une politique publique d’ensemble.
Notre pays, le Congo, mérite mieux que cet abaissement que lui infige monsieur 8%.
Face à cette dictature féroce, nous n’avons plus seulement le droit de refuser ou de manifester, le droit de nous révolter, mais aujourd’hui plus qu’hier, c’est devenu un devoir pour celui qui en a la possibilité, où qu’il se trouve, avec ses propres moyens, avec les poings s’il le faut, individuellement et collectivement, résister face à cette dictature infâme.
La résistance contre une dictature soutenue à l’intérieur et à l’extérieur est rude. Nous n’avons pas le choix.
La répression est là. Nous gouttons au quotidien, et ce depuis plus de 32 ans, les vendettas de la dictature de Sassou-Nguesso. La privation des libertés individuelles, les enlèvements, les tabassages, les humiliations, les arrestations arbitraires, le culte de la personnalité, la pensée unique, les délestages, le détournement à grande échelle des deniers publics, etc…
Le but de notre résistance est de libérer le Congo.
Il n’est point de société sans ordre, il n’est point de société sans justice, encore moins de justice sans juge investi de pouvoir la rendre.
Dans tous les cas, « l’élimination physique de la Bête est bien vue par Dieu si grâce à elle on libère un peuple »(Saint Thomas d’Aquin).
Olivier Mouebara
Diffusé le 21 juillet 2016, par www.congo-liberty.org
Mr Mouebara,merci pour ce texte.Tout ce que vous etes est deja connu par nombreux Congolais.
Je ne suis pas un militaire attitré mais je ne cesse de proposer les solutions afin que ceux qui ont fait les écoles de guerres peaufinent les plans et les strategies.Je propose la doctrine de la guerre de tout le peuple pour balayer le vassal du perchoir au Congo et l’empire français qui l’emploie habilement ,que les vaillants militaires Congolais rentrent dans la danse c’est l’unique moyen pour faire sauter les chaines d’esclavage et c’est la seule voie qui nous emmènera vers la liberté et l’indépendance totale.Les empires sont violents et le monde n’est pas une cathédrale ou tout le monde s’embrasse,la france est bien l’ennemi numero du peuple Congolais et son valet est le second.Il faut s’organiser et se preparer a nettoyer le Congo.
Erreur:Tout ce que vous dites
MAMA MUNARI FERA T’ELLE DÉROBER LE SOL DE MADINGOU SOUS LES PIEDS DENIS SANGSUE LE MOLLUSQUE INDÉCROTTABLE??? PATRIOTE ATTERRE
AH! LE 15 AOÛT 2016 QUE SATAN RAPPELLE SA CRÉATURE EN ENFER!
La coalitions hétéroclite qui tient lieur d’opposition ne me fait pas rêver, mais la force de conviction de certains me redonne un peu d’espoir.
Si MOKOKO refuse de s’exfilter en Europe
BOWAO refuse la mallette de 200 Millions et le SENAT
MUNARI sort proclamer la fin du régime le 15 Aout 2016
OKOMBI se barricade
MANDZIMBA entre en clandestinité comme tout enfant mystère de degré 33
ANDY BEMBA résiste pendant 9 mois
etc
c’est que tout n’est pas perdu!!! Et quand une AMAZONE se lève pour défendre la cité, c’est que l’heure est vraiment grave!
MAMA MUNARI JE T’AIME COMME TOUS CEUX QUI COMBATTENT DENIS SANGSUE!!!
L’opposition doit passer à la résistance en toute clandestinité. Chacun doit prendre ses responsabilités, les vrais opposants en premier. Fini les bavardages inutiles sur tel a fait ceci, ou tel a fait cela… On s’en fout. Ce qui compte désormais c’est le combat pour la liberté. Quoi de mieux que la clandestinité, vu la situation actuelle au Congo?
UNITE dit : La lutte dans les prochains jours, doit devenir une résistance tous azimuts pour tout congolais face à l’oppresseur. Sassou tue, ses sbires tuent, Mabiala donne des instructions pour emprisonner tous ceux qui leur disent non, même quand la raison est de leur côté. Moungalla claironne les délices des assassinats et des détournements. Kiki, Yoka, JDO et les autres du clan crient à tuent tête, le pouvoir est à nous, crevez, le ciel ne tombera pas. Il ne nous reste que la clandestinité et la résistance pour que le drapeau de la liberté flotte de nouveau sur ce pays. Trop parler tue, aucune résistance n’a jamais dit haut et fort comment elle doit procéder. Le Congo est un bien commun, nul ne peut se l’approprier au nom de je ne sais quoi?
