Ventriloque de l’empereur et de son fils, Collinet Makosso, premier ministre d’un régime illégitime et illégal, a effectué en France une visite pour « parler du climat des affaires ».
« Le blabla c’est bien, le concret c’est mieux ».
C’est quoi le climat des affaires ?
« Le climat des affaires représente une mesure approximative de la conjoncture économique par l’intermédiaire de calculs analytiques sur un ensemble d’enquêtes d’opinion et de sondages opérés sur un pool d’agents économiques suffisamment représentatifs sur une zone géographique donnée ».
Ce climat des affaires est favorisé par un environnement des affaires qui n’est autre que « l’ensemble des conditions politiques, légales, institutionnelles et réglementaires qui régissent les activités des entreprises ».
Le Congo-Brazzaville occupe la 47ème place sur 56 pays africains. Dans le rapport Doing Business de 2019, le Congo est classé 180ème sur 189 pays. Le climat des affaires s’est détérioré depuis plusieurs années, avec des opérateurs économiques, y compris pétroliers, confrontés à une recrudescence de postures administratives, fiscales, douanières arbitraires et abusives, et un appareil judiciaire qui reste le maillon faible de ce fameux climat des affaires. La covid-19 a bon dos !
Dans ces conditions, il est difficile d’attirer les investissements du secteur privé nécessaires à la réalisation des grands projets, dans un environnement marqué par la dégradation du climat des affaires.
L’inexistence et le mauvais fonctionnement des services publics, le manque de transparence et de prestation de services de qualités, la corruption, la fraude fiscale et douanière, le trafic d’influence et autres pratiques illicites qui font légion au sein de l’administration publique congolaise, se traduisent par le manque de confiance du public, et des investisseurs à l’égard de l’administration publique.
Dès lors, comment peut-on améliorer le climat des affaires au Congo-Brazzaville ?
Au lieu de se perdre en conjectures et dans des incantations, notre pays doit se doter de toute urgence d’une administration efficace et efficiente. Un audit est nécessaire. Elle doit se débarrasser des doublons, des agents fictifs, et des incompétents. Ses agents doivent être au service de l’intérêt général. De leur positionnement dépendra de la qualité du service.
Nous ne cesserons de le dire. La corruption est un obstacle majeur aussi bien pour les entreprises congolaises que pour les investisseurs étrangers. En devenant un système qui gangrène le pays, elle nuit gravement au climat des affaires.
En nommant Collinet Makosso qui a échoué dans ses précédentes fonctions, nous sommes conscients que ce dernier n’est qu’un porte-marche pour Kiki Sassou. Tous ses propos ne sont que de la flûte. De la poudre de perlimpinpin.
Pour être un homme politique, nul besoin, disait Chateaubriand, d’acquérir des qualités. Il suffit d’en perdre. Si Collinet Makosso choisit de servir le clan Sassou et Nguesso au détriment du Congo, il subira la colère populaire qui monte. Tous les ingrédients sont réunis pour que tout implose. Il suffit d’une étincelle pour que tout s’embrase.
Dans l’Etat de siège, Albert Camus, explique en quelques mots simples comment tombent les dictatures : « Il a toujours suffi qu’un homme surmonte sa peur et se révolte pour que leur machine commence à grincer ».
Olivier MOUEBARA
Diffusé le 02 septembre 2021, par www.congo-liberty.org
Ce clan n’a pas l’ADN comparable à celui de KAGAME .Voilà , un homme parti ex nihilo est parvenu à démentir toutes les prédications les plus funestes sur terre au sujet d’un développement pragmatique appuyé sur la qualité des hommes .
PLATON disait : » le gouvernement des meilleurs » eh bien ,KAGAME nous en a donné la preuve …
Imaginez un seul instant qu’il ait disposé des ressources de l’or noir ,à l’instar du CONGO ,nous aurions obtenu un KOWEIT RWANDAIS au bout de 20 ans de pouvoir .
Ce clan maléfique manque de vision et de patriotisme . Et on ne peut rien en attendre .Tout le reste relève de la « fumentique « .
RECEMMENT UN REPORTAGE À KIGALI . Tout n’est pas rose ,même en EUROPE , on y voit des poches de misère ,mais l’image qu’en offre KIGALI EST BIEN MEILLEURE QUE CELLES DE CERTAINES CAPITALES AFRICAINES , ET NOTAMMENT Brazzaville . Incroyable PAUL KAGAME …
SUIVEZ SON DERNIER DISCOURS sur le devenir de ce pays ,vous serez scotchés .Il a administré une véritable leçon de patriotisme économique à l’adresse de ces supposés présidents à vie africains dont SASSOU qui lui livre des terres arables congolaises .
Voilà la naissance d’un petit dragon africain .
Longtemps manipule par Mr Sassou Denis comme il le fait depuis avec un certain nombre de Congolais depuis le debut des annees soixante pour accomplir ses missions de valet et agent de l’etranger,un dignitaire de la nomenklatura du pct dans un moment de lucidite dixit:Nous ne pouvons pas aveuglement suivre Denis Sassou qui en toute vraisemblance,s’est embourbe dans des transactions compliquees(entendez par la les pactes diaboliques signes avec ses maitres pour demolir le Congo) auxquelles nous n’avons pas ete associes.
Il faut chasser du Congo cette bande de mercenaires-incapables-voleurs
Il faut chasser du Congo cette bande de pseudo franc macons defroques et agents serviteurs des interets etrangers.
Il faut chasser du Congo cette bande de vauriens.Des gens qui ne valent meme pas un clou.
CONGO-BRAZZAVILLE: BIENTÔT UN DICTATEUR DE MOINS DANS NOTRE RICHE ET BEAU PAYS ET EN AFRIQUE: https://www.youtube.com/watch?v=0sbBaq83O-M
Le moins que l’on puisse dire pour Collinet Makosso , c’est que ce garçon fait des crises de démence . Je l’ai connu meilleur, il y’a près de 20 ans , nous voyageons vers paris . Comment comprendre ces esprits médiocres qui continuent accompagner Sassou Dénis dans sa folie ? Nous payons pendant très longtemps son inconséquence et son absence de penser . Avec le temps la crise financière démolie peut à peut cette barbarie Mbochi . C’est Paul Valery qui disait l’Ennemi du mensonge c’est temps …
le climat des affaires demeure hostile à l’entrepreneuriat. Pour preuve la création d’une entreprise au Congo s’élève à 1236$ alors qu’elle est gratuite au Rwanda. D’après le classement de Doing business le Congo se retrouve derrière l’Afghanistan des mollahs, pays en quasi guerre permanente, en terme d’attractivité économique.
@jboss , Grosse validation .
Le RWANDA a fait venir tous ses fils formés à l’étranger .Le CONGO de SASSOU N’A T-IL FAIT ?
On ne se développe qu’en utilisant à bon escient la matière grise que détient un pays . L’Ethiopie ET LE RWANDA sont entrain de ridiculiser de façon éhontée les pays de l’AFRIQUE CENTRALE DONT LE CONGO DE SASSOU qui a pris l’habitude de frapper sur des portes sans issue .
Comment expliquer que les chinois idéologiquement marxistes en arrivent à adopter un comportement économique capitaliste au point de plier les grandes puissances économiques ataviques ?.
Qu’ont – ils fait de l’idéologie MARXISTE COPIÉE PAR MAO ?
Et que dire du RWANDA meurtri par la guerre fratricide ,et de l’Ethiopie famélique en 1990 ?.
Nous congolais , nous devons questionner notre existence sur terre pour débusquer la solution ultime de sortie de folie continue .
La honte est congolaise , et l’espoir est rwandais . Incroyable . SONiiiiiiiii !
Vu sur https://www.africaintelligence.fr/afrique-ouest-et-centrale_business/2021/09/02/le-chemin-seme-d-embuches-de-la-reprise-des-vols-d-ecair,109688285-art
CONGO Edition du 02/09/2021
Le chemin semé d’embûches de la reprise des vols d’ECAir
Avec l’appui du gouvernement d’Anatole Collinet Makosso, la patronne de la compagnie aérienne nationale ECAir, Fatima Beyina-Moussa, s’active pour faire redécoller ses avions. Elle se heurte toutefois à la situation financière délicate de l’entreprise, ainsi qu’à de nombreux concurrents.
Un avion de la compagnie ECAir à Bruxelles en 2017.
Un avion de la compagnie ECAir à Bruxelles en 2017. © Jean-Luc Flémal/BelPress/MaxPPP
Depuis l’arrivée en mai dernier à la tête du ministère des transports et de l’aviation civile de Jean-Marc Thystère Tchicaya, le gouvernement congolais s’emploie à régler une partie de ses impayés pour relancer les vols du transporteur public ECAir (Equatorial Congo Airlines), en cessation d’activité depuis octobre 2016. Le paiement de ses prestataires doit permettre le retour, d’ici début novembre, de son unique avion long-courrier, un Boeing 757-200 âgé de vingt ans, qui stationne à Addis-Abeba pour des travaux de maintenance – un premier Boeing du même type a été rapatrié en janvier dernier. Des démarches similaires sont également en cours pour rapatrier deux des trois Boeing 737 appartenant à ECAir. Ces derniers sont remisés depuis trois ans déjà à Johannesburg.
S’il est acté depuis un conseil d’administration de l’entreprise en janvier 2020, le processus de relance d’ECAir a été retardé par les réticences de l’ex-ministre chargé de ce dossier, Ingrid Olga Ebouka-Babackas. Fille de l’ancien ministre des finances Edouard Ebouka-Babackas, cette dernière avait récupéré en mars 2020 le maroquin des transports en plus de celui de la statistique et de l’intégration régionale. Elle s’était alors montrée partisane d’une liquidation du transporteur, en raison de son surendettement et du fardeau que la compagnie fait peser sur les finances publiques depuis son lancement en septembre 2011.