LU POUR VOUS. dans gabonreviews
Tribune libre : Homme d’État ou homme politique ?
Publié par La Rédaction dans POLITIQUE sur jeudi 21 juillet 2016 à 1:03 /
10 commentaires
«La différence entre le politicien et l’homme d’Etat est la suivante: le premier pense à la prochaine élection, le second à la prochaine génération», indiquait le théologien et écrivain américain James Freeman Clarke. Se présentant tout simplement comme un citoyen gabonais, un internaute, Edgard Obame-Ndemezock, attire l’attention sur ces deux concepts et en tente une contextualisation à l’approche de la présidentielle gabonaise. Dans quelle catégorie peut donc s’inscrire chacun des 14 candidats retenus par la Cenap ?
© Gabonreview/Shutterstock
A la veille de l’élection présidentielle dans notre pays, alors que se profile le choix entre des candidats dont un grand nombre justifie d’une réelle et longue expérience dans la conduite des affaires de l’Etat, arrêtons-nous un moment et interrogeons-nous sur ce que le pays est en droit d’attendre d’eux s’ils accèdent à la magistrature suprême, en l’absence d’un vrai débat de fond.
La confrontation espérée des projets demeurant potentielle voire virtuelle, le débat présidentiel actuel semble davantage porter la marque d’une opposition de trajectoire entre les candidats déclarés plus que des clivages d’idées. En tout état de cause, cette carence, certes dommageable, ne doit pas éluder les qualités individuelles que les candidats devront posséder et faire montre pour traverser l’Ogooué qui sépare l’homme politique (qualité présumée acquise par eux) à l’homme d’Etat auquel ils aspirent tous – du moins, nous l’espérons.
L’homme politique est généralement défini comme une personnalité qui s’implique dans la vie politique de son pays par ses idées et par son action. Il s’attache ainsi à agir au quotidien pour ses concitoyens et sur leur environnement. La quête du pouvoir par l’homme politique a donc pour but essentiel de faire triompher les idées auxquelles il croit et de les faire appliquer.
L’homme d’Etat, avant de se révéler, est d’abord un homme politique. C’est l’exercice du pouvoir qui permet à celui-ci de se transformer en homme d’Etat lorsque les qualités ci-après sont dévoilées :
– Un rapport aux traditions et à l’histoire inscrit dans une vision stratégique pour le pays ;
– Un sens élevé de l’intérêt et du bien communs ;
– L’abnégation et la transcendance ;
– La dignité dans l’exercice de ses fonctions.
Ces qualités peuvent, bien entendu, être mises en exergue dans une autre fonction que la fonction présidentielle mais c’est cette dernière qui est l’objet de notre propos parce que, au Gabon, comme ailleurs, cette fonction est centrale et ne se confond avec aucune autre. Pour être homme d’Etat, le futur élu devra d’abord d’être un bon Président et apôtre du « bon gouvernement » au sens de Pierre Rosanvallon. Nos aspirants à la fonction présidentielle doivent l’envisager et le président sortant doit l’évaluer à l’aune de ce postulat.
A la lumière des expériences décrites par ceux qui ont occupé cette fonction ou des collaborateurs qui ont travaillé à leurs côtés et les ont observé, il est permis de relever quelques fondamentaux sur les aptitudes morales et intellectuelles que requiert l’exercice de la fonction présidentielle et qui font un bon Président ; étant entendu que cette fonction peut également être exercée sans un relief particulier lorsque son titulaire n’est manifestement pas au niveau des obligations ni des prérequis inhérents aux devoirs de sa charge.
Le bon Président est imprégné des réalités de son pays et cette appropriation, il doit la vivre profondément et en avoir pleinement conscience. L’intérêt général est placé au-dessus de ses préoccupations et il doit être capable de décider sans espérer tirer un profit personnel de ses décisions. S’il doit posséder des connaissances sur les questions économiques, sociales et géopolitiques, il doit tout autant être capable de susciter et de pratiquer le consensus avec l’ensemble de la classe politique, voire de la société civile, sur des questions géostratégiques ou d’intérêt supérieur. Il doit faire montre d’une grande écoute et sa capacité de travail doit être éprouvée.
Martelons-le avec force, le futur élu doit intégrer qu’un bon Président devient homme d’Etat lorsque tout son agir politique repose sur la recherche absolue du consensus face à toutes les situations conflictuelles collectives. Il tient, comme à la prunelle de ses yeux, à la volonté de faire vivre et de faire coexister dans la paix ses concitoyens tout en œuvrant à l’essor du pays et en lui ouvrant les portes de l’espérance. Il doit cultiver l’humilité et ne pas paraître dogmatique et dépourvu de tempérance.
Plus que jamais, dans un monde de plus en plus complexe, en sus de la clairvoyance, l’action politique du futur vainqueur de l’élection présidentielle au Gabon devra reposer sur « une éthique humaniste » sachant distinguer l’essentiel de l’accessoire en empruntant les voies du respect, de la tolérance, de la dignité, de la vision et de l’impartialité pour apporter au Gabon plus de prospérité et de rayonnement. Vaste chantier !
Qui en sera capable ? A vous chers lecteurs et/ou électeurs d’en juger.
Edgard Obame-Ndemezock, Citoyen
M. 8% est il un homme politique ou un homme d’état??????
Sassouffit à lamentablement échoué sauf à verser dans le vol et le terrorisme. Les congolais ont intérêt à prendre conscience des maintenant qu’ils ne peuvent pas compter sur ce maniaque plus il restera encore au pouvoir plus graves seront les dégâts. Un homme averti en vaut deux. Il est entrain de préparer son fils zaïrois kiki congolais vous allez accepter ça mawa
SI KIKI PASSE président , je me transforme en DIAWARA .Et , fini le bavardage numérique ; on passe à l’action .De ce fait , il est très bien averti .;;;;
Mr 8 % est plutôt est politicien même pas un ( homme) politique encore moins un homme d’état
Mr 8 % politicien en manque de vision qui transcende l’immédiateté clanicotribale. Absence de projet d’édification d’une nation prospère libre et démocratique.
Mr 8 % politicien despotique à la gestion cigalienne de la cité comparez aux Présidents Youlou, Massamba Débat (ou même Marien Ngouabi) dont les valeurs travail, compétences et excellence était les seuls créneaux de la république. Ce fût jadis la gestion fourmilière de la cité en référence à la célèbre fable de Jean de la Fontaine que nous récitions au primaire: La cigale et la fourmi.
Aujourd’hui quand bien même les congolais souffrent piaillent de famine meurent de maltraitance sassouiste; le gang de barbares au pouvoir (usurpé), les arrivistes et autres profito situationistes semblables aux démons, s’en mettent plein les poches et s’accaparent les biens publics en s’offrant au passage des orgies publiques; sans aucuns remords, sans gène ni scrupule.
Bissi lédza lénoua lébina. Bino lékoufa. …Nous ont mange ont bois ont danse. Vous, vous mourrez en n’on a cure.
VAL DE NANTES, reste tranquille, kiki n’aura même pas le temps d’ouvrir sa bouche qu’il est tué par le clan qui n’acceptera pas qu’un Zairois les commande.
Il y a trop de prétendants dans le clan et ils vont s’entretuer entre eux le moment venu. Avec son gros ventre, Bouya et son argent volé au trésor public plus la fausse monnaie mode oyo, pense que c’est lui le prochain président pendant que kiki se croit l’héritier naturel, JDO, le spécialiste d’empoissonnement les exterminera avant.
Quand aux gallonnés du coin qui détiennent la force du feu et qui les voient gesticuler sont aux aguets.
Ce qui est sur c’est qu’il aura un troisième laron qui est le peuple qui aura le dernier mot car dès qu’un gallonné prendra le pouvoir, il sera bien contraint de le remettre à la disposition du peuple souverrain.