Des rapports acrimonieux avec l’ex-ministre
Ce dossier lui avait valu en coulisse de vives oppositions avec la patronne d’ECAir, Fatima Beyina-Moussa, fille de l’ancien ministre de l’économie et du plan Pierre Moussa et fondatrice de l’American International School of Brazzaville (AISB). Les rapports entre ces deux enfants du sérail sont réputés acrimonieux depuis les années 2000, lorsqu’Ingrid Olga Ebouka-Babackas officiait comme adjointe au chef de département de la Commission bancaire de l’Afrique centrale (Cobac). Cette institution est chapeautée par la Banque des Etats d’Afrique centrale (BEAC), où travaillait Fatima Beyina-Moussa comme cheffe de la division balance des paiements et relations financières extérieures.
Mise en difficulté lors de la publication en 2017 d’un rapport d’audit très critique sur la gestion des finances d’ECAir, réalisé par les cabinets congolais Cacoges Sarl et Rainbow Finance SA, Fatima Beyina-Moussa cherche depuis à laver l’affront en relançant au plus vite les activités de la compagnie. En comité technique restreint et avec l’aval du conseil d’administration, elle pilote depuis trois ans un plan de restructuration et de relance, qui s’appuie sur l’expertise du cabinet d’audit Bekolo & Partners, dirigé par le Camerounais Emile Christian Bekolo.
A la recherche d’un partenaire stratégique
Outre les réticences de l’ex-ministre, le manque d’argent dans les caisses d’ECAir plombe aussi le retour de ses avions sur la piste de décollage. Avant la reprise des vols, la compagnie devra renouveler son Certificat de transporteur aérien (CTA) auprès de l’Agence nationale de l’aviation civile (ANAC), ce qui nécessite la réembauche du personnel et l’exécution de vols d’inspection – avec la présence de pilotes à bord, donc. Or, lors de la suspension de ses opérations en 2016, le transporteur national affichait un fonds de roulement négatif d’environ 52 millions de dollars et une dette auprès de ses fournisseurs évaluée à 41 millions de dollars.
L’Etat congolais avait pourtant mis la main à la poche lors du lancement en 2011 d’ECAir, en injectant 212 millions de dollars dans le capital de la société. S’il supporte aujourd’hui le rapatriement de ses avions, il pourrait se montrer incapable de financer à fonds perdu la reprise de l’activité. Pour pallier ce problème, la task-force conduite par Fatima Beyina-Moussa étudie, selon nos informations, les possibilités d’une joint-venture avec un partenaire stratégique en vue d’un apport de capitaux. Plusieurs manifestations d’intérêt non officielles sont d’ailleurs à l’étude dans les services du ministre Jean-Marc Thystère Tchicaya.
Il est également envisagé de faire appel à l’emprunt obligataire sur le marché financier de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac). Une telle opération peut se révéler hasardeuse au regard du précédent de 2016, lorsque la compagnie avait récupéré 20 milliards de francs CFA (36 millions de dollars environ), au lieu des 60 milliards escomptés. Il faudrait aussi que l’environnement économique du Congo s’y prête. Or les effets de la crise sanitaire se font ressentir sur le déficit budgétaire du pays, qui continue de se creuser dangereusement.
De nouveaux venus dans le ciel congolais
A ces difficultés financières s’ajoute une profonde métamorphose du secteur aérien au Congo. Depuis la suspension des activités d’ECAir, de nombreuses compagnies régionales africaines, telles Asky Airlines, Air Côte d’Ivoire ou RwandAir, ont renforcé leurs dessertes vers les deux hubs de Brazzaville et de Pointe-Noire. Sur le plan interne, ECAir va également devoir se mesurer à deux nouveaux venus. Depuis quelques jours, Africa Airlines – compagnie sœur de Karinou Airlines basée à Bangui et en cessation depuis 2018 – a démarré ses opérations commerciales. Le projet porté par Saïd Trad, un influent homme d’affaires libanais très présent en Centrafrique, rejoint celui de son compatriote Ahmad el-Hage, patron de la compagnie privée Trans Air Congo (TAC).
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Ces piranhas du syteme mafieux du pct et le leur chef de file en plus de cinquante ans de regne absolu ont prouve leurs limites.
Les incapables,incompetents,paresseux,faineants et vauriens.
Seule chose que cette nomenklatura sait faire c’est le mercenariat et jouir des deniers publics en vidangeant les caisses du tresor public longtemps transforme en moulin a foufou.
Cette race d’individus,le peuple Congolais n’en veut plus.Ils doivent etre chasses du Congo par tous les moyens.Il faut mettre a cette descente aux enfers.
Lire:et leur chef de file
Lire:il faut mettre terme