Voici un post qui aborde l’essentiel du problème. Il est temps d’entrer dans le vif du sujet et aborder froidement la lutte qui nous attend. Finies les analyses situationnelles basées sur l’économie, la lithanie des échecs et des scandales dont le petit dictateur de Brazzaville se fout comme de l’an 40 parce qu’il n’est pas sur le même référentiel politique, économique et social que nous. Le peuple, pour lui, n’est qu’une masse d’individus qu’il peut manipuler, maltraiter, humilier sans autre forme de procès. La preuve dans sa nouvelle constitution il s’exonère de toute condamnation quelle que soit la nature des crimes commis. La situation actuelle appelle à des actions concrètes. Dans l »un de mes posts j’avais parlé d’un plan d’actions avec pour date butoir, la fin officielle de son mandat en cours. Date à laquelle il n’aura plus aucune légitimité politique selon la constitution de 2002. Certaines réactions ont été violentes me faisant comprendre qu’il ne fallait pas dévoiler la stratégie sur les réseaux sociaux. Cette attitude m’a fait prendre conscience d’une chose : le petit dictateur de Brazzaville a réussi à nous inoculer progressivement le virus de la peur sur laquelle est basée toute sa stratégie. Elle atteint un niveau qui me fait croire que le chemin est encore long. Toute stratégie doit être basée sur sur des jalons qui sont autant de points de rendez-vous pour la mobilisation. Sans ces repères le peuple se perd et se résigne ne cherchant plus qu’à survivre dans cet environnement hostile. Donc fixer des rendez-vous revient à entretenir la mobilisation et la pression sur le régime scélérat de Brazzaville. Toute stratégie doit avoir un objectif clair, atteignable et mesurable. Aucune dictature au monde n’est tombée par la simple critique de la stratégie économique ou de la corruption comme nous le faisons à longueur de posts. Forts de ce constat nous devons mettre en oeuvre des stratégies qui doivent plus lui laisser le choix des armes. Ceci induit donc le refus catégorique du dialogue inclusif pour 3 raisons :
1) le dictateur dispose de tous les outils relatifs à la répression pour nous contraindre à valider ses propositions (pot de fer contre pot de terre ) pour se maintenir au pouvoir ;
2) le dictateur a une grande capacité de corruption pour faire plier les plus faibles et gagner ainsi leur adhésion ;
3) le dictateur s’engagera dans le débat qu’avec la conviction qu’il ne perdra pas le pouvoir.
A l’étape actuelle de la situation politique au Congo, la communauté internationale à laquelle nous demandons de participer à ce dialogue, a la conviction que tout commence à se normaliser dans ce pays (échanges d’ambassadeurs, invitations aux grandes messes internationales, absence de sanctions économiques et politiques, absence de leadership crédible de l’opposition, petites commissions supervisées par le gouvernement dans le Pool ne déplorant qu’un mort et planifiant une aide humanitaire, tout ceci sous le regard bienveillant et condescendant de cette même communauté, etc.). La conséquence évidente est qu’elle ne fera pas pression pour que ce dialogue ait lieu.
Nous nous leurrons pas, la solution est de nous, en nous et avec nous. Nous devons agir dans l’unité pour gagner. Chaque contribution doit être la bienvenue dans la critique constructive et le respect de l’autre. Ceci pour dire que les actions de résistance peuvent revêtir plusieurs formes et doivent être largement diffusées. La communication est notre meilleure arme. Nous avons l’avantage de connaître la réaction du petit dictateur de Brazzaville lors des manifestations pacifiques. Nous devons donc agir sur ce constat. Comment ? Multiplions des lieux de manifestations comme des milliers de points de pression dans tout le pays, organisons des attroupements près des lieux stratégiques comme des ambassades sous le regard des caméras, faisons pression sur les corps organisés comme les syndicats des travailleurs et étudiants, la désobéissance civile, etc. Dans l’un de mes posts, j’ai exposé ma vision sur le non succès de cet outil pourtant puissant dans notre pays. Il est évident qu’une arme comme celle-ci ne peut être envisagée que d’un côté (chacun reste chez soi et ne doit exercer aucune activité ). Vu sous cet angle, le Congo n’étant pas un pays de rentiers l’on peut courir que vers un échec patent. Il faut l’envisager sous l’angle d’un outil de pression contre le gouvernement mais qui ne doit surtout pas pénaliser le désobéisseur. Rappelez-vous de l’exemple de Gandhi qui avait proposé au peuple en lutte contre la colonisation britannique le boycott de l’impôt sur le sel sachant que cette désobéissance allait contraindre le gouvernement britannique sans pénaliser le sel parce que l’Inde ne pouvait pas manquer de sel. Voilà le genre de réflexions que nous devons avoir. Ce site devrait donc être un vaste lieu de brainstorming pour, enfin, identifier le mot d’ordre le plus pertinent qui pénalise le gouvernement sans mettre sur la paille une population déjà exsangue.
Même si le petit dictateur de Brazzaville connaît la date, il ne pourra pas se démultiplier à l’infini pour contrer chacune de nos actions. Les actions relatives à la désobéissance civile doivent être couplées à des sit-in, des groupements mobiles à travers les villes, les villages et les hameaux pour entretenir une pression permanente sur le régime scélérat de Brazzaville. Avoir peur de diffuser les objectifs revient à intégrer les souhaits du petit dictateur de Brazzaville. Nous devons être conscients qu’il a beaucoup à perdre à tirer sur des manifestants parce qu’il continuera à exposer aux yeux du monde la vraie nature de son régime. N’ayons pas peur parce que c’est l’arme principale de Sassou. Toutes les gesticulations policières et militaires ne sont que les moyens d’installation de cette peur. Entretenir un climat de la peur pour asseoir son régime. Le travail de conscientisation du peuple est long mais celui-ci a les ressources nécessaires pour chasser le petit dictateur de Brazzaville.
NÉGOCIATIONS NE SIGNIFIENT PAS LÉGALISATION DU TERRORISTE SASSOU. SASSOU EST UN TERRORISTE SELON LA DÉFINITION DE CE MOT.
L’ARMÉE NATIONALE BOMBARDE SA PROPRE POPULATION QU’ELLE EST SENSÉE DE PROTÉGER, DU JAMAIS VU EN SYRIE DURANT LE COUP MANQUÉ LA POPULATION APPRIS LE DESSUS SUR L’ARMÉ C’EST POUR VOUS DIRE QUE LA MISSION DE L’ARMÉ N’EST PAS POUR TIRE SUR LA POPULATION. GÉNOCIDE EN COURS DANS LE POOL, L’OPÉRATION MOUEBARA, LES DISPARUS DU BEACH, LES ENLÈVEMENTS QUI FINISSENT PAR LES TUERIES DES PERSONNES INNOCENTES. LES EXPLOSION DE MPILA, LEST MORTS POUR LA MANIFESTATION LÉGALE CONTRE LE REFERENDUM ILLÉGAL.
SASSOU DOIT PAYER POUR SES CRIMES, 32 ANS SASSOUFIT
On ne peut pas poser des conditions pour s’engager dans la lutte finale. Héritier ou pas, c’est maintenant qu’il faut passer de la politique à la résistance clandestine. Nous ne pouvons plus attendre l’imposition d’un agenda de la part du préfet-zident. Si nous ne prenons pas l’initiative, nous continuerons à subir. Il faut que la peur change de camp. Et pour cela, il faut arrêter de bavarder et de ruminer sans cesse, les mêmes constats, les mêmes diatribes anti-préfet-zident que nous connaissons par cœur. Il faut de nouvelles initiatives de la part de l’opposition. Nous avons atteint les limites de la stratégie précédente. Il n’y a plus rien à tenter dans le contexte actuel. Il faut changer la donne. Soyons créatifs et inspirons nous de ceux qui ont réussi à combattre l’oppression coloniale par la clandestinité.
No comment, c’est tout justement ce que je pensais au plus profond de mon devoir de résistance !!! Merci Olivier Mouebara !!!
Peuple du Congo, combattants de la liberté,
Alors qu’en TURQUIE un semi-dictateur, en l’occurrence le président de ce pays, aura compris que seul le peuple est détenteur de la souveraineté et seul le peuple est capable de rétablir le droit…. L’homme, face à une partie de l’armée rebellée n’a pas fait appel à sa puissante armée pourtant composée d’hommes sur-armés, mais a appelé le peuple SOUVERAIN aux mains nues pour mettre en déroute les mutins et pour le sauver. Néanmoins, ce semi-dictateur assure une politique socio-économique acceptable et apporte un certain niveau du bien-être à son pays d’où la reconnaissance de ses concitoyens. Ce président a d’ailleurs été voté par le vaillant peuple Turc.
Tant dis qu’au CONGO, un puissant dictateur-usurpateur-terroriste, rejeté par plus de 90% de la population, n’apporte rien du tout à notre pays, à part le vol, la division, l’occultisme et la terreur (LA MORT).
Ainsi, MOI, CITOYEN DU CONGO, COURAGEUX ET VOLONTAIRE, EN RÉBELLION CONTRE LE GOUVERNEMENT ILLÉGITIME DE Denis SASSOU NGUESSO (terroriste et maître de Brazzaville Nord et le Nord du Congo), DEMANDE AUX MILICES DE CE DERNIER DE SE RANGER DU CÔTÉ DU PEUPLE AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD POUR VOUS TOUS ET DE PROCÉDER IMMÉDIATEMENT À L’ARRESTATION DU TERRORISTE, TUEUR DU PEUPLE CONGOLAIS. JE LANCE UN APPEL PAR AILLEURS, À TOUS CEUX QUI SE CONSIDÈRENT ENCORE COMME MILITAIRES RÉPUBLICAINS ET QUI VEULENT SAUVER NOTRE PAYS, DE NOUS APPORTER LEUR CONTRIBUTION EN ARMES AFIN DE CHASSER L’USURPATEUR-MAFIEUX-TERRORISTE Denis SASSOU NGUESSO (Abou-Bakar AL SASSOUFFIT).
Pour lancer nos opérations du type commando invisible depuis l’intérieur du pays et/ou à Brazzaville, MOI, CITOYEN DU CONGO, COURAGEUX ET VOLONTAIRE, ainsi que quelques autres courageux congolais qui sont prêt à combattre pour le pays, nous avons besoin seulement de 2 PMKA avec GP-25 (Castor), 4 Fusils de combat du type FAM AS et 4 fusils d’assaut du type M16 (un total de 10 armes puissantes et quelques grenades). TOUTE PERSONNE EN TENUE MILITAIRE, DANS NOS QUARTIERS OU DANS UN POSTE DE CONTRÔLE DU GOUVERNEMENT ILLÉGITIME DES BANDITS, SERA NOTRE CIBLE AINSI QUE TOUT ÉTRANGER OU MERCENAIRE PORTANT UNE ARME. NOUS ALLONS DÉSTABILISÉS TOUS LES TERRORISTES ET NOUS APPÈLERONS AU SOULÈVEMENT DU PEUPLE CONTRE LES ENNEMIS. J’AI CITÉ Abou-Bakar AL SASSOUFFIT et toute son organisation.
MOI, CITOYEN DU CONGO, COURAGEUX ET VOLONTAIRE, J’AI DIT.
Vive le Congo libre, abat les ennemis du Congo!
CD Jumeaux! et tous les autres ici, vous dites, vous en dites, vous pavoisez un peu trop sur cette prétention à foutre dehors ce gangster politique de sassou nguesso.
vous appelez à passer au concret, et vous exposez vos désirs…, faisons attention, le bandit a la main mise sur la puissance de feu du pays, y compris les finances et la technique d’élimination physique qui a fait ses preuves: la preuve de dissuader quiconque de vouloir s’opposer à lui, le bandit.
sassou nguesso est un escroc froid, qui n’hésite pas un seul instant à prendre au sérieux tout ce qu’il entend… un gamin de 7 ans lui dirait qu’il ne l’aime pas, qu’il n’hésiterait pas à lui coller sur le dos une tentative d’un coup d’Etat, et l’éliminerait physiquement.
aussi, je dis, qu’il faut trouver un autre moyen de discuter nos idées destinées vraiment à la lutte…sinon, je dis qu’il faut cesser d’évoquer les stratégies de renversement de sassou nguesso qui lui donne de quoi alimenter sa banque de données pour matraquage, intimidation et exécution…
de quoi est mort Avokou, ce général qui était pourtant un zélé de sassou nguesso?
je me plains de nous tous!
La peur de l’adversaire est deja un début de défaite.
Chers compatriotes, l’heure est grave à tel point que nous devons agir.
Je lance un appel vibrant à tous les congolais en général, et à toute la population de la Bouenza et ses environs en particulier, de rester chez vous le 15 Août 2016 car on ne peut pas faire la fête lorsqu’il brûle chez le voisin, le voisin c’est le général MOKOKO actuellement en prison parce qu’il avait répondu favorablement à notre appel de Pointe Noire en date du 17 Octobre 2015. Pour les chrétiens que sommes majoritairement, la situation du Général MOKOKO est semblable à celle du Christ sauveur du monde lors de son entrée triomphale à Jérusalem pendant la fête des rameaux où les juifs(Toi et moi) criaient Hosanna fils de David(et nous ont criait Moise le libérateur).Quelques temps après avant la pâque lors qu’il fût livré, la même foule(juifs-toi et moi) criait crucifié-le. C’est comme ça que MOKOKO s’est retrouvé en prison. Qu’avant nous fait pour lui rendre l’ascenseur.
Chers compatriotes, pour les congolais des autres départements particulièrement Pointe Noire et Brazzaville, rester chez vous, n’allez pas dans les débits de boissons, Nganda, VIP, boîte de nuit pour prendre de la bière et danser, car sous l’emprise de l’alcool, un peuple ne pas penser à son avenir. Cet appel est une forme classique de la désobéissance civile. Population de Madingou, prouvez sassou que vous l’avez voté, jusqu’à ce qu’il importe la population de Brazzaville vers Madingou moyennant quelque billet de banque comme il a fait pendant la compagne électorale.
La Bouenza(Mouyondzi, Madingou, Nkayi, Loudima, Kingoué, Tsiaki, yamba, Mabombo…) terre imprenable-bul ya bakini(ku mangoss monso nir mulele), montré à sassou et ses hôtes qu’ils ne sont pas les bienvenus. Le 15 Août, remplissez le stade et le boulevard des fourmis et des abeilles.
Chers compatriotes, il n’ y a pas d’omelettes sans casser d’œufs, toute chose le sacrifice est indispensable. Cessons d’avoir peur
Tu aimes bien ton koko, toi. Je ne crois même pas que ce soit le cas pour le peuple congolais en général. Crois-le, il faut vite changer de logiciel. Sérieusement. UM!
Je porte la victoire future de notre pays contre ce sale dictateur autour de mon cou .Je me désespère de ce silence réparateur , d’où pourrait renaître un mouvement de libération totale de notre pays .
La tendance défaitiste qui commence à habiter beaucoup d’entre nous , s’explique par l’activité politique internationale que ce salaud semble entreprendre , dans le but de légitimer, tant soit peu , son pouvoir honni par une communauté internationale presque groggy , face à cette attitude qui relève d’une analyse pathologique .
il ne vous a pas échappé que , ce sanglier d’ALIMA a circonscrit ses voyages , dans des pays exotiques et dictatoriaux .
Cette réduction des champs diplomatiques confirme , s’il en était besoin , l’isolement politique sur la sphère internationale .
Sucer à satiété les chinois , ne fait pas de vous , un homme politique fréquentable sinon çà saurait avec le camarade BOB MUGABE, qui s’y est essayé sans succès .
LA REALPOILITIK va inévitablement ramener ce sanglier à la source de financement habituel .Car sa cavalcade monétaire au pays des chinois , n’est crédible qu’à condition de remplir plusieurs critères continentaux .Le CFA n’est pas une créature de SASSOU et de ce fait , il n’en détient nullement le permis foncier , car les héritiers du CFA sont légion en Afrique centrale .
Sa gesticulation monétaire est un bon coup de pied dans l’eau , et les autorités monétaires françaises ont beaucoup ri , sous cape ….
LE BOUTON monétaire est entre les mains des français ,;;;; point final ,,;;;
lire ;;je ne me désespère pas de ;;;;
@ salut mon frère Mwangou,
Un voleur connait toutes les stratégies pour voler. M.8% sait ce à quoi s’en tenir. Il ne pourra gagner toutes les batailles. Et puis où as tu vu un cabri attaché qui a peur d’être égorgé.
Le peuple congolais est devenu un cabri pour M.8%. On devra ne plus avoir peur, quelque soit ce qu’il pense et tous les plans qu’il mets en ouevre. M.8% peut tuer tous les congolais , mais il en reste un qu’il ne pourra pas tuer et ce serait celui là qui reconstruira le Congo.
N’ayons donc pas peur de dire ce que nous croyons être bon pour chasser ce tueur froid du pouvoir, nous sommes des morts vivants mais debouts n’en déplaise à M.8%;
PARTAGEZ PARTAGEZ PARTAGEZ: LA VIE DE CERTAINS RESISTANTS DU NORD AU SUD ET DE L’EST A L’OUEST CONGOLAIS SONT EN DANGER…
Alerte criminalité politique en France: Paul Kagamé a donné un conseil à Sassou Nguesso: tu as trop d’opposants en France et en occident. Pour réduire cette résistance étrangère – va seulement les assassiner labas et tu sera tranquille comme moi (Rencontre Kagamé/Sassou, 27è sommet de l’union africaine à Kigali au Rwanda.
Sassou veut appliquer le tuyau ou ce bon plan criminel en France…
Les colonels Ngassaki et Nsoumi ou Soumi, attachés militaires à l’ambassade du Congo à Paris ont été chargé par le régime d’exception de Brazzaville de tuer d’ici peu certains leaders et relais d’opinion sélectionnés depuis Oyo. Partagé l’info, pour que la police technique et scientifique ainsi que la justice soit informé.
Si Sassou Nguesso veut désormais assassinés ses opposants sur la place de Paris, cela posera certainement la problématique du rang de la France comme pays de liberté et de justice.
NB: Sassou nguesso est un terroriste d’état, et pour cause ce qu’il prepare sur la place de Paris ont aura des conséquences majeures sur la protection civile et du citoyen congolais en France.
Et si la France laisse libre cours à sassou à devoir faire ce qu’il veut sur son territoire national (tentative d’homicide sur le général MBaou, violence sur andrea ngombé, attaque à la voiture bélier à l’ambassade du Congo à Paris, etc) et que sera la vie et la sécurité des français au Congo post sassou Nguesso?
@ MWANGOU,
Cher monsieur Mwangou,
Je prends bonne note de votre interpellation et je suis à chaque fois ravi de vous lire. Je comprends le point que vous soulevez MAIS NOUS NE DEVONS PLUS AVOIR PEUR DES BANDITS, comme l’a bien souligné aussi Monsieur BULUKUTU et même Monsieur OYESSI. Souvenez-vous de ce vaillant militaire, TSOUROU, certes avec un passé très lourd, mais qui avait déclaré que LA PEUR AVAIT AUSSI SES LIMITES. Cet homme voulait se ranger du côté du peuple après avoir compris que SASSOU NGUESSO (terroriste, 76 ans) est le démon de la destruction, le démon de LA MORT. TSOUROU l’a affronté sans peur! Nous le peuple pouvons faire autant. AINSI, NOUS VOULONS AFFRONTER LA TYRANNIE EN FACE À FACE POUR DÉLIVRER NOTRE PAYS ET LE LIVRER À VOUS AUTRES INTELLECTUELLES, CADRES, MÉDECINS, JURISTES… enfin tous les patriotes (même comédiens, footballeurs, musiciens…), afin de soigner ce pays, de le sortir du coma et le remettre sur une bonne et nouvelle voie où tout sera repensé et refait. Oui, nous savons que SASSOU NGUESSO est le démon le plus peureux de ce monde, NOUS ALLONS LE VAINCRE.
Vive le Congo libre, vive le général MOKOKO, kidnappé et retenu en captivité par les forces de l’ennemi!
MOI, CITOYEN DU CONGO (un des 4 million des propriétaires du Congo), COURAGEUX ET VOLONTAIRE, évoluant à Detroit dans le Michigan (United States), je ne suis pas politicien, je ne connais pas trop bien le pays, mais je ressens une colère extrême pour mon peuple qui souffre l’humiliation, la terreur et le chaos. Je n’ai pas encore 41 ans (mais je suis plus âgé que NGOUABI président) et tous ce j’ai connu ou j’ai entendu c’est le métamorphose de SASSOU 1, 2 et 3 = DICTATURE, TERREUR, TERRORISME (terreur absolu et sadique). Je n’étais pas là à l’époque de MASSAMBA-DÉBAT et NGOUABI mais tout le monde s’accorde à dire que le pays allait mieux, le pays était mieux. Les preuves sont là aussi. Donc, j’ai de l’empathie pas seulement pour les membres de ma famille vivant près du marché Total, à Mpissa ou à Kinsoundi, mais pour tout le peuple du Congo (du Nord au Sud). ET AUJOURD’HUI, MENER UNE GUERRE CONTRE Denis SASSOU NGUESSO (terroriste, 76 ans) EST ABSOLUMENT LÉGITIME ET NOBLE. CONGOLAIS, MENONS ENSEMBLE CE COMBAT POUR UN CONGO MEILLEUR POUR NOUS-MÊME D’ABORD (oui, nous méritons mieux), POUR NOS ENFANTS ET POUR D’AUTRES GÉNÉRATIONS.
Vive le Congo libre! Abat SASSOU NGUESSO!
Le Che
Le travail de libération de notre pays est vaste et multiforme. C’est un combat contre les forces du mal qui ont plongé notre pays dans les ténèbres. Ce combat est avant tout spirituel avant d’être physique.
Il faut que le peuple congolais s’auto persuade et s’auto encourage que sassou est un homme tout homme est mortel donc sassou est mortel, qu’il est à bout de force malgré les l’immonde gesticulation de sa milice armée et les rituels sataniques qu’il accomplit à Oyo et Edou; Sassou sera vaincu. Qu’il est déjà vaincu par le sang de jésus christ. et que le peuple congolais est victorieux de sassou par le sang de jésus.
Chaque combattant de la liberté doit clamer cette parole au plus profond de lui même. Elle est porteuse d’énergie libératrice sanctifiante et vivifiante. Car le SANG DE JÉSUS est libérateur et purificateur; nous devons l’invoquer et le répandre sur tous les congolais et le Congo.
Autres choses à faire sans mettre en péril la vie des populations. C’est passer à des actes de destruction de symboles sataniques comme ses obélisques phalliques érigés dans les rond- points des villes congolaises à la gloire de Lucifer ( exemple rond-point Moungali,) qui sont autant des portes d’entrée de satan